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Jackson, Ian, i Numa Broc. "Dictionnaire illustre des explorateurs et grands voyageurs francais du XIXe siecle". Taxon 42, nr 3 (sierpień 1993): 734. http://dx.doi.org/10.2307/1222563.

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Jackson, Ian, Numa Broc, Jean-Georges Kirchheimer i Pascal Riviale. "Dictionnaire illustré des explorateurs et grands voyageurs français du XIXe siècle. Vol. 3. Amérique". Taxon 49, nr 2 (maj 2000): 335. http://dx.doi.org/10.2307/1223858.

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Miossec, Alain. "François Bellec, Jean-Michel Demetz et Dominique Le Brun. Grands marins, De Cartier à Charcot, la saga des explorateurs français, Tallandier, 2023, 332 pages, 22 €." La Géographie N° 1591, nr 4 (13.12.2023): 54. http://dx.doi.org/10.3917/geo.1591.0054.

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4

Roberts, Andrew. "Dictionnaire Illustré des Explorateurs et des Grands Voyageurs Français du 19e Stècle, i: Afrique. Par Numa Broc. Paris: Ministère de l'Education Nationale (Editions du Comité des Travaux Historiques et Scientifiques), 1988. Pp. xxxii + 350, illus. 350 F." Journal of African History 32, nr 01 (marzec 1991): 169. http://dx.doi.org/10.1017/s0021853700025573.

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5

Palluau, Nicolas. "Explorateurs et éclaireurs : quelques grandes figures (1919-1939)". Agora débats/jeunesses 11, nr 1 (1998): 41–48. http://dx.doi.org/10.3406/agora.1998.1584.

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Piret, Pierre. "Marcel Thiry, explorateur du Grand Parfait. Une lecture du Récit du Grand-Père". Textyles, nr 7 (15.11.1990): 99–115. http://dx.doi.org/10.4000/textyles.1800.

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Mabrouk, Hassna. "Mise en récit d’une conquête de l’Ailleurs, du XVIe siècle : mémoire et représentations du personnage historique Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico". HYBRIDA, nr 5(12/2022) (27.12.2022): 111. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).24045.

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Cet article a pour objet de parcourir une mémoire inscrite dans l’histoire de la conquête et des grandes découvertes, au XVIe siècle, menée par une puissance impériale de l’époque, l’Espagne. Longtemps présentée de la seule perspective de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, la mémoire de l’explorateur marocain Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico incarne une vision eurocentrée qui a mis le voile sur la contribution de cet explorateur à l’événement historique de la Rencontre. L’apport considérable des études subalternes et des études postcoloniales, associé à la réflexion sur l’histoire connectée, ont animé un chantier qui projette un regard sur la mémoire des identités niées et occultées du moment historique. Ces études mettent en valeur une production littéraire et artistique contemporaine qui porte un intérêt à la reconfiguration des mémoires du passé. Celle du personnage historique, Al-Azemmouri, trouve sa manifestation dans le roman de Kébir Ammi, Les Vertus immorales, et dans les représentations artistiques qui fonctionnent dans l’espace natal de cet explorateur, la ville d’Azemmour.
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Petit, Marc. "Le terminateur". Austriaca 25, nr 1 (1987): 125–30. http://dx.doi.org/10.3406/austr.1987.4188.

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L’image de Georg Trakl la plus communément répandue est celle d’un «poète maudit » de l’expressionnisme, chantre du désespoir et de la décadence. Dans cet essai, l’auteur (universitaire, mais d’abord écrivain, traducteur en français des Oeuvres de Trakl) développe le point de vue inverse. Il s’attache à présenter l’image d’un Trakl méconnu, heureux dans son œuvre, sauvé par l’exercice de l’écriture ; explorateur des zones-limites de la conscience et, chemin faisant, découvreur d’une beauté nouvelle paradoxale, qui apparente la leçon de l’artiste à celle des grands lyriques japonais. L’itinéraire poétique de Trakl est restitué dans cette lumière ; pour finir, on émet le vœu de ne plus voir le sens d’une œuvre adultéré par les dérives du déterminisme biographique.
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Marc’hadour, Germain. "Et in Utopia Ego: André Prévost (1912–1996) Et Thomae Mori Utopia". Moreana 33 (Number 127-, nr 3-4 (grudzień 1996): 83–98. http://dx.doi.org/10.3366/more.1996.33.3-4.8.

