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Lépinette, Brigitte. "La linguistique des grammaires françaises publiées en Espagne dans la première moitié du XIXe siècle". Historiographia Linguistica 32, nr 3 (16.12.2005): 273–307. http://dx.doi.org/10.1075/hl.32.3.02lep.

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Résumé Dans cet article, nous examinons un corpus de 13 grammaires pour l’enseignement du français aux Espagnols, éditées dans la première moitié du XIXe siècle. Nous prenons en compte, dans une analyse de type transversal, (1) les sources citées par les auteurs ; (2) la nature de la définition de la grammaire et le nombre des parties du discours ; (3) la définition du nom (avec la présence ou non du schéma canonique de la déclinaison ou des classes spécifiques de cet élément) ; (4) la définition du verbe avec la présence ou non des catégories canoniques) ; et (5) la syntaxe. Notre objectif est de déterminer la linguistique explicite et implicite de ces grammaires scolaires, à une époque où la grammaire générale pénètre en Espagne dans les ouvrages de langue maternelle et où sont introduits les exercices d’analyses logique et grammaticale.
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2

Ouahmiche, Ghania. "Les valeurs temporelles et modales du verbe dans la langue Arabe: Perspectives comparatives". Traduction et Langues 5, nr 1 (31.12.2006): 7–18. http://dx.doi.org/10.52919/translang.v5i1.345.

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Il est communément connu que la morphologie arabe est non concaténative. En ce sens, les formes de mots sont composées de morphèmes entrelacés. Elles sont basées sur une racine consonantique qui porte une charge sémantique, un schéma vocalique qui véhicule une fonction syntaxique et une structure squelettique de morphèmes dont la forme canonique révèle un sens particulier pour remplir une fonction grammaticale.Dans ce travail de recherche, nous nous intéressons uniquement à l’accompli et l’inaccompli ainsi qu'à leurs particularités au sein du système morphologique arabe. Une grande attention est portée aux valeurs des deux temps. Ce mécanisme a été abordé dans une perspective comparative où deux langues différentes (arabe et français) sont soumises à l’analyse. Les différences ainsi obtenues serviront de cadre théorique d’une théorie générale de la traduction. Ce travail est une tentative afin de décrire des mécanismes de construction morphologique en arabe. Nous nous sommes concentré principalement sur les valeurs de l'accompli et de l'inaccompli afin de lever l'ambiguïté de certaines équivalences entre l'arabe et le français dans tout acte de traduction.
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3

Devy, G. N. "Literary History and Translation: An Indian View". Traduction et post-colonialisme en Inde — Translation and Postcolonialism: India 42, nr 2 (30.09.2002): 395–406. http://dx.doi.org/10.7202/002560ar.

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Résumé Un examen des relations entre les formes littéraires canoniques et non canoniques, entre le "moi" et "l'Autre" dans la littérature indienne permet de différencier la tradition occidentale- centrée sur un modèle littéraire dominant--, de la tradition indienne qui, elle, est diversifiée, multiforme. Cette tradition est ancrée dans un univers où multilinguisme et traduction, en étroite interaction, contribuent à créer une "conscience traductive". Dans cet univers où une pluralité de langues se trouvent simultanément mobilisées, la traduction joue un rôle fondamental, véritablement proligère.
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4

Hébert, Louis. "The Semiotics of Nirvāṇa: Salvation in Buddhism". Semiotica 2017, nr 214 (1.01.2017): 331–50. http://dx.doi.org/10.1515/sem-2016-0190.

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RésuméD’abord, nous présenterons sommairement le schéma narratif canonique (SNC) de la sémiotique greimassienne. Ensuite, nous appliquerons le SNC à la description de la voie bouddhiste. Nous verrons que le salut pivote deux SNC principaux : l’un individuel, où un être atteint l’éveil ; l’autre collectif, et sans doute utopique, où tous les êtres ont atteint l’éveil (grâce à un être éveillé ou bouddha, qui est une condition nécessaire mais non suffisante pour l’éveil). Dans l’analyse, le bouddhisme est quelquefois comparé au christianisme.
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Laniel, Marie. "« It was land merely, no land in particular » : le dépaysement à l’œuvre dans Between the Acts (1941) de Virginia Woolf". Textures, nr 24-25 (1.01.2018): 107–19. http://dx.doi.org/10.35562/textures.252.

