Artykuły w czasopismach na temat „Budget de méthane”

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Tastemain, Catherine. "Du budget aux restructurations: la méthode Allègre". Biofutur 1997, nr 172 (listopad 1997): 4. http://dx.doi.org/10.1016/s0294-3506(97)89022-9.

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Hackel, Megan, Irène Samson i Marie-Claude Lallier Beaudoin. "L’organisation, l’élément clé pour un coaching efficace". Gestion Vol. 49, nr 1 (19.03.2024): 106–9. http://dx.doi.org/10.3917/riges.491.0106.

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Les organisations consacrent en moyenne entre 1 et 5 % de leur budget annuel au développement de leurs employés. Pour de nombreuses entreprises, le coaching représente la méthode d’apprentissage tout indiquée. Mais comment s’assurer que cette démarche connaisse du succès ?
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KATUMBA, Guy-Sylvain MUKENGE. "APPORT DE LA LOI N°11/011 DU 13 JUILLET 2011 RELATIVE AUX FINANCES PUBLIQUES (LOFIP) SUR LE BUDGET DE L’ETAT EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO". IJRDO - Journal of Business Management 8, nr 8 (5.08.2022): 1–11. http://dx.doi.org/10.53555/bm.v8i8.5218.

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Les finances publiques de la République Démocratique du Congo sont régies par la Loi N°11 /011 du 13 juillet 2011 relative aux Finances Publiques « LOFIP en sigle). Qui est le fruit de la réforme des Finances Publiques entreprise par le pays en raison de nombreuses faiblesses de gestion dans ce domaine, cette loi enterre la loi financière n°83-003 du 23 février 1983, telle que modifiée et complétée par l’ordonnance-loi n°87-004 du 10 janvier 1987. Cet article a pour objectif de faire une démonstration sur les nouveautés de la Loi N°11/011 du 13 juillet 2011 relative aux Finances Publiques sur le budget de l’Etat. Pour y parvenir, nous avons utilisé la méthode comparative nous a permis de jeter un regard comparatif sur l’ancienne loi qui régissait le budget de l’Etat par le passé et la nouvelle loi relative aux finances publiques. Quant à la méthode analytique, elle a été utilisée pour analyser de fond à comble, l’apport de l’actuelle loi relative aux finances publiques sur le budget de l’Etat. La technique documentaire a consisté à étudier et analyser les différents documents ouvrages, textes légaux et règlementaires ayant rapport direct avec notre étude.
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Grandazzi, Alexandre. "Un discours pour une méthode". Bulletin de l'Association Guillaume Budé 1, nr 2 (2000): 140–56. http://dx.doi.org/10.3406/bude.2000.1986.

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Kabore, Prosper, Amadou Outtara, Salfo Ilboudo i Adama Savadogo. "Contribution du Sponsoring Sportif dans le Processus D’autonomisation Financière des Clubs de Football de Première Division au Burkina Faso de 2018 à 2020". European Scientific Journal, ESJ 18, nr 25 (31.08.2022): 94. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n25p94.

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L’objectif de cette recherche était d’analyser la contribution du sponsoring sportif dans le processus d’autonomisation des clubs de football de première division au Burkina Faso de la période 2018 à 2020. Les données ont été collectées auprès des structures sportives puis traitées et analysées à l’aide de méthode des moindres carrés ordinaires (MCO) des données de panel avec le logiciel Stata 14. Les résultats des estimations montrent que les recettes du sponsoring sportif influencent positivement et significativement le budget des clubs de football de première division au Burkina Faso. Ainsi, une hausse d’un point de pourcentage des recettes du sponsoring entraine une augmentation du budget des clubs de première division de 0,02 point de pourcentage au seuil de 5%. The objective of this research was to analyse the contribution of sports sponsorship in the empowerment process of first division football clubs in Burkina Faso from 2018 to 2020. The data were collected from the sports structures and then processed and analysed using the ordinary least squares (OLS) method of panel data with Stata 14 software. The results of the estimations show that sports sponsorship revenues positively and significantly influence the budget of first division football clubs in Burkina Faso. Thus, a one percentage point increase in sponsorship revenues leads to a 0.02 percentage point increase in the budget of first division clubs at the 5% threshold.
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DJEMACI, Brahim, i Najib NOURDDINE. "La revalorisation de taxes locales via le consentement à payer : cas de la taxe d’enlèvement des ordures ménagers en Algérie". Dirassat Journal Economic Issue 9, nr 2 (1.06.2018): 05–19. http://dx.doi.org/10.34118/djei.v9i2.178.

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Le mode de tarification du service de déchets ménagers adopté par l’État algérien est basé sur une taxe forfaitaire (TEOM, la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères) payée par les usagers. Dans la plupart des cas, les municipalités font appel au budget général pour assurer le recouvrement des dépenses relatives au service des déchets suite à la recette insuffisante de cette taxe. Cette étude vise à revaloriser la TEOM sur la base du consentement à payer (CAP) des ménages. Nous avons utilisé la méthode d’évaluation contingente avec une régression sur données d’intervalles sur un échantillon de 444 ménages. L’estimation donne un CAP annuel moyen de 1390 dinars par ménages et que les facteurs influençant ce montant sont le revenu, l’âge, la taille du foyer et la satisfaction de service des déchets.
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FOKA TAGNE, Alain Gilles, Nestor Magloire LETSINA, David Claude NOUHOU NKENGANG i Aurélien FOMEKONG NOUBOSSE. "Rôle des outils de contrôle de gestion dans l’amélioration de la performance organisationnelle des entreprises au Cameroun". Journal of Academic Finance 12, nr 2 (31.12.2021): 103–23. http://dx.doi.org/10.59051/joaf.v12i2.491.

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Objectif : L’engagement d’une entreprise à atteindre l’excellence est largement déterminée par l’utilisation des outils de contrôle de gestion mis en place (Ngo Biheng et al., 2020). Dans ce contexte, l’objectif de cet article est d’analyser l’effet de l’utilisation des outils de contrôle de gestion mise en place par les entreprises sur leur performance organisationnelle au Cameroun. Méthode : Pour y parvenir, nous exploitons les données collectées via un questionnaire au cours de la période 2019, sur un échantillon de 77 entreprises exerçant leurs activités au Cameroun. Concernant les outils statistiques, nous avons utilisé les tris à plats pour la description des variables qualitatives de l’étude, les caractéristiques de tendance centrale et de dispersion pour les variables quantitatives de l’étude, l’Analyse en Composantes Principales (ACP) pour calculer les indices synthétiques de la performance organisationnelle, du budget et du tableau de bord prospectif. Pour étudier la relation existante entre les outils de contrôle de gestion et la performance organisationnelle des entreprises on a eu recours à la méthode des Moindres Carrés Ordinaires. Résultats : Dans l’ensemble, les résultats indiquent que le tableau de bord prospectif fait partie des outils du contrôle de gestion qui améliorent le plus la performance organisationnelle des entreprises contrairement à l’utilisation du budget qui bien qu’utiliser par 58,5% des entreprises de l’échantillon n’influence pas significativement la performance organisationnelle des entreprises au Cameroun. Originalité/Pertinence : Bien que la relation entre les outils du contrôle de gestion et la performance organisationnelle ait été mise en avant dans la littérature, il reste que très peu de travaux ont été réalisés dans le contexte camerounais. Le bilan de ces travaux empiriques aboutit à des conclusions nuancées, parfois contradictoires et n’apporte pas de connaissances cumulatives et généralisables. Notre étude devrait contribuer au débat relatif à la relation entre les outils du contrôle de gestion et la performance organisationnelle dans les entreprises. Contributions sociales/de gestion : La contribution de cette étude est importante dans la mesure où l’utilisation des outils de contrôle de gestion à l’instar du tableau de bord prospectif permet aux responsables de l’entreprise de s’approprier des objectifs stratégiques et de stimuler par la suite leur processus d’apprentissage organisationnel.
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Ba Diao, Maty, C. D. Senghor, B. Diao i Eric Thys. "Production et transformation du lait en région agropastorale au Sénégal : cas de la zone périurbaine de Kolda". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, nr 3 (1.03.2002): 221. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9826.

