Rozprawy doktorskie na temat „1596-1650”

Kliknij ten link, aby zobaczyć inne rodzaje publikacji na ten temat: 1596-1650.

Utwórz poprawne odniesienie w stylach APA, MLA, Chicago, Harvard i wielu innych

Wybierz rodzaj źródła:

Sprawdź 50 najlepszych rozpraw doktorskich naukowych na temat „1596-1650”.

Przycisk „Dodaj do bibliografii” jest dostępny obok każdej pracy w bibliografii. Użyj go – a my automatycznie utworzymy odniesienie bibliograficzne do wybranej pracy w stylu cytowania, którego potrzebujesz: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver itp.

Możesz również pobrać pełny tekst publikacji naukowej w formacie „.pdf” i przeczytać adnotację do pracy online, jeśli odpowiednie parametry są dostępne w metadanych.

Przeglądaj rozprawy doktorskie z różnych dziedzin i twórz odpowiednie bibliografie.

1

Cassan, Elodie Buzon Frédéric de. "La théorie cartésienne du jugement". S. l. : S. n, 2008. http://doxa.scd.univ-paris12.fr:8080/theses-npd/th0494531.pdf.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
2

Mathieu, Louise. "Descartes et la question de Dieu : la place et la fonction de l'idée de Dieu dans la pensée cartésienne". Dijon, 2004. http://www.theses.fr/2004DIJOL022.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Descartes déclare, à plusieurs reprises, vouloir défendre la cause de Dieu, combattre les impies, apporter aux infidèles, et à tous ceux qui se sont détournés de l’Eglise, non seulement la preuve de l’existence de Dieu, mais aussi une doctrine solide sur la transsubstantiation, sur la liberté divine, sur Dieu et sur les vérités éternelles. Il dit aussi ne s’exprimer sur l’Infini que pour s’y « soumettre » et en parler « dignement ». Enfin, il ne cesse de répéter qu’il recherche la vérité dans les choses que pour marcher avec assurance en cette vie. Pour cela, il se dote d’une méthode et va chercher la preuve de l’existence de Dieu non dans le monde, c’est-à-dire dans l’expérience empirique, ni dans les Ecritures qu’il juge pourtant supérieures à ses pensées, mais dans son esprit. Seulement, par cette démarche où la raison se met à conceptualiser le nom de la transcendance et à vouloir la soumettre à son diktat, Descartes n’est, selon nous, plus en train de parler du Dieu de la Bible mais d’élaborer un ‘‘sujet-objet’’ de la métaphysique qui a le nom de Dieu mais qui n’est pas Dieu. En somme, en apportant des conceptions qui lui sont propres tout en clamant son christianisme et son respect pour la religion de son enfance (le catholicisme), il convient de s’interroger sur la philosophie autant que sur l’homme qu’était Descartes. Descartes peut-il se dire chrétien et insister sur son amour de Dieu, dans ses écrits, quand le Christ est absent de sa philosophie et que sa théodicée ne se réduit qu’à quelques lignes dans les méditations trois et six ? Que recherche-t-il ? Affirmer sa croyance en Dieu pour mieux s’y soumettre ? Prouver l’existence de Dieu dans le but d’en faire une assise solide pour sa nouvelle philosophie, laquelle comprend aussi bien une physique qu’une métaphysique ou bien élaborer son propre "sujet-objet métaphysique" ?Les intentions de l’auteur, qu’elles soient sincères ou non, ne montrent-elles pas, à travers ses tentatives de présenter une doctrine cohérente et acceptable sur l’Etre suprême, l’impossibilité de dire quoi que ce soit de vrai et de juste sur Dieu que ce qui a déjà été dit dans les Textes sacrés ? La seule preuve de l’existence de Dieu qui prévaut n’est-ce pas le Christ qui est Dieu et les miracles pour que nous puissions enfin croire que Dieu est amour et qu’il est vivant ?
Descartes declare on several occasions want to defend God, to fight impious persons, bring to infidels and persons who turn away church, the proof about the existence of God but also give them sound doctrine on transsubstantiation, divine liberty, God, eternals thruths. He says also speak about Infiny only for subject himself and speak about with great dignity. Lastly, he’s forever repeating that he look for the truth in the things for to go with insurance in this existence. For that, it obtains a method and will try to find the proof of the existence of God not in the world, i. E. In the empirical experiment, nor in the Scriptures which he however considers higher than his thoughts, but in his spirit. Only, by this step where the reason starts to conceptualize the name of the transcendence and to want to subject it to his diktat, Descartes is not, according to us, more speaking about God of the Bible but to work out an subject-object of the metaphysics which has the name of God but who is not God. All in all, while bringing his own conception, while protesting his christianity and his respect for the religion of his childhood (catholicism), one should do to wonder about his philosophy as much as on the man who was Descartes. Can Descartes think himself christian and to insist on his love of God, in his writings, when Christ misses of his philosophy and that his “théodicée” is reduced only to some lines in the meditations three and six ? What Descartes look for ? To affirm his belief in God for better subjecting himself to him ? To prove the existence of God with an aim of making him a solid base for his new philosophy, which does include a physics as well as a metaphysics or to work out his own "metaphysical subject-object" ? The intentions of the author, sincere or not, did they show, through his attempts to present doctrines coherent and acceptable on God, the impossibility of saying anything truth and valid on God that the sacred Texts tell to us ? The only proof of the existence of God who prevails isn't is the fact that the Christ who is God and the miracles so that we can finally believe that God is love and that his is alive?
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
3

Guenancia, Pierre. "Recherches sur les problèmes du sens et le fondement de l'objectivité dans les philosophies de la conscience : Descartes et l'intelligence du sensible". Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040140.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
La première partie de ce travail examine la question de la perception des choses sensibles dans différents textes de Descartes, notamment dans celui de la 2eme méditation consacrée à l'analyse du morceau de cire et montre qu'il n'a pas d'opposition entre la sensibilité et l'entendement pour la simple raison que c'est toujours l'entendement qui connait. L'esprit n'est donc pas chez Descartes divisé en facultés auxquelles correspondraient différents types de connaissances. La conception de l'âme comme chose qui pense reçoit de ce résultat un éclairage nouveau, car le donné sensible n'est pas réfractaire à la pensée. C'est le sensualisme et l'idée empiriste d'une connaissance sensible que Descartes critique, ce n'est ni les sens ni le sensible. La deuxième partie montre comment les analyses cartésiennes des passions établissent que celles-ci ne sont pas des ennemies de la raison mais sont au contraire indispensables au contentement de l'âme unie au corps dont l'importance dans la morale est par là soulignée. L'entendement et la sensibilité ne s'opposent pas plus ici que dans le domaine de la connaissance, et c'est même le principe d'une telle dualité qui se trouve remis en question. Plus pertinente que cette distinction est celle que Descartes n'a pas cessé de faire entre la connaissance directe et la connaissance réfléchie, celle-ci caractérisant à ses yeux l'entendement dans son usage spécifique. La conclusion montre comment se rejoignent les analyses de la connaissance des choses sensibles et celles des passions et comment la métaphysique cartésienne peut s'appliquer naturellement à la connaissance et à la pratique du monde
The first part of this work examines the problem of the perception of sensitive things in various texts by Descartes, namely in tat of the 2nd meditation devoted to the analysis of the piece of wax and shows that there is no opposition between sensitivity and understanding for the simple reason that it is always understanding that comes to knowledge. Therefore, in Descartes, the mind is not divided into faculties to which different types would correspond. The conception of the soul as a thing that thinks comes under a different light through this result, for the sensitive is not reluctant to the thought. It is the sensualism and the empiric idea of a sensitive knowledge that are criticized by Descartes, it is neither the senses nor the sensitive. The second part shows how the Cartesian analyses of passions state that the latter are not enemies to reason but on the contrary are necessary to the satisfaction of the soul united to the body whose importance in morality is therefore emphasized. Reasoning and sensivity are no more opposed here than in the field of knowledge and it is even the principle of such a duality which is questioned. Even more relevant than this distinction is the one Descartes kept on making between direct knowledge and reflexive knowledge, the latter characterizing, for him, understanding in its specific use. The conclusion shows how the analysis of the knowledge of sensitive things and that of passions merge, and how Cartesian metaphysics can naturally apply to knowledge and the practice of the world
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
4