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Alors que la menace d’une invasion allemande fait planer sur l’Angleterre le spectre d’un dépaysement radical, Virginia Woolf choisit d’ancrer son dernier roman, Between the Acts (1941), dans la fausse familiarité du « pays », au sens local du terme, dans un petit « coin de terre », où par une après-midi de juin 1939 la communauté assemblée assiste comme chaque année au pageant qui rejoue l’Histoire nationale. Ce lieu rendu délibérément abstrait, impossible à situer, réduit à quelques aplats colorés sans lignes de fuite et maintenu dans le suspens d’une éradication imminente, est rendu étranger à lui-même par la violence prête à sourdre en lui et la menace constante d’une régression à son état le plus primitif. Erigé en scène de théâtre pour les besoins du spectacle, le paysage anglais, devenu littéralement « représentation du pays », n’ouvre plus que sur son propre redoublement spéculaire et contraint les spectateurs assemblés face au récit constamment interrompu de la geste nationale à devenir « les contemplateurs de leur infini dépaysement » (J-L. Nancy). Précisément parce qu’elle suspend sa lisibilité immédiate, cette épreuve de l’étranger que Woolf fait subir au pays et, à travers lui, à la langue de la communauté, participe de cette alliance fructueuse entre localisme et abstraction qui caractérise la production des artistes anglais des années 1930-40, de ce « paysagisme abstrait » ou « figural » qui « transgresse les oppositions entre figuration et abstraction » (M. Collot) et se fait « l’allié et non plus l’antithèse de l’innovation formelle » (A. Harris). Dans Between the Acts, l’écriture retourne ainsi à la langue commune, fragmentée et défamiliarisée par des effets d’écho et de juxtaposition incongrus, comme à une boue primitive infiniment fertile, où se mêlent proverbes, truismes, comptines, poèmes, légendes locales et bribes de textes canoniques, et qui, déposée au fond de l’esprit, devient le terreau d’un renouveau créatif et d’une œuvre à venir.
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Gile, Daniel. "La recherche traductologique : méthodes ou approche?" TTR 24, nr 2 (7.01.2013): 41–64. http://dx.doi.org/10.7202/1013394ar.

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Les approches prévalentes dans la recherche traductologique sous sa forme universitaire peuvent être classées en deux grandes catégories, l’une relevant des sciences humaines (ASH) et l’autre s’inspirant de la recherche scientifique canonique (ASC). Les méthodes employées dans cette dernière se distinguent souvent par leur complexité relative, mais aussi par leur caractère plus ou moins intrusif. Les traductologues non formés aux méthodes de recherche sont parfois attirés par la puissance potentielle des méthodes avancées et des nouvelles technologies, mais leur emploi peut s’avérer contre-productif quand elles n’ont qu’une faible valeur ajoutée pour un gros coût en ressources et quand elles menacent la validité écologique de l’étude.
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Samain, Didier. "Portrait du linguiste en jeune grammairien". Recherches sémiotiques 34, nr 1-2-3 (28.07.2016): 137–56. http://dx.doi.org/10.7202/1037150ar.

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Après avoir rappelé en préambule deux acquis des études saussuriennes : l’importance de la diachronie dans la pensée de Saussure et sa cohérence conceptuelle depuis le Mémoire jusqu’au écrits tardifs et au CLG, l’article s’efforce de replacer l’oeuvre dans le contexte épistémologique de son époque. Il suggère que l’effet de discontinuité entre Saussure et la génération précédente fut pour une large part le résultat de malentendus chez les structuralistes mais aussi en Allemagne. La comparaison avec quelques oeuvres canoniques du courant néogrammairien met au contraire en évidence de nombreuses convergences entre Saussure et les linguistes de Leipzig : rôle de la synchronie, importance du sujet parlant, fonction différentielle des unités et surtout conception non substantielle de la langue. Il avance la thèse que le courant néogrammairien s’est caractérisé par la rencontre de deux univers théoriques apparentés par leur commune orientation formelle et empiriste, celui de la grammaire comparée et celui de la psychologie de tradition herbartienne. Il en est résulté une conception particulière du rapport entre élément et système, différente de toute forme d’holisme comme d’un quelconque atomisme. Les traits qui unissent Saussure à ses prédécesseurs immédiats reconduisent à la question rebattue de son originalité et du destin singulier du CLG. Quelques pistes sont proposées en conclusion.
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Urvoy, Marie-Thérèse. "DE QUELQUES PROCÉDÉS DE PERSUASION DANS LE CORAN". Arabica 49, nr 4 (2002): 456–76. http://dx.doi.org/10.1163/15700580260375416.

