Artykuły w czasopismach na temat „Complexes de sous-Mots”

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Mentari, Mentari, Marice Marice i Hesti Fibriasari. "ANALYSE DE LA SÉQUENCE NARRATIVE DANS LE ROMAN VINGT MILLE LIEUES SOUS LES MERS PAR JULES VERNE". HEXAGONE Jurnal Pendidikan, Linguistik, Budaya dan Sastra Perancis 5, nr 1 (28.06.2016): 102. http://dx.doi.org/10.24114/hxg.v5i1.3916.

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RÉSUMÉ Le but de cette recherche est de savoir les types de la séquence narrative : la situation initiale, l’événement perturbateur, l’aggravation, la lutte, la situation finale et la variées de séquence narrative qui se trouve dans le roman Vingt Mille Lieues sous les Mers par Jules Verne. La méthode de cette recherche est la méthode descriptive qualitative. Les donnés de cette recherche utilisent le roman Vingt Mille Lieues sous les Mers par Jules Verne au mois de janvier – mars 2016. Le résultat de cette recherche montre que les formes de séquence narrative dans le roman Vingt Mille Lieues sous les Mers par Jules Verne sont la situation finale, la lutte, l’aggravation, l’événement perturbateur, et la situation initiale. Mais, la situation initiale parfois n’existe pas à chaque chapitre, car le roman Vingt Mille Lieues sous Les Mers par Jules Verne est un roman d’aventure qui a des liens l’histoire entre les chapitres et les autres chapitres. Alors, l’histoire du roman Vingt Mille Lieues sous les Mers par Jules Verne commence par l’aggravation, car l’aggravation exprime en analysant en détail le rôle de tous les éléments du récit; l’acte qui provoque un conflit; comment les différends plus de chiffres séparés, avec un pic progressivement à travers les questions de conflit complexes et il y a 3 variées séquence narrative qui peut être trouvé dans le roman Vingt Mille Lieues sous les Mers par Jules Verne, entre autre : v, w, x, y, z, trouvées dans le roman au chapitre I et IV. Ensuite, w, x, y, z, trouvées dans le roman au chapitre II, VI, VIII et IX. Enfin, x, y, z, trouvée dans le roman au chapitre III, V et VII. Mots-clés : Séquence Narrative, Roman
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Collis, Stephen. "“Things to address directly”: Border Politics and Contemporary British Poetry". Études anglaises Vol. 76, nr 1 (21.09.2023): 66–81. http://dx.doi.org/10.3917/etan.761.0066.

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Cet article propose une lecture de quatre poèmes britanniques récents, composés explicitement en réponse au Brexit, à la résurgence du nationalisme britannique et à un discours politique se proposant de créer un « environnement hostile » à l’immigration. Ces poèmes de Patience Agbabi, Inua Ellams, David Herd et Simon Smith se confrontent à la question du politique selon plusieurs modalités, du témoignage envisagé dans sa simplicité essentielle à la mise en scène performative et au discours critique. À chaque fois, les poètes concernés affichent leur foi en l’idée que la poésie « fait advenir quelque chose » (n’en déplaise à W.H. Auden) ou, à tout le moins, pour citer David Herd, trouve à « affronter directement » des enjeux complexes, tels que la « géographie politique ». La question de l’efficacité sociale du discours poétique révèle de profonds écarts entre les mots et le monde, qui eux-mêmes façonnent et sous-tendent notre appréhension des frontières nationales et des formes d’appartenance.
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Frath, Pierre, Christopher Gledhill i Albert Hamm. "Free-range clusters or frozen chunks ? Reference as a defining criterion for linguistic units". Recherches anglaises et nord-américaines 38, nr 1 (2005): 25–43. http://dx.doi.org/10.3406/ranam.2005.1745.

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Des collocations telles que strong tea ou spill the beans sont généralement expliquées selon l’un ou l’autre de deux points de vue. Pour le premier, leur existence découle simplement de l’usage ; pour le second, il existerait une sorte de ‘colle’ grammaticale ou logique sous-jacente, qui serait à l’origine de leur formation. Le premier point de vue ne propose pas d’explication, en fait, puisqu’invoquer l’usage revient simplement à dire que c’est ainsi que nous faisons ; le second s’empêtre, comme il sera vu, dans des problèmes métaphysiques et dans la contradiction. Dans cet article, nous développons une autre possibilité explicative, celle de la référence comme critère de définition des unités linguistiques. Suivant Peirce (1978), nous avançons que les mots complexes, les collocations et les expressions idiomatiques qui réfèrent à des ‘objets’ sont des ‘dénominations’, qui se développent au sein d’énoncés discursifs que Peirce appelle des ‘signes interprétants’. Notre approche propose une conception unifiée des items polylexicaux et montre comment ils fonctionnent dans des portions de texte plus importantes.
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Bertrand-Gastaldy, Suzanne, i Gracia Pagola. "L’analyse du contenu textuel en vue de la construction de thésaurus et de l’indexation assistées par ordinateur; applications possibles avec SATO". Analyse de l’information textuelle 38, nr 2 (13.02.2015): 75–89. http://dx.doi.org/10.7202/1028612ar.

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L’intervention de l’ordinateur, longtemps réservée aux tâches mécaniques effectuées en aval de l’analyse des documents et de la constitution des thésaurus, se déplace en amont vers l’analyse elle-même. Des logiciels existent désormais qui assistent l’exploration des textes. On montre comment SATO (système d’analyse de textes par ordinateur), utilisé par des chercheurs de plusieurs disciplines, peut faciliter les tâches de contrôle et de structuration du vocabulaire ainsi que l’indexation. On présente ses caractéristiques importantes : possibilité d’ajouter des propriétés aux mots et aux segments textuels, génération de lexiques, analyses lexico-statistiques diverses, définition de sous-ensembles de textes et de lexiques. On examine ensuite l’aide apportée dans l’élaboration de thésaurus : extraction d’unités lexicales simples et complexes, pondération pour faciliter le choix, regroupements divers, repérage en contexte de formes équivalentes, de synonymes, de termes génériques et spécifiques, de termes associés. L’indexation assistée par ordinateur est également illustrée, avec des perspectives d’analyse « sur mesure », de même que plusieurs stratégies d’interrogation. On conclut sur la nécessité de résoudre les questions théoriques auxquelles l’analyse du contenu confronte désormais les spécialistes de l’information.
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Héroux, Alex. "République Fédéral de l’Éthiopie : Vers une stabilité démocratique ou la dissolution?" Federalism-E 17, nr 1 (1.04.2016): 76–94. http://dx.doi.org/10.24908/fede.v17i1.13584.

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Il y a maintenant un peu plus de deux décennies que l’Éthiopie décida d’instaurer le système fédéralisme afin d’améliorer le processus démocratique ainsi que le niveau de vie pour l’ensemble du pays. De ce fait, le but de ce document est d’analyser les conséquences que cette décision a engendrées jusqu’à présent, pour ensuite examiner si cette fédération sera en mesure de perpétuer à travers le temps. En d’autres mots, nous allons observer si l’Éthiopie se dirige vers la stabilité ou l’échec. La nécessité de cette recherche ne vient pas seulement de la précarité politique à laquelle l’Éthiopie fait face, mais davantage des caractéristiques uniques qui constituent l’organisation de ce pays. Étant composés de plus quatre-vingts différents groupes ethniques, en plus d’une structure politique instable, les enjeux auxquelles ce pays fait face sont extrêmement complexes (Habtu 2004; Kincaid & al. 2010). De plus, l‘étonnant niveau de décentralisation offert par la constitution est si élevé que cela est dangereux pour la conservation du pays (Habtu 2005; Cohen 1995). Par ce fait même, afin de répondre à notre questionnement principal nous allons tenter de prouver notre hypothèse qui est la suivante : dû à l’organisation du pays sous une fédération du type « ethnique » ainsi que l’article 39 de la constitution, encourageant l’auto-détermination et autorisant la sécession, l’Éthiopie se dirige vers l’échec. Il ne fait donc aucun doute que sans changement considérable ce pays n’atteindra pas une stabilité désirée pour assurer un bon fonctionnement, ce qui mènera à sa dissolution.[...]
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Chiummo, Carla. "Burlesque Connotations in the Pictorial Language in Bronzino’s Poetry". Renaissance and Reformation 40, nr 1 (21.07.2017): 211–38. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v40i1.28454.

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Agnolo di Cosimo, better known as Bronzino, was not only one of the most celebrated painters at the court of Cosimo I in Florence; he was also a dazzling poet, as Vasari reminds us in his Vite. Bronzino was the author of a Petrarchan canzoniere, as well as of burlesque poems. In his sonetti caudati, and in his paradoxical capitoli, burlesque language—characterized by its erotic puns and double meanings—interacts with the pictorial field in a strikingly original way. This interaction hinges on Bronzino’s employment of pictorial discourse: from simple, well-known burlesque symbols and metaphors—the paint brush, colours, bells, or the shapes of mosquitoes, carrots, and cheese—to the subtler use of burlesque topoi to face more serious and complex aesthetic issues. Agnolo Di Cosimo, plus connu sous le nom de Bronzino, fut non seulement l’un des peintres les plus célébrés à la cour de Côme Ier de Florence, mais aussi un poète éblouissant, comme le rappelle Vasari dans ses Vies. Bronzino est l’auteur d’un chansonnier pétrarquiste, ainsi que de poésie burlesque. Dans ses « sonetti caudati », et dans ses paradoxaux « capitoli », le langage burlesque — caractérisé par des jeux de mots érotiques et des jeux de doubles ententes — interagit avec la dimension picturale de manière remarquablement originale. Cette interaction repose sur l’emploi que fait Bronzino du discours pictural, depuis les symboles et les métaphores les plus simples et fréquents du vocabulaire burlesque — tels que les pinceaux, les couleurs, les cloches, les dessins de moustiques, carottes ou fromages — jusqu’au travail, plus subtil, de topoi burlesques, lequel engage des enjeux esthétiques plus sérieux et complexes.
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Jacqmin, Laurence. "La traduction automatique au service de l’utilisateur monolingue". Meta 37, nr 4 (30.09.2002): 610–23. http://dx.doi.org/10.7202/003237ar.

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Résumé L'article présente le projet de recherche en traduction automatique, Babel-Research, qui a débuté en janvier 1988 sous l'égide de l'Université Libre de Bruxelles. Il a récemment abouti à la réalisation a'un prototype de traduction de correspondance commerciale français-anglais. Le système est conçu comme un outil de travail pour un(e) secrétaire monolingue, ce qui impose certaines contraintes à l'architecture du système. Puisque l'utilisateur n'est pas à même de corriger le texte cible, le système doit garantir une qualité de traduction satisfaisante. Notre principale voie de recherche consiste à évaluer d'une part si un système basé sur la pré-édition normative du texte source et l'interaction avec son rédacteur en cours de traduction offre une solution valable aux systèmes à postédition plus courants ; et à évaluer d'autre part quelle couverture syntaxique et sémantique ce type de système peut comparativement proposer. L’article présente d'abord les options théoriques du projet : architecture de transfert, modularité computationnelle, paradigme d'unification. Ensuite, il décrit le prototype, Babel-2, en mettant l'accent sur ses caractéristiques originales. Premièrement, nous avons mis au point une stratégie d'analyse en « pas de deux », qui combine les avantages des stratégies descendante et ascendante tout en contournant leurs inconvénients. En bref, un premier mouvement établit les relations de constituance, un second les liens de dépendance. Deuxièmement, Babel-2 reconnaît et traduit de manière adéquate divers types d'idiomes français. Troisièmement, il résout une série de problèmes de traduction complexes tels les nuances aspectuelles, le génitif saxon, les changements d'ordre des mots. Il traite également les constructions qui présentent des transformations structurelles telles que suppression d'arguments, adjonction d'arguments, inversion des relations de dépendance... Un regard prospectif vers les recherches futures clôture la présentation.
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Meza Palma, Fedor Alí. "Los pensamientos periféricos aplicados a la educación física. Desde una Visión Epistemológica Transcompleta y Pluripadigigáática". GACETA DE PEDAGOGÍA, nr 37 (1.12.2018): 390–412. http://dx.doi.org/10.56219/rgp.vi37.739.

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El presente artículo se realizó bajo la figura de Ensayo Crítico con la orientación epistémica Transcompleja, sustentada en los principios de: Complementariedad, Sinergética Relacional, Dialógica Epistemológica, Integralidad y Reflexividad Profunda. Su propósito, visibilizar mediante la epistemes de la transcomplejidad los pensamientos periféricos mítico-simbólico, crítico, práctico, teórico, reflexivo, sistémico, científico, complejo, holístico y la migración de saberes, desde la semiología para su aplicación en la Educación Física, con el método hermenéutico documental cualitativo, con enfoque pluriparadigmático. Se reflexionó, que estas manifestaciones discursivas de pensamiento y actuación entre los diferentes actores (Docentes, estudiantes, padres, representantes, directivos) representan una oportunidad para reconceptualizar esta área del conocimiento que se inicia con la transformación primeramente de nosotros mismos. ABSTRACT The present article was made under the figure of Critical Essay with the Transcomplex epistemic orientation, sustained in the principles of: Complementarity, Relational Synergy, Epistemological Dialogic, Integrality and Deep Reflexivity. Its purpose is to make visible through the epistemes of transcomplexity the peripheral mythical-symbolic, critical, practical, theoretical, reflexive, systemic, scientific, complex, holistic thoughts and the migration of knowledge, from semiology for its application in Physical Education, with the qualitative documentary hermeneutic method, with a pluriparadigmatic approach. It was reflected that these discursive manifestations of thought and action among the different actors (teachers, students, parents, representatives, directors) represent an opportunity to reconceptualize this area of knowledge that begins with the transformation of ourselves first. Key words: transcomplexity, physical education, pluriparadigmas, peripheral thoughts. RÉSUMÉ Le présent article a été réalisé sous la forme d'un Essai critique à orientation épistémique transcomplexe, soutenu dans les principes de: Complémentarité, synergie relationnelle, dialogue épistémologique, intégrité et réflexivité profonde. Son but est de rendre visible à travers les épistémes de transcomplexité les pensées périphériques mythiques-symboliques, critiques, pratiques, théoriques, réflexives, systémiques, scientifiques, complexes, holistiques et la migration des connaissances, de la sémiologie pour son application en éducation physique, avec la méthode qualitative documentaire herméneutique, à une approche pluriparadigmatique. Il est apparu que ces manifestations discursives de la pensée et de l'action entre les différents acteurs (enseignants, élèves, parents, représentants, directeurs) représentent une occasion de reconceptualiser ce domaine de la connaissance qui commence par la transformation de nous-mêmes d'abord. Mots-clés: transcomplexité, éducation physique, pluriparadigmes, pensées périphériques.
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Clanet, Elisabeth. "Une langue en otage. Du "langage des clercs" à l'humiliation du citoyen". Diversité 151, nr 1 (2007): 45–48. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2007.2821.