Delia, Luigi. "La verità filosofica nel pensiero di Descartes : studio storico, critico e semantico". Dijon, 2007. http://www.theses.fr/2007DIJOL025.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
La question de la vérité, c’est-à-dire de sa recherche et des expériences requises pour s’en emparer; de sa possibilité et de son origine; de ses caractères et des choix qui portent sur elle; de sa force contraignante et de sa formation intellectuelle; de sa cohérence et de sa correspondance; de son univocité et de sa diverse modulation discursive; de l’usage, enfin, qu’il convient qu’on en fasse en vue du progrès de la science et du perfectionnement moral de l’homme, n’est pas une question locale, mais traverse comme une idée directrice l’ensemble du projet (cohérent, et en même temps, pluriel) de la philosophie cartésienne. Notre thèse s’est fixé un triple objectif: reconstruire le contexte intellectuel dans lequel se forme l’idée cartésienne de vérité; mener une enquête plus intrinsèque à l’œuvre de Descartes, visant à réfléchir sur les principaux problèmes interprétatifs liés à cette notion; accomplir une étude lexicale consacrée au registre négatif de la vérité
The question of truth, that is of its research and of the proper experiences that allow to grasp it (the necessity of the method); of its possibility and of its origin; of its characteristics and of the choices that imply it; of its constraining force and of its intellectual formation; of its coherence and of its correspondence; of its univocallity and of its diverse discursive modulation (distinction of the three primitive notions); of the use, last, that we must rightly make of it in light of science’s progress and of human moral development, is not a localised question but indeed transpires through all the Cartesian philosophy project. The defended thesis was fixed around a triple objective: to reconstruct the intellectual context within which is shaped the Cartesian idea of truth; to conduct an enquiry within Descartes’ work, aiming to think over the main interpretative problems linked to this notion; to conduct a lexical study dedicated to the negative register about truth
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
5

Dumont, Pascal. "L'art d'émerveiller : étude sur la pensée esthétique de Descartes". Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010559.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Le premier écrit du jeune Descartes, l'abrégé de musique (1618), exprime déjà un refus de l'idée antique d'harmonie et une rupture avec le néoplatonisme de la renaissance qui attribuait un pouvoir magique à la musique. Les recherches de Descartes sur la gamme naturelle le montrent soucieux de ramener les accords musicaux à un mécanisme dont d'habiles praticiens pourront tirer des effets. Cette vision technique, contemporaine de la naissance de l'opéra, conduit à relativiser le jugement de gout et se prolongera, en 1637, par la dévalorisation de l'affectivité. La perception, conçue comme lecture codifiée du monde, déréalise l'objet et interdit toute ontologie des formes. La peinture hollandaise du dix-septième siècle illustre cette définition de l'image comme cryptogramme. Une telle dévitalisation du monde donne la primauté à l'adresse de l'artiste dans l'œuvre. Descartes substitue ainsi à l'émotion esthétique devant la beauté des choses, l'admiration pour la libre invention d'un agent (humain ou divin). Ce renversement trouve son accomplissement dans l'éthique cartésienne : la fermeté dont un homme est capable, dans la libre conduite de ses actions, est, pour l'acteur, source de joie, et, pour le spectateur, la seule source authentique d'émerveillement.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
6

Starzynski, Wojciech. "Les implications théologiques et religieuses dans la métaphysique de Descartes". Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040069.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Cette recherche fait recours à la méthode phénoménologique dans l'histoire de la philosophie et procède dans trois registres : 1)dans les 'regulae', Descartes élabore une notion dé-théologisée de l'objet. En s'appuyant sur la relation entre formel et objectif, les 'meditationes' élargissent ce concept jusqu'à définir Dieu comme archétype de tout objet. 2)malgré le silence sur la question de l'analogie, il est possible d'identifier ses figures dans l'oeuvre cartésienne. De plus, sa doctrine de la substance se caractérise par une univocité de type phénoménologique. 3)L'ordre des attributs divins dans la métaphysique de Descartes devient lisible par une analyse comparative avec la pensée de Suarez. Descartes marque son originalité par le recours aux expériences de Dieu dans le doute et en tant que "causa sui". Ainsi, les implications théologiques prennent aussi une dimension religieuse : ce qui confirme la doctrine cartésienne de la transsubstantation.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
7

SILVA, PRISCILA ALBA DA. "TRUTH X VERISIMILITUDE: NOTES FROM RENÉ DESCARTES (1596-1650) AND GIAMBATTISTA VICO (1668-1744)". PONTIFÍCIA UNIVERSIDADE CATÓLICA DO RIO DE JANEIRO, 2016. http://www.maxwell.vrac.puc-rio.br/Busca_etds.php?strSecao=resultado&nrSeq=27504@1.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
PONTIFÍCIA UNIVERSIDADE CATÓLICA DO RIO DE JANEIRO
COORDENAÇÃO DE APERFEIÇOAMENTO DO PESSOAL DE ENSINO SUPERIOR
PROGRAMA DE SUPORTE À PÓS-GRADUAÇÃO DE INSTS. DE ENSINO
Partindo da análise das obras de René Descartes (1596-1650) e da concepção de retórica enquanto uma metalinguagem, fornecida tanto por Roland Barthes quanto por Haroldo de Campos, investigamos certa tensão entre Giambattista Vico (1668-1744) e o filósofo francês. Atrito forjado a partir da leitura indireta do retor napolitano das obras de Descartes. Este trabalho trata, portanto, da diferença entre a certificação do conhecimento em Descartes e Vico, diferença que, segundo elucidamos, pode ser situada na tensão entre os conceitos de verdade e verossimilhança, respectivamente, bem como nos conceitos de sentido e senso. Em 1699, Giambattista Vico assumiu a cátedra de Retórica na Universidade Real de Nápoles. A partir deste ano e, até o ano de 1707, o filósofo proferiu discursos de abertura dos anos letivos nesta instituição. Esses discursos nos chegam sob o título de Orazioni Inaugurali (1699-1707), donde foram analisadas, na presente dissertação, às duas primeiras, concernentes aos anos de 1699 e 1700. Tal análise procurou nuançar não apenas o entrelaçamento entre forma e conteúdo como, também, a partir disso, sugerir que a verossimilhança viquiana incide formalmente em seus textos, assim como a verdade cartesiana seria derivada de certa estrutura textual.
Analyzing the works of René Descartes (1596-1650) and the conception of rhetoric as a meta language, provided both by Roland Barthes and by Haroldo de Campos, we investigated tension between Giambattista Vico (1668-1744) and the French philosopher. Misunderstanding forged from indirect reading of Neapolitan rector of the works of Descartes. This work analyzes the difference between the certification of knowledge in Descartes and Vico, a difference that, according elucidated, may be located in the tension between the concepts of truth and verisimilitude, respectively, as well as the concepts of way and sense. In 1699, Giambattista Vico took over the chair of Rhetoric at the Royal University of Naples. From this year by the year 1707, the philosopher gave opening speeches of school years at this institution. These talks come in under the heading of Orazioni Inaugurali (1699-1707), from which were analyzed in the present work the first two, pertaining to the years 1699 and 1700. This analysis sought to nuance not only the interweaving between form and content as, also, from there, suggest that the verisumilitude viquiana focuses formally in his writings, as well as the Cartesian truth would be derived from certain textual structure.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
8

Feller, Waldemar. "Descartes e as humanidades". [s.n.], 1998. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/251102.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Orientador: Newton Aquiles Von Zuben
Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Faculdade de Educação
Made available in DSpace on 2018-07-24T21:09:48Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Feller_Waldemar_D.pdf: 431763 bytes, checksum: cf9ae85d94616e7a1c5709297429efc3 (MD5) Previous issue date: 1998
Doutorado
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
9

Cavaillé, Jean-Pierre. "Descartes la fable du monde /". Paris : J. Vrin : EHESS, 1991. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35490084g.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
10