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AbstractL'existence de diverses recensions du Coran conduit à poser la question de l'organisation du texte et, par suite, de la visée pédagogique qui a présidé à chacune de ces recension. Envisagée de cette façon, la version canonique elle-même montre non seulement qu'elle a intégré des procédés courants d'action psychologique comme traits ponctuels, mais qu'elle a mis en jeu plusieurs stratégies stylistiques : jeu de rythmes, introductions subreptices, structures répétitives cumulatives ou au contraire restrictives, déplacement de la preuve, . . . en vue d'obtenir l'adhésion inconsciente de l'auditeur ou lecteur.
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Kyuchukova, Mirela. "The Non-canonized New Martyrs of Communist Bulgaria". Balkanistic Forum 32, nr 2 (1.06.2023): 123–36. http://dx.doi.org/10.37708/bf.swu.v32i2.7.

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In the present study I try to answer the question: Why does the Bulgarian Orthodox Church did not canonize martyrs and confessors from the time of communism, thirty years after its end? Why does the Bulgarian society did not insist on their canonization? Is there a necessity to commemorate their feat in the context of the postmodern? We assume that today the issue of canonizations is an important topic because it is connected with the projection of sanctity in the modern world, moral positions in society, collective memory, making sense of the past. I researched the reasons for the above through the example of some holy people. The canonization validates their feat and is an occasion for rethinking the social public roles, it is directly related to the recovery of the collective memory, in which the martyrs, as well as the torturers, are visible.
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Tillier, Mathieu, i Naïm Vanthieghem. "Une œuvre inconnue de Wakīʿ b. al-Ǧarrāḥ (m. 197/812 ?) et sa transmission en Égypte au IIIe/IXe siècle". Arabica 65, nr 5-6 (30.09.2018): 675–700. http://dx.doi.org/10.1163/15700585-12341510.

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Résumé Le présent article propose l’édition, la traduction et le commentaire d’un papyrus littéraire égyptien du IIIe/IXe siècle. Cette page de titre d’un ouvrage disparu du traditionniste irakien Wakīʿ b. al-Ǧarrāḥ (m. 197/812 ?), transmis par Yūsuf b. ʿAdī l-Kūfī (m. 232/846) à un étudiant égyptien mal connu, porte au verso deux traditions non canoniques rapportées d’après Ibn al-Mubārak. L’étude de ce folio permet de conclure qu’il s’agit du début d’un cahier de notes prises sous la dictée auprès du maître. Ce rare exemple d’hypomnēma est ainsi révélateur de la transmission d’œuvres irakiennes dans la Fusṭāṭ de la première moitié du IIIe/IXe siècle.
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Ben-Ari, Nitsa. "The Ambivalent Case of Repetitions in Literary Translation. Avoiding Repetitions: a "Universal" of Translation?" L'école de Tel-Aviv : pour une théorie de la traduction littéraire 43, nr 1 (2.10.2002): 68–78. http://dx.doi.org/10.7202/002054ar.

