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Artykuły w czasopismach na temat "Délai de prise en charge – Participation des parents"

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Pressé, Guillaume. "Deuil périnatal : l’établissement de santé doit apporter une information complète et appropriée pour permettre aux parents de faire un choix éclairé sur le devenir du corps de leur enfant". Civitas Europa N° 51, nr 2 (14.06.2024): 157–69. http://dx.doi.org/10.3917/civit.051.0157.

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L’établissement de santé qui, d’une part, n’apporte pas une information complète et appropriée aux parents sur le devenir du corps de leur enfant né sans vie et qui, d’autre part, procède à la crémation de celui-ci sans respecter le délai réglementaire commet un double manquement qui engage sa responsabilité. Cette solution témoigne tout à la fois de l’attention portée au respect de la volonté des parents et de la volonté du Conseil d’État d’imposer une prise en charge plus compassionnelle du deuil périnatal. La présente décision est l’occasion de rappeler les évolutions du statut juridique des enfants nés sans vie.
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René, Jean-François, Maryse Soulières i Fanny Jolicoeur. "La place et la participation des parents dans les Organismes communautaires Famille". Le dossier : La participation publique et démocratique 17, nr 1 (8.03.2005): 66–82. http://dx.doi.org/10.7202/010574ar.

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Résumé S’intéressant à la prise en charge citoyenne des parents, cet article présente les résultats d’une étude de cas multiples auprès de trois Organismes Communautaires Famille. Bien que présente sous diverses formes, la participation demeure le fait d’une minorité, surtout lorsqu’elle suppose une implication plus intensive (prendre des décisions), ou un passage à l’action sociale (mobilisation collective). Un certain nombre de facteurs facilitent la participation, accentuant la perspective citoyenne : 1) une programmation équilibrée, 2) une limitation de la professionnalisation, 3) un positionnement critique par rapport aux sources de financement et 4) une implication dans le mouvement communautaire.
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Prével, Arthur. "Prise en charge ABA d’enfants avec TSA : une participation nécessaire des aidants et des parents". Psychologues et Psychologies N° 278, nr 2 (29.04.2022): 025–30. http://dx.doi.org/10.3917/pep.278.0003h.

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Le Goff, Jean-Marie, i Abdoul-Wahab Dieng. "Prise en charge des enfants en bas âge en Suisse et participation des femmes au marché du travail*". Articles 35, nr 2 (11.08.2008): 141–60. http://dx.doi.org/10.7202/018595ar.

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Résumé Le présent article a pour objet d’analyser les déterminants du choix de la garde d’enfant en Suisse en relation avec le mode de participation des femmes à la vie active. Le contexte de ce pays est celui d’une offre peu élevée de services de garde face à une demande croissante de la part des familles. Notre hypothèse générale est de considérer que les décisions en matière ­d’exercice d’une activité professionnelle et de placement des enfants résultent d’un processus conjoint plutôt que de deux processus avec une relation de causalité. Notre analyse s’appuie sur les données du « Panel suisse de ménages » qui est une enquête longitudinale suivant chaque année, depuis 1999, un échantillon représentatif de ménages. Nous développons un modèle logistique multi-processuel de la garde d’enfant et de la participation des femmes à la vie active. Les moyens de garde sont, en outre, distingués en deux grandes catégories selon que les familles font appel à un service de garde payant (crèches, assistantes maternelles, baby sitter à domicile) ou font appel à leur entourage (grands-parents, famille, amis).
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Charpentier, S. Cussot, T. Maffre, J. P. Raynaud i D. Grodberg. "Adaptation et évaluation d’un outil de dépistage/diagnostic des troubles du spectre autistique Nord-Américain en langue française – (AMSE: Autism Mental Status Examination–David Grodberg et al.) Étude préliminaire en population à haut risque". European Psychiatry 28, S2 (listopad 2013): 68. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.178.

