Literatura científica selecionada sobre o tema "Anscombe, Gertrude Elizabeth Margaret (1919-2001) – Morale"

Crie uma referência precisa em APA, MLA, Chicago, Harvard, e outros estilos

Selecione um tipo de fonte:

Consulte a lista de atuais artigos, livros, teses, anais de congressos e outras fontes científicas relevantes para o tema "Anscombe, Gertrude Elizabeth Margaret (1919-2001) – Morale".

Ao lado de cada fonte na lista de referências, há um botão "Adicionar à bibliografia". Clique e geraremos automaticamente a citação bibliográfica do trabalho escolhido no estilo de citação de que você precisa: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

Você também pode baixar o texto completo da publicação científica em formato .pdf e ler o resumo do trabalho online se estiver presente nos metadados.

Teses / dissertações sobre o assunto "Anscombe, Gertrude Elizabeth Margaret (1919-2001) – Morale"

1

Deng, Yunyan. "The Moral Philosophy of Elizabeth Anscombe : Virtue, Action, Language". Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2024. http://www.theses.fr/2024ULILH024.

Texto completo da fonte
Resumo:
Elizabeth Anscombe, une des grandes philosophes du vingtième siècle, a travaillé sur de nombreux sujets philosophiques. L'objectif de cette recherche est d'étudier sa philosophie morale, en particulier la manière dont elle est liée à ses travaux sur d'autres sujets. Cette recherche commence par les trois thèses présentées dans son article « Philosophie morale moderne », son article le plus connu en philosophie morale, en présentant d'abord que la discussion d'Anscombe sur la philosophie morale implique la théorie de l'action, la philosophie du langage, l'éthique de la vertu, etc. et en suggérant que sa philosophie morale devrait être étudiée dans le contexte historique dans lequel elle écrit. Après avoir présenté le cas de Truman, le conséquentialisme qui prévalait parmi ses contemporains, et ses amis pendant ses études et son travail à Oxford (chapitre 1), je discute de la manière dont les écrits d'Anscombe sur l'éthique de la vertu aristotélicienne (chapitre 2), la théorie de l'action (chapitre 3), et la philosophie du langage (chapitre 4) ont façonné différents points de vue de sa philosophie morale. Ensuite, j'examine le rôle de son article « philosophie morale moderne » en tant que renouveau contemporain de l'éthique de la vertu, afin de montrer que ni Anscombe ni ses disciples n'ont pris exclusivement Aristote comme ressource pour leur éthique, et que seuls les éthiciens qui se consacrent à expliquer comment les actions intentionnelles sont liées aux pensées sur le bien et le mal ont véritablement hérité des idées d'Anscombe. Enfin, je conclus que le travail d'Anscombe sur la philosophie morale ne forme pas un système, mais qu'il représente une perspective féminine de la philosophie (chapitre 5)
Elizabeth Anscombe, one of the greatest philosophers of the 20th Century, has worked on many topics in philosophy. The purpose of this work is to study her moral philosophy, especially how it relates to her work on other topics. This work starts with the three theses presented in her paper “Modern Moral Philosophy”, her most well-known paper in moral philosophy, first presenting that Anscombe's discussion of moral philosophy involves action theory, philosophy of language, virtue ethics, and so on, and suggesting that her moral philosophy should be studied in the historical context in which she writes. After introducing Truman's case, the consequentialism prevalent among her contemporaries, and her friends during her studies and work at Oxford (Chapter 1), I discuss how Anscombe's writings on Aristotelian virtue ethics (Chapter 2), action theory (Chapter 3), and philosophy of language (Chapter 4) shaped her moral philosophy from different perspectives. Then, I examine the role of “Modern Moral Philosophy” as a contemporary revival of virtue ethics, in order to show that neither Anscombe nor her followers have taken Aristotle exclusively as the resource for their ethics, and that only ethicists who devote themselves to explaining how intentional actions are linked to thoughts about good and bad have truly inherited Anscombe's ideas. At last, I conclude that Anscombe's work on moral philosophy does not form a system, but it represents a female perspective of doing philosophy (Chapter 5)
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
2

Goldstein, Pierre. "La question de la moralité dans l'éthique néo-aristotélicienne depuis G.E.M. Anscombe". Thesis, Université Côte d'Azur (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017AZUR2038/document.