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Résumé Bien que la répétition joue un rôle majeur dans les textes littéraires, éviter les répétitions est l'une des normes les plus fréquentes en traduction. Au point qu'il serait plus approprié de parler d'un des "universaux" de la traduction. Pour éviter les répétitions, on a recours à des techniques diverses, allant de la suppression pure et simple au remplacement par des synonymes. Quand ces solutions s'avèrent impossibles, le traducteur peut se résoudre à "annoncer" (souligner) la répétition. Éviter les répétitions est une stratégie dominante dans la traduction de textes "canonisés", aussi bien que "semi-canonisés", la seule différence résidant dans le nombre de cas relevés et dans l'audace de la solution. Dans les textes semi-canonisés qui ont subi un changement de genre au cours du processus de traduction, éviter les répétitions doit être considéré comme faisant partie d'un complexe normatif plus large. Pour la littérature non canonisée, les "libertés" que se permet le traducteur sont telles qu'il serait peu rentable de rechercher un équivalent adéquat des répétitions. Dans le cadre global des normes, des répétitions sont parfois ajoutées en traduction. Elles sont, cependant, de nature différente, suscitées par des contraintes répertorémiques, normatives. Tant la rigidité que la récurrence de cet "universel" en matière de traduction, dans des langues et des systèmes littéraires si nombreux, donnent à penser qu'on peut conclure que des considérations d'adéquation cèdent le pas à des considérations d'acceptabilité dans la culture-cible.
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Bubenik, Vit. "An Interpretation of Split Ergativity in Indo-Iranian Languages". Diachronica 6, nr 2 (1.01.1989): 181–212. http://dx.doi.org/10.1075/dia.6.2.03bub.

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SUMMARY This paper investigates three problems related to the phenomenon of split ergativity in several Indo-Iranian languages. (1) In ergative tenses Pashto and Kashmiri belong to the canonical ergative-absolutive type — irrespective of the definiteness of the nominal P(atient) — while Sindhî and LahndS pattern erga-tively only if P is indefinite. (2) In the case of pronominal arguments the rare antiabsolutive encodes the transitive Subject in ergative tenses and O in non-ergative tenses; the superabsolutive encodes the intransitive S, O in ergative tenses and the transitive S in non-ergative tenses. The Sindhf and Lahnda systems are based on the antiabsolutive without any traces of the superabsolutive. In Section (3) some historical evidence for the antiabsolutive patterning of pronominal clitics in both Middle Indie and Middle Iranian is presented. However, only in Middle Iranian there are some instances of the incipient superabsolutive which are evaluated as an ancestor of the contemporary Pashto superabsolutive (cf. zeyem "I am" and ze=ye vulid=em "he saw me" where the marker of the ergative O = em is a recategorized clitic form of the copula; originally I=his seen=am). RÉSUMÉ Cet article étudie trois problèmes liés au phénomène de l'ergativité partielle en plusieurs langues indo-iraniennes. (1) Aux temps ergatifs, le pachto et le cachemiri appartiennent au type canonique ergatif-absolutif— sans tenir compte de la nature définie-indéfinie du P(atient) nominal — tandis que le sindhi et lahnda appartiennent à ce type-ci seulement en cas du P indéfini. (2) En pachto et en cachemiri, pour les arguments pronominaux le type rare anti-absolutif-hyper-absolutif s'avère en quelques personnes du verbe (deux Ps sont a distinguer, à savoir, l'O(bjet) du predicat transitif aux temps ergatifs, pas aux temps non-ergatifs. L'anti-absolutif encode le S(ujet) transitif aux temps ergatifs et l'O aux temps non-ergatifs; le hyper-absolutif encode le S intransitif, l'O aux temps ergatifs et le S transitif aux temps non-ergatifs. Les systèmes du sindhi et du lahnda sont basés sur l'anti-absolutif sans aucune trace du hyper-absolutif. Dans (3) l'évidence historique pour le comportement antiabsolutif des clitiques pronominaux en moyen indien et iranien est présentée. En moyen iranien uniquement, il y a quelques exemples du hyper-absolutif naissant. Ceux-ci sont considérés comme le devancier du hyper-absolutif en pachto contemporain (cf. ze yem "je suis" et ze-ye vúlid-em "il m'a vu" où le suffixe de l'O ergatif -dm est la forme clitique de la copule récate-gorisée; originellement je=son vu=suis). ZUSAMMENFASSUNG In diesem Aufsatz werden drei Probleme untersucht, die sich auf das Phänomen der gespaltenen Ergativität in einzelnen indo-iranischen Sprachen beziehen. (1) In den ergativen Tempora — ungeachtet der Bestimmtheit des nominalen P(atienten) — gehören Puschtu und Kaschmiri zum kanonischen ergativ-absolutivischen Typus, während Sindhf und Lahnda nur dann, wenn P unbestimmt ist, zu diesem Typus gehören. (2) Im Falle der pronominalen Argumente ergibt sich der seltene antiabsolutiv-superabsolutivische Typus in verschiedenen Personen in Puschtu und Kaschmiri (zwei verschiedene Ps werden unterschieden: das O(bjekt) der transitiven Prädikate in ergativen im Gegensatz zu nicht-ergativen Tempora). Der Antiabsolutiv grammatikalisiert das transitive S(ubjekt) in ergativen und das O in nicht-ergativen Tempora; der Superabsolutiv grammatikalisiert das intransitive S, O in ergativen und das transitive S in nicht-ergativen Tempora. Die Système des Sindhf und Lahnda beruhen auf dem Antiabsolutiv ohne etwaige Spuren des Superabsolutivs auf-zuweisen. In (3) wird der historische Nachweis fur das antiabsolutivische Ver-halten der pronominalen Enklitika im Mittelindischen und Mitteliranischen geführt. Nur das Mitteliranische bietet ein paar Beispiele des in der Ent-wicklung befindlichen Superabsolutivs an, die hier als Vorfahr des Superabsolutivs im heutigen Puschtu beurteilt werden (vgl. ze yem "Ich bin" und ze-ye vúlid-em "er sah mich", wo das Merkmal des ergativen O =am eine rekate-gorisierte klitische Form der Kopula ist; ursprunglich: Ich=sein gesehe-ner=bin).
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Sőrés, Anna. "La saillance du procès dans les constructions passives non canoniques. Étude contrastive français-hongrois". Lidil, nr 64 (28.10.2021). http://dx.doi.org/10.4000/lidil.9523.