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Les troubles du spectre autistique (TSA) concernent 1 nouveau-né sur 150. Le retard au diagnostic est parfois de plusieurs années. L’Autism Mental Status Examination (AMSE) propose, par sa simplicité de passation, une aide au diagnostic pour les médecins confrontés aux troubles du spectre autistique. L’étude préliminaire consiste à déterminer le score seuil de positivité en langue française de l’échelle pour une sensibilité de l’AMSE supérieure à 80 % et une spécificité supérieure à 90 % dans une population « à haut risque de TSA ». Les patients, âgés de 18 mois à 16 ans, sont consultants de l’Unité d’évaluation des troubles envahissants du développement (CHU de Toulouse) et bénéficient d’une évaluation standardisée pluridisciplinaire suivant les dernières recommandations pour une suspicion de TSA. Les critères d’exclusion sont : un non consentement des parents, une évaluation incomplète, un âge inférieur à 18 mois ou supérieur à 16 ans, une connaissance du dossier médical du patient par l’examinateur. L’AMSE comporte 8 items évaluant le fonctionnement social, la communication et le comportement d’enfants à partir de 18 mois, renseignés grâce à l’observation clinique de l’enfant et à un entretien familial. Cette étude diagnostique, prospective, non randomisée est une étude d’équivalence : le résultat du gold standard (Autism Diagnostic Interview et Autism Diagnostic Observation Schedule) est confronté à celui de l’AMSE. L’étude est ouverte, monocentrique et prévoit l’inclusion de 40 patients sur une durée de 12 à 18 mois. Le traitement statistique utilise des courbes ROC pour déterminer le score seuil de l’AMSE pour un objectif de sensibilité supérieur à 90 % et de spécificité supérieur à 80 %, un alpha Cronbach pour tester la cohérence interne. Le projet vise à raccourcir le délai diagnostique pour une prise en charge la plus précoce possible, primordiale dans le pronostic.
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Derguy, C., K. M’Bailara, G. Michel, S. Pingault i M. Bouvard. "Développement et évaluation d’un programme de psychoéducation destiné aux parents d’enfant autiste". European Psychiatry 28, S2 (listopad 2013): 62–63. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.164.

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L’accompagnement des parents d’enfants avec un trouble du spectre autistique (TSA) présente de multiples enjeux tant d’un point de vue clinique [3] que dans une perspective médico-économique [1]. Le nouveau plan Autisme 2013–2017 ainsi que les recommandations de la Haute Autorité de santé de 2012 insistent sur la nécessité de proposer un accompagnement parental multimodal favorisant la transmission d’information et de compétences ainsi qu’un soutien dans l’ajustement psychosocial au trouble. Dans ce contexte, l’Éducation thérapeutique (ETP) dans sa triple composante pédagogique, comportementale et psychologique fournit un modèle particulièrement pertinent. L’objectif de cette étude est de développer, mettre en place et évaluer l’impact et l’acceptabilité d’un programme d’ETP destiné aux parents d’enfant TSA. Afin de suivre la méthodologie de construction de programme d’ETP [2], notre dispositif a été développé à partir d’une étude préliminaire sur les besoins des parents d’enfants TSA [1]. Chaque séance collective accueille 10 parents. Les thématiques permettent d’aborder les différents aspects de la parentalité (compétences, connaissances, soutien émotionnel, etc.) tout en intégrant les spécificités des TSA. L’utilisation de techniques pédagogiques et d’activités structurées favorisent les échanges et la dynamique de groupe. Un service de garde d’enfant est proposé en parallèle afin de faciliter l’accès au programme. Une session pilote a été proposée au sein d’un Centre Ressources Autisme (CRA), avec un taux de participation de 83,3 %. À la fin du programme, les parents présentent une meilleure connaissance du trouble de leur enfant et rapportent un impact positif tant sur leur niveau d’information que sur leurs compétences éducatives et leur détresse émotionnelle. Cette première session fournit des résultats encourageants quant à la validité sociale et les bénéfices attendus de ce type de prise en charge pour l’accompagnement des parents d’enfants TSA.
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Gabouga, Falmata Lénguébanga, Peggy Mboli-Goumba Guérendo, Edgard Djimbélé Béradjé, Battiston Juilis Ngombé-Kette, Alfred Gaudeuille i Léon Kobangué Grénguèto. "Aspects Epidemiologiques Cliniques et Paracliniques des Fasciites Necrosantes au Centre Hospitalo-universitaire Pediatrique de Bangui (CHUPB)". European Scientific Journal, ESJ 19, nr 9 (31.03.2023): 67. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n9p67.

