Literatura científica selecionada sobre o tema "Anglo-Indiens"

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Artigos de revistas sobre o assunto "Anglo-Indiens"

1

Sayre, Robert. "La violence guerrière des Indiens : représentations et réactions anglo-américaines au XVIIIe siècle". XVII-XVIII. Revue de la société d'études anglo-américaines des XVIIe et XVIIIe siècles 44, n.º 1 (1997): 61–72. http://dx.doi.org/10.3406/xvii.1997.1366.

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Labrecque, Marie France. "Féminicide". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.011.

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Resumo:
Le recours au terme féminicide, dans son sens premier, a pour but de souligner la spécificité de certains meurtres de femmes. Ce premier sens rejoint celui du terme anglais femicide utilisé et diffusé largement à partir des années 1990. La définition la plus élémentaire est celle selon laquelle le femicide est le meurtre misogyne de femmes par des hommes (Radford et Russell 1992: xi). L’évènement emblématique correspondant à cette définition est celui des meurtres de l’École polytechnique de l’Université de Montréal, le 6 décembre 1989, alors que 14 femmes ont été ciblées explicitement parce qu’elles étaient des femmes et abattues par un homme qui, sur le site même, s’est donné la mort. Plus précisément, comme l’écriront Caputi et Russell (1992: 15), le femicide est le point d’aboutissement ultime d’un continuum de violence et de terreur incluant une large variété d’abus verbaux et physiques, et s’exerçant spécifiquement à l’endroit des femmes. En d’autres termes, on peut parler de femicide lorsque le viol, par exemple, ou encore l’esclavage sexuel, l’inceste, l’hétérosexualité forcée, les mutilations génitales ou celles effectuées au nom de la beauté comme la chirurgie esthétique, provoquent la mort d’une femme. Cette définition est encore largement utilisée, particulièrement dans le monde anglo-saxon, et elle demeure fondamentale. Cependant, il est possible et souhaitable d’y ajouter d’autres dimensions qui relèvent davantage de la structure sociale plus large, notamment en y introduisant plus explicitement le concept de genre. Il revient aux latino-américaines d’avoir proposé des définitions qui tiennent compte de ces dimensions en même temps qu’elles ont imposé le terme féminicide, une traduction littérale du terme espagnol feminicidio. Pour des auteures comme Fregoso et Bejarano (2010), l’adhésion au terme féminicide plutôt que fémicide, est une posture politique qui reconnaît l’apport du « Sud global », c’est-à-dire l’apport des chercheures et activistes de cette région du monde. Ainsi, la Mexicaine et ex-députée du Parti de la révolution démocratique, Marcela Lagarde, considère que le féminicide est une forme extrême de violence de genre. Trois facteurs sont à l’œuvre et se combinent pour rendre possible le féminicide : premièrement, le manque de respect des droits humains des femmes, notamment en ce qui a trait à leur sécurité; deuxièmement, l’impunité dont bénéficient les meurtriers et, troisièmement, l’irresponsabilité des autorités et surtout de l’État. Elle affirme même que le féminicide est un crime d’État (Lagarde 2010: xxiii). La posture de Lagarde découle dans une large mesure du cas de la ville de Ciudad Juárez au Mexique (voir également Labrecque 2012). Il s’agit d’une ville située à la frontière entre le Mexique et les États-Unis où, entre le milieu des années 1990 et 2006, moment où Lagarde a énoncé sa définition du féminicide, il s’était produit plus de 300 meurtres de femmes, ce qui représentait une proportion plus élevée que dans des villes au profil équivalent. Les meurtres à Ciudad Juárez ont tôt fait de marquer l’imaginaire collectif, surtout parce que les cadavres étaient retrouvés sur les terrains vagues ou dans le désert, que les femmes avaient été violées et torturées, et que leur corps avait été cruellement mutilé. C’est d’ailleurs ce qu’une chercheuse comme Monárrez Fragoso a appelé le « féminicide sexuel systémique », le distinguant du même coup du féminicide intime (évitant ainsi le détournement de sens que produit l’expression « crime passionnel »), et aussi du féminicide en raison d’occupations risquées ou stigmatisées. Ces distinctions entre les divers types de féminicides, et globalement leur différenciation d’avec les assassinats de femmes plus généralement, ont une finalité juridique, soit de faire en sorte que les coupables soient punis de façon spécifique (Monárrez Fragoso 2009: 10). Certes, tous les meurtres de femmes commis dans le monde ne sont pas des féminicides et il importe de tenir compte du contexte dans lequel ces meurtres se produisent. Dans certains pays, il règne une violence structurelle qui se traduit par toutes sortes d’autres types de violence y compris à l’intérieur des foyers. Or la sécurité des citoyens en général et celle des femmes en particulier relève de l’État. Dans la mesure où la violence structurelle est tolérée ou même provoquée et entretenue par l’État, on peut affirmer que ce dernier porte la responsabilité des meurtres de femmes, qu’ils se produisent dans des lieux publics ou au sein de leur foyer. On voit que la ligne de démarcation entre les féminicides et les meurtres de femmes est souvent très ténue ou même inexistante selon le contexte. Si on peut attribuer au déficit d’État le fait que des pays comme le Salvador, la Jamaïque, le Guatemala et l’Afrique du sud présentent les taux les plus élevés de féminicides au monde (Small Arms Survey 2012), comment expliquer qu’il s’en produise dans des pays développés comme, notamment, le Canada? La Gendarmerie royale du Canada, à partir de données d’abord colligées par l’Association des femmes autochtones du Canada (AFAC 2010), a confirmé qu’entre 1980 et 2014, quelque 1049 femmes autochtones avaient été tuées et 174 étaient disparues (GRC 2015). Comparés aux moyennes nationales, ces données révèlent notamment que le taux d’homicides chez les femmes autochtones du Canada est sept fois plus élevé que chez les femmes non-autochtones. L’État canadien est certes un État de droit, il n’en comporte pas moins certaines caractéristiques patriarcales et coloniales héritées des siècles antérieurs. La plupart des Premières nations du Canada sont encore régies par la Loi sur les Indiens émise en 1867. Bien que les articles discriminatoires à l’égard des femmes aient été amendés, l’esprit de la loi continue de planer au-dessus de ces dernières de sorte que leur vie semble valoir moins que celle de leurs consœurs non-autochtones. En d’autres termes, en plus du facteur « genre », les facteurs « classe » et « race » - celle-ci étant entendue comme construction sociale – sont à l’œuvre. En somme, les définitions du féminicide ouvrent sur deux voies convergentes et complémentaires : celle de l’analyse intersectionnelle de la violence qui se base sur la prise en compte simultanée de la classe, du genre et de la race, et celle des revendications sur le plan légal et institutionnel qui confrontent plus directement l’État. Cette dernière voie a ses exigences propres, dont celle de l’urgence : on a certes besoin de la recherche et de l’analyse pour comprendre ce qui se passe, mais on a également besoin d’outils pratiques (tels que des législations) pour dénoncer les crimes et exiger réparation. En ce sens, depuis 2010, le féminicide a été défini comme un crime spécifique dans le code pénal d’un certain nombre de pays en Amérique latine. Il s’agit là d’une avancée remarquable pour les femmes, mais elle est de loin insuffisante sur les plans de l’équité et l’égalité de genre
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Teses / dissertações sobre o assunto "Anglo-Indiens"