Veloso, Filho Isaú Ferreira. "A estética cartesiana entre a Teoria dos afetos e o Gosto subjetivo". reponame:Repositório Institucional da UFOP, 2015. http://www.repositorio.ufop.br/handle/123456789/6378.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Programa de Pós-Graduação em Filosofia. Departamento de Filosofia, Instituto de Filosofia, Artes e Cultura, Universidade Federal de Ouro Preto.
Submitted by Maurílio Figueiredo (maurilioafigueiredo@yahoo.com.br) on 2016-02-17T16:19:10Z No. of bitstreams: 1 DISSERTAÇÃO_EstéticaCartesianaTeoria.pdf: 999887 bytes, checksum: 2857c2d0478213e1da1264693363ee6b (MD5)
Approved for entry into archive by Oliveira Flávia (flavia@sisbin.ufop.br) on 2016-04-08T12:59:16Z (GMT) No. of bitstreams: 1 DISSERTAÇÃO_EstéticaCartesianaTeoria.pdf: 999887 bytes, checksum: 2857c2d0478213e1da1264693363ee6b (MD5)
Made available in DSpace on 2016-04-12T19:45:32Z (GMT). No. of bitstreams: 1 DISSERTAÇÃO_EstéticaCartesianaTeoria.pdf: 999887 bytes, checksum: 2857c2d0478213e1da1264693363ee6b (MD5) Previous issue date: 2015
O principal objetivo desta dissertação é avaliar em que medida os escritos de Descartes sobre música podem ser consideradas de cunho estético, isto é, possibilitam se pensar em uma estética cartesiana. Com vista a atingi-lo, é necessário avaliarmos o contexto musical no qual o filósofo está inserido, e escreve a sua primeira obra, o Compêndio de música em 1618. Desta forma, poderemos ajuizar em que medida o autor adere ou distancia dos ditames da teoria dos afetos, e como esta influencia numa análise estética do autor. Que nos parece, neste primeiro momento, ser composto por tons claramente racionalistas. Outra fonte essencial acerca do seu pensamento musical, e que iremos dissecar na dissertação, são as cartas que ele troca com seu amigo Marin Mersenne entre os anos de 1629 e 1631. Momento em que o filósofo parece estar distante da visão racionalista do seu tempo, representada por seu interlocutor Mersenne, buscando uma interpretação sobre o prazer proporcionado pela música que leve em consideração questões inerentes ao gosto subjetivo dos ouvintes. Gosto este, que é característica das estéticas modernas. No decorrer dos treze anos entre a escrita do seu primeiro livro e as cartas trocadas com Mersenne iremos apontar as mudanças operadas no discurso cartesiano sobre a música e, por conseguinte, os reflexos na sua visão estética. ______________________________________________________________________________________________________
ABSTRACT: The main objective of this dissertation is to evaluate to what extent the writings of Descartes about music can be considered an aesthetic imprint, so, that it is possible to think of him aesthetic Cartesian. In order to achieve that, it is necessary to evaluate the musical context in which the philosopher is inserted, and writes his first work, the Music Compendium in 1618. In this way, we can assess the extent to which the author adheres or distance from the dictates of the theory of affections, and how this influences an aesthetic analysis of the author. Which seems to us, at this moment, to be composed of clearly rationalist tones. Another essential source about this musical thinking and we will dissect in the dissertation, are the letters that he exchange with his friend Marin Mersenne, between the years 1629 and 1631. Moment that the philosopher seems to be far from the rationalist view of his time, represented by his interlocutor Mersenne, seeking an interpretation about the pleasure provided by music that takes into account issues related to the subjective liking of the listeners. A liking that is characteristic of the modern aesthetic. During the thirteen years between the writing of his first book ant letters exchanged with Mersenne, we will point out the changes made in Cartesian discourse about music, and therefore, the impact on their aesthetic vision.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
11

Gasparri, Giuliano. "La ricezione della teoria cartesiana delle verità eterne nella seconda metà del XVII secolo". Paris, EPHE, 2005. http://www.theses.fr/2005EPHE5013.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
La recherché consiste dans une étude de la réception et des développements de la théorie de la création des essences et des vérités éternelles dans le cartésianisme, entre 1650 et 1700. L’histoire de la théorie cartésienne des vérités éternelles, énoncée pour la première fois dans les lettres de René Descartes à Marin Mersenne du 1630 (AT I, 145-153) touche à des nombreux problèmes philosophiques, du statut des axiomes logico-mathématiques aux questions théologiques sur le rapport entre possibles et toute puissance divine. Tous les philosophes les plus importants, pendant plus d’un siècle, vont se confronter avec l’idée de la dépendance de Dieu des vérités éternelles, qui sera l’une des questions les plus épineuses que la théologie rationnelle essaiera de résoudre. Cette étude analyse les opinions sur ce sujet entre autres de Louis de La Forge, Pierre Cally, Robert Desgabets, Jean Sperlette, Pierre-Sylvain Régis, Pierre Poiret, Claude Clerselier, Nicolas Malebranche, Simon Foucher, Louis de la Ville, Pierre Daniel Huet, Jean du Hamel, Henri Lelevel, Adrian Heereboord, Christoph Wittich, Frans Burman, Lambert Van Velthuysen, Arnold Geulincx, Baruch Spinoza, Cornelis Bontekoe, Pierre Bayle, Samuel Pufendorf, Gottfried Wilhelm Leibniz, Jean le Clerc, Jean-Robert Chouet, Antoine le Grand, John Locke, Samuel Parker, John Sergeant, Henry Moore, Ralph Cudworth, George Rust, Samuel Clarke, John Norris
This study deals with the fortune and developments of the theory on the creation of eternal truths in cartesianism, between 1650 and 1700. The history of the Cartesian opinion on eternal truths, which was first enunciated in Descartes’ letters to Marin Mersenne in 1630 (AT I, 145-153), touches on many philosophical problems, ranging from the status of logics and mathematics axioms to theological questions about the relationship between possible and divine omnipotence. All the most important philosophers took part in the seventeenth century debate on the idea that eternal truths depend from God’s will, as one of the most difficult questions that rational theology tried to solve. This work concerns the opinions on this subject among others by Louis de La Forge, Pierre Cally, Robert Desgabets, Jean Sperlette, Pierre-Sylvain Régis, Pierre Poiret, Claude Clerselier, Nicolas Malebranche, Simon Foucher, Louis de la Ville, Pierre Daniel Huet, Jean du Hamel, Henri Lelevel, Adrian Heereboord, Christoph Wittich, Frans Burman, Lambert Van Velthuysen, Arnold Geulincx, Baruch Spinoza, Cornelis Bontekoe, Pierre Bayle, Samuel Pufendorf, Gottfried Wilhelm Leibniz, Jean le Clerc, Jean-Robert Chouet, Antoine le Grand, John Locke, Samuel Parker, John Sergeant, Henry Moore, Ralph Cudworth, George Rust, Samuel Clarke, John Norris
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
12

Devillairs, Laurence. "La connaissance des attributs divins chez Descartes". Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/1999PA040253.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Notre travail porte sur le type de connaissance impliqué dans la détermination des attributs divins, dans la métaphysique de Descartes : s'agit-il d'une connaissance d'un genre particulier ? Quel acte intellectuel (démonstration, raisonnement, argumentation) une telle connaissance réclame-t-elle ? Nous souhaiterions développer la thèse d'une connaissance intuitive des attributs de dieu, l' « énumération » de ces attributs étant ainsi réductible à une déduction systématique et complète. Les attributs ne sont pas donnés, dans la métaphysique cartésienne, sous la forme d'une liste contingente ; ils sont prouvés en même temps qu'est prouvée l'existence de dieu, et selon la même apodicticité. Aussi, tout ce que nous pouvons connaitre des attributs divins est-il clairement et parfaitement connu, même si la métaphysique doit admettre que tout en dieu n'est pas objet de connaissance, certains attributs étant l'objet d'une révélation. Nous nous proposons d'analyser le caractère, démonstratif de cette connaissance des attributs et de montrer en quoi Descartes rompt avec la tradition scolastique des traites des noms divins. C'est à une autre source que les méditations et les principes puisent pour élaborer une nouvelle idée de dieu : cette source nous semble être la pensée d'Augustin.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
13

Oliveira, Erico Andrade Marques de. "Le rôle de la méthode dans la constitution de la physique cartésienne". Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040110.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Dans notre thèse, nous avons essayé de repérer et de déterminer comment la physique cartésienne, surtout celle du Traité et des Principes, se constitue à partir de la mathesis. A cet égard nous avons cherché d’un côté dans la mathesis une discipline capable de remplacer les représentations ambiguës, issues de l’expérience sensible, par des codes scientifiques, tout en fournissant à ces codes une grammaire – composée des lois qui assurent la constitution d’un réseau de propositions empiriques. C’est ainsi que la mathesis a rendu possible une « figuration » de la nature en montrant à travers l’expérience la mesure de la compatibilité du réel avec le simulacre de la science. De l’autre côté, on a voulu dégager le rôle normatif de la mathesis qui contraint les sciences à disposer leurs résultats selon un ordre déductif commun qui va des propositions simples jusqu’aux plus obscures, en montrant le degré de dépendance conceptuelle entre ces propositions
In our thesis, we try to demonstrate how the Cartesian physics, specially that of the Traité and of the Principes, is constituted from the mathesis. From this angle, we tried to see in the mathesis, on the one hand, a discipline that is able to substitute ambiguous representations, originated in the sensitive experience, through scientific codes, providing these codes a grammar - composed by laws which support the building of a net of empirical propositions. Thus, the mathesis enabled a “figuration” of nature, showing through experience the size of the compatibility between the real and the simulacrum of science. On the other hand, we tried to emphasize the normative role of the mathesis that constrains the sciences to display their results according to a common deductive order, which goes from the simplest results to the most obscure ones, demonstrating the conceptual dependence grade between them
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
14