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Introduction : La fasciïte nécrosante est une affection grave de la peau et des tissus sous cutanés. Son incidence est mal connue en République Centrafricaine. Le but de l’étude était de contribuer à l’amélioration de la prise en charge des fasciites nécrosantes à Bangui. Patients et méthode : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive, réalisée au CHUPB du 1er Janvier 2019 au 30 Juin 2020. Après consentement éclairé des parents, les enfants âgés de 1 mois à 15 ans, présentant une fasciite nécrosante ont été inclus dans l’étude. Un questionnaire avait permis de collecter les données qui ont été analysées à l’aide du logiciel Epi Info 7 et Excel. Résultats : sur les 70 cas les, garçons représentaient 61% soit un sex-ratio de 1,6. La tranche de 0 à 5 ans était la plus touchée (62,9%). Les malades provenaient souvent des zones rurales (56%). Le syndrome inflammatoire du membre inférieur était le motif de consultation dans 78,5%. Les injections intramusculaires étaient la porte d’entrée cutanée dans 30% des cas. Le délai de consultation était supérieur à 7 jours dans 85,7% des cas. Plus de 50% des patients avait recours à l’automédication. La fasciite nécrosante était évoquée d’emblée chez 35,7% tandis que 64,3% des patients ont consulté pour des infections de la peau et/ou des parties molles. Une anémie microcytaire hypochrome de type inflammatoire et une hyperleucocytose étaient retrouvées dans respectivement 81,4% et 90% des cas. Une insuffisance rénale fonctionnelle était présente chez 15,7% des patients. Le streptocoque du groupe A était isolé chez 34% des patients. La chirurgie couplée à l’antibiothérapie était pratiquée chez tous les patients. L’évolution était satisfaisante dans 97,1%. Le taux de létalité était de 2,9%. Conclusion : La fasciite nécrosante est fréquente à Bangui. Des actions de sensibilisation sont nécessaires pour réduire l’impact de la maladie. Introduction: Necrotizing fasciitis is a serious condition of the skin and subcutaneous tissues. Its incidence is poorly known in the Central African Republic. The goal of the study was to contribute in improving the management of necrotizing fasciitis in Bangui. Patients and method: It was a descriptive cross-sectional study, carried out at CHUPB from January 1st, 2019 to June 30th, 2020. After the parents’ informed consent, children aged 1 month to 15 years with necrotizing fasciitis were included in the study. A questionnaire was used to collect the data, which were analyzed using Epi Info 7 and Excel software. Results: Out of the 70 cases, boys represented 61%, which was a sex ratio of 1.6. The 0 to 5 years old age group was the most affected (62.9%). Patients often came from rural areas (56%). Inflammatory syndrome of the lower limb was the chief complaint in 78.5%. IM injections were the cutaneous entry point in 30% of cases. The time from symptom onset to consultation was greater than 7 days in 85.7% of cases. More than 50% of patients resorted to self-medication. Necrotizing fasciitis was immediately evoked in 35.7% of patients. Inflammatory hypochromic microcytic anemia and hyperleukocytosis were found in respectively 81.4% and 90% of cases. Functional renal failure was present in 15.7% of patients. Group A streptococcus was isolated in 34% of patients. Surgery coupled with antibiotic therapy was performed in all patients. The evolution was satisfactory in 97.1%. The lethality rate was 2.9%. Conclusion: Necrotizing fasciitis is common in Bangui. Awareness actions are needed to reduce the impact of the disease.
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Widrig, Martin. "«Das Bundesgericht erhebt die alternierende Obhut zur Regel»". sui generis, 2.06.2021. http://dx.doi.org/10.21257/sg.183.