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Au Sénégal, l’installation d’étables laitières privées autour des grands centres urbains a été encouragée depuis 1982. Ceci fut également le cas dans la région de Kolda. Dans le but d’analyser la filière, une étude a été réalisée de mai à septembre 2000, combinant la méthode de budget partiel au niveau de la production et un diagnostic participatif impliquant 114 intervenants pour analyser les différentes composantes de la filière. En dépit de plusieurs années de vulgarisation, seulement 3 p. 100 des vaches laitières ont été concernées par la stabulation partielle de saison sèche. L’analyse du budget partiel a pourtant montré que l’opération était rentable, laissant, après soustraction de la valeur de l’autoconsommation, un disponible de 17 532 Fcfa ou de 8 907 Fcfa par vache, selon que le producteur commercialisait le lait lui-même ou non. La majorité de la production est passée par le système traditionnel de transformation (lait caillé et huile de beurre). Les unités de transformation artisanales de la région, dont une fromagerie, n’auraient ainsi drainé que 13 p. 100 de la production de la saison sèche et 8 p. 100, de celle de la saison des pluies. La fraîcheur des produits pasteurisés de ces unités ne pouvait être garantie au-delà d’une semaine ce qui a limité l’accès aux grands marchés. A chaque échelon, les contraintes et les opportunités ont été analysées afin d’améliorer la dynamique de la filière lait.
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BENOUMELDJADJ, Maya. "Sophie Alami, Dominique Desjeux, Isabelle Garabuau Moussaoui. Les méthodes qualitatives.ISBN 978-2-13-081715-4. Édition 2019, 123p." URBAN ART BIO 1, nr 2 (6.08.2022): 106–8. http://dx.doi.org/10.35788/uab.v1i2.29.

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Alami, Dominique Desjeux, Isabelle Garabuau constitue un condensé de connaissances scientifiques sur les méthodes qualitatives, Bien que centré sur une variété d’enquêtes appliquées de terrain, l'ouvrage relate le fruit d’une recherche menée par trois chercheurs abordant la liaison entre l’exploration méthodologique, la découverte intellectuelle et le passage à l’action. Trois objectifs tracés dans cet ouvrage ; le premier est de fournir une aide aux sociologues et anthropologues pour un triptyque : temps, budget et méthode, le second objectif est d’apprendre la réalisation d’une enquête suite à la demande du client, et le troisième objectif est d’apprendre à mobiliser les techniques de recueils des différents types d’informations. Les demandes institutionnelles et celles des entreprises ont nourri l’idée de consommation en masse, après les études quantitatives, une étude qualitative est apparue en France à la fin des années 1980. Les enquêtes qualitatives permettaient d’appréhender plus finement l’écart entre la parole, la pensée et l’acte des consommateurs, elles sont mobilisées comme méthodes exploratoires d’un phénomène social émergent une nouvelle technologie, un usage sociétal innovant. En revanche, la pertinence des méthodes qualitatives diminue là où augmentent celles des approches quantitatives. La méthode est plus ou moins fiable, valide ou pertinente, tout en dépendant des contraintes d’observation rencontrées dans la réalité. Se positionner sur une échelle d’observation permet de préciser le type de résultats que l’on peut produire et aussi selon l’échelle que l’on choisit ; microsociale, méso sociale, ou micro-individuelle.
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Jacobs, Philip, Edward M. Hall, Judith R. Lave i Murray Glendining. "Projet de financement des soins de courte durée de l'Alberta". Healthcare Management Forum 5, nr 3 (październik 1992): 12–20. http://dx.doi.org/10.1016/s0840-4704(10)61211-2.

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En 1988, l'Alberta a créé le Acute Care Funding Project (ACFP), un nouveau système de financement des hôpitaux qui institue des redressements budgétaires du budget global pour favoriser l'équité entre les hôpitaux. En principe, l'initiative marque un écart significatif par rapport à l'ancienne méthode de financement. L'ACFP a subi des changements substantiels pendant le mécanisme de développement. L'ACFP est résumé et critiqué, et l'on insiste sur l'aspect interne de la situation. Divers éléments du projet font l'objet de discussions, comme l'indicateur de rendement hospitalier, la mesure de rendement hospitalier, le groupe amélioré de diagnostic connexe, les facteurs de pondération de cas, les cas typiques et limites et les mécanismes d'établissements des coûts. Depuis sa mise en oeuvre, on a apporté des changements substantiels à l'ACFP; on traite de ceux-ci, de même que certains des problèmes qui restent à régler. Dans l'ensemble, le système offre des encouragements pour réduire le séjour et augmenter l'efficacité des soins internes.
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Feurer, Denis, Mohamed Amine El Maaoui, Mohamed Rached Boussema i Olivier Planchon. "Méthode opérationnelle de production d'orthophotos et de MNT décimétriques à l'échelle du kilomètre carré par cerf-volant". Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, nr 213 (26.04.2017): 43–53. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.190.

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Tous vecteurs confondus, ce sont les drones, notamment les multirotor, qui ont connu le plus fort développement pour l'acquisition d'images aériennes durant les cinq dernières années. L'imagerie accessible par ce type de plate-forme répond à un besoin de cartographie à une échelle intermédiaire entre l'imagerie submétrique (satellite à très haute résolution spatiale ou vecteurs aériens comme les ULM et certains drones) et l'imagerie acquise à très basse altitude à des résolutions parfois inférieures au centimètre. Par son prix élevé, l'imagerie submétrique aérienne et satellitaire laisse un grand nombre de besoins sans réponse acceptable. Parmi eux, citons l'imagerie à petit budget demandée par les collectivités locales ou les suivis denses (en particulier temporels). Finalement, la réglementation récente a encadré les vols drones de manière très contraignante, mettant virtuellement hors-la-loi tous les acteurs occasionnels d'imagerie par drone.L'objectif de cette communication est de présenter une méthode simple, opérationnelle et à bas coût pour la prise de vue aérienne. Il s'agit d'utiliser le cerf-volant comme vecteur alternatif aux aéronefs sans pilote. Le cerf-volant (avec le ballon) fait partie des premières plates-formes utilisées historiquement pour la photographie aérienne. Il a connu un regain d'intérêt depuis les années 70-80 avec de nombreuses applications en archéologie et la disponibilité depuis les années 2000 de capteurs et logiciels abordables et performants le rend plus attractif encore. La méthode proposée ici permet la cartographie de superficies dépassant le kilomètre carré à une résolution décimétrique. Elle présente un certain nombre d'atouts, comme le coût modique de la plate-forme et la capacité de voler sur une très large plage de vents (de 5 à 40km/h), un cerf-volant de six à dix mètres carrés ayant la même charge utile qu'un drone pour une autonomie supérieure. Enrevanche, la principale difficulté de mise en oeuvre opérationnelle du cerf-volant pour la cartographie par image aérienneest le manque de contrôle du vecteur, ce qui pose quelques verrous au niveau de l'acquisition et du traitement des données.Nous présentons dans cette communication les avancées méthodologiques réalisées afin de dépasser ces limites.Nous détaillons tout d'abord la méthode d'acquisition développée et le mode opératoire mis en oeuvre pour obtenir des jeux de données image permettant la cartographie opérationnelle de zones d'intérêt. Ensuite, nous présentons les traitements effectués à l'aide de logiciels désormais abordables qui permettent le calcul de l'aérotriangulation et de la corrélation dense sur plusieurs centaines d'images. Nous présentons enfin les résultats obtenus sur des exemples d'applications en conditions réelles afin de discuter du potentiel et des limitations de cette méthode, proposée comme alternative aux solutions existantes.
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Sabourin, Eric, Catia Grisa, Paulo Niederle, Sergio Pereira Leite, Carolina Milhorance, Angela Damasceno Ferreira, Sérgio Sauer i José Milton Andriguetto-Filho. "Le démantèlement des politiques publiques rurales et environnementales au Brésil". Cahiers Agricultures 29 (2020): 31. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020029.

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L’article traite des modalités du démantèlement récent des politiques publiques rurales et environnementales avec un recul de quelques années, en mobilisant l’examen de plusieurs volets : le foncier, l’agriculture familiale, le développement territorial rural, l’agroécologie et l’environnement. L’analyse porte sur les trois derniers gouvernements (Rousseff, Temer et Bolsonaro), à partir de l’approche du démantèlement de politiques publiques de Bauer et al. (Bauer MW, Jordan A, Green-Pedersen C, Heritier A. 2013. Dismantling public policy: preferences, strategies and effects. Oxford: Oxford University Press. DOI: 10.1093/acprof:oso/9780199656646.001.0001). La méthode associe l’analyse documentaire des textes officiels, les statistiques portant sur les budgets et des entretiens auprès de décideurs et gestionnaires de ces politiques conduits dans le cadre de recherches initiées depuis 2012. Les transformations observées suggèrent l’intégration de différentes stratégies de démantèlement des politiques publiques, surtout depuis 2019. Moins utilisés durant les gouvernements Rousseff et Temer, ces mécanismes sont particulièrement mis en œuvre dans le cadre conservateur et belligérant du gouvernement Bolsonaro, dont la base politique répond positivement à la destruction des dispositifs de régulation de l’État.
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EL BETTIOUI, RACHID, Said AKRICH i Anouar BEN DAHHANE. "Bonne gouvernance participative de la collectivité territoriale et communication publique externe : Quelle relation ?" Journal of Academic Finance 11, nr 1 (30.06.2020): 86–103. http://dx.doi.org/10.59051/joaf.v11i1.377.