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Dunoyer, Christiane. "Monde alpin". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.101.

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Après avoir été peint et décrit avec des traits plus pittoresques qu’objectifs par les premiers voyageurs et chercheurs qui traversaient les Alpes, mus tantôt par l’idée d’un primitivisme dont la difformité et la misère étaient l’expression la plus évidente, tantôt par la nostalgie du paradis perdu, le monde alpin a attiré le regard curieux des folkloristes à la recherche des survivances du passé, des anciennes coutumes, des proverbes et des objets disparus dans nombre de régions d’Europe. Au début du XXe siècle, Karl Felix Wolff (1913) s’inspire de la tradition des frères Grimm et collecte un nombre consistant de légendes ladines, avec l’objectif de redonner une nouvelle vie à un patrimoine voué à l’oubli. Tout comme les botanistes et les zoologues, les folkloristes voient le monde alpin comme un « merveilleux conservatoire » (Hertz 1913 : 177). Un des élèves les plus brillants de Durkheim, Robert Hertz, analyse finement ces « formes élémentaires de la vie religieuse » en étudiant le pèlerinage de Saint Besse, qui rassemble chaque année les populations de Cogne (Vallée d’Aoste) et du Val Soana (Piémont) dans un sanctuaire à la montagne situé à plus de 2000 mètres d’altitude. Après avoir observé et questionné la population locale s’adonnant à ce culte populaire, dont il complète l’analyse par des recherches bibliographiques, il rédige un article exemplaire (Hertz 1913) qui ouvre la voie à l’anthropologie alpine. Entre 1910 et 1920, Eugénie Goldstern mène ses enquêtes dans différentes régions de l’arc alpin à cheval entre la France, la Suisse et l’Italie : ses riches données de terrain lui permettent de réaliser le travail comparatif le plus complet qui ait été réalisé dans la région (Goldstern 2007). Une partie de sa recherche a été effectuée avec la supervision de l’un des fondateurs de l’anthropologie française et l’un des plus grands experts de folklore en Europe, Arnold Van Gennep. Pour ce dernier, le monde alpin constitue un espace de prédilection, mais aussi un terrain d’expérimentation et de validation de certaines hypothèses scientifiques. « Dans tous les pays de montagne, qui ont été bien étudiés du point de vue folklorique […] on constate que les hautes altitudes ne constituent pas un obstacle à la diffusion des coutumes. En Savoie, le report sur cartes des plus typiques d’entre elles montre une répartition nord-sud passant par-dessus les montagnes et les rivières et non pas conditionnée par elles » (Van Gennep 1990 : 30-31). L’objectif de Van Gennep est de comprendre de l’intérieur la « psychologie populaire », à savoir la complexité des faits sociaux et leur variation. Sa méthode consiste à « parler en égal avec un berger » (Van Gennep 1938 : 158), c’est-à-dire non pas tellement parler sa langue au sens propre, mais s’inscrire dans une logique d’échange actif pour accéder aux représentations de son interlocuteur. Quant aux nombreuses langues non officielles présentes sur le territoire, quand elles n’auraient pas une fonction de langue véhiculaire dans le cadre de l’enquête, elles ont été étudiées par les dialectologues, qui complétaient parfois leurs analyses des structures linguistiques avec des informations d’ordre ethnologique : les enseignements de Karl Jaberg et de Jakob Jud (1928) visaient à associer la langue à la civilisation (Wörter und Sachen). Dans le domaine des études sur les walsers, Paul Zinsli nous a légué une synthèse monumentale depuis la Suisse au Voralberg en passant par l’Italie du nord et le Liechtenstein (Zinsli 1976). Comme Van Gennep, Charles Joisten (1955, 1978, 1980) travaille sur les traditions populaires en réalisant la plus grande collecte de récits de croyance pour le monde alpin, entre les Hautes-Alpes et la Savoie. En 1973, il fonde la revue Le monde alpin et rhodanien (qui paraîtra de 1973 à 2006 en tant que revue, avant de