Artigos de revistas sobre o tema "Changements climatiques – Simulation, Méthodes de"

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Lubes-Niel, H., J. M. Masson, J. E. Paturel e E. Servat. "Variabilité climatique et statistiques. Etude par simulation de la puissance et de la robustesse de quelques tests utilisés pour vérifier l'homogénéité de chroniques". Revue des sciences de l'eau 11, n.º 3 (12 de abril de 2005): 383–408. http://dx.doi.org/10.7202/705313ar.

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L'analyse statistique de séries chronologiques de données hydrométéorologiques est un des outils d'identification de variations climatiques. Cette analyse consiste le plus souvent à la mise en œuvre et à l'interprétation de tests statistiques d'homogénéité des séries. Les séries hydrologiques (données de pluie ou de débit) se caractérisent fréquemment par des effectifs faibles, et ne répondent que rarement aux conditions requises par l'application des tests statistiques dont certains sont paramétriques. Nous avons cherché à évaluer, en terme de puissance et de robustesse, le comportement de quelques méthodes statistiques largement employées dans les études de variabilité climatique. Ce travail a été mené dans chaque cas étudié au moyen de procédures de simulations type Monte-Carlo de 100 échantillons de 50 valeurs conformes aux caractéristiques souvent rencontrées dans les séries naturelles. La variabilité simulée est celle d'un changement brutal de la moyenne. Les procédures concernées sont le test de corrélation sur le rang, le test de Pettitt, le test de Buishand, la procédure bayésienne de Lee et Heghinian, et la procédure de segmentation des séries hydrométéorologiques de Hubert et Carbonnel. Des séries artificielles soit stationnaires, soit affectées par une rupture de la moyenne, normales, non-normales, autocorrélées, présentant une tendance linéaire ou un changement brutal de la variance ont été générées. Les conclusions de ce travail doivent être nuancées selon la méthode considérée. D'une manière générale la puissance maximale estimée se situe autour de 50% pour des taux de rupture de la moyenne de l'ordre de 75% de la valeur de l'écart-type. Par ailleurs il apparaît que l'autocorrélation et la présence d'une tendance dans les séries sont les deux caractéristiques qui pénalisent le plus les performances des procédures.
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Requena-Ruiz, Ignacio, Thomas Leduc e Daniel Siret. "Une méthodologie d’analyse des dispositifs de rafraîchissement estival basée sur la métrologie climatique mobile". Climatologie 20 (2023): 8. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202320008.

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Les stratégies d’adaptation des environnements urbains aux changements climatiques, comme le développement de parcs urbains ou la révision des règles d’urbanisme, ne porteront leurs fruits qu’à moyen et long termes. Dans l’intervalle, des solutions palliatives doivent être mises en œuvre. Elles se déploient souvent sous la forme d’installations éphémères ou durables capables de proposer des opportunités de rafraîchissement en différents points de l’espace public. Ces dispositifs de rafraîchissement se développent dans les grandes villes depuis deux décennies et mettent en œuvre une grande diversité de techniques. Face aux investissements que représentent de tels aménagements, les pouvoirs publics sont demandeurs de connaissances sur leur capacité à répondre aux enjeux d’habitabilité des espaces publics sous la canicule. Il s’agit de savoir si ces « points frais » ont un réel pouvoir de rafraîchissement et s’ils sont appropriés par les citadins lorsque les températures augmentent. C’est pour apporter des réponses à ce type de questions et mieux connaître les spécificités des dispositifs urbains de rafraîchissement que nous avons développé une démarche multidisciplinaire basée notamment sur un système de métrologie climatique mobile original. Nous avons mis en œuvre ce système pour étudier différents dispositifs de rafraîchissement estival à Nantes et à Paris. La première partie de l’article décrit le synopsis de notre démarche qui se développe suivant quatre approches portant successivement sur l’analyse architecturale et urbaine du dispositif et de son environnement proche, la simulation d’ensoleillement dans le dispositif et son environnement, la métrologie climatique associant des instruments fixes et mobiles, ainsi que des observations d’usage du dispositif en situation de forte chaleur. La deuxième partie décrit plus en détail les principes de métrologie climatique que nous proposons. La troisième partie illustre la méthode par une étude de cas réalisée en 2022 en collaboration avec Nantes Métropole.
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Andrieu, Nadine, Eduardo Chia e Eric Vall. "Recherche et innovations dans les exploitations de polyculture-élevage d’Afrique de l’Ouest Quelles méthodes pour évaluer les produits de la recherche ? Conclusion générale". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, n.º 1-4 (1 de janeiro de 2011): 93. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10121.

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Les articles présentés ici ont mis en lumière une diversité de méthodes et d’outils d’analyse qui permettent d’évaluer les propositions de la recherche visant à améliorer la durabilité des systèmes agro-sylvo-pastoraux d’Afrique de l’Ouest. Ces méthodes se réfèrent à l’identification des facteurs d’adoption des produits de la recherche, mais aussi à l’analyse des impacts constatés ou espérés des changements proposés. Elles s’appuient sur la constitution de bases de données robustes issues d’enquêtes de terrain. Les modèles économétriques (tels que les modèles probit et tobit) permettent d’identifier les facteurs socio-économiques d’adoption de propositions en comparant deux types de producteurs : adoptant et non-adoptant. Ils permettent aussi d’identifier les facteurs qui influencent l’intensité de la mise en oeuvre de l’innovation chez ceux qui l’ont adoptée (Ngondjeb et coll.). Les analyses multivariées de données d’enquêtes socio-économiques permettent, elles, d’analyser les corrélations entre des variables traduisant l’utilisation effective de la technologie et des variables sociotechniques sur lesquelles sont fondées les typologies des systèmes d’élevage. Ces typologies dépassent la dichotomie adoptant versus non-adoptant. Elles permettent de mettre en évidence différentes modalités d’usage de la technologie suivant les types de producteurs (Bouyer et coll.). Des enquêtes sur les stratégies d’adaptation des ménages à des changements de leur environnement socio-économique permettent de situer les propositions de la recherche au sein de la gamme des leviers d’action mobilisés. Ces enquêtes montrent ainsi la nécessité de retracer sur des pas de temps longs la trajectoire des ménages et du cycle de vie des exploitations pour analyser les stratégies et les dynamiques d’adoption (Pedelahore et coll.). Les modèles d’optimisation des fonctions de production tels que celui utilisé par Dabire et coll. permettent de comparer à un scénario témoin différentes modalités d’une proposition technique et leurs effets respectifs sur les choix d’assolement ainsi que sur le revenu optimal de l’exploitation. La proposition analysée ici est l’accès pour le producteur à une nouvelle source d’information : la prévision saisonnière de la pluviosité. Ce type de modèle offre la possibilité de prendre en compte un risque, par exemple celui d’avoir une bonne ou une mauvaise saison climatique ou de se tromper dans les prévisions. Le modèle de simulation présenté par Sempore et coll. permet au producteur d’analyser avec le chercheur l’impact de la proposition (atelier d’embouche) sur les performances techniques (bilan fourrager et minéral) et économiques (bilan céréalier et revenu) de son exploitation. Il peut ainsi comparer les résultats attendus de ce changement et les modalités de sa mise en oeuvre à la situation initiale de son exploitation. Avec la méthode active de recherche participative (MARP), l’analyse prospective est conduite avec des focus groups (groupes socioprofessionnels d’acteurs) associant chercheurs et producteurs. Cette approche permet de prendre en compte dans l’analyse les préférences et contraintes des producteurs mais elle suppose aussi que ces producteurs aient la capacité d’estimer les effets possibles des propositions de la recherche sur leurs exploitations. Le calcul du budget partiel, utilisé par exemple par Blanchard et coll., permet d’évaluer en termes monétaires les impacts des différents changements techniques observés ou estimés à l’échelle de l’exploitation, suite à l’adoption de la proposition. L’analyse du cycle de vie mise en oeuvre par Vayssières et coll. permet d’évaluer les performances environnementales d’un changement de pratiques. Les auteurs prévoient ainsi l’impact des changements techniques dans les exploitations d’élevage sur leurs consommations énergétiques. Enfin, en analysant les relations de pouvoirs entre acteurs au sein de la filière laitière, Fokou et coll. montrent que les innovations techniques et organisationnelles peuvent être source d’exclusion pour certaines catégories d’acteurs. Ces enquêtes sur les relations de pouvoir entre acteurs apportent un regard complémentaire sur la durabilité sociale des propositions de la recherche.
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Saint-Laurent, D., e L. Lavoie. "Les différentes approches méthodologiques de reconstitution des paléo-inondations : une revue de la littérature". Revue des sciences de l'eau 17, n.º 1 (12 de abril de 2005): 91–115. http://dx.doi.org/10.7202/705524ar.