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Il est communément admis qu’une langue est un système de signes conventionnels vocaux, gestuels ou graphiques utilisé pour communiquer entre individus. En réalité, l’essentiel de notre production langagière est silencieuse. Entre réflexion, pensée ou rêve, les mots se meuvent en silence, laissant des traces discontinues dont la syntaxe, apparemment décousue et fluide, permet une infinie légèreté et une infinie liberté. Liberté sous condition dès qu’il s’agit de s’exprimer ou de communiquer dans une langue régie par un système de stratification complexe censé appartenir à des registres précis : celui de l’oral et celui de l’écrit.
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Holden, Michael, i Julian Kitchen. "Access and Equity in Ontario Teacher Education: Teacher Candidates’ Perceptions". Alberta Journal of Educational Research 65, nr 1 (1.04.2019): 51–71. http://dx.doi.org/10.55016/ojs/ajer.v65i1.56453.

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Access, equity, and equitable representation are ongoing challenges in teacher education. While many Canadian teacher education programs identify equity and diversity as key values, these values do not always result in rates of representation that reflect the student population. Minoritized teacher candidates also experience our programs in unique ways, creating gaps between university equity statements and the lived experiences of our students. This study therefore examines the perspectives of 13 teacher candidates who self-identify as members of various underrepresented groups. Participants’ experiences offer key insights into the challenge of achieving equitable and diverse representation. The presented findings will be of interest to teacher educators and other stakeholders committed to addressing the complex task of increasing equity and access for underrepresented groups in their programs. L’accès, l’équité et la représentation équitable constituent des défis constants en formation des enseignants. Alors que plusieurs programmes de formation des enseignants identifient comme valeurs fondamentales l’équité et la diversité, l’adoption de ces valeurs ne mène pas toujours à des taux de représentation qui reflètent la population des étudiants. Les candidats minoritaires au programme de formation à l’enseignement vivent l’expérience du programme différemment, ce qui crée des écarts entre l’énoncé de l’université sur l’équité et le vécu des étudiants. Cette étude porte sur la perspective de 13 étudiants candidats au programme de formation à l’enseignement qui s’auto-identifient comme membres de divers groupes sous-représentés. Ces expériences offrent des aperçus essentiels sur le défi d’atteindre une représentation équitable et diverse. Les résultats sauront intéresser les formateurs d’enseignants et d’autres parties prenantes qui s’engagent à aborder la tâche complexe qui est celle d’augmenter l’équité et l’accès à leurs programmes pour les étudiants sous-représentés. Mots clés : accès; équité; formation des enseignants; groupes sous-représentés; admissions
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Giarrusso, Francesco. "Le reflet et le double face au miroir de l’autotextualité cinématographique dans l’oeuvre de João César Monteiro". Cygne noir, nr 2 (26.07.2022): 29–56. http://dx.doi.org/10.7202/1090756ar.

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Dans le domaine cinématographique, la métaphore du miroir trouve dans les mots de Maurice Merleau-Ponty l’un des plus précieux soutiens herméneutiques, surtout en ce qui concerne l’explicitation de la relation « chiasmatique » des individus avec eux-mêmes et avec le monde autour d’eux. L’image cinématographique nous permet de déchiffrer et de prélever, comme si on était face à un miroir, les individus et leurs modes d’agir. Mais le cinéma n’est pas que l’espace de la duplication par lequel le spectateur prend conscience de sa propre subjectivité et de son corps en tant qu’objet ; la métaphore spéculaire met également en avant certains traits de l’échange transtextuel et des mécanismes qui lui sont sous-jacents, tout en diffusant ses propres capacités dioptriques sur un plan dialogique, dans un jeu de renvois et reflets autotextuels assez complexe. J’analyserai ici le phénomène de l’autocitation cinématographique en m’appuyant sur les principaux chapitres de la filmographie de João César Monteiro (1939-2003), dont l’oeuvre se caractérise par la pratique systématique des différentes stratégies appartenant au domaine de l’autoréflexivité. En ce qui concerne l’étude des occurrences autoréférentielles, j’identifierai plusieurs sous-articulations intertextuelles, soulignant la mise en abyme et ses modalités réflexives spécifiques. En effet, le but de cet article est de faire une analyse sémiotique des différentes stratégies par lesquelles l’autoréflexivité se manifeste, afin que je puisse délimiter une casuistique sommaire de ses manifestations filmiques, essayant de dévoiler la duplicité, les stratifications sémantiques et la réversibilité spéculaire de l’image autoréférentielle qui se voit soi-même tandis qu’elle voit autre chose.
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da Sylva, Lyne. "Analyse sémiotique de l’index de livre : Étude de la construction complexe et unique d’un paratexte". Semiotica 2021, nr 243 (1.11.2021): 229–79. http://dx.doi.org/10.1515/sem-2018-0036.

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Résumé Le présent article décortique, avec une approche sémiotique, l’index que l’on retrouve à la fin d’un livre (back-of-the-book index en anglais). L’objectif est double : faire ressortir les processus de signification en jeu dans l’index et reconnaître la création sémiotique réalisée par l’analyste documentaire. L’index est un assemblage de signes, soit les vedettes, les localisateurs ainsi que diverses caractéristiques de la représentation spatiale ; leur signifiant (mots, nombres) renvoie à leur signifié respectif (concept, localisation). L’index dans sa totalité représente un texte sémiotique, d’un genre spécifique, et dont l’interprétation repose non seulement sur les expressions linguistiques elles-mêmes, mais aussi sur la structure des entrées et sur les liens tissés avec les passages de l’ouvrage indexé. L’index peut paraître une structure objective, proposant une version épurée et stable du contenu d’un document. Or, l’analyse sémiotique proposée ici révélera d’une part la structure malléable de l’index et d’autre part l’interprétation flexible et la subjectivité injectées dans sa construction. Après une description plus approfondie du contexte et de la problématique, nous décrivons d’abord l’aspect formel de l’index, soit les signes impliqués et la manière dont ils sont agencés. Nous abordons ensuite l’aspect interprétatif de l’index, notamment les facteurs qui influencent son interprétation. Ceci nous amène à décrire en détail la structure logique de l’index. Cet exercice un peu scolaire d’un outil qui peut sembler familier permettra de mettre en lumière des jeux de signification normalement passés sous silence.
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Boyé, Marc. "La géographie est-elle une science? Introduction aux problèmes de codification dans le traitement automatique de l’information géographique". Cahiers de géographie du Québec 14, nr 32 (12.04.2005): 157–69. http://dx.doi.org/10.7202/020907ar.

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Le présent article est à la fois une introduction épistémologique à la géographie et une approche sémantique du langage, fort complexe, qu'emploient les géographes. Son but est d'inviter à la réflexion sur les problèmes que pose la codification de l'information géographique pour un traitement automatique. Comme toutes les disciplines chargées de gérer et de présenter un « corps de savoir », la géographie est aujourd'hui confrontée à l'accumulation accélérée de la masse documentaire qu'elle utilise. Les éléments qui composent son corps de savoir viennent pour la plupart d'autres sciences et d'autres disciplines, d'un degré de complexité moindre, qui lui fournissent des informations concernant la Terre et les Hommes. Le rôle du géographe est de synthétiser ces apports en vue de rendre compte de la répartition des faits physiques ou humains considérés à la surface du globe et d'en produire une expression cartographique ; son point de vue est celui d'un généraliste. Toutefois, la géographie ne s'intéresse pas aux faits sur le seul plan statistique ; elle considère encore leurs rapports et leur genèse, voire leur devenir en ce qu'ils sont, eux aussi, susceptibles de représentation cartographique. Il n'y a donc pas, à proprement parler, d'information géographique, mais une manière géographique de dresser la synthèse d'informations de provenances diverses. Or, chaque source d'information a son langage propre, de sorte que le langage géographique procède pour une grande part d'emprunts et ne dispose d'un langage spécifique qu'à partir d'un certain degré de synthèse. Il en résulte que, n'étant ni une science ni une discipline scientifique, même lorsqu'elle s'équipe de méthodes pour « percevoir et pénétrer » du nouveau, la géographie ne peut pas se plier à une codification unique, sous la forme d'un thésaurus de mots-clés. Il lui faut au moins trois ordres de codes aptes à un jeu de combinaisons : 1 — Un code géographique, pour la localisation à la surface du globe ; un système de coordonnées par exemple ; 2 — Un code taxonomique, c'est-à-dire un vocabulaire des « maîtres-mots » qui portent l'esprit même de la préoccupation géographique et constituent la classification typologique propre à la discipline ; 3 — Un code syntaxique, où notamment les emprunts faits à d'autres langages seraient à faire jouer comme des données grammaticales. Par la logique même de l'argumentation, des notions comme science, discipline, connaissance, corps de savoir ont trouvé l'occasion d'être précisées.
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حفيظة, بلقاسمي. "ترجمة النص الشكسبيري". Traduction et Langues 4, nr 1 (31.12.2005): 90–100. http://dx.doi.org/10.52919/translang.v4i1.334.

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Le théâtre de Shakespeare est une source qui a marqué de son empreinte les caractéristiques artistiques du théâtre anglais en particulier et du théâtre mondial en général. Il a composé la plupart de ses pièces sous forme de poésie transmise, et le théâtre poétique s'appuie principalement du côté du dialogue sur la musique, le rythme, et la manipulation des mots. Shakespeare aimait les évasions et la manipulation des mots et des expressions, qu'il remplissait d'émotions intenses et d'idées lumineuses pour exprimer dans sa langue distincte les vérités profondes de l'âme humaine.Il est donc inévitable de reconnaître que la traduction du texte théâtral est un processus épineux et complexe, car le théâtre est une forme d'art distincte qui a ses propres particularités, en ce sens qu'il s'agit d'un texte lié au théâtre, écrit pour être entendu par le public, et non écrit pour être lu uniquement. La chose se complique si le théâtre se transmet de poésie, comme c'est le cas pour les pièces de Shakespeare.Cela signifie que quiconque prend la peine de traduire ces chefs-d'oeuvre de l'art dans une langue autre que l'anglais doit préserver cette quantité abondante d'images esthétiques et prendre en considération le langage poétique.C'est ce qu'a réalisé en réalité le traducteur Jabra Ibrahim Jabra, qui a réussi dans une large mesure à transmettre la plupart des pièces de Shakespeare, dont la pièce "Hamlet", selon la mécanique de la traduction littéraire dans ses normes stylistiques. Il est regrettable que le traducteur Muayyad Al-Kilani ait cité le texte shakespearien, ce qui l'a amené à glisser dans de nombreuses abberations qui l'ont éloigné du contenu du texte original. Nous reconnaissons au traducteur sa tentative de préserver les techniques des personnages, de l'intrigue, du temps et de l'espace, mais il a déformé le texte en excluant les différences culturelles de la pièce, perdant ainsi sa charge esthétique créative.En conséquence, nous reconnaissons que le génie de Shakespeare mérite plus qu'une pause dans d'autres aspects. Nous l'avons traité dans la pièce "Hamlet" basée sur deux traductions différentes à un moment et intégrées à un autre moment, mais la recherche reste grande ouverte pour les chercheurs qui portent l'obsession shakespearienne de faire des folies de la vaste mer de Shakespeare et d'étudier le reste de ses chefs-d'oeuvre du monde qui a inspiré ses contemporains, et a ébloui tout le monde avec un sens et un goût artistique dans toutes les époques qui l'ont suivi.
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PERMANA, Tania Intan. "ÉTUDE COMPARATIVE ET INTERCULTURELLE DES DEUX ŒUVRES LITTÉRAIRES FRANCOPHONES". FRANCISOLA 2, nr 1 (5.07.2017): 33. http://dx.doi.org/10.17509/francisola.v2i1.7525.

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RÉSUMÉ. La situation des écrivains francophones est plus complexe, et relève d'autres différences que le seul décentrement géographique : ils se situent en effet à la croisée des langues. Ainsi, pour analyser les littératures francophones, on ne peut procéder que par aire culturelle et même pays par pays, car la littérature est le fait d’individus marqués par leur environnement immédiat (Brahimi, 2001, p.3). La recherche est alors visée à deux romans de deux écrivains francophones très réputés et couronnés de Goncourt, Patrick Chamoiseau de la Martinique, et Tahar Ben Jelloun du Maghreb. Solibo Magnifique et Moha le Fou Moha le Sage ont été analysés sur le plan des codes littéraires et culturels. Pour cette étude, nous utilisons également les méthodes de la littérature comparée afin d’arriver à une conclusion des parallélismes et contrastes existant dans ces oeuvres francophones. Afin de rendre la recherche plus systématisée, nous allons encadrer les problématiques sous forme de deux questions suivantes : quelles sont les caractéristiques des romans francophones : Solibo Magnifique et Moha le fou Moha le sage, à travers l’analyse des codes littéraires et culturels, et quels parallélismes et contrastes existent-ils entre ces deux romans. Mots-Clés : littératures, francophones, parallelismes, contraste.ABSTRACT. The situation of French-speaking writers is more complex, and refers to differences other than geographical decentralization: they are at the crossroads of languages. Thus, to analyze Francophone literature, one can proceed only by cultural area and even country by country, because the literature is the act of individuals marked by their immediate environment (Brahimi, 2001: 3). The research is therefore aimed at two novels of two well-known and crowned Francophone writers of Goncourt, Patrick Chamoiseau of Martinique, and Tahar Ben Jelloun of Maghreb. Solibo Magnificent and Moha the Fool Moha the Wise were analyzed in terms of literary and cultural codes. For this study, we also use the methods of comparative literature in order to arrive at a conclusion of the parallels and contrasts existing in the francophone literatures. In order to make the research more systematic, we will frame the problems in the form of two questions: what are the characteristics of French-language novels: Solibo Magnifique and Moha the crazy Moha the wise, through the analysis of literary and cultural codes, and what parallels and contrasts exist between these two novels?Keywords: literature, francophones, parallelisms, contrasts.
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Santos-León, Fidel. "Constructos teóricos de la gestión del conocimiento. Programas nacionales de formación avanzada (UNEXCA)." GACETA DE PEDAGOGÍA, nr 37 (1.12.2018): 103–30. http://dx.doi.org/10.56219/rgp.vi37.728.

