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Bigsby, Hugh. "Le modèle spatial de rendement est-il une solution plus pertinente pour l¿exploitation des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, n.º 314 (1 de dezembro de 2012): 57. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20491.

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L'expérience de sociétés forestières pratiquant l'abattage sélectif d'arbres individuels au Sarawak montre que leurs opérations ne sont encadrées en général que par une réglementation de base concernant par exemple le diamètre minimum d'abattage, les dimensions maximales des trouées ou les essences autorisées. En général, les aspects sylvicoles ne sont, au mieux, pris en compte qu'implicitement dans les règlements sur l'abattage, et non explicitement dans la planification et les opérations d'abattage. Les sociétés forestières tendent de plus en plus à pratiquer un comptage à 100 % des arbres, associé à une cartographie par GPS, dans le cadre de systèmes d'exploitation à impact faible ou réduit. L'utilisation de systèmes GPS permet d'élaborer des bases de données spatialisées et des descripteurs clés des arbres. Ceux-ci pourraient servir d'appui à la planification d'activités futures basées sur des modèles de croissance et de rendement permettant de prendre en compte des paramètres forestiers importants, comme le DBH et les essences présentes, et de cartographier la position des arbres. Cela aiderait les gestionnaires des récoltes et les arpenteurs forestiers à passer d'une optique purement opérationnelle à une optique sylvicole, en prenant en compte des paramètres tels que l'espacement, le recrutement et les tiges d'avenir lors de la planification des opérations d'abattage. L'absence de ce type de planification parmi les sociétés forestières est principalement due au fait que les modèles d'exploitation forestière en milieu tropical sont généralement basés sur des paramètres de zonage (modèles à l'échelle des peuplements ou selon les classes de dimension) qui ne sont pertinents que par rapport aux besoins de la planification à grande échelle. Ces modèles n'intègrent généralement pas les données spatiales générées par la planification, ils nécessitent des données beaucoup plus nombreuses et différentes de celles utilisées pour planifier les opérations d'abattage et ne produisent pas de résultats utiles à la planification opérationnelle des récoltes. Il est plus utile de se servir de modèles par arbre qui intègrent des données spatiales et produisent des résultats pertinents au plan opérationnel, comme les diamètres, les essences et la position des arbres. Cet article rappelle les contraintes opérationnelles de l'exploitation forestière à impact faible ou réduit, et préconise des approches pour la modélisation des rendements compatibles avec ces systèmes.
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Cordonnier, Thomas. "Caractériser l’environnement compétitif des arbres : dépassons la surface terrière !" Revue forestière française 73, n.º 6 (27 de outubro de 2022): 643–48. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.7202.

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Dans le domaine forestier, la surface terrière est couramment utilisée pour caractériser la compétition entre les arbres d’un peuplement. Pourtant, les développements théoriques des deux dernières décennies permettent de conclure que cette approche est insuffisante, notamment vis-à-vis de la compétition pour la ressource lumière. La théorie nous indique même que la bonne performance, dans certains cas, de la surface terrière ne serait que fortuite et liée à des conditions bien spécifiques. C’est ce que nous présentons et discutons dans cette courte note. Nous appelons ainsi la communauté forestière française à développer et valoriser davantage les mesures des houppiers afin de mieux rendre compte de la compétition entre arbres au sein des peuplements forestiers.
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Lefèvre, François, Thomas Boivin, Aurore Bontemps, François Courbet, Hendrik Davi, Marion Durand-Gillmann, Bruno Fady et al. "Valoriser et renforcer les mécanismes d’évolution génétique par la sylviculture, pour l’adaptation au changement climatique". Revue forestière française 72, n.º 5 (31 de outubro de 2020): 383–410. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5339.

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L’adaptation est un enjeu majeur de la gestion forestière dans le contexte du changement climatique La diversité génétique qui caractérise les arbres forestiers leur confère un potentiel adaptatif très important mais pas illimité Prendre en compte les mécanismes de l’évolution dans les pratiques de gestion forestière adaptative renforcera la capacité des forêts gérées à répondre aux changements et aux aléas induits par le climat. En mettant l’accent sur le cas des forêts en régénération naturelle, nous proposons un cadre conceptuel général permettant d’intégrer la connaissance de ces mécanismes dans la prise de décision, dans une démarche de sylviculture par et pour l’évolution Ce cadre général pourra être décliné dans des situations locales diverses et complexes en s’appuyant sur la connaissance du contexte qu’ont les gestionnaires forestiers Nous développons une grille d’analyse simple, basée sur un petit nombre de paramètres caractérisant les mécanismes de l’évolution, pour comprendre l’impact des pratiques sylvicoles sur la dynamique de la diversité génétique et le maintien du potentiel d’évolution des populations d’arbres forestiers Après avoir rappelé l’état des connaissances sur les mécanismes de l’évolution chez les arbres forestiers, nous examinons les effets attendus de pratiques forestières actuelles ou innovantes sur ces mécanismes Pour illustrer la complexité des mécanismes en interaction, nous développons plus en détail les conséquences évolutives des interactions biotiques et celles d’un environnement fortement hétérogène La sylviculture par et pour l’évolution peut contribuer à l’adaptation des forêts au changement climatique Elle nécessite de combiner des objectifs à court et à long terme Nous proposons des pistes de recherche et d’expérimentation pour accompagner cette démarche.
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LACAZE, J. F., e G. TOUZET. "Amélioration des arbres forestiers". Revue Forestière Française, S (1986): 20. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25727.

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COCHARD (H.) e GRANIER (André). "Fonctionnement hydraulique des arbres forestiers." Revue Forestière Française, n.º 2 (1999): 121. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5425.

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Metzel, Ruth, e Florencia Montagnini. "From Farm to Forest: Factors Associated with Protecting and Planting Trees in a Panamanian Agricultural Landscape". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, n.º 322 (17 de outubro de 2014): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31225.

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Les fragments résiduels de forêt sèche sur la péninsule d’Azuero au Panama sont repré- sentatifs d’un des types forestiers les plus menacés à l’échelle de la planète, et qui a quasiment disparu au Panama. Dans de telles zones de production agricole et d’éle- vage, les arbres hors forêt sont indispensa- bles à la connectivité du paysage, à la survie des espèces autochtones et au maintien des services écosystémiques associés à ces frag- ments forestiers résiduels. Les enquêtes que nous avons menées auprès de gestionnaires terriens dans la province de Los Santos au Panama montrent que les agriculteurs dans cette région protègent et plantent des arbres pour des motifs différents. Alors qu’ils protè- gent les arbres pour plusieurs raisons (comme source de bois, de fruits, de fourrage et d’ombre, et pour leur protection de l’eau), ils en plantent surtout pour produire du bois et des fruits, qui leur assurent des revenus tangibles. Par ailleurs, dans cette région, les sites où les arbres sont plantés sont plus diversifiés et plus spécifiques que les sites où les arbres sont protégés. Six essences sont fréquemment utilisées pour la création de haies vives au Los Santos, et les proprié- taires de ces haies gardent souvent des arbres utiles pour le fourrage et le bois à proximité. La gestion coopérative des haies vives pourrait ainsi devenir un moyen effi- cace pour augmenter la connectivité des pay- sages dans cette région où ils sont fortement fragmentés. Nos résultats indiquent que les agriculteurs de Los Santos plantent des arbres ou les protègent dans leurs terres pro- ductives pour des raisons très différentes. Ces différences entre leurs motivations ont des implications importantes qui doivent être prises en compte dans les approches visant à accroître la couverture forestière dans la région. Les projets visant à promou- voir la régénération naturelle des forêts encouragent les agriculteurs à protéger les arbres sur leurs terres, et pourraient mieux réussir en mettant l’accent sur les services écosystémiques intangibles tels que la pro- tection de l’eau à moindre coût. À l’inverse, les projets visant à promouvoir la plantation d’arbres doivent en démontrer les bénéfices économiques tangibles.
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Gond, Valery, Emilien Dubiez, Marine Boulogne, Morgan Gigaud, Adrien Péroches, Alexandre Pennec, Nicolas Fauvet e Régis Peltier. "DYNAMICS OF FOREST COVER AND CARBON STOCK CHANGE IN THE DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO: CASE OF WOOD-FUEL SUPPLY BASIN FOR KINSHASA". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 327, n.º 327 (19 de dezembro de 2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.327.a31293.