Texto completo da fonte
Resumo:
L’éthique néo-aristotélicienne développée à la suite du programme proposé par G.E.M. Anscombe en 1958 exclut-elle la notion de moralité ? Anscombe contestait la pertinence de la notion de « devoir moral ». Cela implique-t-il que l’on doive, pour la suivre, renoncer à toute distinction entre le « moral » et le « non moral » ? La défense d’un absolutisme moral motivait les analyses d’Anscombe concernant « l’intention ». Les critiques du légalisme, du conséquentialisme ou du subjectivisme qui sont menées dans le sillage de « La philosophie morale moderne » par les principaux représentants de l’éthique néo-aristotélicienne – Philippa Foot, Alasdair MacIntyre, Rosalind Hursthouse ou Martha C. Nussbaum – répondent au même type de préoccupation. Les néo-aristotéliciens cherchent à opposer aux conceptions modernes de la rationalité morale l’idée d’une rationalité pratique homogène. Mais c’est pour montrer qu’elle est intrinsèquement liée à la vertu. Dans le même esprit, ils opposent à l’anti-naturalisme de la morale britannique du XXème siècle un naturalisme non réductionniste. Sous ces différents aspects, leur réflexion bénéficie des liens qu’elle renoue avec l’inspiration originelle de la méthode de la « psychologie » anscombienne. C’est ce qui permet à certains d’entre eux de poser les jalons d’une éthique fondée sur les notions de vertu et de bonheur, que celle-ci revendique ou non son appartenance à « l’éthique de la vertu ». A travers sa définition de « l’action humaine », cette éthique qui possède certains traits caractéristiques de l’éthique des Anciens, implique bien néanmoins une définition exigeante et originale de la moralité
Does neo-Aristotelian ethics, which was developed according to the programme by G.E.M. Anscombe in 1958, exclude the notion of morality? Anscombe challenged the relevance of the concept of ‘moral duty’. Does this imply that, to follow her programme, one must give up any distinction between ‘moral’ and ‘non-moral’? The defence of moral absolutism motivated Anscombe's ‘intention’ analyses. Critics of legalism, consequentialism or the subjectivism that was conducted in the wake of ‘Modern Moral Philosophy’ by the main representatives of neo-Aristotelian ethics—Philippa Foot, Alasdair MacIntyre, Rosalind Hursthouse and Martha C. Nussbaum—have responded to the same type of concern. The neo-Aristotelians, despite their disagreement on many points, seek to set the idea of a homogeneous practical rationality against modern conceptions of moral rationality; however, it is to show that rationality is intrinsically linked to virtue. In the same spirit, they set a non-reductionist naturalism against the anti-naturalist British ethics of the 20th century. Under these different aspects, their reflection benefits from a return to the original inspiration of Anscombe’s ‘psychology’ method. This return is also what allows some of them to lay the foundations for an ethical theory based on notions of virtue and happiness regardless of whether it claims to belong to ‘virtue ethics’ or not. Through its definition of ‘human action’, this ethical theory—which proposes to reconnect with certain characteristics of ancient ethics—implies, however, a demanding and original definition of morality
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
3

Gallardo, Gómez Andrés. "Lenguaje, acción y virtud en G.E.M. Anscombe". Tesis, Universidad de Chile, 2018. http://repositorio.uchile.cl/handle/2250/170390.

