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Merunka, Dwight R., Philippe Wagner i Philippe Cavat. "L'utilisation du jugement managérial en marketing: la procédure d'analyse hiérarchique". Recherche et Applications en Marketing (French Edition) 1, nr 4 (grudzień 1986): 1–22. http://dx.doi.org/10.1177/076737018600100401.

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Les managers ont besoin de Systèmes d'Aide à la Décision simples et interactifs qui leur permettent de choisir efficacement les meilleures actions Marketing à mener ou qui leur permettent de choisir la meilleure solution parmi un ensemble d'alternatives possibles. Outre les modèles couramment employés en Marketing, ils ont besoin, face à un problème complexe, de Systèmes qui permettent d'établir des objectifs et des critères d'appréciation des solutions alternatives. Enfin, il est intéressant qu'un tel Système d'Aide à la Décision puisse intégrer spécifiquement leur propre jugement basé sur des années d'expérience dans le domaine. La Procédure d'Analyse hiérarchique est une méthode analytique récente qui permet de structurer un problème managerial complexe de manière hiérarchique et de déterminer l'importance relative des différents éléments de la hiérarchie. Elle constitue un Système d'Aide à la Décision simple et efficace qui utilise, en tant qu'inputs, les jugements des managers. Développée par Thomas Saaty, la méthode a été jusqu'ici assez peu appliquée au domaine de la prise de décision en Marketing. Son utilisation s'avère cependant à la fois intéressante et prometteuse, car elle fournit un guide pour l'action du Manager Marketing. Sa mise en œuvre est facile grâce à l'utilisation de logiciels interactifs disponibles sur micro-ordinateurs. Nous décrivons dans cet article la Procédure d'Analyse hiérarchique et les étapes de sa mise en œuvre. Nous montrons ensuite par des applications réalisées dans des entreprises françaises comment la méthode conduit à la prise de décision en Marketing.
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Bosque Sendra, Joaquin. "Hacia un sistema de ayuda a la decision espacial para la localización de equipamientos". Estudios Geográficos 61, nr 241 (29.11.2017): 567. http://dx.doi.org/10.3989/egeogr.2000.i241.542.

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Streszczenie:
Se describe el contenido y organización de un Sistema de Ayuda a la Decisión Espacial (SADE) (Spatial Decision Support System, SDSS), basado en un Sistema de Información Geográfica, diferentes modelos de localización-asignación y técnicas de evaluación multicriterio, que permita auxiliar a la determinación de la localización óptima de equipamientos sociales. [fr] On décrit le sujet et l'organisation d'un système d'aide á la décision spatial (Spatial Decision Support System, SDSS) à fin de prendre une décision (du point de vuespatial) obtenu á partir de: un Système d'Information Géographique (GIS), des différents modèles du localisation-assignation et du techniques d'Analyses Multicritère, qui permet nous aider à prendre une détermination la plus valable pour obtenir une localisation des équipaments sociaux.
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Balbo, Flavien. "Un système d'aide à la décision multi-agent appliqué au transport". Journal of Decision Systems 11, nr 1 (styczeń 2002): 7–31. http://dx.doi.org/10.3166/jds.11.7-31.

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TOUZEAU, J. "Réflexions sur CERES, système d'aide à la décision pour les traitements fongicides du blé". EPPO Bulletin 23, nr 4 (grudzień 1993): 551–55. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.1993.tb00549.x.

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El Yacoubi El Idrissi, Houda, Driss Bouami i Abdelghani Cherkaoui. "Système de management intégré vers un référentiel simple et élargi". Revue Française de Gestion Industrielle 29, nr 1 (1.03.2010): 7–34. http://dx.doi.org/10.53102/2010.29.01.616.

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Cette étude tente de présenter un modèle de "système de management intégré" qui regroupe les aspects qualité, environnement, santé, sécurité au travail et sécurité alimentaire. Ces différents aspects sont représentés par leurs référentiels respectifs, soit : ISO 9001, ISO 14001, OHSAS 18001 ET ISO 22000. Cet amalgame de systèmes de management normatifs est motivé par plusieurs intérêts et bénéfices. Le principal gain est d'élaborer un référentiel de système de management intégré commun et unique, qui constituera un outil d'aide à la décision, de maîtrise des risques et d'amélioration des performances de l'organisme. Pour répondre aussi aux exigences de la mondialisation, ce référentiel unique et intégrateur sera comparé à trois modèles d'excellence représentés par les prix : Américain, Européen et Asiatique. Par ailleurs, cette étude permettra de démontrer comment ce référentiel peut conduire le management de l'organisation vers un haut niveau de performance, d'efficacité et d'efficience.
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Jacopin, Bertrand, Emilie Andries, Yohann Beureno, Fabienne Mercier, Pierre-Yves Valantin i Yann Laborda. "Atlas dynamique des zones inondables : outil operationnel d'aide à la décision". La Houille Blanche, nr 1 (luty 2019): 13–18. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2019002.