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Streszczenie:
Mit Urteilen von 19. Oktober und 13. November 2020 verdeutlicht das Bundesgericht seine bisherige Rechtsprechung zu strittigen Betreuungsfragen: Es nimmt die alternierende Obhut zum Ausgangspunkt der Entscheidfindung. Zudem priorisiert es gleiche Betreuungsanteile gegenüber ungleichen. Die alleinige Obhut ist anzuordnen, wenn im Einzelfall konkrete Gründe gegen hälftige Betreuungsanteile sprechen. Abweichungen von dieser Rechtsprechung können gegen das Willkürverbot verstossen. Das Bundesgericht gibt der alternierenden Obhut damit tendenziell den Vorzug in Betreuungsfragen. Der Beitrag analysiert die Bedeutung der Urteile für die Praxis und klärt offene Fragen zur «alternierenden Obhut als Regelfall» sowie zum Willen des Gesetzgebers. -- Dans ses arrêts du 19 octobre et du 13 novembre 2020, le Tribunal fédéral a précisé sa jurisprudence antérieure en matière de prise en charge de l’enfant. Il considère désormais la garde alternée comme étant le principe et privilégie une participation égale de chacun des parents dans la prise en charge de l’enfant. La garde exclusive doit être ordonnée que si, dans un cas individuel, des raisons concrètes s'opposent à cette répartition égale. Les décisions qui s’écartent de cette jurisprudence sont ainsi susceptibles de constituer une violation de l'interdiction de l'arbitraire. L'article analyse l’implication de ces arrêts pour la pratique et clarifie les questions ouvertes concernant la « garde alternée comme règle » ainsi que celles portant sur la volonté du législateur.
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Gabouga, Falmata Lénguébanga, Peggy Mboli-Goumba Guérendo, Edgard Djimbélé Béradjé, Battiston Juilis Ngombé-Kette, Alfred Gaudeuille i Léon Kobangué Grénguèto. "Aspects Epidemiologiques, Cliniques et Paracliniques des Fascilites Necrosantes au Centre Hospitalo-Universitaire Pediatrique de Bangui (CHUPB)". European Scientific Journal ESJ 2 (28.02.2023). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.2.2023.p321.

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Introduction : La fasciïte nécrosante est une affection grave de la peau et des tissus sous cutanés. Son incidence est mal connue en République Centrafricaine. Le but de l’étude était de contribuer à l’amélioration de la prise en charge des fasciites nécrosantes à Bangui. Patients et méthode : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive, réalisée au CHUPB du 1er Janvier 2019 au 30 Juin 2020. Après consentement éclairé des parents, les enfants âgés de 1 mois à 15 ans, présentant une fasciite nécrosante ont été inclus dans l’étude. Un questionnaire avait permis de collecter les données qui ont été analysées à l’aide du logiciel Epi Info 7 et Excel. Résultats : sur les 70 cas les, garçons représentaient 61% soit un sex-ratio de 1,6. La tranche de 0 à 5 ans était la plus touchée (62,9%). Les malades provenaient souvent des zones rurales (56%). Le syndrome inflammatoire du membre inférieur était le motif de consultation dans 78,5%. Les injections intramusculaires étaient la porte d’entrée cutanée dans 30% des cas. Le délai de consultation était supérieur à 7 jours dans 85,7% des cas. Plus de 50% des patients avait recours à l’automédication. La fasciite nécrosante était évoquée d’emblée chez 35,7% tandis que 64,3% des patients ont consulté pour des infections de la peau et/ou des parties molles. Une anémie microcytaire hypochrome de type inflammatoire et une hyperleucocytose étaient retrouvées dans respectivement 81,4% et 90% des cas. Une insuffisance rénale fonctionnelle était présente chez 15,7% des patients. Le streptocoque du groupe A était isolé chez 34% des patients. La chirurgie couplée à l’antibiothérapie était pratiquée chez tous les patients. L’évolution était satisfaisante dans 97,1%. Le taux de létalité était de 2,9%. Conclusion : La fasciite nécrosante est fréquente à Bangui. Des actions de sensibilisation sont nécessaires pour réduire l’impact de la maladie.
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Gabouga, Falmata Lénguébanga, Peggy Mboli-Goumba Guérendo, Edgard Djimbélé Béradjé, Battiston Juilis Ngombé-Kette, Alfred Gaudeuille i Léon Kobangué Grénguèto. "Aspects Epidemiologiques, Cliniques et Paracliniques des Fascilites Necrosantes au Centre Hospitalo-Universitaire Pediatrique de Bangui (CHUPB)". European Scientific Journal ESJ 2 (20.02.2023). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.2.2023p321.