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Les deux dernières décennies en recherche scientifique se caractérisent par la multiplication des travaux concernant le réchauffement planétaire et les conséquences appréhendées de ce phénomène dans les divers milieux du globe. Ces travaux de recherche touchent différents champs disciplinaires dont la géomorphologie, l'hydrologie, l'écologie et bien d'autres. Dans le contexte des changements climatiques, on voit apparaître un intérêt grandissant pour l'étude des inondations anciennes ou des paléo-inondations. On tente de reconstituer la chronologie des inondations du passé notamment en regard des changements climatiques anciens ou subactuels (derniers siècles). Devant l'émergence de nombreux travaux dans ce domaine de la paléohydrologie, il nous est apparu intéressant d'examiner à travers une revue de la littérature scientifique les différentes approches méthodologiques utilisées dans l'étude des paléo-inondations. On s'attarde à décrire les principales méthodes et techniques employées dans la reconstitution des anciennes inondations, en particulier pour les environnements fluviaux (rivières, fleuves). On passe en revue les différents indicateurs biophysiques utilisés, notamment l'analyse des séquences stratigraphiques et sédimentaires, l'analyse des macrorestes, les méthodes de datation radiocarbone (14 C) et les techniques comme la thermoluminescence optique (TLO) et la dendrochronologie. Aussi, on présente les principaux modèles mathématiques utilisés dans la reconstitution des paléo-inondations, lesquels servent notamment à évaluer les variations niveaux/débits et la fréquence des inondations anciennes.
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DEGUENONVO, Tonankpon Aymar Guy, Thierry Dèhouégnon HOUEHANOU, Rodrigue IDOHOU, Gérard Nounagnon GOUWAKINNOU e Armand K. NATTA. "Le cèdre des zones sèches (Pseudocedrela kotschyi) : état des connaissances et perspectives sur sa biologie de conservation (revue systématique)". Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 13, n.º 1 (30 de junho de 2023): 143–60. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v13i1.125.

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Contexte : Le Cèdre des zones sèches (Pseudocedrela kotschyi (Schweinf.) Harms), originaire de l’Afrique de Ouest et de l’Est, est très important pour les communautés locales en raison de ses multiples utilisations, notamment alimentaires, médicinales, industrielles et technologiques. Toutefois, les connaissances relatives à la biologie de la conservation et la domestication de l’espèce sont très limitées. L'objectif de cette revue systématique est d'exploiter la littérature existante pour évaluer de manière critique les lacunes de connaissances sur la biologie de conservation de P. kotschyi et en déduire les opportunités de recherches sur l’espèce. Méthodes : A partir des moteurs de recherche scientifique (Google scholar) et les bases de données (Dimension, Scopus, PubMed, AJOL), les publications relatives aux utilisations, variations des paramètres structuraux et morphologiques, effets des changements climatiques et menaces de l’espèce ont été soumises à une sélection rigoureuse et une lecture critique. Résultats : L’analyse critique de 224 publications scientifiques retenues, a montré que la littérature existante n'a pas abordé certains aspects cruciaux de la biologie de la conservation et la domestication de l’espèce. Plus précisément, il s’agit des thématiques relatives à l’influence des facteurs biotiques et abiotiques sur la distribution spatiale, la structure, la morphologie, la diversité génétique, les effets des changements climatiques sur les habitats favorables de l’espèce, ainsi que les facteurs influençant l’utilisation de l’espèce. Ces aspects constituent des lacunes de connaissances à combler. Conclusion et Perspectives : Cette revue de littérature confirme la gamme variée de propriétés phytochimiques, l’importance socioéconomique, la forte valeur d’usage de P. kotschyi pour les communautés locales et les menaces qui pèsent sur la ressource. Cependant, il est impératif de mener des recherches approfondies sur les facteurs expliquant son utilisation, sa distribution spatiale, sa morphologie, sa structure, sa diversité génétique, ainsi que sur l’impact des facteurs de menace, notamment les changements climatiques.
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Petitjean, Théo, Valérie Bonnardot, Cyril Tissot, Thomas Chassaing e Hervé Quénol. "Représentations spatiales du potentiel de maturité des cépages Chardonnay et Chenin en régions Bretagne et Pays de la Loire (1976-2100)". Climatologie 21 (2023): 2. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202321002.

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L’avancée des stades phénologiques et de la maturité de la vigne observée ces dernières années sur l’ensemble des vignobles mondiaux impactent la quantité et la qualité de la production. Afin d’évaluer ces évolutions dans le contexte de changement climatique, cette étude propose une analyse spatio-temporelle du potentiel de maturité des cépages Chardonnay et Chenin sur une région viticole traditionnelle, les Pays de la Loire, et une région viticole émergente, la Bretagne. Deux méthodes de spatialisation de l’indice de maturité « Grapevine Sugar Ripeness - GSR» sont proposées afin de représenter la variabilité des potentiels de maturité dans le futur et de contribuer à l’évaluation de la durabilité et/ou faisabilité économique de l’activité en fonction des différents objectifs de production. Les résultats obtenus montrent que les dates de maturité du Chardonnay et du Chenin en Bretagne dans un futur lointain (2071-2100) pourraient être celles des Pays de la Loire en futur proche (2021-2050).
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Royer, Jean-François, Daniel Cariolle, Fabrice Chauvin, Michel Déqué, Hervé Douville, Rong-Ming Hu, Serge Planton et al. "Simulation des changements climatiques au cours du XXIe siècle incluant l'ozone stratosphérique". Comptes Rendus Geoscience 334, n.º 3 (janeiro de 2002): 147–54. http://dx.doi.org/10.1016/s1631-0713(02)01728-5.

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Fouqueray, Timothée. "Nouveaux défis, nouvelles approches : <i>Foster Forest</i>, un jeu sérieux pour simuler et stimuler l’adaptation aux changements climatiques". Revue forestière française 73, n.º 6 (27 de outubro de 2022): 649–64. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.7205.

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Malgré d’intenses recherches, la capacité d’adaptation aux changements climatiques des forêts et des forestiers demeure incertaine. Face à ces incertitudes, les forestiers privés et publics tentent de diversifier leurs pratiques, mais se concentrent principalement sur des actions de technique sylvicole. Le jeu sérieux Foster Forest vise à compléter ces approches techniques à partir d’adaptations socioéconomiques imaginées par les participants. Développée par une équipe de recherche interdisciplinaire, il s’agit à notre connaissance de la première simulation participative de l’évolution d’un massif forestier tempéré dans un scénario d’incertitudes économiques et climatiques. L’article présente la genèse, le déploiement et les apprentissages des ateliers Foster Forest tenus à travers la France. Une nouvelle version « Prospective », gratuite et téléchargeable en ligne, est aussi introduite à l’intention des structures d’animation, de coordination ou de formation forestières.
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Hamidi, Bouchra, e Brahim Bourkhiss. "La rentabilité de la production d’oignons au Maroc face à un choc de production et une augmentation des coûts de production". SHS Web of Conferences 175 (2023): 01011. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202317501011.