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Afin de contribuer à la mise au point de mé- thodes de gestion durable des écosystèmes forestiers en Afrique centrale, la question de recherche suivante a été posée : l’analyse de l’évolution de la couverture végétale per- met-elle de comprendre et de documenter l’organisation spatiale et les mécanismes de la dégradation des forêts tropicales ? Pour cela, en République démocratique du Congo, le projet Makala a cartographié les arbres et les ressources forestières du bas- sin d’approvisionnement en bois-énergie de Kinshasa et a essayé de prédire son évolu- tion future. La carte a été réalisée à quatre périodes (1984, 2001, 2006 et 2012) avec une mosaïque de quatre images Landsat. L’estimation de la biomasse aérienne a été faite en 2012, par l’inventaire forestier de 317 parcelles (4 337 arbres de 44 espèces) dans les quatre types de couverture végétale, sur le plateau Batéké. Entre 2000 et 2012, le volume moyen de bois-énergie a chuté de plus de 50 % et les stocks de carbone de 75 % en 28 ans. La réduction drastique du couvert forestier, la baisse significative des périodes de jachère, l’augmentation des surfaces de savane, le déclin des stocks de biomasse et de carbone, constituent des signaux particulièrement forts. Mais ces premières estimations sont dérivées des données d’un petit échantillon, extrapolées au bassin d’approvisionnement. Il serait très utile d’augmenter l’échantillonnage, pour approcher des valeurs plus justes et concrètes. L’expérience du projet Makala montre clairement que l’analyse de l’évo- lution de la couverture végétale permet de comprendre et de documenter l’organisa- tion spatiale et les mécanismes de la dégra- dation des forêts. Mais seules une politique consciente et une gestion durable des terres des communautés, combinées avec une réintroduction des arbres dans les terres agricoles, peuvent initier un processus de restauration durable.
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PILATE (Gilles), PAQUES (Marc), LEPLE (Jean-Charles) e PLOMION (Christophe). "Les Biotechnologies chez les arbres forestiers." Revue Forestière Française, n.º 2 (2002): 161. http://dx.doi.org/10.4267/2042/4910.

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Fétéké, Fousseni, Jérôme Perin, Adeline Fayolle, Kasso Dainou, Nils Bourland, Yao Lambert Kouadio, Serge Jean Joel Moneye et al. "MODÉLISER LA CROISSANCE DE QUATRE ESSENCES POUR AMÉLIORER LA GESTION FORESTIÈRE AU CAMEROUN". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 325, n.º 325 (17 de julho de 2015): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.325.a31269.

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En Afrique centrale, l’aménagement fores- tier repose sur une méthode de simulation de la production forestière peu précise, susceptible d’hypothéquer la durabilité de l’exploitation. L’objectif de cette étude est d’améliorer la prédiction de la crois- sance pour quatre essences commerciales importantes en Afrique centrale. Le dispo- sitif d’étude a été installé dans le Sud-Est du Cameroun et comporte 387 arbres : 136 assamela (Pericopsis elata), 54 moabi (Baillonella toxisperma), 124 sapelli (En- tandrophragma cylindricum), et 73 tali (Erythrophleum suaveolens). Le diamètre a été mesuré régulièrement entre 2009 et 2012. L’intensité de la compétition a été quantifiée à l’échelle d’une placette circu- laire de 20 m de rayon installée autour de chaque arbre focal. Les caractéristiques to- pographiques et hydrologiques ont été esti- mées à l’aide d’un système d’information géographique. La croissance a été modéli- sée en intégrant le diamètre des arbres et les conditions de croissance (indice de com- pétition et environnement local). Les valeurs d’accroissement utilisées actuellement au Cameroun ne sont pas différentes des va- leurs observées en forêt non perturbée par l’exploitation forestière pour l’assamela, le moabi et le tali, mais surestiment la crois- sance de 20 % pour le sapelli. Un modèle log-normal intégrant le diamètre des arbres et l’intensité de la compétition permet d’es- timer l’accroissement des quatre essences avec un coefficient de détermination (R2) va- riant de 0,092 pour l’assamela à 0,47 pour le moabi. Les variables topographiques et hydrologiques ne permettent pas d’amé- liorer significativement la qualité des pré- dictions. Ces modèles peuvent être utilisés pour prédire l’accroissement à partir des données d’inventaires forestiers d’aména- gement tels qu’ils sont réalisés en Afrique centrale, en vue d’améliorer la définition de paramètres de gestion tels que le dia- mètre minimum d’exploitation ou le taux de reconstitution pour les quatre essences étudiées.
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Bangata Bitha Nyi Mbunzu, Jean Christian. "Influence des essences forestières arborescentes sur la productivité des bananiers au deuxième cycle cultural à Kinshasa, RDC". Revue Congolaise des Sciences & Technologies 3, n.º 1 (31 de março de 2024): 98–108. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.024.v3.i1.73.

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Les systèmes sylvo-bananiers est une réponse efficace, d’une part, aux problèmes de l’amélioration de la productivité de bananiers, d’autre part, à la préservation de nos forêts, surtout dans les régions où la déforestation est accrue. Afin d’améliorer la production des bananes à Kinshasa, une étude évaluative des systèmes sylvo-bananiers a été menée dans les conditions de plateau de Batéké. Il était question de comparer les différentes associations bananiers-arbres, afin de connaitre leurs impacts sur la productivité de bananiers. Cinq cultivars de bananiers ont été associés avec douze essences forestières arborescentes, réparties en trois groupes: les légumineuses, les non légumineux et les arbres fruitiers. L’évaluation de l’influence des arbres forestiers sur le comportement de bananiers au deuxième cycle de production avait fait l’objet de cette étude. Ces pieds de bananiers étaient issus de rejets successeurs sélectionnés à la fin du premier cycle de production. Au regard des résultats obtenus avec l’ACP, il sied de noter que sur les 60 associations sylvo-bananierès étudiées, les plus performantes (poids de régimes et rendements élevés) étaient celles formées avec le cultivar Nsikumuna respectivement en association avec: Pterocarpus indicus Willd.; Millettia laurentii; Maesopsis eminii Engl.; Gmelina arborea Roxb. ; Eugenia malaccensis L.; Lannea welwitschii (Hiern) Engl.; Persea americana; Terminalia superba Anglais. & Diels ; Mangifera indica L. ainsi que Dacryodes edulis. Toutes ces essences peuvent être retenues et recommandées en systèmes sylvobananiers en mettant un accent particulier sur les quatre premières.
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Granier, André, Hervé Cochard e Damien Lemoine. "Fonctionnement hydrique et hydraulique des arbres forestiers". La Houille Blanche, n.º 3 (junho de 2002): 18–23. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2002037.

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CANTIANI, M., Maria-Giulia CANTIANI e F. SORBETTI GUERRI. "Rythmes d'accroissement en diamètre des arbres forestiers". Revue Forestière Française, n.º 4 (1994): 349. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26554.

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Munoz, Alain. "EVALUATION PAR VALIDATION INDEPENDANTE DES PREDICTIONS DES PARAMETRES FORESTIERS REALISEES A PARTIR DE DONNEES LIDAR AEROPORTE". Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection 1, n.º 211-212 (6 de dezembro de 2015): 81–92. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.547.