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Streszczenie:
Introduction : La fasciïte nécrosante est une affection grave de la peau et des tissus sous cutanés. Son incidence est mal connue en République Centrafricaine. Le but de l’étude était de contribuer à l’amélioration de la prise en charge des fasciites nécrosantes à Bangui. Patients et méthode : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive, réalisée au CHUPB du 1er Janvier 2019 au 30 Juin 2020. Après consentement éclairé des parents, les enfants âgés de 1 mois à 15 ans, présentant une fasciite nécrosante ont été inclus dans l’étude. Un questionnaire avait permis de collecter les données qui ont été analysées à l’aide du logiciel Epi Info 7 et Excel. Résultats : sur les 70 cas les, garçons représentaient 61% soit un sex-ratio de 1,6. La tranche de 0 à 5 ans était la plus touchée (62,9%). Les malades provenaient souvent des zones rurales (56%). Le syndrome inflammatoire du membre inférieur était le motif de consultation dans 78,5%. Les injections intramusculaires étaient la porte d’entrée cutanée dans 30% des cas. Le délai de consultation était supérieur à 7 jours dans 85,7% des cas. Plus de 50% des patients avait recours à l’automédication. La fasciite nécrosante était évoquée d’emblée chez 35,7% tandis que 64,3% des patients ont consulté pour des infections de la peau et/ou des parties molles. Une anémie microcytaire hypochrome de type inflammatoire et une hyperleucocytose étaient retrouvées dans respectivement 81,4% et 90% des cas. Une insuffisance rénale fonctionnelle était présente chez 15,7% des patients. Le streptocoque du groupe A était isolé chez 34% des patients. La chirurgie couplée à l’antibiothérapie était pratiquée chez tous les patients. L’évolution était satisfaisante dans 97,1%. Le taux de létalité était de 2,9%. Conclusion : La fasciite nécrosante est fréquente à Bangui. Des actions de sensibilisation sont nécessaires pour réduire l’impact de la maladie.
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Rozprawy doktorskie na temat "Délai de prise en charge – Participation des parents"

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Chausset, Aurélie. "Accès aux centres de rhumatologie pédiatrique pour les patients atteints d’arthrite juvénile idiopathique : parcours diagnostique et évaluation des facteurs prédictifs d’un retard de prise en charge". Electronic Thesis or Diss., Lyon 1, 2024. http://www.theses.fr/2024LYO10267.