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Zlitni, Mouna. "Colonies anglaises et terres indiennes : dynamiques et enjeux de la cohabitation entre Indiens et Puritains dans le sud de la Nouvelle Angleterre au XVIIe siecle". Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040154.

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Resumo:
La question relative à la propriété de la terre, de son usage et de son transfert entre les Indiens du sud de la Nouvelle Angleterre et les colons puritains venus s’installer parmi eux a non seulement été le sujet d’un bon nombre d’études et a toujours été un sujet de forte controverse. Cependant rares sont les études qui ont tenté de remettre en question ou de revoir la thèse qui décrète que les Indiens ont été dépossédés de leur terre par les colons anglais. C’est pourquoi il nous a paru intéressant d’aller au-delà de cette perspective traditionnelle de dépossession. Dans ce sens, l’objet de cette thèse est de démontrer que ce transfert de terre pourrait être considéré comme une transaction foncière réglementaire donnant suite à un échange équitable entre deux parties mutuellement consentantes. Nous visons à présenter une image différente de l’Indien de celle de la victime de la colonisation puritaine qui le présente comme un Indien passif, soumis et à qui on inflige une condition.Pour ce faire, nous nous baserons sur l’analyse des actes de vente de terres intervenus entre les tribus indiennes du sud de la Nouvelle Angleterre et les colons anglais, et ce dans la période comprise entre 1620 et 1676. Notre analyse de ces documents se fera selon une perspective ethno-historique
The question of land property, use and transfer between the Indians of southern New England and the Puritans who settled among them has been the subject of a large literature and has always been a highly controversial issue. Giving the fact that this issue has always been referred to as a dispossession, we thought it interesting to go beyond this traditional perspective. Indeed, we propose to show that this movement of land transfer can be considered as a legal and just land transaction and that it was equitable to both parties. We also aim at presenting another image of the Indian; an image different from the one depicting him as a submitted Indian and a victim of colonial invasion and cultural assault. Our study is based on an ethnohistorical analysis of the land deeds that took place between the Indians and the English colonists in southern New England between 1620 and 1676
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Lahiri, Shompa. "Indians in Britain : Anglo-Indian encounters, race and identity, 1880-1930 /". London : F. Cass, 2000. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37220480p.