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Le Syndicat Mixte d'Aménagement de la Vallée de la Durance (SMAVD) s'attache depuis de nombreuses années à compléter les portés à connaissances règlementaires par des études hydrauliques spécifiques. Pour cela, le SMAVD construit et exploite des modèles numériques Telemac 2D, qui, fréquemment mis à jour, reflètent fidèlement les mécaniques complexes d'inondation du secteur. Pour répondre aux besoins de ses communes membres et après un audit des acteurs de la prévention des risques, il est apparu prioritaire au SMAVD de développer un outil permettant de se préparer aux inondations, de transformer les prévisions de débits en prévision de zones inondables potentielles (ZIP). Sur un premier tronçon de rivière équipé de très nombreux ouvrages anciens peu fiables, les hydrauliciens du SMAVD ont élaboré une méthodologie de modélisation du cours d'eau permettant de représenter les conséquences aléatoires liées à la tenue ou à la rupture des ouvrages. Une gamme étendue de débits de débits de crue a été modélisée. La représentation graphique des résultats a été mise au point dans le cadre d'une large concertation : en étroite collaboration avec les représentants de la commune pilote de Villelaure (84) puis avec l'ensemble des utilisateurs identifiés. L'Atlas Dynamique des Zones Inondables (AZI) de la Durance constitue le document pivot des plans communaux de sauvegarde, un outil de mesure des conséquences des potentielles ruptures d'ouvrages, le chainon manquant entre prévision de débit et prévision d'inondation mais également une aide précieuse lors des projections opérationnelles des services de secours. Première action mise en œuvre dans la Stratégie Locale de Gestion du Risque Inondation (SLGRI) de la Durance, le projet AZI se déploie en régie interne au sein du SMAVD. Il couvre plus de 100 km de rivière. Il contribue au projet national Viginonde en mettant à disposition du Service de Prévision des Crues les différentes couches SIG des Zones Inondables Potentielles. L'outil sera par ailleurs largement partagé, avec entre autres les gestionnaires routiers, les communes et EPCI, les SDIS...
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DEPLACE, S., F. ZORZI, L. NICLOU, L. SOULARD i M. FLORI. "Dépistage de la trisomie 21 : création d'un outil d'aide à la décision à destination de la femme enceinte ou du couple en désir d'enfant". EXERCER 35, nr 201 (1.03.2024): 126–34. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2024.201.126.

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Contexte. En France, pendant la grossesse, le dépistage de la trisomie 21 est obligatoirement proposé depuis 2009. La décision de le réaliser ou non doit être une décision éclairée. Objectif. Créer un outil d’aide à la décision à destination des femmes enceintes et des couples attendant un enfant, pour les aider à prendre une décision en accord avec leurs valeurs. Méthode. À partir d’outils d’aide à la décision existants, un outil adapté aux recommandations françaises a été créé. Une recherche-action a été menée avec des groupes de professionnels de santé et d’usagers du système de santé. Les groupes de travail successifs ont permis des modifications progressives de l’outil, dans un but d’optimisation. Résultats. Quarante et une personnes ont participé à 7 groupes de travail. Les remarques faisant l’objet d’un consensus parmi les participants d’un groupe entraînaient une modification de l’outil. Celui-ci a été amélioré au fur et à mesure. Certains termes ont été adaptés pour apporter plus de neutralité. Certaines notions ont été précisées, ajoutées ou supprimées. Cinq versions de l’outil d’aide à la décision ont été successivement réalisées. La dernière version a été confiée à une graphiste pour optimiser l’aspect visuel. Conclusion. Cet outil valide les critères IPDAS (International Patient Decision Aids Standards) lui permettant d’être une réelle aide à la décision. Cet outil innovant apparaît comme un support de qualité apportant un soutien dans le processus de réflexion. Une évaluation de l’outil par les patientes et les soignants, d’une part, son actualisation, d’autre part, devront être réalisées.
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Esaki, Jean-Claude. "Un système interactif d'aide à la décision orienté objet pour la gestion d'un planning infirmier". Journal of Decision Systems 1, nr 1 (styczeń 1992): 35–57. http://dx.doi.org/10.1080/12460125.1992.10511508.

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Comolet, Arnaud, i Jean-Louis Weber. "Un instrument de connaissance et d'aide à la décision : le système de comptes du patrimoine français". Revue économique 41, nr 2 (1990): 243–68. http://dx.doi.org/10.3406/reco.1990.409209.

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Lieber, Jean, i Amedeo Napoli. "La représentation de points de vue dans le système d'aide à la décision en cancérologie KASIMIR". L'objet 13, nr 2-3 (7.09.2007): 143–75. http://dx.doi.org/10.3166/obj.13.2-3.143-175.

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Kohler, F., S. Monchovet, A. Patris, D. Vervin, L. Kagan-Meyer, M. Groussin-Weyland, D. Anthoine, O. Guerci i B. Legras. "Applications d'un système simple d'aide à la décision médicale à différents sujets de médecine interne SELF". La Revue de Médecine Interne 9, nr 2 (marzec 1988): 196–207. http://dx.doi.org/10.1016/s0248-8663(88)80123-1.

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Weber, Jean-Louis, i Arnaud Comolet. "Un instrument de connaissance et d'aide à la décision : le système de comptes du patrimoine français". Revue économique 41, nr 2 (1.03.1990): 243–68. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1990.41n2.0243.

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RAUSCHER (H.M.), SPEARMAN (J.E.), FOUT (C.P.), GILES (R.H.) i TWERY (M.J.). "La Planification de la gestion forestière privée aux États-Unis : un système pratique d'aide à la décision." Revue Forestière Française, nr 6 (2002): 609. http://dx.doi.org/10.4267/2042/4948.

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Comolet, Arnaud, i Jean-Louis Weber. "Un instrument de connaissance et d'aide à la décision: le système de comptes du patrimoine naturel français". Revue économique 41, nr 2 (marzec 1990): 243. http://dx.doi.org/10.2307/3501803.

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Pettang, Chrispin, Georges Kouamou i Laurent Mbumbia. "Pour un système interactif d'aide à la décision pour la résorption de l'habitat spontané en milieu urbain". Journal of Decision Systems 6, nr 2 (styczeń 1997): 163–79. http://dx.doi.org/10.1080/12460125.1997.10511717.