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L'arthrite juvénile idiopathique (AJI) est la maladie rhumatologique pédiatrique chronique la plus fréquente. L’intérêt d’une prise en charge précoce et d’une orientation rapide vers un centre de rhumatologie pédiatrique (RP) a largement été démontré pour réduire le risque de lésions articulaires et/ou oculaires et améliorer la qualité de vie des enfants. Dans le monde, le délai d'accès (DA) médian au centre de RP varie de 3 à 10 mois, néanmoins il existe une grande variabilité avec des délais extrêmes de plusieurs années pour certains patients. Des travaux antérieurs ont porté sur l’identification des facteurs associés à un accès retardé au centre de RP, principalement sur des caractéristiques cliniques et biologiques. Cependant ils ne peuvent pas expliquer à eux-seuls les disparités constatées de parcours et de délais. Il nous a paru important d’étudier tous les paramètres pouvant rendre ces parcours complexes. Une première étude a été réalisée auprès de patients suivis en France et en Suisse à partir d’une cohorte internationale, la JIR-cohorte. Cette étude visait à identifier les déterminants individuels et environnementaux impactant le DA. Sur les 250 enfants de la cohorte avec un diagnostic d’AJI, le DA médian était assez court par rapport à la littérature (2,4 mois). Cependant, des disparités existaient : les enfants avec une arthrite associée aux enthésites ou ayant consulté un chirurgien orthopédique avaient des délais plus longs. L’éloignement par rapport au centre de RP et le lieu de résidence (urbain ou rural) n’avaient pas d’influence sur le DA. Bien que l'étude n'ait pas trouvé de lien direct entre le statut socio-économique et le DA, une tendance montrait que le niveau d'éducation des mères pouvait jouer un rôle dans un adressage plus rapide au centre de RP (favorisant une consultation plus rapide avec un médecin de premier recours). La deuxième étude, toujours à partir de la JIR-cohorte, s’intéressait aux différences de prise en charge entre la France et la Suisse et leur lien possible avec le DA. Les patients présentaient des DA médians similaires en France et en Suisse, bien que la Suisse présente un parcours moins complexe avec nombre plus faible d’intermédiaires médicaux avant l’accès au centre de RP. En France, les enfants voyaient souvent un généraliste en premier recours (60%), tandis qu’en Suisse, c’était un pédiatre dans 82% des cas, ce qui favorisait un accès plus direct au centre de RP. Enfin nous avons voulu explorer l'expérience des familles et des enfants avant l’établissement du diagnostic. Les résultats montraient que les parents jouaient un rôle clé dans le parcours diagnostic et qu’ils avaient eu besoin de solliciter leur entourage pour accéder plus facilement au centre de RP. Les premiers symptômes, souvent banalisés, pouvaient retarder l’accès au centre de RP. Les familles se heurtaient généralement à des médecins de premiers recours peu formés à l’AJI, ce qui entraînait des tensions et un sentiment d’incompréhension. L'annonce du diagnostic était un soulagement, mais les retards de prise en charge avaient des conséquences psychosociales, notamment chez les adolescents. La dernière partie de la thèse est une discussion des résultats obtenus et une mise en perspective avec des propositions concrètes. Renforcer la formation des médecins de premiers recours est une voie classique mais difficilement envisageable pour toutes les pathologies chroniques. L’amélioration de l’accès aux spécialistes repose également sur des décisions au niveau national qui mérite d’être mis en perspective avec toute l’organisation du parcours de santé des enfants. L’accent est mis également sur la nécessité d’une meilleure collaboration entre les acteurs du système de santé, et surtout sur l’importance d’intégrer les expériences et points de vue des enfants et de leurs parents dans les programmes de formation des médecins et de développer des supports adaptés pour faciliter le diagnostic et l'accès à l’information