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Cet article est un bilan de l’ouvrage accompli dans le champ des études marien nes par un grand pionnier. André Prévost. mort le 26 janvier 1996. Docteur en théologie et en philosophie. il publia, en 1968. une analyse remarquée du rôle que joua More. comme témoin et intervenant. dans “la crise de la pensée européenne”. Son édition bilingue (latin-français) de l’Utopie (1978) constitua un évènement, et demeure une source inépuisable pour les explorateurs de ce live déconcertant. Ecrit à Lille. il présente l’insula Utopia comme une île aux trésors cachés. Notre rétrospective tàit écho aux recensions des deux livres et examine en détail deux documents privil égiés par Prévost la version anglaise d’E. Surtz pour l’édition critique de l’Utopie (Yale 1965) et une étude de R. Monsuez sur le latin de More.
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Shusterman, Ronald. "Prouesses d’un art épistémologique : l’univers lumineux et engagé d’Olafur Eliasson". Figures de l'Art. Revue d'études esthétiques 17, nr 1 (2009): 199–215. http://dx.doi.org/10.3406/fdart.2009.878.

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Dans les arts plastiques, les matériaux mêmes semblent réellement capables d’interroger, voire de modifier, nos modes de perception. Cet art épistémologique trouve peut-être sa plus grande puissance chez les explorateurs et les manipulateurs de la lumière, chez ceux pour qui la lumière est souvent une fin en soi. C’est bien cette finalité cosmologique ou scientifique qui fournit la motivation profonde des oeuvres d’artistes tels que Turrell, Kapoor ou Olafur Eliasson. Ce dernier notamment fait un art d’exploration et d’illustration de la science par le biais d’installations de lumière. Or, si la littérature échoue (à mon avis) dans ses tentatives de rivaliser avec la science expérimentale, cet art de la lumière parvient effectivement à nous fournir une pensée visuelle nous permettant de saisir certains concepts scientifiques. En conclusion, il conviendra de tracer les frontières de cet art sensoriel, en invoquant les liens possibles entre épistémologie et éthique.
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Repussard, Catherine. "Le conquistadore et le grand commis de l’État : Karl Peters et Bernhard Dernburg : deux hommes et deux périodes de l’histoire coloniale allemande". Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande 38, nr 4 (2006): 493–508. http://dx.doi.org/10.3406/reval.2006.5910.

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Karl Peters, le «fondateur» de l’Afrique orientale allemande, territoire protégé par le Reich à partir de 1884, est le «colonial» par excellence : explorateur à la tête de nombreuses expéditions, aventurier sans vergogne, «agitateur» colonial de premier ordre, piètre gestionnaire, objet de scandales coloniaux retentissants. Son nom restera durablement synonyme de violences et d’arbitraire colonial. L’arrivée en 1907 de Bernhard Dernburg à la tête du ministère des Colonies marque un véritable tournant dans les affaires coloniales allemandes. Dernburg est un gestionnaire et surtout un grand réformateur qui a, pour les colonies, un véritable programme de développement, mais que de nombreux cercles considéreront comme trop libéral et «non-allemand». L’article se propose de présenter ces deux personnages que tout oppose, mais qui auront marqué, chacun à sa façon, l’histoire coloniale allemande.
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Lefebvre, Camille. "Itinéraires de sable: Parole, geste et écrit au Soudan central au XIXe siècle". Annales. Histoire, Sciences Sociales 64, nr 4 (sierpień 2009): 797–824. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900022472.