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L’utilisation des données LiDAR aéroporté pour modéliser, caractériser et cartographier la ressource forestière esteffective depuis une dizaine d’années dans les pays d’Amérique du Nord ou d’Europe du Nord. Néanmoins, en France, il existe peu d’exemples d’applications forestières du LiDAR sur de grandes surfaces, dans des contextes forestiers souvent plus complexes et hétérogènes que les forêts boréales et les grandes pinèdes du nord de l’Europe. Dans cette étude, la méthode dite « surfacique », qui consiste à calibrer des modèles empiriques de régression mettant en relation des paramètres dendrométriques mesurés sur le terrain avec des métriques dérivées des données LiDAR, est évaluée sur trois sites forestiers français. Les modèles de prédiction se basent sur les métriques usuelles dérivées du nuage de points LiDAR, ainsi que sur des métriques calculées à partir d'une individualisation préalable des houppiers des arbres dominants. Une validation indépendante, à l’échelle du peuplement, a permis d’évaluer la fiabilité des modèles de prédiction sur des surfaces de l'ordre d’un hectare, pertinentes pour le gestionnaire. Les résultats montrent qu’il est possible de caractériser la ressource forestière dans différents peuplements, allant des hêtraies ou pinèdes régulières de plaine aux sapinières-pessières hétérogènes de montagne. L'erreur des modèles (RMSE) estimée par validation croisée à l'échelle de la placette est de 14 à 22 % (R² de 0,75 à 0,90) pour la surface terrière, de 7 à 8 % (R² de 0,76 à 0,96) pour le diamètre dominant et de 17 à 32 % (R² de 0,50 à 0,88) pour la densité de tiges. La validation indépendante à l’échelle du peuplement montre une bonne fiabilité des modèles quel que soit le paramètre forestier étudié, et tant qu’ils sont utilisés dans leur domaine de validité. Les écarts entre les moyennes des prédictions et les mesures de référence terrain sont de l’ordre de 10 à 15 % pour la surface terrière, de 6 à 8% pour le diamètre dominant et de 10 à 33% pour la densité de tiges. Ces résultats démontrent, sur des surfaces unitaires d’environ un hectare, que l'inventaire par LiDAR aérien peut atteindre une précision équivalente à celle des méthodes traditionnelles de terrain, y compris pour des forêts complexes.
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REBOUD, Apolline, Liboum MBONAYEM e Guillaume LESCUYER. "Adopter des inventaires forestiers à dire d’acteurs pour les forêts communautaires camerounaises". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 359 (29 de fevereiro de 2024): 55–68. http://dx.doi.org/10.19182/bft2024.359.a37194.

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La procédure officielle d’inventaire des ressources ligneuses pour les forêts communautaires camerounaises constitue un obstacle technique et financier majeur. Plusieurs études ont testé des démarches simplifiées mais sans jamais pouvoir proposer une alternative satisfaisante à la méthode standard d’inventaire, à savoir plus abordable financièrement et techniquement pour les populations locales, tout en étant statistiquement robuste. L‘article récapitule la démarche et les résultats d’un inventaire forestier à dire d’acteurs, qui a été expérimenté dans une forêt communautaire de 4 800 ha, au couvert forestier dégradé. Cet inventaire repose sur cinq simplifications (1) les seules espèces inventoriées sont celles vendues sur le marché domestique ; (2) les arbres inventoriés sont ceux situés à une distance inférieure à deux kilomètres d’une piste ou d’une rivière d’évacuation ; (3) seuls les arbres ayant un diamètre supérieur ou égal au diamètre minimum d’exploitabilité sont relevés ; (4) l’inventaire n’est réalisé qu’avec les propriétaires coutumiers volontaires ; (5) leur droit de possession coutumière sur les arbres est reconnu. Cet inventaire à dire d’acteurs a permis de recenser 3 885 arbres pour un volume de 19 297 m3 dans la forêt communautaire. La quasi-totalité (93 %) de ces arbres sont situés en cacaoyères. La démarche est techniquement robuste puisque le taux de sondage est estimé au minimum à 35 %, et est donc largement supérieur à celui de l’inventaire forestier standard de 2 %. Cet inventaire est également économique puisque son coût revient à moins de 0,5 €/ha, c’est-à-dire moins de la moitié du coût d’un inventaire classique. Il est enfin socialement acceptable puisqu’il valorise les savoirs traditionnels et permet d’élaborer un mode d’exploitation des arbres favorable aux propriétaires coutumiers. Il incite ces derniers à la durabilité en leur permettant de devenir les principaux bénéficiaires de cette activité. Cette méthode paraît adaptée au contexte des forêts communautaires dégradées, mais son application à des forêts plus densément boisées mériterait d’être considérée.
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Adjonou, Kossi, Napo Ali, Adzo Dzifa Kokutse e Segla Kossi Novigno. "Etude de la dynamique des peuplements naturels de Pterocarpus ericaceus poir. (Fabaceae) surexploités au Togo". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 306, n.º 306(4) (1 de dezembro de 2010): 45. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.306.a20431.

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Au Togo, l'exploitation de nombreuses essences de bois d'oeuvre de valeur telles que Pterocarpus erinaceus Poir. est menée sans respecter les principes d'aménagement forestier durable. Cette étude établit la situation sur l'exploitation et l'exportation du bois de P. erinaceus dans le pays et évalue les impacts de la surexploitation sur la dynamique des peuplements riches en cette espèce. L'étude est menée travers l'analyse des données d'inventaires forestiers réalisés dans la plaine centrale du Togo. Les inventaires ont été matérialisés suivant deux transects au sein de deux milieux contrastés, une zone où l'espèce est excessivement exploitée et une zone où elle est protégée. L'analyse de variance des paramètres structuraux indique une différence significative entre les diamètres moyen et dominant, les hauteurs totale et fût des arbres recensés dans la zone exploitée et de ceux de la zone protégée. Pour la zone exploitée, la répartition des arbres en classes de diamètre fait état d'une distribution typique en «L» décroissante traduisant une dynamique régulière de la popu-lation, alors qu'il s'agit d'une distribution en cloche symétrique pour les arbres de la zone protégée, caractéristique de peuplements ayant atteint un état d'équilibre. L'espèce présente une bonne capacité de régénération ouvrant de bonnes perspec-tives pour la production de plants en pépinière et pour des essais de plantation partir d'espèces locales telles que P. erinaceus, en vue de restaurer des formations naturelles dégradées. Étant donné la pression exercée sur ces formations, l'adoption effective de mesures de protection et de conservation de l'espèce est indispensable pour limiter la dégradation irréversible de ses écosystèmes et d'autres qui subissent le même sort, notamment par la mise en place de normes d'exploitabilité, le respect de la réglementation en vigueur en matière d'exploitation des ressources forestières au Togo. (Résumé d'auteur)
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Fayolle, Adeline, Jacques Rondeux, Jean-Louis Doucet, Gaëtan Ernst, Cristina Bouissou, Samuel Quevauvillers, Nils Bourland, Richard Fétéké e Philippe Lejeune. "Réviser les tarifs de cubage pour mieux gérer les forêts du Cameroun". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 317, n.º 317 (1 de setembro de 2013): 35. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.317.a20521.

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L'utilisation des tarifs de cubage fait partie du quotidien des aménagistes et gestionnaires forestiers. Toutefois, elle se fait généralement au mépris des conditions d'application (zone géographique, gamme de diamètres), ce qui peut engendrer des erreurs dans les estimations de volume. L'objectif de cette étude est de tester la validité des tarifs de cubage actuellement disponibles pour trois essences des forêts du sud-est du Cameroun, dont ceux utilisés par l'administration nationale et, le cas échéant, de proposer des tarifs adaptés pour la zone d'étude. Trois espèces commerciales sont concernées : le sapelli, Entandrophragma cylindricum, le tali, Erythrophleum suaveolens, et l'assaméla, Pericopsis elata. Les données dendrométriques ont été collectées par échantillonnage destructif de 43 arbres régulièrement répartis sur toute la gamme de diamètres. Le volume du fût a été calculé par la méthode des billons successifs et des tarifs de cubage linéaires et non linéaires ont été ajustés aux données par la méthode des moindres carrés pondérés. Les résultats montrent que le meilleur modèle de cubage est non linéaire pour les trois espèces. Les équations utilisées jusqu'à présent par l'administration forestière sous-estiment significativement le volume des arbres et les erreurs d'estimation sont d'autant plus grandes que la taille de l'arbre est importante. Les tarifs de cubage proposés, une fois validés, devraient pouvoir à l'avenir être utilisés pour une meilleure estimation du volume des arbres dans la zone d'étude. Considérant les enjeux internationaux auxquels adhère le Cameroun (FLEGT et REDD+), il est crucial de disposer d'outils performants d'estimation du volume des arbres. Dans ce contexte, il s'avère important que l'administration forestière camerounaise puisse mener à bien un vaste programme de révision des tarifs de cubage.
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GIERTYCH, M. "L'amélioration génétique des arbres forestiers aujourd'hui et demain". Revue Forestière Française, S (1986): 204. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25729.