devenir la collection thématique du Musée Dauphinois de Grenoble). Si dans l’après-guerre le monde alpin est encore toujours perçu d’une manière valorisante comme le reliquaire d’anciens us et coutumes, il est aussi soumis à la pensée évolutionniste qui le définit comme un monde arriéré parce que marginalisé. C’est dans cette contradiction que se situe l’intérêt que les anthropologues découvrent au sein du monde alpin : il est un observatoire privilégié à la fois du passé de l’humanité dont il ne reste aucune trace ailleurs en Europe et de la transition de la société traditionnelle à la société modernisée. En effet, au début des années 1960, pour de nombreux anthropologues britanniques partant à la découverte des vallées alpines le constat est flagrant : les mœurs ont changé rapidement, suite à la deuxième guerre mondiale. Cette mutation catalyse l’attention des chercheurs, notamment l’analyse des relations entre milieu physique et organisation sociale. Même les pionniers, s’ils s’intéressent aux survivances culturelles, ils se situent dans un axe dynamique : Honigmann (1964, 1970) entend démentir la théorie de la marginalité géographique et du conservatisme des populations alpines. Burns (1961, 1963) se propose d’illustrer la relation existant entre l’évolution socioculturelle d’une communauté et l’environnement. Le monde alpin est alors étudié à travers le prisme de l’écologie culturelle qui a pour but de déterminer dans quelle mesure les caractéristiques du milieu peuvent modeler les modes de subsistance et plus généralement les formes d’organisation sociale. Un changement important a lieu avec l’introduction du concept d’écosystème qui s’impose à partir des années 1960 auprès des anthropologues penchés sur les questions écologiques. C’est ainsi que le village alpin est analysé comme un écosystème, à savoir l’ensemble complexe et organisé, compréhensif d’une communauté biotique et du milieu dans lequel celle-ci évolue. Tel était l’objectif de départ de l’étude de John Friedl sur Kippel (1974), un village situé dans l’une des vallées des Alpes suisses que la communauté scientifique considérait parmi les plus traditionnelles. Mais à son arrivée, il découvre une réalité en pleine transformation qui l’oblige à recentrer son étude sur la mutation sociale et économique. Si le cas de Kippel est représentatif des changements des dernières décennies, les différences peuvent varier considérablement selon les régions ou selon les localités. Les recherches d’Arnold Niederer (1980) vont dans ce sens : il analyse les Alpes sous l’angle des mutations culturelles, par le biais d’une approche interculturelle et comparative de la Suisse à la France, à l’Italie, à l’Autriche et à la Slovénie. John Cole et Eric Wolf (1974) mettent l’accent sur la notion de communauté travaillée par des forces externes, en analysant, les deux communautés voisines de St. Felix et Tret, l’une de culture germanique, l’autre de culture romane, séparées par une frontière ethnique qui fait des deux villages deux modèles culturels distincts. Forts de leur bagage d’expériences accumulées dans les enquêtes de terrain auprès des sociétés primitives, les anthropologues de cette période savent analyser le fonctionnement social de ces petites communautés, mais leurs conclusions trop tributaires de leur terrain d’enquête exotique ne sont pas toujours à l’abri des généralisations. En outre, en abordant les communautés alpines, une réflexion sur l’anthropologie native ou de proximité se développe : le recours à la méthode ethnographique et au comparatisme permettent le rétablissement de la distance nécessaire entre l’observateur et l’observé, ainsi qu’une mise en perspective des phénomènes étudiés. Avec d’autres anthropologues comme Daniela Weinberg (1975) et Adriana Destro (1984), qui tout en étudiant des sociétés en pleine transformation en soulignent les éléments de continuité, nous nous dirigeons vers une remise en cause de la relation entre mutation démographique et mutation structurale de la communauté. Robert