Literatura científica selecionada sobre o tema "Cicéron (0106-0043 av. J.-C.). De la république – Appréciation"

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Teses / dissertações sobre o assunto "Cicéron (0106-0043 av. J.-C.). De la république – Appréciation"

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Revello, Veronica. "Le Timée de Cicéron : histoire d'un texte philosophique, de la République romaine à sa réception tardive". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2025. http://www.theses.fr/2025SORUL001.

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Mon projet vise à étudier l'un des textes les plus problématiques de la tradition philosophique ancienne : le "Timée" de Cicéron, une traduction ou, plus exactement, une adaptation latine du "Timée" de Platon réalisée par l'Arpinate entre 45 et 44 av. J.-C. Je propose une analyse transdisciplinaire de l'ouvrage et de sa réception afin d'éclairer l'influence considérable de ce texte sur la tradition philosophique et culturelle latine et occidentale prise dans le temps long. Ma thèse se situe au croisement de différentes perspectives qui restent séparées dans les études anciennes et médiévales : la philologie, la paléographie, l'ecdotique, l'étude de la réception médiévale du "Timée" cicéronien
My project aims to study one of the most problematic texts in the ancient philosophical tradition: Cicero's "Timaeus", a translation or, more accurately, a Latin adaptation of Plato's "Timaeus" by Cicero between 45 and 44 BC. I propose a transdisciplinary analysis of the work and its reception in order to shed light on the considerable influence of this text on the Latin and Western philosophical and cultural tradition over time. My thesis is situated at the crossroads of different perspectives that remain separate in ancient and medieval studies: philology, palaeography, ecdotics, and the study of the medieval reception of Cicero's "Timaeus"
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Legros, Victor. "'Divina res publica' : La notion de res publica dans la littérature latine chrétienne (IIe-Ve siècles)". Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2024. https://pepite-depot.univ-lille.fr/ToutIDP/EDSHS/2024/2024ULILH064.pdf.

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Ma recherche porte sur l'usage que font les auteurs latins chrétiens de la notion de res publica au cours de l'Antiquité tardive. Il s'agit, en effet, d'étudier comment ces auteurs s'emparent (on non) d'une notion centrale du discours politique romain dans le contexte des mutations politiques et religieuses que connaît l'Empire romain au cours de la période (fin IIe - Ve siècle après J.-C.). L'hypothèse d'où part ce travail est celle d'une appropriation progressive de la notion par ces auteurs, depuis l'usage restreint qu'en fait Tertullien jusqu'à la Cité de Dieu d'Augustin que l'on peut considérer à certains égards comme une réécriture du De re publica cicéronien. On pourra ainsi analyser la structuration d'un discours chrétien sur un objet spécifiquement politique comme la notion étudiée
My research focuses on the use of the notion of res publica by Christian Latin authors during late antiquity. It is indeed a question of studying how these authors grasp (or not) this central notion of Roman political discourse in a period marked by the political and religious changes that the Roman Empire underwent during this period (late 2nd - 5th century AD). This work starts from the hypothesis of a progressive appropriation of the notion by these authors, from the limited use made of it by Tertullian to Augustine's City of God, which can be considered to a certain extent as a rewriting of the Ciceronian De re publica. This will allow us to analyse the structuring of a Christian discourse on a specifically political object such as the notion under study
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Mouckaga, Hugues. "Esclaves et esclavage à travers l'oeuvre de Cicéron : esclaves et affranchis à la fin de la République romaine". Reims, 1988. http://www.theses.fr/1988REIML003.