Kambouchner, Denis. "La problématique cartésienne de l'affectivité". Paris 10, 1990. http://www.theses.fr/1990PA100109.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Dans son dernier ouvrage publie, le traite des passions de l'âme, Descartes aborde une matière "obscure et confuse", qu'il "n'avait jamais étudiée" auparavant. De fait, la théorie de l'affectivité ne peut achever l'anthropologie cartésienne sans apporter par rapport aux affirmations de la "philosophie première" certaines complications notables. A travers un commentaire systématique du traite, articule aux principaux problèmes de la théorie des passions (leur définition; leur explication psycho-physiologique; leur classification; leur fonction ou "usage"; leur soumission à la raison ou à la volonté; la relation entre affectivité et moralité), on peut mettre en évidence la persistance d'une structure stratifiée de l'âme cartésienne, liée a la différence entre ses fonctions propres et celles qu'elle possède en tant qu'elle est unie au corps. Les fonctions "inferieures" de cette âme, parmi lesquelles les passions, sont intimement intégrées avec les fonctions du cerveau dans ce qu'il faudra appeler un fonctionnement "animal" de l'homme : si l'âme en tant que raisonnable peut se poser elle-même comme extérieure a ce fonctionnement, il se révèle pourtant bien plus nécessaire a sa propre "vie" qu'il ne pouvait sembler d'après les méditations. L'affirmation métaphysique de la "distinction réelle" de l'âme et du corps n'interdit donc pas de situer dans leur union, avec les conditions d'une auto-distinction de l'âme, celles de la subjectivité cartésienne en général
In his last published work (the treatise of the passions of the soul), descartes has tackled an "obscure and confused" matter that he had "never studied before". The fact is that the theory of emotions cannot achieve cartesian anthropology without imposing on the assertions of cartesian metaphysics several remarkable complications. In the course of a systematic analysis, organized around the main problems of the theory of passions (their general definition; their psycho-physiological explanation; their classification; their function of "use"; their submission to reason or to will; the relationship between affectivity and morality), one can give clear indication of a stratified structure of cartesian soul, which can be related to the distinction between its proper functions and those which imply its union to the body. The "inferior" functions of the soul, among which the passions take place, are intimately combined with brain functions in a functioning of man which can be qualified as animal. If the soul as "reasonable" can regard itself as exterior to this functioning, it appears nevertheless much more necessary. To the soul's life than it could seem to be, according to the meditations. The assurance of the "real distinction" between mind and body has therefore to be reinterpreted with respect to these conditions
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
15

Marsan, Eddy. "Etude comparative et critique de l'exigence de systeme chez lulle et descartes". Toulouse 2, 1992. http://www.theses.fr/1992TOU20021.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
La description de l'opus lullien, puis du systeme cartesien, nous revele que l'un et l'autre sont soutendus par le souci d'une architectonique systematique. Lulle, au treizieme siecle et descartes, au dix-septieme, tenterent de constituer une methode unique devant permettre de remonter la chaine des diverses sciences. Si descartes, qui connait l'oeuvre lullienne, nie toute parente entre ses ouvrages et le grand art de lulle, il nous faut cependant remarquer qu'il reprend l'idee lullienne d'un savoir total. Precisement, le philosophe francais s'inscrit dans la meme filiation neo-platonicienne que lulle et ne semble critiquer durement la tentative lullienne que dans le but de dissimuler la parente de son oeuvre avec celle-ci. Lulle et descartes rompent avec une attitude de contemplation de la nature et cherchent a imposer un savoir systematique. Ils ne vont pas a l'encontre de la tradition catholique. Ils se contentent d'en transcrire le message dans les termes d'une pensee conquerant du christianisme occidental. La proximite qui se revele entre les logiques contemporaines et les systeme lullien et cartesien est celle de leur autonomie. En se coupant deliberement de la realite, ces approches du reel apparaissent comme des tentatives autonomes: les preuves inherentes a un systeme peuvent se reveler sans aucune valeur pour celui qui n'accepte pas le postulat de depart, celui-ci s'identifiant avec l'intuition fondatrice
The description of the work of lull and then of the cartesian system reveals that both are upheld by the desire for systematic architectronics. Lull , in the thirth century and descartes in the seventh century attempted to constitue a unique method which would enable the return to the various sciences. Even if descartes, who was familiar with the work of lull, denies any relation between his work and lull's great art, it should, however, be noted that he takes up the lullian idea of total knowledge. Indeed, the french philosopher joins the same neo-platonic filiation as lull and seems only to criticize lull's endeavour severely to dissimulate the relation with his own work. Lull and descartes break with an attitude of contemplation of nature and try to impose systematic knowledge. Lull and descartes do not go against catholic tradition. They lilit thelselves to transcribing the message of tradition in terms of the conquering thought of western christianity. The essential proximity which is revealed between contemporary logic and the lullian and cartesian systems is that of their autonomy. Basing their work on founding intuition and deliberately cutting themselves off reality appear as autonomous attempts: the person who conceives the system provides proof of it, but this proof may be without any value for someone who does no accept the initial postulat which is identified with the founding intuition
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
16

Urrutia, Soto Álvaro. "Sobre la teoría de lo mental en Descartes: indagaciones acerca de la dualidad mente-cuerpo en las Meditaciones Metafísicas de Cartesio". Tesis, Universidad de Chile, 2017. http://repositorio.uchile.cl/handle/2250/143604.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Informe de Seminario para optar al grado de Licenciado en Filosofía
La obra presente se propone como objetivo indagar distintas vertientes o corrientes que puede adquirir la „teoría de lo mental‟ cartesiana con el motivo de entregar la versión que, a mi juicio, es la más justa y provechosa con respecto a las pretensiones del mismo autor como con lo que se quiere conseguir de él. De ninguna manera pretendo afirmar que la posición a la cual he llegado luego de esta investigación debe ser entendida como una posición definitiva o estandarizada de la filosofía cartesiana. Ante las típicas críticas surgidas por la caricaturización que Gilbert Ryle realizó sobre la filosofía de Descartes me propongo analizar si todo el conjunto de las mismas, englobadas por la general presunción del „fantasma dentro de la máquina‟ son, en definitiva, críticas válidas y acertadas a la hora de desprestigiar el sistema de Cartesio. Dicho de otro modo, me pregunto si toda crítica que apela al „dualismo cartesiano‟ es válida sólo por invocar al dualismo como un elemento reprochable de suyo. Pienso que las variables en cuanto a perspectivas que pueden surgir de un Descartes „dualista anómalo‟ son lo suficientemente amplias como para contraatacar al menos a algunos de los argumentos esbozados por los autores que condenan el dualismo, de modo que la teoría cartesiana de lo mental aún puede permanecer de pie en algunos campos de batalla (lo cual de ninguna manera afirma su veracidad). El motivo de un análisis tal consiste en demostrar que el pensamiento cartesiano no es tan fútil y tan fácil de combatir como colectivamente se piensa luego de los esfuerzos de Ryle.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
17

Sciaccaluga, Nicoletta. "Potentia naturalis : rôle et disparition d'une notion centrale dans la physique du jeune Descartes". Caen, 2008. http://www.theses.fr/2008CAEN1507.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Ma recherche vise à déterminer le sens du syntagme “potentia naturalis” à l’intérieur de la physique et de la philosophie du jeune René Descartes (1596-1650), et surtout ses reflets sur le Traité de la lumière. Ainsi j’ai exploré la transformation à la quelle, par rapport à ses origines aristotéliciennes, cette notion a été soumise en tant qu’objet de la philosophie naturelle dans le milieu de formation de Descartes, surtout là où celui-ci était plus lié à la rébellion néoplatonicienne a l’Aristotélisme pendant la Renaissance et les débuts de la science moderne. De tout cela il en ressort que cette notion est centrale pour la compréhension de la physique cartésienne du mouvement, puisqu'elle a permis à Descartes de dépasser, avec pleine efficacité et ultérieurement au pur mécanisme, le modèle aristotélicien de l’extranéité entre mouvant et mobile et de concevoir le principe d’inertie comme conséquence d’une spécifique conception conservationiste de la nature. De plus, sa collocation par rapport à la puissance infinie de Dieu l’introduit dans un plus ample terrain métaphysique, celui de la conception du temps et de la substance. Pourtant on pourra voir aussi que la sauvegarde de la transcendance divine et l'opposition entre repos et mouvement dans une physique dominée par la statique ne rendent la rupture avec les positions précédentes que partielle
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
18

Vasco, Nathalie. "Descartes et Saint-Augustin". Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010516.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
19