Texto completo da fonte
Resumo:
Tesis para optar al grado de Doctor en Filosofía
Esta tesis tiene por objeto contribuir a una interpretación de la obra de la filósofa inglesa G.E.M. Anscombe. Propondremos tres ideas-claves para sostener que hay una filosofía unitaria tras sus diversos y variados trabajos, a pesar de las dificultades señaladas por varios interpretes. La unidad de la filosofía de Anscombe está, en nuestra opinión, en una intención ética, una unidad metafísica, una unidad epistemológica y una concep-ción de la racionalidad que se sigue de ésta. Su intención ética es mostrar que la filoso-fía moderna no puede establecer que lo injusto es malo y esto hace que ella sea llevada a conclusiones desastrosas. Los problemas filosóficos son enfrentados desde una perspectiva próxima de la de Wittgenstein, en la que se pone atención al lenguaje, esta filosofía fundamental, aunque no fundacional, la llamaremos “metafísica”. Mostraremos como esta manera de tratar los problemas es una constante en toda la obra y que, además, tiene una conexión esencial con la manera de tratar los problemas filosóficos. Al aplicar este método al análisis de la acción aparecerá la especificidad del conoci-miento práctico como modo propio del ser humano en tanto que agente racional. Las excelencias de las capacidades psicológicas o antropológicas de este agente racional, es decir, sus “virtudes”, estarán en la base de la filosofía moral.
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
4

Aucouturier, Valérie. ""En termes de langage" : l'articulation entre intention , action et langage dans l'oeuvre de G.E.M. Anscombe". Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010669.

Texto completo da fonte
Resumo:
Ce travail aborde la philosophie de I'action d'E. Anscombe depuis la perspective du langage. Une thèse centrale de celle-ci est qu'une action est toujours envisagée sous une description dont l'action intentionnelle serait une des formes majeures. L'action serait indissociable du langage en tant que produit d'une pratique linguistique particulière consistant notamment à fournir des raisons d'agir. L'ancrage linguistique de I'action suggère I'impossibilité d'expliquer I'action en dehors des catégories de langage qui lui sont propres. Nous défendons cette approche à I'encontre des conceptions de l'action visant à sa naturalisation. Notre propos s'appuie sur I'idée de la possibilité de défendre une conception dite « extemaliste» des intentions qui ne les réduit pas a une donnée introspective invérifiable. Nous articulons deux idées: Ie caractère essentiellement linguistique de l'action et sa dépendance à une réalité extralinguistique, à laquelle on ne peut cependant la réduire.
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
5

Pavlopoulos, Marc. "L'intentionnalité pratique entre causes et raisons". Paris, EHESS, 2008. http://www.theses.fr/2008EHES0017.

Texto completo da fonte
Resumo:
Qu'est-ce qu'une action intentionnelle? Quel est le rapport entre intentionnalité, rationalité et raisons d'agir? La discussion des causes et des raisons en philosophie de l'action est brouillée: la vraie question n'est pas la relation, causale ou non, entre intention et action ; mais savoir si ce qui rend une action intentionnelle est un fait naturel, ou une forme linguistique. Or on ne peut agir intentionnellement sans maîtriser la description de son action. L'intention doit être soigneusement distinguée de la volonté motrice: l'intention n'est pas l'initiation d'un mouvement mais une pensée d'action en première personne, une «connaissance pratique» (Anscombe). La véritable origine de l'antinomie des causes et des raisons est l'asymétrie des verbes psychologiques (Wittgenstein), dont les verbes d'action font partie. L'explication causale est un point de vue de troisième personne, alors que le point de vue des raisons est en première personne. Leur confusion mène à des erreurs massives sur la rationalité pratique. C'est surtout dans le domaine de la psychologie morale que la dispute des causes et des raisons prend sens: elle éclaire la question du rapport entre motivation et raison d'agir. Le raisonnement pratique débouche sur l'action donc motive, mais sa principale caractéristique est sa défaisabilité : aucune raison n'est absolue, donc pourquoi la suivre? Diverses formes de scepticisme sont envisagées. On aboutit à la conclusion qu'il y a bien une inférence pratique, dans laquelle raison et volonté viennent se tondre (Aristote). L'inférence pratique est matérielle et non tonnelle. On jette enfin les bases d'une théorie expressiviste du raisonnement pratique
What is an intentional action? How do intentionality, rationality and having a reason to act relate? The debate between reasons and causes is badly put: the real question is not whether the relationship between intention and action is causal or not, but whether what makes an action intentional is a natural fact, or a form of description (Anscombe). Acting intentionally does require possession of the description under which the action is intentional, so intentional action is best approached by reasons. Having an intention is not willing: the intention is not the start of action, but a first-personal action-thought or -'practical knowledge. " The antinomy between reasons and causes really stems from the asymmetry of psychological verbs (Wittgenstein). For action verbs too are psychological verbs, even though they relate to happenings that take place outside our bodies. Causal explanations of action are typically third-personal, whereas reasons are always first-personal. Confusions between theses two standpoints lead to tremendous errors on the nature of practical rationality. The distinction between reasons and causes really becomes insightful when applied to moral psychology: it sheds light on the question of reason and motivation. Practical reasoning leads to action, and therefore motivates; but it is also defeasible (or non-monotonic). If reasons for action never are complete, why act on them? Various forms of skepticism are envisioned. I conclude that practical reasoning is a genuine form of inference, but a material, not a formaI one, in which will and intelligence melt (Aristotle). I finally advocate an expressivist account of practical reasoning
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
6