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La bonne gouvernance soulève, ces dernières années, un vif intérêt dans la sphère politique, économique et sociale. En plus, les événements que connaît le monde actuellement et les crises qui frappent plusieurs pays nous montrent clairement l’importance de la question qui est devenue un sujet d’actualité préoccupant le monde entier. La communication publique est un moyen de premier plan de la bonne gouvernance locale. Elle participe à l'amélioration de la qualité du service public fourni au citoyen par le renforcement de l'efficacité, la transparence et la cohérence des politiques publiques. Le présent article vise la mise en exergue de la relation entre la communication publique et la bonne gouvernance en adoptant une méthodologie mixte qui s’appuie sur une enquête quantitative menée auprès d’un échantillon composé de 250 citoyens résidant à la commune urbaine de Sidi Ifni et 10 associations actives dans la même commune. Un échantillonnage empirique pour les citoyens et l’échantillonnage aléatoire simple pour les associations ont été menés. La collecte de données s’est basée prioritairement sur le questionnaire et un complément d’informations a été obtenu via des entretiens directs avec les chefs de services de la commune et les présidents des associations locales. Les données sont analysées par la méthode univariée, ensuite, l’analyse multivariée et enfin l’analyse factorielle des correspondances. Les principaux résultats de cette recherche est que les habitants et la société civile ne sont pas bien informés des activités de la collectivité territoriale. Leur satisfaction de la gouvernance de leurs gouvernants est tributaire de leur concertation dans les prises des décisions stratégiques, entre autres, la gestion participative du budget local et l’élaboration du plan communal de développement.
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BOURRION, B., L. GUERRIER, F. PINSARD, S. MAHUT, L. DEVILLERS i M. FRANCOIS. "GLYCEMIES A JEUN VEINEUSES POTENTIELLEMENT INADAPTEES DANS LE SUIVI DU DIABETE : QUEL COUT EN FRANCE EN 2018 ?" EXERCER 33, nr 182 (1.04.2002): 148–54. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2022.182.148.

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Introduction. Le diabète touche plus de 3,3 millions de Français. Son coût représente près de 10 milliards d’euros par an, dont 250 millions en analyses de biologie médicale. Selon les recommandations, le suivi de l’équilibre glycémique s’effectue sur l’hémoglobine glyquée (HbA1c) et non sur la mesure de la glycémie à jeun au laboratoire (GAJ). Pourtant, il semble que beaucoup de GAJ soient prescrites chez les patients diabétiques. Objectif. Évaluer le coût des GAJ potentiellement inadaptées en ambulatoire chez les patients diabétiques. Méthode. La base de données de l’Échantillon généraliste des bénéficiaires (EGB) a été utilisée pour inclure les patients diabétiques au 1er janvier 2018. Les GAJ dosées en 2018 ont été recherchées. Pour chaque GAJ, une pratique d’autosurveillance glycémique (ASG) et, en fonction, une Hba1c prescrite de manière synchrone ou la prise d’un traitement à risque d’hypoglycémie étaient recherchées afin de repérer les GAJ justifiées. Elles correspondaient soit à une GAJ annuelle pour contrôler le bon fonctionnement du matériel d’ASG, soit aux GAJ dosées seules pour la recherche d’une hypoglycémie iatrogène en l’absence d’ASG. Le coût d’une GAJ a été utilisé pour obtenir le coût global sur l’EGB puis sur la population française. Résultats. 40 656 patients diabétiques ont été inclus et 66 874 GAJ ont été prescrites, dont 52 771 (78,9 %) étaient potentiellement inadaptées. Ceci représentait un coût de 71 240 € pour l’EGB, soit près de 7 millions d’euros pour la population française. Conclusion. Ce coût ne représente qu’une infime partie du budget de la santé. Cependant, l’impact iatrogénique de la répétition des GAJ potentiellement inadaptées n’ayant pas été étudié, il serait intéressant d’étudier l’enjeu de la multiplication de ce test chez les patients atteints de diabète de type 2.
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BASTIN, O., E. DUPONT, C. VINCKE, J. M. COMPERE, M. BEROS i C. DIDY. "Risques et vulnérabilités climatiques des ouvrages du secteur de l’eau en Wallonie". 3 3 (21.03.2022): 33–48. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202203033.

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"Complexe et inclusive aux enjeux globaux, la lutte contre les changements climatiques est au coeur des préoccupations scientifiques, économiques, sociales, politiques et géopolitiques. Nous regardons désormais sous un angle nouveau tout ce qui nous entoure. Les récurrents rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et les intempéries inédites de juillet 2021 confirment l’importance de construire une approche nouvelle pour rendre les ouvrages dans le secteur de l’eau plus résilients. Dès 2019, une étude des risques et vulnérabilités climatiques a ainsi été entreprise pour les ouvrages d’assainissement et de démergement (dispositifs mis en oeuvre pour évacuer les eaux afin de prévenir les inondations dues aux affaissements miniers), ainsi que pour les installations de production et de distribution d’eau potable en Wallonie (Belgique). Les objectifs poursuivis étaient de fournir un outil d’aide à la décision ainsi que proposer des mesures susceptibles d’être intégrées dans les différents projets collaboratifs du secteur. Tout en respectant la méthode promue par la Banque européenne d’investissement, la prise en compte d’exigences particulières au projet a requis l’application d’une approche innovante et participative : collaboration sectorielle entre les acteurs de l’assainissement/ démergement (SPGE et organismes d’assainissement agréés) et de l’eau potable (SWDE, CILE et InBW). Cela dans le but de réaliser une étude inédite à l’échelle d’une région et impliquant différents acteurs, dans des délais et budgets raisonnables. Le secteur de l’eau présente en effet certaines spécificités : outre son indispensable continuité de service tant sanitaire qu’environnemental et sociétal, il est également fortement soumis aux aléas et connecté avec le milieu naturel. Sur la base des risques identifiés comme significatifs en fonction des sous-secteurs et des cas (inondations, précipitations abondantes, fortes chaleurs et sécheresses), les options d’adaptation proposées au terme de l’étude démontrent la nécessaire collaboration entre les acteurs du cycle anthropique (dont ceux cités ci-avant) et naturel de l’eau, pour renforcer les dispositifs et leur succès."
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Gow, James I. "L'histoire de l'administration publique québécoise". Dossiers 16, nr 3 (12.04.2005): 385–411. http://dx.doi.org/10.7202/055704ar.