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Cette étude vise à analyser la rentabilité de la culture d’oignons dans la région Fès Meknès au Maroc et visualiser la sensibilité de cette culture face à une augmentation des coûts de production ou baisse de rendement du aux changements climatiques Les données utilisées ont été collectées auprès de 80 producteurs choisis de façon aléatoire. Différentes méthodes d’analyse, l’analyse budgétaire, la comparaison entre la valeur de production et les coûts de production, ainsi que l’analyse de corrélation, ont été utilisées pour l’analyse des données. Les résultats de l’analyse budgétaire montrent que la production d’oignons est rentable et que la rentabilité est sensible à une baisse de production ou une hausse de coût. Par comparaison, l’analyse montre que les répercussions d’un choc de production sont plus néfastes d’une augmentation des coûts de production. Afin d’accroître la rentabilité, les producteurs devraient adopter des pratiques agricoles qui favorisent la productivité. L’analyse corrélationnelle révèle une relation positive et significative entre le revenu net agricole et le type d’irrigation et le niveau d’instruction des exploitants. Ces variables sont des facteurs à prendre en compte pour améliorer le niveau de rentabilité.
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Ghaleb, Bassam, e Christophe Falguères. "Apport des méthodes basées sur le déséquilibre radioactif ( 238 U- 234 U- 230 Th- 226 Ra- 210 Pb) aux études des variations et changements climatiques". L'Anthropologie 121, n.º 1-2 (maio de 2017): 73–81. http://dx.doi.org/10.1016/j.anthro.2017.03.008.

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Benmoussa, Amroumoussa, Amina Wafik, Abdessamad Najine, Raji Abdletife e Sahar Khrmouch. "Etude Comparative des Différentes Méthodes d'Estimation de l'Evapotranspiration en Zone Semi-Aride (cas Plaine Tadla Maroc)". European Scientific Journal, ESJ 19, n.º 40 (31 de outubro de 2023): 74. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n40p74.

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Dans les régions arides et semi arides, l’eau est une ressource très limitative non seulement pour sa pénurie, mais aussi pour sa disponibilité incertaine. Dans le bassin moyen Oum Er-rbia (plaine Tadla), se caractérise par un climat semi-aride, méso thermique, chaud et sec en été et froid en hiver. Ce climat est conditionné par la présence des deux facteurs principaux : La présence de l’Atlantique à moins de 200km à l’Ouest, qui exerce une influence tempérante mais aussi qui se manifeste par des vents pluvieux en provenance de l’Ouest ; La latitude dont l’effet se traduit par une aridité croissante en se déplaçant du Nord vers le Sud ; les ressources en eau diminuent de l’amont vers l’aval et se traduisent par une raréfaction des taux de précipitation (une moyenne de 560 mm à Ahmed Hansali et 352 mm à Béni Mellal) et une augmentation des moyennes d’évapotranspiration (465.1mm à Béni-Mellal et 571 mm à Ahmed Hansali) et de la température. Ceci exige une analyse spécifique de ces paramètres pour comprendre et prédire les instabilités des ressources dans la région d’étude. L'objectif de ce travail est de calculer l’évapotranspiration potentielle (mensuelle et annuelle), en se basant sur les séries des données hydroclimatiques, enregistrées au niveau des stations météorologiques .Les précipitations et l’évapotranspiration sont des variables très importantes dans le diagnostic des changements climatiques et leurs effets sur l’environnement. La méthodologie adaptée dans ce travail est basée sur l’étude statistique des séries chronologiques. Ces analyses comprennent la détection de tendances, la détection des ruptures par changement de moyenne, et aussi la corrélation entre les données de précipitation et celle d’évapotranspiration. Les données proviennent de deux stations trouve dans le haut bassin du bassin moyen Oum Er-rbia (Béni Mellal, Ahmed Hansali). Les résultats des analyses statistiques mettent en évidence l’existence des changements sensibles et généralisés représentés essentiellement par le réchauffement dû aux gaz à effet de serre, en étroite relation avec l’activité humaine. Ces changements ont une influence négative sur l’environnement et l’Homme. In the middle Oum-rebia basin (plain Tadla), is characterized by a semi-arid, meso-thermal climate, hot and dry in summer and cold in winter. This climate is conditioned by the presence of the following two main factors: The presence of the Atlantic less than 200km to the west, which exerts a tempering influence but also manifests itself in rainy winds from the west; The latitude, the effect of which is reflected in increasing aridity as it moves from north to south; Water resources decrease from upstream to downstream and result in a rarefaction of precipitation rates (an average of 560 mm in Amed Hansali and 352 mm in Béni Mellal) and an increase in average evapotranspiration (465. 1mm in Beni-Mellal and 571 mm in Ahmed Hansali) and temperature. This requires a specific analysis of these parameters to understand and predict resource instabilities in the study area. The objective of this work is to calculate the potential evapotranspiration (monthly and annual), based on the series of hydroclimatic data, recorded at the level of the meteorological stations Precipitation and evapotranspiration are very important variables in the diagnosis of climate change and its effects on the environment. The methodology adapted in this work is based on the statistical study of time series. These analyses include the detection of trends, the detection of breaks in the mean, and also the correlation between precipitation and evapotranspiration data. The data are from three stations in the upper basin of the middle Oum Rbia basin (Beni Mellal, Ahmed Hansali, Mechra Edahk). The results of the statistical analyses highlight the existence of significant and widespread changes represented essentially by warming due to greenhouse gases, in close relation with human activity. These changes have a negative influence on the environment and mankind.
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Fortin, Louis-Guillaume, Richard Turcotte, Stéphane Pugin, Jean-François Cyr e François Picard. "Impact des changements climatiques sur les plans de gestion des lacs Saint-François et Aylmer au sud du Québec". Canadian Journal of Civil Engineering 34, n.º 8 (1 de agosto de 2007): 934–45. http://dx.doi.org/10.1139/l07-030.

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This study presents the results of a pilot project, for the Saint-François and Aylmer lakes located in southern Quebec, aimed at developing a method to evaluate the adaptability of a current dam management plan to global climate changes. The hydrological simulations computed using available climate scenarios indicated modifications in annual water yields, from a 13% increase to a 30% decrease, and earlier spring floods. Peak flows, winter and summer low flows, and the level of increase in water yields vary depending on the studied climate scenario. The simulation of the current management plan shows that climate changes will affect the current trade-off between the various management objectives of the reservoirs. Adaptation solutions to the current management plan appeared to be feasible, but no unique solution applicable to all climate scenarios was found.Key words: climate change, dam, impacts, adaptation, hydrologic modeling, Quebec.
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Sarmoum, Mohamed, Frédéric Guibal e Fatiha Abdoun. "EFFET DES FACTEURS STATIONNELS SUR LA CROISSANCE RADIALE ET LA RÉPONSE DU PIN D’ALEP AU CLIMAT DANS LE MASSIF DE L’OUARSENIS, ALGÉRIE". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 329, n.º 329 (21 de julho de 2017): 17. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.329.a31308.