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La Educación es un proceso de construcción y reconstrucción del pensamiento. La universidad se concreta como una organización social, formal y compleja que debe asumir un cambio profundo. La gestión del conocimiento en la universidad seleccionada, no se corresponde con lo establecido en los documentos de organismos nacionales e internacionales para su transformación a Universidad Nacional Experimental. El propósito de la investigación fue generar los constructos teóricos que subyacen en el proceso de gestión del conocimiento en la UNEXCA. Observando profundamente el comportamiento de la universidad en estudio, se pudo inferir, desde la fenomenología de la experiencia integral de Karol Wojtyla, bajo el método interpretativo, las percepciones, creencias y valores, que tienen los profesores, en entrevistas en profundidad, sobre la gestión del conocimiento en los PNFA. Emergieron tres unidades de significado: procesos de investigación, procesos institucionales y procesos de transformación universitaria, siendo base para los constructos teóricos generados. ABSTRACT Education is a process of construction and reconstruction of thought. The university is specified as a social, formal and complex organization that must assume a profound change. Knowledge management in the selected university does not correspond to what is established in the documents of national and international organizations for its transformation into the National Experimental University. The purpose of the research was to generate the theoretical constructs that underlie the process of knowledge management in UNEXCA. Observing deeply the behavior of the university under study, it could be inferred, from the phenomenology of the integral experience of Karol Wojtyla, under the interpretive method, the perceptions, beliefs and values that teachers have, in in-depth interviews, on the management of knowledge in the PNFA. Three units of meaning emerged: research processes, institutional processes and university transformation processes, being the basis for the theoretical constructs generated. Key words: knowledge management, university transformation, national programs of advanced training, integral experience method Wojtyla. RÉSUMÉ L'éducation est un processus de construction et de reconstruction de la pensée. L'université est spécifiée comme une organisation sociale, formelle et complexe qui doit assumer un profond changement. La gestion des connaissances dans l'université sélectionnée ne correspond pas à ce qui est établi dans les documents d'organisations nationales et internationales en vue de sa transformation en université expérimentale nationale. Le but de la recherche était de générer les constructions théoriques qui sous-tendent le processus de gestion des connaissances dans UNEXCA. Observant profondément le comportement de l'université étudiée, on peut déduire de la phénoménologie de l'expérience intégrale de Karol Wojtyla, selon la méthode d'interprétation, des perceptions, des convictions et des valeurs, que les enseignants ont, lors d'entretiens approfondis, sur la gestion de connaissances dans le PNFA. Trois unités de sens ont émergé: les processus de recherche, les processus institutionnels et les processus de transformation universitaire, constituant la base des constructions théoriques générées. Mots-clés : gestion des connaissances, transformation universitaire, programmes nationaux de formation avancée, méthode d’expérience globale Wojtyla.
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Stonko, Daniel C., Lehron E. Rolle, Latia S. Smith, Alexis L. Scarselletta, Jennifer L. Christhilf, Michael G. Rowley, Shanna S. Yates i in. "New documentation of pine forest nesting by the Critically Endangered Bahama Oriole (<em>Icterus northropi</em>)". Journal of Caribbean Ornithology 31 (28.08.2018): 1–5. http://dx.doi.org/10.55431/jco.2018.31.1-5.

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Abstract: The Bahama Oriole (Icterus northropi) is a Critically Endangered species endemic to The Bahamas and currently found only on the Andros island complex. With the elevation of the Bahama Oriole to full species status in 2011, research suggested that there were fewer than 300 individuals remaining in the global population. The Bahama Oriole was also termed a “synanthropic species” based on data suggesting that the species nested almost exclusively within anthropogenic residential and agricultural habitats in introduced coconut palms (Cocos nucifera). These conclusions were based on population surveys primarily confined to settled areas near the coasts. However, we documented multiple pairs of orioles with breeding territories deep in pine forests, and we present the first records of Bahama Orioles nesting in pine forests—in both a Caribbean pine (Pinus caribaea) and native understory Key thatch palms (Leucothrinax morrisii). Given the predominance of the pine forests on Andros, this newly documented breeding habitat has important implications for developing population estimates and future conservation plans for the Bahama Oriole. Key Words: Bahama Oriole, endangered species, Icterus northropi, nesting habitat, The Bahamas Resumen: Nuevo registro de nidificación de Icterus northropi, especie En Peligro Crítico, en pinares—Icterus northropi es una especie endémica En Peligro Crítico de las Bahamas y que actualmente sólo puede encontrarse en el grupo de islas de Andros. Con el reconocimiento de Icterus northropi como especie en 2011, las investigaciones han sugerido que quedan menos de 300 individuos en la población global. Esta especie también fue definida como “especie sinantrópica” basado en los datos que sugieren que nidifica casi exclusivamente dentro de hábitats antropogénicos residenciales y agrícolas de Cocos nucifera introducidos. Estas conclusiones estuvieron basadas en muestreos poblacionales confinados, primariamente, en áreas fijadas cerca de las costas. No obstante, nosotros documentamos múltiples parejas de esta especie con territorios de cría en pinares. Presentamos los primeros registros de individuos de esta especie nidificando en pinares de Pinus caribaea y en palmeras de sotobosque nativas Leucothrinax morrisii. Dado el predominio de los pinares en Andros, este hábitat de cría recién documentado tiene implicaciones importantes para el desarrollo de estimados poblaciones y futuros planes de conservación para Icterus northropi. Palabras clave: Bahamas, especie amenazada, hábitat de nidificación, Icterus northropi Résumé: Nouvelles informations sur la nidification de l’Oriole des Bahamas (Icterus northropi), espèce En danger critique, dans une forêt de pin—L’Oriole des Bahamas (Icterus northropi) est une espèce En danger critique, endémique des Bahamas et actuellement présente uniquement sur le complexe d’îles d’Andros. Avec la reconnaissance de l’Oriole des Bahamas au rang d’espèce en 2011, la recherche a montré que sa population mondiale comptait moins de 300 individus. L’Oriole des Bahamas a également été qualifié d’espèce « synanthropique » d’après des données suggérant qu’il nichait presque exclusivement dans des habitats anthropiques résidentiels et agricoles sur des cocotiers (Cocos nucifera) introduits. Ces conclusions étaient fondées sur des études de population principalement limitées aux zones habitées situées à proximité des côtes. Cependant, nous avons étudié de nombreux couples d’Orioles nichant dans des pinèdes, et nous présentons les premières mentions de nidification de l’espèce dans ces forêts – pins des Caraïbes (Pinus caribaea) et sous-bois de palmiers indigènes (Leucothrinax morrisii). Étant donné la prédominance des forêts de pins sur Andros, l’identification de ce milieu en tant qu’habitat de reproduction a des implications importantes pour la mise en place d’estimations de population et l’élaboration de futurs plans de conservation de l’Oriole des Bahamas. Mots clés: Bahamas, espèce en danger d’extinction, habitat de nidification, Icterus northropi, Oriole des Bahamas
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Gligorijevic-Maksimovic, Mirjana. "Slikarstvo XIV veka u manastiru Treskavcu". Zbornik radova Vizantoloskog instituta, nr 42 (2005): 77–124. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0542077g.

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(francuski) Le monast?re de Treskavac, dont l'?glise remonte vraisemblablement au XIII?me si?cle, a connu un net essor sous le r?gne du roi Dusan. Son entr?e dans le cadre de l'Etat serbe en 1334, a ?t? suivie, dans le bref intervalle d'une d?cennie, par l'octroi de trois (voire quatre) chrysobulles d?livr?s par Dusan. Par ces chartes ce monast?re s'est notamment vu rattacher de nombreux biens et privil?ges. Simultan?ment, son sanctuaire originel ? nef unique, d?di? ? la Dormition de la Vierge, a ?t? agrandi par l'?rection du c?t? ouest d'un exonarthex, dont une partie forme une branche s'avan?ant au sud, et ult?rieurement peint. D'apr?s une inscription appos?e au sud de l'entr?e dans l'?glise, cet ?difice aurait pu avoir pour ktitor le roi Dusan. Les peintures alors r?alis?es ? Treskavac, aujourd'hui partiellement conserv?es, peuvent ?tre dat?es entre 1334-1335 et les ann?es cinquante de ce si?cle. Un premier groupe ornant les murs, la calotte aveugle, la coupole et le tambour de l'exonarthex constitue une remarquable r?alisation picturale de la fin des ann?es trente et du d?but des ann?es quarante du XIV?me si?cle. D'autres, dispos?es sur la fa?ade ouest de l'ancienne chapelle venue s'appuyer sur le mur sud de la branche sud de l'exonarthex et sur les fa?ades ouest et sud de ce dernier, doivent plus vraisemblablement ?tre dat?es des ann?es cinquante de ce m?me si?cle. D'apr?s les restes d'une inscription, le ktitor de cette chapelle aurait port? le haut titre aulique de tepcija. Compte tenu de la raret? de ce titre en Serbie vers le milieu du XIV?me si?cle, et au vu des donn?es historiques il semble que ce ktitor puisse ?tre identifi? avec le tepcija Gradislav. Entre les ann?es trente et les ann?es quatre-vingts du XIV?me si?cle celui-ci est en effet le seul tepcija mentionn? pour ce qui est des environs de Prilep, et nous savons qu'il a rattach? des biens aux monast?res de Treskavac, aux Saints-Archanges ? Prizren et ? l'h?pital de Chilandar. Imm?diatement apr?s la con?struction de la chapelle venue jouxter l'exonarthex on a entrepris la d?coration des fa?ades ouest et sud de l'exonarthex puis de l'adjonction d'un portique ouvert. Dans la calotte de la coupole aveugle surmontant la partie sud de l'exonarthex, autour de la figure du Christ Emmanuel, et sur les murs des parties sud, centrale et nord de l'exonarthex, se d?veloppent les sc?nes du calendrier eccl?siastique le plus souvent accompagn?es de distiques iambiques. Par des jeux de mots bas?s sur des radicaux similaires, ces vers attribu?s ? Christophore de Mytil?ne po?te byzantin du Xl?me si?cle, expliquent la mort en martyrs des saints et annoncent la r?compense qui les attend dans l'autre monde. Sont aujourd'hui conserv?es les illustrations correspondant ? une partie du mois de janvier (du 20 au 30), au mois de mars (du 1er au 31), une partie du mois d'avril (le 5, du 10 au 15 et du 22 au 26), puis deux figures correspondant ? la fin du mois de mai et, finalement, une partie des mois de juin (du 1er au 7) et d'ao?t (du 22 au 29). Ce calendrier peint, accompagn? de distiques iambique trouve ses plus nettes analogies dans les sc?nes d'un calendrier partiellement conserv?es dans l'?glise Saint-Nicolas Orphanos ? Thessalonique, dont les compositions reprennent ?galement les vers de Christophore de Mytil?ne. La coupole surmontant la partie nord de l'exonarthex accueille une repr?sentation de la Cour c?leste, compos?e de trois parties. Au sommet de la coupole se tient le Christ roi des rois audessous duquel se d?veloppe une vaste composition incluant 1' H?timasie avec le tr?ne appr?t?, la Vierge et le roi David rev?tu de ses habits royaux. Tous sont entour?s, conform?ment ? la hi?rarchie c?leste, de s?raphin, ch?rubin et des tr?nes du premier ordre, des seigneuries puissances et forces du deuxi?me ordre et des principaut?s, archanges et anges du troisi?me ordre. La troisi?me partie de cet ensemble est compos? par les figures en pied de huit saints guerriers et martyrs rev?tus de v?tements auliques luxueux, dispos?s dans le tambour de la coupole. Cette composition a pour fondements premiers la lecture des psaumes ainsi que la Hi?rarchie c?leste de Dionysos l'Ar?opagite, auxquels se sont ?galement raccroch?es certaines influences venant d'autres textes liturgiques et th?ologiques. Certains ?l?ments ou d?tails, ainsi que des repr?sentations quelque peu diff?rentes de la Cour c?leste peuvent ?galement ?tre relev?s ? Zaum, dans le Monast?re de Marko, ? Nicolas Sisevski et dans les contr?es proches de Thessalonique. Au registre inf?rieur l'exonarthex accueille respectivement, dans sa partie centrale, les figures en pied de quatre saints guerriers et de quatre saints ermites, dans sa partie nord les figures en pied de quatre saints ermites, et dans la branche sud celles de quatre jeunes saints. Le portrait de ktitor du roi Dusan, ult?rieurement recouvert par une nouvelle fresque laissant appara?tre 1' inscription de l'?poque de la d?coration de l'exonarthex, a trouv? place au registre inf?rieur de la fa?ade de l'?glise, au sud de l'entr?e. Le coloris des fresques situ?es dans la partie sud de l'exonarthex est plut?t ?touff? alors que dans la partie nord il est plus clair et plus chaud. Des fresques datant des ann?es cinquante du XIV?me si?cle sont ?galement conserv?es sur l'ancienne fa?ade ouest de la chapelle jouxtant la branche sud de l'exonarthex et, partiellement, sur les fa?ades ouest et sud de ce dernier. L'ancienne fa?ade de la chapelle est orn?e des portraits du ktitor et de son ?pouse tenant le mod?le de leur fondation qu'ils remettent au Christ et ? la Vierge repr?sent?s dans deux niches. D'apr?s la partie conserv?e de l'inscription accompagnant son portrait, ce ktitor portait le titre de tepcija, de sorte qu'en se fondant sur les sources ?crites il est tr?s probable qu'il s'agit du tepcija Gradislav, ? savoir le dernier personnage connu ? avoir port? ce titre. Peu de temps apr?s l'?rection de la chapelle jouxtant le mur sud de l'exonarthex, on a ?galement orn? de fresques plusieurs niches dispos?es sur les fa?ades ouest et sud de l'exonarthex et vraisemblablement, ?rig? un portique ouvert qui a ?t? plus tard mur?. Sur la fa?ade ouest sont partiellement conserv?es les repr?sentations de saint D?m?trios ou saint Georges ? cheval, au nord de l'entr?e, de la Vierge ? l'Enfant, dans la niche surmontant l'entr?e, et d'une Vierge ? l'Enfant sur un tr?ne, au sud de cette m?me entr?e. Quand au mur sud, il accueille, dans une niche situ?e ? l'ouest de la porte donnant acc?s ? la branche sud de l'exonarthex, les figures en pied de saint Jean le Pr?curseur et de saint Jean Chrysostome qui s'adressent au Christ sur le tr?ne, repr?sent? dans une niche situ?e ? l'est de cette entr?e. Au-dessus de cette m?me porte appara?t le buste d'un ange, alors que plus ? l'est, au-dessus d'une ancienne porte a trouv? place un buste de l'archange Gabriel. Toutes ces peintures ornant les fa?ades ouest et sud de l'exonarthex ne sont que partiellement conserv?es et de qualit? quelque peu inf?rieure. Sur la repr?sentation de saint D?m?trios ou saint Georges ? cheval, fortement mutil?e, on note toutefois la qualit? du dessin et la r?alisation de la t?te de sa monture. Elles sont d'un coloris clair, quelque peu p?li, dans lequel pr?dominent les tons chauds et la couleur marron. Les peintures r?alis?es au XTV?me ? Treskavac, au cours de trois phases chronologiquement proches, d?notent certaines particularit?s tant du point de vue de leurs th?mes que de leur style. En tant que fondation du roi Dusan, le plus ancien groupe de ces fresques illustraient deux th?mes plut?t inhabituels: la Cour c?leste et le calendrier eccl?siastique. Bien que chacun d'eux ait eu des prototypes ou mod?les ant?rieurs, ils pr?sentent ici des solutions uniques. La Cour c?leste a ?t? enrichie de plusieurs niveau de signification symbolique alors que le calendrier eccl?siastique est, pour sa plus grande partie accompagn? de distiques iambiques repris de Christophore de Mytil?ne. Ces deux th?mes peuvent trouver quelques parall?les, plus ou moins partiels dans des monuments situ?s aux environs de Thessalonique. Les distiques iambiques complexes accompagnant les fresques et l'emploi exclusif du grec dans ces inscriptions attestent l'engagement de peintres ayant une parfaite connaissance de cette langue. De m?me, par son style, cette peinture pourrait trouver des ressemblances dans la peinture du milieu thessalonicien. Enfin, les fresques, ? pr?sent passablement endommag?es datant des ann?es cinquante du XFV?me si?cle ou quelque peu ult?rieures d?notent une certaine baisse de qualit? survenue avec le temps.
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Berticelli, Ireno Antônio, Claudia Aparecida Dos Santos i Valdecir Smaniotto. "Comerciantes de sentidos: um olhar para a formação visual dos educandos". Perspectiva 33, nr 1 (18.02.2016): 457. http://dx.doi.org/10.5007/perspectiva.v33i1.34496.