Irimia, Gheorghe-Florin. "Descartes et l’imaginaire littéraire et scientifique baroque". Electronic Thesis or Diss., Bourgogne Franche-Comté, 2023. http://www.theses.fr/2023UBFCH039.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Ce travail de recherche gravite autour de deux centres d’intérêt complémentaires. D’un côté, il s’agit de mettre en lumière la manière cartésienne d’envisager la question de l’objectivité et, de l’autre, de montrer l’ancrage de la pensée cartésienne dans un horizon culturel plus large, qu’on appelle communément, et peut-être aussi de façon approximative, « baroque », à partir des études d’esthétique de Heinrich Wölfflin et de la généralisation du concept wölfflinien de « baroque » à la littérature par Jean Rousset et, ensuite, à l’ensemble des productions culturelles de la fin du XVIe siècle et de la première moitié du XVIIe siècle par Didier Souillet.En vertu de ce sujet de recherche, je mets en relation la culture savante baroque et plusieurs thèmes majeurs de la physique et de la métaphysique cartésiennes : la critique de la ressemblance ; la relation sensible/matériel ; la compréhension géométrique de la matière ; la compréhension métaphysique du monde comme pure extériorité ; le rapport entre l’entendement, l’imagination et les sens ; la valeur euristique de l’imagination ; les multiples acceptions du concept de « nature » ; la libre institution divine des principes de la nature.De même, j’expose la façon dont la littérature baroque envisage parfois le réel comme représentation onirique ou théâtrale – en particulier dans La vie est un songe de Calderón et La Tempête de Shakespeare – et je mets en avant la manière dont Descartes puise dans l’imaginaire littéraire baroque les principaux thèmes des deux premières Méditations Métaphysiques.Troisièmement, je présente sur la place de la curiosité, de l’admiration et des « sciences curieuses » dans la culture savante baroque, qu’il s’agisse de la vogue baroque pour le merveilleux ou l’émerveillement devant les productions techniques de l’époque et leur capacité à duper le spectateur, afin de montrer la manière dont ces dominantes de la culture savante baroque déterminent l’évolution de la pensée cartésienne de la nature, à partir de l’intérêt cartésien pour les expériences d’illusion d’optique jusqu’à la critique de la ressemblance et à l’approche mécaniste de la nature
This research work revolves around two complementary centers of interest. On the one hand, the aim is to shed light on the Cartesian way of considering the question of objectivity, and on the other hand, to show the anchoring of Cartesian thought in a broader cultural horizon, which is commonly, and perhaps also roughly, called "baroque", from the aesthetic studies of Heinrich Wölfflin and the generalization of the Wölfflinian concept of "baroque" to literature by Jean Rousset and, then, to the whole of the cultural productions of the end of the sixteenth century and the first half of the seventeenth century by Didier Souillet.By virtue of this research topic, I relate Baroque scholarly culture to several major themes in Cartesian physics and metaphysics: the critique of likeness; the sensible/material relation; the geometrical understanding of matter; the metaphysical understanding of the world as pure exteriority; the relation between understanding, imagination, and the senses; the euristic value of imagination; the multiple meanings of the concept of "nature"; and the free divine institution of the principles of nature.Similarly, I discuss how Baroque literature sometimes views reality as a dreamlike or theatrical representation - particularly in Calderón's Life is a Dream and Shakespeare's The Tempest - and I highlight how Descartes draws from the Baroque literary imagination the main themes of the first two Metaphysical Meditations.Third, I present the place of curiosity, admiration, and the "curious sciences" in Baroque scholarly culture, from the Baroque vogue for the marvellous to the wonder of the technical productions of the time and their ability to deceive the viewer, to show how these dominants of Baroque scholarly culture determine the evolution of Cartesian thought about nature, from Cartesian interest in optical illusion experiments to the critique of likeness and the mechanistic approach to nature
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
20

Troncoso, Saavedra Luis Tirso. "“La Metáfora arquitectónica en el Discurso del Método”". Tesis, Universidad de Chile, 2006. http://repositorio.uchile.cl/handle/2250/110372.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Seguir las metáforas urbanísticas que Descartes nos propone en El discurso del método es recorrer viejas callejuelas y aventurarnos en un imaginario citadino que viene dando forma al conocimiento pero también a nuestra experiencia de la convivencia. Recorrer el texto como un viandante y detenernos en aquellos lugares del discurso en que la metáfora habla es disponernos a escuchar la poética de su entramado. Desde esta extrema lejanía en que ciudad y filosofía parecen bifurcarse resulta oportuno regresar al curso de la obra cartesiana en favor de entender aquella experiencia que Descartes nos propone como desierto fructífero en las ciudades holandesas y, desde esa experiencia, pensar nuestros destinos citadinos, que, a veces eriazos de experiencia de sentido, nos vuelven reflexivos para darnos un itinerario que nos permita visualizar un horizonte de experiencias que H. Giannini denominaría “nostalgia de una experiencia común”. Es significativo el hecho que G. Steiner reconozca que tanto el pensamiento y la sensibilidad europea estén indisolublemente unidos al caminar, afirmando que “buena parte de la teorización más incisiva es generada por el acto de caminar.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
21

Pricladnitzky, Pedro Falcão. "Os fundamentos metafísicos da física cartesiana : a natureza da substância extensa". reponame:Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UFRGS, 2016. http://hdl.handle.net/10183/140251.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
22

Chevalier, Olivia. "La méthode analytique cartésienne : entre mathématiques et philosophie première". Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100195.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Puisqu'au sujet de sa manière de démontrer en mathématiques et en métaphysique, Descartes parle au singulier de la "voie analytique", notre but est de définir l'usage univoque de ce qu'il entend par "analyse", entendue comme processus démonstratif. Or, il existe une difficulté due à l'absence de similarité logique entre les démonstrations effectuées par Descartes dans ces deux domaines. Descartes affirme que la manière analytique de procéder permet de découvrir des vérités via la résolution d'un problème : celui de Pappus ou bien celui de la certitude. Analyser, pour Descartes, revient donc à démontrer en construisant la solution d'un problème. Ainsi, nous essayons de comprendre les liens qui existent entre la démonstration des vérités (on établit une vérité lorsqu'on la découvre) et la méthode qui en donne les clefs : ce pourquoi nous parlons de "méthode analytique" cartésienne. Pour cela, nous retraçons les étapes de la conception de l'analyse qui à nos yeux conduisent à son acception cartésienne, en insistant sur l'importance de l'algèbre dans sa constitution. Nous dégageons ensuite les critères qui affectent certaines propriétés à cette démarche et grâce auxquels on la reconnaît ; enfin, nous montrons la limite de cette conception univoque dans le traitement de la notion d'infini. Voici les enjeux qui se dégagent de notre travail : exposition d'une "théorie de la démonstration" cartésienne dont le noeud est l'analyse; impossibilité de dissocier en Descartes le mathématicien du philosophe; ce point servant une thèse générale (au moins vraie jusqu'au 18e siècle)essentielle pour nous impossibilité de disjoindre l'histoire de la vérité de l'histoire des mathématiques
Since about his way to proue in mathematics and metaphysics Descartes talks in the singular of his "voie analytique ", our aim is to define the univocal use of what lie calls « analysis », understood as a thought process. Indeed, this point raines a problem because of the lack of logical sirnilarities between the proofs in these two disciplines. Descartes says that the analytic way allows us to discover truths while constructing the solution to a problem (the problem of Pappus or of certainty). Then, analyzing, for Descartes, amounts to proving while constructing the solution to a problem. So, we try to understand the links existing between the proof of truths (a truth is established once we have discovered it) and the method which gives the procedures of it. Hence we talk of Cartesian "analytic method". We then redraw the steps of the conception of the notion of analysis which, to us, seem to lead to its Cartesian meaning, insisting on the important role algebra plays in its formation. Afterwards, we draw the criteria which bear certain properties to this analytic thought process, and which enable us to recognize it; finally, we exhibit the limit of this univocal conception when Descartes cornes to handle the notion of infinity. The stakes of our study are the following ones exhibit a Cartesian "theory of proof"; the impossibility to disconnect Descartes as mathernatician and philosopher; the latter point serving a general thesis (at least true until the 18`h century) essential to us the impossibility to separate the history of truth from the history of mathematics
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
23