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Depuis dix ans, l'étude de l'esclavage a refait surface, par le biais des savants de l'"école de Besançon". Il s'est agi pour eux, de pénétrer la société romaine, en comprenant mieux un pan de son histoire, et un des tenants de son évolution. Notre étude se situe donc dans leur sillage. Une étude qui ne se consacre pas seulement a l'esclavage, mais qui en aborde aussi l'un des contours: l'affranchissement a la fin de la république. Nous avons eu recours a Cicéron, pour nous aider a mieux comprendre aussi cette société, l'auteur présentant d'inestimables qualités de penseur, adapte a toutes les situations de son temps. Ainsi, il nous décrit l'esclave par une série de vocables, ayant chacun sa spécificité. Il le montre non seulement inferieur, et ridicule, mais aussi entoure d'une certaine auréole, que n'ont pas beaucoup d'hommes libres, surtout quand s'y joignent le pouvoir du maitre et le stoïcisme. L'affranchi n'échappe pas a cette dualité. Fait libre au moment de la manumissio, son passe le dessert en droit prive, et continue a faire de lui, un inferieur
The study of slavery has appeared again for ten years, through the scholars of the "school of Besancon". Their aim was to beacquainted with the roman society in order to understand better a piece of its history, and details of its evolution. Therefore, our study deals with their sillage. A study which is not only devoted to slavery, but also points out one of its outlines: emancipated slave at the end of the republic. We were helped by cicero, in order to understand well this society, he describes the slave through a series of literary devices such as the vocable, each word of which playing a specific role, the inferiority of the slave being revealed by his nakedness, and the ridiculous about him. Besides, more important than some human beings, the slave is described with a sort of glory, most of all when the stoicism and the power of the master are added to it. The emanciped slave cannot escaped this duality. Being set free during manumissio, his past is detrimental to him in private right and keeps on making him and inferior being
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Solmy, Fauque de Jonquières Céline. "Consensus et Concordia de la fin de la République à la mort d'Alexandre Sévère". Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040142.

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Ce travail basé sur l'étude des sources littéraires, épigraphiques, numismatiques et archéologiques cherche à donner une meilleure compréhension du régime impérial. L'étude débute par un rapide historique des deux notions sous la République ainsi qu'une étude plus particulière dans les oeuvres de Cicéron. Puis, nous analysons la mise en place du principat. L'évolution institutionnelle proposée par Auguste n'était envisageable qu'à la condition qu'elle soit acceptée par le plus grand nombre. Ce changement de régime n'était justifié que s'il permettait la fin des guerres civiles et le maintien de la concordia ciuilis. Le principat ne pouvait se maintenir qu'en conservant ces deux aspects. Nous avons donc étudié cet équilibre à travers l'investiture impériale, la cérémonie de l'aduentus et le temps de la mort jusqu'à la mort d'Alexandre Sévère. Cette analyse sur une longue période nous permet d'analyser le pouvoir impérial. Les différents principes cherchaient toujours à se rattacher à Auguste tout en apportant des innovations qui répondaient aux attentes du populus Romanus de leur temps
This research based on the study of literary sources, epigraphic texts, numismatic and archaeological searches to provide a better understanding of the imperial regime. The study begins with a brief history of the two concepts in the Republic and a study particularly in the works of Cicero. Then we analyze the establishment of the principate. The institutional change proposed by Augustus was possible only if it was accepted by all citizens. This change of regime was justified only if there were not the civil ward and if the concordia ciuilis existed. The principate could not maintain only if these two aspects can be keeping. We therefore examined this balance through the imperial investiture, the ceremony of the aduentus and time of death until the death of Alexander Severus. This analysis over a long period allows us to analyze the imperial power. The principes try always to follow the Augustan policy while introducing innovations that respond to claims of the populus Romanus of their time
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Vesperini, Pierre. "Recherches sur les pratiques romaines de la Φίλοσοφία [filosofía] aux deux derniers siècles de la République". Paris 7, 2010. http://www.theses.fr/2010PA070107.