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Mercier, Christiane, Jean-Louis Paillasseur, Jacques-Emile Dubois, Gérard Trouiller i Béatrice Desnoyer. "Système d'aide à la décision en pharmacologie: application aux anti-cholinergiques par analyses multivariées des données d'activités". European Journal of Medicinal Chemistry 24, nr 2 (marzec 1989): 111–21. http://dx.doi.org/10.1016/0223-5234(89)90104-9.

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Colas, Bernard. "II: Le Canada et le système monétaire international en 1990". Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 29 (1992): 429–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800004550.

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La transition des pays d'europe centrale et orientale d'une économie à planification centralisée vers une économie de marché, l'invasion du Koweït et la persistance de la crise de l'endettement ont particulièrement marqué le système monétaire international au cours de l'année 1990.Peu d'initiatives majeures ont été prises cette année afin d'alléger la dette extérieure des pays en développement. La conclusion d'accords de restructuration entre les banques créancières et le Mexique, les Philippines, le Costa Rica, le Venezuela, l'Uruguay dans le cadre du Plan Brady, ainsi qu'avec le Chili et le Maroc sont toutefois à souligner. De plus, les Chefs d'État et de gouvernement des sept pays les plus industrialisés, réunis à Houston du 9 au 11 juillet 1990, ont décidé d'encourager le Club de Paris à allonger les périodes de remboursement de la dette des pays à revenu moyen inférieur. Cette démarche concerne les pays dont la dette officielle est importante et pour lesquels le recours au plan Brady aurait peu d'effets; la Pologne a été l'un des premiers pays à avoir bénéficié de cette initiative. Les Sept ont également souligné la décision prise par le Canada d'annuler les prêts d'aide publique au développement remboursables par 11 pays des Caraî bes membres du Commonwealth à concurrence de 11 millions CAD.
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Guerci, A., N. Faccin, N. Frenkiel, R. Ferry, F. Witz, F. Kohler, P. Lederlin i O. Guerci. "Réalisation d'un système d'aide à la décision médicale et au suivi pour les hémopathies traitées par chimiothérapie séquentielle". La Revue de Médecine Interne 11, nr 3 (maj 1990): 256–60. http://dx.doi.org/10.1016/s0248-8663(10)80015-3.

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Boudis, Mahfoud, René Arrus i Paule-Annick Davoine. "G-EAU : un système d'aide à la décision pour la simulation spatio-temporelle de la demande en eau urbaine". Revue internationale de géomatique 15, nr 2 (30.06.2005): 175–94. http://dx.doi.org/10.3166/rig.15.175-194.

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Sybord, Christine. "Big data et conception d'un système d'information d'aide à la décision clinique. Vers une gestion sociocognicielle de la responsabilité médicale ?" Les cahiers du numérique 12, nr 1-2 (30.06.2016): 73–107. http://dx.doi.org/10.3166/lcn.12.1-2.73-107.

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Hamani, Dalil Omar, i Jean-Michel Olive. "Un système d'information pour la gestion des données techniques du bâtiment. Un outil d'aide à la décision dans un contexte coopératif de production architecturale". Journal Européen des Systèmes Automatisés 41, nr 3-4 (10.06.2007): 437–70. http://dx.doi.org/10.3166/jesa.41.437-470.

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Ahattab, Jihane, Najat Serhir i El Khadir Lakhal. "Vers l'élaboration d'un système d'aide à la décision pour le choix des méthodes d'estimation des débits max des crues : réadaptation aux données hydrologiques récentes". La Houille Blanche, nr 1 (luty 2015): 63–70. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2015008.

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Robert, L., C. Rousselière, A. Bruandet, A. Laraba, P. Odou i B. Décaudin. "Evaluation de la valorisation de séjours hospitaliers par l'utilisation d'un système d'aide à la décision en pharmacie en lien avec le Département d'information médicale (DIM)". Journal of Epidemiology and Population Health 72 (marzec 2024): 202363. http://dx.doi.org/10.1016/j.jeph.2024.202363.

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Polomeni, P. "Revue de la littérature internationale : quel bénéfice clinique attendu au plan individuel des salles d’injection à moindre risque ?" European Psychiatry 28, S2 (listopad 2013): 3–4. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.008.

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IntroductionL’intérêt de lieux permettant à des usagers de drogues intraveineuses de s’injecter l’héroïne avec de bonnes conditions d’hygiène et avec une « supervision », pose question, en particulier en termes de stratégie personnalisée de soins. Une analyse des données internationales sur ce sujet peut nous donner des arguments d’aide à une décision. MethodsDans la suite de l’expertise collective Inserm qui avait étudié la bibliographie internationale jusqu’en 2010, nous avons fait des recherches sur Medline avec plusieurs mots clés, en axant l’étude sur le bénéfice individuel, et en privilégiant les textes récents. RésultatsLe nombre d’articles utilisables est peu important. Ils proviennent en grande partie de l’étude de centres pionniers. Une réduction des overdoses est démontrée, ainsi qu’une amélioration de l’accès aux soins. DiscussionCette réflexion implique que notre position soit claire sur : la population cible et ses caractéristiques, les méthodes de soins déjà employées en France et leurs résultats, les objectifs réalistes attendus d’une « nouvelle » technique d’approche de ces patients. La bibliographie actuelle apporte quelques éléments de réponse, très marqués cependant par un effet « Région » (une histoire locale). Plusieurs articles interrogent sur l’exportation de cet outil, « préventif et d’accès aux soins ». ConclusionLes données scientifiques pour évaluer les bénéfices cliniques des salles d’injection à moindre risque, sont limitées mais donnent des arguments en faveur de l’outil considéré. Il n’est cependant pas possible de s’extraire d’une analyse plus globale du système de santé en cours en France et de ses résultats, et de prendre en compte les aspects locaux.
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Sambo, Alessandra. "Les délégations de la Seigneurie (XVIe-XVIIIe siècle)". Annales. Histoire, Sciences Sociales 70, nr 04 (grudzień 2015): 819–47. http://dx.doi.org/10.1353/ahs.2015.0191.