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BOUVAREL, P. "L'amélioration génétique des arbres forestiers : essai d'une histoire". Revue Forestière Française, S (1986): 7. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25752.

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ARBEZ, M. "Méthodes biochimiques de caractérisation variétale des arbres forestiers". Revue Forestière Française, S (1988): 71. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25937.

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Kazemi, Yves, e Laurianne Jeanneret Guinnard. "Nouvelle politique forestière vaudoise en matière d’accueil, de loisirs et de bien-être en forêt". Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 174, n.º 4 (1 de julho de 2023): 198–201. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2023.0198.

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Résumé Comme partout en Suisse, les forêts du canton de Vaud représentent un espace naturel de loisirs particulièrement apprécié de la population. La nouvelle Politique forestière vaudoise 2040 (DGE-Forêt 2022) soutient un développement qualitatif et mesuré des activités de sports et loisirs en forêt qui garantit le «bien vivre ensemble» des usagers ainsi que la préservation du milieu naturel et de la multifonctionnalité forestière. L’élaboration d’une stratégie cantonale sur l’accueil du public en forêt permettra d’orienter le développement régional et local des activités de sports et loisirs en forêt. Elle souhaite, à ce titre, soutenir les propriétaires forestiers dans la prise en charge des coûts et investissements liés à l’accueil du public en forêt. La mise en œuvre de ces stratégies nécessite la mise en place d’un monitoring stratégique des loisirs en forêt. Elle repose aussi sur le renforcement des compétences et ressources des agents de terrain. La promotion du «vivre ensemble en forêt» et du «respect du milieu naturel» dans la pratique des activités de loisirs en forêt nécessitera aussi des actions de communication ciblées et pérennes. Finalement, il est important de relever que la gestion de l’accueil en forêt commence en dehors de la forêt. La gestion durable de l’accueil en forêt nécessite une étroite coordination avec les planifications urbaines, infrastructurelles ou touristiques. Parallèlement, renforcer la présence des arbres – forestiers ou non – dans l’espace bâti constitue une réponse appropriée aux défis écologiques et sociaux posés par le développement des villes. La création d’un réseau cohérent et continu d’espaces naturels de loisirs reliant les centres urbains aux massifs forestiers périurbains contribuent aussi à améliorer la qualité et la gestion de l’accueil en forêt.
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Mainieri, Robin, Christophe Corona, Nicolas Eckert, Jérôme Lopez-Saez e Franck Bourrier. "Apports de la dendrogéomorphologie pour la connaissance de l’évolution de l’aléa rocheux dans les Préalpes françaises calcaires". Revue Française de Géotechnique, n.º 163 (2020): 5. http://dx.doi.org/10.1051/geotech/2020014.

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Depuis deux décennies, de nombreuses publications scientifiques ont mis en évidence les impacts du changement climatique sur la fréquence des chutes de pierres dans les parois englacées de haute altitude. À plus basse altitude, les inventaires rares et incomplets existants n’ont pas permis d’identifier un impact significatif de l’augmentation des températures. Dans ce travail, nous avons utilisé une approche dendrogéomorphologique, basée sur l’étude des perturbations dans les cernes de croissance des arbres, pour reconstituer l’activité passée des chutes de pierres sur deux versants forestiers des Préalpes françaises calcaires (massifs du Vercors et du Diois). Les incertitudes liées à la diminution du nombre d’arbres dans le temps ont été précisément quantifiées grâce à un inventaire forestier exhaustif et à une cartographie à haute résolution du peuplement forestier. En accord avec la littérature, la comparaison des reconstitutions dendrogéomorphologiques avec les réanalyses météorologiques SAFRAN montre que les précipitations estivales et les évènements pluvieux intenses sont les principaux facteurs qui conditionnent l’activité de l’aléa sur les deux sites. En revanche, aucun impact significatif des températures ou des cycles de gel–dégel n’a pu être détecté. À l’échelle décennale (60 dernières années), nous expliquons l’augmentation apparente de l’activité des chutes de pierres depuis 1959 dans le Vercors par la recolonisation forestière rapide de la parcelle étudiée au cours des dernières décennies et par une sur-représentation des jeunes arbres, plus sensibles aux impacts. Dans le massif du Diois, l’absence de tendance dans la reconstitution dendrogéomorphologique au cours des dernières décennies suggère que le réchauffement climatique n’a pas eu d’impact sur la fréquence de l’aléa à basse altitude. Cependant, le nombre réduit de sites et la robustesse limitée des analyses statistiques développées suggèrent que ces résultats doivent être interprétés avec prudence et devront nécessairement être répliqués dans le futur afin de conclure définitivement quant à l’absence de réponse au réchauffement de l’aléa rocheux dans les zones de basse altitude des préalpes calcaires.
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Mejías, Miguel A., e Erica Nol. "Woodland size and vegetation effects on resident and non-resident woodland birds in Bermuda". Journal of Caribbean Ornithology 33 (1 de abril de 2020): 22–32. http://dx.doi.org/10.55431/jco.2020.33.22-32.

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Abstract Human colonization on oceanic islands typically has disastrous consequences for indigenous flora and fauna. Since settlement in 1612, the native evergreen forest on the island of Bermuda has been fragmented by development and largely replaced by exotic trees, with unclear consequences for woodland birds. We quantified the number of woodland birds using modified point counts in 28 woodlands on Bermuda, from 24 March to 9 April 2014. We examined the impact of woodland size and vegetation features on total species richness and abundance of resident and non-resident woodland birds, and on abundance of the Bermuda population of White-eyed Vireos (Vireo griseus bermudianus). Woodland area had significant positive relationships with total species richness, total woodland bird abundance, and abundance of White-eyed Vireos. Similarly, species richness and abundance of non-resident woodland birds significantly increased with woodland area. None of the vegetation characteristics explained any of the woodland bird abundance metrics. Our results suggest that larger woodlands are essential habitats for supporting diverse and large communities of resident and non-resident woodland birds in Bermuda. Our study also highlights the adaptability of woodland birds, particularly the White-eyed Vireo, to exotic vegetation. Keywords avian conservation, Bermuda woodland birds, exotic vegetation, island birds, woodland fragment size Resumen Efectos del tamaño del parche de bosque y la vegetación en paseriformes residentes y no residentes en Bermudas—La colonización de islas oceánicas por el hombre tiene consecuencias desastrosas para la flora y la fauna indígenas. Desde el asentamiento en 1612, los bosques siempreverdes de las islas Bermudas han sido fragmentados por la urbanización y reemplazados principalmente por especies exóticas, con consecuencias poco claras para las aves de bosque. Desde el 24 de marzo al 9 de abril de 2014, este grupo de aves fue monitoreado con puntos de conteo modificados en 28 parches de bosque en Bermudas. Examinamos el impacto del tamaño del parche de bosque y las características de la vegetación en la riqueza de especies total, la abundancia de las aves de bosque residentes y no residentes y la abundancia de la población de Bermudas de Vireo griseus bermudianus. El tamaño del parche de bosque tuvo un efecto positivo significativo con la riqueza y la abundancia de especies totales y la abundancia de Vireo griseus bermudianus. De igual manera, la riqueza de especies total y la abundancia de aves de bosque no residentes aumentaron significativamente con el tamaño del parche de bosque. Ninguna de las características de la vegetación fue capaz de explicar los valores de abundancia de las aves de bosque. Nuestros resultados sugieren que parches de bosque más grandes son hábitats esenciales para mantener comunidades grandes y diversas de aves de bosque residentes y no residentes en Bermudas. Nuestro estudio también destaca la adaptabilidad de estos grupos, particularmente de Vireo griseus bermudianus, a la vegetación introducida. Palabras clave aves de bosque de Bermudas, aves de islas, conservación de aves, tamaño del parche de bosque, vegetación introducida Résumé Taille des zones forestières et effets de la végétation sur les oiseaux forestiers résidents et non résidents aux Bermudes — La colonisation humaine des îles océaniques a généralement eu des conséquences désastreuses sur la flore et la faune indigènes. Depuis la colonisation de l’île des Bermudes en 1612, la forêt sempervirente indigène a été fragmentée par le développement et largement remplacée par des arbres exotiques, ce qui a eu des conséquences incertaines sur les oiseaux forestiers. Nous avons quantifié le nombre d’oiseaux forestiers par des comptages par points modifiés dans 28 zones forestières des Bermudes, du 24 mars au 9 avril 2014. Nous avons examiné l’impact de surface forestière et des caractéristiques de la végétation sur la richesse spécifique totale et l’abondance des oiseaux forestiers résidents et non résidents, ainsi que sur l’abondance de la population du Viréo aux yeux blancs, sous-espèce des Bermudes (Vireo griseus bermudianus). Il existe une corrélation positive significative de la surface forestière avec la richesse spécifique totale, l’abondance totale des oiseaux forestiers et l’abondance du Viréo aux yeux blancs. De même, la richesse spécifique et l’abondance des oiseaux forestiers non résidents augmentent de manière significative avec la superficie forestière. Aucune des caractéristiques de la végétation n’explique les mesures de l’abondance des oiseaux forestiers. Nos résultats suggèrent que les grandes forêts sont des habitats essentiels pour le soutien des communautés diverses et importantes d’oiseaux forestiers résidents et non résidents aux Bermudes. Notre étude souligne également la capacité d’adaptation des oiseaux forestiers, en particulier du Viréo aux yeux blancs, à la présence d’une végétation exotique. Mots clés avifaune insulaire, conservation des oiseaux, oiseaux forestiers des Bermudes, taille des fragments de forêt, végétation exotique
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HUBERT, M. "Amélioration génétique des arbres forestiers. Conséquences pour les reboiseurs". Revue Forestière Française, S (1986): 259. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25740.