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Depuis quelques années, on constate un regain d'intérêt pour l'histoire administrative dans les pays occidentaux, non seulement à cause de l'intérêt intrinsèque de la matière, mais aussi parce que l'histoire se révèle bon maître en science politique et administrative. Parmi les grandes questions qui se posent, tant aux citoyens du monde contemporain qu'aux chercheurs des sciences sociales, se trouve la question de l'inévitabilité de la grande organisation et de ses suites, à savoir son mode de fonctionnement bureaucratique ainsi que sa technostructure. Les immenses difficultés rencontrées dans le « développement » des pays du tiers monde ont eu comme conséquence, entre autres, de forcer les spécialistes de questions administratives à revoir leur science dans l'espoir de trouver dans le contexte politique, social et économique des facteurs d'explication trop longtemps négligés en Occident. On interroge l'histoire du développement des administrations des pays occidentaux afin de mieux comprendre les problèmes théoriques et pratiques posés par le développement ailleurs aujourd'hui. Si l'histoire administrative est peu développée la raison semble en être: «... la nature même du fait administratif qui est diffus au sein des activités humaines, intermédiaire entre projet et réalisation, entre politique et technique...» Phénomène diffus, mais cependant universel, l'administration se prête aussi à la controverse. Depuis des grands noms tels Max Weber et Karl Marx on propose des modèles contradictoires, les uns s'arrêtant aux aspects fonctionnels ou dysfonctionnels de la bureaucratie, les autres analysant surtout la place des fonctionnaires par rapport aux classes dominantes. Pour nous, l'histoire administrative ne peut être distinguée de l'histoire politique ; qui plus est, en tant que reflet de la vie politique, économique et sociale, l'histoire administrative se révèle même «un élément d'explication capitale» de cette dernière. Quels sont les faits administratifs que l'on peut interroger? En général, on peut s'intéresser aux textes (lois, règlements, rapports, etc.), aux personnes, (fonctionnaires, individus ou groupes), aux missions (tant de l'État que de l'administration) et au fonctionnement de l'administration (prise de décision, science administrative, etc.). D'après une conception étroite, l'administration n'est que la préparation et la mise en application des décisions de l'autorité politique. Par ailleurs, on peut aussi affirmer que «rien n'est étranger à l'histoire de l'Administration... », adoptant ainsi une conception large.'' Le choix des faits à privilégier reflète aussi bien l'approche méthodologique que théorique que l'on adopte. Nous avons adopté une approche «... à méthode régressive, l'historien remontant du présent au passé, l'expérience lui fournissant la grille d'interprétation nécessaire. ». Notre approche cherche à utiliser le langage des budgets-programmes ainsi que celui de l'analyse de système afin de dégager les différents extrants de l'administration, ses ressources, son organisation et son fonctionnement. Ce texte se concentre sur trois grands thèmes, soit le rôle de l'État québécois, l'organisation et le fonctionnement de son administration et la place de ses fonctionnaires au sein du système politique. Ces thèmes sont traités en deux temps: un examen chronologique permet d'abord de voir l'évolution du rôle de l'État et celle des structures de réalisation; ensuite, une analyse d'ensemble aborde les questions d'organisation et de fonctionnement ainsi que de la place des fonctionnaires dans la société politique.
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Andrieu, Nadine, Eduardo Chia i Eric Vall. "Recherche et innovations dans les exploitations de polyculture-élevage d’Afrique de l’Ouest Quelles méthodes pour évaluer les produits de la recherche ? Conclusion générale". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, nr 1-4 (1.01.2011): 93. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10121.

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Les articles présentés ici ont mis en lumière une diversité de méthodes et d’outils d’analyse qui permettent d’évaluer les propositions de la recherche visant à améliorer la durabilité des systèmes agro-sylvo-pastoraux d’Afrique de l’Ouest. Ces méthodes se réfèrent à l’identification des facteurs d’adoption des produits de la recherche, mais aussi à l’analyse des impacts constatés ou espérés des changements proposés. Elles s’appuient sur la constitution de bases de données robustes issues d’enquêtes de terrain. Les modèles économétriques (tels que les modèles probit et tobit) permettent d’identifier les facteurs socio-économiques d’adoption de propositions en comparant deux types de producteurs : adoptant et non-adoptant. Ils permettent aussi d’identifier les facteurs qui influencent l’intensité de la mise en oeuvre de l’innovation chez ceux qui l’ont adoptée (Ngondjeb et coll.). Les analyses multivariées de données d’enquêtes socio-économiques permettent, elles, d’analyser les corrélations entre des variables traduisant l’utilisation effective de la technologie et des variables sociotechniques sur lesquelles sont fondées les typologies des systèmes d’élevage. Ces typologies dépassent la dichotomie adoptant versus non-adoptant. Elles permettent de mettre en évidence différentes modalités d’usage de la technologie suivant les types de producteurs (Bouyer et coll.). Des enquêtes sur les stratégies d’adaptation des ménages à des changements de leur environnement socio-économique permettent de situer les propositions de la recherche au sein de la gamme des leviers d’action mobilisés. Ces enquêtes montrent ainsi la nécessité de retracer sur des pas de temps longs la trajectoire des ménages et du cycle de vie des exploitations pour analyser les stratégies et les dynamiques d’adoption (Pedelahore et coll.). Les modèles d’optimisation des fonctions de production tels que celui utilisé par Dabire et coll. permettent de comparer à un scénario témoin différentes modalités d’une proposition technique et leurs effets respectifs sur les choix d’assolement ainsi que sur le revenu optimal de l’exploitation. La proposition analysée ici est l’accès pour le producteur à une nouvelle source d’information : la prévision saisonnière de la pluviosité. Ce type de modèle offre la possibilité de prendre en compte un risque, par exemple celui d’avoir une bonne ou une mauvaise saison climatique ou de se tromper dans les prévisions. Le modèle de simulation présenté par Sempore et coll. permet au producteur d’analyser avec le chercheur l’impact de la proposition (atelier d’embouche) sur les performances techniques (bilan fourrager et minéral) et économiques (bilan céréalier et revenu) de son exploitation. Il peut ainsi comparer les résultats attendus de ce changement et les modalités de sa mise en oeuvre à la situation initiale de son exploitation. Avec la méthode active de recherche participative (MARP), l’analyse prospective est conduite avec des focus groups (groupes socioprofessionnels d’acteurs) associant chercheurs et producteurs. Cette approche permet de prendre en compte dans l’analyse les préférences et contraintes des producteurs mais elle suppose aussi que ces producteurs aient la capacité d’estimer les effets possibles des propositions de la recherche sur leurs exploitations. Le calcul du budget partiel, utilisé par exemple par Blanchard et coll., permet d’évaluer en termes monétaires les impacts des différents changements techniques observés ou estimés à l’échelle de l’exploitation, suite à l’adoption de la proposition. L’analyse du cycle de vie mise en oeuvre par Vayssières et coll. permet d’évaluer les performances environnementales d’un changement de pratiques. Les auteurs prévoient ainsi l’impact des changements techniques dans les exploitations d’élevage sur leurs consommations énergétiques. Enfin, en analysant les relations de pouvoirs entre acteurs au sein de la filière laitière, Fokou et coll. montrent que les innovations techniques et organisationnelles peuvent être source d’exclusion pour certaines catégories d’acteurs. Ces enquêtes sur les relations de pouvoir entre acteurs apportent un regard complémentaire sur la durabilité sociale des propositions de la recherche.
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Ouattara, Abdoulaye. "Formation Continue et Performance des Entreprises en Côte d’Ivoire". 13, nr 2 (6.05.2009): 53–65. http://dx.doi.org/10.7202/029779ar.

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Résumé Cette étude examine, dans le contexte de la gestion des ressources humaines, les secteurs d’activité qui investissent le plus dans la formation continue en Côte d’Ivoire et apprécie l’incidence des dépenses de formation sur la performance des entreprises. Il ressort que les entreprises de l’industrie chimique, l’agro-alimentaire, le commerce et le secteur des transports et communications accordent des budgets plus importants au renforcement des compétences. Ce qui se traduit par une prépondérance de la rentabilité de la formation continue dans ces secteurs. L’estimation des données de panel par les effets fixes et par la méthode de panel dynamique de Arellano et Bond, met en exergue l’effet positif de la formation continue sur la valeur ajoutée avec un effet plus grand des investissements de l’année antérieure. Nous soutenons donc la nécessité de tenir compte des effets sur le moyen terme dans l’évaluation du rendement de la formation et de promouvoir toute politique qui vise à inciter les entreprises à investir dans le renforcement des capacités humaines.
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Vincent Geslin, Stéphanie, i Iragaël Joly. "Reasons and practice of the intensive commuters. Travel time, between imposed time and chosen time". Les Cahiers Scientifiques du Transport - Scientific Papers in Transportation 61 | 2012 (31.03.2012). http://dx.doi.org/10.46298/cst.12118.

