Artykuły w czasopismach na temat „Aliments – Teneur en polluants”

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JONDREVILLE, C., A. FOURNIER, A. TRAVEL, C. FEIDT i B. ROUDAUT. "Contaminants chimiques organiques des œufs de poule pondeuse : aspects réglementaires, modalités et risques de transfert". INRAE Productions Animales 23, nr 2 (10.04.2011): 205–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.2.3301.

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Le présent article fait le point sur les contaminants chimiques organiques potentiellement présents dans les œufs de poules pondeuses. Ils ont pour origine soit des médicaments vétérinaires, des additifs introduits dans les aliments, des pesticides utilisés pour la production des matières premières entrant dans l’alimentation des animaux ou encore des polluants rémanents de l’environnement. Les médicaments vétérinaires et additifs alimentaires font l’objet d’études strictes de transfert avant d’être autorisés et les résultats d’enquêtes ou de contrôles officiels montrent que les limites maximales de résidus sont très rarement dépassées dans les œufs. Les non conformités ont en général pour origine une utilisation inadéquate de la molécule, ou des contaminations croisées lors de la fabrication des aliments, notamment pour les anticoccidiens. Les pesticides utilisés pour la production de matières premières entrant dans l’alimentation des animaux font également l’objet d’une étude d’évaluation du risque de transfert avant leur autorisation. L’exposition des animaux aux contaminants de l’environnement est plus difficilement contrôlable, notamment dans les élevages en plein air, et des dépassements importants des teneurs maximales autorisées pour les dioxines, furanes ou polychlorobiphényles sont parfois rencontrés dans ce type d’élevage. Les cas les plus préoccupants émanent d’élevages de particuliers, dans lesquels certaines pratiques semblent favoriser l’ingestion de matrices, notamment de sol, en quantités importantes. Afin de prévenir le risque de transfert de ces contaminants, il est important d’évaluer l’impact de ces pratiques sur l’exposition des animaux et de quantifier l’impact de la matrice sol sur le transfert des contaminants ingérés vers l’œuf.
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VERMOREL, M., i J. B. COULON. "Alimentation des vaches laitières : comparaison des systèmes d’alimentation énergétique". INRAE Productions Animales 5, nr 4 (29.10.1992): 289–98. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.4.4244.

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Les besoins énergétiques (entretien, lactation, variation de poids) des vaches laitières produisant de 20 à 45 kg de lait par jour, ainsi que la valeur énergétique des aliments (teneur en énergie métabolisable, EM, rendement d’utilisation de l’EM, kl, et teneur en énergie nette) sont comparés dans les systèmes français (UFL), allemand (ENL), américain (NRC), britannique (ARC) et néerlandais (VEM). Les corrections utilisées dans chaque système pour tenir compte des interactions entre les aliments et de l’accroissement du niveau d’alimentation sont également discutées. La validité des systèmes français et néerlandais a été testée par des bilans en chambres respiratoires et des essais d’alimentation, celle du système britannique par des essais d’alimentation. Les quantités d’aliments nécessaires pour satisfaire les besoins énergétiques des vaches laitières sont très voisines dans les systèmes français et néerlandais ; les différences sont plus importantes avec le système britannique (ARC) ; elles augmentent avec la production laitière dans les systèmes allemand (ENL) et américain (NRC).
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COZANNET, I. P., M. LESSIRE, J. P. METAYER, C. GADY, Y. PRIMOT, P. A. GERAERT, L. LE TUTOUR, F. SKIBA i J. NOBLET. "Valeur nutritive des drêches de blé et de maïs pour les volailles". INRAE Productions Animales 23, nr 5 (19.12.2010): 405–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.5.3319.

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Parallèlement à l’accroissement rapide de la production d’éthanol à partir des céréales, la disponibilité des coproduits associés, les drêches, pour l’alimentation des animaux, ruminants mais aussi porcs et volailles, s’est accrue. L’objet de cette synthèse est de considérer l’information disponible pour l’introduction des drêches de bioéthanol de céréales dans les aliments des volailles. Elle dresse le profil moyen de la composition chimique et des valeurs énergétiques et protéiques des drêches de blé et de maïs. Elle indique aussi une forte variabilité de ces critères, en particulier pour la lysine en lien avec les réactions de Maillard lors du séchage et la diminution de la luminance (L). Les échantillons de faible valeur L (< 50 pour les drêches de blé et < 30 pour les drêches de maïs) ont ainsi une teneur en lysine des matières azotées faible et cette lysine est peu digestible. La digestibilité de l’énergie des drêches de blé ou de maïs ou leurs teneurs en EM peuvent également varier avec la couleur mais elles sont surtout dépendantes de leur composition chimique et notamment de leur teneur en matières grasses et en parois végétales. Notre synthèse indique que les drêches de blé ou de maïs sont des sources potentielles d’énergie et de protéines susceptibles d’être utilisées dans les aliments des différentes catégories de volailles sans que les performances soient altérées mais à la condition que les caractéristiques nutritives des drêches soient prises en compte pour la formulation des aliments.
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SAUVANT, D., S. GIGER-REVERDIN i F. MESCHY. "Le contrôle de l’acidose ruminale latente". INRAE Productions Animales 19, nr 2 (12.05.2006): 69–78. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.2.3483.

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Le principal critère d’évaluation de l’acidose du rumen est le pH moyen mesuré pendant plusieurs heures après le repas. D’autres critères ont été proposés, cependant ils restent très corrélés au précédent et ne fournissent pas d’information plus pertinente. Différentes mesures peuvent être effectuées sur les aliments, ou les régimes alimentaires, pour évaluer le risque d’acidose ruminale. Au niveau des aliments, il est ainsi possible de mesurer leur pouvoir tampon propre, leur fermentescibilité in vitro, ou la chute de pH induite, et la dégradabilité à court terme (4h) in sacco de leur MS. D’autres critères peuvent être utilisés, il s’agit en particulier de la teneur en amidon dégradable pour les matières premières amylacées. Enfin, le bilan cation-anion peut aussi être évalué au niveau des aliments et être utilisé pour évaluer une facette du pouvoir acidogène des aliments. Au niveau des régimes, la fibrosité représente un facteur essentiel de risque d’acidose ; il y a en fait deux composantes de fibrosité, la fibrosité chimique, quantifiée par la teneur en NDF (NDF/MS > 35 %), la fibrosité physique évaluée par la taille moyenne des particules (TP > 4 mm), ou la proportion de MS retenue à un tamis de 2 mm (P2 > 40 %). Il est possible de chercher à combiner ces deux types de critères. Les critères de fibrosité sont très importants dans la mesure où ils déterminent l’activité masticatoire et, de ce fait, le recyclage des tampons ainsi que le flux liquidien ruminal, critères plus déterminants de l’acidose que ceux qui prédisent la production des AGV. D’autres aspects interviennent de façon non négligeable dans le risque d’acidose, il s’agit en particulier du niveau d’ingestion ainsi que du rôle de certaines populations microbiennes du rumen telles que les protozoaires. Outre les facteurs relatifs aux aliments et aux rations, il est possible d’envisager des supplémentations de substances préventives, c’est en particulier le cas des substances tampons et de certaines substances probiotiques. L’ensemble des équations et recommandations proposées permettent de tenir compte de différents critères pour prévenir le risque d’acidose latente.
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Guizouarn, Kristell. "Réduire les émissions de particules des véhicules diesel par l’utilisation de biodiesel". OCL 27 (2020): 11. http://dx.doi.org/10.1051/ocl/2019049.

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Les véhicules diesel ont un rendement énergétique plus élevé, mais ils produisent davantage de particules que les moteurs à essence ordinaires. Il existe deux moyens efficaces de réduire considérablement les émissions de particules du moteur diesel : le filtre à particules, et l’utilisation de biodiesel. En effet, la composition du carburant a un impact direct sur la combustion, et donc sur les émissions de polluants. Une teneur élevée en biodiesel permet de réduire le nombre de particules produites. Plus la quantité de biodiesel dans le carburant mélangé est importante, moins des particules sont émises. Lorsque les technologies de filtre et de biodiesel sont combinées, les émissions de particules sont quasi-inexistantes.
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RECOULES, E., N. BREVAULT, P. Le CADRE, C. PEYRONNET, I. BOUVAREL i M. LESSIRE. "L’autonomie protéique : état des lieux et voies d’amélioration pour l’alimentation des volailles". INRA Productions Animales 29, nr 2 (9.07.2019): 129–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.1.2522.

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L’apport protéique dans les aliments pour volailles est principalement réalisé avec du tourteau de soja essentiellement importé d’Amérique du Sud. Cependant, cette dépendance protéique pose plusieurs problèmes d’ordre économique (concurrence et volatilité des prix), environnemental (transport, déforestation) et sociétal (soja OGM mal accepté par les consommateurs). Dans un objectif de développement durable, la dépendance protéique vis-à-vis du soja pose question. L’utilisation de matières premières locales riches en protéines (tourteaux de colza, tournesol, pois…) a été étudiée. Plusieurs voies permettant de réduire leur teneur en facteurs antinutritionnels (génétique, procédés technologiques) ou d’améliorer la disponibilité des nutriments (utilisation d’enzymes exogènes, traitements technologiques) pour augmenter leur incorporation dans les aliments volailles ont déjà été explorées. Cependant, d’autres voies existent et nécessitent des approfondissements. Au niveau agronomique, un enjeu important est de mettre au point des itinéraires techniques innovants impliquant de nouvelles variétés de soja adaptées aux différentes conditions pédoclimatiques françaises. Des progrès peuvent être escomptés en termes de process technologiques avec notamment un décorticage plus poussé du tournesol afin d’augmenter sa teneur en protéines. Des travaux sont initiés afin de mieux comprendre les mécanismes de digestion et de mieux appréhender le rôle de la sélection génétique pour aller vers une meilleure valorisation des matières premières par les animaux. Il semble nécessaire de poursuivre les recherches à travers des actions conjointes des acteurs de l’amont et l’aval de la filière afin de proposer des solutions permettant une meilleure utilisation des matières premières locales et de tendre vers des systèmes d’alimentation plus durables.
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QUINIOU, Nathalie, Anne BOUDON, Jean-Yves DOURMAD, Maud MOINECOURT, Nathalie PRIYMENKO i Agnès NARCY. "Modélisation du besoin en calcium de la truie reproductrice et variation du rapport phosphocalcique des aliments selon le niveau de performance". INRAE Productions Animales 34, nr 1 (17.06.2021): 61–78. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.1.4723.

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Le coût élevé des sources de phosphore et l’impact d’un apport en excès de cet élément sur l’environnement conduisent à restreindre les apports en phosphore aux besoins chez la truie reproductrice. Au contraire, les sources de calcium sont peu onéreuses et, en l’absence de contrainte de teneur maximale sur cet élément, sa teneur peut être assez élevée dans les aliments. Phosphore et calcium doivent pourtant être apportés de façon équilibrée. Un modèle est proposé pour estimer en pratique les besoins en calcium de la truie reproductrice sur la base des connaissances disponibles, beaucoup plus limitées pour cet élément que pour le phosphore. Le modèle ne peut pas être utilisé pour simuler les effets d’une carence en l’apport de l’un ou l’autre minéral en raison des difficultés d’évaluation du degré de minéralisation osseuse qui conduisent à ne pas prendre en compte ce critère. Les tables de valeurs nutritionnelles des matières premières permettent de raisonner l’apport en phosphore sur une base digestible, mais ce n’est pas encore le cas pour le calcium. Une hypothèse de digestibilité est donc appliquée dans le modèle pour estimer le besoin en calcium total, qui devra être actualisée (de même que le calcul du besoin d’entretien) dès que les tables de valeurs des matières premières permettront de formuler les aliments sur la base du calcium digestible. Ces réserves étant posées, le modèle est utilisé pour quantifier le besoin en calcium selon le stade physiologique de la truie et son niveau de production (prolificité, production de lait).
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LECLERCQ, B., i C. BEAUMONT. "Etude par simulation de la réponse des troupeaux de volailles aux apports d’acides aminés et de protéines". INRAE Productions Animales 13, nr 1 (18.02.2000): 47–59. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.1.3768.

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Plusieurs modèles de simulation de réponse aux teneurs des aliments en acides aminés ou protéines, ainsi que d’estimation des besoins sont décrits et appliqués à trois productions&nbsp;: le poulet de chair en croissance, le canard de Barbarie en finition et la poule pondeuse. Ces modèles conduisent à l’estimation de besoins et de performances proches de ce qui est observé expérimentalement. Ils permettent une approche objective du besoin économique, défini comme la teneur permettant de minimiser le coût alimentaire du gain de poids. Il est ainsi possible de prévoir les effets probables de la sélection sur les besoins nutritionnels des espèces considérées. Chez les volailles de chair, la vitesse de croissance influence peu le besoin en acide aminé (exprimé en g par kg d’aliment). Au contraire les lipides corporels sont, avec l’efficacité énergétique d’entretien, l’un des facteurs déterminants ; plus les animaux sont maigres ou efficaces, plus ils exigent des régimes enrichis en acides aminés. Chez la poule pondeuse, ce sont les performances de ponte qui rendent le mieux compte de l’élévation des recommandations. Dans tous les cas, l’optimum économique, teneur en acides aminés de l’aliment permettant de minimiser le coût alimentaire, est très proche de la teneur permettant d’atteindre les performances maximales.
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GIDENNE, T. "Conséquences digestives de l’ingestion de fibres et d’amidon chez le lapin en croissance : vers une meilleure définition des besoins". INRAE Productions Animales 9, nr 4 (17.08.1996): 243–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.4.4058.