Juvenile Idiopathic Arthritis (JIA) is the most common chronic pediatric rheumatologic disease. The importance of early management and timely referral to a pediatric rheumatology (PR) center has been widely demonstrated to reduce the risk of joint and/or eye damage and improve children's quality of life. Globally, the median time to access (TA) a PR center ranges from 3 to 10 months, but there is significant variability, with extreme delays of several years for some patients. Previous research has focused on identifying factors associated with delayed access to PR centers, mainly clinical and biological characteristics. However, these factors alone cannot fully explain the observed disparities in pathways and delays. It seemed important to us to study all the parameters that might complicate these journeys. A first study was conducted among patients followed in France and Switzerland, based on an international cohort, the JIR-cohort. This study aimed to identify individual and environmental determinants impacting TA. Among the 250 children in the cohort diagnosed with JIA, the median TA was relatively short compared to the literature (2.4 months). However, disparities existed: children with enthesitis-related arthritis or those who had consulted an orthopedic surgeon experienced longer delays. Distance from the PR center and place of residence (urban or rural) did not influence TA. Although the study did not find a direct link between socioeconomic status and TA, there was a trend suggesting that maternal education level could play a role in faster referral to the PR center (favoring a faster consultation with a primary care physician). The second study, also based on the JIR-cohort, examined the differences in care between France and Switzerland and their potential link to TA. Patients had similar median TA in both France and Switzerland, although Switzerland had a less complex pathway with fewer medical intermediaries before reaching the PR center. In France, children often saw a general practitioner as the first point of care (60%), while in Switzerland, it was a pediatrician in 82% of cases, which facilitated more direct access to the PR center. Finally, we wanted to explore the experiences of families and children before the diagnosis was established. The results showed that parents played a key role in the diagnostic journey and had to rely on their social network to access PR centers more easily. The initial symptoms, often trivialized, could delay access to the PR center. Families generally encountered primary care physicians who were not well-trained in JIA, which led to tension and a sense of misunderstanding. Receiving the diagnosis was a relief, but delays in care had psychosocial consequences, particularly for adolescents. The final part of the thesis is a discussion of the results and a reflection on concrete proposals for action. Strengthening the training of primary care physicians is a traditional approach but difficult to implement for all chronic diseases. Improving access to specialists also depends on national-level decisions, which should be considered in the context of the entire healthcare pathway for children. The emphasis is also placed on the need for better collaboration among healthcare providers and, most importantly, on integrating the experiences and perspectives of children and their parents into medical training programs and developing appropriate resources to facilitate diagnosis and access to information
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Streszczenia konferencji na temat "Délai de prise en charge – Participation des parents"