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Cette thèse cherche à montrer que les Romains de la fin de la République, loin d'avoir philosophé comme les Grecs, ont inventé des pratiques différentes, spécifiques : ils ont refusé tout ce qu'il y avait de religieux dans les pratiques grecques (pratiques cultuelles, parfois possessionnelles, des écoles athéniennes, pratiques divinatoires des philosophoi-initiateurs) ainsi que les pratiques pédérastiques courantes dans les écoles athéniennes. Détachée de ses contextes originels (écoles, associations religieuses), la philosophia est devenue à Rome pur savoir, pur discours. Le mot philosophia, en général, n'y signifie presque jamais « doctrine » ou « pensée », comme aujourd'hui, mais « ensemble de tous les savoirs ». Cette philosophia encyclopédique donnait lieu à des usages variés, nullement exclusifs les uns des autres, mais qui tous relevaient de l'esthétique : il s'agissait de magnifier (ornare) les temples (un chapitre est consacré au temple des Muses de M. Fulvius Nobilior) et les villas (un chapitre étudie le programme de la villa des papyrus), les espaces publics ou domestiques, les discours des orateurs, les comportements (un chapitre est ainsi consacré à la relation entre Blossius de Cumes et les Gracques, un autre au suicide de Caton d'Utique), les jeux et les loisirs (c'est en ce sens que j'analyse la relation de Panétius et de Scipion Km il i en ou de Philodème et Pison), et enfin les lettres latines (des chapitres sont consacrés aux Annales d'Ennius, ainsi qu'à Lucrèce et aux dialogues de Cicéron). En faisant passer la philosophia du religieux à l'esthétique, les Romains ont, en grande partie, inventé la philosophie, au sens où nous l'entendons aujourd'hui
The thesis scope is to show that Ancient Romans at the end of the Republic did not practised philosophia in the way Ancient Greeks did. A far cry from this now communis opinio, they invented new, specific practises. They banished all the religious dimension of Greek philosophical practises (rites of the Athenian schools, divinatory performances of philosophoi that were also initiators to mystery cults) as well as the homo-erotic relations common in the Greek scholai. Detached from its religious original contexts,philosophia became in Rome pure knowledge. Indeed its general meaning there was not « doctrine », « thought », as in today's world, but « encyclopaedic knowledge ». This encyclopaedic philosophia was used in various and compatible ways, but the scope was always to magnify (ornare) something, be it a temple (like Fulvius' temple of the Muses), a villa (e. G. Piso's villa dei Papiri), orator's eloquence and speech styles, behaviours and public identity (thus is interpreted Blossius' relationship to the Gracchi, and Cato's suicide), games and leisure hobbies (this is something I try to show by studying the relationship between Panaetius and Scipio Aemilianus, or between Philodemus and Piso), and, last but not least, the Latine literature (chapters are dedicated to 'Ennius'Annals, to Lucretius'Epicurean poem and to Cicero's dialogues). In a word, one could say that Romans transferred philosophia from the religious realm to the aesthetics, or from cult to culture, thus inventing a good deal of what we nowadays call « philosophy »
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Di, Santo Arfouilloux Simonetta. "Le torrent et la foudre : Cicéron et Démosthène : la question du sublime à la Renaissance et à l'Age classique". Thesis, Brest, 2014. http://www.theses.fr/2014BRES0004.

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Le but de cette thèse est de contrer deux idées reçues sur la réception de Longin à la Renaissance et à l’Âge classique, à savoir que : 1.le traité de Longin ne concernerait pas un style, mais un ‘je ne sais quoi’ qui dépasse toute catégorisation ; 2. le traité de Longin ne serait connu que de manière confidentielle. Notre thèse prouve le contraire. Interrogeant la tradition stylistique et remontant à la genèse des genera dicendi, nous montrons que Longin est profondément enraciné dans la tradition de la tripertita uarietas. Le ὕψος est un genus dicendi à part entière. Cependant le Περὶ ὕψους est aussi un texte de la crise qui témoigne d’une volonté de dépasser la tradition cicéronienne. Il s’agit d’une tentative non aboutie, dont il reste des traces dans la comparaison de Cicéron et Démosthène : le torrent et la foudre. Dans ce parcours nous mettons en évidence les liens qui unissent le ὕψος au δεινός de Demétrios. L’inventaire des manuscrits, des traductions, des éditions en circulation à la Renaissance démontre à lui seul que la fortune de Longin est loin d’être relative et qu’elle imprègne la vie culturelle de la République des Lettres jusqu’au XVIIe siècle. Cette lecture ne se fait pas au détriment du sens originaire du traité : pour ces re-lecteurs le Περὶ ὕψους est un genus dicendi. Ainsi, Leone Allacci parvient à saisir les problématiques complexes qui rattachent le ὕψος à la δεινότης dans son De erroribus magnorum uirorum in dicendo (1635). Le sublime longinien est également un genus dicend dans les Eloquentiae sacrae et humanae parallela (1619) que le jésuite Nicolas Caussin rédige dans une perspective rédemptoriste, réduisant le sublime à la copia
This thesis aims to contradict two misconceptions about Longinus’ reception in the Renaissance and classical age, namely: 1. the treaty of Longinus does not concern a style, but a 'whatever' which transcends all categorization; 2. the treaty of Longinus is known only by a confidential manner. Our thesis proves otherwise. Querying the stylistic tradition and returning to the genesis of the genera dicendi, we show that Longinus is deeply rooted in the tradition of tripertita uarietas. The ὕψος is a genus dicendi full.However Περὶ ὕψους is also a text of the crisis which shows a willingness to go beyond the ciceronian tradition. This is a failed attempt, which traces remain in the comparison of Cicero and Demosthenes: torrent and lightning, δεινότης and copia. In this course we highlight the links between the ὕψος to the δεινός of Demetrios. The inventory of manuscripts, translations, editions issued at the Renaissance alone shows that the fortune of Longinus is far from average and that it permeates the cultural life of the Republic of Letters until the seventeenth century. This reading is not done at the expense of the original meaning of the treaty: for these re-readers Περὶ ὕψους is primarily a genus dicendi.Thus, Allacci Leone manages to capture the complex issues that relate δεινότης to the ὕψος in his De erroribus magnorum uirorum in dicendo (1635). The longinian sublime is also a genus dicendi in the Eloquentiae sacrae et humanae parallela (1619) that the Jesuit Nicolas Caussin wrtites in a purely redemptorist perspective, choosing to reduce the sublime to the copia
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Paulson, Alexander. "Voluntas : force d’âme, libre arbitre et volonté du peuple chez Cicéron". Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040197.