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Streszczenie:
Résumé À l’époque moderne, l’État vénitien – composé d’une ville (la Dominante), des domaines de Terre ferme et de possessions maritimes – se présente comme une réalité complexe dans laquelle coexistent des cultures, mais surtout des systèmes juridiques profondément différents. Cet article analyse un type particulier de suppliques, fréquemment utilisé par les sujets et destiné à suspendre le procès et à obtenir son transfert (delegazione) à une autre cour locale ou vénitienne. Les principes et les modalités qui inspirent le recours à ces suppliques sont abordés à partir des catégories interprétatives de l’État juridictionnel pré-moderne, grâce auxquelles peut être proposée une lecture du système juridique vénitien en cohérence avec celui des autres États européens. Au sujet, qui a des motifs de croire que le jugement d’un procès sera contaminé par l’inégalité de position et de ressources des parties, est concédé le droit de supplier à la Seigneurie la grâce de déléguer la cause à une autre cour. La procédure pour la concession de cette grâce, qui est un acte politique, repose sur l’examen contradictoire des parties et débouche sur un jugement. Bien que dans le cours du procès soient maintenues des garanties analogues à celles de la procédure civile et criminelle ordinaire, cette nature mixte de la délégation fait que le jugement ne peut pas seulement se conformer à de rigides normes juridiques, mais est un acte discrétionnaire de la part de juges patriciens qui appliquent une lecture politique du contexte de l’affaire. De ce fait, la supplique, pour être persuasive, doit proposer une version « politique » des faits, en lieu et place de la vérité légale. Cette procédure induit aussi une négociation car les parties jouissent d’une forte autonomie dans la gestion du conflit et, parfois, l’objectif n’est pas tant une décision judiciaire que la création de conditions plus favorables à la pratique d’un contradictoire extrajudiciaire non violent. Ce caractère négocié de la procédure a facilité sa large diffusion ; en retour, cette sortie volontaire des réseaux locaux a créé les conditions d’une contamination culturelle des systèmes juridiques, dans laquelle on peut voir l’embryon d’un lexique commun entre les divers sous-systèmes qui composent l’État vénitien.
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Coté, Marie-Josée, Gaetan Poulin, Carlo Prévil, Benoît Saint-Onge i Jean-Philippe Waaub. "Un système intégré d'aide à la décision pour gérer le territoire en tenant compte des dimensions environnementale et participative du développement durable. Le cas du SIAD Outaouais, Québec, Canada / An integrated system of computer assisted decision-making for spatial participative management. The case of the Outaouais region of Quebec". Géocarrefour 76, nr 3 (2001): 253–64. http://dx.doi.org/10.3406/geoca.2001.2563.

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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (20.08.2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Streszczenie:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Admane, F., A. El Maouheb, F. Benamara i FZ Djezzar. "Conception et réalisation d'un système d'aide à la décision pour la gestion des ressources naturelles". Revue d'Information Scientifique et Technique 9, nr 1 (1.01.1999). http://dx.doi.org/10.4314/rist.v9i1.26717.

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Khalid, Chafik, i Hanane Barhon. "La Formalisation Du Système D'information D'aide à La Décision Des Petites Et Moyennes Entreprises Marocaines: Analyse Des Variables Explicatives". مجلة الاستراتيجية والتنمية, 2012, 70. http://dx.doi.org/10.34276/1822-000-003-004.

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Peralta, Susana. "Numéro 11 - mai 2003". Regards économiques, 12.10.2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16183.