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Le lapin peut utiliser efficacement des aliments peu fibreux, à teneur élevée en énergie digestible. Mais la réduction de la teneur en fibres des régimes, associée le plus souvent à une élévation de la teneur en amidon, conduit à une augmentation de la fréquence des troubles digestifs (souvent mortels). Il faut donc maîtriser les apports alimentaires de fibres et d’amidon, aux plans quantitatif et qualitatif, pour permettre une croissance et une sécurité alimentaire optimales. Un apport de lignocellulose (ADF), faiblement dégradable, entraîne une réduction de la digestibilité du régime et stimule le transit digestif, mais modifie peu les fermentations caecales. Un apport de fibres relativement digestible (hémicelluloses + pectines), affecte modérément la digestion de l’aliment, n’entraîne pas de ralentissement du transit digestif et favorise l’activité microbienne caecale. Au plan de la santé de l’animal, un apport d’ADF paraît efficace pour réduire la fréquence des troubles digestifs et la mortalité pendant la période d’engraissement. L’activité microbienne caecale peut aussi être influencée par la quantité d’amidon entrant dans le caecum, elle-même dépendante de la nature de l’amidon et de l’âge de l’animal. L’augmentation de la teneur en amidon d’un régime peut favoriser l’apparition de troubles digestifs, même lors d’un apport d’ADF conforme aux recommandations actuelles. Ainsi, recommander un apport minimum d’ADF n’est pas suffisant pour assurer la sécurité d’un aliment, il faut y associer une norme d’apport maximum d’amidon. Le remplacement d’amidon par des constituants pariétaux à digestibilité élevée, dans un régime contenant un apport minimum de lignocellulose, pourrait être une solution à l’antagonisme entre efficacité et sécurité alimentaire chez le lapin en croissance.
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GIDENNE, T. "Conséquences digestives de l’ingestion de fibres et d’amidon chez le lapin en croissance : vers une meilleure définition des besoins". INRAE Productions Animales 9, nr 4 (20.08.1996): 243–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.4.4064.

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Streszczenie:
Le lapin peut utiliser efficacement des aliments peu fibreux, à teneur élevée en énergie digestible. Mais la réduction de la teneur en fibres des régimes, associée le plus souvent à une élévation de la teneur en amidon, conduit à une augmentation de la fréquence des troubles digestifs (souvent mortels). Il faut donc maîtriser les apports alimentaires de fibres et d’amidon, aux plans quantitatif et qualitatif, pour permettre une croissance et une sécurité alimentaire optimales. Un apport de lignocellulose (ADF), faiblement dégradable, entraîne une réduction de la digestibilité du régime et stimule le transit digestif, mais modifie peu les fermentations caecales. Un apport de fibres relativement digestible (hémicelluloses + pectines), affecte modérément la digestion de l’aliment, n’entraîne pas de ralentissement du transit digestif et favorise l’activité microbienne caecale. Au plan de la santé de l’animal, un apport d’ADF paraît efficace pour réduire la fréquence des troubles digestifs et la mortalité pendant la période d’engraissement. L’activité microbienne caecale peut aussi être influencée par la quantité d’amidon entrant dans le caecum, elle-même dépendante de la nature de l’amidon et de l’âge de l’animal. L’augmentation de la teneur en amidon d’un régime peut favoriser l’apparition de troubles digestifs, même lors d’un apport d’ADF conforme aux recommandations actuelles. Ainsi, recommander un apport minimum d’ADF n’est pas suffisant pour assurer la sécurité d’un aliment, il faut y associer une norme d’apport maximum d’amidon. Le remplacement d’amidon par des constituants pariétaux à digestibilité élevée, dans un régime contenant un apport minimum de lignocellulose, pourrait être une solution à l’antagonisme entre efficacité et sécurité alimentaire chez le lapin en croissance.
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Boctor, Dana. "Le rôle des fibres alimentaires et des prébiotiques dans le régime en pédiatrie". Paediatrics & Child Health 25, nr 4 (czerwiec 2020): 264. http://dx.doi.org/10.1093/pch/pxaa062.

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Abstract Les fibres alimentaires résistent à la digestion et à l’absorption. Les prébiotiques sont des fibres alimentaires fermentescibles (qui peuvent fermenter) qui sont bénéfiques pour la santé grâce à leurs effets sur la composition et l’activité du microbiome. La consommation de fibres alimentaires confère toute une série de bienfaits physiologiques. Les enfants encouragés à manger des aliments riches en fibres apprennent à adopter un régime à forte teneur en nutriments. L’introduction de sources variées de fibres alimentaires chez les jeunes enfants contribue à cristalliser leurs futurs choix alimentaires et à diversifier leur microbiote intestinal. Une faible consommation de fibres est reliée à une plus forte prévalence de constipation et d’obésité.
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Feinberg, Max. "Développements analytiques pour l’évaluation de la teneur en phytostérols des aliments : approche inter-laboratoires". Oléagineux, Corps gras, Lipides 14, nr 5 (wrzesień 2007): 267–72. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2007.0139.

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COMBES, S. "Valeur nutritionnelle de la viande de lapin". INRAE Productions Animales 17, nr 5 (5.10.2004): 373–83. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.5.3610.

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Les aliments pour l’homme, outre leurs aspects nutritionnels de couverture des besoins, ont acquis depuis peu une valeur santé. Face à ce phénomène, de nouveaux besoins de connaissances concernant les constituants des aliments sont apparus. Cet article a pour objet de montrer les points forts et les lacunes dans les connaissances relatives à la valeur nutritionnelle de la viande de lapin. 50 publications ont été sélectionnées. Pour des lapins aux âges et poids commerciaux d’abattage, les teneurs en protéines (21 + 1,5 % de viande fraîche), eau (72,5 + 2,5 % de viande fraîche) et minéraux totaux (1,2 + 0,1 % de viande fraîche) sont similaires dans les différents travaux et ne nécessitent pas d’autres investigations. Les principales causes de variations de la teneur en lipides (5 + 3,3 % de viande fraîche) sont connues et bien décrites (région anatomique et alimentation principalement). La viande de lapin est pauvre en sodium (49 mg/100 g) mais riche en phosphore (277 mg/100 g). Les teneurs en certains éléments tels le fer (1,4 mg/100 g), le cuivre ou le sélénium ne sont pas suffisamment bien établies. Par ailleurs les teneurs d’autres oligo-éléments n’ont à notre connaissance jamais été évaluées. Enfin, les données disponibles semblent indiquer que la viande de lapin montre un profil global en vitamines proche de celui observé chez le poulet. Il est cependant nécessaire de confirmer ces observations. La viande de lapin présente une teneur en cholestérol relativement basse comparativement aux autres viandes de 59 mg/100g et un ratio en acides gras oméga 6 / oméga 3 avantageux de 5,9. L’équilibre en acide gras de la viande de lapin, animal monogastrique et herbivore, montre par ailleurs une remarquable plasticité en fonction de l’équilibre en acide gras de la ration.
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MÉDALE, F., R. LE BOUCHER, M. DUPONT-NIVET, E. QUILLET, J. AUBIN i S. PANSERAT. "Des aliments à base de végétaux pour les poissons d’élevage". INRAE Productions Animales 26, nr 4 (18.08.2013): 303–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3159.

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L'aquaculture mondiale se développe (+ 8% par an) pour répondre à une demande croissante des consommateurs que les captures de pêche ne peuvent plus couvrir. Les besoins en aliments piscicoles et donc en matières premières s’accroissent, alors que les volumes de farines et huiles de poisson, ingrédients traditionnels des aliments aquacoles, ne peuvent augmenter. Selon les espèces, 80 à 95% de la farine de poisson peut être substituée par un mélange de sources protéiques végétales apportant les acides aminés indispensables en quantité suffisante pour couvrir les besoins des poissons. Au-delà de ce taux de remplacement, on observe une baisse de la consommation d'aliment, de l'efficience alimentaire et de la croissance, bien que les aliments contiennent les nutriments nécessaires aux poissons. Quant à l'huile de poisson, elle peut être remplacée jusqu’à 80 ou 100% par des huiles végétales sans effet délétère sur la croissanceet la santé des poissons, à condition que le régime apporte en quantité suffisante les acides gras essentiels à la couverture des besoins, qui diffèrent selon l'espèce : contrairement aux poissons marins, les salmonidés disposent en effet d’une relative capacité de synthèse d’acides gras longs polyinsaturés omega 3 à partir de l’acide linoléique. La conséquence majeure est une baisse de la teneur de ces acides gras dans la chair. Les recherches doivent se poursuivre pour affranchir encore davantage l'aquaculture des produits de la pêche, en choisissant des matières premières alternatives qui garantissent une production piscicole efficace, des produits de haute qualité et des impacts environnementaux limités.
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Richard, Didier, Hubert Guérin, Dominique Friot i N. Mbaye. "Teneurs en énergies brute et digestible de fourrages disponibles en zone tropicale". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, nr 2 (1.02.1990): 225–31. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8858.

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L'énergie brute (EB) de divers fourrages d'origine tropicale a été mesurée sur les fourrages suivants : Brachiaria mutica en vert en en foin, Chloris gayana en foin, Panicum maximum en vert (var. K187 B, var. T58) et en foin (var. C1), Stylosanthes guyanensis, tapis herbacé de pâturages sahéliens, pailles de mil, de riz et de sorgho, fanes d'arachide et de niébé. La teneur moyenne en EB de ces aliments est de 4182 kcal/kg MS (de 3431 à 4587) et de 4672 kcal/kg MO (de 4442 à 5018). La répartition des fourrages en cinq groupes permet d'obtenir une relation précise entre les teneurs en EB et en MAT exprimées par rapport à la matière organique (ETR = 39 kcal/kg MO, r = 0,89, n = 139). La digestibilité de l'énergie (DE) de divers fourrages a été mesurée au cours de 62 essais. Elle est comprise entre 35 et 78 p. 100 (45 et 65 p. 100 pour 74 p. 100 des fourrages) . Une relation très étroite est observée entre la DE et la DMO (ETR = 0,8, r = 0,996). La teneur en énergie digestible des fourrages varie entre 1560 et 3315 kcal/kg MS.
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MORAND-FEHR, P., i G. TRAN. "La fraction lipidique des aliments et les corps gras utilisés en alimentation animale". INRAE Productions Animales 14, nr 5 (17.12.2001): 285–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3753.

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La fraction lipidique des fourrages et des aliments concentrés est généralement moins bien connue que leurs fractions glucidiques, protéiques et minérales. La teneur lipidique de ces aliments se mesure par le dosage de l’extrait éthéré selon deux procédés suivant qu’une hydrolyse à chaud est nécessaire ou non pour obtenir l’extraction la plus complète possible des lipides de l’aliment. Les fourrages ont une teneur en extrait éthéré de 2 à 12 % et un taux d’acide linolénique le plus souvent supérieur à 50 % des acides gras totaux. A mesure que la plante fourragère passe du stade jeune pousse au stade de maturité, les proportions des acides palmitique, stéarique et oléique augmentent alors que celle de l’acide linolénique diminue. L’article présente la composition en acides gras d’une vingtaine d’aliments concentrés parmi les plus utilisés en alimentation animale. Ces valeurs sont issues de quatre bases de données (AFZ, CVB, MAFF et Souci) et d’une synthèse bibliographique récente de Givens pour les huiles végétales. Les céréales et les graines protéagineuses ont des teneurs en extrait éthéré souvent assez faibles (1,2 à 2,2 %) sauf le maïs et les co-produits de meunerie, une proportion très élevée d’acide linoléique (plus de 50 % des acides gras totaux) et des proportions faibles d’acides gras saturés, dominé par l’acide palmitique. La composition en acides gras des graines oléagineuses est variable selon l’espèce. Les huiles et farines de poisson sont caractérisées par une proportion importante d’acides gras polyinsaturés contenant plus de 18 atomes de carbone. Les compositions lipidiques des graisses et farines issues d’animaux terrestres sont remarquables par leur richesse en acides saturés et leur très faible proportion d’acides polyinsaturés. Il existe une bonne concordance entre les valeurs des banques AFZ et CVB pour les céréales et les graines oléagineuses, et entre les valeurs AFZ, SOUCI et celles de Givens pour les huiles et les graisses animales. En revanche, la table MAFF présente quelques divergences avec les tables AFZ et CVB. Même si l’apparition des bases de données a permis d’accéder à une connaissance plus objective dans ce domaine, des progrès restent à faire sur les facteurs de variation des teneurs en extrait éthéré et de la composition en acides gras des aliments, ainsi que sur les proportions des acides gras mineurs et isomères des familles n-6 et n-3.
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Mansouri, Mohamed. "Sodium intake and arterial hyertension". Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 2, nr 1 (30.06.2015): 19–23. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsra.2015.2105.