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La volonté : peu de termes reviennent dans des débats aussi nombreux et aussi divers ; peu se prêtent à un aussi large éventail de registres, de l’ordinaire au sacré. Mon travail voudrait introduire à la notion de volonté chez Cicéron, et aux nouveaux champs sémantiques ouverts par lui pour la postérité. Le rôle accordé à lui jusqu’ici dans les généalogies de la volonté a été au mieux mineur. Mais les archives numériques confirment un fait curieux : tout le corpus latin antérieur à Cicéron contient environ 25 occurrences de voluntas ou de ses formes déclinées. Dans le seul corpus cicéronien, le mot apparaît 644 fois. Sa théologie pense l’univers en tant qu’il est déterminé par la mens ac voluntas des dieux, et fait passer le progrès de l’âme par la contemplation de la volonté divine. La voluntas est centrale dans sa réflexion sur l’émotion et la responsabilité en contexte judiciaire. Dans ses traités philosophiques, il adapte l’éthique stoïcienne et fait de la volonté le siège de la progression morale. En outre, c’est Cicéron et non Lucrèce qui a le premier examiné la liberté du vouloir humain : lorsqu’il entreprit, à trente-six ans, l’accusation de Verrès, puis dans le De fato, où sa défense de la libera voluntas mobilise le Portique et l’Académie contre le Jardin. Enfin, Cicéron invente la volonté du peuple telle que nous la connaissons. Le plus grand orateur romain, pionnier de la pensée politique de langue latine, fait de la voluntas populi la force agissante d’une république souveraine. Son idée de la volonté populaire contient d’ailleurs en germe les problèmes de représentativité des élites que nos démocraties électorales cherchent encore à résoudre
The will : few words feature in so many distinct debates, nor range so vastly from the simple to the sacred. This thesis is intended to provide a thorough study of the notion of will in Cicero, and of the new semantic pathways he opens for posterity. The role attributed to him in genealogies of the will has been relatively minor. But digital archives confirm a curious fact: all extant Latin texts prior to his lifetime yield around two dozen occurrences of voluntas and its cognates. In the texts we have, Cicero uses the word 644 times. His theology examines the character of the world determined by the mens ac voluntas of the gods, and the improvement of the soul in the contemplation of divine will. Voluntas propels and inspires Cicero’s study of emotion in criminal liability. In the Tusculan Disputations and De officiis, he adapts Stoic ethics to propose the will as locus of moral progress. Further, it was Cicero, not Lucretius as some have argued, who first considered the “freedom” of human will – as a 36-year-old prosecutor, and then in the De fato, where his argument for libera voluntas marshals the Stoa and Academy to repudiate the Epicureans. Finally, Cicero invents “the will of the people” as we know it. Rome’s greatest orator and the pioneer of political thought in Latin, he makes voluntas populi the catalyzing force of a sovereign republic. So too does he sow problems of elite “trusteeship” into his notion of popular will, problems which electoral democracies still struggle to resolve
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González, Rendón Diony. "Cicero Platonis Aemulus : une étude sur le De Legibus de Cicéron". Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040009.