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Merrien, Nathalie. "La comédie humaine dans les romans indiens de John Masters". Rennes 2, 1994. http://www.theses.fr/1994REN20020.

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Resumo:
John Masters (1914-1983) est l'auteur de huit romans sur l'Inde britannique. Dans Coromandel | (1955), The deceivers (1952), Nightrunners of Bengal (1951), The lotus and the wind (1953), Far, Far the mountain peak (1957), The Ravi lancers (1972), Bhowani junction (1954) et To the coral strand (1962), il évoque la fabuleuse épopée des anglais en Inde. Son oeuvre est une série d'aventures sur les grands épisodes qui ont marqué la rencontre des peuples Iindien et Britannique. Le personnage focal des récits de John Masters est un certain Savage, militaire de souche européenne. La famille Savage traverse les siècles de Coromandel | a To the coral strand créant ainsi une unité romanesque originale. Dans ces huit romans, Masters étudie les rapports entre les communautés Indienne, Anglaise et Anglo-indienne. Son intime connaissance du pays et de ses habitants fait de lui un précieux témoin de l'époque coloniale sur le plan de l'histoire, de la civilisation et des rapports humains. La lecture des romans révèle que la colonisation s'avère être une véritable comédie humaine tant les Anglais ont parfois joué un rôle ambigu
John Masters (1914-1983), who was born in Calcutta, is of the fifth generation of his family to have served in India. Masters retired from the army in 1948 as a lieutenant-colonel. He went to America and turned to writing. He wrote an outstanding series of novels set in British India including Night runners of Bengal (1951), The deceivers (1952), The lotus and the wind (1953), Bhowani junction (1954), Coromandel | (1955), Far, Far the mountain peak (1957), To the coral strand (1962) and The Ravi lancers (1972). The first member of the Savage family to reach India stepped ashore on The coral strand of Coromandel in 1628. From that date for 319 years, the Savages were bound to India by an ever-strengthening chain of event and emotion, of incident and accident, of power and sacrifice. This work shows how john masters wrote about the complex period of colonialism and how he managed to write very exiting stories in a simple language. All his novels deals with the specific events of the British in India and therefore are irreplaceable
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Livros sobre o assunto "Anglo-Indiens"

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Caplan, Lionel. Children of colonialism: Anglo-indians in a postcolonial world. New York: Oxford, 2001.

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Havholm, Peter. Politics and awe in Rudyard Kipling's fiction. Aldershot, Hants, England: Ashgate Pub., 2007.

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1937-, Velie Alan R., ed. The Lightning within: An anthology of contemporary American Indian fiction. Lincoln: University of Nebraska Press, 1991.

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Hildebrandt, Walter. Views from Fort Battleford: Constructed visions of an Anglo-Canadian West. Regina: Canadian Plains Research Centre, University of Regina, 2008.

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Humphreys, Josephine. Nowhere else on earth. Rockland, MA: Wheeler Pub., 2000.

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Poor Relations: The Making of a Eurasian Community in British India, 1773-1833 . Routledge; , 2013.

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7

Anglo-Indians and Minority Politics in South Asia. Taylor & Francis Group, 2017.

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8

Children of Colonialism: Anglo-Indians in a Postcolonial World. Bloomsbury Publishing Plc, 2001.

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9

Children of colonialism: Anglo-Indians in a postcolonial world. Oxford: Berg, 2001.

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10

Children of Colonialism: Anglo-Indians In a Postcolonial World. Bloomsbury Publishing Plc, 2001.

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