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RésuméInsérée dans un projet scientifique global de découverte, de mesure et de parcours de l’ensemble du monde, l’exploration de l’Afrique de l’Ouest a pour objectif de révéler à la science européenne le plus grand nombre d’espaces possibles, par le parcours et la compilation de données géographiques. Ce projet pousse les explorateurs à recueillir auprès des populations locales des éléments de leurs savoirs géographiques. De leurs voyages, certains ont rapporté des itinéraires et des cartes réalisés par leurs informateurs africains. Ces matériaux hybrides reflets de l’interaction et des enjeux de cette rencontre permettent de questionner les usages sociaux de l’écrit au Soudan central au XIXe siècle. À partir de l’analyse de ces documents et des pratiques dont ils sont issus, il est possible de comprendre les liens entre formes d’écriture, parole et geste. Cette observation d’un usage social de l’écrit et des pratiques qui l’entoure révèle l’imbrication de ces trois sphères et invite à rouvrir le débat sur la culture écrite dans l’Afrique musulmane du XIXe siècle.
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Becker, Colette. "Zola, un déchiffreur de l’entre-deux". Études françaises 39, nr 2 (8.10.2003): 11–21. http://dx.doi.org/10.7202/007032ar.

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Résumé Explorateur de l’entre-deux, Zola est un écrivain des marges — marges sociales, le faubourg, le peuple —, marges de ce qu’on appelle, sur le plan physiologique, le normal ou encore le sain. Cette double exploration est à l’origine et au centre des Rougon-Macquart, dont elle constitue une des grandes innovations. Elle repose, en particulier, sur la conviction que la maladie, les états pathologiques, les marges révèlent mieux les failles de l’homme et de la société, en mettant au jour leur partie cachée et problématique. Une étude de la spatialité dans La fortune des Rougon, premier roman du cycle, montre une structure spatiale posant les idées-forces de la série et sa vision de la société, disant le « mouvement du siècle », les efforts pour briser les positions acquises, pour passer du dehors au dedans, d’un groupe à l’autre, explorant le monde sous le monde et ses bouillonnements.
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Querrec, Lydia, Réginald Auger i Louise Filion. "Perceptions environnementales et description du paysage de la Nouvelle-France aux xviie et xviiie siècles". Histoire 138, nr 1 (6.01.2014): 45–55. http://dx.doi.org/10.7202/1021042ar.

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Cette synthèse, regroupant documents d’archives, récits historiques et interprétations d’historiens et de chercheurs, a pour but de dégager les perceptions environnementales des premiers explorateurs européens à avoir foulé les terres de la Nouvelle-France et, en particulier, celles de la région de Québec. Aux xviie et xviiie siècles, les Européens ont cherché à acquérir des connaissances sur leur nouvel environnement, souvent au contact de populations amérindiennes. L’établissement des nouveaux arrivants passait par l’acclimatation au territoire afin d’en exploiter les ressources naturelles, en vue de faire de la France une grande puissance au sein de l’Europe. Cette découverte de la Nouvelle-France reflète un engouement pour les sciences naturelles et une certaine sensibilité à la nature. L’appropriation du territoire et l’installation des Européens passaient par une modification de l’environnement dans toute la vallée du Saint-Laurent. Les documents concernant la période historique en Nouvelle-France sont nombreux, mais néanmoins difficiles à repérer et à lire du fait de l’utilisation du vieux français. En réunissant en un seul et même document le fruit de lectures et de réflexions, cet article permet une sensibilisation du lecteur aux étapes initiales de la colonisation et de l’adaptation des premiers occupants européens à leur environnement.
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Dasque, Isabelle. "Stéphane Malsagne. Au cœur du Grand Jeu. La France en Orient. Charles-Eudes Bonin (1865-1929), explorateur-diplomate . Paris, Geuthner, 2015, 580 p." Histoire, économie & société 38e année, nr 2 (13.06.2019): IV. http://dx.doi.org/10.3917/hes.192.0131d.

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Greenwood, Nigel. "Canada’s Pacific Gateway to the Arctic". Northern Mariner / Le marin du nord 31, nr 4 (19.07.2022): 431–48. http://dx.doi.org/10.25071/2561-5467.916.