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<p>http://dx.doi.org/10.5007/2175-795X.2014v33n1p457</p><p>Este artigo se propõe investigar as possibilidades que a cultura visual oferece na constituição das identidades, na contemporaneidade. Estuda o fenômeno imagético quanto a seu potencial dialógico familiar aos jovens, sobretudo como uma nova e adequada forma de acesso ao conhecimento e, por consequência, à educação formal e não formal em que se entende a cultura da imagem como campo que abre novas possibilidades pedagógico-educativas. Este estudo objetiva, ainda, contribuir para que os educandos possam assumir papel ativo no contexto do complexo mundo da imagem que diuturnamente envolve os sujeitos em suas práticas sociais. Seguimos a perspectiva teorética da cultura visual de conformidade com alguns dos mais destacados autores da área. Conclui-se que uma educação contemporânea em todos os níveis e formas requer formação para a compreensão/leitura adequada das imagens sob as suas mais variadas formas pelas quais são produzidas e veiculadas, tal é sua força simbólica que contribui na formação dos sujeitos.</p><p><strong><br /></strong></p><p><strong>Senses Traders: a look at students’ visual training</strong></p><p class="Default"><strong> </strong><strong>Abstract</strong></p><p class="Default">This article proposes to investigate the possibilities offered by visual culture in the constitution of identities in contemporary times. It studies the images universe in its familiar dialogical potential for young people, mainly as a new and adequate form of access to knowledge and, consequently, to formal and no formal education in which image culture is understood as a space that provides new pedagogical-educational possibilities. This study also aims to contribute in order that students become able to play an active role in the context of a complex world of images which involves them, as subjects, for a long term in their social practices. Theoretically and methodologically we followed the perspective of visual culture in accordance with some of the main authors of this object. The study led us to conclude that a contemporary education of any level and form demands formation for an adequate understanding/reading of images under a wide variety of forms by which they are produced and widespread because of their symbolic force that contributes in the formation of subjects.</p><p class="Default"><strong>Keywords:</strong> Education. Visual culture. Formation by images.</p><p> </p><p><strong>Commerçants des sens: un regard sur la formation visuelle des apprenants</strong></p><p><strong> </strong><strong>Résumé</strong></p><p> Cet article examine les possibilités qui la culture visuelle offre à la constitution des identités dans l’époque contemporaine. Il étudie le phénomène imagétique dans ce qui concerne le potentiel dialogique propre aux jeunes, sourtout comme une nouvelle et appropriée forme d’accès à la connaissance et, par consequence, à l’éducation formelle et non formelle, dans laquelle se comprend la culture de l’image comme un domaine qui offre de nouvelles possibilités pédagogiques et éducatives. Enfin, l’objective de cette étude est de permettre aux apprenants à jouer un rôle actif dans le complexe contexte du monde de l’image dans lequel les sujets sont toujours impliqués par leurs pratiques sociales. Nous avons suivi une perspective theorique et méthodologique de la culture visuelle selon quelques des plus importants auteurs dans ce domaine de connaisance. On a conclu qu’une éducation contemporaine, dans tous les niveaux et formes, exige formation pour la compréhension/lecture appropriée des images sous les formes les plus variées par lesquelles elles sont produites et diffusées, telle est sa force symbolique qui contribue à la formation des sujets.</p><p><strong>Mots-clés:</strong> Éducation. Culture visuelle. Formation par des images.</p>
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Aparicio-Valdez, Luis. "La gestion empresarial en latinoamérica y su impacto en las relaciones laborales". Articles 44, nr 1 (12.04.2005): 124–48. http://dx.doi.org/10.7202/050476ar.

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Les relations du travail en Amérique Latine se caractérisent par la présence traditionnelle d'un autoritarisme étatique qui se manifeste par une intervention continuelle, une législation abondante et parfois contradictoire, ainsi que par un conflit permanent. Tout cela dans un cadre social hétérogène dans lequel les relations du travail ont depuis peu cesse d'être atomisé pour se centraliser dans les branches industrielles. Ces caractéristiques normalisent toujours les relations du travail en Amérique Latine, mais leur poids diminue chaque fois que de nouveaux facteurs, tant internes qu'externes, entrent en jeu. Les nouvelles tendances, encore embryonnaires, amplifient le caractère extra juridique de la relation employeur-travailleur, de même que l'autonomie des acteurs immédiats en relations du travail, ainsi que la faible présence d'une optique coopérative et participative. La gestion patronale a joué un rôle principal dans cette évolution, particulièrement dans les domaines nouveaux, là où l'absence de tradition a facilité l'innovation. Les multinationales et le secteur d'exportations non traditionnel constituent les meilleurs exemples. Ce résumé a pour objet de présenter ces nouvelles tendances, d'identifier les facteurs internes et externes qui les ont générés, ainsi que d'offrir une base de comparaison pour faciliter une évolution globale de l'état des relations du travail au niveau international. Facteurs internes : La gestion patronale actuelle en Amérique Latine montre qu'il y a une crise complexe chez les protagonistes des relations du travail, c'est-à-dire les travailleurs, les employeurs et l'État. D'un cote, l'augmentation inusitée des grèves locales et nationales, le caractère « illégal » de la majorité des grèves locales dues à l'échec de la négociation collective, ou encore, leur emploi comme outil de solution des conflits, et enfin, l'importante complexité des demandes constituent les principaux problèmes. La source immédiate de ceux-ci est syndicale, alors que les causes plus profondes se rencontrent, pour la majorité, en dehors du contrôle des acteurs. À cause de cette distanciation, les relations se polarisent chaque fois plus. Les relations du travail doivent ainsi en venir à se rencontrer devant un tiers, l'État, qui lui aussi, devient chaque fois plus décisif. De l'autre cote, le maintien, l'accroissement ou le changement fréquent des lois du travail ainsi que la partialité des gouvernements en place soit avec les employeurs ou les travailleurs, reflètent la continuité ou l'augmentation de l'interventionnisme étatique dans la détérioration des relations entre les parties. Les réajustements périodiques des salaires selon les changements au cout de la vie dus à l'inflation, par exemple, exigent des employeurs qu'ils réajustent subséquemment leurs politiques salariales et leurs couts divers. Les changements dans la législation imposent une adaptation de la part des employeurs. En général, l'important interventionnisme étatique ainsi que le réglementarisme limitent de manière irrationnelle le mouvement autonome des relations du travail. Cependant, autant les employeurs que les travailleurs ont exercé, ces dernières années, une force extraordinaire tendant à changer, en leur faveur, le schéma et les règles qui gouvernent les relations du travail. Tous deux ont influencé le processus politique afin de limiter le déterminisme étatique dans les deux secteurs de la propriété, publique et privée, mais aussi dans le but de forcer la réconciliation avec leur acteur rival et ceci, en accord avec la logique de leurs propres intérêts. Le solde net de ce changement a été une relative ouverture du système traditionnel des relations du travail vers des formes nouvelles de relations, comme le système d'administration des ressources humaines, la concertation sociale, la négociation par branche industrielle et la transformation du régime du travail dans le secteur public, particulièrement dans les entreprises de l'État. Facteurs externes : La crise économique que vivent pratiquement tous les pays de cette région, l'accroissement disproportionne de l'offre de travail et de ses accompagnateurs naturels comme le chômage et le travail au noir, l'intervention excessive de l'État dans l'économie, de même que son centralisme, et le défi de la concurrence internationale basé sur l'internationalisation des facteurs de production sont les changements contextuels qui ont eu un impact majeur dans les relations du travail en Amérique Latine. Ceux-ci ont exercé une influence variable aussi bien sur les facteurs internes mentionnes plus haut que sur les relations du travail elles-mêmes, de façon directe. La gestion patronale a répondu à ces divers facteurs avec une grande variété de critères et d'actions. Une des réponses a été l'adoption de systèmes d'administration du personnel en remplacement du système de relations du travail. Même si cette pratique est naissante, son développement rapide, et ceci dans les secteurs les pins modernes et les plus rentables (les multinationales en constituent l'avant-garde), lui a concédée une importance majeure ces dernières années. Le système d'administration des ressources humaines est un concept radicalement différent de celui du système traditionnel des relations du travail. Alors que le premier est centre sur la relation individuelle employeur-travailleur, le second l'est sur la relation collective employeur-syndicat. L'expérience latino-américaine montre que la tendance actuelle va vers la superposition des systèmes. Les entreprises qui furent organisées sous le système traditionnel de relations du travail continuent dans cette direction, alors que les nouvelles entreprises, particulièrement celles qui participent aux secteurs les plus modernes de l'économie, ont l'option d'essayer un ou l'autre des systèmes, ou encore l'intégration des deux. Dans le cas où le système de l'administration des ressources humaines est adopte, le raisonnement logique est de donner fréquemment des avantages non économiques aux travailleurs, afin qu'ils ne voient pas la nécessité de recourir à la syndicalisation, ou encore, dans le but de diminuer les sources de conflit. Trois types de stratégies ont été pratiques dans divers pays : a) la création d'associations professionnelles dans le champ des ressources humaines et de l'administration du personnel, avec pour objectif d'améliorer le recrutement et la promotion dans l'emploi; b) la création et le développement de mécanismes destines à motiver les travailleurs, comme les cercles de qualité, les comités mixtes travailleurs-direction de l'entreprise et les programmes d'incitation non pécuniaires; c) l'ouverture d'alternatives participatives, aussi bien dans la gestion (cogestion, cogouvernement ou codétermination), que dans les bénéfices et la propriété de l'entreprise. Cette dernière stratégie a généralement été exécutée dans des conditions de faible stabilité du travail et de faible influence de la négociation collective. La motivation du travailleur a été le centre d'attention de divers programmes crées sous l'initiative de l'employeur. Les cercles de qualité sont les plus répandus en Amérique Latine, mais des comités de productivité, des programmes de préretraite et des clubs sociaux à l'intérieur de l'entreprise ont aussi été formes. En quelques mots, l'adoption du système d'administration des ressources humaines, même si elle est récente, est déjà une réalité en Amérique Latine. Le développement et l'établissement général de ces programmes sont ici plus que de simples souhaits des acteurs sociaux. On pourrait dire qu'il leur reste à traverser le même niveau de difficultés que le développement économique des pays latino-américains.
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Bergeron, Nantel, Cesar Ceballos i Jean-Philippe Labbé. "Fan realizations of type $A$ subword complexes and multi-associahedra of rank 3". Discrete Mathematics & Theoretical Computer Science DMTCS Proceedings, 27th..., Proceedings (1.01.2015). http://dx.doi.org/10.46298/dmtcs.2512.

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International audience We present complete simplicial fan realizations of any spherical subword complex of type $A_n$ for $n\leq 3$. This provides complete simplicial fan realizations of simplicial multi-associahedra $\Delta_{2k+4,k}$, whose facets are in correspondence with $k$-triangulations of a convex $(2k+4)$-gon. This solves the first open case of the problem of finding fan realizations where polytopality is not known. The techniques presented in this paper work for all finite Coxeter groups and we hope that they will be useful to construct fans realizing subword complexes in general. In particular, we present fan realizations of two previously unknown cases of subword complexes of type $A_4$, namely the multi-associahedra $\Delta_{9,2}$ and $\Delta_{11,3}$. Nous construisons des éventails simpliciaux complets ayant la combinatoire des complexes de sous-mots de type $A_n$ pour $n\leq 3$. Par conséquent, nous obtenons des constructions d’éventails des multi-associaèdres $\Delta_{2k+4,k}$, dont les facettes correspondent aux $k$-triangulations d’un $(2k+4)$-gone. Cette construction confirme l’existence d’éventails ayant la combinatoire du multi-associaèdres pour une famille dont la polytopalité n’est pas confirmée. Les techniques utilisées fonctionnent pour tous les groupes de Coxeter et nous espérons qu’elles seront utiles afin de construire des éventails réalisant les complexes de sous-mots en général. En particulier, nous présentons des éventails pour deux complexes de sous-mots de type $A_4$ dont l’existence était inconnue: les multi-associaèdres $\Delta_{9,2}$ et $\Delta_{11,3}$.
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Bergeron-Brlek, Anouk, Christophe Hohlweg i Mike Zabrocki. "Words and polynomial invariants of finite groups in non-commutative variables". Discrete Mathematics & Theoretical Computer Science DMTCS Proceedings vol. AK,..., Proceedings (1.01.2009). http://dx.doi.org/10.46298/dmtcs.2720.

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International audience Let $V$ be a complex vector space with basis $\{x_1,x_2,\ldots,x_n\}$ and $G$ be a finite subgroup of $GL(V)$. The tensor algebra $T(V)$ over the complex is isomorphic to the polynomials in the non-commutative variables $x_1, x_2, \ldots, x_n$ with complex coefficients. We want to give a combinatorial interpretation for the decomposition of $T(V)$ into simple $G$-modules. In particular, we want to study the graded space of invariants in $T(V)$ with respect to the action of $G$. We give a general method for decomposing the space $T(V)$ into simple $G$-module in terms of words in a particular Cayley graph of $G$. To apply the method to a particular group, we require a surjective homomorphism from a subalgebra of the group algebra into the character algebra. In the case of the symmetric group, we give an example of this homomorphism from the descent algebra. When $G$ is the dihedral group, we have a realization of the character algebra as a subalgebra of the group algebra. In those two cases, we have an interpretation for the graded dimensions of the invariant space in term of those words. Soit V un espace vectoriel complexe de base $\{x_1,x_2,\ldots,x_n\}$ et $G$ un sous-groupe fini de $GL(V)$. L'algèbre $T(V)$ des tenseurs de $V$ sur les complexes est isomorphe aux polynômes à coefficients complexes en variables non-commutatives $x_1, x_2, \ldots, x_n$. Nous voulons donner une décomposition de $T(V)$ en $G$-modules simples de manière combinatoire. Plus particulièrement, nous étudions l'espace gradué des invariants de $T(V)$ sous l'action de $G$. Nous présentons une méthode générale donnant la décomposition de $T(V)$ en modules simples via certains mots dans un graphe de Cayley donné. Pour appliquer la méthode à un groupe particulier, nous avons besoin d'un homomorphisme surjectif entre une sous-algèbre de l'algèbre de groupe et l'algèbre des caractères. Pour le cas du groupe symétrique, nous donnons un exemple de cet homomorphisme qui provient de la théorie de l'algèbre des descentes. Pour le groupe diédral, nous avons une réalisation de l'algèbre des caractères comme une sous-algèbre de l'algèbre de groupe. Dans ces deux cas, nous avons une interprétation des dimensions graduées de l'espace des invariants en terme de ces mots.
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Cohen, Robin. "SÓLIDAS, DÚCTEIS E LÍQUIDAS: noções em mutação de “lar” e “terra natal” nos estudos da diáspora". Caderno CRH 21, nr 54 (11.05.2009). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v21i54.18986.