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Streszczenie:
Le lien entre le sodium et l’hypertension artérielle est maintenant bien établi mais il demeure discutable dans la population générale. De nombreuses études ont pu démontrer le rôle du sodium dans la régulation normale de la pression artérielle et dans la physiopathologie de l’hypertension artérielle. Toutes les recommandations internationales concernant le traitement non pharmacologique de l’hypertension artérielle proposent de limiter les apports sodés chez les patients hypertendus dans le but d'améliorer le contrôle de l’hypertension artérielle dans la population traitée ou non traitée. De ce fait, une politique de santé efficace passe entre autres par l’adoption de normes nationales sur l’apport alimentaire en sodium de même que par une législation favorisant un étiquetage explicite de la teneur en sodium des aliments préparés.
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Critch, Jeffrey N. "L’alimentation en milieu scolaire : appuyer l’offre d’aliments et de boissons sains". Paediatrics & Child Health 25, nr 1 (luty 2020): 39–46. http://dx.doi.org/10.1093/pch/pxz101.

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Résumé L’adoption de politiques et de directives alimentaires dans les écoles canadiennes permet d’accroître l’offre et la consommation d’aliments riches en nutriments tout en réduisant l’accès à des aliments et des boissons riches en sucres, en sodium et en gras saturés. Ces politiques favorisent des changements positifs pour la santé des enfants et des adolescents, tels qu’un meilleur indice de masse corporelle. Cependant, elles ont des effets mitigés sur la performance scolaire. Le présent document de principes présente les principaux éléments des politiques alimentaires en milieu scolaire, notamment les normes nutritionnelles. Ces politiques doivent respecter les recommandations du Guide alimentaire canadien et promouvoir la consommation d’aliments et de boissons riches en nutriments, dont la teneur en gras saturé, en sucre et en sodium est plus faible.
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DULPHY, J. P., J. ROUEL i J. BONY. "Association de betteraves fourragères à de l’ensilage d’herbe pour des vaches laitières". INRAE Productions Animales 3, nr 3 (4.07.1990): 195–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.3.4375.

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Dans 4 essais (2 en début de lactation et 2 en milieu de lactation) des betteraves fourragères ont été distribuées avec une ration à base d’ensilage d’herbe apporté à volonté. Les apports de betteraves ont varié de 0 kg à 4 kg de MS par jour et par animal. Lors des 2 premiers essais, la teneur en MS des betteraves était en moyenne de 12 % contre 21 % lors des 2 autres essais. Les betteraves pauvres en MS ont fait baisser notablement la quantité d’ensilage ingérée et leur valeur d’encombrement a été proche de 1, valeur élevée pour un aliment riche en énergie. Par contre, les betteraves riches en MS se sont comportées comme un aliment concentré et ont eu une valeur d’encombrement proche de 0,5. Lorsque les animaux ont reçu des betteraves, leur production de lait a très légèrement baissé de 0,23 kg de lait par jour. Par contre, simultanément le taux protéique a augmenté de 0,85 point et le taux butyreux de 1,23 point. Dans nos conditions d’expérimentation et sous réserve de tenir compte de la teneur en cendres des betteraves, ainsi que des interactions digestives qu’elles induisent en tant qu’aliment concentré, la valorisation énergétique des rations avec betteraves est correcte et comparable à celle prévue à partir de la valeur des aliments distribués.
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BRAVO, D., i F. MESCHY. "Vers une révision des recommandations d’apports en phosphore chez le ruminant". INRAE Productions Animales 16, nr 1 (9.02.2003): 19–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.1.3641.

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Pour répondre aux impératifs environnementaux émergents, il est devenu nécessaire de considérer les recommandations d’apport en phosphore à la fois sous l’angle d’une connaissance plus fine des besoins des animaux et de la maîtrise des rejets polluants. Les paramètres les plus sensibles de l’approche factorielle, besoin d’entretien et efficacité de l’utilisation digestive du phosphore ou coefficient d’absorption réelle (CAR), ont été réexaminés par l’analyse quantitative d’une base de données bibliographiques et par de nouvelles données expérimentales. Le besoin d’entretien apparaît fortement dépendant du flux salivaire de phosphore et de ses facteurs de variation ; il est donc logique de l’estimer à partir de la matière sèche ingérée et non du poids vif des animaux. La prise en compte de l’excrétion fécale du phosphore d’origine microbienne devrait contribuer à l’avenir à mieux préciser le besoin d’entretien. Les CAR retenus jusqu’à présent pour le calcul des recommandations sont notablement inférieurs aux données expérimentales publiées ; des différences substantielles sont observées entre les CAR des différents aliments et certains facteurs d’explication ont pu être mis en évidence. Les systèmes futurs devront adopter des valeurs de CAR différentes selon les aliments ou au moins selon les familles d’aliments. La vitesse de libération du phosphore dans le rumen est très variable selon les matières premières, ce qui suggère des différences importantes de disponibilité du phosphore pour l’écosystème du rumen. Dans la perspective d’une réduction sensible de l’apport de phosphore aux ruminants, il deviendra nécessaire de vérifier l’impact de cette disponibilité sur l’efficacité des microorganismes du rumen.
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BAS, P., i D. SAUVANT. "Variations de la composition des dépôts lipidiques chez les bovins". INRAE Productions Animales 14, nr 5 (19.12.2001): 311–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3755.

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La teneur et le profil des acides gras (AG) des dépôts adipeux et des muscles influencent la qualité de la viande. Les principales causes de variation de la composition des lipides de ces dépôts ont été étudiées chez les bovins par méta-analyse des données publiées. Le taux de lipides intramusculaires est influencé par le génotype et par le niveau d’ingestion d’énergie. L’accroissement des teneurs en lipides intramusculaires est presque exclusivement constitué de triglycérides (TG). La teneur en phospholipides (PL) varie peu pour un type de muscle donné. Les TG sont plus riches en AG monoinsaturés (AGMI) et en AG saturés (AGS) (TG / PL = 1,9 - 1,3 - 4,5 - 1,2 et 1,1 pour les AGMI - AGS - C14:0 - C16:0 et C18:0, respectivement) mais plus pauvres en AG polyinsaturés (TG / PL : environ 1/15 pour les AGPI) que les PL. Avec des rations contenant des aliments concentrés non supplémentés en matières grasses, les dépôts adipeux et les muscles présentent des teneurs plus faibles en C18:0 et en C18:3 mais plus élevées en C18:1 qu’avec des rations constituées uniquement de fourrage. En outre, dans les lipides intramusculaires, le rapport des AGPI n-6/n-3 est plus élevé avec des aliments concentrés qu’avec du fourrage. Excepté les huiles de palme et les graines de coton, les matières grasses végétales réduisent les teneurs en AGS dans les dépôts adipeux par rapport aux matières grasses d’origine animale. Les graines de lin et de carthame induisent les teneurs en AGPI les plus élevées dans les dépôts adipeux et le lin induit les teneurs les plus élevées en C18:3 dans les muscles. Dans les muscles, les teneurs en C18:2 sont peu influencées par la nature de la matière grasse ajoutée à la ration lorsque celle-ci n’est pas protégée. Les huiles de poisson diminuent les teneurs en C18:0 des muscles et augmentent les teneurs en AGPI à longue chaîne de la série n-3. Une supplémentation de la ration en matières grasses a un effet différent sur la composition en acides gras des triglycérides et des phospholipides des muscles selon la proportion relative des différentes classes de lipides.
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CARRE, B., J. GOMEZ, F. DE MONREDON i J. P. MELCION. "Qualité de la litière en aviculture. Aliments et caractéristiques physiques des excretas". INRAE Productions Animales 8, nr 5 (24.11.1995): 331–34. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.5.4146.

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L’article décrit la suite d’une expérience dans laquelle avait été établie la prédiction des consommations et excrétions d’eau chez les dindonneaux de chair. Les résultats présentés ici sont relatifs à la prédiction de l’état physique des excretas. Les excretas de dindonneaux nourris avec 27 régimes granulés différents sont caractérisés pour leur pouvoir collant à l’aide d’un rhéomètre destiné aux matériaux pâteux. Des notes visuelles de déstructuration sont également attribuées aux excretas. Le pouvoir collant et la note de déstructuration des excretas sont positivement corrélés entre eux (R2 = 0,26 ; n = 216) et sont chacun positivement corrélés à la teneur en eau des excretas (R2 = 0,23 et R2 = 0,55, respectivement ; n = 216). Ces mesures (valeurs moyennes par régime) sont reliées aux caractéristiques des régimes par régressions linéaires multiples. Les meilleures équations comportent les deux variables "viscosité utile réelle" (VUR) et "eau retenue par les parois végétales" (Eau-PAR). Les variables VUR et Eau-PAR sont respectivement affectées de coefficients positifs et négatifs. Les R2 des régressions sont de 0,485 et 0,819 pour le pouvoir collant et la note de déstructuration des excretas, respectivement. La rétention d’eau des parois végétales des régimes dépend de la rétention d’eau des parois des matières premières utilisées, qui varie dans un rapport de 1 à 4, et de la température en sortie de presse. Les plus fortes températures entraînent une réduction du pouvoir de rétention d’eau des parois végétales.
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CORRAZE, G., L. LARROQUET i F. MÉDALE. "Alimentation et dépôts lipidiques chez la truite arc-en-ciel, effet de la température d’élevage". INRAE Productions Animales 12, nr 4 (1.09.1999): 249–56. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3885.

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Cet article fait le point sur la régulation de la genèse des dépôts lipidiques par l’alimentation chez les poissons, sur la base de données bibliographiques existantes et de données personnelles obtenues chez la truite arc-en-ciel (Oncorhynchus mykiss). Chez la truite arc-en-ciel, l’importance quantitative des dépôts lipidiques corporels varie avec la teneur en lipides des aliments, mais les mécanismes de dépôts sont identiques quel que soit le régime alimentaire. Le tissu adipeux périviscéral est le principal site de stockage des lipides alimentaires chez cette espèce.Les régimes riches en glucides digestibles conduisent à une augmentation de la quantité de lipides corporels, qui semble plus liée à une épargne des lipides par les glucides qu’à une synthèse "de novo" de lipides. En effet, les capacités de néosynthèse des lipides à partir du glucose sont faibles chez la truite.La régulation de l’activité des enzymes de la lipogenèse est moins efficace chez les poissons que chez les autres espèces. Des variations de la teneur en lipides alimentaires supérieures à 10 % sont nécessaires pour induire des modifications notables de l’activité de ces enzymes. On observe un effet cumulé des lipides et des glucides alimentaires sur la lipogenèse hépatique.La température d’élevage interagit avec les facteurs alimentaires sur les mécanismes impliqués dans la constitution des dépôts lipidiques, en particulier le transport des lipides est accéléré à basse température mais la capacité de néosynthèse est moindre à 8° qu’à 18°C.
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GIGER-REVERDIN, S., J. AUFRERE, D. SAUVANT, C. DEMARQUILLY, M. VERMOREL i S. POCHET. "Prévision de la valeur énergétique des aliments composés pour les ruminants". INRAE Productions Animales 3, nr 3 (3.07.1990): 181–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.3.4372.

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La prévision de la valeur énergétique des aliments composés destinés aux ruminants était basée, jusqu’à présent, sur des données moyennes concernant des matières premières. Cette étude porte sur 83 aliments composés, les plus représentatifs possibles de l’éventail des types utilisés en pratique, et dont, par exenr ple, la teneur en céréales a varié de 0 à 90 %. Les mesures in vivo de digestibilités de la matière organique ou de l’énergie ont été effectuées par l’une des quatre équipes de recherche travaillant à Theix (INRA, France), à l’INA-PG (INRA, France), au Rowett Research Institute (Royaume-Uni) ou à Lelystad (IVVO, Pays-Bas). De plus, les pertes en énergie urinaire et sous forme de méthane ont été mesurées à Theix et au Rowett. Différents constituants ont été dosés suivant des méthodes utilisables par des laboratoires de routine : paroi cellulaire, lignocellulose, lignine (méthodes de Van Soest et de Christian), dégradabilités enzymatiques. Le calcul et la prévision de l’énergie nette procèdent d’une démarche par étapes successives. A chacune d’entre elles, le maximum de données mesurées in vivo, et dont la fiabilité a été préalablement testée, a été intégré. La validité des critères d’estimation nécessaires à chaque étape a été discutée tant au niveau de leur prévision que de leur fiabilité. Cette approche a conduit à proposer des équations de prévision des UFL et des UFV avec des écarts-types résiduels (E.T.R.) variant respectivement de 0,05 à 0,06 UFL/kg MO et de 0,06 à 0,08 UFV/kg MO suivant les critères analytiques considérés. Les trois dosages (lignine « directe », matières azotées totales, extrait éthéré) qui s’appuient sur des méthodes déjà appliquées en routine, conduisent à un E.T.R. de 0,056 UFL et de 0,0068 UFV/kg MO. L’intérêt de cette étude réside dans le nombre important de mesures effectuées in vivo, dans la représentativité des aliments étudiés, ainsi que dans la variété des méthodes de laboratoire impliquées.
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BRUNSCHWIG, P., C. HURTAUD, Y. CHILLIARD i F. GLASSER. "L’apport de lin dans la ration des vaches laitières : Effets sur la production, la composition du lait et des produits laitiers, les émissions de méthane et les performances de reproduction". INRAE Productions Animales 23, nr 4 (14.11.2010): 307–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.4.3310.