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Lesrelations entre leclimat et lacroissance radiale sur la période 1967-2010 de neuf populations de pin d’Alep dans le massif de l’Ouarsenis (Nord-Ouest de l’Algérie) ont été étudiées en fonction des facteurs stationnels (substrat, altitude, exposition et âge des arbres) à l’aide de méthodes de dendrochronologie. Les variations interannuelles des épaisseurs de cernes ont été analysées. L’étude rétrospective de la croissance radiale indique une forte variabilité interannuelle des épaisseurs des cernes à l’intérieur d’une même popu- lation. Les paramètres statistiques calcu- lés indiquent une forte variabilité de la croissance radiale entre les populations, cette variabilité étant liée aux facteurs sta- tionnels et à l’âge des arbres. L’âge joue un rôle négatif sur l’épaisseur moyenne des cernes et sur le phénomène de persis- tance. La sensitivité (sensibilité au climat) moyenne des arbres tend à être plus éle- vée sur les substrats gréseux ou schisteux que sur les substrats calcaires. L’analyse des relations cerne-climat montre que le pin d’Alep est réactif aux précipitations de la période précédant ou contempo- raine de la formation du cerne. Les tem- pératures interviennent négativement sur la croissance radiale, surtout par leurs valeurs maximales. Les relations du pin d’Alep aux conditions climatiques sont modulées par les facteurs stationnels, notamment le substrat. Les populations les plus réactives se localisent davantage sur un substrat gréseux. Ces résultats constituent un descriptif utile pour com- prendre la plasticité écologique du pin d’Alep et sa réponse aux changements cli- matiques, afin de proposer des mesures destinées à assurer une meilleure protec- tion des pinèdes menacées depuis plu- sieurs décennies.
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Sebti, Anas, e Saad Bennis. "Optimisation des coûts de la réhabilitation hydraulique d'un réseau de drainage urbain". Revue des sciences de l’eau 25, n.º 2 (7 de agosto de 2012): 121–37. http://dx.doi.org/10.7202/1011603ar.

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L’examen d’un certain nombre de réseaux de drainage urbains permet souvent de faire le constat, que ceux-ci deviennent progressivement le siège d’écoulements en charge, voire de refoulements et de débordements. Les impacts sur l’équilibre du milieu aquatique sont préoccupants et peuvent avoir des conséquences graves sur la salubrité des ressources en eau potable et sur l’usage récréatif de ces milieux. Ces dysfonctionnements sont souvent dus à l’augmentation des débits de ruissellement engendrée par l’urbanisation et les changements climatiques et à la réduction de la capacité hydraulique causée par l’usure et le manque de maintenance du réseau. Afin de pallier ces dysfonctionnements hydrauliques et environnementaux, nous avons mis en oeuvre un programme pour optimiser la réhabilitation d’un réseau de drainage urbain. Les interventions potentielles sont principalement axées sur les pratiques de gestion optimales (PGO) qui visent la réduction du débit et du volume de ruissellement. Ces interventions peuvent aussi inclure les méthodes classiques de réhabilitation, voire même le redimensionnement et la reconstruction des conduites problématiques pour améliorer la capacité hydraulique du réseau. Le programme développé a été appliqué sur un réseau synthétique et sur un réseau réel selon plusieurs scénarios de rétention et sous différentes pluies de conception. L’application de la méthodologie au réseau synthétique a permis d’illustrer les avantages d’intégration des PGO dans la conception pour optimiser les coûts de construction et de gestion à court terme tout en évitant les problèmes hydrauliques et environnementaux à long terme. L’étude de cas réels porte sur le réseau de l’arrondissement de Verdun, qui est l’objet de nombreux dysfonctionnements hydrauliques et environnementaux. Le programme proposé a permis de définir la meilleure combinaison entre volume de rétention, réhabilitation et redimensionnement de collecteurs qui conduit aux performances hydrauliques et environnementales visées avec un coût minimal.
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Alawenon, Kuassi N., Adigla Appolinaire Wedjangnon e Christine A. I. Nougbodé Ouinsavi. "Impact de la production de charbon de bois sur les facteurs de changement climatique : synthèse de la littérature". International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, n.º 3 (24 de agosto de 2023): 1185–98. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i3.33.

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La carbonisation est une activité humaine impliquant de fortes pressions sur les forêts tropicales dans le présent contexte de changement climatique. Ce travail visait à faire une synthèse des études menées sur la séquestration de carbone et les émissions de gaz à effet de serre dues à la carbonisation. Pour ce faire, un ensemble d’équations de recherche a été mis en place avec des mots clés mis en combinaison avec des connecteurs booléens. L’équation prenant en compte des publications en français comme en anglais a été retenue. Le principal moteur de recherche utilisé est SCOPUS. Ainsi, l’analyse factuelle de 601 publications recensées faisait ressortir trois regroupements majeurs de recherche. Le premier traitait des sujets relatifs aux écosystèmes, aux changements observés, et différentes méthodes de séquestration du carbone. Le deuxième traitait de la carbonisation du bois et les émissions de CO2. Quant au troisième, les publications étaient plus orientées vers la recherche de solutions aux défis des changements climatiques. Cependant, des relations significatives étaient observées entre les groupes. Beaucoup d’efforts restent à faire en Afrique, surtout au Bénin, où très peu d’études renseignent sur le niveau de séquestration du carbone. Il serait donc intéressant d’ouvrir et d’approfondir les recherches dans ce sens. English title: Impact of charcoal production on climate change factors: a review Charcoal production is a human activity that involves intense pressures on tropical forests in the present context of climate change. This work aimed to make a synthesis of the studies carried out on carbon sequestration and greenhouse gas emissions due to charcoal production. For that, a set of search equations was set up with keywords put in combination with Boolean connectors. The equation that considered publications in both French and English was retained. The main search engine used is SCOPUS. Thus, the factual analysis of 601 publications surveyed highlights three major research groups. The first deals with subjects relating to ecosystems, the changes observed, and the different methods used in carbon sequestration. The second deals with charcoal production, and CO2 emissions. As for the third, the publications are more oriented towards searching for solutions to the challenges of climate change. However, significant relations between the groups can be observed. Much effort remains to be done in Africa, especially in a country like Benin, where very few studies provide information on the level of carbon sequestration. It would therefore be interesting to open and deepen research in this direction.
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Mbodj, Ibrahima, Abdou Traore, Abdoulaye Ndour, Seydou Kane e Souibou Seck. "Test d’adaptabilité de huit variétés de cotonnier (<i>Gossipium hirsutum L.</i>) dans la commune de Koussanar au Sénégal". Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 6, n.º 2 (3 de julho de 2023): 92–103. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v6i2.11.