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Será que a diáspora subentende a terra natal? Segundo alguns estudiosos que impulsionaram o crescimento dos estudos diaspóricos na década de noventa, essa era uma condição sine qua non do conceito. Sob a pressão dos críticos do construcionismo social que tentavam descontruir as idéias básicas de “terra natal” e comunidade, surgiram noções mais complexas e indefinidas de “terra natal” e de “lar”. Essas, da realidade histórica à virtualidade pós-moderna, são aqui caracterizadas em uma escala decrescente “sólidas”, “dúcteis” e “líquidas”. Demonstro que essas três versões de “lar” ou “terra natal” possuem base histórica e empírica considerável, porém refuto o mero construcionismo social. Também há indícios de que as noções de “terra natal sólida” estejam recebendo cada vez mais atenção. PALAVRAS CHAVE: migrações internacionais, diáspora, construcionismo social, lar ou terra natal, agentes de desenvolvimento. SOLID, DUCTILE AND LIQUID: changing notions of homeland and home in diaspora studies Robin Cohen Does diaspora imply a homeland? For a number of scholars who pioneered the growth of diasporic studies in the 1990s this was the sine qua non of the concept. Under the weight of social constructionist critics, who sought to deconstruct the foundational ideas of homeland and community, more complex and vaguer ideas of homeland and home emerged. These are characterized here as “solid”, “ductile” and “liquid”, on a diminishing scale from historical reality to postmodern virtuality. I show that all three versions of home/homeland have some historical and empirical support, but I reject the pure social construcionism. There is also some evidence that solid notions homeland are gaining increasing attention. KEY WORDS: international migrations, diaspora, social construcionism, home/homeland, agents of development. SOLIDES, DUCTILES ET LIQUIDES: des notions qui changent, celles de foyer et de terre maternelle dans les études sur la diaspora Robin Cohen La diaspora sous-entend-elle la terre maternelle? Selon certains studieux qui ont stimulé le développement des études sur la diaspora dans les années quatre-vingt-dix, il s’agissait d’une condition sine qua non pour ce concept. Sous la pression des critiques du constructionisme social qui essayaient de déconstruire les idées basiques de terre maternelle et de communauté, des notions plus complexes et indéfinies de “terre maternelle” et de “foyer” ont surgi. Celles-ci sont caractérisées ici comme “solides”, “ductiles” et “liquides”, par ordre décroissant, allant de la réalité historique à la virtualité post-moderne. Nous démontrons que ces trois versions de “foyer” ou de “terre maternelle” ont une base historique et empirique considérable, cependant nous refusons le simple constructionisme social. Il existe aussi des indices qui démontrent que les notions de “terre maternelle solide” sont de plus en plus dignes d’attention. MOTS-CLÉS: migrations internationales, diaspora, constructionisme social, foyer ou terre maternelle, agents de développement. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br
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Sako, Mari. "ADMINISTRANDO PARQUES INDUSTRIAIS DE AUTOPEÇAS NO BRASIL: uma comparação entre Resende, Gravataí e Camaçari". Caderno CRH 19, nr 46 (18.08.2006). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v19i46.18546.

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O artigo compara três parques industriais de fornecedores de autopeças no Brasil – na Volkswagen de Resende (RJ), na General Motors de Gravataí (RS) e na Ford de Camaçari (BA). A partir de visitas e entrevistas realizadas nas três localidades, no final de 2004, o estudo revela a diversidade de arranjos locais no que diz respeito a três dimensões: o padrão de propriedade de ativos, o grau de terceirização de tarefas e a natureza da relação com os trabalhadores. E revela, em particular, que a terceirização das tarefas produtivas não está necessariamente associada à desintegração da propriedade dos ativos. Na verdade, a terceirização das tarefas aparece relacionada com uma propriedade integrada de ativos em consórcio modular, como no caso de Resende. E mais: as relações sociais entre empresas fornecedoras e seus trabalhadores, nesses locais, parecem poder coexistir tanto com padrões integrados como não integrados de propriedade de ativos. Percebe-se, portanto, que não há um único “modelo brasileiro” e que as práticas variam juntamente com as dimensões da evolução local das normas sociais e das políticas de gestão. Palavras-Chave: terceirização, indústria automobilística, autopeças, produção enxuta, novos territórios industriais.Administering industrial COMPLEXES Of autoparts in brazil: a comparison between Resende, Gravataí and CamaçariMari Sako This paper compares three major supplier parks in Brazil, namely Volkswagen Resende, General Motors Gravataí, and Ford Camaçari. On the basis of visits and interviews at the three locations in late 2004, the comparisons reveal a diversity of local arrangements with respect to three dimensions, namely the pattern of asset ownership, the degree of task outsourcing, and the nature of relations with workers. In particular, the outsourcing of production tasks is not necessarily associated with the disintegration of asset ownership. If anything, task outsourcing goes hand-in-hand with integrated asset ownership in modular consortia, as at Resende. Moreover, social relations among suppliers and workers on site may co-exist with either integrated or non-integrated asset ownership patterns. It is therefore found that there is no single ‘Brazil model’, and that practices vary along the dimensions, according to the local evolution of social norms and management policy. Key-words: outsourcing, car industry, autoparts, lean production, new industrial territories L’ADMINISTRATION DES PARCS INDUSTRIELS AUTOMOBILES DE PIECES DETACHEES AU BRESIL: comparaison entre Resende, Gravatai et CamaçariMari Sako Cet article présente une comparaison faite entre trois parcs industriels de fournisseurs de pièces détachées au Brésil - celui de Volkswagen à Resende (RJ), celui de General Motors à Gravatai (RS) et celui de Ford à Camaçari (BA). Suite à des visites et des interviews réalisées dans ces trois localités, à la fin de l’année 2004, l’étude révèle la diversité des adaptations locales en ce qui concerne trois dimensions: la norme de propriété d’actifs, le degré de sous-traitance des tâches et la nature des rapports avec les travailleurs. Elle démontre tout particulièrement que la sous-traitance des tâches productives n’est pas obligatoirement associée à la désintégration de la propriété des actifs. En réalité, la sous-traitance des tâches semble être liée à une propriété intégrée d’actifs en consortium modulaire, comme dans le cas de Resende. De plus, les relations sociales entre les fournisseurs et leurs travailleurs, dans ces locaux, semblent pouvoir exister autant avec des normes intégrées qu’avec des normes non intégrées de propriété des actifs. On s’aperçoit donc qu’il n’y a pas un seul et unique “modèle brésilien” et que les pratiques varient en fonction des dimensions de l’évolution locale des normes sociales et des politiques de gestion. Mots-clés: sous-traitance, industrie automobile, pièces détachées, production réduite, nouveaux territoires industriels. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br
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Desquesnes, Marc, Philippe Solano, Geoffrey Gimonneau, Vincent Jamonneau, Jean-Mathieu Bart, Bruno Bucheton, Sophie Thevenon i David Berthier. "Les trypanosomoses humaines et animales africaines. Une approche « One health » par excellence". Bulletin de l'Académie vétérinaire de France 175 (2022). http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2022.71000.

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Les trypanosomoses humaines et animales africaines (THA & TAA) sont dues à des parasites du genre Trypanosoma vivant dans le sang, la lymphe ou le système nerveux de leurs hôtes. Ils sont transmis principalement par les glossines (mouches tsétsé). Le Nagana (TAA) est une maladie animale due à un complexe d’espèces : T. vivax, T. congolense et T. brucei. La maladie du sommeil (HAT) est due à T. b. gambiense (forme chronique, Afrique de l’Ouest et du centre) et T. b. rhodesiense (forme aiguë, Afrique de l’Est et Australe). Les glossines, vecteurs cycliques des trypanosomes, sont un maillon déterminant dans la transmission, la maintenance et le contrôle de ces maladies. Les particularités de leur physiologie, écologie, et du développement cyclique des trypanosomes, conditionnent une épidémiologie complexe. L’existence conjointe de plusieurs espèces de trypanosomes, dans de nombreux hôtes et réservoirs, disposant de plusieurs modes de transmission (cyclique, mécanique, par voie orale, verticale, vénérienne, iatrogénique), conditionne des systèmes épidémiologiques très divers parfois concomitants. Le contrôle conjoint de la TAA et de la THA s’impose par excellence sous une approche « One Health » (OH), mais cette dernière n’est pas toujours possible, en particulier en cas d’impact sanitaire discordant chez l’homme et l’animal. Mots-Clés : complexe d’espèces, Glossina, vecteurs cycliques, réservoir, contrôle, élimination.
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Bergeron-Brlek, Anouk. "Words and Noncommutative Invariants of the Hyperoctahedral Group". Discrete Mathematics & Theoretical Computer Science DMTCS Proceedings vol. AN,..., Proceedings (1.01.2010). http://dx.doi.org/10.46298/dmtcs.2870.

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International audience Let $\mathcal{B}_n$ be the hyperoctahedral group acting on a complex vector space $\mathcal{V}$. We present a combinatorial method to decompose the tensor algebra $T(\mathcal{V})$ on $\mathcal{V}$ into simple modules via certain words in a particular Cayley graph of $\mathcal{B}_n$. We then give combinatorial interpretations for the graded dimension and the number of free generators of the subalgebra $T(\mathcal{V})^{\mathcal{B}_n}$ of invariants of $\mathcal{B}_n$, in terms of these words, and make explicit the case of the signed permutation module. To this end, we require a morphism from the Mantaci-Reutenauer algebra onto the algebra of characters due to Bonnafé and Hohlweg. Soit $\mathcal{B}_n$ le groupe hyperoctaédral agissant sur un espace vectoriel complexe $\mathcal{V}$. Nous présentons une méthode combinatoire donnant la décomposition de l'algèbre $T(\mathcal{V})$ des tenseurs sur $\mathcal{V}$ en modules simples via certains mots dans un graphe de Cayley donné. Nous donnons ensuite des interprétations combinatoires pour la dimension graduée et le nombre de générateurs libres de la sous-algèbre $T(\mathcal{V})^{\mathcal{B}_n}$ des invariants de $\mathcal{B}_n$, en termes de ces mots, et explicitons le cas du module de permutation signé. À cette fin, nous utilisons un morphisme entre l'algèbre de Mantaci-Reutenauer et l'algèbre des caractères introduit par Bonnafé et Hohlweg.
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Ceballos, Cesar, i Vincent Pilaud. "Denominator vectors and compatibility degrees in cluster algebras of finite type". Discrete Mathematics & Theoretical Computer Science DMTCS Proceedings vol. AS,..., Proceedings (1.01.2013). http://dx.doi.org/10.46298/dmtcs.12795.

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We present two simple descriptions of the denominator vectors of the cluster variables of a cluster algebra of finite type, with respect to any initial cluster seed: one in terms of the compatibility degrees between almost positive roots defined by S. Fomin and A. Zelevinsky, and the other in terms of the root function of a certain subword complex. These descriptions only rely on linear algebra, and provide simple proofs of the known fact that the $d$-vector of any non-initial cluster variable with respect to any initial cluster seed has non-negative entries and is different from zero. Nous présentons deux descriptions élémentaires des vecteurs dénominateurs des algèbres amassées de type fini pour tout amas initial: l'une en termes de degrés de compatibilitié entre racines presque positives définis par S. Fomin et A. Zelevinsky, et l'autre en termes de la fonction racine d'un certain complexe de sous-mots. Ces descriptions ne reposent que sur l'algèbre linéaire et fournissent des preuves simples du fait (connu) que le $d$-vecteur de toute variable d'amas, qui n'est pas dans l'amas initial, a des entrées positives ou nulles et est différent du vecteur nul.
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Bertrand, Laurence, Catherine Chabot, Mélissa Di Sante, Angèle Bilodeau i Louise Potvin. "Les pratiques de l’action intersectorielle locale pour l’équité en santé : étude du cas Quartier nourricier de la Corporation de développement communautaire Centre-Sud à Montréal". Global Health Promotion, 7.12.2023. http://dx.doi.org/10.1177/17579759231211229.

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Introduction : Afin d’agir sur les inégalités de santé et les ressources locales promotrices de santé, les praticiens et les décideurs doivent être outillés pour pratiquer l’action intersectorielle locale. Planifier et optimiser ces partenariats demeure pourtant un défi en raison du manque de connaissances sur les processus menant à l’atteinte de leurs objectifs – ce qu’ils font et comment. Cette étude documente empiriquement, à l’aide d’une étude de cas, les pratiques de conception de l’action intersectorielle locale dans la démarche Quartier nourricier (QN) à Montréal. Méthodes : Une analyse secondaire d’un sous-ensemble des données originales du programme de recherche Valeur de l’action intersectorielle locale a été effectuée. Les données qualitatives sont issues d’une collecte de données prospective ayant suivi l’évolution du système d’action complexe QN entre mars et novembre 2014. Les traces observables de l’action ont été relevées dans des notes d’observation, des documents et des entretiens téléphoniques, puis codifiées dans une matrice chronologique d’évènements critiques et une matrice ordonnée par rôle. L’analyse inductive des matrices a identifié les éléments significatifs pour expliquer le déroulement de l’action. Résultats : Trois opérations interdépendantes et concomitantes affectent à la fois la relation entre les partenaires et la conception du projet : (a) l’idéation sous contraintes, (b) la négociation de priorités, et (c) la représentation politique. Chaque opération présente un ensemble de pratiques qui font progresser l’action intersectorielle locale. Conclusion : Mettre en lumière les pratiques du terrain, en les ancrant dans trois opérations nécessaires pour effectuer des transformations dans les environnements locaux favorables à la santé, permet de guider la planification des stratégies et la conduite des actions pour mener des partenariats intersectoriels. Mots clés : Action communautaire, action intersectorielle locale, collaboration/partenariats, conception, développement des capacités (y compris les compétences), environnements favorables à la santé, étude de cas, promotion de la santé, réalisme critique, urbanisme/santé urbaine/milieu urbain
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Soczek, Daniel. "COMUNIDADE, INCLUSÃO E EXCLUSÃO: uma reflexão sobre as ONGs". Caderno CRH 18, nr 43 (30.08.2006). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v18i43.18516.