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La supplémentation en lin des rations des vaches laitières est une pratique qui se développe, avec pour objectifs l’amélioration de la qualité nutritionnelle du lait et la diminution des rejets de méthane. En effet, la recherche de laits moins riches en Acides Gras (AG) saturés et avec un rapport plus faible entre acide linoléique et acide linolénique, incite à utiliser des aliments riches en acides gras polyinsaturés (et en particulier en acide alpha-linolénique C18:3 n-3) pour corriger des rations insuffisamment riches en cet AGPI. Parmi les aliments des vaches laitières, le lin est un aliment particulièrement riche en C18:3 n-3. La diminution des rejets de gaz à effet de serre (dont le méthane) est également une préoccupation actuelle des filières animales. De nombreux essais de supplémentation en lin, sous différentes formes, ont été publiés ces dernières années, et les données disponibles permettent de tirer des conclusions sur ces effets attendus. Le présent article fait le point sur les disponibilités en lin et sur les différentes formes d’apport dans les rations. Les effets du lin sur la production laitière, sur la composition du lait et des produits laitiers, la production de méthane et la reproduction sont passés en revue. L’analyse des effets sur le lait s’appuie sur 41 essais zootechniques publiés. La culture de lin oléagineux est peu importante en France. L’approvisionnement est fait dans des pays européens et au Canada. Les variétés présentent des teneurs variables en acide alpha-linolénique. L’introduction de lin dans la ration diminue un peu la quantité de MS ingérée mais ne modifie en général pas la production laitière (volumes et taux). La teneur du lait en AG saturés diminue et le pourcentage en C18:1-trans est augmenté, et ce d’autant plus que l’apport de lipides se fait sous forme non protégée (graines extrudées, huile) et avec des rations riches en amidon (pour les AG trans). La teneur en C18:2 n-6 n’est en moyenne pas modifiée, sauf par l’apport d’huile. La proportion en C18:3 n-3 du lait est multipliée en moyenne par 2 ou 3 pour les formes pratiques les plus efficaces (graines aplaties, farine), et peut atteindre jusqu’à 1,4% des AG du lait avec ce type de supplémentations. Il n’apparaît pas d’effet dose de lipides apportée pour le C18:2 n-6 et le C18:3 n-3, alors qu’il en existe un pour les C18:1-trans. Le beurre et les fromages ont la même composition en AG que le lait dont ils proviennent. Les qualités organoleptiques de beurres et fromages ne sont pas modifiées par l’addition de lin dans la ration. Différents effets sont cités dans la bibliographie pour expliquer une augmentation potentielle de la fertilité, qui reste à confirmer. La production ruminale de méthane est diminuée par l’ajout de lin dans la ration. En conclusion, l’ajout de lin à la ration des vaches laitières a des effets analogues à ceux d’introduction d’herbe dans le régime fourrager, à l’exception d’une teneur en AG trans supérieure.
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MOUROT, J. "Utilisation du glycérol en alimentation porcine". INRAE Productions Animales 22, nr 5 (9.12.2009): 409–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.5.3365.

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Le développement de l’agrochimie va mettre sur le marché des matières premières des coproduits qui pourront être utilisés en alimentation animale. Afin de pouvoir les valoriser en production animale, il est nécessaire de montrer la bonne efficacité des ces coproduits en terme de performances de croissance, de qualité de la viande et aussi d’économie de production. Le développement de la production de diester à partir de la transestérification de l’huile de colza pourra permettre de disposer de glycérol. Son utilisation semble possible en alimentation animale. Les différentes données expérimentales montrent que, chez le porc, le glycérol alimentaire, à la dose de 5% d’introduction dans l’alimentation ne modifie pas l’appétence de l’aliment et n’a pas d’action négative sur les performances de croissance, sur la conversion énergétique des aliments et sur la composition tissulaire de la carcasse. Certains paramètres de la qualité de la viande sont améliorés comme la rétention d’eau et la teneur en lipides des muscles ce qui peut être bénéfique pour le rendement de transformation et la qualité organoleptique de la viande.
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BAUMONT, R. "Palatabilité et comportement alimentaire chez les ruminants". INRAE Productions Animales 9, nr 5 (20.10.1996): 349–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.5.4074.

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La palatabilité (ou l’ appétibilité) désigne les caractéristiques de l’aliment qui provoquent la réaction des sens de l’animal. Elle est le corollaire de l’appétit de l’animal pour l’aliment. Lorsqu’un seul aliment est disponible, la palatabilité peut être évaluée par la vitesse d’ingestion au début du repas et non par la quantité ingérée qui intègre en partie les effets post-ingestifs. Toutefois certaines techniques expérimentales permettent de séparer les deux phénomènes. Lorsque plusieurs aliments sont proposés, leur palatabilité est généralement évaluée par des tests de préférence. L’étude du comportement permet d’évaluer la motivation pour l’aliment plutôt que son résultat qui est la quantité ingérée. Les procédures de conditionnement opérant montrent comment l’animal maintient son choix pour un aliment préféré lorsqu’il devient de plus en plus difficile à obtenir. Les caractéristiques physiques de l’aliment (taille des particules, résistance à la cassure, teneur en matière sèche, hauteur et densité du couvert végétal...) participent à la réponse des sens. Elles influencent la facilité de préhension et de mastication et les animaux préfèrent généralement les aliments dont la forme physique permet une ingestion rapide. Le goût et l’odeur sont considérés comme des déterminants importants de la palatabilité, mais leurs effets sont difficiles à mesurer car ils dépendent de la technique expérimentale utilisée. La plupart des études sur la palatabilité sont réalisées à court terme (quelques minutes ou quelques heures). A plus long terme (plusieurs jours ou semaines) les préférences alimentaires semblent généralement être associées à des modifications digestives. Les animaux associent par apprentissage les effets post-ingestifs de l’aliment avec ses caractéristiques sensorielles. Les ruminants développent généralement des préférences pour les aliments qui leur permettent d’atteindre rapidement un état de satiété élevé. Ainsi la palatabilité mesurée par la réponse des sens à l’aliment intègre sa valeur nutritive. Cependant, pour une valeur nutritive donnée, les propriétés sensorielles intrinsèques de l’aliment peuvent stimuler plus ou moins un comportement alimentaire de nature hédonique, surtout dans les situations de choix et pour les animaux à faibles niveaux de productions. En première approche, la valeur hédonique de l’aliment peut être assimilée à la différence entre la quantité ingérée observée et celle prévue à partir de sa valeur nutritive.
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MELCION, J. P. "Emploi des liants pour le pressage des aliments des animaux : aspects technologiques et nutritionnels". INRAE Productions Animales 8, nr 2 (22.04.1995): 83–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.2.4115.

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Les liants (ou adjuvants de pressage) sont des additifs généralement dépourvus de valeur alimentaire qui sont incorporées à faible taux (0,5 à 2,5 %) dans les aliments composés dans le seul but d’augmenter le rendement des presses et la cohésion des granulés. Ces substances peuvent être d’origine organique ou minérale. Parmi les substances organiques, les lignosulfites sont des sous-produits de l’industrie papetière. Les substances minérales appartiennent essentiellement à la famille des argiles. D’autres additifs tels que les polysaccharides peuvent être utilisés dans l’élaboration des aliments pour les animaux aquatiques. Il existe des tests de laboratoire susceptibles d’évaluer l’aptitude liante ou lubrifiante de ces adjuvants de pressage, en fonction principalement de l’humidité et du type de matière première. Les essais à échelle pilote montrent généralement une influence positive de l’addition des lignosulfites sur les propriétés mécaniques des agglomérés et une tendance à une réduction de l’énergie consommée par la presse dans le cas de mélanges riches en céréales (et en amidon). L’effet des substances minérales est assez variable en regard des conditions de pressage. A échelle industrielle, les petites différences observées peuvent être masquées par les variations aléatoires liées aux essais en usine. Les adjuvants de pressage n’ont pas de valeur nutritionnelle en soi. Les lignosulfites et autres composés organiques peuvent faire exception en raison de leur teneur - bien que limitée - en sucres simples. Les liants minéraux sont considérés usuellement comme des diluants de la ration. Les effets indirects constatés sur l’indice de consommation peuvent être dûs à une augmentation de dureté des granulés. Un effet de tannage des protéines de l’aliment est possible avec les lignosulfites. Cependant, la structure et le comportement physique des argiles (bentonite, sépiolite) peuvent expliquer certains effets sur la digestibilité de l’énergie chez le monogastrique, par une modification de la rétention d’eau et de la durée de transit dans l’intestin de l’animal, et sur l’utilisation de l’azote chez le ruminant.
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GLOAGUEN, M., N. LE FLOC’H i J. VAN MILGEN. "Couverture des besoins en acides aminés chez le porcelet alimenté avec des régimes à basse teneur en protéines". INRAE Productions Animales 26, nr 3 (18.06.2013): 277–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.3.3157.

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Le coût élevé des matières premières ainsi que la pression environnementale rendent le contexte favorable à une réduction supplémentaire de la teneur en protéines des aliments des porcelets. Les acides aminés indispensables comme les acides aminés à chaîne ramifiée (la valine, l’isoleucine, la leucine) et l’histidine peuvent alors devenir des facteurs limitants pour la croissance. L’estimation du besoin en ces acides aminés est alors nécessaire pour équilibrer la protéine alimentaire et améliorer l’efficacité d’utilisation de l’azote. L’analyse de la réponse des performances à l’apport d’acides aminés est la méthode la plus employée pour estimer les besoins de croissance. Le protocole expérimental, le choix du critère de réponse et les méthodes d'estimation de la réponse sont des facteurs importants de la variation des besoins estimés. Les besoins moyens en valine, isoleucine, leucine et histidine, issus des données empiriques de la bibliographie et exprimés sur la base d'un rapport avec la lysine digestible iléale standardisée, sont respectivement estimés à 70, 52, 101 et 31%. Cependant, tout comme les carences, les excès d’acides aminés peuvent réduire les performances car les acides aminés sont en compétition pour leur catabolisme et leur transport. L’incorporation de sources de protéines contenant de l’hémoglobine augmente le besoin en isoleucine et un excès de leucine dans l’aliment augmente l’effet de la carence en valine. L’adéquation entre les apports et les besoins en acides aminés doit être recherchée pour baisser l’apport de protéines, réduire les rejets azotés et assurer l’objectif de production.
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GIDENNE, T. "Influence de la teneur en lignines des aliments sur la composition des digesta et la production de caecotrophes chez le lapereau". Annales de Zootechnie 36, nr 1 (1987): 85–90. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19870108.

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AUMAITRE, L. A. "Les aliments issus de plantes génétiquement modifiées : équivalence, efficacité et sécurité chez les animaux de ferme". INRAE Productions Animales 15, nr 2 (12.04.2002): 97–108. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.2.3690.

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On affirme, même sans preuve avérée, que les aliments issus de la transformation génétique des plantes présentent des risques pour l’homme et les animaux. On reconnaît seulement les avantages agronomiques des plantes génétiquement modifiées (GM) ayant fait l’objet d’une autorisation de dissémination. L’équivalence en substance (composition chimique), la sécurité et l’innocuité ont pourtant été vérifiées préalablement à leur autorisation. C’est seulement récemment que l’on a démontré chez les animaux de ferme l’équivalence nutritionnelle de ces plantes et de leurs dérivés. Aucun signe de toxicité du soja, du pois, du lupin, du coton, de la pomme de terre chez le rat ou du colza chez le lapin n’ont été observés. De nombreux travaux sur animaux cibles ont été récemment publiés : ils sont récapitulés et interprétés dans cet article. Ainsi, par exemple, 11 tests combinés de tolérance et de valeur alimentaire ont été effectués sur le poulet de chair et 11 tests sur le porc concernent le maïs grain, ou le soja résistant aux herbicides ou aux insectes. Les fourrages à base de plantes entières, les graines de coton , de soja GM ont fait l’objet de 17 publications de résultats observés sur les ruminants, vaches laitières et bovins à l’engrais, sur des durées allant de 21 à 246 jours. Ces essais montrent l’équivalence alimentaire des plantes GM par rapport aux plantes parentales ; aucun effet n’a été observé sur la composition et les propriétés technologiques du lait. La recherche de résidus de l’ADN transformant dans les muscles du poulet ou dans le lait des vaches s’est toujours avérée négative. Par ailleurs, la résistance aux insectes chez le maïs s’accompagne d’une réduction substantielle de la teneur en mycotoxines (trichotécènes, fumonisine B1) dans le maïs grain. Enfin, la réduction du taux de phosphore phytique dans le maïs permet de réduire considérablement les rejets de phosphore dans les effluents des élevages d’animaux monogastriques.
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Marion, M., i F. Denizeau. "Réponse des cellules du foie de truite arc-en-ciel exposées à des métaux lourds toxiques". Water Quality Research Journal 28, nr 4 (1.11.1993): 709–22. http://dx.doi.org/10.2166/wqrj.1993.038.