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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (20 de agosto de 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Djaouga, Mama, Soufiyanou Karimou, Ousséni Arouna, Soufouyane Zakari, Augustin Orou Matilo, Ismaïla Toko Imorou, Ibouraïma Yabi, Julien Djego, Omer Thomas e Christophe Houssou. "Cartographie de la biomasse forestière et évaluation du carbone séquestré dans la forêt classée de l’Ouémé supérieur au Centre – Bénin". International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, n.º 6 (22 de fevereiro de 2022): 2388–401. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i6.12.

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La forêt classée de l’Ouémé supérieur au Centre-Bénin est un potentiel puits de carbone en dépit des pressions d’origines anthropiques qui menacent la plupart des écosystèmes forestiers. Cette recherche visait à cartographier la biomasse forestière et le stock de carbone séquestré par les formations végétales de la forêt classée de l’Ouémé supérieur au Bénin. A cet effet, un inventaire forestier a été réalisé dans 73 placeaux circulaires de 18 m de rayon suivant le protocole de l’Inventaire Forestier National (IFN). Les principales données collectées étaient le diamètre et la hauteur des arbres. Les images landsat OLI-TIRS de 2018 à travers le NDVI ont été utilisées en combinaison avec les données de l’inventaire forestier in situ pour la spatialisation de la biomasse et du carbone séquestré. Les résultats obtenus ont révélé que la biomasse totale produite par les arbres dans la forêt classée de l’Ouémé supérieur, avoisine 13 035 694 tonnes avec une quantité totale de carbone séquestrée évaluée à 6 348 383 tonnes. La distribution spatiale de la biomasse et du carbone ont montré de plus fortes quantités de biomasse et de carbone séquestré à l’intérieur de la forêt classée comparativement aux périphéries surtout les zones qui sont situées le long des routes aménagées. Il est alors important d’entreprendre les actions de conservation des formations forestières en vue d’accroître leur potentiel de séquestration de carbone dans l’atténuation des effets des changements climatiques au Bénin. English title: Mapping of forest biomass and assessment of sequestered carbon in the forest reserve of upper Ouémé in Central Benin The Upper Ouémé gazetted forest in Central Benin is a potential carbon sink despite the anthropogenic pressures that threaten most forest ecosystems. This research aims to map the forest biomass and carbon stock sequestered by plant communities in the Upper Ouémé classified forest in Benin. To this end, a forest inventory was carried out in 73 circular plots of 18 m radius following the protocol of the National Forest Inventory (IFN). The main data collected were tree diameter and height. The 2018 OLI-TIRS landsat images through NDVI were used in combination with the in situ forest inventory data for the spatialization of biomass and sequestered carbon. The results obtained show that the total biomass produced by trees in the Upper Ouémé classified forest is around 13 035 694 tonnes with a total amount of sequestered carbon estimated at 6 348 383 tonnes. The spatial distribution of biomass and carbon shows higher amounts of biomass and carbon sequestered inside the gazetted forest compared to the periphery, especially in areas that are located along developed roads. It is therefore important to undertake conservation actions in forest in order to increase their carbon sequestration potential in mitigating the effects of climate change in Benin.
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Caspa, Roseline Gusua, Isaac Roger Tchouamo, Jean Pierre Mate Mweru, Joseph Mbang Amang e Marley Ngang Ngwa. "THE PLACE OF IRVINGIA GABONENSIS IN VILLAGE COMMUNITIES AROUND THE LOBEKE NATIONAL PARK IN CAMEROON". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 324, n.º 324 (17 de março de 2015): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.324.a31262.

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Le manguier sauvage, Irvingia gabonensis, est une des essences les plus exploitées pour des produits forestiers non ligneux aux alentours du Parc national de Lobeke au Cameroun. Une enquête auprès des cueilleurs montre que les fruits sont ramas- sés en forêt à même le sol, ce qui entraîne des risques élevés d’attaque par des gorilles (100 %) et nécessite de longs séjours en campement (87 %). Tous les cueilleurs conservent cette essence, la plu- part (82 %) en protégeant les semis spon- tanés, mais ne s’intéressent pas à la plan- tation. Cependant, près de 68% des cueil- leurs indiquent qu’ils l’envisageraient. L’amande de Irvingia gabonensis est considérée par les cueilleurs comme la deuxième ressource alimentaire (98 %) et la première source de revenus (93 %) parmi les quatre principaux produits fores- tiers non ligneux de la région. Un inventaire a été réalisé pour évaluer l’abondance de l’essence dans trois systèmes forestiers : la zone protégée, une forêt de production vil- lageoise (forêt naturelle comprise dans le domaine forestier non-permanent et gérée par une communauté villageoise avec l’ap- pui du service forestier) et une zone agrofo- restière (jachères et associations de cul- tures/cacao), dans 6 x 3 parcelles de 1 ha. La production fruitière a été estimée en comptant les fruits pendant les collectes. La croissance et la survie des plantules n’ont été estimées que dans la zone proté- gée en raison de la rareté des jeunes plants dans la forêt de production et la zone agro- forestière. La densité moyenne des I. gabo- nensis s’établit à 3,3 arbres/ha, sans écart significatif entre les trois systèmes fores- tiers. Le diamètre moyen à hauteur de poi- trine ne varie pas significativement entre les trois systèmes, ni la production fruitière moyenne. Le taux de survie des semis baisse à 70 % dans la zone protégée au bout de 18 mois. La présence majoritaire d’arbres de diamètre moyen à élevé indique que la ressource se maintiendra pendant quelque temps, mais la quasi absence de jeunes individus permettant de régénérer ces peuplements vieillissants compromet la ressource à plus long terme. L’intensité de la cueillette conduit à recom- mander l’intégration de cette essence dans les exploitations agricoles villageoises.
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ROMAN-AMAT, B. "Nécessité et pratique des choix en amélioration des arbres forestiers". Revue Forestière Française, S (1986): 104. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25697.

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KLEINSCHMIT, J. "Etat actuel et perspectives d'avenir de l'amélioration des arbres forestiers". Revue Forestière Française, S (1986): 198. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25726.

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NAUDET, V. "Amélioration génétique des arbres forestiers. Point de vue du pépiniériste". Revue Forestière Française, S (1986): 255. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25739.