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National audience Using a mixed approach, this article explores the reasons that lead some individuals to dedicate a considerable amount of time to their daily mobility. In the literature on the subject, travel time is typically considered useless, unproductive time -and even the worst time of the day. Given this, the behaviour of extreme commuters (those who travel more than two hours a day) must be reassessed, or, at the very least, a counter-example of this conception of travel time offered. To begin, a quantitative analysis of travel time budgets (TTBs) in eight cities (Bern, Brussels, Geneva, Grenoble, Lyon, Rennes, Strasbourg and Zurich) explores travel time in these cities using duration models. An initial finding confirms that approximately 20% of those surveyed in each city can be considered “extreme commuters” (more than 100 minutes). The estimated duration model then suggests that the behavior of these individuals is atypical in a way that cannot solely be explained by the characteristics referenced in studies on mobility. We then present the findings of our qualitative interviews with individuals whose TTBs are greater than two hours. A variety of dimensions illustrates the choices and/or obligations that lead to extreme TTBs. This qualitative sociological approach rounds out the quantitative econometric approach and points to the fact that the allocation of travel time budgets is not only determined by the activity at the destination or mode of transportation, but by other factors such as personal convictions, interactions with other members of the household, the perception of transportation time, etc. Most notably, transportation time can be perceived as hedonistic. Cet article étudie les raisons conduisant certains individus à consacrer des temps importants à leur mobilité, par une approche mixte, en mobilisant les méthodologies quantitatives et qualitatives. Dans la littérature, le temps de trajet est traditionnellement considéré comme un temps inutile et non-productif, voire comme le pire temps de la journée. Dans ces conditions, le comportement des pendulaires intensifs qui passent plus de deux heures quotidiennes à se déplacer, constitue sinon une remise en question, du moins un contre-exemple à cette conception du temps de trajet. Tout d'abord, une analyse quantitative des budgets-temps de transport (BTT) dans huit villes (Berne, Bruxelles, Genève, Grenoble, Lyon, Rennes, Strasbourg et Zurich) explore les temps de transport dans ces villes par la méthode des modèles de durées. Un premier résultat est qu’environ 20 % des individus de l'échantil­lon de chaque ville font face à des déplacements de longue durée (plus de 100 minutes). Ensuite, le modèle de durées estimé suggère un comportement atypique de ces individus, qui n’est pas explicable uniquement par leurs caractéristiques renseignées dans les enquêtes de mobilités. Ensuite, les résultats des entretiens qualitatifs d’individus, dont les BTT sont supérieurs à deux heures, sont présentés. Diverses dimensions illustrent les choix ou les obligations qui causent ces BTT extrêmes. L’approche sociologique qualita­tive complète l’approche économétrique quantitative et illustre que l’alloca­tion de temps au transport n’est pas uniquement déterminée par l’activité à destination et les modes de transport, mais aussi par d’autres éléments tels que les convictions personnelles, les interactions avec les autres membres du ménage, la perception de ce temps de transport, etc. Notamment, le temps de transport peut être perçu comme un temps support d’autres activités (ex. travailler, écouter de la musique, etc.).
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YETONGNON Judith Eric Georges, KOUMASSI Dègla Hervé i GBENOU Victorin Vidjannagni. "DIAGNOSTIC TERRITORIAL DE LA GOUVERNANCE LOCALE DES RESSOURCES EN EAU DANS LA COMMUNE DE TCHAOUROU". EPRA International Journal of Research & Development (IJRD), 21.12.2022, 96–103. http://dx.doi.org/10.36713/epra11984.

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L’eau fait partir des ressources irremplaçables de ce monde. La gouvernance des ressources en eau est un domaine complexe à maîtriser en raison de la multiplication des usages. L’objectif de la présente recherche est de faire le diagnostic de la gouvernance locale des ressources en eau dans la Commune de Tchaourou. L’approche méthodologique utilisée a consisté en la collecte des données, le traitement et l’analyse des résultats. Au total, 65 personnes ont été enquêtées par la méthode de choix raisonné. Cela s’ajoute 16 personnes ressources identifiées parmi les responsables et acteurs de gouvernance des ressources en eau. Ces données ont été collectées avec les questionnaires et les guides d’entretien. Les données collectées ont été traitées avec les méthodes de statistiques descriptives. De l’analyse des données, il ressort qu’il y a une inégale répartition des points d'eau sur le dans la Commune: au total, 278 forages, 43 puits modernes, 5 adductions d’eau villageoises et 1 branchement de la SONEB (578 abonnés). Divers modes de gestion sont adoptés en fonction des types d’ouvrage installés. En termes de force favorables à la gouvernance locale, figure les conditions naturels favorables à la disponibilité des ressources en eau ; l’existence des textes et loi qui régissent la gestion du secteur de l’eau. L'existence d’ONG assurant l'intermédiation sociale (PASGOL, SIA N'SON et SOCIAL WATCH), la mise en œuvre progressive de la professionnalisation de la gestion des ouvrages d'eau potable par la commune et l'existence d'un Budget Programme par Objectif dans le secteur de l'eau constituent un atout pour la commune. Les faiblesses liées à la gouvernance sont à la mauvaise gestion des ouvrages hydrauliques; au coût élevé d’accès à l’eau; à la non-effectivité de la maîtrise d’ouvrage communale en matière d'eau; au déficit de communication et de mobilisation des populations autour des projets de développement. Les avantages liés à la disponibilité en eau dans la Commune de Tchaourou et ceux liés à la gestion de l’eau sont autant d’opportunités de gestion des ouvrages hydrauliques mais les inconvénients de la mauvaise gestion et de la répartition des ouvrages dans la Commune de Tchaourou ainsi que la non implication des populations à la base sont autant de menaces de la gouvernance locale des ressources en eau. Mots clés : Diagnostic, territorial ; gouvernance, locale ; Commune, Tchaourou
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Gerard, François, i Jean Hindriks. "Numéro 35 - octobre 2005". Regards économiques, 12.10.2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15923.

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Quelles sont les communes les mieux gérées de Wallonie ? C’est la question à laquelle nous avons essayé de répondre, loin de toute polémique, dans ce numéro de Regards économiques en livrant un "Palmarès des villes et communes en Wallonie : une approche en termes d’efficacité". C’est la première évaluation de la bonne gouvernance dans le sud du pays. Pour ce faire, nous avons collecté des infor­mations pertinentes sur la bonne exécution des compétences communales, regroupées en cinq familles (services administratifs, voiries et transports, enseignement, services sociaux et médicaux, environne­ment et propreté). Nous avons ensuite mis les performances de chaque commune, en regard avec les recettes ordinaires par habitant dont elle dispose. Nous avons ensuite comparé les communes entre elles, en appliquant la méthode de dominance qui consiste à identifier les communes qui "font mieux avec moins de moyens". Résultat ? Celui-ci est illustré en page 3 de Regards économiques (cf. document pdf joint) à travers une cartographie en couleurs des villes et communes wallonnes. Les communes les plus performantes qui caracolent en tête de classement se trouvent en jaune clair. Plus la teinte des entités est foncée, moins la commune est performante. Un certain nombre de communes, surtout dans la région liégeoise (en gris sur la carte), ne sont pas classées, la Direction générale des pouvoirs locaux de la Région wallonne n’ayant fourni aucun budget à leur sujet. Des communes se démarquent nettement des autres en faisant mieux sur les cinq familles d’indicateurs, avec moins de recettes, que beaucoup d’autres communes. Ainsi Flobecq fait mieux que 36 autres communes et Ottignies-Louvain-la-Neuve supplante 26 entités. Il importe de signaler qu’il ne s’agit pas d’un palmarès du bien-être. Il n’y a en effet pas de corrélation entre les revenus moyens d’une commune et sa place dans le classement. Il n’existe pas davantage de rapport entre le nombre d’habitants ou la densité de population et la place d’une commune dans notre classement. Le verdict est-il sans appel pour les entités les plus mal administrées ? Disons plutôt que ce palmarès signale aux édiles communaux que, sur un certain nombre de compétences, certes les principales, beau­coup d’autres villes et communes font mieux avec moins de moyens. Cela devrait les encourager à se pencher sur les défaillances et à traquer les dysfonctionnements. Mais il ne faut pas faire dire à ce pal­marès ce qu’il ne mesure pas. Il ne délivre pas un bon ou mauvais bulletin au bourgmestre, car toutes les composantes du travail communal n’ont pu être évaluées. Si une "première", comme l’est ce palmarès, a toujours le mérite d’exister et de faire avancer la réflexion, elle a aussi ses limites. Certaines données manquent cruellement en Wallonie. Outre l’absence de recettes ordinaires pour 14 communes, surtout dans la région liégeoise, les compétences sportives et culturelles des communes n’ont pas pu être prises en considération faute de données fiables sur la qualité de l’infrastructure et la variété de la programmation des salles de sports, des bibliothèques ou autres centres culturels. La Communauté française n’a pas non plus accepté de livrer des informa­tions utiles relatives aux taux d’échecs ou d’absentéisme des élèves. Quoi qu’il en soit, un outil comme ce palmarès, même enrichi au fil du temps, comme nous l’espérons, par de nouvelles données, devra toujours être complété par d’autres démarches de type qualitatif.
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Gerard, François, i Jean Hindriks. "Numéro 35 - octobre 2005". Regards économiques, 12.10.2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.10.02.