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O objetivo deste artigo é apresentar algumas reflexões referentes aos conceitos de comunidade e inclusão social a partir da atuação das ONGs. Considerando as dinâmicas internas que originam e possibilitam sua perpetuação institucional e as realizações dessas organizações, sob o prisma do conceito de identidade e sua orientação para a materialização de uma proposta de recriação do conceito de comunidade, destacaremos seu importante papel em busca da eqüidade social, frente a uma sociedade complexa, passível de um processo crescente de exclusão social. Palavras-chave: ONGs, comunidade, inclusão, exclusão, democracia. Community, inclusion and exclusion: a reflection on the NGOs The aim of this article is to present some reflections on the concepts of community and social inclusion based on the work carried out by the NGOs. Taking into account the internal dynamics they originate and that make possible their institutional perpetuity as well as the achievements of those organizations according to the concept of identity and their position to materialize a proposal of recreation of the community concept , we shall point out their important part in the search of the social equity in opposition to a complex and passive society of an increasing process of social exclusion. Key words: NGOs, community, inclu-sion, exclusion, democracy. Communauté, intégration et exclusion: une réflexion sur les ONG (organisations non gouvernamentales) Le but de cet article est de présenter quelques réflexions concernant les concepts de communauté et intégration sociale basées sur les procédures des ONG. Tout en considerant les dynamiques internes créées par celles-ci et qui permettent leur perpétuité institutionelle ainsi que les réalisations de ces organisations, sous le point de vue du concept d´identité et leur orientation pour la matérialisation d´une proposition de récreation du concept de communauté, nous allons remarquer l´importance de leur rôle en ce qui concerne la recherche de l´équité sociale face à une societé complexe et passive d´un procéssus croissant d´exclusion sociale. Mots-clé: ONG, communauté, intégra-tion, exclusion, democratie. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br
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Fix, Mariana. "UMA PONTE PARA A ESPECULAÇÃO - ou a arte da renda na montagem de uma “cidade global”". Caderno CRH 22, nr 55 (24.08.2009). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v22i55.19002.

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Este artigo analisa conflitos e articulações por trás da transformação de uma antiga área alagadiça, as várzeas do rio Pinheiros, em uma das regiões mais valorizadas de São Paulo e, atualmente, sua fachada globalizada. O texto discute, particularmente, os nexos que se constituem, nas últimas décadas, entre a financeirização global da economia e os arranjos específicos que se configuram em São Paulo; entre mecanismos supostamente avançados – como operações urbanas, Cepacs e fundos de investimento imobiliário – e formas típicas de acumulação primitiva, nas quais força, fraude, opressão e pilhagem são exibidas de modo recorrente; entre “a cidade própria” das elites e a cidade dita clandestina, que ocupa beiras de córrego, encostas de morros, margens de represas. Tomo como referência três ícones dessa paisagem urbana: uma ponte estaiada, imagem-síntese da cenografia da “nova cidade”; um gigantesco emprendimento murado, que mescla residência, comércio de luxo e escritórios; e um complexo empresarial com torres de escritório e hotel, interligados por um shopping subterrâneo. PALAVRAS-CHAVE: globalização, financeirização, imóveis, São Paulo, cidade global. A BRIDGE TO SPECULATION - the art of rent in the staging of a “global city” Mariana Fix This paper analyzes the conflicts and articulations behind the transformation of an old swampish area, the meadows of the Pinheiros river, in one of the most valued regions of São Paulo and its globalized face. The text discusses particularly the connections made in the last decades between the global financialization of the economy and the specific arrangements that take place in São Paulo; among supposedly advanced mechanisms – such as urban operations, Cepacs and real estate investment funds – and typical forms of primitive accumulation, in which strength, frauds, oppression and pillage are recurrently exhibited; between the “city proper” of the elites and the so-called clandestine city, that occupies stream edges, hillsides, margins of dams. I investigate three icons of that urban landscape: a cable-supported bridge, synthesis of the “new city” scenery; a gigantic walled development, that mixes residential, luxury trade and office buildings; and a business compound with office and hotel towers, interlinked by an underground shopping center. KEYWORDS: globalization, financialization, real state, São Paulo, global city. UN PONT À LA SPÉCULATION - l´art de la rente dans la montage d´une “ville globale” Mariana Fix Cet article analyse les conflits et les négociations sous-jacentes à la transformation d’une ancienne région inondée, la plaine inondable du fleuve Pinheiros, située dans l’une des parties les plus valorisées de São Paulo et maintenant son côté mondialisé. On y présente en particulier les liens établis au cours des dernières décennies entre la financiarisation mondiale de l’économie et les agencements spécifiques qui surgissent à São Paulo; entre des mécanismes supposés avancés – tels les plans d’actions urbains, les Cepacs et les fonds d’investissement immobilier – et des formes typiques d’accumulation primitive dans lesquelles la force, la fraude l’oppression et le pillage se répètent constamment; entre la “ville typique” des élites et la ville, dite clandestine, qui occupe les bords des ruisseaux, les pentes des collines, les bas-côtés des barrages. Trois icônes de ce paysage urbain nous servent de points de repère: un pont suspendu , une image synthèse de la scénographie de la “nouvelle ville”; une oeuvre gigantesque murée qui mélange des résidences, des commerces de luxe et des bureaux; et un complexe d’entreprises avec des tours de bureaux et d’hôtels liées entre elles par un centre commercial souterrain. MOTS-CLÉS: mondialisation du capital, financiarisation, propriété foncière, São Paulo, ville globale. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br
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Roy, Bernard. "Santé". Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.079.

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De nombreux anthropologues appréhendent la santé comme une « construction sociale » qui varie considérablement d’une société à une autre, d’une époque à une autre. Dans toutes les sociétés, les anthropologues constatent que le concept santé s’exprime en des termes et des mots variés généralement associés à la notion de « bien-être ». Chez les Tzeltal et Tzotzil Maya des hautes terres du Chiapas, le concept de santé s’exprime par les mots « vital warmth » (chaleur vitale) (Groark 2005). Chez les vieux Innus (Montagnais), la santé réfère à la qualité de vie tandis que chez les Inuits, la santé serait conçue comme un ordre harmonieux dans lequel la personne est intégrée dans un environnement social, temporel, spirituel et non empirique (Therrien et Laugrand 2001). Et si cette notion de qualité de vie/santé varie d’un peuple à l’autre, elle fluctue également d’une classe ou d’un groupe social à un autre. Les anthropologues du début du XXe siècle ne parlaient pas d’ethnomédecine et encore moins d’anthropologie médicale, d’anthropologie de la santé ou d’anthropologie de la maladie, mais plutôt, de médecine primitive, archaïque ou traditionnelle. Presque toutes les monographies ethnologiques anciennes proposent des sections portant sur la maladie, les médecines indigènes ou les pratiques et croyances médicales. Dès le XVIIIe siècle, le missionnaire jésuite, Joseph-François Lafitau, qualifié par William N. Fenton et Elizabeth L. Moore de « premier éclat de lumière sur la route de l'anthropologie scientifique » (Fenton et Moore 1969) documenta, dans son œuvre Mœurs des sauvages américains comparées aux mœurs des premiers temps (Lafitau 1983), les pratiques médicales, les maladies ainsi que la santé des Iroquois. Au début du XXe siècle, les anthropologues décrivirent et analysèrent les us et coutumes de peuples vivants à l’écart de la modernité (Massé 1995). Les nombreuses monographies publiées à la suite de longs terrains contribuèrent aux développements de connaissances concernant les représentations sociales de la santé et de la maladie chez les praticiens et les peuples éloignés et isolés d’une modernité qui s’imposait tout autour de la planète. Constatant l’accroissement du nombre d’anthropologues travaillant au sein des structures médicales et sur des questions de santé et de maladie, Normand Scotch crée, au début des années 1960, le terme Medical anthropology (Scotch 1963 cité par Walter 1981). Peu à peu, cette nouvelle discipline se distingue à la fois aux niveaux théoriques et de l’application. Cherchant à comprendre les phénomènes de la santé/maladie dans différents contextes culturels, l’anthropologie médicale prend comme objet d’analyse les façons dont les acteurs sociaux reconnaissent et définissent leur santé, nomment les maladies, traitent leurs malades (Massé 1995). Les premiers travaux des anthropologues médicaux répondent surtout aux demandes d’une médecine qui cherche à comprendre comment la culture intervient dans l’avènement des maladies et comment contrer les résistances des populations aux entreprises déployées pour améliorer la santé depuis une perspective biomédicale. « Quand on fait appel à l’anthropologue dans une étude épidémiologique, c’est souvent afin qu’il trouve les bonnes formulations pour cerner les “facteurs culturels” qui influencent les pratiques sanitaires... » (Fassin 2001 :183). Rapidement, ce nouveau champ de l’anthropologie fait l’objet de critiques. Qualifiée de discipline bioculturelle, l’anthropologie médicale est critiquée en raison de ses thèmes de recherche dictés par la santé publique et de la domination des professionnels de la santé dans le dialogue avec les anthropologues impliqués dans les milieux de la santé. Byron Good (1994) estimait pour sa part que les travaux des anthropologues médicaux, dans les années 1950-1960, contribuèrent au développement d’une critique de la naïveté culturelle soutenant le regard porté par les instances de santé publique internationales sur le complexe santé/maladie. Toutefois, quelques chercheurs s’intéressent spécifiquement à la notion de santé en dehors de l’axe santé/maladie et proposent celui de santé/vie. Au début des années 1970, Alexander Alland formule une théorie anthropologique médico-écologique qui se base sur le principe de l’adaptation culturelle à l’environnement. Cette théorie postule que la santé résulte de l’adaptation biologique et culturelle d’un groupe d’individus dans un environnement donné. Un peu moins de dix années plus tard, McElroy et Towsend (1979) élaborent un cadre écologique qui affine cette première proposition. Pour McElroy et Towsend, la santé des individus et des collectivités résulte de l’équilibre établi entre les éléments biotiques, abiotiques et culturels d’un écosystème. Cette conception de la santé proposée par le courant écologique fera l’objet de nombreuses critiques du fait, entre autres, du nivèlement de la culture sur la nature qu’elle soutenait. Parallèlement aux courants écologique et bioculturaliste se développe une tendance phénoménologique (Laplante 2004). Délaissant les catégories objectives de la médecine, Kleinman (1980) et Good (1994) proposent d’appréhender la santé et la maladie sur les bases de l’expérience humaine. Tandis que Kleinman s’intéresse à la manière dont les gens expriment leur notion de la maladie à partir de leur expérience (Illness) qu’il articule autour de modèles explicatifs indissociables des systèmes culturels, Good s’intéresse aux réseaux sémantiques qui permettent à la personne de réorganiser en permanence son expérience en fonction du contexte et des circonstances. La maladie, et par extension la santé, ne correspondent plus à une chose en soi ou à sa représentation. L’une et l’autre résulteraient, plutôt, d’interactions qui permettent de synthétiser des significations multiples. D’autres anthropologues estimeront que la santé et la maladie sont des résultantes de l’histoire propre aux communautés humaines. Ces anthropologues proposent un recadrage radical de toute démarche visant à identifier les problèmes de santé et leurs dynamiques d’émergence dans une communauté humaine. Cette anthropologie considère d’emblée la communauté comme unité centrale d’analyse et s’intéresse « à la manière dont un contexte social et culturel informe les perceptions, valeurs et comportements des personnes » dans les dynamiques productrices de santé et de maladies. (Corin, Bibeau, Martin,et Laplante 1990 : 43). Dans ces contextes il reviendra aux anthropologues de participer à l’élaboration de politiques de santé adaptées aux diversités culturelles. Dès les années 1960, des anthropologues développent une critique de la médecine et de la santé internationale. Ils proposent de porter davantage attention aux conditions macrosociétales de production de la santé et de la maladie. En 1983, lors de la réunion annuelle de l’American Anthroplogical Association des anthropologues soulèvent l’importance pour l’anthropologie médicale de porter son attention sur les conditions sociales, économiques et politiques de production de la santé et de la maladie (Baer, Singer et Johnsen 1986). Pour ces anthropologues, la santé constitue un produit social et politique qui révèle l’incorporation de l’ordre social et des inégalités dans les corps (Fainzang 2005). Leurs recherches s’orienteront, du coup, autour de l’idée selon laquelle les inégalités sociales, les rouages du pouvoir et de l’exploitation, constituent les tout premiers facteurs de détermination de la santé et, par conséquent, de la maladie. La santé n’est plus ici considérée comme une réalité dérivée de définitions biologiques, médicales. Elle apparait comme une notion et un espace définis par les rapports entre le corps physique et le corps social. La santé ne correspond plus à la reconnaissance d’une norme physiologique, moyenne ou idéale. Elle est une construction culturelle qui ne peut être appréhendée que de manière relationnelle, comme un produit du monde social (Fassin 1996). Si les travaux des anthropologues ont davantage porté sur les phénomènes entourant la maladie et non sur ceux concernant la santé, ils ont toutefois largement contribué à la distinction analytique de la maladie dans ses dimensions médicales (disease), personnelles/expérientielles (illness), sociale(sickness) et, plus tard, en évoquant le concept de la souffrance sociale. Mais un constat s’impose. Les réflexions et recherches menées à l’endroit du concept de la santé par les sciences de la santé et les sciences sociales sont généralement moins développées que celles portant sur la notion de maladie. La perspective anthropologique impose d’appréhender le concept de santé comme un objet socialement et culturellement construit dans un espace-temps indissociable du global. Loin de se référer à une simple absence de pathologie, la santé se développe, se révèle dans le rapport entretenu par le sujet à lui-même et aux autres. Pour l’anthropologie, il y a d’abord l’intérêt à situer la santé dans l’expérience vécue d’un sujet en lien avec les autres. Acteur et créateur, il est également assujetti aux forces du contexte socioéconomique, politique et historique (Fainzang 2005). La santé se révèle ainsi comme une notion polysémique et un objet complexe qui se situe dans une trame d’interactions collectivement partagée du vivant avec son milieu s’incarnant dans les expériences singulières de l’être-au-monde (Massé 2010). Toutefois les propos de l’anthropologue Gilles Bibeau demeurent pertinents. « La santé continue d’être sous-conceptualisée et appréhendée de manière encore trop souvent inadéquate. […] Se pourrait-il que le surplus d’interventions de santé nous expédie hors du champ de la santé? » (Bibeau 2006 : 82, 84).
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Melliti, Imed, i Abdelhamid Hénia. "Anthropologie indigène". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.003.