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Pacific Gateway is a term that evokes the “All Red Route” of fashionable and elegant travel by Canadian Pacific Railway steamers or, less historically, global shipping patterns that have enabled Prince Rupert to post record growth as Canada’s third largest port. But the Pacific Northwest is also notably associated with “White Routes” – forays into polar waters that reflected accessibility and opportunity and that contradicted common notions of Arctic approaches. This article will explore the history of these western approaches, examining European explorers, economic and technological innovations, the impact of climate change, and current geopolitical developments that ensure Canada’s Pacific Gateway will remain significantly northern, as well as westwards, focused. Porte d’entrée du Pacifique est un terme qui évoque la « All Red Route » des voyages élégants et à la mode des bateaux à vapeur du chemin de fer Canadien Pacifique ou, d’un point de vue moins historique, les trajets d’expédition à l’échelle mondiale qui ont permis à Prince Rupert d’afficher une croissance record comme troisième plus grand port du Canada. Mais le Nord-Ouest du Pacifique est aussi particulièrement associé aux « routes blanches », les incursions en eaux polaires qui soulignaient l’accessibilité et les possibilités et qui contredisaient les notions communes d’approches arctiques. Cet article examine l’histoire de ces approches occidentales, notamment les explorateurs européens, les innovations économiques et technologiques, les repercussions des changements climatiques et les évolutions géopolitiques actuelles qui font en sorte que la porte d’entrée Canadienne du Pacifique restera considérablement axée sur le Nord et sur l’Ouest.
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Lécrivain, Philippe. "François Angelier , Dictionnaire des voyageurs et explorateurs occidentaux du xiii e au xx e ? siècle . Pygmalion, 2011, 766 pages, 29,90?€. Michel Chandeigne & Jean-Paul Duviols , Sur la route de Colomb et Magellan . Idées reçues sur les grandes découvertes . Le Cavalier Bleu, 2011, 182 pages, 14?€". Études Tome 416, nr 3 (1.03.2012): XVII. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4163.0407q.

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Alloa, Emmanuel. "Le premier livre de Merleau-Ponty, un roman". Chiasmi International 21 (2019): 253–68. http://dx.doi.org/10.5840/chiasmi20192123.

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Dans son oeuvre tardive, Merleau-Ponty a souligné les convergences entre une pensée philosophique et une pensée s’exprimant par l’écriture littéraire, considérant que toutes deux répondent à une tâche commune liée à la description du monde. Ses premiers écrits théoriques – Simone de Beauvoir comme Jean-Paul Sartre l’ont souligné – sont quant à eux marqués par une distance plus nette vis-à-vis de la pratique littéraire. Pourtant, bien avant de publier ses premières monographies (La structure du comportement en 1942 et Phénoménologie de la perception en 1945), Merleau-Ponty est l’auteur d’un livre écrit pour le compte d’un autre : Nord. Récit de l’arctique, paru en 1928 chez Grasset. Le roman qui traite de la vie d’un explorateur dans le grand nord canadien, entre commerce de fourrures entre rencontre avec les Inuits, n’est qu’un travail de commande, que Merleau-Ponty ne revendiquera jamais. On trouve cependant dans cet écrit de jeunesse quelques motifs intéressants qui préfigurent sa pensée à venir. In his late writings, Merleau-Ponty stressed the convergences between philosophy and literature, highlighting their “common task” of describing the world. His early philosophical texts though – both Simone de Beauvoir and Jean-Paul Sartre pointed this out – insist on demarcating themselves from literature. However, well before publishing his first monographs (The Structure of Behaviour in 1942 and Phenomenology of Perception in 1945), Merleau-Ponty had already written a book on someone else’s behalf: Nord. Récit de l’arctique, published in 1928 by French publisher Grasset. The novel, which deals with the life of an explorer in Canada’s far north, between fur trade and encounters with the Inuit, is the result of ghostwriting, carried out for a friend (Jacques Heller). Merleau-Ponty later never stood to that book. There are nonetheless some interesting motifs in this early piece of writing that prefigure his future thinking.Nei suoi ultimi scritti, Merleau-Ponty ha sottolineato le convergenze tra filosofia e letteratura, evidenziando il loro “comune compito” nel descrivere il mondo. I suoi primi testi filosofici – lo hanno sottolineato sia Simone de Beauvoir che Jean-Paul Sartre – insistono però a distinguersi dalla letteratura. Tuttavia, ben prima di pubblicare le sue monografie (La struttura del comportamento nel 1942 e Fenomenologia della percezione nel 1945), Merleau-Ponty aveva già scritto un libro per conto terzi: Nord. Récit de l’arctique, pubblicato nel 1928 per le stampe di Grasset. Per questo romanzo, che tratta della vita di un esploratore nell’estremo nord canadese, tra commercio di pellicce e incontri con gli Inuit, Merleau-Ponty fa da ‘ghostwriter’ ad un amico (Jacques Heller). Mentre ulteriormente, egli non si avvalse mai della paternità del romanzo, questo primo scritto contiene già alcuni spunti che prefigurano il suo pensiero futuro.
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FAURE, Martine. "Deyrolle de père en fils, entre science et commerce, une vitrine parisienne de l’Histoire naturelle au xixe siècle". Naturae, nr 10 (20.12.2023). http://dx.doi.org/10.5852/naturae2023a10.