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ROMAN-AMAT, B., e G. STEINMETZ. "Bilan technique et économique de l'amélioration génétique des arbres forestiers". Revue Forestière Française, S (1986): 263. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25742.

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Peltier, Régis, Émilien Dubiez, Simon Diowo, Morgan Gigaud, Jean-Noël Marien, Baptiste Marquant, Adrien Peroches, Pierre Proces e Cédric Vermeulen. "Assisted Natural Regeneration in slash-and-burn agriculture: Results in the Democratic Republic of the Congo". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 321, n.º 321 (17 de julho de 2014): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.321.a31220.

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La majorité des impacts anthropiques sur les forêts tropicales naturelles en Afrique centrale est liée à l’agriculture itinérante et à l’extraction du bois de feu en zone périur- baine. Cela est en particulier le cas autour de Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC). C’estpourquoi, en 2010, la Régénération naturelle assistée (RNA) a été adaptée et testée par le Projet Makala dans le bassin d’approvisionnement en bois de feudecetteville, pouraméliorerlessystèmes de culture sur abattis-brûlis et contribuer à l’enrichissement des jachères forestières. Avant la défriche, des arbres utiles sont sé- lectionnéspourêtre protégés. Puis, pendant la période de culture, la germination et la multiplication par rejets de souche et dra- geons des espèces forestières locales pré- existantessontfavoriséespar despratiques de sarclages sélectifs, d’éclaircies et d’éla- gages. Lesuividecestestsmontreunefaible survie des vieux arbres conservés lors du défrichementpour lescultures, enraisonde la difficulté de contrôle des feux lors du brû- lis, ce qui limite l’applicabilité de cette tech- nique à la périphérie des parcelles, sous forme d’enrichissement progressif de haies bocagères. Par contre, à l’intérieur des par- celles, les rejets de souche exploités et les drageonsdesespècesforestièresnaturelles, protégéspar RNA aumomentdessarclages, ont montré une croissance rapide qui per- met, àfaiblecoût, d’installer rapidementune jachère ligneuse. En 2014, trois ans et demi après le brûlis, ces jachères ont une biodi- versité etune biomasse supérieuresà celles des jachères non gérées par RNA. Une meil- leure productivité en charbon et en produit agricole ainsi qu’une réduction de la sava- nisation des espaces forestiers sont espé- rées. Cependant, l’acceptation sociale, qui estunfacteurcritiquepourladiffusiond’une telle innovationàgrandeéchelle, resteàétu- dier, en relation avec l’évolution possible desdroitsfoncierstraditionnelsetmodernes.
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GUIT, Brahim, e Bouzid NEDJIMI. "Croissance radiale du pin d’Alep (Pinus halepensis Mill.) en fonction des paramètres stationnels dans les massifs forestiers naturels de l’Atlas saharien algérien". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 345 (26 de outubro de 2020): 5–13. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.345.a31803.

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La présente étude dendroécologique a été conduite dans les pinèdes de Senalba Gharbi, Senalba Chergui et Sehary Guebli situées en zone semi-aride de la région de Djelfa (Atlas saharien algérien) et caractérisées par une pluviométrie variant entre 300 et 400 mm/an. Ce sont les derniers massifs arborescents, peuplés de pin d’Alep, Pinus halepensis, situés à la limite du Sahara. Le maintien de ces peuplements soumis à une dégradation continuelle depuis plusieurs décennies constitue un enjeu écologique majeur. À partir de transects intégrant les variations d’altitude, d’exposition et de position topographique, 18 placettes d’échantillonnage ont été sélectionnées. Dans chaque placette, six arbres parmi les plus dominants ont été sondés à la tarière de Pressler, à raison de deux carottes de sondage par arbre, soit un total de 216 carottes-échantillons analysées sur une période de 53 ans. L’analyse des cernes a mis en évidence que l’exposition, l’altitude et la position topographique sont déterminantes pour l’accroissement des pins. L’étude des séries dendrochronologiques relatives à la largeur des cernes a montré une tendance générale décroissante de 10,5 %. La prise en compte de ces données relatives à la croissance radiale contribuera à identifier les arbres à forte probabilité de déclin suite aux changements climatiques.
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Fonton, Noël Houédougbé, Charles Chaffra Yabi, Jean Zinsou Dah-Dovonon, Fortuné Kokou Adoko e Titilayo Dotchamou. "Modélisation du volume du fût d'arbre pour une gestion durable des écosystèmes forestiers soudaniens". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 300, n.º 300 (1 de junho de 2009): 95. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.300.a20418.

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La difficulté de disposer d¿un tarif de cubage de chaque essence en forêt naturelle a conduit les aménagistes à utiliser le coefficient de forme proposé par Dawkins. Cette note propose une méthode conciliant les exigences écologiques (aspect non destructif du cubage des arbres sur pied) et la mise à disposition d¿outils adéquats d¿estimation du volume des arbres sur pied. Trois essences ont été choisies dans la forêt classée de Wari-Maro au Bénin pour mener l¿étude: Isoberlinia spp., Anogeissus leiocarpa et Daniellia oliveri. Il ressort que la meilleure équation de cubage du volume du fût est de la forme V = a + bD2 H quelle que soit l¿essence. L¿étude comparative révèle une amélioration de l¿estimation du volume fût de l¿ordre de 10% sur le modèle de Dawkins. (Résumé d'auteur)
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Ouimet, Rock, Louis Duchesne e Jean-David Moore. "Relation entre la composition foliaire et la présence de la maladie corticale du hêtre dans les stations du Réseau d’étude et de surveillance des écosystèmes forestiers du Québec". Résumés des conférences 95, n.º 1 (2 de fevereiro de 2015): 32–37. http://dx.doi.org/10.7202/1031956ar.

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La maladie corticale du hêtre (MCH) est de plus en plus fréquente dans les forêts de l’est de l’Amérique du Nord. Des chercheurs ont avancé l’hypothèse que l’expansion de cette maladie pourrait être en partie liée au statut nutritif des arbres. Pour tester cette hypothèse, nous avons vérifié la relation entre l’apparition de cette maladie et la composition du feuillage du hêtre (Fagus grandifolia Ehrh.) dans les stations du Réseau d’étude et de surveillance des écosystèmes forestiers du Québec. Sur les 14 stations contenant du hêtre, cinq présentaient des symptômes de la maladie entre 2006 et 2012. Les arbres infectés étaient en moyenne de plus grand diamètre que ceux qui ne l’étaient pas. La présence de la MCH était liée en partie à la composition foliaire des arbres (pseudo-R2 : 0,551). L’analyse indique que plus le rapport N/P du feuillage du hêtre est élevé, plus la probabilité d’infection par la MCH est importante; et plus les rapports Zn/Mn et Mg/K du feuillage sont élevés, plus la probabilité d’infection par la MCH est faible. Ces rapports donnent à penser que les conditions d’acidification du sol et de drainage influencent la vigueur des arbres et, conséquemment, leur vulnérabilité à la MCH.
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Robin, Cécile, e Marie-Laure Desprez-Loustau. "Émergences de maladies chez les arbres forestiers : Définitions, concepts et recommandations". Revue Forestière Française, n.º 6 (2018): 569. http://dx.doi.org/10.4267/2042/70305.

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Kremer, A. "Diversité génétique et variabilité des caractères phénotypiques chez les arbres forestiers". Genetics Selection Evolution 26, Suppl 1 (1994): S105. http://dx.doi.org/10.1186/1297-9686-26-s1-s105.

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MOUSAIN (D.), MATUMOTO-PINTRO (P.) e QUIQUAMPOIX (H.). "Le Rôle des mycorhizes dans la nutrition phosphatée des arbres forestiers." Revue Forestière Française, sp (1997): 67. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5676.

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PLASSARD (C.), CHALOT (M.), BOTTON (B.) e MARTIN (F.). "Le Rôle des ectomycorhizes dans la nutrition azotée des arbres forestiers." Revue Forestière Française, sp (1997): 82. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5677.

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ARBEZ, M. "Réalisations et perspectives de l'amélioration génétique des arbres forestiers en France". Revue Forestière Française, S (1986): 272. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25743.