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Description du sujet: Au Sénégal, la production du coton est confrontée à de nombreuses contraintes biotiques et abiotiques dont les changements climatiques qui affectent négativement le rendement. Objectif: L’étude vise à évaluer les performances agronomiques de huit cultivars de cotonnier en vue de choisir les variétés résilientes aux aléas climatiques (notamment au stress hydrique) dans la zone sèche du Bassin cotonnier sénégalais. Méthodes: L’essai a été installé dans l’Antenne Multi-locale d’Expérimentation (AMEX) de la société de développement des fibres textiles (SODEFITEX) du Sénégal située à Koussanar (département de Tambacounda) durant la saison pluvieuse 2019. Un dispositif expérimental en blocs complets randomisés (Blocs de Ficher) avec trois répétitions a été utilisé, avec comme seul facteur étudié, la variété (huit niveaux). Des observations agromorphologiques et phénologiques ont été faites afin d’évaluer les performances des variétés comparées au témoin vulgarisé dans la zone cotonnière sénégalaise. Résultats: Les résultats obtenus ont montré que les variétés IRMA L484, STAM 129A, CS 50 et TAMCO ont eu les meilleurs rendements que les variétés SIOKRA L23 (1208,33 kg/ha), IRMA Q302 (1375 kg/ha), BUJA (1400 kg/ha), et ALLEN (1450 kg/ha), qui ont enregistré respectivement les rendements les plus faibles. Conclusion: La variété IRMA L484 vulgarisée en zone sèche (au Cameroun) se révèle comme étant celle qui semble être la plus adaptée à la zone d’autant plus qu’elle fait partie des variétés les plus précoces et qu’elle a eu le poids moyen capsulaire le plus élevé (4,05 g/capsule), mais aussi le rendement le plus élevé (1625,03 kg/ha). English title: Adaptability test of eight varieties of cotton (Gossipium hirsutum L.) in the commune of Koussanar in Senegal Description of the subject: In Senegal, cotton production is faced with many biotic and abiotic constraints, including climate change, which negatively affects yield. Objective: The study aims to evaluate the agronomic performance of eight cotton cultivars with a view to choosing varieties that are resilient to climatic hazards (in particular to water stress) in the dry zone of the Senegalese cotton basin. Methods: The test was installed in the Multi local Experimentation Antenna (AMEX) of the textile fiber development company (SODEFITEX) of Senegal located in Koussanar (department of Tambacounda) during the 2019 rainy season. Complete randomized (file block) with three replicates was used, with variety as the only factor studied (eight levels). Agro-morphological and phenological observations were made in order to evaluate the performance of the varieties compared to the control popularized in the Senegalese cotton zone. Results: The results obtained showed that the varieties IRMA L484, STAM 129A, CS 50 and TAMCO had the best yields than varieties such as SIOKRA L23 (1208.33 kg/ha), IRMA Q302 (1375 kg/ha), BUJA (1400kg/ha), and ALLEN (1450 kg/ha), which respectively recorded the lowest yields Conclusion: The results showed that the IRMA L484 variety popularized in the dry zone (in Cameroon) turns out to be the one that seems to be the most adapted to the zone, especially since it is one of the earliest varieties and has had the highest average capsule weight (4.05 g/cap) but also the highest yield (1625.03 kg/ha).
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Mercier, Catherine, Pascale Arnould e François Rainieri. "Enseignement de la communication aux internes de médecine générale de la faculté de médecine, Paris Sud". Pédagogie Médicale 20, n.º 2 (2019): 101–6. http://dx.doi.org/10.1051/pmed/2020012.

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Contexte : L’enseignement de la communication aux étudiants en médecine a longtemps été négligé, bien que figurant dans les compétences visées par le cursus de formation universitaire. Le département de médecine générale de la faculté Paris Sud a mis en place, en 2014, un enseignement obligatoire se déroulant sur les trois années du cursus des internes du diplôme d’études spécialisées (DES). Cet enseignement progressif se déroule en deux modules. Le premier intègre des apports théoriques, en alternance avec des ateliers de mise en application, le second consiste en des ateliers filmés suivis de comptes rendus critiques. Objectif : Évaluer, chez les internes de première année, l’impact du premier module de formation de communication en termes de connaissances et de mise en application des outils ainsi que leur appréciation sur la formation reçue. Méthodes : Étude quantitative réalisée trois mois après la première session de formation. Les internes étaient invités à répondre à un questionnaire anonyme visant à évaluer leurs connaissances en matière de communication, leur capacité à les mettre en application en pratique hospitalière et leur évaluation du dispositif de formation. Résultats : Parmi 78 étudiants formés, 77 ont répondu à ce questionnaire. Plus de 75 % des étudiants se sont sentis en confort dans les exercices de simulation, ont observé des changements dans leur comportement communicationnel et pensent pouvoir intégrer ces outils dans leurs pratiques. Conclusion : À l’issue de cet enseignement, les internes sont demandeurs de ce type de formation dont ils disent observer les effets dans leur pratique.
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Jonathan, Gniamien Kouakou, Kanga Kouakou Hermann Michel, Tra Bi Zamble Armand e Toure Adama. "Survivance de la Riziculture Pluviale dans le Departement De Bouake : Des Anomalies Pluviometriques a L’adaptation Paysanne". European Scientific Journal, ESJ 18, n.º 24 (31 de julho de 2022): 131. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n24p131.

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Les changements climatiques constituent une menace majeure pour la production agricole. Ses effets en riziculture pluviale se ressentent par le changement de son calendrier cultural. L’objectif de cette contribution est d’analyser l’évolution de la pluviométrie de même que les pratiques endogènes. Pour cette étude, il fut utilisé des données climatiques mensuelles (pluviométrie, évapotranspiration potentielle) de 1980 à 2020. A partir de la méthode de Franquin, il a déterminé les périodes pré-humide, humide et post-humide et le calendrier cultural du riz pluvial pour le département de Bouaké. Les résultats obtenus révèlent que pendant la phase pré-humide (Mars à juin), la durée de cette phase est de 14 jours en moyenne par an entre le semis et le tallage. Quant à la phase humide (juillet à octobre), elle dure en moyenne 45 jours par an. Tandis que la phase post-humide (octobre à décembre) dure 65 jours par an en moyenne. Dans cette période, on peut cultiver le riz pluvial dont le cycle est inférieur ou égal à 120 jours. La saison culturale débute en mars (A2) pour prendre fin en décembre (C2). Mais selon les riziculteurs enquêtés la saison culturale débute quelques semaines avant juillet (B1 ou début de la saison cultural) et se terminer en décembre (C2). À ce titre, la période préparatoire du sol se situe entre un ou deux mois avant juillet. Le repiquage est exigé en juillet (B1) afin d’obtenir théoriquement un résultat satisfaisant de la production. Ainsi, comme stratégies endogènes, les riziculteurs du département de Bouaké adoptent plusieurs stratégies qui se résument à l’adaptation de nouvelles méthodes de la riziculture à savoir changement du système cultural du riz. Concernant les techniques culturales, les riziculteurs modifient leur date de semis. Avant c’était dans le mois de mai maintenant elle se fait en juin en vue d’une bonne récolte. Pour le riz pluvial, les riziculteurs commencent le repiquage à partir juillet à août pour s’adapté aux modifications du climat car ce type de riziculture se fait durant la saison pluvieuse. Climate change poses a major threat to agricultural production. Its effects in rainfed rice cultivation are felt by the change in its cropping calendar. The objective of this contribution is to analyze the evolution of rainfall as well as endogenous practices. For this study, monthly climatic data (rainfall, potential evapotranspiration) from 1980 to 2020 were used and Franquin's method was applied to determine the periods as well as the rainfed rice cropping calendar for the department of Bouaké. The results obtained reveal that the rainy season is divided into three phases (pre-wet, wet and post-wet period). To this end, during the pre-wet phase (March to June), the duration between sowing and tillering is 14 days on average following field surveys. As for the wet phase (July to October), it lasts an average of 45 days per year. While the post-humid phase (October to December) lasts 65 days per year on average. During this wet period, rainfed rice can be grown, the cycle of which is less than or equal to 120 days. With Franquin's method, the growing season begins in March (A2) and ends in December (C2). But according to the rice farmers surveyed, the growing season begins a few weeks before July (B1 or start of the growing season) and ends in December (C2). As such, the preparatory period for the soil is between January and mid-June. Transplanting is required in July (B1) in order to theoretically obtain a satisfactory production result. Thus, as endogenous strategies, the rice farmers of the department of Bouaké adopt several strategies which boil down to the adaptation of new methods of rice cultivation, namely change of the rice cultivation system. Regarding cultivation techniques, rice farmers change their sowing date. For upland rice, transplanting is done from July to August to adapt to climate changes.
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CANDELIER, Kévin, e Jean-François TRÉBUCHON. "Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 349 (11 de outubro de 2021): 2–3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.349.a36797.