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Deyrolle est le nom d’une grande famille de naturalistes du xixe siècle qui nous est familier, mais n’a jamais fait l’objet d’une étude sur ses activités et ses apports aux sciences de la nature. Et pourtant, sur trois générations, les membres de cette famille nous donnent une large vision du milieu des naturalistes au xixe siècle. En premier lieu nous parlerons de Jean-Baptiste Deyrolle et de trois de ses fils : Achille, Narcisse et Henri, puis des trois enfants d’Achille : Hortense, Émile et Théophile. Il est parfois difficile de distinguer les activités de chacun tant ils sont complémentaires. Tour à tour explorateurs, marchands naturalistes, collectionneurs, savants, éditeurs, illustrateurs, vulgarisateurs, ils ont été des acteurs influents du milieu naturaliste à Paris au xixe siècle. Quatre d’entre eux sont partis explorer des régions lointaines (Brésil méridional, Gabon, Caucase et Anatolie orientale) encore très mal connues des européens, dans le but d’inventorier le monde vivant et d’en rapporter des spécimens de la faune et de la flore. Ils ont été actifs dans diverses sociétés savantes naturalistes et ont contribué aux tentatives d’acclimatation en France de nouvelles espèces végétales et animales. Par leurs activités de taxidermie et de préparation d’animaux exotiques, ils ont fait découvrir la faune du monde entier au grand public des musées européens. Ils ont été des entomologistes reconnus, certains ont chassé, d’autres ont collectionné, vendu, échangé, expertisé, étudié, illustré, colorisé des milliers d’Insectes. Ils ont joué un rôle majeur dans la constitution de collections entomologiques patrimoniales et ont laissé une empreinte forte dans la taxonomie entomologique. Ils se sont aussi intéressés à l’entomologie appliquée et se sont impliqués dans de grandes causes nationales comme la lutte contre la destruction des cultures par le Doryphore et l’introduction de nouvelles espèces de vers à soie pour sauver la sériciculture. Ils ont dominé le marché parisien pour tout ce qui concernait l’Histoire naturelle, ils ont œuvré pour fournir les établissements scientifiques en spécimens divers et rares, élaborer des outils et des produits afin de répondre aux besoins des collectionneurs amateurs et professionnels. Ils se sont même investis dans la mode de leur temps en confectionnant des parures en plumes pour chapeaux et des bijoux en Insectes. Ils ont été lauréats de grandes manifestations internationales, notamment des Expositions universelles qui ont marqué leur siècle. En éditant des revues et des ouvrages de vulgarisation, en créant des tableaux pédagogiques pour les établissements scolaires, ils ont initié des générations d’écoliers à la connaissance de la nature. Au service de la science et de l’enseignement de la nature, ils ont occupé une place centrale dans l’édition naturaliste et la diffusion des connaissances.
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Servais, Olivier, i Frédéric Laugrand. "Missionnaire". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.018.