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Dès son invention, la catégorie « indigène » est une catégorie beaucoup moins savante que politique. « C’est la colonisation qui fait les indigènes », écrit René Gallissot. Sans être tout à fait des « primitifs », ces indigènes sont supposés être d’une espèce différente qui conserve des traits d’exotisme et de sauvagerie visibles dans la culture et les modes d’organisation sociale. Le propre de la catégorie indigène est d’être issue de la frontière coloniale : les indigènes le sont dans la mesure où ils sont justement, et en même temps, des sujets des empires coloniaux. Comme le montre R. Gallissot, la généalogie du mot indigène est complexe et procède d’une juridicisation d’une catégorie au départ naturaliste, donnant lieu en définitive à une classe juridique elle-même naturalisante et naturalisée. La fabrique juridique de « l’indigénat » comme statut en perpétuel recomposition au fil de l’histoire coloniale, et de ses relais institutionnels, administratifs et politiques, fait que la société coloniale est une société divisée en deux classes de populations et d’institutions : des sujets infériorisés et des citoyens à part entière, et respectivement des modes d’administration, des régimes juridiques et des juridictions spécifiques (Gallissot 2006). Ainsi l’«indigénat » est un statut stigmatisé et stigmatisant. La colonisation et le colonialisme étant perçus de plus en plus comme des objets historiques révolus mais avec des relents persistants, la catégorie « indigène » tend à être dégagée de son stigmate. Aujourd’hui, un courant d’« indigénisation » des savoirs prétend même s’en emparer en le retournant. Cette démarche est présentée comme le moyen de dessiner une posture méthodologique permettant d’opérer un déplacement dans le champ des recherches en sciences sociales en les dégageant de tout hégémonisme ethnocentrique. Quel bilan pouvons-nous dresser des pratiques empiriques propres à ce courant ? Dans quel contexte épistémologique s’inscrit-il ? Qu’en est-il du piège identitaire qui le guette ? L’indigénisation est-elle une pratique réservée exclusivement aux chercheurs indigènes ou autochtones et quel statut accorde-t-elle aux concepts et paradigmes produits par la communauté scientifique internationale ? Les soi-disant chercheurs autochtones ne sont-ils pas en passe d’inventer leurs propres « indigènes », en décrétant le déclassement d’une partie de la communauté scientifique ? L’idée de l’indigénisation vient à la suite de plusieurs tentatives de renouveaux épistémologiques. La « décolonisation des savoirs » introduite par les Postcolonial Studies anglophones a montré que la décolonisation n’est pas seulement une action politique, mais également une action épistémologique. A cela, il faut ajouter la critique de l’orientalisme par Edward Saïd (1980), les différentes écoles qui ont amorcé une tentative de construire le savoir à partir du « bas » (view from below) ou de « l’intérieur », ou de faire de la recherche du côté des acteurs, ou encore au « ras de sol » (Revel 1989). C’est dans la même perspective que s’inscrivent la contribution des Subaltern Studies en Inde (Pouchepadass 2000 ), l’« écriture de l’histoire » par Michel de Certeau (2002) et sa sociologie de l’« invention du quotidien », la reconstitution de la « vision des vaincus » par Nathan Wachtel (1999), la microstoria italienne, l’analyse « du point de vue de l’indigène » (Geertz 1986), et l’analyse des « armes du faible » par James C. Scott (1985). Les Latinos Studies, les Gender Studies, les Black Studies, sont autant de courants qui ont contribué à la poursuite de cet élan novateur. Le dernier en date est le courant représenté par le Manifeste de Lausanne. Pour une anthropologie non hégémonique (Saillant, Kilani, Graezer Bideau 2011). Indigéniser consisterait à répondre à la question de savoir comment penser une société sans être le porte-parole d’interprétations hégémoniques ou surplombantes venant souvent de l’extérieur. Cela suppose aussi le dépassement de la dichotomie «indigène»/«occidental» en se dégageant des rapports de force historiques liés à ces deux catégories, telles qu’elles étaient forgées dans le contexte colonial. La propension à l’indigénisation des savoirs a parfois tourné au discours identitaire, notamment chez les «sociologues arabes» (Melliti 2006 ; 2011). Il existe une tension à l’arrière fond du débat autour de la question d’arabisation des sciences sociales d’une manière générale. L’autre usage de l’indigénisation obéissant à des raisons exclusivement identitaires serait de dire que seuls les indigènes seraient les mieux placés pour rendre compte des réalités locales. Prenant sa source dans le nationalisme postcolonial, ce courant est obnubilé par l’idée de décoloniser les sciences sociales. Pour les défenseurs de ces courants, seul l’indigène serait capable de mieux étudier les sociétés anciennement colonisées. Il va sans dire que, dans ce contexte précis, la validité scientifique des résultats obtenus est incertaine. Une autre manière de comprendre l’indigénisation serait de l’assimiler à une posture méthodologique et à une démarche adoptée par tout chercheur quelle que soit son origine. De ce point de vue, l’altérité du chercheur n’est guère perçue comme un handicape pour une meilleure intelligibilité des réalités sociales plurielles qu’il se donne pour objet (Godelier 2007). Que le chercheur soit indigène (de l’intérieur) ou non, la question n’est pas là. Avec l’indigénisation des savoirs on insiste sur la manière dont les objets relatifs aux sociétés locales sont construits, pensés et traités. Il s’agit de partir de l’intérieur, c'est-à-dire des « concepts proches de l’expérience » pour « voir les choses du point de vue de l’indigène », comme le précise Clifford Geertz (1986 : 73-74). Pour ce faire, il faut voir selon lui les expériences des indigènes « dans le cadre de leur propre idée de ce qu’est la personne » ; autrement dit, comment ils « se voient eux-mêmes » et comment ils « se voient les uns les autres ». Et Geertz d’ajouter : « […] pour Java, Bali et le Maroc, au moins, cette idée diffère sensiblement non seulement de la nôtre, mais de façon non moins dramatique et non moins instructive, de l’une à l’autre » (Geertz : 76). Les effets des postures ethnocentriques empêchent de bien comprendre les sociétés locales, dans la mesure où ils déplacent la manière de penser ces sociétés vers des paradigmes et des catégories inventés sous d’autres cieux. Les approches ethnocentristes adoptées pour analyser les réalités locales peuvent être dues à des chercheurs aussi bien venus du dehors que du local. L’ethnocentrisme n’est pas spécifique à l’Occident. Récusant la dérive identitaire, l’indigénisation des sciences sociales consiste à transcender les langues par lesquelles les chercheurs s’expriment, les antinomies, comme centre et périphérie, local et global, etc. Elle participe également à la construction d’un savoir universel, mais non un «universel occidental » (Detienne 2005). L’indigénisation ne repose pas sur la condamnation, voire la négation de la « pensée occidentale », mais plutôt sur sa « décentralisation », comme l’écrivent les auteurs du Manifeste de Lausanne. La conversion des théories nées dans les centres de production scientifique en théories voyageuses, phénomène non nouveau, devient une véritable stratégie de connaissance. Ainsi, les outils d’analyse, paradigmes et concepts forgés dans le monde occidental ne sont pas rejetés par les tenants de ce courant. L’indigénisation du savoir se présente ainsi comme un projet épistémologique qui se démarque de celui postcolonial qui cherche à « décoloniser », ou encore de celui qui cherche à « désoccidentaliser » les savoirs. Qu’elle soit utilisée par l’ancien colonisateur ou l’ancien colonisé, la « décolonisation » est toujours quelque part entachée d’un substrat idéologique. L’idée de « désoccidentalisation », elle aussi, n’échappe pas à la même dérive. L’usage de ces mots dénote que le dépassement des catégories antinomiques (« colonisateurs » vs « colonisés », « Occident » vs « Orient », « Nord » vs « Sud », « centre » vs « périphérie », etc.) n’est pas encore totalement consumé. Il sous-entend que l’on reste toujours, d’une manière ou d’une autre, prisonnier de la perception ethnocentriste (Goody 2010).
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Rougeon, Marina. "Photographie". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.053.

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Depuis les débuts de l’ethnographie, nombreux sont les anthropologues à avoir eu recours à la photographie pour leurs recherches, de Bronislaw Malinowski à Margaret Mead en passant par Claude Lévi-Strauss, Alfred Métraux et Pierre Verger. Il faut dire que la photographie a connu son essor à la même époque que celui des sciences sociales, et toutes deux présentent une affinité non négligeable : elles montrent « quelque chose de l’homme » tout en révélant « comment l’homme s’informe sur l’homme » (Garrigues 1991 : 11). Toutefois, malgré quelques travaux emblématiques (Bateson et Mead 1942 ; Collier 1967), peu se sont aventurés à rendre compte des apports théoriques et méthodologiques d’un tel outil pour l’anthropologie. Il demeure marginalisé, notamment du fait de la méfiance dont les images sont encore l’objet. Par ailleurs, bien qu’elle s’inscrive dans le champ de l’anthropologie visuelle, la photographie est loin d’avoir acquis la même légitimité que l’image animée. À partir des années 1990, plusieurs auteurs tentent pourtant de remédier à cette « méconnaissance ethnologique de la photographie », signalant qu’il existe « une certaine harmonie épistémologique » (Piette 1992 : §. 2) avec l’anthropologie. Toutes deux partageraient une « dimension autobiographique obligée » (Garrigues 1991 : 30), du fait que l’observateur, étant de même nature que l’observé, est lui-même pris dans l’observation. La photographie constitue alors un objet de recherche pour l’anthropologie car elle est « au cœur de cette problématique de la compréhension de soi obtenue par le détour de la compréhension de l’autre », comme le rappelle Emmanuel Garrigues en citant Paul Rabinow (Garrigues 1991 : 42). L’ensemble de ces travaux va dans le sens d’un usage scientifique de la photographie comme moyen d’expression, pour faire de l’anthropologie et de l’ethnographie en photographie. Ils soulignent en premier lieu sa pertinence comme pratique de terrain. La photographie prend part au dispositif ethnographique comme un instrument de recherche qui met en exergue le visuel au cœur de la relation à l’autre. C’est le cas lors des entretiens, quand les photographies confrontées au regard des interlocuteurs constituent un support de restitution, qu’elles servent à confirmer des analyses ou encore à soulever de nouveaux éléments et pistes de recherche. En outre, l’appareil photographique constitue un outil transitionnel entre le chercheur et ses interlocuteurs, ce qui lui confère une valeur heuristique pour comprendre ce qui se joue dans la relation ethnographique. Cette particularité a amené plusieurs anthropologues à expliciter des techniques d’enquête pour ce recours méthodologique suite à John Collier (1967), le premier à avoir souligné l’importance d’établir des protocoles systématiques de prises de vue. Plus récemment, Luiz Eduardo Achutti (2004) a préconisé la méthode de la photoethnographie, indiquant un ensemble de lignes de conduite à suivre, du premier contact sur le terrain jusqu’au développement des photographies. Un autre point commun entre photographie et ethnographie réside dans l’impossible neutralité de l’observateur sur le terrain, tel que l’ont remarqué plusieurs chercheurs. Tout comme le cinéaste, l’ethnographe photographe opère des choix de point de vue, de distance à l’objet, de cadrage, entre autres. De même, bien qu’elle demeure hors champ de l’image, sa présence dans la scène observée invite à mesurer son « degré d’influence » sur les personnes photographiées, comme le souligne Albert Piette (1992 : 6 ; § 14). Cette implication soulève la question de la mise en scène et plus précisément, de l’articulation entre la manière dont les personnes se donnent à voir et celle par laquelle l’anthropologue relaie cette visibilité (Conord 2007). En outre, la photographie relève d’une expérience sensible du terrain par le regard, le sens le plus mis en évidence dans la discipline quand il est question d’ethnographie (Laplantine 2007). Les prises de vues sur le terrain renvoient les interlocuteurs à d’autres situations impliquant des regards échangés et la circulation d’images. Cela invite alors à analyser le sens et les effets du regard et des images dans un contexte socio-culturel donné, et à prendre en compte la dimension vécue et affective de ces expériences (Rougeon 2015). En plus d’être un formidable instrument de recherche pour comprendre les logiques à l’œuvre dans la relation ethnographique, la photographie est d’une grande richesse pour interroger des thématiques telles que « les relations au semblable, au semblant, au dissemblant » (Laplantine 2007 : 48), la dimension spirituelle de la vie sociale, la mémoire, la généalogie et les liens de parenté, sans parler des esthétiques et des détails de la vie quotidienne. Comme pratique d’observation et de visualisation sur le terrain, elle permet de capter une réalité donnée pour ensuite la révéler, transformant le négatif d’une image en positif, pour reprendre l’analogie de Sylvain Maresca (1996). Le second aspect majeur du recours à la photographie en anthropologie apparaît alors : elle peut constituer une forme d’écriture pour la recherche. Les images ont une force narrative, employée au moment d’établir un récit ethnographique. Œuvrant à la description détaillée du social, les photographies permettent une « prise de note de ce qui se trouve dans le monde sous tous les angles possibles » (Piette 1992 : 4 – § 6), par le rapport qu’elles entretiennent au réel. La dimension indiciaire de ces images, leur puissance de désignation d’un objet provoque « un effet extrêmement fort de vérité et d’authenticité » (Garrigues 1991 : 18). Leur rapport à la réalité alimente des débats, et l’image fixe est tout à tour considérée comme une trace, une reproduction ou encore une transformation du réel (Maresca 1996). Par ailleurs, la photographie pose la question des rapports entre image et langage, objet de nombreuses réflexions dans la discipline. Si Barthes cherchait à déterminer si la photographie était un message codé ou non, un langage ou un signe (1980), des chercheurs en anthropologie y voient un moyen d’expression « peut-être infiniment plus complexe que le langage » (Garrigues 1991 : 50). D’autres mettent l’accent sur sa capacité à organiser la pensée de manière non discursive, participant à l’élaboration d’une pensée du sensible (Laplantine 2007). Ils signalent que la lecture des images se produit sur le mode de l’évocation et suscite des émotions particulières, mais aussi qu’elle permet de penser le terrain notamment à partir de ses non-dits et de ce qui excède le langage (Rougeon 2017). Dans ce sens, la photographie constituerait « un médiateur possible entre science et sensibilité » (Attané et al. 2008 : 10). Les critères déterminant le choix des images pour composer une narration ethnographique sont divers. La dimension plastique, le cadre et la composition des éléments graphiques comptent, mais l’attention porte surtout sur le potentiel à délivrer du sens par rapport à la thématique analysée. On distingue une diversité de démarches pour écrire le terrain, en agençant des photographies entre elles, et avec du texte. Certains chercheurs opposent les images et les mots comme régimes de narrativité et en soulignent la différence, afin de conserver le potentiel de chacun (Achutti 2004). D’autres explorent leurs complémentarités, proposant une « collaboration sémantique (…) au service de la narration anthropologique » (Attané et al. 2008 : 7). D’autres encore défendent l’idée selon laquelle une photographie ne saurait se suffire à elle-même (Conord 2002). Le texte qui peut accompagner une image ne relève pas de la pure information ni de quelque chose qui ramènerait forcément les images à une dimension illustrative, à condition que la démarche ait été explicitée auparavant et que l’articulation entre textes et images fasse sens. Dans cette perspective, il convient de situer le cadre de la prise de vue mais aussi de l’interaction, comme qui prend la photographie, où elle est réalisée et qui sont les personnes photographiées, l’image photographique étant indissociable de l’acte qui la fait advenir. Ce rapport entre le textuel et le visuel relève alors non pas d’une opposition mais d’un tissage, d’un dialogue qui tient compte de leur écart (Rougeon 2017). Avec cet engouement renouvelé pour la photographie en anthropologie, différents enjeux contemporains se dessinent. L’un d’entre eux concerne le rapport entre démarche scientifique et artistique, et pose la question de la créativité dans le processus de recherche. L’exploration des rapports entre régimes de narrativité par des photographes à la croisée des genres artistiques offre des pistes qui peuvent s’avérer fructueuses pour l’anthropologie, afin d’élaborer un récit ethnographique qui ne soit pas uniquement textuel (Rougeon 2017). Une telle discussion s’inscrit dans le débat actuel concernant les nouvelles écritures du terrain et de la recherche, pour renouveler le mode de connaissance produit dans la discipline. Dans une autre perspective, le rapport entre démarche scientifique et artistique peut donner jour à une lecture ethno-photographique des œuvres des photographes (Garrigues 1991). Enfin, la question de savoir si le photographe sur le terrain est l’ethnographe ou pas pèse fortement sur la méthode adoptée. Les chercheurs ont le choix entre de nombreux dispositifs, y compris sous la forme de collaborations avec des artistes. Cette pluralité est porteuse là aussi d’un potentiel de créativité important, qui invite l’anthropologie à prendre en compte d’autres manières d’envisager ce qu’est le terrain. Les horizons de recherche s’annoncent stimulants, la discipline ayant déjà montré, par le passé, la nécessité et la pertinence d’un décloisonnement des approches.
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Auger, Reginald, i Allison Bain. "Anthropologie et archéologie". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.030.