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Mavouroulou Quentin, Moundounga, Ngomanda Alfred e Lepengue Nicaise Alexis. "Etat des Lieux des Incertitudes Liées à l’Estimation de la Biomasse des Arbres (Revue Bibliographique)". European Scientific Journal, ESJ 19, n.º 6 (28 de fevereiro de 2023): 60. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n6p60.

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The quantification of forest carbon stocks and fluxes is absolutely essential to understand the role that forests play in the global carbon cycle and to put in place effective policies to mitigate global warming induced by the increase in greenhouse gases of anthropogenic origin. This study aims to present the current state of knowledge on the uncertainties associated with quantifying forest carbon, particularly in tropical forests. Several studies show that the uncertainties on the carbon stocks and fluxes sequestered in tropical forests are extremely large, estimated respectively at 188 and 272 billion tonnes of carbon and between 0.17 and 1.16 billion tonnes of carbon dioxide. These huge uncertainties are probably related to the methods used to quantify the biomass of living trees. In almost all studies on forest carbon, the biomass of trees is never really measured in the field, but rather estimated using mathematical models or allometric equations which leads to an uncertainty of about 20% on the estimated biomass. Our study also shows that the reduction of these uncertainties could depend on several factors such as (i) the aboveground biomass data collection method (ii) the measurement of tree size attributes (diameter and height) and tree traits. species (specific density of the wood, size of the canopy) during forest inventories, (iii) the mathematical form and quality of adjustment of the allometric models (specific error of the model) used, and (iv) possibly an inadequacy between tree diameter structure in model calibration data and in forest inventory data. However, the absence of studies that have measured the total biomass of a forest at a fixed spatial scale (example 1 ha) does not currently allow an assessment of the contribution of each source of error to the total uncertainty of the final carbon estimate. La quantification des stocks et flux de carbone forestier avec précision est absolument essentielle pour comprendre le rôle que jouent les forêts dans le cycle global du carbone et pour mettre en place des politiques efficaces d’atténuation du réchauffement climatique mondial induit par l’augmentation des gaz à effet de serre d’origine anthropique. Cette étude vise à présenter l’état actuel des connaissances sur les incertitudes associées à la quantification du carbone forestier, en particulier dans les forêts tropicales. Plusieurs études montrent que les incertitudes sur les stocks et flux de carbone séquestrés dans les forêts tropicales sont extrêmement larges, estimés respectivement 188 et 272 milliards de tonnes de carbone et entre 0.17 et 1.16 milliards de tonnes de gaz carbonique. Ces énormes incertitudes sont sans doute liées aux méthodes utilisées pour quantifier la biomasse des arbres vivants. Dans la quasi-totalité des études sur le carbone forestier, la biomasse des arbres n’est réellement jamais mesurée sur le terrain, mais plutôt estimés à l’aide des modèles mathématiques ou équations allométriques qui entraine une incertitude d’environ 20% sur l’estimation de la biomasse. Notre étude montre aussi que la réduction de ces incertitudes pourrait dépendre de plusieurs facteurs tels que: (i) la méthode de collecte des données de la biomasse aérienne (ii) la mesure des attributs de taille (diamètre et hauteur) des arbres et traits d’espèces (densité du spécifique du bois, taille de la canopée) lors des inventaires forestiers, (iii) la forme mathématique et qualité d’ajustement des modèles allométriques (erreur propre du modèle) employés, et (iv) possiblement d’une inadéquation entre structure diamétrique des arbres dans les données de calibration des modèles et dans les données inventaires forestiers. Toutefois, l’absence d’études ayant mesuré la biomasse totale d’une forêt à une échelle spatiale fixée (exemple 1 ha) ne permet pas actuellement d’évaluer la contribution de chaque source d’erreurs sur l’incertitude totale de l’estimation finale de carbone.
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Atindogbe, Gilbert, Gabin Finangnon Laly, Hospice Afouda Akpo, Arios Adjinannoukon e Noël Houédougbé Fonton. "Spatial structure and factors determining tree mortality in Beninese forest formations". International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, n.º 9 (25 de março de 2021): 3060–77. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i9.8.

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Dead wood plays an important role in the functioning of forest ecosystems through nutrient cycles, soil fertility balance and temporary carbon storage. This research evaluates the dead wood potential, spatial structure of dead trees and factors influencing tree mortality in natural woodlands in Benin. Data were collected in eleven square plots of 10,000 m2, established in six classified forests and hunting areas of the W and Pendjari national parks. The spatial structure was investigated using Ripley's K function, and a multiple regression with variable selection allowed the identification of the biotic and abiotic factors that have an effect on dead wood density in the study areas. The density of dead wood was 32 stems/hectare, while mean quadratic diameter and basal area were 17.2 cm and 0.88 m2.ha-1, respectively. There was random and regular spatial distribution of dead trees without a positive interaction between dead and living trees, thereby pointing to fire as the main factor of tree mortality. Other factors influencing tree mortality included attacks by saproxylic animal species and other wood pests, and senescence. This study suggests that an integration of dead trees in management plans may be essential for the proper functioning of Benin's forest ecosystems. Le bois mort joue un rôle important dans le fonctionnement de l’écosystème forestier de par sa position dans les cycles de matière, le maintien de la fertilité des sols, le stockage temporaire du carbone, et par son rôle dans la structuration physique des sols. Cette recherche évalue sur la base de onze placettes carrées de 10.000 m2, installées dans six (06) forêts classées et des zones cynégétiques des parcs nationaux W et Pendjari, le potentiel en bois morts, la structure spatiale des arbres morts et les facteurs influençant la mort des arbres dans les formations naturelles du Bénin. La structure spatiale est étudiée au moyen de la fonction K de Ripley et une régression multiple avec sélection de variables a permis d’identifier les facteurs biotiques et abiotiques qui ont un effet sur la densité en bois morts dans lesdites formations. Les paramètres dendrométriques des arbres morts dans les formations naturelles étudiées sont caractérisés par avec une densité à l’hectare de 32 tiges, un diamètre quadratique moyen de 17,2 cm et une surface terrière de 0,88 m2.ha-1. La structure spatiale affiche une distribution spatiale aléatoire et régulière des arbres morts sans aucune interaction positive entre arbres morts et vivants suggérant le feu comme principal facteur de mortalité des arbres. Les autres facteurs influençant le recrutement en bois morts sont les attaques des espèces animales saproxyliques ou autres ravageurs des bois et la sénescence. L’intégration des arbres morts dans les plans aménagements est alors indispensable pour assurer un très bon fonctionnement des écosystèmes forestiers du Bénin.
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Aubréville, André, e Ilona Bossanyi. "Wild Forests or Silviculture". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, n.º 323 (7 de janeiro de 2015): 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31243.

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Dans les pays forestiers du Golfe de Gui- née, l’enrichissement des forêts denses, naturellement très pauvres en essences commercialisables, a vu le jour dans les années 1920. Il apparaît en effet indispen- sable de compenser les pertes de l’exploi- tation par des opérations sylvicoles qui assureront la reconstitution de la compo- sition primitive en bonnes espèces. Une telle activité, parfois vivement détractée, mais qui convertirait pourtant favorable- ment des forêts sauvages en forêts valo- risables, ne peut être conçue que dans la durée. Cela n’est possible que si les moyens mis à disposition des forestiers sont garantis durablement. L’enrichis- sement se justifie par le faible nombre d’essences forestières commercialisées, lesquelles demeureront les mêmes dans cinquante ans parce qu’elles disposent des meilleures propriétés technolo- giques. Une forêt enrichie en okoumés, limbos et niangons, avec une production de 50 à 60 arbres exploitables par hec- tare, aura donc toujours plus de valeur qu’une forêt sauvage. Cet enrichissement est justifié par la raréfaction progressive des espèces les plus exploitées, inaptes à se renouveler sous un couvert dense. On sait par exemple que les zones riches en okoumés ne le sont que parce qu’elles ont été précédées par l’occupation an- cienne de populations humaines qui ont depuis disparu. L’enrichissement se justi- fie aussi pour éviter que l’exploitation ne se diffuse à l’ensemble des massifs fores- tiers et entraîne progressivement leur dis- parition. Les scieries font en effet souvent le vide autour d’elles, et les pistes fores- tières concourent au mitage des forêts, jusqu’à leur mise en valeur agricole. Sans classement de forêts et sans sylviculture, il n’y aura plus, dans quelques dizaines d’années, ni forêts économiquement ex- ploitable, ni industries forestières en vue du commerce d’exportation.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Doligez, Agnès, Claire Baril e Hélène I. Joly. "Structure spatiale génétique et niveau de diversité intrapopulation chez les arbres forestiers". Genetics Selection Evolution 30, Suppl 1 (1998): S167. http://dx.doi.org/10.1186/1297-9686-30-s1-s167.