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Résumé Plusieurs métaux toxiques tels le cadmium (Cd), le mercure (Hg) et le cuivre (Cu) possèdent de nombreuses applications domestiques et industrielles. Au Canada, les métaux lourds sont reconnus comme polluants aquatiques majeurs. Notre laboratoire a récemment entrepris l’examen des effets des métaux lourds sur les hépatocytes de truite arc-en-ciel. Vu le manque de connaissances sur les interactions toxiques des métaux chez les organismes aquatiques, une attention particulière est portée à l’étude des mélanges. Les objectifs du présent travail sont (!) de déterminer l’accumulation du Cd, Hg et Cu par les hépatocytes de truite lors d’une exposition à ces métaux, seuls ou combinés, et (ii) de déceler les perturbations métaboliques induites telles que reflétées par l’activité de synthèse protéique des cellules. L’incorporation d’arginine tritiée ([3H]Arg) a été mesurée sur des hépatocytes soumis à des concentrations croissantes de Cd, Hg ou Cu. Dans chaque cas, on a noté une diminution de l’incorporation de 3H dans les protéines cellulaires. Cependant, si on en juge par les niveaux minimums nécessaires pour l’observer, le Cu apparaît comme le métal le moins cytotoxique. Un second groupe d’expériences a cherché à détecter si le Hg ou le Cu pouvaient altérer la réponse toxique causée par le Cd. Une incorporation légèrement plus faible a été observée lorsque le Hg est ajouté au Cd, mais sans que celle-ci soit statistiquement significative. De la même façon avec la paire Cd/Cu, il n’y a pas eu de modulation de la réponse au Cd par l’ajout du Cu. La capture de métaux a été évaluée dans les mêmes conditions que précédemment. L’analyse des métaux montre que les hépatocytes de truite sont capables de capter des quantités significatives des métaux non essentiels Cd et Hg. De plus, aucune compétition réciproque n’est observée pour leur entrée dans les hépatocytes. Enfin, en présence de Cd, la teneur cellulaire en Cu est comparable à celle des témoins. Les modèles cellulaires présentent plusieurs avantages dans le domaine de la toxicologie environnementale dont: la détection du potentiel nocif d’échantillons environnementaux complexes ainsi que l’Investigation du mode d’action des polluants toxiques.
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Kouakou, N’Goran David Vincent, Kouadio Frédéric Koffi, Cho Euphrasie Monique Angbo-Kouakou, Gningnini Alain Koné, Gouha Firmin Kouassi, Kouakou Ernest Amoikon i Maryline Kouba. "Enrichissement en acides gras polyinsaturés oméga-3 du jaune d’œuf de cailles (Coturnix coturnix japonica) par les graines d’euphorbe (Euphorbia heterophylla)". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, nr 3 (15.03.2018): 99. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31523.

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L’alimentation des cailles (Coturnix coturnix japonica) dans les fermes ivoiriennes est basée principalement sur les aliments commerciaux de poules pondeuses. Cependant, cette pratique pourrait nuire à la qualité nutritionnelle des œufs. L’objectif de cette étude était de déterminer l’impact de cet aliment (régime témoin) ou de sa supplémentation avec 5 % de graines d’euphorbe (Euphorbia heterophylla) (régime R5) sur le profil en acides gras des jaunes d’œufs de 30 cailles de 172 ± 2 g durant 15 jours. Les résultats ont montré que le régime R5 ne modifiait pas les teneurs en acides gras saturés, en acides gras mono-insaturés et en acides gras polyinsaturés oméga-6 (AGPI n-6) (p > 0,05). Cependant, il a induit une amélioration de la teneur en acides gras polyinsaturés oméga-3 (AGPI n-3) (p < 0,05) qui était cinq fois plus élevée que celle du régime témoin. Les proportions des acides gras C18:3 n-3, C20:5 n-3 et C22:6 n-3 des jaunes d’œufs issus de R5 ont été multipliées respectivement par 17, 11 et 3. Par ailleurs, le rapport AGPI n-6 / AGPI n-3 était inférieur à 4. Ainsi, l’incorporation de 5 % de graines d’euphorbe dans l’aliment commercial de poules pondeuses a permis d’améliorer la qualité nutritionnelle des œufs de cailles.
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Seboussi, Rabiha, Bernard Faye i Ghaleb Alhadrami. "Facteurs de variation de quelques éléments trace (sélénium, cuivre, zinc) et d’enzymes témoins de la souffrance musculaire dans le sérum du dromadaire (Camelus dromedarius) aux Emirats arabes unis". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, nr 1-2 (1.01.2004): 87. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9911.

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Les effets de l’age, du sexe, de la race et du statut physiologique sur le sélénium, le cuivre, le zinc, la créatine-kinase (CPK), l’alanine aminotransférase (ALT) et l’aspartate aminotransférase ont été étudiés chez le dromadaire (Camelus dromedarius). Au total, 240 animaux, jugés en bonne santé, parmi lesquels 166 de race locale, 68 croisée et 6 soudanaise, ont été choisis aléatoirement au sein d’une population de dromadaires provenant d’un seul troupeau. Ces dromadaires ont été classés en trois groupes d’âge : 2-4 ans, 5-7 ans, et 8 ans et plus. Les animaux ont été alimentés de luzerne, d’un mélange homogénéisé de lentilles, de dates et de soja, et d’un concentré. L’étude n’a indiqué aucun effet de la race sur les paramètres mesurés. Les faibles concentrations en zinc mesurées semblaient être dues à sa faible teneur dans les aliments supplémentés. Des corrélations significatives ont été obtenues entre le sélénium et le cuivre (0,292 ; p < 0,01), et entre le sélénium et le zinc (– 0,283 ; p < 0,01). Le sexe a montré une influence remarquable à l’exception de l’ALT. Le statut physiologique a affecté toutes les variables mais pas le CPK. L’intégration de ces éléments et la définition de leurs rôles précis chez les dromadaires de course sont d’une importance cruciale.
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Aboulhassan, Moulay Abdelazize, Salah Souabi, Abdelrani Yaacoubi, Nourredine Zaim i Fatima Zohra Bouthir. "Les effluents de tannerie caractérisation et impact sur le milieu marin". Revue des sciences de l'eau 21, nr 4 (20.10.2008): 463–73. http://dx.doi.org/10.7202/019168ar.

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Résumé Dans ce travail, nous avons caractérisé et évalué l’impact sur le milieu marin des rejets industriels de tannerie. Les résultats montrent que la qualité des eaux usées varie considérablement d’une étape de production à l’autre. Les opérations de prétannage (travail de rivière) sont les plus polluantes avec des teneurs en DCO qui peuvent atteindre 30 000 mg/L. L’analyse des eaux usées au niveau du bassin de collecte, où s’achemine l’ensemble des effluents de l’usine, montre une charge polluante importante et variable avec le temps. La DCO fluctue entre 700 et 3 400 mg/L et les matières en suspension entre 500 et 8 000 mg/L avec des charges polluantes moyennes de 114 et 358 kg/jour respectivement. Ces eaux sont aussi chargées en chrome avec des teneurs qui se situent entre 40 et 115 mg/L, soit une charge de 6,5 kg/jour. La teneur en sulfures varie entre 65 et 160 mg/L. En outre, l’indice de biodégradabilité (DBO5/DCO : 0.1 – 0.2) indique que ce rejet n’est pas facilement biodégradable. L’examen des teneurs en chrome chez des espèces bioindicatrices, la moule Mytilus galloprovincialis et les algues Ulva lactuca et Corallina officinalis, montre l’ampleur des apports en polluants causée par ce type de rejets au niveau de la mer. Les teneurs en chrome au niveau de ces espèces à proximité de point du déversement de ces eaux usées, sont élevées comparées à d’autres points plus éloignés.
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NOZIERES, M. O., J. P. DULPHY, J. L. PEYRAUD, C. PONCET i R. BAUMONT. "La valeur azotée des fourrages. Nouvelles estimations de la dégradabilité des protéines dans le rumen et de la digestibilité réelle des protéines alimentaires dans l’intestin grêle : conséquences sur les valeurs PDI". INRAE Productions Animales 20, nr 2 (7.06.2007): 109–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.2.3443.

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Le système PDI permet d’évaluer la valeur azotée des aliments sur la base des protéines, d’origine alimentaire et microbienne, digestibles dans l’intestin grêle. En 1988, les valeurs de la dégradabilité théorique des protéines dans le rumen (DT en %) et de la digestibilité vraie des protéines alimentaires dans l’intestin (dr en %) avaient été définies par catégories de fourrages. Depuis, de nombreuses mesures ont montré que la DT d’un fourrage variait notamment selon la famille botanique, le cycle et le stade de végétation. Nous présentons ici les méthodes d’estimation de la DT et de la dr pour les fourrages de prairies permanentes, de graminées et de légumineuses fourragères, qui ont été intégrées dans le calcul des valeurs PDI des Tables INRA 2007 de la valeur des fourrages. Pour les fourrages verts, nous avons rassemblé 375 mesures de DT (75,3 % en moyenne). L’analyse de cette base de données permet de prévoir les variations de la DT (r2 = 0,87 etr = 3,5) à partir des teneurs en MAT du fourrage et en considérant des effets fixes pour la famille botanique et le numéro du cycle. La DT des fourrages conservés a été estimée en fonction de la DT du fourrage vert correspondant à partir d’une base de données comportant 29 couples fourrages verts - foins et 48 couples fourrages verts - fourrages fermentés. La DT des foins est plus faible que celle du vert (de 7,9 points en moyenne) et varie dans le même sens qu’elle. La DT des ensilages sans conservateur et des fourrages enrubannés est d’autant plus faible que le fourrage conservé est riche en MS et que la DT du vert est également plus faible. A même teneur en MS, la DT d’un ensilage avec conservateur représente 96 % de celle de l’ensilage sans conservateur correspondant. La dr des fourrages a été estimée en exploitant une base de 63 mesures du résidu azoté intestinal obtenu par la technique des sachets mobiles après avoir vérifié que le résidu des sachets correspondait à l’indigestible vrai. La teneur en protéines indigestibles, et finalement la dr, sont modulées en fonction de la teneur en MAT du fourrage, de la famille, du numéro de cycle et du mode de conservation. Ces nouvelles méthodes d’estimation permettent de moduler, à travers l’effet de la teneur en MAT, les valeurs de DT et de dr selon le stade de végétation auquel le fourrage est exploité et selon le niveau de fertilisation azotée. Les effets de la famille botanique, du cycle de végétation et des différents modes de conservation de l’herbe sont également mieux pris en compte. Les nouvelles valeurs PDI des tables sont ainsi confortées. Les modifications induites par l’utilisation de ces nouvelles estimations de DT et dr portent principalement sur les valeurs PDIE qui diminuent pour les fourrages exploités au premier cycle à des stades de végétation précoces et qui augmentent légèrement pour les repousses. Pour les fourrages conservés, les valeurs PDIE des foins sont légèrement augmentées et celles des ensilages réalisés en coupe directe sont diminuées. Les valeurs des ensilages préfanés demeurent inchangées.
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COULON, J. B., E. ROCK i Y. NOËL. "(only in French) Caractéristiques nutritionnelles des produits laitiers et variations selon leur origine". INRAE Productions Animales 16, nr 4 (11.08.2003): 275–78. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.4.3666.

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Au cours des dernières années de nombreux travaux ont été réalisés sur les caractéristiques sensorielles des fromages d’AOC, dans le cadre général de l’objectivation de leur liaison à leur terroir (voir Martin et al 2003, dans ce même dossier). De plus en plus, et au-delà des produits AOC, les consommateurs sont à la recherche d’information sur les caractéristiques nutritionnelles des aliments qu’ils consomment, et des produits laitiers en particulier. Les fromages d’AOC sont particulièrement concernés par cette question, dans la mesure où les conditions de leur production peuvent conduire à des caractéristiques nutritionnelles spécifiques. Celles-ci relèvent schématiquement de deux domaines distincts, d’une part les caractéristiques liées à la microbiologie des laits et des fromages et d’autre part celles liées à leur teneur en macro ou micro-constituants d’intérêt nutritionnel (protéines, lipides, vitamines, minéraux…).L’objectif de ce texte est de fournir quelques points de repères sur le rôle des micronutriments et de la microflore sur la santé, sur les liens entre la microflore digestive de l’Homme et son système immunitaire, et sur les actions déjà engagées ou en projet pour identifier et comprendre le rôle de la consommation de fromages au lait cru sur la santé humaine. Voir la suite de l'article à l'adresse :https://www6.inrae.fr/productions-animales_eng/content/download/3821/39526/version/1/file/Prod_Anim_2003_16_4_05.pdf
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Irie, Jean-Gael Trazie Bi, Marie-Laure Aney Kando, Clarisse Akoua Kra i Sougo Aoua Coulibaly. "Effet des saisons sur la variation du niveau de pollution organique des eaux de la lagune Ebrié en Côte d’Ivoire". International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, nr 2 (3.06.2023): 720–34. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i2.35.