Confalonieri, Sara. "Impossibility results : from geometry to analysis : a study in early modern conceptions of impossibility". Paris 7, 2014. http://www.theses.fr/2014PA070060.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Cette dissertation a pour thème l'étude des résultats d'impossibilité dans le contexte de la géométrie classique (XVllème siècle). Dans cette étude, J'adresserai les questions suivantes. Comment les géomètres classiques ont démontré (ou argumenté pour) l'impossibilité de résoudre certains problèmes par des moyens donnés ? Peut-on identifier des structures et rôles similaires dans des différentes instances de ces arguments d'impossibilité ? Mon point de départ est un des premiers exemples de pensée algébrique en géométrie, c'est à dire le marquant traité « La Géométrie » De Descartes. Mon examen de cette oeuvre concernera des points méthodologiques, tels que les fondements de la distinction entre courbes géométriques et mécaniques, ainsi que la classification des courbes et de problèmes. Dans mont travail, j'avancerai la suivante thèse générale : les résultats conditionnels d'impossibilité exercent un double rôle méthodologique. Premièrement, ils servent à démarquer les courbes acceptables des courbes non acceptables. Deuxièmement, ils entrent dans la classification des problèmes sur la base des courbes qui entrent dans leur construction, proposée par Descartes dans le troisième livre de « La Géométrie », et commentée par Van Schooten dans ses éditions en latin de 1649 et 1659. La présence de résultats d'impossibilité dans un traité, tel que que « La Géométrie », dédiée aux fondements d'une méthode pour résoudre tous les problèmes de géométrie, n'est pas surprenante, car une telle méthode devrait offrir les règles générales pour résoudre chaque problème selon les moyens les plus adéquats. Un autre, intéressant ébauche d'une classification de problèmes entre « possibles et « impossibles » peut être trouvé dans la correspondance entre Descartes et Mersenne. En particulier, le problème de la quadrature du cercle est conçu par Descartes comme une instance de « problème impossible ». Plus en général, le problème de la quadrature du cercle représentait un problème fort intéressant dans le contexte de la recherche aux XVlème et XVllème siècles. Non seulement il s'agissait d'un problème difficile, mais il avait un rôle métathéorique (ou méthodologique) important, car il pouvait être invoqué afin de distinguer les méthodes légitimes en géométrie des méthodes illégitimes
This dissertation deals with impossibility results in the context of early modern geometry (XVIlth century). The main problems and questions I shall address in my study are the following. How did early modem geometers prove (or argued for) the impossibilities of solving construction problems by prescribed means? Can we identify similar structures and similar roles in different instances of these impossibility arguments? My starting point is one of the first exemples of algebraic thinking in geometry, namely, Descartes' epoch-making « La Géométrie » (1637). My examination of « La Géométrie » mainly concerns the methodological points of this treatise: the foundations of the distinction between geometrical and mechanical curves, and the classification of curves and problems. A general thesis I advance in my work is that conditional impossibility claims exerted a twofold methodological, or metatheoretical role. Firstly, they contribute to frame the demarcation between acceptable and non acceptable curves. Secondly, conditional impossibility claims enter in the classification of problems on the ground of the curves which construct them, sketched in the third Book of « La Géométrie » an( commented by Van Schooten in his latin editions from 1649 and 1659. The presence of impossibility claims in a treatise, like Descartes' « Géométrie », devoted to lay down the fundamentals of a method to solve all problems of geometry, is not surprising, in so far such a method should provide the guidelines in order to solve each problem according to the most adequate means
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
24

Dauvois, Daniel. "La représentation chez Descartes". Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1997PA040112.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
La représentation cartésienne n'est point une image ni un tableau, ni encore une forme appréhensive, mais la déclinaison ordonnée de ces diverses acceptions. Elle enveloppe l'intuitus mentis, sous l'orientation et l'attention requises de l'esprit, le pouvoir représentatif de l'idée, et sa disponibilité à conduire vers les essences le regard d'âme, enfin le contenu représenté qui parait en son indépendance essentielle à l'égard d'un esprit qui pourtant le recèle. Ce sont un modèle de perspective et, plus généralement, de l'exercice applique de la puissance visive sur des figures aptes à la conduire vers les essences (ce pourquoi l'artefact compréhensif reste celui des taille-douces), ce sont ces modèles appliqués qui permettent que la représentation cartésienne s'éclaire au travers d'une analyse des duplicités de la vision, ainsi que de l'étude - d'ambition technologique- des représentations picturales de l’âge classique. Voir consiste à recevoir le sentiment mais aussi bien à projeter un regard vers l'espace visible, selon le couple poussinien aspect/prospect. Se représenter consiste de même à accueillir les rapports propres aux essences selon la visée perspective d'un intuitus mentis. On en doit excepter les idées qui sont obscures et confuses, de sorte que l'application vers l'objet à connaitre des règles de son appréhension intuitive est proprement ce en quoi la connaissance se fait ou ne se fait point, ce qui révèle la vertu de ses règles dans l'exercice en acte de sa puissance, confrontée à la disponibilité effective ou non, d'un objet à percevoir. Le modèle cartésien du savoir est technique, et, avec cela, naturel.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
25

Rivera, Víctor Samuel. "Una "gramática universal" cartesiana". Pontificia Universidad Católica del Perú, 2013. http://repositorio.pucp.edu.pe/index/handle/123456789/101422.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
26

Lima, Jair Araújo de. "A temporalidade nas substâncias infinita, pensante e extensa do sistema cartesiano". reponame:Repositório Institucional da UnB, 2007. http://repositorio.unb.br/handle/10482/2866.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Dissertação (mestrado)—Universidade de Brasília, Instituto de Humanidades, Departamento de Filosofia, Programa de Pós-Gradução, 2007.
Submitted by samara castro (sammy_roberta7@hotmail.com) on 2009-12-14T17:01:07Z No. of bitstreams: 1 2007_JairAraujodeLima.pdf: 681367 bytes, checksum: 712c8d91fecded442d127c96cfb7b8b4 (MD5)
Approved for entry into archive by Lucila Saraiva(lucilasaraiva1@gmail.com) on 2009-12-22T23:29:57Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2007_JairAraujodeLima.pdf: 681367 bytes, checksum: 712c8d91fecded442d127c96cfb7b8b4 (MD5)
Made available in DSpace on 2009-12-22T23:29:57Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2007_JairAraujodeLima.pdf: 681367 bytes, checksum: 712c8d91fecded442d127c96cfb7b8b4 (MD5) Previous issue date: 2007
Os conceitos de substância e temporalidade podem ser considerados como dois elementos essenciais para a compreensão de diversos aspectos da metafísica e da física cartesiana. As substâncias finitas (res cogitans e rex extensa) dependem da substância infinita (Deus) em diversos aspectos, principalmente no que concerne à criação, bem como à permanência no ser. Portanto, Deus, a substância por excelência, determina o caráter substancial daquilo que é finito e isso influencia diretamente o aspecto temporal das substâncias finitas. As repercussões dessa influência podem ser observadas na noção de duração, presente no pensamento, e também na teoria física cartesiana no que se refere à criação e à conservação do movimento. Tendo como base as obras Discurso do Método, Meditações e Princípios da Filosofia, observaremos a relevância dos conceitos de substância e de temporalidade na filosofia de Descartes. Assim sendo, a pretensão no presente trabalho é defender a existência de um estreito vínculo entre a substancialidade e a temporalidade. _________________________________________________________________________________________ ABSTRACT
The concepts of substance and temporality can be considered as two essential elements to understand several aspects of Cartesian metaphysics and physics. The finite substances (res cogitans and res extensa) depend on the infinite substance (God) in manly aspects, especially those concerned to creation and permanence in being. As a result, God, the substance per excellence, determines the substantial character for everything that is finite and this influences directly the temporal aspects of finite substances. Repercussions of this influence can be observed in the idea of duration, which is present in the action of thinking, and in the Cartesian physics theory about creation and movement conservation. Based on the books Discourse on the Method, Meditations on First Philosophy and Principles of Philosophy, we will examine the meaning of the concepts of substance and temporality in Descartes’ philosophy. In view of the above, the aim of the present work is to defend the existence of a narrow link between substantiality and temporality.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
27

Loyola, Maureira Diego. "El geómetra, o, Apuntes para una interpretación no dualista de la filosofía cartesiana". Tesis, Universidad de Chile, 2010. http://repositorio.uchile.cl/handle/2250/109944.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
El objetivo principal de esta obra es mostrar que, en contra de lo que nos ha enseñado la tradición, no se puede cali car de dualismo a la doctrina cartesiana. Siendo esto así, se pretende formular las bases para una losofía plenamente idealista en Descartes, que tiene como modelos la indubitabilidad del cogito y las verdades matemáticas, mediante las cuales es posible explicar el mundo. Los argumentos que respaldan nuestra tesis son, en primer lugar, la imposibilidad de llevar a la duda por sobre las verdades de razón. Esto debido a que la duda se basa en la concebibilidad, la cual supone las leyes de no contradicción y de identidad. En segundo lugar, la reducción de los cuerpos a la extensión, y de ésta a ecuaciones mediante la geometría, lo que permite establecer la desaparición de la res extensa . Para el desarrollo de nuestra investigación, se han seguido los tres últimos preceptos del método empleado por Descartes, es decir, el de reducir todo a partes tan simples como sea posible para ir ascendiendo desde ellas a lo más complejo de forma ordenada. Por último, repasar constantemente lo dicho con el n de asegurar que no se ha omitido nada. Respecto del primero, es decir, no admitir como verdadero nada que no sea evidente, no me queda más que esperar el haberlo cumplido. Los resultados obtenidos mediante este método son claros: por una parte, Descartes no es un dualista, y el peso de la prueba recae sobre quien a rme lo contrario; por otra, el argumento conduce a un idealismo radical que, teniendo como base la matemática, pretende formar una concepción racional del mundo, siendo esta la única vía posible de explicación.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
28