Giannopoulou, Archontoula. "Les limites de l'idéalisme linguistique : pour une élucidation du concept de vérité". Paris, EHESS, 2010. http://www.theses.fr/2010EHES0134.

Texto completo da fonte
Resumo:
L'idéalisme linguistique nous apprend que les conditions de sens de nos jugements sont fixées par nous et qu'il n'y a rien à chercher au-delà de ces conditions. La question se pose de savoir pourquoi ce postulat ne peut guère s'appliquer au domaine pratique, où nous sommes rarement certains du sens que nous donnons à nos jugements. Pourquoi avons-nous besoin de chercher de nouvelles déterminations du sens lorsque nous sommes confrontés à des questions pratiques" ? Il semble que le phénomène de la sous-détermination du sens soulève des doutes quant à l'étendue de notre capacité de juger (ou si J'on préfère, quant à l'usage ordinaire du concept de vérité). Nous tâcherons de montrer que, pour l'idéaliste linguistique, la sous-détermination cognitive est un problème sceptique relevant du domaine de la nécessité logique (ou théorique). Ce sera le cas de conceptions philosophiques du langage aussi différentes que la théorie de l'assertion de Dummett et la philosophie de la communication de Habermas et Appel. Or la sous-détermination du sens est un problème anthropologique - et dans un certain sens pratique -qui relève du domaine de la nécessité pratique. Le philosophe est appelé à défendre la pratique du jugement contre les doutes réels qui émanent du fait que nous sommes des êtres nécessiteux. Dans cette thèse, nous présenterons la philosophie anthropologique de Wittgenstein, la philosophie de l'action d'Anscombe, la théorie de l'enquête de Peirce et la philosophie des besoins de Wiggins comme des exemples de pensées qui réussissent à dépasser l'idéalisme linguistique pour atteindre un réalisme qualifié selon des critères pratiques. Notre objectif est de montrer comment la pensée de ces quatre philosophes met en lumière la richesse de la conception ordinaire de la vérité et contribue ainsi à une élucidation du concept de vérité
Linguistic idealism teaches us that the sense-conditions of our judgments have been fixed by us and that there is nothing to search for beyond these conditions. One is bound to ask why this postulate can hardly be applied to the practical domain, where we are merely absolutely certain of the meaning we give to our judgments. Why are we in need of new determinations of meaning when we are confronted with practical questions? The phenomenon of under determinacy of meaning seems to raise doubts about the extent of our judgment capacity (or, if we prefer, about the ordinary employment of the concept of truth). I will attempt to show that, for the linguistic idealist, cognitive undertemination is a skeptical problem belonging to the domain of logical (or theoretical) necessity. This will be shown through two different philosophical conceptions of language: Dummen 's theory of assertion, as well as Habermas's and Apel's philosophy of communication. Now underdeterminacy of meaning is an anthropological problem -and in a certain sense a practical problem -that relates to the domain of practical necessity. The philosopher is called upon to defend the practice of judgment against real doubts triggered by the human condition of being in need. Ln this thesis I will present Wittgenstein's anthropological philosophy, Anscombe's philosophy of action, Peirce's theory of inquiry and Wiggins's philosophy of needs as paradigms of thought that succeed in going beyond linguistic idealism so as to reach a realism qualified by practical criteria. My point is to show how the thought of these four philosophers illuminates the richness of the ordinary conception of truth and thus contributes to an elucidation of the concept of truth
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
7