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Quelles sont les communes les mieux gérées de Wallonie ? C’est la question à laquelle nous avons essayé de répondre, loin de toute polémique, dans ce numéro de Regards économiques en livrant un "Palmarès des villes et communes en Wallonie : une approche en termes d’efficacité". C’est la première évaluation de la bonne gouvernance dans le sud du pays. Pour ce faire, nous avons collecté des infor­mations pertinentes sur la bonne exécution des compétences communales, regroupées en cinq familles (services administratifs, voiries et transports, enseignement, services sociaux et médicaux, environne­ment et propreté). Nous avons ensuite mis les performances de chaque commune, en regard avec les recettes ordinaires par habitant dont elle dispose. Nous avons ensuite comparé les communes entre elles, en appliquant la méthode de dominance qui consiste à identifier les communes qui "font mieux avec moins de moyens". Résultat ? Celui-ci est illustré en page 3 de Regards économiques (cf. document pdf joint) à travers une cartographie en couleurs des villes et communes wallonnes. Les communes les plus performantes qui caracolent en tête de classement se trouvent en jaune clair. Plus la teinte des entités est foncée, moins la commune est performante. Un certain nombre de communes, surtout dans la région liégeoise (en gris sur la carte), ne sont pas classées, la Direction générale des pouvoirs locaux de la Région wallonne n’ayant fourni aucun budget à leur sujet. Des communes se démarquent nettement des autres en faisant mieux sur les cinq familles d’indicateurs, avec moins de recettes, que beaucoup d’autres communes. Ainsi Flobecq fait mieux que 36 autres communes et Ottignies-Louvain-la-Neuve supplante 26 entités. Il importe de signaler qu’il ne s’agit pas d’un palmarès du bien-être. Il n’y a en effet pas de corrélation entre les revenus moyens d’une commune et sa place dans le classement. Il n’existe pas davantage de rapport entre le nombre d’habitants ou la densité de population et la place d’une commune dans notre classement. Le verdict est-il sans appel pour les entités les plus mal administrées ? Disons plutôt que ce palmarès signale aux édiles communaux que, sur un certain nombre de compétences, certes les principales, beau­coup d’autres villes et communes font mieux avec moins de moyens. Cela devrait les encourager à se pencher sur les défaillances et à traquer les dysfonctionnements. Mais il ne faut pas faire dire à ce pal­marès ce qu’il ne mesure pas. Il ne délivre pas un bon ou mauvais bulletin au bourgmestre, car toutes les composantes du travail communal n’ont pu être évaluées. Si une "première", comme l’est ce palmarès, a toujours le mérite d’exister et de faire avancer la réflexion, elle a aussi ses limites. Certaines données manquent cruellement en Wallonie. Outre l’absence de recettes ordinaires pour 14 communes, surtout dans la région liégeoise, les compétences sportives et culturelles des communes n’ont pas pu être prises en considération faute de données fiables sur la qualité de l’infrastructure et la variété de la programmation des salles de sports, des bibliothèques ou autres centres culturels. La Communauté française n’a pas non plus accepté de livrer des informa­tions utiles relatives aux taux d’échecs ou d’absentéisme des élèves. Quoi qu’il en soit, un outil comme ce palmarès, même enrichi au fil du temps, comme nous l’espérons, par de nouvelles données, devra toujours être complété par d’autres démarches de type qualitatif.
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Hindriks, Jean. "Numéro 31 - juin 2005". Regards économiques, 12.10.2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15963.