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Les parcours sinueux qu’ont suivis l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord depuis une cinquantaine d’années démontrent des intérêts convergents pour la connaissance et l’explication du comportement humain et cela avec des méthodes de recherche de plus en plus divergentes. L’anthropologie qui a émergé des milieux intellectuels aux États-Unis au XIXe siècle avait pour origine l’intérêt pour la compréhension des populations autochtones de l’Amérique; de cet intérêt pour l’humain, se sont développés des outils pour comprendre le comportement qui se cachait derrière le geste posé. Dès le début, l’anthropologue s’intéressait aux comportements et l’archéologue documentait les traces du geste posé. De cette proximité entre l’anthropologie et l’archéologie qui s’est concrétisée par la création du Bureau of American Ethnology à la fin du XIXe siècle, il était naturel de placer la formation en archéologie au sein de départements d’anthropologie dans les universités aux États-Unis et au Canada. Malgré l’apparence initiale d’un champ unifié et d’un terrain partagé entre l’anthropologie et l’archéologie, la pratique s’est transformée pour devenir tout autre au fil des ans. Au milieu du XXe siècle, l’archéologie commence à remettre en question sa relation avec les interprétations fonctionnalistes des anthropologues (Trigger 2006 : 363-372). La première figure à souligner le problème de l’inéquation entre les résultats de la recherche archéologique et la théorie en anthropologie fut Walter Taylor (1948) dans son livre A Study of Archaeology. Taylor, le relativiste, exposa son penchant pour le particularisme historique dans une approche qu’il identifie comme étant conjonctive; pour ce chercheur iconoclaste, l’historiographie comptait pour beaucoup. L’approche conjonctive consistait à établir des corrélations entre différents types de données dans des contextes historiques et culturels spécifiques afin de faire le pont entre des particularités historiques (les collections archéologiques) et des données anthropologiques. La méthodologie qu’il proposait impliquait la vérification d’hypothèses par l’analyse de la composition et de la structure des collections archéologiques. L’objectif central de cette approche visait à mettre de l’avant des études contextuelles détaillées qui permettraient d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques. Dans sa formulation de l’approche conjonctive en archéologie et la vérification d’hypothèses, Taylor reconnaissait qu’une réflexion critique était nécessaire puisque l'archéologue travaillait dans le présent. En dépit de la richesse des collections archéologiques et constatant le danger qui planait sur l’archéologie si nous avions continué à publier des listes d’attributs de nos objets au lieu d’interpréter la culture matérielle comme étant la trace du comportement humain, dans un geste de médiation entre l’anthropologie et l’archéologie, Binford (1962) publiait son article portant le titre Archaeology as Anthropology. Comme il le signale dans son introduction son article qui faisait suite à un ouvrage venant d’être publié par Willey et Phillips (1958) où l’on mentionne clairement que l’archéologie américaine « c’est de l’anthropologie ou rien du tout ». Ce geste d’éclat dans une période charnière de l’enseignement de l’archéologie dans les universités nord-américaines allait donner naissance à un nouveau paradigme que l’on appela la New Archaeology aussi connue sous le nom d’archéologie processuelle. Un tel changement de paradigme venait en contradiction avec les pratiques européennes en matière d’archéologie préhistorique, notamment celles de l’École de Bordeaux et de François Bordes, son membre le plus influent, qui avait réussi à imposer sa vision sur le sens de la variabilité des outils en pierre du paléolithique moyen (Bordes 1961; 1984). Dans sa thèse de doctorat intitulée The Bordes-Binford Debate: Transatlantic Interpretive Traditions in Paleolithic Archaeology, Melissa C. Wargo (2009) présente une analyse en profondeur des modes de pensée qui diffèrent entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Essentiellement, le raisonnement traditionnel voulait que l’apparition d’une nouvelle culture archéologique (de nouveaux types) puisse signifier la manifestation d’un nouveau groupe de personnes, un groupe ethnique détectable avec les outils de l’archéologie. C’est ce que nous apprenions à la lecture des travaux de François Bordes sur les changements technologiques observés au paléolithique moyen. Lorsque Binford est parvenu à étudier les mêmes collections, il proposa des interprétations toutes autres. Ainsi, alors que pour Bordes, des outils différents représentent des groupes différents; si l’ensemble de l’assemblage ne peut être attribué à un groupe avoisinant, peut-être alors que certains éléments peuvent l’être. Et si de tels parallèles peuvent être établis, l’approche de Bordes a pour corollaire que c’est là le lieu d’origine de la population à l’étude et que nous serions en présence d’une diffusion de traits culturels à partir de la migration d’un groupe ethnique. Pour Binford, la différence dans la composition des assemblages devrait plutôt être interprétée comme étant le résultat d’adaptations; pour ce chercheur, les assemblages archéologiques sont des coffres d’outils adaptés pour une fonction particulière. Nonobstant la grande quantité de statistiques accumulées, Binford, de son propre aveu, admit qu’il fut incapable d’expliquer ce qu’elles signifiaient. En d’autres mots, il avait beaucoup d’information sur le présent mais ne pouvait l’expliquer par manque d’analogie avec le passé. En dépit de ces différences d’opinion, l’utilité de la typologie de Bordes réside dans le fait qu’elle fournissait un langage descriptif; cette typologie a cependant été par la suite rejetée par certains chercheurs qui considéraient que la définition des types de François Bordes était inadéquate parce que trop subjective. Pire encore, Bordes a été accusé d’incorporer dans ses interprétations des hypothèses non vérifiées sur les capacités cognitives des hominidés durant le paléolithique moyen. De nos jours, nos analyses de la technologie visent à remplacer cette approche typologique de Bordes par une méthode s’appuyant sur la combinaison d’attributs dont la description porte davantage sur le comportement. De toute évidence, le débat entre le promoteur de la New Archaeology et la figure de proue de l’archéologie française et son approche taxonomique en pierre a permis de mettre en évidence un malaise profond sur la façon dont le passé devrait être interprété. Ce débat est aussi emblématique de traditions scientifiques différentes entre l’Europe et l’Amérique du Nord. C’est dans ce contexte intellectuel que sont nés des départements d’anthropologie associant l’anthropologie culturelle, l’anthropologie biologique, la linguistique et l’archéologie. Ces quatre champs sont apparus à des moments bien précis de l’histoire des universités nord-américaines mais de nos jours, la réalité de l’anthropologie est devenue beaucoup plus complexe (Bruner 2010). Un étudiant en archéologie peut avoir des besoins de formation en géographie, en histoire, en géologie, en botanique, en biologie, en ethnohistoire, en systèmes d’information géographique, en informatique, etc. alors qu’un étudiant en anthropologie pour atteindre un niveau de compétence élevé pourrait avoir besoin de formation en histoire, en science politique, en sociologie, en art, en littérature, en théorie critique, etc. Malgré que les besoins aient grandement changé depuis la création des départements d’anthropologie, les structures académiques sont demeurées statiques. La protection des départements d’anthropologie dans leur configuration actuelle des quatre champs relève le plus souvent des politiques universitaires. Ainsi, même si les professeurs étaient d’accord qu’il serait intellectuellement plus profitable de scinder ces gros départements, la question de diviser les départements d’anthropologie en unités plus petites qui feraient la promotion de l’interdisciplinarité dans les sciences humaines et sociales n’est pas envisagée dans la plupart des universités nord-américaines (Smith 2011). Au milieu de cette tourmente, se sont développés un certain nombre de départements et de programmes d’archéologie en Amérique du Nord. De là est née une discipline émancipée du joug des structures trop rigides et se donnant un ensemble de méthodes de recherche qui lui étaient propres. La trajectoire conceptuelle empruntée par ceux-ci a permis de remonter au-delà du geste et de la parole en retenant une classe cohérente de concepts explicatifs développés, certes en anthropologie, mais raffinés et adaptés au contact de l’archéologie et d’autres disciplines en sciences humaine et sociales et sciences de la nature. Cette indépendance intellectuelle de l’anthropologie s’est notamment affirmée par des collaborations entre l’archéologie et la philosophie des sciences (Kelly et Hanen 1988; Salmon 1982; Wylie 2002; Wylie et Chapman 2015). La croissance de l’intérêt pour les explications processuelles des données archéologiques chez plusieurs archéologues nord-américains fut motivée par le fait que les néo-évolutionistes en anthropologie mettaient trop l'accent sur les régularités dans les cultures. Les concepts utilisés en archéologie processuelle exerçaient une influence significative sur notre discipline et l’adoption de cette approche théorique était d’autant plus attrayante car les variables proposées se présentaient comme des causes majeures de changements culturels et relativement accessibles à partir des vestiges archéologiques. Cette approche s'intensifia et donna de nouvelles directions aux tendances déjà présentes en archéologie préhistorique. Dans ce changement de paradigme qui donna naissance au courant de la Nouvelle Archéologie en Amérique du Nord et à un moindre degré au Royaume-Uni, l’accent était placé sur la vérification d’hypothèses sur les processus culturels comme outils d’explication du passé. De la position qu’elle occupait comme l’un des quatre sous-champs de l’anthropologie ou encore, de celle de servante de l’histoire, l’archéologie est devenue l’un des plus vastes champs du monde académique (Sabloff 2008 : 28). En plus d’avoir trouvé son ancrage théorique dans les sciences sociales et humaines, l’archéologie, attirée par les techniques et méthodes fraie régulièrement avec les sciences physiques et les sciences de la nature. En se donnant ses propres méthodes de collecte et d’analyse pour l’examen de cultures distinctes et en poursuivant avec des comparaisons interculturelles, la discipline cherchait à mieux comprendre les cultures qui se sont développées à travers le temps et l’espace. Puisque l’objet d’étude de l’archéologie porte sur les traces de groupes humains dans leur environnement naturel et leur univers social, les questions qu’elle se pose sont fondamentales à l’histoire de l’humanité et pour répondre à de telles questions elle s’est dotée de méthodologies d’enquête qui lui sont propres. L’utilisation d’équipements sophistiqués pour déterminer la composition chimique des résidus lipidiques incrustés sur un outil en pierre taillée ou encore, les recherches sur la composition physico-chimique de la pâte d’une céramique sont des techniques visant à répondre à des questions d’ordre anthropologique. Le quand et le comment du passé sont relativement faciles à identifier alors que pour découvrir le pourquoi l’archéologue fait souvent appel à l’analogie ethnographique, une méthodologie issue de l’insatisfaction des archéologues à l’endroit des travaux en anthropologie culturelle (David et Kramer 2001). Une autre méthodologie est celle de l’archéologie expérimentale qui s’intéresse à la fabrication et à l’usage des outils (Tringham 1978), méthode similaires à celle de l’ethnoarchéologie. L’expérimentation à partir d’outils fabriqués par le chercheur et les banques de données provenant d’expérimentations contrôlées servent alors d’éléments de comparaison pour interpréter la forme des assemblages archéologiques (Chabot et al. 2014) est au centre de la méthode préconissée. Le développement de l’ethnoarchéologie durant les années 1970 aurait inspiré Binford (1981) lorsqu’il mit de l’avant l’utilisation de théories de niveau intermédiaire pour établir un lien entre ses données archéologiques et les théories de niveau supérieur sur le comportement. Sa décision semble avoir reposé sur les développements de l’approche ethnoarchéologique et ses propres terrains ethnoarchéologiques chez les Nunamiut de l’Alaska (Binford 1978). D’autres orientations théoriques ont vu le jour au cours des années 1960–1970 et ont fait la distinction entre différentes approches matérialistes par rapport à des schémas évolutionnistes antérieurs. Par exemple, Leslie White (1975) adopta une forme de déterminisme technologique très étroit qui reflétait une croyance en la technologie comme source de progrès social. Julian Steward (1955) envisagea un déterminisme écologique moins restrictif alors que Marvin Harris (1968) y voyait un déterminisme économique encore plus large. Pour ces quelques positivistes le rôle que l’archéologie se devait de jouer était d’expliquer la culture matérielle du passé. Quant à l’archéologue Lewis Binford (1987), il soutenait que l’étude des relations entre le comportement humain et la culture matérielle ne devrait pas être le rôle central de l’archéologie puisque selon lui, les données ne contiendraient aucune information directe sur les relations entre le comportement humain et la culture matérielle. Dorénavant, les données archéologiques se devaient d’être comprises par elles-mêmes, sans avoir recours à des analogies ethnographiques. Cette dernière approche voulait clairement établir de la distance entre l’archéologie, l’anthropologie culturelle, l’ethnologie et peut-être les sciences sociales en général ; son mérite était peut-être, justement, d’éviter les réductionnismes et les analogies rapides entre explications anthropologiques et assemblages archéologiques. Dans la même veine, d’autres remises en question sont apparues durant les années 1980 avec les travaux d’Ian Hodder (1982; 1985) sur la validité des certitudes positivistes qui avaient été le fonds théorique et empirique des adeptes de la New Archaeology. Depuis cette réflexion sur l’essence même de l’archéologie, Hodder a reconnu qu’une position critique est fondamentale face à l’objet d’étude; naquit alors le courant théorique post-processuel en archéologie. Dans son cheminement pour découvrir la signification des vestiges qu’elle étudie, l’archéologie post-processuelle s’appuie sur des études détaillées permettant d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques en exploitant la diversité des sources; cette direction du courant post-processuel en archéologie porte le nom d’archéologie contextuelle. Comme tout changement de paradigme apporte avec lui son lot de détracteurs, l’archéologie post-processuelle a été immédiatement accusée d’une trop grande subjectivité interprétative voire, de déconstructionisme. Les autres orientations placées sous le label archéologie post-processuelle incluent : le structuralisme, le néo-marxisme, l’archéologie cognitive, la phénoménologie, et d’autres encore Ainsi l’individu, l’agent ou l’acteur et son intentionnalité devrait être au centre des interprétations dans la théorie post-processuelle. Nous pouvons conclure que l’examen de la relation entre l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord a permis de constater que, depuis ses débuts, l’archéologie dans cette région du monde a vécu une liaison relativement tumultueuse avec l’anthropologie. Cette condition, souvent problématique, a vu naître, au Canada d’abord, des groupuscules d’archéologues avec des intérêts divergents qui se sont distanciés des paradigmes qui dominaient les départements d’anthropologie pour former des départements d’archéologie ou des programmes d’archéologie autonomes des programmes d’anthropologie. Sur les chemins empruntés ces nouveaux départements sont entrés en relation avec les départements de sciences naturelles, notamment, la géographie, avec laquelle les archéologues ont partagé un ensemble de concepts et de méthodes. Il en a résulté un enseignement de l’archéologie nettement interdisciplinaire et faisant appel à des méthodes quantitatives pour comprendre la culture matérielle dans son environnement naturel et expliquer son milieu culturel à partir de concepts empruntés aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences naturelles.
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