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Streszczenie:
L’abstention est un sujet de débat omniprésent dans la plupart des démocraties et ce pour deux raisons. Une de ces raisons est son importance croissante. Dans de nombreux pays démocratiques, un pourcentage croissant de la population décide de ne pas voter, suscitant de nombreux débats scientifiques, politiques et médiatiques. Même en Belgique, où le vote est obligatoire, nous sommes loin des 100 % de participation. En 1995, 9 % de la population avec droit de vote s’est abstenue, alors qu’en 1977 ils n’étaient que 5 %. Le cadre légal permettant de faire respecter la loi du vote obligatoire n’est en effet pas très strict. Entre 1987 et 1990, parmi les 500.000 personnes s’étant abstenues, seules 153 d’entre elles ont été jugées, et 138 condamnées à une amende symbolique. L’autre raison est beaucoup plus inquiétante : les citoyens qui décident de ne pas voter sont très souvent les plus défavorisés (moins riches, moins éduqués, ouvriers). Cette inégalité est loin d’être négligeable. Pour un ensemble de sept pays européens et le Canada, l’écart entre la participation des citoyens les plus éduqués et de leurs concitoyens moins diplômés a été estimé à 10 points de pourcent; en Suisse, pour les referenda menés entre 1981 et 1991, on a estimé l’écart à 25 points de pourcent; aux Etats-Unis, pour l’élection de 1972, il était de 40 points de pourcent. Est-ce problématique ? Le politologue Arend Lijphart affirme que la sous-représentation des plus défavorisés est l’équivalent fonctionnel des règles de vote censitaire existantes dans beaucoup de démocraties à la fin du dix-neuvième siècle, ce qui est intolérable. Cette position n’est cependant pas consensuelle. John Stuart Mill, par exemple, était de l’avis que les moins éduqués ne devraient pas voter parce qu’ils sont incapables de juger quelles sont les politiques favorables au bien-être de la communauté. Les données ne confirment cependant pas cette affirmation, mais elles montrent clairement que les pays ayant plus d’abstention sont ceux où la distribution du revenu est la plus inégale. Cela confirme la crainte de Lijphart de sous-représentation des opinions politiques des moins favorisés. Cette crainte est aussi renforcée par le fait qu’une diminution de l’abstention bénéficie principalement aux partis de gauche. Un phénomène de ce type peut partiellement expliquer les positions des différents partis sur le vote obligatoire en Belgique. En effet, selon les politologues belges Johan Ackaert et Lieven De Winter, son abolition peut gonfler ou diminuer fortement les résultats électoraux de certains partis. Quels sont alors les facteurs qui influencent l’abstention ? Le vote obligatoire a un impact déterminant sur le taux d’abstention. Dans une enquête menée en Belgique en 1991, 27 % des répondants affirment qu’ils ne voteraient plus jamais aux élections parlementaires si la loi sur le vote obligatoire était abolie. Pour l’élection du Parlement européen, on a estimé que le vote obligatoire diminuait l’abstention d’environ 20 à 23 points de pourcent. Par ailleurs, l’abstention varie selon le type d’élection (nationale, locale, européenne), le système électoral (proportionnel ou majoritaire), le jour de la semaine où ont lieu les élections (week-end ou jour ouvrable), l’existence ou pas d’un processus préalable d’inscription en tant qu’électeur (plus d’abstention dans les pays où c’est le cas), le nombre d’élections annuelles (l’abstention augmente lorsqu’il y en a beaucoup), le résultat espéré (moins d’abstention lorsqu’un résultat plus serré est attendu). La décision de voter ou de s’abstenir intéresse les économistes depuis que Downs a publié "An Economic Theory of Democracy" en 1957. L’auteur y décrit le comportement de l’électeur en tant qu’individu rationnel, qui évalue le bénéfice et le coût de voter. Le bénéfice correspond au gain de voir son parti préféré gagner l’élection, pondéré par la probabilité que son propre vote soit déterminant pour un tel résultat. Avec des millions d’électeurs, le vote d’un individu a un impact très faible sur le résultat, rendant presque nul le bénéfice de voter. Les coûts associés à l’acte de voter incluent le déplacement, le temps d’attente au bureau de vote et la récolte d’information préalable. L’électeur rationnel devrait donc s’abstenir. Downs conclut que si les citoyens votent malgré tout, c’est parce qu’ils attachent de la valeur au système démocratique et qu’ils veulent éviter son effondrement. C’est ce qu’il appelle la "valeur de long terme" de la démocratie. Ces éléments nous permettent d’interpréter les faits empiriques. Voter un jour ouvrable et le fait de devoir s’inscrire sont des coûts, qui font augmenter l’abstention. Le bénéfice de l’élection de son parti préféré est supérieur lorsque l’enjeu de l’élection est plus grand, ce qui explique la moindre abstention aux élections nationales par rapport aux européennes. Un résultat espéré très serré augmente l’impact du vote individuel sur le résultat des élections, ce qui fait diminuer l’abstention. Si on pense au coût d’obtention de l’information nécessaire à la décision de voter, la plus forte participation des plus diplômés devient claire : ce sont eux qui ont le plus de facilités à obtenir et interpréter cette information. Downs a aussi mis l’accent sur le paradoxe fondamental du vote. Si aucun individu ne vote parce qu’il ne peut influencer le résultat, chaque citoyen peut décider de voter et ainsi élire son parti préféré, puisque tous ses concitoyens se sont abstenus. Mais si tous parviennent à la même conclusion, ils votent donc tous et chaque vote individuel perd sa valeur. Ce raisonnement fait appel à deux aspects fondamentaux de l’acte de voter. D’un côté la compétition, qui pousse les gens à voter : les sympathisants d’un parti veulent voter pour que l’autre parti ne gagne pas. D’un autre le phénomène du "tire-au-flanc", qui amène les gens à s’abstenir : les sympathisants d’un même parti ont tendance à reporter l’un sur l’autre la responsabilité de voter, car cela leur évite le coût du vote tout en gardant le bénéfice de voir son parti élu. Le message des approches économiques face au problème de l’abstention est que son existence n’est pas étonnante, bien au contraire. Cependant, dans le souci d’augmenter la participation, on peut éliminer certains aspects institutionnels qui rendent l’acte de voter coûteux. De nombreuses études empiriques ont démontré l’importance des aspects institutionnels, et la théorie nous permet de comprendre pourquoi des tels facteurs influencent la décision de voter. Parmi les différentes mesures que l’on peut mettre en place pour faire baisser l’abstention, la plus effective mais aussi la plus controversée est sans doute le vote obligatoire, qui permet à la fois de faire descendre l’abstention à des niveaux très faibles et d’éliminer le biais social. La Belgique a le système le plus ancien et le mieux établi de vote obligatoire. Ce n’est cependant pas le seul pays à l’avoir adopté. L’introduction du vote obligatoire n’est cependant pas exempte de critiques. La plus importante concerne la liberté de choix. Les défenseurs du vote obligatoire tels que Arend Lijphart affirment que le droit de ne pas voter reste intact (par un vote blanc ou nul), c’est l’obligation de se déplacer jusqu’au bureau de vote qui est en cause. En outre, tout dépend de l’échelle des valeurs : si l’on préfère la liberté individuelle à l’égalité de représentation et d’opportunité, le vote obligatoire a en effet peu de sens. Enfin, ne pas voter est une attitude de tire-au-flanc comme beaucoup d’autres dans la vie économique, que l’Etat doit souvent éliminer en imposant une obligation.
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Peralta, Susana. "Numéro 11 - mai 2003". Regards économiques, 12.10.2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2003.05.01.