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GARBAYE (Jean) e GUEHL (J.M.). "Le Rôle des ectomycorhizes dans l'utilisation de l'eau par les arbres forestiers." Revue Forestière Française, sp (1997): 110. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5661.

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BONDUELLE, P., e E. TEISSIER DU CROS. "Amélioration des arbres forestiers pour la production de biomasse à court terme". Revue Forestière Française, S (1986): 191. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25724.

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LÉVIEUX, J. "Exemples d'études de la résistance génétique des arbres forestiers aux attaques d'insectes". Revue Forestière Française, S (1986): 234. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25733.

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KAUSHAL, P. "Analyse écophysiologique des effets de stress liés aux transplantations des arbres forestiers". Annales des Sciences Forestières 45, n.º 1 (1988): 75–76. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19880106.

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Belingard, Christelle, Lucien Tessier e Jean-Louis Édouard. "Reboisement et dynamique naturelle dans les forêts sub-alpines (Haut-Verdon, Alpes du Sud, France)". Géographie physique et Quaternaire 52, n.º 2 (2 de outubro de 2002): 227–36. http://dx.doi.org/10.7202/004767ar.

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Résumé Cette étude s'inscrit dans le courant des recherches sur la restauration des écosystèmes forestiers dégradés. En France, la forêt d'altitude, détruite au cours des siècles à des fins pastorales, a été replantée il y a environ 100 ans afin de stabiliser les sols alors très érodés. Avec presque un siècle de recul, nous avons tenté de dresser un bilan de ces opérations de reforestation pour un site des Alpes du Sud. L'objectif était de faire la part relative des processus naturels de recolonisation et de l'effet des opérations de reboisement (réussite ou échec) sur l'état actuel du couvert forestier près de ses limites supérieures. Deux analyses complémentaires sont mises en œuvre : 1) une analyse de documents d'archives concernant le déroulement du reboisement et l'évolution de la superficie boisée ; 2) une analyse dendrochronologique à la limite supérieure de la forêt et dans les peuplements situés au-dessus, pour évaluer l'âge des arbres et l'impact des principaux facteurs environnementaux sur leur croissance. Les espaces boisés situés au-dessus de la forêt se révèlent être des restes de la reforestation. La plupart des arbres plantés n'ont pas survécu. La régénération naturelle n'a pas pris le relais des plantations. Pourtant, les contraintes climatiques altitudinales ne peu- vent être considérées comme des facteurs limitatifs majeurs de la croissance radiale sur le site. Il semblerait que la cause réelle de cet échec soit le changement de substrat, qui intervient à partir de 2000 m d'altitude. En dessous de cette barre, la restauration de la forêt est un succès, même sur les terrains difficiles à coloniser comme les anciennes prairies. À l'intérieur même des plantations, les processus naturels prennent le relais des opérations de reboisement.
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SCHMITT, Sylvain. "Génomique écologique de l’exploitation de niche et de la performance individuelle chez les arbres forestiers tropicaux". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 360 (1 de junho de 2024): 87–88. http://dx.doi.org/10.19182/bft2024.360.a37566.

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Partiellement inexpliquée et aux origines encore en débat, les forêts tropicales abritent la plus grande diversité d'espèces au monde. Même à l'échelle de l'hectare, elles abritent des genres diversifiés, avec des espèces d’arbres étroitement apparentées coexistant en sympatrie. En raison de contraintes phylogénétiques, on s'attend à ce que ces espèces possèdent des niches et des stratégies fonctionnelles similaires, ce qui interroge les mécanismes de leur coexistence locale. Ces espèces formeraient un complexe d'espèces, composé d’espèces morphologiquement similaires ou qui partagent une importante proportion de leur variabilité génétique en raison d'une ascendance commune récente ou d'hybridation, et qui résulterait d'une radiation écologique adaptative des espèces selon des gradients environnementaux. Malgré le rôle clé des complexes d'espèces dans l'écologie, la diversification et l'évolution des forêts néotropicales, les forces éco-évolutives à l’origine de leur diversité restent méconnues. Nous avons exploré la variabilité génétique intraspécifique, et mesuré son rôle sur la performance individuelle des arbres à travers leur croissance, tout en tenant compte des effets d'un environnement finement caractérisé aux niveaux abiotique et biotique. En combinant inventaires forestiers, topographie, traits fonctionnels foliaires, et des données de capture de gènes dans le dispositif de recherche permanent de Paracou, en Guyane française, nous avons utilisé la génomique des populations, les analyses d'associations environnementales et génomiques, et la modélisation bayésienne sur les complexes d'espèces Symphonia et Eschweilera. Nous avons montré que les complexes d'espèces d'arbres couvrent l’ensemble des gradients locaux de topographie et de compétition présents dans le site d'étude alors que la plupart des espèces qui les composent présentent une différenciation de niche marquée le long de ces mêmes gradients. Plus précisément, dans ces complexes d'espèces, la diminution de la disponibilité en eau, le long de la topo séquence, a entraîné une modification des traits fonctionnels foliaires, depuis des stratégies d'acquisition à des stratégies conservatrices, tant entre les espèces qu'au sein de celles-ci. Les espèces de Symphonia sont génétiquement adaptées à la distribution de l'eau et des nutriments, coexistant localement en exploitant un large gradient d'habitats locaux. Inversement, les espèces d'Eschweilera sont différentiellement adaptées à la chimie du sol et évitent les habitats les plus humides et hydromorphes. Enfin, les génotypes individuels des espèces de Symphonia sont différentiellement adaptés pour se régénérer et croître en réponse à la fine dynamique spatio-temporelle des trouées forestières, avec des stratégies adaptatives de croissance divergentes le long des niches de succession. Par conséquent, la topographie et la dynamique des trouées forestières entraînent des adaptations spatio-temporelles à fine échelle des individus au sein et entre les espèces des complexes d'espèces Symphonia et Eschweilera. Ainsi, nous suggérons que les adaptations à la topographie et à la dynamique des trouées forestières pourraient favoriser la coexistence des individus au sein et entre les espèces d'arbres de forêts matures, appuyant le rôle primordial des individus au sein des espèces dans la diversité des forêts tropicales.
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Vitasse, Yann, Thomas Wohlgemuth e Andreas Rigling. "Les forêts face aux sécheresses et canicules : causes de dépérissements, facteurs aggravants et différences de sensibilité entre les espèces". Revue forestière française 74, n.º 2 (23 de junho de 2023): 121–32. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2023.7586.

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Des sécheresses impactant fortement les forêts se sont déjà produites dans le passé en Europe (1911, à la fin des années 1940, 1976). Les plus récentes des étés 2003, 2018 et 2022, ont été marquées également par des vagues de chaleur sans précédent. L’augmentation prévue des épisodes de sécheresses extrêmes et des canicules constitue un défi majeur pour les forestiers œuvrant pour une gestion durable permettant de fournir des services de qualité. Cet article apporte des explications sur les effets combinés des fortes chaleurs et sécheresses sur la santé des arbres en liaison avec les changements phénologiques des plantes et des insectes. Enfin, les comportements différentiels de la réponse à des sécheresses des principales espèces européennes observés par approche dendrochronologique apporte des informations sur les espèces à privilégier dans le futur. Messages clésL’augmentation attendue de la fréquence et de l’intensité des sécheresses et chaleurs extrêmes va modifier l’état sanitaire des forêts.Le développement de ravageurs forestiers pourrait être plus rapide avec le réchauffement fragilisant davantage nos forêts.Une modification de la sylviculture pourrait grandement aider à la préservation de forêts en bonne santé.
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