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Ce numéro de Regards économiques se penche sur la situation économique et sociale en Wallonie. Il en dresse un large portrait, en souligne les points positifs et négatifs, et ébauche quelques pistes de réflexion sur les mesures propices à donner à l’économie wallonne un nouvel élan. Dans ce numéro, nous avons pris l’initiative de nous exprimer sur un sujet qui nous préoccupe : "le malaise économique wallon". Nous avons pour ce faire regroupé l’avis de spécialistes de la question dont la renommée est établie. Ces experts sont issus de différentes universités francophones. Nous leur avons demandé d’offrir aux citoyens un portrait nuancé mais sans concession de la situation wallonne. En "officialisant" la situation économique et sociale de la Wallonie, nous espérons obliger les acteurs sociaux et les partis politiques à "reconnaître" les points faibles de l’économie wallonne. Nous refusons cette stratégie qui consiste à dissimuler la situation réelle pour ne pas saper le moral des troupes. "Cachez ce sein que je ne saurais voir" disait déjà Tartuffe, avant d’ajouter quelques scènes plus loin : "le scandale du monde est ce qui fait l’offense et ce n’est pas pécher que pécher en silence". Ce "nominalisme" ‑ on veut bien de la chose mais à condition qu’on ne la nomme pas ‑ et ce double langage constituent l’une des manifestations les plus préoccupantes de la difficulté de nos politiciens à assumer la vérité et à sortir de la représentation complaisante qu’ils ont d’eux-mêmes. Fin mai 2005, le gouvernement wallon a enfin explicitement reconnu ce qu’il a appelé "le malaise économique wallon". L’étape suivante est de dresser un constat précis de la nature du malaise, de manière à pouvoir concevoir une stratégie de politique économique adaptée au problème. C’est dans cette perspective que se situe ce numéro de Regards économiques. Notre objectif est donc d’apprécier la situation économique et sociale en Wallonie sur base d’éléments objectifs, et de la comparer à la situation en Flandre et en Europe. Nous comprenons le risque qu’une comparaison avec la Flandre peut présenter. Cependant, sans vouloir alimenter les tensions communautaires, nous avons la conviction que cette comparaison entre les deux régions est vraiment utile étant donné que celles-ci partagent un environnement économique et un contexte institutionnel et culturel fort semblables. Cela s’inscrit aussi dans l’esprit de la "Méthode Ouverte de Coordination" de l’Union européenne, visant à créer une émulation entre régions au travers d’une concurrence par comparaison. Cette comparaison est surtout utile pour comprendre les sources éventuelles des dysfonctionnements et les pistes d’amélioration possibles. Ce numéro de Regards économiques comporte quatre contributions, sur les thèmes suivants : Bruxelles et: une lecture en termes de géographie économique (Jacques-François Thisse) PIB et PRB de la: des diagnostics contrastés (Michel Mignolet et Marie Eve Mulquin) Le portrait social de la Wallonie : responsabilités et gouvernance (Pierre Pestieau) Le marché du travail en: un tableau en clair-obscur (Béatrice Van Haeperen). Dans la suite de ce communiqué, nous résumons brièvement les éléments principaux de chaque contribution, en regroupant les points positifs et les points négatifs que chacune d’elles donne de la situation économique et sociale en Wallonie. 1. Les points positifs Les dynamiques de croissance entre régions se rapprochent progressivement. L’écart inter-régional de croissance annuelle moyenne diminue entre la Flandre et la : celui-ci ne s’élevait plus qu’à 0,80 % de 1975 à 1995, pour se replier encore plus à 0,54 % de 1995 à 2003. Le différentiel se réduit davantage si on ne considère que les dernières années, où il se chiffre à 0,37 % de 1999 à 2003. Si l’on mesure la croissance régionale sur base du lieu de résidence et non du lieu de production (pour prendre en compte l’activité croissante des wallons à Bruxelles), depuis 1999, la part de la Wallonie dans la production totale belge s’est légèrement redressée. Une analyse par branche de la structure de production ne permet pas de conclure à un manque de dynamisme généralisé de l’industrie en Wallonie. Le retard de croissance en Wallonie est imputable à une sous-représentation des secteurs les plus dynamiques et une moindre performance des secteurs les plus importants. Le Brabant wallon est la province belge qui a connu la croissance la plus forte de 1995 à 2002, avec une évolution de la production sur la période de 8 % au-dessus de la moyenne de l’UE 15 et de presque 10 % au-dessus de la moyenne belge. Le Brabant wallon est aussi la seule province wallonne dont le revenu par habitant est supérieur à la moyenne de l’UE 15. L’emploi salarié en Wallonie a augmenté de 9 % entre 1992 et 2002. Les croissances les plus fortes sont dans le Brabant wallon (28 %), les provinces de Luxembourg (16 %) et de Namur (13 %), à comparer à une croissance moyenne de l’emploi salarié en Flandre de 13 %. Depuis 1997, le rythme de progression de l’emploi privé est comparable dans les deux régions. A partir de 2000, le nombre d’emplois des secteurs à haute et moyenne technologies et des services à haute technologie et à haut niveau de savoir progresse en Wallonie mais régresse en Flandre. La proportion de personnes très qualifiées dans la population wallonne augmente et la proportion de peu qualifiés diminue. Le profil de qualification par catégorie d’âge en Wallonie en 2003 est très proche de la moyenne belge. Les dépenses intra-muros des entreprises en R&D progressent plus rapidement en Wallonie. Entre 2001 et 2002, le taux de croissance était de 11,% en Wallonie contre 3,6 % en Flandre. 2. Les points négatifs Un rapprochement des taux de croissance est insuffisant pour assurer un rattrapage des économies régionales. Etant donné son retard de développement, la Wallonie devrait enregistrer des taux de croissance supérieurs à la Flandre, ce qui est loin d’être le cas. La part de la Wallonie dans la production totale belge continue donc à diminuer, passant de plus de 30 % en 1995 à moins de 25 % en 2003. La productivité marginale du capital est plus faible en Wallonie qu’en Flandre, ce qui donne lieu à un taux d’investissement moindre en Wallonie. Sur la période 1995-2001, le rendement brut du capital est de 14,% en Wallonie contre 17,5 % en Flandre. Cela pose problème pour l’attractivité relative de la Wallonie pour l’investissement. Le revenu moyen par habitant en Wallonie est 25 % inférieur à celui de la Flandre en 2002 (équivalent à la moyenne de l’UE 15). Les disparités entre provinces wallonnes s’accentuent. Sur la période 1995-2002, le Brabant wallon enregistre une augmentation de 8 % de sa production par rapport à la moyenne de l’UE15 alors que les provinces de Liège, du Hainaut et du Luxembourg enregistrent chacune une baisse supérieure à 6 %. En 2003, le taux d’emploi en Wallonie de 55,4 % reste significativement inférieur à celui de la Flandre (62,9 %) et celui de l’UE15 (64,2 %). La Wallonie est donc encore loin de l’objectif de taux d’emploi de 70 %. La structure de l’emploi est aussi fort différente entre régions avec en 2002, 2/3 des emplois dans le secteur privé en Wallonie pour 3/4 des emplois dans le secteur privé en Flandre. Le taux de chômage est resté stable autour de% en Wallonie entre 1995 et 2002 du fait d’une augmentation de la population active égale à l’augmentation de l’emploi. En 2002, le taux de chômage en Flandre est passé en dessous de 5 %. Le taux de chômage des jeunes (15-24 ans) en Wallonie est le plus élevé d’Europe avec un taux de 26,5 % en 2002 contre 11,6 % en Flandre. Plus alarmant encore, plus de 40 % des chômeurs en Wallonie sont des chômeurs de longue durée (>2 ans) contre moins de 20 % en Flandre. Le pourcentage de la population de 18-24 ans sans diplôme de l’enseignement secondaire et qui ne suit ni enseignement, ni formation est de% en Wallonie contre 11,7 % en Flandre. En outre, selon la dernière enquête PISA, l’enseignement secondaire en Communauté française figure en 31e position sur 41 pays contre une 3e position pour la Flandre pour un budget équivalent sinon moindre. 3. Que faire ? Face à ce constat que pouvons-nous faire ? Quelques pistes de réflexion sont présentées dans ce numéro de Regards économiques. Parmi celles-ci, nous relevons la nécessité de cesser la politique de saupoudrage et de concentrer les efforts autour d’une grande métropole urbaine comme Bruxelles en reconnaissant que les échanges se développent de plus en plus entre régions urbaines. La Wallonie se doit de travailler en partenariat stratégique avec Bruxelles dans une perspective économique moderne. La zone d’influence de Bruxelles doit dépasser le Brabant wallon. Il faut aussi chercher à améliorer l’efficacité dans l’utilisation des fonds publics en évitant les doublons et en recourant systématiquement à des études d’efficacité rigoureuses et impartiales. Par exemple, on pourrait explorer ce que coûte l’existence des provinces, des multiples réseaux d’enseignement et des cabinets ministériels. On peut aussi s’interroger sur le grand nombre d’intercommunales et le manque de transparence de leur gestion. Il faut aussi s’attaquer de toute urgence au scandale du chômage des jeunes par une politique de remédiation volontariste. On doit investir massivement dans le système éducatif pour élever le niveau de qualification des jeunes et faciliter la transition enseignement et emploi. Il faut élargir la mission du FOREM au-delà de la diffusion des offres d’emploi pour lui confier la fonction critique de placement et d’accompagnement des demandeurs d’emploi. Il faut aussi mettre en place des outils d’évaluation des politiques de l’emploi. C’est inadmissible que depuis l’année 2004, la Wallonie est incapable de publier des statistiques sur les offres d’emploi satisfaites et insatisfaites (alors que Bruxelles et la Flandre continuent à publier ces chiffres). Nous poursuivrons notre analyse de la situation wallonne dans un prochain numéro de Regards économiques. Nous attendons aussi des hommes politiques qu’ils reconnaissent cette situation et le traduisent dans leurs actes en poursuivant une politique économique adaptée, cohérente et stable. Il n’y a pas de fatalité. Nous en voulons pour preuve l’expérience danoise qui en 10 ans a réduit son chômage de moitié par un système novateur de "flexicurité" (en partenariat avec les syndicats). Son marché du travail s’est fluidifié avec plus d’un danois sur trois changeant de travail au cours d’une année et un effort substantiel du gouvernement sur la formation, l’orientation et l’accompagnement des chômeurs. Un sondage récent montre que les travailleurs danois ne sont pas plus mécontents avec ce système que les travailleurs belges. L’Angleterre, avec un taux de syndicalisme plus élevé que chez nous, a aussi réussi par son "New Deal" à réduire de moitié le chômage des jeunes. Ces deux pays connaissent aujourd’hui un taux de chômage de 5 %, bien inférieur à la moyenne européenne. Comprendre pourquoi pourrait être fortement utile à la Wallonie.
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Hindriks, Jean. "Numéro 31 - juin 2005". Regards économiques, 12.10.2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.06.02.