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Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société Les connaissances et les savoirs sont essentiels pour faire évoluer les sociétés. Ils constituent un élément-clé pour mieux cerner le monde qui nous entoure et mieux comprendre les changements et les défis auxquels nous devons faire face. Le métier de chercheur consiste à exploiter ce gisement intarissable représenté par l’inconnu. Les chercheurs apportent au grand public cette ressource en la modelant de façon à la rendre accessible aux diverses strates de la société. Malgré la multitude de formes imaginées pour interagir, il s’avère que ces dialogues peinent encore à tisser les liens solidaires indispensables entre les différentes parties prenantes pour transformer ensemble le monde. Les citoyens se sentent bien souvent exclus et les scientifiques ont le sentiment de ne pas toujours être bien entendus. La communication ou médiation scientifique, notamment celle liée aux sciences du bois, sciences forestières et sciences de l’environnement, doit aujourd’hui amener à considérer tout public en tant qu’acteur essentiel, en l’invitant à participer aux réflexions scientifiques. Cette ouverture vers le grand public aidera à mieux le préparer aux évolutions de son environnement scientifique tout en développant une pensée critique et rationnelle. Cela amènera tous les citoyens à participer de manière responsable aux grands enjeux sociétaux et environnementaux. C’est donc en introduisant la science dans la société, et vice versa, que les évolutions scientifiques et sociétales seront mieux acceptées. Le travail des chercheurs ne se résume pas uniquement à la publication de leurs expériences et de leurs résultats dans des articles ou tout autre support destiné et réservé uniquement aux univers académique et scientifique. Ce travail de partage de connaissances et savoirs attire le chercheur bien au-delà de cette sphère d’évaluation et de publication nécessaire à la profession. Les chercheurs trouvent des occasions et des solutions pour familiariser le grand public à la démarche scientifique. C’est dans cette perspective que Bois et Forêt des Tropiques s’associe à cette démarche de médiation scientifique et de diffusion des savoirs au sein de la société et vers le grand public. Cette action se traduit par la mise en avant de quelques exemples d’implications de chercheurs des sciences du bois et des sciences forestières. Il est essentiel que le grand public prenne connaissance du fonctionnement des forêts, de leur utilité pour l’environnement, ainsi que des multiples services qu’elles rendent à l’humanité. Pour mieux comprendre tous ces phénomènes observés et les méthodes scientifiques employées, le citoyen a besoin de pratiquer par une mise en situation. Il s’impliquera ainsi plus facilement dans des réflexions collectives relatives aux grands enjeux planétaires et locaux, pour lesquels chacun d’entre nous joue un rôle, qu’il s’agisse de la conservation de la biodiversité, de la protection et de la valorisation des forêts, ou de l’atténuation du changement climatique. Cet engagement sociétal se manifeste par exemple lorsqu’un chercheur intervient auprès d’un jeune public, en accompagnant des enfants à découvrir la démarche scientifique et les postures adoptées dans son travail. C’est ce que nous rapporte l’expérience menée par Candelier et al., en partenariat avec le dispositif « Savanturiers – École de la Recherche », publié ici dans ce numéro de Bois et Forêts des Tropiques. À cette occasion, les auteurs nous décrivent la fraîcheur du candide face à l’inconnu et les nouveaux savoirs qu’ils tentent de faire émerger et d’intégrer avec méthode et rigueur, encadrés par le chercheur. Ce qu’ils nous disent, c’est que cet échange entre la sphère scientifique et la société doit s’adosser aux principes d’une éducation aux sciences et à la démarche scientifique, à un accès équitable à la connaissance, mais aussi, et surtout, à l’incontournable entrelacement collaboratif des différents acteurs en quête de savoirs. Dans ce cas, le chercheur et l’enseignant inscrivent l’élève dans une démarche de pédagogie collaborative tout en le rendant acteur de son auto-apprentissage. Elle déclenche chez l’apprenant les mécanismes pour observer, expérimenter, exposer son jugement et le discuter à travers des jeux, des mises en scène, des ateliers, et via des expériences sensorielles, sociologiques, écologiques. Les possibilités de transmission de savoirs vers la société sont sans limites et parfois même imperceptibles. Elles peuvent apparaître dans des festivals, des expositions, des ateliers pédagogiques, des randonnées nature, dans la presse quotidienne, dans des films, des livres, les bandes dessinées, etc. Les chercheurs sont libres de faire jouer leur imagination et d’utiliser à loisir les médias afin de mieux se connecter avec le citoyen. Cette médiation peut prendre la forme d’une exposition itinérante sur la manière de préserver et de valoriser les forêts d’Afrique centrale, telle qu’organisée par Rossi et Lescuyer (2021), ou un livre adressé au grand public sur les pistes possibles de préservation et de valorisation des forêts tropicales, tel Vivre avec les forêts tropicales rédigé et illustré par le collectif de recherche Forêts et Sociétés (Sist et al., 2021), ou encore un jeu de rôle comme Foster forest (Fouqueray, 2019 et 2020) pour adapter les pratiques professionnelles de la foresterie afin de faire face aux changements climatiques, produit émergeant du parcours d’un doctorant encadré par une équipe de chercheurs. L’énumération serait longue tant elle est foisonnante. Les scientifiques encouragent les différentes strates de la société à s’approprier les savoirs et les connaissances qui les amèneront à prendre des décisions individuelles et collectives éclairées. Par le canal médiatique de Bois et Forêts des Tropiques, ils promeuvent les produits de la recherche autrement que les articles qui y sont publiés traditionnellement. C’est pourquoi paraissent dans les pages de cette revue scientifique et technique des résumés de thèse et des descriptifs techniques. Dans l’avenir, les chercheurs pourront occasionnellement s’y exprimer sous d’autres formes encore, comme l’ont proposé Candelier et al. (2021). Ces efforts de médiation aident à réagir face aux petits et grands défis qui tapissent les paysages de l’environnement dans lesquels nous évoluons tous, tels que les grands changements sociétaux liés à la démographie, le partage des ressources et savoirs, les changements des climats, pour ne citer que ceux-là. L’exposé de ces quelques exemples d’entrelacement sociétal témoignent donc de l’implication quotidienne de la recherche dans la société, et vice versa. Kévin Candelier, Jacques Tassin, Jean-François TrÉbuchon Membres de l’équipe éditoriale de la revue Bois et Forêts des Tropiques
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Fotio, Julien Brice, Henri Ngoa Tabi, Cyrille Bergaly Kamdem e Yannick Djoumessi. "Croissance démographique et développement durable : Cas des pays du Bassin du Congo". Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 6, n.º 3 (21 de outubro de 2023): 1–10. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v6i3.1.