Bouvier, Alban. "Essai d'anthroposociologie de l'argumentation philosophiques : hétérogénéités et dissonances dans les Méditations métaphysiques de Descartes et dans le Contrat social de Rousseau". Paris 4, 1991. http://www.theses.fr/1991PA040221.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Quelles opérations de la pensée sont requises du lecteur d'une oeuvre philosophique pour que celle-i soit comprise et éventuellement pour qu'il y donne son assentiment. Comment,en conséquence,les oeuvres philosophiques participent à la transformation des représentations d'une communauté philosophique,scientifique,politique etc. Et dans quelle mesure ce qui apparaît comme confus ou hétérogène ou contradictoire ou dissonant,avait été voilé par différents phénomènes linguistiques. A ces questions,cette thèse cherche une réponse. L'anthropologie sociologique de Pareto retravaillée à la lumière des théories contemporaines d'argumentation (Perelman,Toulmin,etc. ) et de catégorisation,permet de définir les éléments de base d'un cadre théorique. Dans une moindre mesure,l'héritage de Tarde et celui de Durkheim sont également revendiqués. Ce cadre théorique est ensuite appliqué à un corpus constitué des 'Méditations métaphysiques' de Descartes et du 'Contrat social' de Rousseau
What thought processes are required from the reader of a philosophical work for him to understand it and possibly give his assent ?. .
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
29

Grumelier, Alix. "Les analogies dans la métaphysique de Descartes". Thesis, Nantes, 2020. http://www.theses.fr/2020NANT2022.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
L’âme et Dieu sont les deux principaux objets de la métaphysique de Descartes. Cette étude montre que celui-ci privilégie une technique récurrente pour traiter des objets immatériels et suprasensibles : l’analogie. Descartes s’appuie fortement sur ce procédé, qu’on peut diviser en analogie de proportion et analogie d’attribution. Après avoir analysé les relations entre métaphore, comparaison et analogie de proportion, nous examinons le rôle des analogies en cinq chapitres, respectivement consacrés à l’argument ontologique, la première preuve a posteriori, la sui causa, la création des vérités éternel les, et la connaissance de Dieu et de l’âme indépendamment des preuves de leur existence. Cette étude se propose ainsi d’établir une cartographie non-exhaustive des analogies de la métaphysique cartésienne, en mettant au jour leurs différentes fonctions, dont les principales sont génétiques, pédagogiques, cathartiques, clarifiantes et constitutives. Au cours des chapitres, nous répondons aux objections contre les analogies, concluant que la métaphysique de Descartes aboutit à une modernisation de l’analogie théologique, plutôt qu’à une réforme
The soul and God are the two principle objects of inquiry in Descartes' metaphysics. This doctoral dissertation will establish that Descartes employs a recurrent strategy to address these immaterial and supersensible objects: analogy. Descartes relies heavily on this technique, which can be divided into analogy of proportion and analogy of attribution. After analysing the relationship between metaphor, comparison, and analogy of proportion, I examine the role of analogies in five chapters, each dedicated to: ontological argument; the first a posteriori proof; sui causa; the creation of eternal truths; and knowledge of God and the soul, independently of proof of their existence. This dissertation thus proposes a nonexhaustive mapping of analogy in Cartesian metaphysics, showcasing their main uses, which are genetic, pedagogic, cathartic, clarifying and constitutive. I acknowledge and respond to counterarguments, concluding that Descartes' ideas constituted a modernisation of theological analogy, rather than a reform
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
30

Macris-L'Hoest, Marie-Claire. "Descartes opticien : le problème de la réfraction chez Descartes et ses contemporains". Paris 1, 1985. http://www.theses.fr/1985PA010252.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
31

Pastén, Recabarren Camilo. "Escepticismo cartesiano a causa de la infecundidad del cogito: una interpretación de la doctrina cartesiana sin Dios". Tesis, Universidad de Chile, 2011. http://www.repositorio.uchile.cl/handle/2250/110011.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
¿Cómo llegar a la realidad de las cosas desde la existencia de mi yo? El paso de la subjetividad a la objetividad es acaso el mayor trabajo para modernos como Descartes, y es el paso necesario para fundamentar la estructura de las ciencias. El paso sistemático, es el único camino que considera Descartes, esta sistematicidad la llamará “método”, aquél método estará en sus obras “Reglas para la dirección del entendimiento” y “Discurso del Método”. Con tal método tratará nuestro filósofo fundamentar el paso de la necesidad para el yo a la necesidad de la realidad en las “Meditaciones Metafísicas”.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
32

Wong, Alexandre. "Les figures de la volonté dans la philosophie de Descartes". Paris 1, 2002. http://www.theses.fr/2002PA010615.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Une définition de I 'idée de volonté est tentée à travers une déclinaison systématique de ses figures ou modes. Ces figures sont tirées de la conception cartésienne de la partie active ou volontaire du cogito. Elles sont au nombre de cinq et ont pour nom: le jugement, le désir, l 'indifférence, le libre arbitre, la toute-puissance. Ces noms de la volonté la désignent sans se confondre avec elle. Analysés séparément, puis combinés dialectiquement, ils forment un ensemble cohérent d'éléments qui décrivent les diverses phases continues d'apparition de l'idée de volonté. Mieux approchée par ses dernières figures, la volonté n'est pas appréhendable en dehors de celles-ci. Elle n'est toutefois pas une idée ou un concept. Son idée la représente différente de son idée. L'étude des sources historiques des figures volontaires (l' étude du consentement stoi͏̈cien et sceptique, du désir platonicien et aristotélicien, de l'indifférence pyrrhonienne, du libre arbitre patristique, de la toute-puissance scolastique) montre que la conception cartésienne et moderne de la volonté n'a pas été dépassée. Aucune autre figure n'a été proposée pour penser la volonté
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
33

Gonzalez, Solange. "Le lieu chez Descartes". Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040234.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
L'inachèvement des Regulae et la disparition du syntagme de mathesis universalis dans les œuvres ultérieures ont fait croire à un renoncement de la part de Descartes qui s'exprimerait dans son échec à mathématiser le réel. Interroger la question du lieu chez Descartes prétend rompre avec cette lecture discontinuiste et permet un parcours transversal dans l'œuvre. La notion de lieu permet un tel voyage dans la mesure où elle s'énonce dès l'abord selon un paradoxe susceptible de nous mener au cœur de la philosophie de Descartes : on s'attend à trouver sa définition dans le champ de la physique, et l'on est surpris d'apprendre que les corps n'occupent aucun lieu, par suite qu'ils ne se déplacent pas d'un lieu à un autre et plus radicalement que tout mouvement étant relatif, on peut légitimement considérer qu'un même corps se meut et ne se meut pas. Conformément à la conception de l'ingenium développée dans les Regulae, la puissance n'est reconnue que de l'esprit. Mais son exercice suppose néanmoins la présence d'un corps qui l'incarne ou la subit. Aussi est-il possible de lier la question du pouvoir à celle du lieu et de se demander en quoi le monde est le lieu de Dieu (Eucharistie) et le corps celui de l'âme. L'unité de la mathesis universalis se recompose ainsi en s'adjoignant, selon la matière concernée, les recours de l'imagination, de la mémoire et des sens, sans que l'esprit ne se dépossède de ses prérogatives
The noncompletion of Descartes'Regulae and the disappearance of the syntagma of mathesis universalis in later works lead us to believe a self-denial on Descartes behalf wich express itself in his failure to structure reality. To investigate the question of Descartes'locus presumes follow the evolution of his thought and allows a transversal course of his work. The notion of locus permits such a voyage by expressing itself first trough a paradox that leads us to the heart of Descartes' philosophy: we expect to find its definition in the field of physics and we are surprised to know that bodies fill no locus, because they don't move from one locus to another and, more radically, whereas every movement is relative, we can legitimately consider that the same body does and does not move. Such a conception seems not to allow a mathematical physics. Such a failure has also to be connected to an evolution in Cartesian's conceptions improved in the Regulae, especially concerning the part of imagination; The exertion of ingenium nevrtheless supposes the existence of a body that incarnates. So that it is possible to wonder in Which way the world is the locus of God (Eucharisty) as is the body the locus of the soul
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
34