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La lagune Ebrié, plan d’eau vitale pour l’économie de la Côte d’ Ivoire, subit des pressions naturelles et anthropiques qui ont des conséquences néfastes sur sa faune aquatique. En effet, elles rejettent dans ce hydrosystème d’importantes quantités de polluants organiques, entrainant son eutrophisation. Une meilleure connaissance de la distribution de ces polluants dans la lagune Ebrié pourrait conduire à sa préservation durable. Cette étude s’est donnée pour objectif de déterminer l’impact de la variation des saisons sur la répartition des polluants organiques dans les eaux de la lagune Ebrié. Deux compagnes, menées en saison sèche et en saison pluvieuse, ont permis de mesurer les valeurs de la conductivité, du TDS et du potentiel d’oxydoréduction avec un appareil multi-paramètre de type YSI V2 et de prélever des échantillons d’eau. Ces échantillons ont été traités selon les protocoles appropriés pour obtenir les teneurs de l’orthophosphate, du nitrite, de l’ammonium, des matières en suspension et de la DBO5. Les teneurs des sels nutritifs et de la demande biochimique en oxygène ont permis la détermination du niveau de pollution organique des eaux lagunaires, grâce à l’indice de pollution organique (IPO). Les fortes valeurs de conductivité et du TDS s’observent en face du canal de Vridi et dans les baies du Banco et de Biétry. Les eaux ont un potentiel d’oxydoréduction et une teneur en matières en suspension plus important en période pluvieuse. Les baies enregistrent les teneurs les plus élevées pour la demande biochimique en oxygène et les contaminants azotés et phosphorés. Les valeurs de l’IPO fluctuent de 1,25 à 3,5 en saison pluvieuse et entre 1,5 et 3,5 en saison sèche. L’intensité de la pollution organique des eaux, en saison sèche et saison pluvieuse, varient de modérée à très fortement polluée. Les milieux qui présentent des intensités de pollution fortes ou très fortes pendant les deux saisons sont les baies de Marcory, Cocody, Koumassi, Adiopodomé, Yopougon et de Biétry. La variation des saisons entraine une distribution hétérogène des polluants organiques dans les eaux de la lagune Ebrié. The Ebrié lagoon, a body of water vital to the economy of Côte d'Ivoire, is subject to natural and anthropogenic pressures which have harmful consequences on its aquatic fauna. Indeed, they reject in this hydrosystem large quantities of organic pollutants, causing its eutrophication. A better knowledge of the distribution of these pollutants in the Ebrié lagoon could lead to its sustainable preservation. This study set itself the objective of determining the impact of the variation of the seasons on the distribution of organic pollutants in the waters of the Ebrié lagoon. Two campaigns, carried out in the dry season and in the rainy season, made it possible to measure the values of conductivity, TDS and oxidation-reduction potential with a multi-parameter device of the YSI V2 type and to take water samples. These samples were processed according to the appropriate protocols to obtain the contents of orthophosphate, nitrite, ammonium, suspended solids and BOD5. The levels of nutrient salts and biochemical oxygen demand made it possible to determine the level of organic pollution of lagoon waters, thanks to the organic pollution index (IPO). The high conductivity and TDS values are observed opposite the Vridi channel and in Banco and Biétry bays. The waters have a redox potential and a higher content of suspended solids during the rainy season. Berries record the highest levels for biochemical oxygen demand and nitrogen and phosphorus contaminants. The IPO values fluctuate from 1.25 to 3.5 in the rainy season and between 1.5 and 3.5 in the dry season. The intensity of organic water pollution, in the dry and rainy seasons, varies from moderate to very heavily polluted. The environments with high or very high pollution intensities during both seasons are the bays of Marcory, Cocody, Koumassi, Adiopodomé, Yopougon and Biétry. The variation of the seasons leads to a heterogeneous distribution of organic pollutants in the waters of the Ebrié lagoon.
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BESLE, J. M., i J. P. JOUANY. "La biomasse pariétale des fourrages et sa valorisation par les herbivores". INRAE Productions Animales 3, nr 1 (3.02.1990): 39–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.1.4359.

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Au sein de la biomasse végétale, les composés à teneur élevée en parois constituent une source d’aliments que seuls les herbivores peuvent utiliser. Parmi les herbivores, le Ruminant a été de loin le plus étudié. Les processus de dégradation anaérobie des composés lignocellulosiques dans le rumen mettent en jeu le rôle spécifique des micro-organismes (bactéries, protozoaires, champignons). Les produits du métabolisme microbien sont directement utilisés par l’animal hôte comme source d’énergie (acides gras volatils) ou comme principal fournisseur d’acides aminés (protéines microbiennes synthétisées dans le rumen) ou de vitamines (vitamines B). La teneur en lignine élevée de certains fourrages est cause d’une médiocre dégradation par les micro-organismes du tube digestif. Il est possible d’améliorer leur utilisation par trois moyens. Les traitements technologiques sont très nombreux mais seuls ceux aux alcalis, surtout à l’ammoniac, et, dans certains cas le broyage et les traitements hydrothermiques sont économiquement rentables et se développent dans la pratique. Les procédés aux moisissures blanches doivent encore être développés. Les autres traitements chimiques (oxydants, SO2), physiques (irradiation) et biologiques (enzymes, bactéries apportant des nutriments), ne sont pas suffisamment rentables. Les améliorations apportées par les meilleurs traitements ne permettent pas cependant de dépasser une digestibilité de 0,5 - 0,6 pour les résidus très lignifiés. Les recherches futures doivent développer d’autres voies tout en perfectionnant (efficacité, économie) les procédés actuels. L’optimisation de l’activité microbienne dans le rumen peut être atteinte en fournissant aux microbes les nutriments dont ils ont besoin. En outre, l’emploi du génie génétique ouvre des perspectives dans l’amélioration de la production d’enzymes microbiennes particulièrement efficaces à l’égard des parois ou en permettant le développement de certaines activités microbiennes dans des conditions de milieu peu favorables (cellulolyse en milieu de pH faible). L’optimisation des fermentations peut être atteinte en choisissant le type d’herbivore dont les caractéristiques morphologiques et physiologiques des réservoirs de fermentation sont optimisées, en premier lieu par leur position (rumen ou gros intestin) puis en sélectionnant divers critères (capacité, temps de séjour des aliments, répartition des phases liquides et solides, ...). Cette approche est d’un intérêt considérable pour les pays qui s’orientent vers un système d’utilisation des résidus très lignifiés de l’agriculture.
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SAUVANT, D. "Avant-propos". INRAE Productions Animales 14, nr 5 (17.12.2001): 283. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3752.

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Différentes raisons nous ont amenés à consacrer ce numéro spécial de la revue Productions Animales aux matières grasses dans l’alimentation animale. L’équilibre lipides/protéines des produits animaux représente, depuis des décennies, un critère essentiel de leur qualité. L’objectif général des actions de sélection et des pratiques alimentaires a été de réduire le niveau d’engraissement des carcasses. Ces actions étaient confortées par le fait que des animaux plus maigres sont de meilleurs transformateurs des aliments. Dans le cas du lait, les objectifs étaient et sont différents dans la mesure où le mode de paiement à la qualité tend à favoriser la teneur en matières grasses du lait. Cependant, dans le cas des vaches laitières, compte tenu de l’excès relatif global des matières grasses par rapport aux protéines laitières, il a été nécessaire de mettre en place des quotas de production de matière grasse. L’intérêt des filières pour la qualité des lipides animaux n’est pas récent. Ainsi, des publications de près de 50 ans d’âge évoquent déjà l’usage de critères subjectifs d’évaluation de la "tenue" du gras des carcasses ainsi que de la "tartinabilité" du beurre. Les premières méthodes objectives d’évaluation de la qualité des lipides animaux (indices d’iode et d’estérification …) ont permis des approches plus rationnelles. Une accélération marquée du progrès est survenue dans les années 60 grâce à l’apparition des techniques de chromatographie en phase gazeuse qui ont permis de quantifier individuellement les proportions des différents acides gras au sein d’une même matière grasse. Les matières grasses animales sont ainsi apparues plus riches en acides gras saturés que les matières grasses végétales (graisses de coprah et de palmiste exclues) et plus pauvres en acides gras essentiels. Les études de nutrition et de physiopathologie humaine ont abouti à une critique de la teneur excessive des aliments en acides gras saturés. De ce fait, les lipides animaux ont eu mauvaise presse dans les milieux de la diététique. Les recherches ont permis de mieux connaître les causes de variation de la composition en acides gras des produits animaux. Il est ainsi apparu que les matières grasses des différentes espèces animales ne présentaient pas la même composition ni le même degré de saturation, celui-ci étant en particulier plus faible chez les monogastriques que chez les ruminants. Les investigations plus récentes ont permis de mieux connaître des acides gras restés longtemps moins connus car plus difficiles à mesurer dans les lipides animaux et qualifiés de mineurs. Il s’agit en particulier d’acides gras à molécules ramifiées ou bien de certains isomères désaturés de type trans alors que la plupart des aliments contiennent des acides gras désaturés de type cis. Certains de ces acides sont l’objet d’un intérêt récent et important en raison de leur probable impact favorable sur la physiologie humaine. C’est par exemple le cas des acides gras désaturés trans conjugués de l’acide linoléique, en particulier le CLA (conjugated linoleic acid) ou acide ruménique. Ce dernier nom vient du fait que cet acide est élaboré dans le rumen des ruminants et se retrouve essentiellement dans les lipides corporels ou laitiers de ces animaux. L’alimentation en matières grasses des animaux présente également un regain d’intérêt en raison des modifications des sources alimentaires disponibles. En effet, les événements récents, liés à l’ESB, qui ont perturbé les filières animales ont eu pour conséquence l’interdiction des farines et des matières grasses d’origine animale dans l’alimentation des animaux d’élevage terrestres. Celles-ci étaient utilisées depuis au moins un siècle dans certains régimes, des porcs et volailles en particulier, dans le but d’améliorer la valeur énergétique des rations et d’obtenir des matières grasses animales présentant une couleur plus appréciée (blanche), une meilleure tenue et surtout une moindre sensibilité à l’oxydation (charcuterie sèche …). La substitution des matières grasses animales par des matières grasses d’origine végétale soulève un certain nombre de problèmes, zootechniques et technologiques, qui sont évoqués dans ce document. Nous tenons à remercier très sincèrement tous nos collègues qui ont accepté de contribuer à la réalisation de ce document qui fait suite à une journée CAAA (Cycle Approfondi de l’Alimentation Animale) organisé le 4 mai 2000 sur le même thème à l’INAPG.
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TRAN, G., i F. SKIBA. "Variabilité inter et intra matière première de la teneur en phosphore total et phytique et de l’activité phytasique". INRAE Productions Animales 18, nr 3 (15.07.2005): 159–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.3.3520.

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La valeur «phosphore» des aliments, dont la connaissance est nécessaire pour maîtriser les apports nutritionnels et les rejets dans l’environnement, est caractérisée par les teneurs en phosphore total et en phosphore phytique par l’activité phytasique endogène. Les teneurs en phosphore total varient fortement entre matières premières : de moins de 1 g/kg (paille de blé) à plus de 210 g/kg (certains phosphates). Le phosphore total représente en général moins de 20 % des matières minérales et le ratio phosphore total / matières minérales (P/MM) est caractéristique d’une famille biologique. Ainsi, pour les céréales et les graines oléagineuses (2 à 8 g/kg de phosphore total), l’extraction de l’amidon ou de l’huile conduit à une concentration en matières minérales avec un ratio P/MM relativement constant pour une espèce donnée (20 % pour le blé, 10 % pour le soja). Pour les produits végétaux autres que les grains et graines et leurs coproduits, les teneurs en phosphore total sont plus faibles (moins de 3 g/kg) et moins corrélées aux teneurs en matières minérales. Le phosphore phytique constitue en général de 50 à 80 % du phosphore total des matières premières végétales, avec une grande variabilité intra-espèce (30 à 90 % pour le blé). Les phytases végétales sont présentes de façon significative dans le seigle (plus de 5000 U/kg), les issues de blé, le triticale, l’orge et le blé, avec là encore une grande variabilité intra-espèce (de 250 à 1000 U/kg pour le blé). Différentes études montrent que le principal facteur de variation de la teneur en phosphore ou en phosphore phytique des céréales est le lieu de culture, à travers la fertilisation phosphatée et azotée ou le climat. Il existe souvent une relation linéaire reliant les deux critères. L’activité phytasique endogène semble surtout déterminée génétiquement mais en interaction avec le lieu de culture, ce qui rend ce critère difficilement sélectionnable. Elle n’est pas liée à la teneur en phosphore ou en phosphore phytique. Par ailleurs, les phytases végétales, comme les phytases exogènes, sont sensibles à la chaleur et il convient d’évaluer spécifiquement pour chaque atelier de fabrication l’effet de la technologie sur l’activité phytasique. La mesure de cette activité est enfin fortement sujette à des variations inter-laboratoires. De façon générale, la prédiction des teneurs en phosphore et surtout de l’activité phytasique n’est pas aisée, et les mesures de laboratoire sont souvent nécessaires.
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PHILIPPE, F. X., V. REMIENCE, J. Y. DOURMAD, J. F. CABARAUX, M. VANDENHEEDE i B. NICKS. "Les fibres dans l’alimentation des truies gestantes : effets sur la nutrition, le comportement, les performances et les rejets dans l’environnement". INRAE Productions Animales 21, nr 3 (23.08.2008): 277–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.3.3402.