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Le terme « missionnaire » renvoie au terme chrétien : « missio », envoyé. Le missionnaire désigne dans la tradition chrétienne celui qui est envoyé par l’Esprit Saint annoncer l’Évangile en dehors des terres de chrétienté. Par extension, ce concept traduit la figure d’un prosélyte institué par une religion. En anthropologie, le mot renvoie à une pluralité de contextes et de sens. C’est avec la Renaissance et la « découverte du Nouveau Monde » que plusieurs récits missionnaires acquièrent le statut de véritables textes ethnologiques. À cette époque, alors qu’un nombre croissant de récits sont publiés ou traduits en Europe ayant pour thèmes les coutumes des peuples non évangélisés, la découverte des Amériques et de populations qui ne figurent pas dans les textes bibliques obligent les théologiens, les écrivains, les chroniqueurs et autres voyageurs, à repenser l’altérité et à formuler de nouvelles interprétations à partir des catégories existantes. Les récits d’André Thevet, de Jean de Léry, par exemple, attestent de cette révolution conceptuelle en ce sens que ces auteurs, pour la première fois, vacillent. Ils en appellent à la transformation de soi et à la conversion du regard. Cette ouverture restera toutefois de courte durée et assez marginale. Avec les conquêtes coloniales, en effet, les récits missionnaires se multiplient et s’ils se diffusent jusque dans le grand public où ils concurrencent les récits de voyage, leur contenu montre la ténacité de l’ethnocentrisme et surtout celle du complexe de supériorité des peuples européens. Il faut attendre le milieu du XXe siècle, sous les effets combinés de la décolonisation et du concile Vatican II pour que les esprits évoluent lentement vers une plus grande tolérance. Entre temps, un nouveau genre est apparu et s’est développé: celui des récits ethnologiques en bonne et due forme. Un peu partout sur la planète, les ethnologues sont rapidement partis en croisade contre les entreprises missionnaires, criant à la déculturation, à la contamination chrétienne et rappelant au monde la diversité des cultures et des traditions, mais sans interroger assez leur propre entreprise et le sens de leurs actions ou de leurs enquêtes. Sur ce point, de nombreuses chroniques missionnaires s’avèrent anthropologiquement très riches pour saisir la diversité des cultures et leurs caractéristiques. Pour se limiter aux Amériques et à une période plus ancienne, citons ces textes encyclopédiques que nous livrent Fray Bernardino de Sahagun (1981 [1730]; voir aussi León-Portilla 2002; José de Acosta (1979 [1590]); Fray Alonso de Benavides (1954 [1630]); ou encore, les monographies de Jean de Léry (1980 [1578]); d’André Thevet (1983 [1557]); de Martin Dobrizhoffer (1967 [1784]). La richesse de ces ouvrages dépasse le plan strictement ethnographique. Claude Lévi-Strauss (1955 : 84) ne s’y est pas trompé lorsqu’il considère L’histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, publiée par le pasteur genevois Jean de Léry, en 1578, comme « le bréviaire de l’ethnologue ». Comme l’illustre encore le cas du jésuite José de Acosta, c’est par l’expérience du voyage, par celle de la distance de soi et de l’altérité que des missionnaires ont découvert, bien avant Jean-Jacques Rousseau et les philosophes du XVIIIe siècle, l’universalité de la barbarie, de la guerre et de l’ethnocentrisme ou encore les limites de la pensée cartésienne. Fermin del Pino-Diaz (1992 : 323) cite avec raison une déclaration du père d’Acosta qui évoque celle de Montaigne dans Des Cannibales et dont, selon lui, tout anthropologue actuel pourrait s’enorgueillir: « La rudesse des barbares n’est pas produite par la nature mais par l’éducation et les coutumes ». En somme, c’est donc bien avant que l’ethnologie émerge comme discipline scientifique, que des missionnaires ont su conjuguer universalisme et relativisme. Rétrospectivement, chaque époque et chaque congrégation a son lot de missionnaires ethnologues. Leurs chroniques s’avèrent ethnographiquement beaucoup plus riches que les récits des voyageurs et des explorateurs. Alfred Métraux (1963) affirme que pour leurs observations méticuleuses sur les peuples du Brésil, les pères capucins Claude d’Abbeville (1614 [1963]) et Yves d’Évreux appartiennent à ceux qu’il nomme les « grands précurseurs de l’ethnographie française » qu’a connu le tournant des XVIe et XVIIe siècles. Les siècles suivants, de nombreux missionnaires ethnologues se retrouvent du côté des jésuites : Brébeuf en Nouvelle-France (Laflèche 1999; Reichler 2004), plusieurs jésuites au Paraguay (Saignes 1985), d’autres dans les Pays d’en Haut et au Canada (Servais 2005). Avec l’entreprise coloniale et l’époque du « réveil missionnaire », le XIXe siècle semble ouvrir une période de régression. Un examen plus attentif laisse pourtant apparaitre là encore des cas de missionnaires ethnologues et ce, dans la plupart des régions du monde : salésiens en Amazonie, missionnaires anglicans dans le Nord canadien, etc. Il n’en demeure pas moins vrai que la plupart des missionnaires de l’époque se détournent de l’ethnographie pour produire des récits de propagande où l’autre est réduit à un faire-valoir. Les récits de mission deviennent ainsi les pièces maitresses d’un travail d’édification et d’un système de propagande, d’un prosélytisme qui ne s’essoufflera vraiment qu’au milieu du XXe siècle, avec la promotion d’une pensée œcuménique et d’un respect des cultures. Plusieurs revues d’anthropologie du XXe siècle émanent encore d’œuvres missionnaires : il en va ainsi d’Anthropos, une revue fondée par le père Schmidt, d’Anthropologica, la revue canadienne d’anthropologie née en 1955, d’une collaboration entre des missionnaires oblats et des anthropologues, etc. Les missionnaires se montreront enfin de précieux experts sur le plan de l’étude des langues, produisant d’innombrables encyclopédies et dictionnaires. La décolonisation ne fera pas disparaitre pour autant les récits de missionnaires ethnologues. Les exemples de Philippe Chanson (2010) dans les Antilles, de Jacques Dournes (1955) au Vietnam et d’Éric de Rosny (1981) au Cameroun montrent, par ailleurs, comment le missionnaire peut être profondément transformé par l’expérience ethnographique (Burridge 1975; Laugrand et Servais 2013). Certains chercheurs ont tenté de problématiser ces contributions missionnaires en les comparant aux démarches ethnographiques et anthropologiques. Claude Blanckaert (1985: 12) a opposé « l’observation participante » des ethnographes à « la participation observante » des missionnaires, mais il faut bien admettre que les termes s’inversent à l’occasion. De nos jours, les anthropologues ne cessent de (re)découvrir toutes les ressources ethnohistoriques et ethnolinguistiques de ces journaux de bord tenus par les missionnaires européens ou indigènes, catéchistes ou évangélistes, répondant tantôt à la demande d’information de l’autorité institutionnelle de leur congrégation, tantôt à leur propre quête et curiosité. Souvent isolés, certains missionnaires ont sans doute obéi à leur passion personnelle, quitte à refouler leurs enquêtes ethnographiques comme l’illustre le cas du révérend E.J. Peck qui a préféré rester dans l’ombre mais répondre aux requêtes que lui faisait Franz Boas (Laugrand, Oosten et Trudel 2006). D’autres ont voulu suivre les incitations de leurs supérieurs et trouver des pierres d’attente ou des valeurs évangéliques dans les traditions qu’ils découvraient. Pour d’autres enfin, le décodage des cultures répondait à des stratégies de conversion et de communication interculturelle. On connait depuis longtemps la formule : « comprendre pour être compris ». De la traduction des catéchismes ou de la Bible en langue vernaculaire, à la production de traités savants sur la parenté ou la religion primitive, en passant par l’élaboration érudite de dictionnaires qui sont parfois de véritables encyclopédies, plusieurs missionnaires ethnologues ont apporté une contribution majeure à l’émergence de la discipline ethnologique. Même si la question des modes de lecture et des outils d’analyse de ces récits missionnaires fait encore débat méthodologique et épistémologique entre historiens, anthropologues et missiologues. Plusieurs missionnaires ont considérablement contribué aux débats anthropologiques : pensons à l’œuvre singulière du père Joseph-François Lafitau (1983 [1724]) sur la parenté (Duchet 1976; De Certeau 1985; Motsch 2001) ou encore aux travaux de Jacques Leenhardt (Naepels et Solomon 2007). Comme Leenhardt, d’autres figures missionnaires comme Aupiais et Leroy (Mary 2010) se sont mis à l’école des grands maitres de cette discipline savante et universitaire, et notamment de Marcel Mauss. En retour, leurs expériences du terrain et leur production écrite, en concurrence avec celles des administrateurs et d’autres observateurs, ont forgé bien des catégories de l’anthropologie religieuse et symbolique. Missionnaires et anthropologues partagent enfin une position de médiateurs, condamnés à devenir des transfuges ou à concilier les règles que leur groupe d’appartenance impose, avec les expériences et les catégories des autres souvent issus de mondes fort différents.
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Quey, Francesca. "L’empreinte de l’inachèvement et de l’insaisissable. Henri Michaux et l’expérience de l’avant-pensée". Expériences 13 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/11zmk.