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L’abstention est un sujet de débat omniprésent dans la plupart des démocraties et ce pour deux raisons. Une de ces raisons est son importance croissante. Dans de nombreux pays démocratiques, un pourcentage croissant de la population décide de ne pas voter, suscitant de nombreux débats scientifiques, politiques et médiatiques. Même en Belgique, où le vote est obligatoire, nous sommes loin des 100 % de participation. En 1995, 9 % de la population avec droit de vote s’est abstenue, alors qu’en 1977 ils n’étaient que 5 %. Le cadre légal permettant de faire respecter la loi du vote obligatoire n’est en effet pas très strict. Entre 1987 et 1990, parmi les 500.000 personnes s’étant abstenues, seules 153 d’entre elles ont été jugées, et 138 condamnées à une amende symbolique. L’autre raison est beaucoup plus inquiétante : les citoyens qui décident de ne pas voter sont très souvent les plus défavorisés (moins riches, moins éduqués, ouvriers). Cette inégalité est loin d’être négligeable. Pour un ensemble de sept pays européens et le Canada, l’écart entre la participation des citoyens les plus éduqués et de leurs concitoyens moins diplômés a été estimé à 10 points de pourcent; en Suisse, pour les referenda menés entre 1981 et 1991, on a estimé l’écart à 25 points de pourcent; aux Etats-Unis, pour l’élection de 1972, il était de 40 points de pourcent. Est-ce problématique ? Le politologue Arend Lijphart affirme que la sous-représentation des plus défavorisés est l’équivalent fonctionnel des règles de vote censitaire existantes dans beaucoup de démocraties à la fin du dix-neuvième siècle, ce qui est intolérable. Cette position n’est cependant pas consensuelle. John Stuart Mill, par exemple, était de l’avis que les moins éduqués ne devraient pas voter parce qu’ils sont incapables de juger quelles sont les politiques favorables au bien-être de la communauté. Les données ne confirment cependant pas cette affirmation, mais elles montrent clairement que les pays ayant plus d’abstention sont ceux où la distribution du revenu est la plus inégale. Cela confirme la crainte de Lijphart de sous-représentation des opinions politiques des moins favorisés. Cette crainte est aussi renforcée par le fait qu’une diminution de l’abstention bénéficie principalement aux partis de gauche. Un phénomène de ce type peut partiellement expliquer les positions des différents partis sur le vote obligatoire en Belgique. En effet, selon les politologues belges Johan Ackaert et Lieven De Winter, son abolition peut gonfler ou diminuer fortement les résultats électoraux de certains partis. Quels sont alors les facteurs qui influencent l’abstention ? Le vote obligatoire a un impact déterminant sur le taux d’abstention. Dans une enquête menée en Belgique en 1991, 27 % des répondants affirment qu’ils ne voteraient plus jamais aux élections parlementaires si la loi sur le vote obligatoire était abolie. Pour l’élection du Parlement européen, on a estimé que le vote obligatoire diminuait l’abstention d’environ 20 à 23 points de pourcent. Par ailleurs, l’abstention varie selon le type d’élection (nationale, locale, européenne), le système électoral (proportionnel ou majoritaire), le jour de la semaine où ont lieu les élections (week-end ou jour ouvrable), l’existence ou pas d’un processus préalable d’inscription en tant qu’électeur (plus d’abstention dans les pays où c’est le cas), le nombre d’élections annuelles (l’abstention augmente lorsqu’il y en a beaucoup), le résultat espéré (moins d’abstention lorsqu’un résultat plus serré est attendu). La décision de voter ou de s’abstenir intéresse les économistes depuis que Downs a publié "An Economic Theory of Democracy" en 1957. L’auteur y décrit le comportement de l’électeur en tant qu’individu rationnel, qui évalue le bénéfice et le coût de voter. Le bénéfice correspond au gain de voir son parti préféré gagner l’élection, pondéré par la probabilité que son propre vote soit déterminant pour un tel résultat. Avec des millions d’électeurs, le vote d’un individu a un impact très faible sur le résultat, rendant presque nul le bénéfice de voter. Les coûts associés à l’acte de voter incluent le déplacement, le temps d’attente au bureau de vote et la récolte d’information préalable. L’électeur rationnel devrait donc s’abstenir. Downs conclut que si les citoyens votent malgré tout, c’est parce qu’ils attachent de la valeur au système démocratique et qu’ils veulent éviter son effondrement. C’est ce qu’il appelle la "valeur de long terme" de la démocratie. Ces éléments nous permettent d’interpréter les faits empiriques. Voter un jour ouvrable et le fait de devoir s’inscrire sont des coûts, qui font augmenter l’abstention. Le bénéfice de l’élection de son parti préféré est supérieur lorsque l’enjeu de l’élection est plus grand, ce qui explique la moindre abstention aux élections nationales par rapport aux européennes. Un résultat espéré très serré augmente l’impact du vote individuel sur le résultat des élections, ce qui fait diminuer l’abstention. Si on pense au coût d’obtention de l’information nécessaire à la décision de voter, la plus forte participation des plus diplômés devient claire : ce sont eux qui ont le plus de facilités à obtenir et interpréter cette information. Downs a aussi mis l’accent sur le paradoxe fondamental du vote. Si aucun individu ne vote parce qu’il ne peut influencer le résultat, chaque citoyen peut décider de voter et ainsi élire son parti préféré, puisque tous ses concitoyens se sont abstenus. Mais si tous parviennent à la même conclusion, ils votent donc tous et chaque vote individuel perd sa valeur. Ce raisonnement fait appel à deux aspects fondamentaux de l’acte de voter. D’un côté la compétition, qui pousse les gens à voter : les sympathisants d’un parti veulent voter pour que l’autre parti ne gagne pas. D’un autre le phénomène du "tire-au-flanc", qui amène les gens à s’abstenir : les sympathisants d’un même parti ont tendance à reporter l’un sur l’autre la responsabilité de voter, car cela leur évite le coût du vote tout en gardant le bénéfice de voir son parti élu. Le message des approches économiques face au problème de l’abstention est que son existence n’est pas étonnante, bien au contraire. Cependant, dans le souci d’augmenter la participation, on peut éliminer certains aspects institutionnels qui rendent l’acte de voter coûteux. De nombreuses études empiriques ont démontré l’importance des aspects institutionnels, et la théorie nous permet de comprendre pourquoi des tels facteurs influencent la décision de voter. Parmi les différentes mesures que l’on peut mettre en place pour faire baisser l’abstention, la plus effective mais aussi la plus controversée est sans doute le vote obligatoire, qui permet à la fois de faire descendre l’abstention à des niveaux très faibles et d’éliminer le biais social. La Belgique a le système le plus ancien et le mieux établi de vote obligatoire. Ce n’est cependant pas le seul pays à l’avoir adopté. L’introduction du vote obligatoire n’est cependant pas exempte de critiques. La plus importante concerne la liberté de choix. Les défenseurs du vote obligatoire tels que Arend Lijphart affirment que le droit de ne pas voter reste intact (par un vote blanc ou nul), c’est l’obligation de se déplacer jusqu’au bureau de vote qui est en cause. En outre, tout dépend de l’échelle des valeurs : si l’on préfère la liberté individuelle à l’égalité de représentation et d’opportunité, le vote obligatoire a en effet peu de sens. Enfin, ne pas voter est une attitude de tire-au-flanc comme beaucoup d’autres dans la vie économique, que l’Etat doit souvent éliminer en imposant une obligation.
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Jewsiewicki, Bogumil. "Pardon". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.112.