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L’intérêt premier d’alimenter les truies gestantes avec des rations enrichies en fibres (REF) est de les rassasier sans apport excessif d’énergie. Une teneur en fibres de l’ordre de 15-20% de NDF (Neutral Detergent Fibre) permet ainsi aux truies d’adapter leur consommation à leurs besoins, ce qui permet d’envisager une distribution à volonté des aliments, technique qui réduit notablement le coût de l’équipement d’alimentation. L’effet des fibres sur la sensation de satiété est notamment attribuable aux plus grandes quantités consommées, à l’augmentation du temps consacré à l’ingestion et à un ralentissement de la vidange gastrique. L’amélioration du niveau de bien-être des truies résultant du rassasiement se traduit par une réduction de la fréquence des stéréotypies et des agressions. L’inconvénient d’une distribution de REF tient à une diminution, cependant limitée, de la digestibilité de l’énergie associée à une accélération du transit intestinal, une production accrue de méthane lors des fermentations et une diminution de l’accessibilité des enzymes digestives et microbiennes aux composants cellulaires. La valorisation de l’énergie provenant des fibres chez la truie est cependant meilleure que chez le porc en croissance. Pour autant que les apports alimentaires tiennent compte de la réduction de la digestibilité de l’énergie, les performances de reproduction des truies ne sont pas affectées. Au contraire, le développement du volume du tube digestif induit par les REF en cours de gestation permet une augmentation de l’ingestion en début de lactation, favorisant ainsi la production laitière et limitant la mobilisation des réserves corporelles. Au niveau environnemental, le recours aux REF diminue les émissions d’ammoniac mais favorise les émissions de méthane.
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SAUVANT, D., i J. L. PEYRAUD. "Calculs de ration et évaluation du risque d’acidose". INRAE Productions Animales 23, nr 4 (14.09.2010): 333–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.4.3312.

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L’acidose du rumen soulève des problèmes croissants dans les élevages intensifs. Il est donc souhaitable de pouvoir disposer d’indicateurs simple d’emploi et permettant d’évaluer le risque acidogène des rations dès le moment de leur calcul. Pour établir ces critères, différentes bases de données rassemblées sur des bovins ont été interprétées. Ces interprétations statistiques, par méta-analyses, ont permis de dégager des prédictions du pH moyen du rumen à partir de différentes mesures. Certains critères, pertinents mais difficile à mesurer, relèvent plutôt des unités de recherches (indice de mastication, digestion ruminale de l’amidon). D’autres paramètres peuvent être évalués sur le terrain à partir d’une caractérisation de la ration distribuée&nbsp;; c’est par exemple le cas de la proportion d’aliments concentrés, ou mieux, de la teneur en MS dégradable de la ration ou du NDF issus de fourrages longs au sein de la Matière Sèche (MS) de la ration qui sont aujourd’hui des critères facilement calculables à partir des tables de la valeur des aliments. La distinction entre les acidoses ruminale et métabolique a aussi été considérée dans ce travail. Pour chaque critère la valeur du pH de 6,2 a été prise comme seuil en dessous duquel le risque d’acidose du rumen était à considérer. A partir des 9 critères retenus, une grille d’évaluation a été proposée en distinguant de façon simple, pour chaque critère, les seuils et les situations à risque. Cette grille peut être facilement ajoutée aux logiciels de calcul des régimes de manière à pouvoir évaluer objectivement le risque d’acidose d’une ration, compte tenu des critères connus.
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Adewoye, Ezekiel Doyin. "Growth Comparison and Feed Content Analysis of Broiler". Nigerian Journal of Animal Production 50, nr 1 (6.12.2023): 13–20. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v50i1.3900.

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The present state of commercial feed industry and proliferation of new commercial feed brands and with promises of improved growth response of using one feed brand over another with other advantages as single phase feed, feed response index will be considered given that animal have different nutritional requirement at different stage of growth. On a weekly basic, based on the various phases, a combination feeding strategy based on the matching of feed to animal feeding phase by combining different feed category is essential for maximum gain for the raising period. a total of 250 Arbor Acres birds were used, the experiment followed a completely randomized design, with five treatments replicated four times, each replicate consisting of 12 birds. and weight recorded on a weekly basics, also feed samples were analysed for proximate composition for comparison with values on feed bag label to account difference in performance between nutrient dense or professional commercial feed to conventional commercial feed. The result showed that combination feeding of T4- Professional two feeding phase feed, T1- Professional Single Phase feed, T4, T2- Professional two phase feed, T5-Conventional Commercial feed, and T4 again consecutively in weeks was optimum and feed did not significantly differ for parameter as crude protein except for T1 and for fat and fibre content except for T2 and T4, showing difference in performnace might be due to certain content of feed or processing method. L'état actuel de l'industrie des aliments pour animaux commerciaux et la prolifération de nouvelles marques d'aliments commerciaux et avec les promesses d'une réponse de croissance améliorée en utilisant une marque d'aliment plutôt qu'une autre avec d'autres avantages comme l'aliment monophasé, l'indice de réponse alimentaire sera pris en compte étant donné que les animaux ont des besoins nutritionnels différents à chaque fois différents stades de croissance. Sur une base hebdomadaire, basée sur les différentes phases, une stratégie d'alimentation combinée basée sur l'adéquation de l'aliment à la phase d'alimentation de l'animal en combinant différentes catégories d'aliments est essentielle pour un gain maximum pendant la période d'élevage. Un total de 250 oiseaux d'Arbor Acres ont été utilisés, l'expérience a suivi un plan complètement randomisé, avec cinq traitements répétés quatre fois, chaque répétition étant composée de 12 oiseaux et le poids enregistré sur une base hebdomadaire, des échantillons d'aliments ont également été analyséspour déterminer leur composition immédiate afin de les comparer aux valeurs figurant sur l'étiquette du sac d'aliments afin de tenir compte de la différence de performance entre les aliments commerciaux riches en nutriments ou professionnels et les aliments commerciaux conventionnels. Le résultat a montré que l'alimentation combinée de l'aliment biphasé professionnel T4, de l'aliment professionnel monophasé T1, de l'aliment biphasé professionnel T4, de l'aliment biphasé professionnel T5, de l'aliment commercial conventionnel T5 et du T4 à nouveau consécutivement pendant des semaines était optimale et que l'alimentation n'avait pas d'effet significatif diffèrent pour les paramètres tels que les protéines brutes, à l'exception de T1, et pour la teneur en matières grasses et en fibres, à l'exception de T2 et T4, la différence de performance pouvant être due à un certain contenu de l'aliment ou à une méthode de transformation.
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Essebbahi, Issam, Chadia Ouazzani, Abdallah Moustaghfir, Abdallah Dami i Lhoussine Balouch. "Analyses physicochimiques de différents thés commerciaux et risque de l’excès de fluor chez la population au Maroc". International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, nr 4 (17.08.2020): 1203–13. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.4.

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Sous la forme de fluorure, le fluor entre dans la constitution des tissus durs comme les dents, les os et les cartilages. L’apport excessif en fluor pendant plusieurs mois ou plusieurs années lors de la période de formation des dents peut provoquer la fluorose. Certains aliments habituellement consommés au Maroc sont riches en fluor. Les traitements industriels de transformation, préparation et conservation mettent à la disposition du consommateur des aliments de coût moins chers et de compositions variables qui peuvent être nuisibles à la santé buccale. L’étude des qualités physicochimiques de différentes sources alimentaires de fluor constituées de différents thés noirs, verts, d’eaux de puits consommés par la population marocaine permet de dévoiler la corrélation entre la consommation des aliments riches en fluor et l’apparition de la fluorose dentaire. Différentes de tisanes de granules de 12 thés verts et noirs ont été préparés selon la variation de la durée d’infusion et du mode d’ébullition. Les teneurs de fluor, calcium, chlorures ont été déterminées par les méthodes spectrophotométriques sur 17 échantillons de thés verts et noirs commercialisés, thés glacés, thés de distributeur automatique, thé de buvette, thé de préparation familiale. La teneur en fluor a été déterminée sur 3 échantillons des eaux de puits, 3 eaux d’assainissement urbain de la région de Skhirat Témara afin de déterminer l’apport de fluor contenu dans l’eau de préparation des tisanes. Les analyses physicochimiques révèlent des taux de calcium de 14 à 60 mg/l, chlorures (14 à 75 mg/l) et de fluor (0,93 à 2,7 mg/l) chez les différents thés verts et noirs étudiés, thé de distributeur automatique, thé de buvette et familiale. Les analyses des taux de fluor de 3 échantillons de thés verts marquent Sultan, Menara, Dahmis et un thé noir Earl Grey révèlent des valeurs supérieures aux normes recommandées pour les enfants et les adultes. Le taux de fluor du thé de la buvette est supérieur à celui du thé de distributeur automatique et de préparation familiale. Ces résultats permettent de prévenir la population face au risque d’atteinte de la fluorose dentaire, en limitant la quantité de fluor ingérée par les aliments consommés. Les analyses des niveaux de fluor de tous les types de produits de thés et des eaux de préparation des thés permettront de disposer de mesures de protection de consommation excessive de fluor.Mots clés : Fluor, aliments, thés, Maroc, excès, risques, fluorose English Title: Physicochemical analyzes of different commercial teas and risk of excess fluorine in the population in Morocco In the form of fluoride, fluorine enters into the constitution of hard tissues such as teeth, bones and cartilage. Excessive intake of fluoride for several months or years during the period of tooth formation can cause fluorosis. Some foods usually consumed in Morocco are rich in fluorine. The industrial treatments of preparation, transformations make available to the consumer cheaper foods of variable composition which can be harmful to oral health. The study of physicochemical qualities of different food sources of fluorine consisting of different black teas, green teas and well water consumed by the population reveals a correlation between the consumption of foods rich in fluorine and the appearance of dental fluorosis. Different preparations of herbal teas from granules of 12 green and black teas were prepared according the variation of the infusion time, the boiling mode. The contents of fluorine, calcium, chlorides were determined by spectrophotometric methods on 17 samples of green and black teas from vending machines, refreshment tea, family preparation tea. The fluorine content was determined on 3 samples of well water, 3 urban sanitation water from the Skhirat Temara region in order to determine the fluorine content contained in the water for preparing herbal teas. The physicochemical analyzes reveal levels of Calcium (14 to 60 mg/l), Chlorides (14 to 75 mg/l) and fluorine (0.93 to 2.7 mg/l) in the various green and black teas studied, tea vending machine, refreshment and family tea. The analyzes of the fluoride levels of three samples of marketed green teas Sultan, Menara, Dahmis and an Earl Gray black tea reveal values higher than the recommended standards for children’s and adults. The fluoride level of the tea in the refreshment room is higher than that of the vending machine and family preparation tea. These results make it possible to warn the population facing the risk of developing dental fluorosis, by limiting the amount of fluorine ingested by the consumed food. Analyzes of fluoride levels of all types of tea products and tea preparation waters will provide measures to protect against excessive fluoride consumption. Keywords: Fluorine, foods, teas, Morocco, excess, risk, fluorosis.
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HENRY, Y. "Signification de la protéine équilibrée pour le porc : intérêt et limites". INRAE Productions Animales 1, nr 1 (11.02.1988): 65–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.1.4437.