Netting (1976) crée le paradigme du village alpin, en menant une étude exemplaire sur le village de Törbel, qui correspondait à l’image canonique de la communauté de montagne qu’avait construite l’anthropologie alpine. Pier Paolo Viazzo (1989) critique ce modèle de la communauté alpine en insistant sur l’existence de cas emblématiques pouvant démontrer que d’autres villages étaient beaucoup moins isolés et marginaux que Törbel. Néanmoins, l’étude de Netting joue un rôle important dans le panorama de l’anthropologie alpine, car elle propose un nouvel éclairage sur les stratégies démographiques locales, considérées jusque-là primitives. En outre, sur le plan méthodologique, Netting désenclave l’anthropologie alpine en associant l’ethnographie aux recherches d’archives et à la démographie historique (Netting 1981) pour compléter les données de terrain. La description des interactions écologiques est devenue plus sophistiquée et la variable démographique devient cruciale, notamment la relation entre la capacité de réguler la consistance numérique d’une communauté et la stabilité des ressources locales. Berthoud (1967, 1972) identifie l’unité de l’aire alpine dans la spécificité du processus historique et des différentes trajectoires du développement culturel, tout en reconnaissant l’importance de l’environnement. C’est-à-dire qu’il démontre que le mode de production « traditionnel » observé dans les Alpes n’est pas déterminé par les contraintes du milieu, mais il dérive de la combinaison d’éléments institutionnels compatibles avec les conditions naturelles (1972 : 119-120). Berthoud et Kilani (1984) analysent l’équilibre entre tradition et modernité dans l’agriculture de montagne dans un contexte fortement influencé par le tourisme d’hiver. Dans une reconstruction et analyse des représentations de la montagne alpine depuis la moitié du XVIIIe siècle à nos jours, Kilani (1984) illustre comment la vision du monde alpin se dégrade entre 1850 et 1950, au fur et à mesure de son insertion dans la société globale dans la dégradation des conditions de vie : il explique ainsi la naissance dans l’imaginaire collectif d’une population primitive arriérée au cœur de l’Europe. Cependant, à une analyse comparative de l’habitat (Weiss 1959 : 274-296 ; Wolf 1962 ; Cole & Wolf 1974), de la dévolution patrimoniale (Bailey 1971 ; Lichtenberger 1975) ou de l’organisation des alpages (Arbos 1922 ; Parain 1969), le monde alpin se caractérise par une surprenante variation, difficilement modélisable. Les situations de contact sont multiples, ce qui est très évident sur le plan linguistique avec des frontières très fragmentées, mais de nombreuses autres frontières culturelles européennes traversent les Alpes, en faisant du monde alpin une entité plurielle, un réseau plus ou moins interconnecté de « upland communities » (Viazzo 1989), où les éléments culturels priment sur les contraintes liées à l’environnement. Aux alentours de 1990, la réflexion des anthropologues autour des traditions alpines, sous l’impulsion de la notion d’invention de la tradition, commence à s’orienter vers l’étude des phénomènes de revitalisation (Boissevain 1992), voire de relance de pratiques ayant subi une transformation ou une rupture dans la transmission. Cette thèse qui a alimenté un riche filon de recherches a pourtant été contestée par Jeremy MacClancy (1997) qui met en avant les éléments de continuité dans le culte de Saint Besse, presqu’un siècle après l’enquête de Robert Hertz. La question de la revitalisation et de la continuité reste donc ouverte et le débat se poursuit dans le cadre des discussions qui accompagnent l’inscription des traditions vivantes dans les listes du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
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Leclerc, Hélène. "La Première Guerre mondiale dans l’opérette de langue allemande à l’exemple de l’opérette Im Konzentrationslager (1917) de Helene Fürnkranz". SYMPOSIUM CULTURE@KULTUR, 13.04.2021. http://dx.doi.org/10.2478/sck-2021-0005.