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Description du sujet. Les forêts jouent un rôle important dans la lutte contre les changements climatiques. C’est le cas du Bassin du Congo qui est le second plus grand écosystème forestier tropical après l’Amazonie. Au-delà du rôle joué sur le cycle du carbone, ces forêts d’Afrique centrale offrent des moyens de subsistance à 60 millions de personnes qui y vivent ou résident à proximité. La préservation des forêts du bassin du Congo est ainsi au centre des préoccupations internationales notamment à travers l’agenda 2021 des Nations unies promeut la gestion durable et la gestion durable des forêts.Objectif. L’objectif de cet article est d’évaluer les effets de la croissance démographique sur le développement durable des pays du Bassin du Congo (BC).Méthodes. A partir des données de panel couvrant la période 1990- 2018 issues de WDI Banque mondiale, UNDP DATABASE et d’United Nations, Department of Economic and Social Affairs, Population Division (2019), l’on a utilisé l’approche STIRPAT (Stochastic Impacts by Regression on Population and technology) et de la méthode d’estimation des Moments Généralisés (GMM) en panel dynamique.Résultats. Les résultats montrent que lorsque la population augmente de 1,00 % dans les pays du BC, le taux de déforestation augmente 0,30 % et lorsque la population urbaine augmente de 1,00 % dans les pays du BC, le taux de déforestation augmente 5,22 %. Par contre, lorsque le PIB/Habitant et l’IDH augmente de de 1,00 %, le taux de déforestation diminue respectivement de 0,09 % et de 5,49 %.Conclusion. Pour réduire l’effet de la croissance démographique sur les écosystèmes du Bassin, il faut améliorer le niveau de vie des populations. Description of the subject. Forests play an important role in the fight against climate change. This is the case of the Congo Basin, which is the second largest tropical forest ecosystem after the Amazon. Beyond the role played on the carbon cycle, these Central African forests have provided the means of subsistence for the 60 million people who live there or live nearby. The preservation of the Congo Basin forests is thus at the center of international concerns, in particular through the United Nations 2021 agenda promoting sustainable management and sustainable management of forests.Objective. The objective of this article is to assess the effects of population growth on the sustainable development of the countries of the Congo Basin (BC).Methods. Using panel data covering the period 1990-2018 from WDI World Bank, UNDP DATABASE and United Nations, Department of Economic and Social Affairs, Population Division (2019), the STIRPAT (Stochastic Impacts by Regression on Population and technology) and the Generalized Moments Estimation (GMM) method in dynamic panel.Results. The results show that when the population increases by 1,00 % in BC countries, the deforestation rate increases by 0.3 % and when the urban population increases by 1.00 % in BC countries, the deforestation rate increases by 5. 22 %. On the other hand, when the GDP/Capita and the HDI increase by 1.00 %, the deforestation rate decreases by 0.09 % and 5.49 % respectively.Conclusion. To reduce the effect of population growth on the ecosystems of the Basin, the standard of living of the populations must be improved.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (20 de agosto de 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Boutonnet, Vincent, e Marco Barroca-Paccard. "Simulation des changements climatiques dans Civilization VI Gathering Storm". VertigO, Volume 22 numéro 1 (20 de abril de 2022). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.35043.

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Jean-Marc THIRION, undefined, Julie VOLLETTE, Jérôme LAFFITE e Marc CHEYLAN. "Mise en place d’un suivi à long terme des populations de Lézard de Bonnal Iberolacerta bonnali (Lantz, 1927) dans le Parc national des Pyrénées : méthodologie retenue, faisabilité et premiers résultats". Naturae 2024, n.º 6 (27 de março de 2024). http://dx.doi.org/10.5852/naturae2024a6.

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Endémique des Pyrénées, le Lézard de Bonnal Iberolacerta bonnali (Lantz, 1927) est une espèce d’importance majeure pour le Parc national des Pyrénées (PNP), qui détient près de 40 % de sa distribution mondiale. Le changement climatique constitue une menace avérée pour cette espèce, inféodée aux milieux rocheux des étages alpins et subalpins de la chaîne. À la demande du PNP, un protocole de suivi à long terme a été mis en place pour évaluer, dans le futur, l’évolution spatiale et temporelle des populations. Pour cela, 123 placettes de 1000 m² en moyenne ont été positionnées dans 11 secteurs d’étude, couvrant une bonne partie de la distribution spatiale et altitudinale française de l’espèce. Ces placettes ont été prospectées trois fois 15 minutes par un ensemble d’observateurs durant la saison d’activité des lézards, en appliquant la méthode du N-Mixture proposée au début des années 2000 par MacKenzie, Royle & Nichols. Le temps de détection d’un individu sur les placettes occupées par le Lézard de Bonnal est court (en moyenne de 4,18 min) ce qui valide le choix de restreindre les trois visites à 15 min de prospection. La modélisation des facteurs influençant l’abondance du Lézard de Bonnal montre que certaines caractéristiques jouent un rôle de premier plan : taille des blocs, abondance de la strate herbacée, nature de la roche et présence du Lézard des murailles Podarcis muralis (Laurenti, 1768). Elle permet d’estimer un taux d’occupation moyen de l’ordre de 0,81 et une probabilité moyenne de détecter l’espèce comprise entre 0,76 et 0,85. Les deux années de test montrent que la méthode est bien adaptée aux objectifs poursuivis ainsi qu’aux contraintes matérielles formulées par le PNP. Le protocole mis en place sera reconduit par le PNP tous les cinq ans. Cette périodicité devrait permettre d’évaluer l’évolution des populations de Lézard de Bonnal sur le plan spatial et temporel, en réponse aux effets du changement climatique et à la progression du Lézard des murailles aux altitudes basses de sa distribution.
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Gagné, Karine. "Climat". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.110.