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Désapprendre, défigurer, déstructurer, démembrer, disloquer. Autant de verbes utilisés par Michaux pour raconter le processus de démantèlement de la construction solide et structurée de la pensée afin de vivre l’expérience de la déprise de soi, du « ne plus savoir-penser ». Grand voyageur des terres de « l’ailleurs » géographique et intime, Michaux se mue en explorateur-poète de la pensée saisie à sa naissance, à l’instant du germinal. Le présent progressif est le temps de l’être, sa condition en devenir et sa manière de ne jamais être quelque chose ou quelqu’un mais toujours essayer d’être potentiellement autre chose et/ou quelqu’un d’autre. Par ses alphabets Michaux cherche à rejoindre ce qu’il appelle une « préécriture pictographique », une narration par des gestes, susceptibles de restituer le tracé du mouvement pensant, ou par des empreintes, moments des passages des êtres qui furent. Toujours se garder d’arriver : cet impératif dirige la composition et l’invention des différents modes d’êtres qui adoptent une disposition momentanée sur la page, dessinant une géographie picturale de l’intime en perpétuelle formation, arrêt, accélération ou suspension. La polysémie de l’alphabet pictographique de Michaux donne vie à des récits aussi indéchiffrables que signifiants pour imaginer une nouvelle écriture de l’être et, peut-être, de l’être-avec-le-monde.
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Foliard, Daniel. "Les statues dites « kafirs » du musée Guimet : politique des dons et compétitions impériales dans l’Afghanistan du début du XXe siècle". Diplomatic Gifts and Countergifts between Britain and the Muslim East from the Seventeenth Century to the Early Twentieth Century, 2024. http://dx.doi.org/10.4000/11vhi.