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Abstract Der Beitrag befasst sich mit der Operette einer im Lager Garaison (Hautes-Pyrénées) internierten Österreicherin. Im Ersten Weltkrieg wurden Familien deutscher und österreichischer Zivilisten in diesem französischen Lager versammelt. Helene Fürnkranz‘ Operette, deren Titel Im Konzentrationslager auf die offizielle Bezeichnung des Lagers zurückgreift, schildert das Leben der Internierten, wobei sie sich weitgehend auf die Biografie und die Erlebnisse der Autorin im Lager stützt. Das Werk ist insofern einzigartig, als es den Stand-punkt einer Person österreichischer Herkunft auf französischem Boden während des Ersten Weltkriegs, und noch dazu jenen einer Frau, vermittelt. Darüber hinaus zählt es zu den seltenen Operetten, die den Krieg zum eigentlichen Thema und nicht nur zum Hintergrund des Geschehens machen. Angestrebt wird hier ein Vergleich dieses Opernlibrettos mit einigen Werken des deutschsprachigen Operettenkanons (Gold gab ich für Eisen und Die Csárdasfürstin von Emmerich Kálmán, Die Rose von Stambul von Leo Fall und Viktoria und ihr Husar von Paul Abraham), wobei zuerst die realistische Darstellung des Krieges untersucht wird, dann die humoristische Dimension und die Inszenierung des Konfliktes, sowie schließlich die Bedeutung der weiblichen Perspektive, die sich im Stück als vorherrschend erweist. L’article étudie le cas d’une opérette écrite par une femme d’origine autrichienne internée au camp de Garaison (Hautes-Pyrénées) où furent regroupées des familles de civils allemands et autrichiens durant la Première Guerre mondiale. Cette opérette d’Helene Fürnkranz, dont le titre reprend la dénomination officielle du camp, évoque précisément la vie des internés en s’inspirant largement de la biographie de l’auteure et de son expérience à Garaison. L’œuvre est originale en tant qu’elle offre le point de vue d’une Autrichienne en France pendant la Première Guerre mondiale, d’une femme également, et qu’il semble s’agir d’une des rares opérettes qui fasse du conflit son sujet même et non un simple arrière-plan. En mettant ce livret en perspective avec quelques opérettes plus canoniques du répertoire de langue allemande (Gold gab ich für Eisen et Die Csárdasfürstin de Emmerich Kálmán, Die Rose von Stambul de Leo Fall et Viktoria und ihr Husar de Paul Abraham), l’article examine tout d’abord la représentation réaliste de la guerre qui se dégage de l’opérette de Fürnkranz, puis le traitement léger et humoristique qui en est fait et la mise en scène de la guerre, avant de s’interroger sur la portée de la perspective féminine, qui est centrale dans la pièce. The article studies the case of an operetta written by a woman of Austrian origin interned at the Garaison camp (Hautes-Pyrénées) where German and Austrian civilian families were gathered during the First World War. This operetta by Helene Fürnkranz, whose title takes the official name of the camp, evokes precisely the life of the internees, drawing in large amounts on the author's biography and her experience at Garaison. The work is original in that it offers the point of view of an Austrian citizen in France during the First World War, a woman as well, and seems to be one of the few operettas that makes the conflict its very subject and not just a background. Putting this libretto into perspective with some of the more canonical operettas in the German-language repertoire (Gold gab ich für Eisen and Die Csárdasfürstin by Emmerich Kálmán, Die Rose von Stambul by Leo Fall and Viktoria und ihr Husar by Paul Abraham), the article first examines the realistic portrayal of war in Fürnkranz's operetta, then the light and humorous treatment and staging of the war, before considering the significance of the female perspective, which is central to the play.
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