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Comment les cultures attribuent-elles sens et valeur à leurs interprétations du temps atmosphérique et du climat? Comment les gens s'adaptent-ils au climat local, à la température, aux inondations et aux précipitations – ou à leur absence? Comment les changements climatiques contemporains affectent-ils les communautés? Comment le savoir sur les changements climatiques est-il construit? Comment l’anthropologie peut-elle contribuer à l’élaboration de politiques liées au climat? L’archéologie a une longue tradition d'investigation sur les dynamiques culturelles liées au climat – en particulier, les changements concomitants entre sociétés humaines et environnement naturel, que ce soit sur le plan de la résilience ou du déclin de civilisations des suites d’événements climatiques (Weiss and Bradley 2001 ; McGovern. 1994 ; Rosen 2007). Cependant, il s’agit pour l’anthropologie culturelle d’un objet d’étude relativement récent. Bien que les études émergeant du matérialisme culturel et de l’écologie culturelle se soient penchées sur les interrelations entre culture et écologie, incluant les dimensions du climat, comme le note Susan Crate (2011 : 178) dans sa recension sur le climat et la culture, ces dernières fournissaient des explications déterministes et laissent peu de place au réseau mondial de connexions que le changement climatique contemporain invoque. Depuis le tournant du 21e siècle, l’anthropologie culturelle multiplie ses enquêtes sur les dimensions sociales et culturelles du climat et la question des changements climatiques occupe une place importante dans ces travaux. Cet intérêt a donné lieu à la publication d’importantes monographies et collections éditées (Cruikshank 2005 ; Crate and Nuttall 2009 ; Dove 2014 ; Hsu and Low 2008 ; Marino 2015 ; Strauss and Orlove 2003). Les ethnographies sur le climat se distinguent bien souvent par leur approche multisite. Elle se penchent à la fois sur les diverses dimensions locales de phénomènes climatiques globaux et la manière dont ceux-ci sont vécus et perçus, non seulement au sein de communautés locales (Crate 2008 ; Brugger et al. 2012) mais aussi en lieux non traditionnels comme les institutions tel le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) (O’Reilly 2012) ou dans le cadre de congrès internationaux visant à définir des questions et mettre en place des initiatives politiques liées aux changements climatiques (Doolittle 2010 ; Skrydstrup 2009). Ces études s’appuient sur une variété de méthodes, que ce soit l’enquête ethnographique ou l’histoire orale (Cruikshank 2001). Les anthropologues qui s’intéressent au climat se démarquent souvent par l’adoption d’une approche collaborative alors qu’ils œuvrent au sein d’équipes pluridisciplinaires (Bauer and Bhan 2018 ; Orlove, Wiegandt, et Luckman 2008 ; Ribot, Magalhães, et Panagides 1995). Comme l’invoquent par ailleurs Castree et ses collègues (2014), la question du changement climatique doit devenir une arène pour l’intégration des sciences naturelles, humaines et sociales. L’anthropologie s’intéresse aux perceptions, connaissances, évaluations et réponses liées au climat et à son changement. Elle apporte un éclairage sur les dimensions locales de processus globaux et sur comment ceux-ci sont articulés par le biais de systèmes de connaissances locaux. Les questions examinées sont multiples. En lien avec l’intérêt de l’anthropologie pour les savoirs locaux et les modèles culturels de cognition, l'ethnoclimatologie a fourni, dans de premiers efforts, des études émergeant de l’Inde sur la prévision de la sécheresse (Bharara 1982) et sur les multiples dimensions de la mousson (Zimmermann 1987). Plus récemment, des anthropologues se sont penchés sur les modèles locaux de prévisions météorologiques en Papouasie-Nouvelle-Guinée (Sillitoe 1994), dans les Andes (Orlove, Chiang et Cane 2002) et au Burkina Faso (Roncoli, Ingram and Kirshen 2002). Les modèles de connaissances liés aux perturbations climatiques sont également examinés par les anthropologues et chercheurs qui adoptent une approche ethnographique (Schneider 1957 ; Carey 2008). L’anthropologie se penche également sur les catastrophes climatiques et leurs conséquences. Dans une étude précurseuse, James Spillius (1957) examine la réponse aux ouragans chez les habitants de l’île de Tikopia et revendique une plus grande inclusion par les administrateurs locaux des connaissances qui découlent d’études anthropologiques. Solway (1994) montre comment les sécheresses dans la région du Kalahari au Botswana catalysent des changements sociaux. Shaw (1992) et Scheper-Hughes (2005) considèrent les dimensions de genre et les questions raciales liées aux désastres. Les conséquences des désastres climatiques, notamment les déplacements de populations et les mouvements migratoires, sont également examinées (Olivier-Smith 2009 ; Oliver-Smith and Shen 2009). La reconnaissance de la réalité locale du changement climatique amène les anthropologues à examiner la résilience et l’adaptation des populations. L’anthropologie fournit ainsi des analyses ethnographiques sur les questions de risque et de vulnérabilité chez les communautés littorales et insulaires (Lazrus 2012), chez les populations montagnardes (Rasmussen 2015) et en milieu arctique (Crate 2008 ; Nuttal 2010). Par ailleurs, les anthropologues jettent un regard critique sur le caractère universalisant des concepts liés aux changements climatiques, tel celui de l’adaptation (Finan and Nelson 2001 ; Orlove 2009). La connaissance, la science et la compréhension du changement climatique sont en soi des phénomènes sociaux et les anthropologues s’interrogent sur la manière dont les variables sociales, culturelles, économiques et politiques affectent l’interprétation et l’expérience des événements climatiques extrêmes et des changements climatiques. Ils étudient ainsi la question des communications, se penchant sur la réception et la traduction locale (Rudiak-Gould 2012), l’attention du public (Broad and Orlove 2007), ainsi que sur le scepticisme public (Diemberger et al. 2012). Les chercheurs portent également un regard critique sur la construction scientifique des scénarios liés aux changements climatiques (Lahsen 2005 ; Hastrup and Skrydstrup 2013). La recherche anthropologique sur le climat se fait également activiste. Ainsi, de nombreux anthropologues plaident pour un plus grand engagement de l’anthropologie dans l’élaboration de politiques liées au climat, mettant de l’avant le rôle clé que peut jouer leur discipline dans la quête de solutions au changement climatique et à ses effets (Barnes et al. 2013 ; Batterbury 2008 ; Fiske 2009 ; Rayner & Malone 1998).
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LE BORGNE, Hélène, e Christophe BOUGET. "La reconnaissance des espèces basée sur l’ADN : applications, perspectives et défisen milieu continental terrestre". Naturae 2024, n.º 3 (14 de fevereiro de 2024). http://dx.doi.org/10.5852/naturae2024a3.

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Resumo:
Face aux changements globaux actuels, l’enjeu des suivis de la dynamique de la biodiversité est croissant et entraîne une forte demande d’évaluations rapides et détaillées des changements de biodiversité. L’identification moléculaire des espèces est de plus en plus utilisée pour remplacer ou compléter les méthodes de surveillance écologique plus classiques. Le metabarcoding est considéré comme un outil d’inventaire, de connaissance de la biologie (prédateurs proies, pollinisateurs, etc.) et même de la découverte de l’histoire d’écosystèmes. Il permet de générer des données sur la biodiversité de manière rapide, précise et fiable, sur un large éventail d’organismes. Ce type de méthodologie est particulièrement intéressant pour les observatoires dépourvus de l’expertise nécessaire pour distinguer les nombreuses espèces de groupes hyper diversifiés comme les insectes ou ceux difficiles à inventorier. La reconnaissance des espèces à partir de l’ADN d’échantillons environnementaux (ADNe), tels que l’eau, les sédiments, le sol, l’air ou diverses matières organiques, a un large champ d’application. Par son caractère non invasif et non destructif, ces approches sont importantes pour l’évaluation déontologique de la biodiversité. Les chercheurs intègrent de plus en plus l’ADNe dans leurs études pour la biosurveillance en raison de sa précision et de sa facilité de déploiement. Dans ce document, nous donnons un aperçu des champs d’application des méthodes basées sur l’ADN pour le suivi de la biodiversité, des méthodes d’acquisition des données, de traitement des données pour la classification des espèces, et nous évoquons les défis inhérents à chacune de ces étapes.
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Lesouëf, Brice, Alain Hénaff e Guillaume Marie. "La pertinence des indices de vulnérabilité aux aléas naturels pour les gestionnaires : une approche mixte de la revue de littérature". VertigO Volume 23 Numéro 3 (2023). http://dx.doi.org/10.4000/11pd3.

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Resumo:
La vulnérabilité d’un territoire aux aléas naturels est un concept très employé aux nombreuses définitions sans pour autant être directement mesurable. Pour opérationnaliser cette variable latente, nombre d’études proposent des approches quantitatives sous forme d’indices. L’ambition souvent affichée est d’offrir un outil d’aide à la décision aux acteurs d’un territoire pour renforcer son adaptation face aux aléas naturels et aux changements climatiques. Cependant, il existe dans la littérature un contraste entre les méthodes d’indices développées et leur impact dans les politiques de réduction de la vulnérabilité. Pour éclairer les choix méthodologiques parmi la grande diversité des pratiques, cette revue de littérature exploratoire propose une approche mixte. À partir d’une grille d’analyse, des publications attestant d’une méthode d’indice pertinent pour son public cible ont été testées par rapport à un échantillon se voulant représentatif. De ces résultats croisés à une analyse qualitative, il ressort que i) contrairement à la formulation dans nombre de résumés, peu de recherches ont l’ambition effective de développer un indice opérationnel pour la gestion ; ii) les indices faisant l’objet d’un intérêt d’application sont polarisés dans les centres urbains de pays à fort développement ; iii) l’implication des potentiels utilisateurs finaux dans la construction d’indices n’est pas un critère nécessaire, mais facilitateur à plusieurs niveaux ; iv) aucun choix méthodologique n’a a priori d’incidence fixe sur la pertinence de l’indice qui dépend du contexte de l’étude et du territoire étudié ; v) la représentation cartographique est le seul critère apparaissant comme nécessaire, soulignant l’importance de la communication entre chercheurs et gestionnaires.
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