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Vingt ans après la deuxième guerre mondiale, en pleine guerre froide, les évêques polonais écrivent, au grand dam de l’État, à leurs homologues allemands « nous pardonnons et demandons pardon ». Depuis, l’usage du pardon dans la politique nationale et internationale est devenu monnaie courante. Presque toujours le pardon est demandé pour les actes commis par des générations précédentes, une démarche entrée dans la culture politique depuis peu. Rappelons à titre d’exemple qu’alors que son père refusait de demander pardon à titre de premier ministre du Canada pour des actes posés par des générations antérieures, Justin Trudeau, l’actuel premier ministre, ne s’en prive pas. Mobilisée dans la résolution des conflits, la démarche de réconciliation incorpore le pardon. Ainsi, cet objet d’étude de la théologie, de la morale, de la religion et de la philosophie est désormais principalement étudié par la science politique. Par l’homologie, le pardon passé de la relation entre Dieu et l’individu aux rapports interpersonnels puis aux rapports entre les communautés et les États, est devenu un objet politique. Le long vingtième siècle occidental, entre les hécatombes des guerres mondiales, l’Holocauste et les génocides, a mis sociétés et individus devant le défi de la reconstruction du social et du politique après l’impardonnable. Hannah Arendt (1958), Jacques Derrida (2001) et Wole Soyinka (2000), mais avant tout femmes et hommes « ordinaires » ont fait face au défi de reconstruire l’humain à la sortie de l’expérience de l’inhumain. “Si cela veut dire que cet homme qui a tué fils, si cela veut dire qu’il redevienne humain afin que nous tous puissions ravoir votre humanité … alors j’accepte » (Krog : emplacement 3486, toutes les traduction sont les miennes, BJ) a déclaré Cynthia Ngewu témoignant lors des audiences de la Commission Vérité et Réconciliation sud-africaine sur l’amnistie. Paul Ricoeur (2000), le plus influent des chercheurs universitaires ayant analysé le pardon dans la perspective d’un vivre-ensemble aux confluents de la philosophie, de l’éthique et de la théologie chrétienne, soutient que le véritable pardon délie « l’agent de son acte ». La culture chrétienne, aujourd’hui largement laïcisée, est un sous-bassement des usages du pardon pour la reconstruction d’un vivre-ensemble. En reconnaissant ce fait, il ne faut pas perdre de vue que le pardon est une préoccupation ancrée non seulement dans les trois grands monothéismes mais aussi dans le bouddhisme, l‘hindouisme et autres systèmes philosophiques ou de croyance en Asie, Océanie, Afrique, etc. Cependant, on ne comprend pas toujours le pardon à l’identique. Son utilisation pour la résolution des conflits ne va pas sans malentendus. Lorsque, pour désengorger son système de justice, l’État rwandais recourt à l’institution locale de gacaca, on est loin de l’apaisement d’un conflit au sein de la communauté d’une colline, l’octroi du pardon ou plus précisément l’acceptation du génocidaire étant conditionnés à la reconnaissance par celui-ci de son crime. Lorsque, dans une société occidentale, on s’inspire de la pratique hawaïenne de ho’opononpono pour la thérapie familiale, les acteurs n’ont ni mêmes attentes, ni même compréhension du pardon. Lorsqu’en 2012, dans la lettre ouverte commune aux nations de Pologne et de Russie, le patriarche Cyrille et l’archevêque Michalik offrent un pardon réciproque, en ont-ils la même compréhension ? La théologie du premier est de tradition grecque, celle de l’autre de tradition latine ? Retrouver l’humain, après l’expérience du génocide, de la colonisation, de l’esclavage peut aussi bien conduire à obéir à l’injonction d’inspiration chrétienne de Desmond Tutu « Pas d’avenir sans pardon » qu’à la réserve de Mahatma Gandhi . « Le faible ne peut pardonner. Le pardon est attribut du fort ». Cependant, pardonner pourrait permettre d’investir, au moins symboliquement, la position de ce dernier ? Est-ce pourquoi la position de Gandhi à l’égard du pardon a évolué ? De toute évidence, la réflexion anthropologique sur le sujet s’impose. Pourtant, les courants dominants de la discipline accordent peu d’intérêt au pardon, à l’exception des publications issues de l’anthropologie juridique, de l’anthropologie de la morale, de l’anthropologie psychologique ou de l’anthropologie des religions. Il se pose donc la question de savoir si la méthodologie de ces dernières leur viendrait de l’éthique ou de la théologie, ce dont manquerait l’anthropologie ? Or, Barbara Cassin trouve dans l’hyperbole de l’offre de pardon « absolu » dans l’Évangile (« le pardon n’est vraiment pardon – perfection du don - que lorsqu’il pardonne l’impardonnable, remet l’imprescriptible… » (2004 : 894), une structure ressemblant à celle du potlatch. Le contre-don perpétue le processus de « dépense » selon Georges Bataille (1967) de même que le don et contre-don de Marcel Mauss (2012). On retrouve cette même structure de relance dans l’offre de pardon « absolue », toujours en avance sur la demande. Dans la tradition nord-américaine de la discipline, Ruth Benedict (1946) offre une autre entrée « anthropologique » au pardon. La honte et la culpabilité seraient deux principes distincts de contrôle social de l’individu, elle s’en sert pour différencier la société japonaise de la société étasunienne. La première valoriserait l’honneur et la fierté alors que la seconde mettrait de l’avant la conscience individuelle. La mondialisation de la culture nord-américaine, aurait porté à l’échelle de la planète la prépondérance de la conscience individuelle et donc l’importance du pardon autant dans les relations interpersonnelles que dans celles entre les corps sociaux. Que ce soit l’entrée par le don ou par la conscience individuelle comme principe de contrôle social, la théologie des religions monothéistes, plus précisément la théologie chrétienne et plus encore la théologie protestante sont mobilisées. Il est donc impossible de conclure sans poser la question de l’universalité du pardon, de son usage qui ne serait pas affecté par le soupçon du prosélytisme chrétien. L’issue de cette réflexion finale devrait permettre de décider si le pardon demeure pour l’essentiel un objet de la théologie ou bien serait également celui de l’anthropologie. Revenons à l’exemple sud-africain, Antije Krog commente ainsi le témoignage de Cynthia Ngewu : « Le pardon chrétien dit : Je vous pardonne puisque Jésus m’a pardonné. (…) Le pardon africain dit : Je vous pardonne afin que vous puissiez et que puisse commencer à guérir ; que nous tous puissions redevenir nous-mêmes comme nous devrions l’être » (…) tous les Sud-Africains noirs formulent le pardon en termes de cette interrelation » (2009 : emplacement 3498 et 3489). Changeons de continent tout en conservant la comparabilité des expériences historiques. Roy L. Brooks (2004) écrit à la même époque que les excuses et les reparation constituent l’expiation laquelle impose États-Unis une réciproque obligation civique de pardonner. Ce pardon permet d’abandonner le ressentiment. Krog et Brooks suggèrent que ce que ce pardon dépasse le cadre de la chrétienté occidentale permettant aux gens de « réinterpréter les concepts occidentaux usés et mis à mal dont le pardon ». (Krog 2009 : emplacement 3494) Barbara Cassin souligne que la conception théologico-politique actuelle établit une hiérarchie entre celui qui pardonne et celui à qui on pardonne. En latin classique, il y a condescendance dans la relation duelle entre le sujet dont relève la décision souveraine d’oublier, d’ignorer, d’amnistier et son bénéficiaire. Les langues européennes en tirent la conception du pardon. Par contre, en Grèce ancienne on pardonnait en comprenant ensemble, en entrant dans la raison de l’autre. Cette horizontalité du pardon a été remplacée par la verticalité du pardon qui relève du politique. À partir des traditions grecques et judéo-chrétiennes, puis en passant par la pensée et les actions de Gandhi, Mandela et Martin Luther King, Martha Nussbaum (2016) se penche sur l’actuelle éthique du pardon. Elle reconnait la légitime colère des victimes laquelle afin de briser la condescendance et ouvrir la voie à l’acceptation du pardon libérée du sentiment de rétribution. Son approche semble répondre à l’expérience des victimes des individus en position d’autorité, crimes longtemps tus au nom de maintien de l’ordre social. Dans les récits d’expériences de la mort et de la vie sous le régime soviétique, dont Svetlana Alexievitch (2016) s’est faite historienne/romancière, le pardon de tradition chrétienne occidentale est absent. Le mot n’est prononcé qu’une seule fois et c’est par une femme soldat soviétique racontant comment en Allemagne conquise un soldat soviétique a tiré sur des civiles. En référence au temps de leur rencontre, les années 1990, elle dit à Alexievitch : « De nouveaux mots ont fait leur apparition : « pitié », « pardon » …Mais comment pardonner ? » (2016 : 394). Dans les récits des Soviétiques rassemblés par Alexievitch, le lecteur de sensibilité latine s’étonne de trouver le « comprendre ensemble » de tradition grecque plutôt que le « pardonner ». Tamara Oumniaguina, brancardière à Stalingrad raconte : « Je traîne notre blessé et je pense : « Est-ce que je retourne chercher l’Allemand, ou non ? » […] J’ai continué à les trainer sous les deux. » […] L’homme n’a qu’un seul cœur, et j’ai toujours pensé à préserver le mien. » (2016 : 412). Au plus profond de l’enfer de la déshumanisation, préserver son humanité c’est aussi permettre à l’agresseur de reconstituer la sienne. L’une étant la condition de l’autre, délier l’agresseur de son inhumanité c’est reconstruire l’humanité entière.
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