Costa, Pedro Miguel Ferrão da. "Anscombe under a description". Master's thesis, 2016. http://hdl.handle.net/10451/26346.

Texto completo da fonte
Resumo:
Os talentos de Elizabeth Anscombe como filósofa são universalmente reconhecidos no que diz respeito às obras que desenvolveu em áreas como a metafísica e a filosofia da acção. Quando se trata, contudo, do que escreveu sobre ética isto deixa de ser verdade. Embora o seu ensaio de 1958, “Modern Moral Philosophy”, tenha tido uma influência significativa na filosofia moral do seu tempo, considerando-se aliás que promoveu um interesse renovado no estudo das virtudes, os seus ensaios sobre questões práticas foram quase esquecidos. Quando referidos, são condenados e postos de parte como pregações. Defenderei que o facto de Anscombe ser Católica não influencia em nenhum aspecto essencial a sua ética: os pontos fortes que tem como filósofa estão tão à vista nesta área quanto em qualquer outra. Recorrerei a “Modern Moral Philosophy”, Intention e aos ensaios de ética aplicada. Quando conseguirmos compreender o ponto do primeiro e de ver a luz que o segundo deita sobre conceitos como os de ‘intenção’ e ‘voluntariedade’, seremos capazes de apreciar a profundidade e importância do que Anscombe tem para dizer sobre coisas como o aborto, a eutanásia ou o roubo.
Elizabeth Anscombe’s talents as a philosopher are universally recognised in what regards her works in such areas as metaphysics and the philosophy of action. When we come, however, to what she wrote on ethics this ceases to be true. Though her 1958 essay “Modern Moral Philosophy” had a significant influence on the moral philosophy of its time, being in fact credited with having promoted a renewed interest in the study of virtues, her essays on practical issues were almost forgot. When mentioned at all, they are condemned and dismissed as preaching. I shall argue that the fact that Anscombe was a Roman Catholic does not influence in any essential respect her ethics: her strengths as a philosopher are as much open to view in this area as in any other. In order to prove this I will draw on “Modern Moral Philosophy”, Intention and her applied ethics. Once we understand the point of the first and see the light the second sheds on such concepts as ‘intention’ and ‘voluntariness’ we will be able to appreciate the depth and importance of what she has to say on such things as abortion, euthanasia or theft.
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.

Capítulos de livros sobre o assunto "Anscombe, Gertrude Elizabeth Margaret (1919-2001) – Morale"

1

Teichman, Jenny. "Gertrude Elizabeth Margaret Anscombe 1919–2001". In Proceedings of the British Academy, Volume 115 Biographical Memoirs of Fellows, I. British Academy, 2003. http://dx.doi.org/10.5871/bacad/9780197262788.003.0002.

Texto completo da fonte
Resumo:
Elizabeth Anscombe, Fellow of the British Academy and an Honorary member of the American Academy of Arts and Sciences, was a philosopher who worked at the universities of Oxford and Cambridge. Her published works include Intention (1957, 1963, 2000) and An Introduction to Wittgenstein's Tractatus (1959). Obituary by Jenny Teichman.
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
Oferecemos descontos em todos os planos premium para autores cujas obras estão incluídas em seleções literárias temáticas. Contate-nos para obter um código promocional único!

Vá para a bibliografia