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Après une première globalisation sur la base de la teneur en protéines du régime, le besoin azoté du porc en croissance a pris une signification composite par la prise en compte des besoins en acides aminés indispensables séparément les uns des autres, pour aboutir finalement à la notion de besoin en protéine équilibrée présentant une composition constante en acides aminés. L’amélioration de l’équilibre en acides aminés, associée à une réduction du taux de protéines dans l’aliment, est désormais rendue possible par la supplémentation à l’aide d’acides aminés industriels : en premier lieu la lysine seule, qui est généralement l’acide aminé le plus limitant des aliments pour porcs, puis la lysine avec les autres acides aminés limitants secondaires (thréonine, tryptophane, méthionine). En dehors de leur caractère limitant, des cas d’excès de certains acides aminés peuvent se présenter : déséquilibre entre acides aminés ramifiés, excès d’arginine, déséquilibre entre les acides aminés neutres qui pourrait expliquer l’effet dépressif d’un taux de protéines excessif sur l’ingestion alimentaire. Dans un deuxième temps, nous avons analysé les limites du concept de la protéine équilibrée : non constance de la composition en acides aminés des protéines fixées, différences dans le devenir métabolique des acides aminés, nécessité de prendre en compte la disponibilité des acides aminés. Par ailleurs, en dehors de l’économie de protéines, les bénéfices à attendre de l’amélioration de l’équilibre en acides aminés s’étendent à l’économie d’énergie alimentaire et à une stimulation de la consommation volontaire d’aliment, ce qui permet de viser tout à la fois un abaissement du coût de l’alimentation et une valorisation optimale des potentialités des génotypes à forte intensité de dépôt de tissus maigres.
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QUINIOU, Nathalie, Giuseppe BEE, Hanne MARIBO, Galia ZAMARATSKAIA i Peadar LAWLOR. "Quelles stratégies alimentaires pour couvrir les besoins nutritionnels des porcs mâles entiers et/ou immuno-castrés et pour réduire les risques d’odeurs de verrat dans la viande ?" INRAE Productions Animales 35, nr 2 (26.08.2022): 109–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2022.35.2.7079.

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Cet article fait le point sur les connaissances relatives aux besoins nutritionnels des porcs mâles non castrés chirurgicalement, dans la perspective de mieux valoriser leur potentiel de croissance pour une meilleure efficience alimentaire, tout en veillant à maintenir un faible risque d’odeurs de verrat et à préserver les qualités de la carcasse et de la viande. Les raisons pour lesquelles une alimentation à volonté des mâles entiers doit être privilégiée, plutôt qu’un rationnement alimentaire, avec des aliments plus concentrés en acides aminés, sont présentées, notamment pour optimiser leur potentiel de développement de la masse protéique. Elles s’appliquent également aux porcs mâles immuno-castrés, qui peuvent être nourris comme les mâles entiers jusqu’à la deuxième vaccination contre les odeurs de verrat. Au-delà, leurs besoins en acides aminés essentiels sont nettement inférieurs à ceux des mâles entiers et les apports peuvent être diminués. Le risque d’odeurs de verrat de la viande est un problème crucial pour l’aval qui doit être maîtrisé en amont dans la production de mâles entiers. À cette fin, les impacts de l’incorporation de divers ingrédients alimentaires susceptibles de réduire les teneurs en scatol sont discutés, tant pour ce qui concerne leur efficacité que les mécanismes mis en œuvre. Avec une très faible adiposité de carcasse, les mâles entiers présentent une teneur en lipides intramusculaires inférieure à celle des femelles et des mâles castrés chirurgicalement, ce qui pénalise la qualité organoleptique de la viande. Par ailleurs, les acides gras du tissu adipeux des mâles entiers peuvent être fortement insaturés, ce qui modifie l’aptitude technologique au séchage des produits. La prise en compte de ces critères dans les cahiers des charges peut orienter les recommandations alimentaires.
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DOURMAD, J. Y., C. LE MOUEL i P. RAINELLI. "Réduction des rejets azotés des porcs par la voie alimentaire : évaluation économique et influence des changements de la Politique Agricole Commune". INRAE Productions Animales 8, nr 2 (22.04.1995): 135–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.2.4120.

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Dans les régions de productions animales intensives, l’élimination des déjections constitue un problème crucial, en raison principalement des risques de pollution des eaux par les nitrates et de l’air par l’ammoniac. On a envisagé récemment, comme alternative ou en complément du traitement des effluents, des solutions préventives visant à réduire les rejets azotés à la source. Il s’agit principalement de mieux adapter l’apport protéique de l’aliment et d’améliorer les performances des animaux. Dans le contexte de la nouvelle politique agricole commune (PAC), nous avons tenté d’évaluer le coût de cette approche préventive. Les résultats montrent que la réforme de la PAC induit des modifications importantes dans la formulation des régimes. On constate ainsi une réduction de 1 à 1,5 point de la teneur en protéines des aliments qui s’accompagne d’une diminution de l’excrétion azotée de 0,2 à 0,4 kg/porc. Cependant, cette évolution est très sensible aux rapports de prix entre sources de protéines et d’énergie. La modification de la conduite de l’alimentation permet de réduire le rejet azoté jusqu’à 500 g/porc, tout en réduisant le coût “ matières premières ” de l’aliment de 8 à 13 F/porc (3 à 5%). Mais cette approche induit des investissements supplémentaires au niveau de l’élevage en terme de stockage et de distribution d’aliment. L’amélioration de l’équilibre du régime en acides aminés s’accompagne d’une augmentation du coût alimentaire d’autant plus importante que l’on s’éloigne de la solution optimale. Une réduction du rejet azoté de 500 g/porc entraîne ainsi un coût supplémentaire de 2 à 4 F /porc. Si l’on combine l’amélioration de la stratégie d’alimentation et l’amélioration de l’équilibre protéique du régime, on peut réduire le rejet azoté d’environ 20 à 25 % sans augmenter significativement le coût matières premières de l’aliment.
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HERNANDEZ-SHEK, M. A., P. PEULTIER, A. PAUSS i T. RIBEIRO. "Une revue des instruments de caractérisation rhéologique de biomasses appliqués à la méthanisation en voie solide continue". Techniques Sciences Méthodes 5 (22.05.2023): 48–81. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202305048.

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Cet article propose un état des lieux des méthodes pour la détermination des paramètres rhéologiques des biomasses grossières appliquées à la méthanisation en voie solide. La méthanisation en voie solide est un procédé biologique permettant la valorisation sous forme de biogaz des sous-produits à forte teneur en matières sèches, en particulier les sous-produits agricoles, les déchets ménagers et les déchets alimentaires. Afin d’assurer le développement de plusieurs technologies de méthanisation, des connaissances précises sur les propriétés rhéologiques des substrats et du milieu réactionnel sont indispensables pour la conception, l’opération et la simulation de procédés. Malgré l’importance des propriétés rhéologiques, très peu de données du comportement rhéologique de la biomasse grossière sont présentes dans la littérature. Cela s’explique par le fait que les rhéomètres rotatifs conventionnels ne sont pas bien adaptés à la biomasse hétérogène comportant des particules grossières et de longues fibres. Jusqu’à présent, les équipements rotatifs conçus permettent de déterminer les propriétés rhéologiques de biomasse concentrée contenant des particules d’une taille maximale de 3 cm alors que les biomasses peuvent contenir des fibres lignocellulosiques ayant jusqu’à 25 cm de longueur. Compte tenu de cette limitation instrumentale, différents appareils alternatifs issus des domaines de l’analyse du béton, des sols ou des aliments ont été récemment adaptés pour accéder à des propriétés rhéologiques des biomasses agricoles. Dans cet article, ces différents outils ont été répertoriés en précisant des informations sur les facteurs d’influence, les principes physiques théoriques, le montage expérimental et leur gamme d’application pour la biomasse. Hélas, pour certains de ces appareils, les relations trouvées sont à ce jour plutôt qualitatives que quantitatives et les raisonnements mathématiques permettant d’intégrer complètement les phénomènes physiques observés avec les facteurs influençant la rhéologie de la biomasse doivent encore être investigués afin de mettre en place des méthodes normalisées spécifiques à une biomasse grossière.
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Okon, B., L. A. Ibom, Y. D. R. Anlade i A. Dauda. "A biotechnology perspective of livestock nutrition on feed additives: a mini review". Nigerian Journal of Animal Production 49, nr 5 (26.05.2023): 47–58. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i5.3763.

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Biotechnology applications in livestock nutrition has significance in view of shortage of natural resources with associated conflicts, growing demand of animal products, by-products versus human population pressure necessitate needs for feed additives in livestock diets for better utilization of feeds and food materials which evolved from conventional, unconventional to novel alternative feed sources. The probiotic microorganisms, applications, mechanisms of action; advantages and safety of probiotics were explored. Prebiotics, their leading types, applications, safety of prebiotics and salient features of prebiotics as well as synbiotics, their impacts on livestock products (milk, meat, wool and eggs) quality as well as by-products. These microbes are involved in genetic manipulation of microbes in ruminants and monogastrics gastro-intestinal tracts (GIT’s) which are monumentally beneficial in the form of protection of protein microbes/requirements, amino acids and fats digestion, especially those from fibre in ruminants, and the reestablishment of natural and genetically modified microbes in the rumen. Genetically modified grains for nutritional improvements and anti–nutritional factors could include low phytate corn, high oil corn, and low oligosaccharide soybean. Growth promoters of phytochemicals and/or phytobiotic herbs are health boosters, in-feed enzymes, organic acids, digestive boosters, antimicrobial peptides, antibacterial and useful alternatives to antibiotics and hormones. Feed additives that also promote growth in heat stress conditions are electrolytes, betaine, amino acids, leaf extracts and trace minerals. Other additives for growth and better carcass quality products are in form of antioxidants as ractopamine, L-carnitine, amino acids, nucleotides in broiler diet, corn oil or fish oil. Organic acids (formic and propionic acids) serve as feed preservatives and are particularly effective. Others are lactic, citric, fumaric and sorbic acids plus their salts (such as calcium formate and calcium propionate). Mycotoxins are reduced through absorption and bioavailability by using numerous mycotoxin binders. Pre-mixtures are vitamins, minerals, carotenoids, acids, preservatives, needed in small amounts. Modern biotechnology holds promising diverse beneficial applications and solutions in different ways like environment protection, gut microbes’ manipulations, production of food (feeds, feed additives) for normal growth, better health, metabolic activities in a balanced diet, better welfare and well-being of our livestock and other emerging enterprises. Les applications de la biotechnologie dans la nutrition du bétail ont une importance compte tenu de la pénurie de ressources naturelles avec les conflits associés, la demande croissante de produits animaux, les sous-produits par rapport à la pression de la population humaine nécessitent des besoins en additifs alimentaires dans les régimes alimentaires du bétail pour une meilleure utilisation des aliments et des matières alimentaires qui ont évolué à partir de conventionnelles, non conventionnelles à de nouvelles sources d’alimentation alternatives. Les micro-organismes probiotiques, applications, mécanismes d’action ; les avantages et la sécurité des probiotiques ont été explorés. Les prébiotiques, leurs principaux types, leurs applications, la sécurité des prébiotiques et les principales caractéristiques des prébiotiques ainsi que des synbiotiques, leurs impacts sur la qualité des produits d’élevage (lait, viande, laine et œufs) ainsi que sur les sous-produits. Ces microbes sont impliqués dans la manipulation génétique des microbes chez les ruminants et les tractus gastro-intestinaux monogastriques (GIT) qui sont extrêmement bénéfiques sous la forme de protection des microbes/exigences protéiques, de la digestion des acides aminés et des graisses, en particulier celles des fibres chez les ruminants, et du rétablissement des microbes naturels et génétiquement modifiés dans le rumen. Les céréales génétiquement modifiées pour des améliorations nutritionnelles et des facteurs anti-nutritionnels pourraient inclure le maïs à faible teneur en phytates, le maïs à haute teneur en huile et le soja à faible teneur en oligosaccharides. Les promoteurs de croissance des phytochimiques et/ou des herbes phytobiotiques sont des boosters de santé, des enzymes alimentaires, des acides organiques, des boosters digestifs, des peptides antimicrobiens, des alternatives antibactériennes et utiles aux antibiotiques et aux hormones. Les additifs alimentaires qui favorisent également la croissance dans des conditions de stress thermique sont les électrolytes, la bétaïne, les acides aminés, les extraits de feuilles et les oligo-éléments. D’autres additifs pour la croissance et une meilleure qualité de carcasse se présentent sous forme d’antioxydants comme la ractopamine, la L-carnitine, les acides aminés, les nucléotides dans l’alimentation des poulets de chair, l’huile de maïs ou l’huile de poisson. Les acides organiques (acides formique et propionique) servent de conservateurs alimentaires et sont particulièrement efficaces. D’autres sont les acides lactique, citrique, fumarique et sorbique ainsi que leurs sels (tels que le formiate de calcium et le propionate de calcium). Les mycotoxines sont réduites par absorption et biodisponibilité en utilisant de nombreux liants de mycotoxines. Les pré-mélanges sont des vitamines, des minéraux, des caroténoïdes, des acides, des conservateurs, nécessaires en petites quantités. La biotechnologie moderne recèle diverses applications et solutions bénéfiques prometteuses de différentes manières, telles que la protection de l’environnement, les manipulations des microbes intestinaux, la production d’aliments (aliments pour animaux, additifs alimentaires) pour une croissance normale, une meilleure santé, des activités métaboliques dans une alimentation équilibrée, un meilleur bien-être et un meilleur bien-être de notre bétail et d’autres entreprises émergentes.
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