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Ce numéro de Regards économiques se penche sur la situation économique et sociale en Wallonie. Il en dresse un large portrait, en souligne les points positifs et négatifs, et ébauche quelques pistes de réflexion sur les mesures propices à donner à l’économie wallonne un nouvel élan. Dans ce numéro, nous avons pris l’initiative de nous exprimer sur un sujet qui nous préoccupe : "le malaise économique wallon". Nous avons pour ce faire regroupé l’avis de spécialistes de la question dont la renommée est établie. Ces experts sont issus de différentes universités francophones. Nous leur avons demandé d’offrir aux citoyens un portrait nuancé mais sans concession de la situation wallonne. En "officialisant" la situation économique et sociale de la Wallonie, nous espérons obliger les acteurs sociaux et les partis politiques à "reconnaître" les points faibles de l’économie wallonne. Nous refusons cette stratégie qui consiste à dissimuler la situation réelle pour ne pas saper le moral des troupes. "Cachez ce sein que je ne saurais voir" disait déjà Tartuffe, avant d’ajouter quelques scènes plus loin : "le scandale du monde est ce qui fait l’offense et ce n’est pas pécher que pécher en silence". Ce "nominalisme" ‑ on veut bien de la chose mais à condition qu’on ne la nomme pas ‑ et ce double langage constituent l’une des manifestations les plus préoccupantes de la difficulté de nos politiciens à assumer la vérité et à sortir de la représentation complaisante qu’ils ont d’eux-mêmes. Fin mai 2005, le gouvernement wallon a enfin explicitement reconnu ce qu’il a appelé "le malaise économique wallon". L’étape suivante est de dresser un constat précis de la nature du malaise, de manière à pouvoir concevoir une stratégie de politique économique adaptée au problème. C’est dans cette perspective que se situe ce numéro de Regards économiques. Notre objectif est donc d’apprécier la situation économique et sociale en Wallonie sur base d’éléments objectifs, et de la comparer à la situation en Flandre et en Europe. Nous comprenons le risque qu’une comparaison avec la Flandre peut présenter. Cependant, sans vouloir alimenter les tensions communautaires, nous avons la conviction que cette comparaison entre les deux régions est vraiment utile étant donné que celles-ci partagent un environnement économique et un contexte institutionnel et culturel fort semblables. Cela s’inscrit aussi dans l’esprit de la "Méthode Ouverte de Coordination" de l’Union européenne, visant à créer une émulation entre régions au travers d’une concurrence par comparaison. Cette comparaison est surtout utile pour comprendre les sources éventuelles des dysfonctionnements et les pistes d’amélioration possibles. Ce numéro de Regards économiques comporte quatre contributions, sur les thèmes suivants : Bruxelles et: une lecture en termes de géographie économique (Jacques-François Thisse) PIB et PRB de la: des diagnostics contrastés (Michel Mignolet et Marie Eve Mulquin) Le portrait social de la Wallonie : responsabilités et gouvernance (Pierre Pestieau) Le marché du travail en: un tableau en clair-obscur (Béatrice Van Haeperen). Dans la suite de ce communiqué, nous résumons brièvement les éléments principaux de chaque contribution, en regroupant les points positifs et les points négatifs que chacune d’elles donne de la situation économique et sociale en Wallonie. 1. Les points positifs Les dynamiques de croissance entre régions se rapprochent progressivement. L’écart inter-régional de croissance annuelle moyenne diminue entre la Flandre et la : celui-ci ne s’élevait plus qu’à 0,80 % de 1975 à 1995, pour se replier encore plus à 0,54 % de 1995 à 2003. Le différentiel se réduit davantage si on ne considère que les dernières années, où il se chiffre à 0,37 % de 1999 à 2003. Si l’on mesure la croissance régionale sur base du lieu de résidence et non du lieu de production (pour prendre en compte l’activité croissante des wallons à Bruxelles), depuis 1999, la part de la Wallonie dans la production totale belge s’est légèrement redressée. Une analyse par branche de la structure de production ne permet pas de conclure à un manque de dynamisme généralisé de l’industrie en Wallonie. Le retard de croissance en Wallonie est imputable à une sous-représentation des secteurs les plus dynamiques et une moindre performance des secteurs les plus importants. Le Brabant wallon est la province belge qui a connu la croissance la plus forte de 1995 à 2002, avec une évolution de la production sur la période de 8 % au-dessus de la moyenne de l’UE 15 et de presque 10 % au-dessus de la moyenne belge. Le Brabant wallon est aussi la seule province wallonne dont le revenu par habitant est supérieur à la moyenne de l’UE 15. L’emploi salarié en Wallonie a augmenté de 9 % entre 1992 et 2002. Les croissances les plus fortes sont dans le Brabant wallon (28 %), les provinces de Luxembourg (16 %) et de Namur (13 %), à comparer à une croissance moyenne de l’emploi salarié en Flandre de 13 %. Depuis 1997, le rythme de progression de l’emploi privé est comparable dans les deux régions. A partir de 2000, le nombre d’emplois des secteurs à haute et moyenne technologies et des services à haute technologie et à haut niveau de savoir progresse en Wallonie mais régresse en Flandre. La proportion de personnes très qualifiées dans la population wallonne augmente et la proportion de peu qualifiés diminue. Le profil de qualification par catégorie d’âge en Wallonie en 2003 est très proche de la moyenne belge. Les dépenses intra-muros des entreprises en R&D progressent plus rapidement en Wallonie. Entre 2001 et 2002, le taux de croissance était de 11,% en Wallonie contre 3,6 % en Flandre. 2. Les points négatifs Un rapprochement des taux de croissance est insuffisant pour assurer un rattrapage des économies régionales. Etant donné son retard de développement, la Wallonie devrait enregistrer des taux de croissance supérieurs à la Flandre, ce qui est loin d’être le cas. La part de la Wallonie dans la production totale belge continue donc à diminuer, passant de plus de 30 % en 1995 à moins de 25 % en 2003. La productivité marginale du capital est plus faible en Wallonie qu’en Flandre, ce qui donne lieu à un taux d’investissement moindre en Wallonie. Sur la période 1995-2001, le rendement brut du capital est de 14,% en Wallonie contre 17,5 % en Flandre. Cela pose problème pour l’attractivité relative de la Wallonie pour l’investissement. Le revenu moyen par habitant en Wallonie est 25 % inférieur à celui de la Flandre en 2002 (équivalent à la moyenne de l’UE 15). Les disparités entre provinces wallonnes s’accentuent. Sur la période 1995-2002, le Brabant wallon enregistre une augmentation de 8 % de sa production par rapport à la moyenne de l’UE15 alors que les provinces de Liège, du Hainaut et du Luxembourg enregistrent chacune une baisse supérieure à 6 %. En 2003, le taux d’emploi en Wallonie de 55,4 % reste significativement inférieur à celui de la Flandre (62,9 %) et celui de l’UE15 (64,2 %). La Wallonie est donc encore loin de l’objectif de taux d’emploi de 70 %. La structure de l’emploi est aussi fort différente entre régions avec en 2002, 2/3 des emplois dans le secteur privé en Wallonie pour 3/4 des emplois dans le secteur privé en Flandre. Le taux de chômage est resté stable autour de% en Wallonie entre 1995 et 2002 du fait d’une augmentation de la population active égale à l’augmentation de l’emploi. En 2002, le taux de chômage en Flandre est passé en dessous de 5 %. Le taux de chômage des jeunes (15-24 ans) en Wallonie est le plus élevé d’Europe avec un taux de 26,5 % en 2002 contre 11,6 % en Flandre. Plus alarmant encore, plus de 40 % des chômeurs en Wallonie sont des chômeurs de longue durée (>2 ans) contre moins de 20 % en Flandre. Le pourcentage de la population de 18-24 ans sans diplôme de l’enseignement secondaire et qui ne suit ni enseignement, ni formation est de% en Wallonie contre 11,7 % en Flandre. En outre, selon la dernière enquête PISA, l’enseignement secondaire en Communauté française figure en 31e position sur 41 pays contre une 3e position pour la Flandre pour un budget équivalent sinon moindre. 3. Que faire ? Face à ce constat que pouvons-nous faire ? Quelques pistes de réflexion sont présentées dans ce numéro de Regards économiques. Parmi celles-ci, nous relevons la nécessité de cesser la politique de saupoudrage et de concentrer les efforts autour d’une grande métropole urbaine comme Bruxelles en reconnaissant que les échanges se développent de plus en plus entre régions urbaines. La Wallonie se doit de travailler en partenariat stratégique avec Bruxelles dans une perspective économique moderne. La zone d’influence de Bruxelles doit dépasser le Brabant wallon. Il faut aussi chercher à améliorer l’efficacité dans l’utilisation des fonds publics en évitant les doublons et en recourant systématiquement à des études d’efficacité rigoureuses et impartiales. Par exemple, on pourrait explorer ce que coûte l’existence des provinces, des multiples réseaux d’enseignement et des cabinets ministériels. On peut aussi s’interroger sur le grand nombre d’intercommunales et le manque de transparence de leur gestion. Il faut aussi s’attaquer de toute urgence au scandale du chômage des jeunes par une politique de remédiation volontariste. On doit investir massivement dans le système éducatif pour élever le niveau de qualification des jeunes et faciliter la transition enseignement et emploi. Il faut élargir la mission du FOREM au-delà de la diffusion des offres d’emploi pour lui confier la fonction critique de placement et d’accompagnement des demandeurs d’emploi. Il faut aussi mettre en place des outils d’évaluation des politiques de l’emploi. C’est inadmissible que depuis l’année 2004, la Wallonie est incapable de publier des statistiques sur les offres d’emploi satisfaites et insatisfaites (alors que Bruxelles et la Flandre continuent à publier ces chiffres). Nous poursuivrons notre analyse de la situation wallonne dans un prochain numéro de Regards économiques. Nous attendons aussi des hommes politiques qu’ils reconnaissent cette situation et le traduisent dans leurs actes en poursuivant une politique économique adaptée, cohérente et stable. Il n’y a pas de fatalité. Nous en voulons pour preuve l’expérience danoise qui en 10 ans a réduit son chômage de moitié par un système novateur de "flexicurité" (en partenariat avec les syndicats). Son marché du travail s’est fluidifié avec plus d’un danois sur trois changeant de travail au cours d’une année et un effort substantiel du gouvernement sur la formation, l’orientation et l’accompagnement des chômeurs. Un sondage récent montre que les travailleurs danois ne sont pas plus mécontents avec ce système que les travailleurs belges. L’Angleterre, avec un taux de syndicalisme plus élevé que chez nous, a aussi réussi par son "New Deal" à réduire de moitié le chômage des jeunes. Ces deux pays connaissent aujourd’hui un taux de chômage de 5 %, bien inférieur à la moyenne européenne. Comprendre pourquoi pourrait être fortement utile à la Wallonie.
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