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Le Hesran, JY, A. Hémadou, R. Adamou, M. Razack, R. Tahar i C. Baxerres. "Delayed treatment of severe malaria in children in Benin and strategies for reducing malaria-related infant mortality". W MSF Scientific Days International 2023. NYC: MSF-USA, 2023. http://dx.doi.org/10.57740/yf11-d204.

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Streszczenie:
<p>INTRODUCTION</p><p>From 2000 to 2015, overall mortality from malaria halved. But since then, mortality rates have stagnated and even risen again in some African countries. It has been suggested that one reason for this increase in child mortality may be due to delayed treatment seeking while parents first attempt self-medication. However, the reality may be more complex. We investigated care pathways, from the onset of a child’s symptoms of severe malaria to hospital admission.</p><p></p><p>METHODS</p><p>Our study took a combined approach, including quantitative and qualitative components. We analysed questionnaires with information on the different stages of the care pathways used by parents of children up to five years who were hospitalised for severe malaria from three hospitals in Cotonou (n=58). We carried out semi-structured interviews to better understand the parents’ approaches to care (n=10).</p><p></p><p>ETHICS</p><p>This study was given a favourable opinion by the National Committee of Ethics for Health Research, Ministry of Health, Republic of Benin (Opinion No. 50 dated 25 October 2017).</p><p></p><p>RESULTS</p><p>The mean age of the children was 33 months and of the accompanying parent was 35 years. The average time from first symptom to hospitalisation was 6 days (min2-max15). Almost all parents (95%) first carried out self-medication, mainly with paracetamol, sometimes associated with herbal teas. Faced with a deterioration in the child’s health, 80% of families then attended a health centre. In many cases, further delays to seeking care at hospitals was due to a poor communication between healthcare professionals and parents and the difficulty of raising the money needed for treatment. Families visited up to three different health centres successively before going to hospital. Going to hospital represents a “catastrophic expense” for the household. Parents must find the necessary funds, and in some cases take out a loan, thus delaying treatment. On arrival at the hospital, the child’s health is seriously deteriorated, explaining the high case-fatality rate of more than 30% in intensive care units.</p><p></p><p>CONCLUSION</p><p>In this study, the cost of care, particularly hospital-based care, is the primary cause of delayed access to appropriate treatment. WHO and the Global Fund propose a malaria control strategy based on prevention (mosquito nets) and early intervention. No provision is made for severe malaria. To reduce child mortality from malaria, it is essential that a third component is added to this strategy, namely the provision of free care for children diagnosed with severe malaria.</p><p></p><p>CONFLICTS OF INTEREST</p><p>None declared.</p><p></p><p>******</p><p></p><p>INTRODUCTION</p><p>Entre 2000 et 2015, la mortalité d’ensemble due au paludisme a baissé de moitié, mais, depuis 2015, les taux de mortalité stagnent, voir remontent dans certains pays africains. Une des raisons invoquées face à l’augmentation de la mortalité infantile est que les parents ont d’abord recours à l’automédication avant de consulter. Toutefois, la réalité pourrait être plus complexe. Pour expliquer ce retard de prise en charge adaptée et essayer de proposer de nouvelles stratégies, nous avons enquêté sur l’itinéraire thérapeutique suivi par des familles, des premiers symptômes jusqu’à l’admission de l’enfant à l’hôpital pour paludisme grave</p><p></p><p>METHODE</p><p>Notre enquête combine une double approche, quantitative et qualitative. Nous avons recueilli 58 questionnaires détaillés sur les différentes étapes de recours aux soins auprès de parents d’enfants jusqu’à l’âge de 5 ans hospitalisés pour paludisme grave dans 3 hôpitaux de Cotonou et réalisé 10 entretiens semi-dirigés afin de mieux comprendre les logiques de soins suivies par les parents.</p><p></p><p>ETHIQUE</p><p>Cette enquête a reçu un avis éthique favorable du comité National d’éthique pour la Recherche en Santé, Ministère de la Santé, République du Bénin (avis n°50 du 25 octobre 2017)</p><p></p><p>RESULTATS</p><p>L’âge moyen des enfants était de 33 mois (IC 29-37) et l’âge du parent accompagnateur de 35 ans (IC 32-37). Le délai moyen entre le premier symptôme et l’hospitalisation était de 6 jours (min2-max15). La quasi-totalité (95%) des parents ont pratiqué l’automédication en première intention avec principalement du paracétamol, parfois associé à des tisanes. Devant l’aggravation de l’état de l’enfant, 80% des familles ont d’abord consulté dans un centre de santé. Très souvent, le manque de communication entre soignants et soignés et la difficulté de réunir l’argent nécessaire aux soins ont retardé une prise en charge correcte. Il y a eu jusqu’à 3 visites successives dans différents centres de santé avant l’arrivée à l’hôpital. Mais aller à l’hôpital représente une “dépense catastrophique” pour le foyer. Les parents doivent alors trouver les ressources financières, voire faire un emprunt, ce qui retarde la prise en charge. A l’arrivée à l’hôpital, la santé de l’enfant est très dégradée ce qui explique le fort taux de létalité qui dépasse les 30% dans les services de réanimation.</p><p></p><p>CONCLUSION</p><p>L’étude montre clairement que le coût des soins, notamment à l’hôpital, est la première cause d’un accès tardif à des soins adaptés. L’OMS et le Fond Mondial proposent une stratégie de lutte basée sur la prévention (moustiquaire) ou la prise en charge précoce des cas. Rien n’est prévu en cas de paludisme grave. Pour baisser la mortalité infantile due au paludisme, il est urgent de prévoir un troisième volet à la lutte en instaurant une prise en charge gratuite des enfants diagnostiqués avec un paludisme grave.</p><p></p><p>CONFLITS D'INTERET</p><p>Aucun</p>
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