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Cette thèse étudie la réception de la philosophie de Platon à Rome au cours du premier siècle av. J.-C., en s´attachant plus particulièrement à la façon dont Marco Tulio Cicéron interprète, étudie, traduit et imite l´œuvre du philosophe grec. Nous y analysons également la réception qu´en font les stoïciens étant donné que le platonisme romain et plus concrètement celui que Cicéron connait, est tributaire des enseignements des maîtres stoïciens de Rome.Cette réception sera le point de départ pour comprendre comment Cicéron imite et émule le style et le contenu des dialogues de Platon et cela afin de rendre compte des différences et des similitudes entre leurs doctrines philosophiques. Cette thèse permettra de révéler l´influence que la philosophie de Platon a eu sur la configuration de la pensée et du langage philosophique à Rome ainsi que sur celle du domaine religieux et de celui de la législation romaine.Le De Legibus de Marco Tulio Cicéron sera l´œuvre-pivot de notre recherche. Ce dialogue n´a pas été exclusivement rédigé en tant qu´une imitation du style et du contenu des Lois de Platon; en effet, son contenu reflète non seulement l´importance qu´a eu le dialogue platonicien en tant que modèle dans l´élaboration des dialogues philosophiques de Cicéron, mais plus exactement celle de sa perspective politique et philosophique telle qu´elle est exposée dans le De Oratore, De Re Publica et le De Legibus.C´est à partir du langage que nous aborderons le processus d´imitation et d´émulation, c´est-à-dire que dans un premier temps, nous analyserons la façon dont Cicéron traduit l´œuvre de Platon. Nous observerons ensuite comment Cicéron adopte la structure rhétorique du dialogue platonicien. Finalement, nous présenterons la notion de loi naturelle comme élément grâce auquel nous montrerons l´empreinte du platonisme contenu dans le De Legibus. Il est pertinent de souligner que ce platonisme cicéronien a été marqué par un dialogue constant entre les différentes traditions stoïciennes, académiciennes et péripatéticiennes tout autant que par les disputes contre les épicuriens et les griefs nourris par une réalité romaine déchirée par une crise politique et spirituelle
The following dissertation examines the reception of Plato’s philosophy in Rome, with special focus on how Marcus Tullius Cicero, between the years I to C. approximately, receives, studies, translates and imitates the work of the Greek philosopher. Furthermore, it analyses the way in which the Stoics received Plato’s philosophy, considering the fact that Roman Platonism, and that of Cicero in particular, was communicated by the Stoic teachers of Rome.This reception will be the starting point in order to comprehend Cicero’s imitation and emulation of the style andcontent in the dialogues of Plato, and to perceive similarities as well as dissimilarities in his philosophic doctrines. This dissertation will highlight the influence that Plato’s philosophy exerted on the development of the thoughts and philosophic language of Rome, as well as its contribution to Roman religion and legislation.The point of reference for this paper is the De Legibus by Marcus Tullius Cicero. The dialogue was not composedexclusively as an imitation of the style and content of Plato’s The Laws; instead, it reflects the importance of the Platonic dialogue as a model for the philosophic dialogues which Cicero formed, specifically the political and philosophical proposition that Cicero presents in De Oratore, De Re Publica and De Legibus.The process of imitation and emulation will be addressed from a linguistic perspective. In other words, an analysis ofhow Cicero translates the work of Plato will be followed by an observation of how Cicero adapts the rhetorical structure of the Platonic dialogue. Finally, the paper will discuss the notion of the natural law as an element through which it is possible to demonstrate the Platonism that encompasses Cicero’s De Legibus. It is also worth mentioning that Cicero’s Platonism was characterized by the continuous interchange with the various Stoic, Academics and Peripatetic traditions, the disputes with Epicureans, and the objections of a Roman society immersed in a political and spiritual crisis
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Aubert-Baillot, Sophie. "Per dumeta : recherches sur la rhétorique des Stoïciens à Rome, de ses origines grecques jusqu'à la fin de la République". Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040123.