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Depuis des années, les visiteurs du musée Guimet n’ont pas pu manquer de remarquer les deux statues de bois qui trônaient dans le hall d’entrée de l’institution. Les explications portées à leur attention restaient toutefois très elliptiques quant à leur trajectoire depuis l’Afghanistan vers Paris. Cet article propose de rouvrir le dossier du don de plusieurs statues sacrées pillées par l’armée de l’émir d’Afghanistan ʿAbd al-Raḥmān Khān au milieu des années 1890 lors d’une campagne contre les populations du « Kāfiristān » (la « terre des païens »). Ces peuples non-musulmans, dont l’origine aryenne supposée nourrit l’inspiration de Rudyard Kipling et de bien des explorateurs de cette zone isolée de l’Hindu Kush, furent convertis de force et déportés lors d’une opération militaire particulièrement brutale. La région fut rebaptisée Nuristān (« le pays de la lumière ») pour saluer la disparition de pratiques religieuses considérées comme contraires à l’Islam. Une partie de la statuaire locale fut détruite sur place, quelques pièces furent emportées par les troupes pour être exposées dans la résidence de l’émir à Kabul. Certaines de ces statues, convoitées par les archéologues de plusieurs pays européens, furent ensuite données par l’émir Ḥabībullāh à la France dans les années 1920 au grand dam des autorités britanniques. Elles virent dans ce don le signe d’une évolution importante de leurs relations avec le royaume afghan, elles-mêmes régulièrement entretenues et consolidées depuis le XIXe siècle par des échanges réguliers de présents. Cet article utilise cette étude de cas pour repenser la place des dons d’objets patrimoniaux et leurs muséifications successives au prisme des relations trans-impériales complexes qui caractérisent la zone afghane au tournant du XXe siècle.
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