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Définie comme la science du bien parler où « bien parler » revient à « dire le vrai », la rhétorique stoïcienne ressemble à une anti-rhétorique. Éprise de concision, refusant l’appel aux passions, inapte à persuader l’auditoire, elle rejette toutes les caractéristiques de l’art oratoire traditionnel et s’apparente à la dialectique des philosophes. Le décalage entre des préceptes rigoureux et une palette ample et nuancée de pratiques oratoires invite toutefois à examiner si cette théorie ne renfermait pas les prémisses d’une interprétation plus souple, d'autant que les conceptions de la rhétorique ont évolué au fil du temps et des scholarques. Il semble que le stoïcisme, au moment de son implantation à Rome dès 155 avant Jésus-Christ avec Diogène de Babylonie, n’avait pas encore élaboré de message clair au sujet d’une discipline qui entretenait, depuis le Gorgias, des relations conflictuelles avec la philosophie. Grâce aux liens de Panétius avec l’entourage de Scipion, le stoïcisme infléchit le mode de vie et de parole de nombreux aristocrates romains, dont Fannius, Tubero, Rutilius Rufus puis Caton d’Utique. Partagée entre deux pôles d’attraction, le cynisme et l’aristotélisme, la rhétorique stoïcienne exerça une telle influence - comme modèle ou repoussoir - sur la plupart des écrivains latins qu’elle rendit nécessaire une stratégie polémique rigoureuse, d’ordre non seulement stylistique, mais aussi philosophique, de la part de Cicéron. Ce faisant, il contribua à l’acclimater à Rome, à l’ancrer dans la langue comme dans la culture, tout en suggérant que l’antinomie entre philosophie du Portique et rhétorique était peut-être une réalité, mais non une fatalité
As the science of speaking well, in which « speaking well » means « telling the truth », Stoic rhetoric is akin to an anti-rhetoric. Valuing brevity, refusing to excite passions, inapt at persuading its audience, it rejects every characteristic of traditional oratory and leans towards philosophical dialectics. However, the disparity between strict precepts and a wide range of oratorical practices encourages us to examine whether this theory may not allow a more open interpretation, especially as Stoic rhetorical doctrines changed with time and with the succession of Scholarchs. It seems that when it first took root in Rome, as early as 155 B. C. With Diogenes of Babylon, Stoicism had not yet formulated a clear message on a subject which had been conflicting with philosophy since the Gorgias. Because of the links between Panaetius and Scipio’s circle, Stoicism influenced the way many aristocrats, among whom Fannius, Tubero, Rutilius Rufus and Cato Uticensis, both lived and practised eloquence. Wavering between two poles of attraction - Cynicism and Aristotelianism - Stoic rhetoric had such a strong influence on most Latin writers, as a model to be either followed or rejected, that Cicero had to organise a rigorous strategic dispute, both stylistic and philosophical, against it. In so doing, he helped to acclimatise it to Rome and to adapt it to Latin language and culture, while suggesting that the antinomy between Stoic philosophy and rhetoric, though real, was not inevitable
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Avila, Patrice. "Dignitas et urbanitas : aspects et contraintes des normes sociales de Cicéron à Pline le Jeune, dans les milieux sénatoriaux et équestres, à Rome et en Italie, de la fin de la République au Haut-Empire". Thesis, Montpellier 3, 2019. http://www.theses.fr/2019MON30062.

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Entre la fin de la République et le Haut-Empire, la société romaine amorce, définit et affirme une identité qui deviendra celle de la romanité. Mêlant traditions romaines et ajouts des cultures conquises et rencontrées, notamment la civilisation hellénistique, l’élite de la société romaine, élabore une culture d’élite qui deviendra le marqueur de rang de tout un groupe se reconnaissant par des pratiques culturelles et sociales les identifiant et les différenciant de leurs contemporains. Cette thèse aborde les normes sociales qui régissent la vie quotidienne des élites romaines, notamment l’ordre sénatorial et équestre, et les contraintes auxquelles les individus doivent se soumettre. Organisée autour de trois grands axes que sont les individus, les grands temps-forts de la vie quotidienne et les lieux de vie, cette recherche brosse le portait d’une société héritière d’une lourde tradition réinterprétée et transmise par une élite qui se perçoit comme la garante de la pérennité d’une identité, de vertus et de valeurs romaines. La diversité de cette approche permet de constater la diffusion d’un modèle socioculturel dans l’élite mais aussi dans la société et l’empire. Hommes, femmes, enfants, affranchis, comme esclaves tous concourent à donner une image relevant des normes et des convenances sociales qui régissent la haute société romaine. Tous sont au service de la familia et du maître en particulier. Le but étant de correspondre à un modèle qui fait des gens de l’élite sociale, une élite de la vertu : les boni uiri
The Roman society, during the end of the Republic and the High Empire, began, defined and affirmed an identity, a concept : the Romanity. This identity combines Roman traditions and additions of cultures like the Hellenistic civilization. In parralel the elite develops a culture that will become the rank marker of a whole group. The members of the high society recognise themselves through cultural and social practices identifying and differentiating them from their contemporaries. This thesis addresses the social norms that govern the daily life of the senatorial and equestrian order, and the restraints to which individuals must submit. It is organized around three major axes : the individuals, the great highlights of daily life and the places of life. This search describes a society heir to a long tradition reinterpreted and transmitted. The tradition, with virtues and values, has become, for the elite, the guarantor of the sustainability of a Roman identity. The diversity of this approach shows the spread of this socio-cultural model in the elite but also in the society and the empire. Men, women, children, freedmen and slaves contribute to giving an image of the social norms that govern Roman society. All are serving the familia and especially the master. The goal, for the elite is to being a social model, a model of virtue : the boni uiri
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