Onishi, Yoshitomo. "Volonté et indifférence chez Descartes". Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010509.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Le contraste apparaît chez Descartes aussi frappant que déconcertant entre deux manières de penser la liberté de l'homme. Selon Ia Quatrième Méditation, la liberté consiste en ce fait que la volonté adhère sans faute à l'évidence de la vérité. Dans les Principes de la philosophie, à l'inverse, la volonté semble investie d'une nouvelle vigueur qui lui permet de s'éloigner même de la connaissance claire et distincte ; et nul, depuis E. Gilson, ne doute que cette vigueur prenne racine dans la conception jésuite qu'est la libertas indifferentiae. La présente étude aura alors pour tâche d' épuiser ce contraste, et cela au double sens : le penser à fond afin de le réduire. A cette fin, nous étudierons successivement: i) les formes embryonnaires de la notion d'indifférence, qui remonte jusqu'aux philosophies antiques, chez les Stoïciens et chez saint Augustin ; ii) la doctrine moderne de la liberté d'indifférence telle qu'elle est établie par Luis de Molina et élaborée ensuite par Francisco Suarez; iii) l'intention cartésienne de se tenir à l'écart de tout intérêt jésuite, et la singularité correspondante de l'idée qu'il se fait de la liberté de la volonté.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
35

Barbero, Odette. "L'expérience cartésienne : un pouvoir constitutif pour une philosophie du sujet". Dijon, 2008. http://www.theses.fr/2008DIJOL022.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Le concept d’expérience tel qu’il se présente dans la constitution des objets de connaissance, le cogito, la liberté, l’union de l’âme et du corps, possède une originalité qui distingue la philosophie cartésienne de la conception de l’expérience tel que la pose l’empirisme ou de tout formalisme. Descartes, par la place et le statut qu’il accorde à cette notion, fait de l’esprit le seul lieu capable de connaissance. L’expérience certaine est une saisie directe d’un objet mais aussi l’attestation de l’évidence d’un fait et d’une certitude immanente. Il en va de même pour les passions qui sont considérées comme une expérimentation de soi et un usage des droits que confère le libre-arbitre, fruit d’une expérience effective et indubitable. C’est à partir de l’expérience des natures simples intrinsèque au modèle mathématique et celle des notions communes tel le lien intuitif entre être et pensée que s’enchaîne un ordre raisonné de principes et de vérités. De même, l’expérience de la liberté et celle de l’union de l’âme et du corps font valoir leur présence face à l’entendement. L’expérience cartésienne valorise la notion de sujet qui ne pense qu’à partir de ses propres perceptions. Mais elle promeut aussi l’idée d’un sujet volontaire loin d’une recherche d’intériorité qui pourrait conduire à une affectation de soi et non à l’estime de soi qui caractérise l’âme généreuse. L’expérience cartésienne, en ses diverses modalités, y compris l’expérience scientifique, demeure hautement philosophique. Elle fait valoir les droits du sujet et ceux d’une philosophie qui, loin des rhétoriques langagières et du poids des savoirs constitués, se veut libre et innovante
The concept of experience as I actually can present it in the constitution of the objects of knowledge like cogito, freedom, union of soul and body, has an original feature distinguishes the Cartesian from the meaning of the concept of experience as empiricism takes it for granted. With this notion, Descartes makes the mind capable of knowing. The certain experience does not only lead to capture some subject but it is also a mark of an evident fact or an imminent certitude. It is the same for passions which are considered as an experimentation of self and a use of rights that freedom confers, and which is the result of an actual experience and about which no doubt is possible. The experience of simple natures and common notions, like the experience of an intuitive relation between being and thought, is an absolute knowledge to which is connected a methodical order of principles and truths. In the same way, the experience of freedom and the one of the union of soul and body asserts that they are present in front of the understanding. For that reason, the Cartesian experience increases the notion of subject which can only think on the ground of his own perceptions of mind. But also, it put forward the idea of a wilful subject and not a research of deep inside mind which would lead to a self’affectation but not to a proper appreciation which distinguishes the generous soul. The Cartesian experience, in its various patterns, among which we might not forget scientific experimentation is a very philosophical one. It puts rights of subject and these of philosophy which, far away from rhetoric’s and the weight of built up knowledge, is a free and innovating way of thinking
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
36

Gormier, Laurence. "La question de l'union de l'âme et du corps à partir de la pensée de Descartes : âme-corps, méditation, méthode". Lyon 3, 2003. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/out/theses/2003_out_gormier_l.pdf.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Dans l'œuvre de Descartes, à partir de la distinction réelle de l'âme et du corps, la question de leur union se pose dans les domaines de la médecine, de la morale et de la méthode. La méthode cartésienne trouve son fondement et sa justification dans l'entreprise métaphysique, où la méditation méthodique se révèle discipline et exercice de soi. Ainsi la question de la conduite de sa vie est le point central de la philosophie cartésienne. La connaissance de la distinction et l'épreuve de l'union de l'âme et du corps se joignent dans une sagesse, dans la mesure où " ce sont les mêmes hommes qui pensent et qui ont des corps "
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
37

Bitbol-Hespériès, Annie. "Le principe de vie chez Descartes et ses prédécesseurs". Paris 4, 1989. http://www.theses.fr/1988PA040158.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Le principe de vie chez Descartes, fondé sur le dualisme, est assimilé à la chaleur du cœur ("L'homme", at,xi,p202, "Les passions de l'âme"; article 107, at,xi p407). Nous montrons que cette conception est radicalement nouvelle. Elle s'oppose à celle d’Aristote (et aussi de Galien), contrairement à ce que répètent les commentateurs depuis l'importante étude d'E. Gilson. Nous expliquons la portée des exemples cartésiens et comparons ses conceptions physiologiques avec celles de W. Harvey. Nous examinons aussi la conception du feu dans le cœur chez Kepler. En outre nos recherches ont fourni des indications sur les sources utilisées par Descartes en anatomie
This thesis is dealing with the life principle in Descartes' philosophy. The cartesian life principle is linked with dualism that is with the difference between soul and body. The cartesian life principle is therefore completely new: as explained in “L’homme” (p. 202) and "Les passions de l'âme", article 107 (at,xi,p407), it is not linked with the soul, but is the heat in the heart, the famous "Feu sans lumière". I demonstrate that this conception is completely new and that it has nothing to do with either the aristotelician or the galenic "innate heat". I thus explain Descartes' examples and compare his explanations on the movement of the heart to Aristotle's and Harvey's conceptions. I also examine the keplerian idea on that topic. While working on my thesis i identified some cartesian anatomical sources
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
38

Palma, Lohse Emilio Eugenio. "Bacon y Descartes: las bases filosóficas de la ciencia moderna". Tesis, Universidad de Chile, 2010. http://repositorio.uchile.cl/handle/2250/109956.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
39

Agostini, Siegrid. "Claude Clerselier, editore e traduttore di René Descartes". Paris, EPHE, 2007. http://www.theses.fr/2007EPHE5007.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Ce mémoire de thèse se propose de fournir une reconstruction historique de la figure de Claude Clerselier et de faire valoir le rôle qu’il a joué dans l’édition et dans la traduction de certaines des œuvres de René Descartes, et aussi dans la défense des thèses cartésiennes sur l’eucharistie. La source principale pour la reconstruction de ces relations et des débats est constituée par le manuscrit n. 366 (Sentimens de Mr Descartes et de ses sectateurs sur le Mystère de l’Eucharistie. Recueil curieux et rare), conservé à la Bibliothèque municipale de Chartres : les documents contenus dans ce manuscrit sont pour la majeure partie des lettres ou des extraits de lettres écrites et reçues par Clerselier entre 1654 et 1681. L’importance de Clerselier réside aussi dans son activité d’éditeur et traducteur de Descartes. Pour brosser le portrait de l’activité du Clerselier éditeur, j’ai avant tout examiné les Préfaces à l’édition des Lettres, qui constituent des sources riches d’informations ; les Lettres elles-mêmes représentent un témoignage d’importance, parce que c’est d’elles qu’émerge la volonté de Clerselier de célébrer la grandeur de Descartes et de reconstruire une image édifiante du philosophe. La thèse se constitue de deux tomes. Le tome I comporte, après une introduction, quatre chapitres suivis d’une conclusion, d’ une table chronologique générale de la correspondance de Clerselier, d’une bibliographie (des manuscrits, des sources imprimées et des études). Le tome II donne la transcription de lettres du manuscrit n. 366, présentés selon l’ordre alphabétique des correspondants (Bertet, Daniel, Denis, Desgabets, Fabri, Malaval, Pastel, Poisson, Terson, Vinot, Viogué)
The aim of this thesis is to give a historic reconstruction of the figure of Claude Clerselier and emphasize not only the role he played in the edition and translation of some works by René Descartes, but also in the defence of the Cartesian theses on the Eucharist. The principal source for the reconstruction of the relationships and debates is constituted by the manuscript n. 366 (Sentimens de Mr Descartes et de ses sectateurs sur le Mystère de l’Eucharistie. Recueil curieux et rare) in town library of Chartres : the documents included in this manuscript are mostly some letters or abstracts of letters written and received by Clerselier between 1654 and 1681. Clerselier is also important because of his activity of editor and translator of Descartes. To outline the portrait of the activity of Clerselier editor I first examined the Préfaces to the edition of the Lettres which constitute some sources, very rich in information; the same Lettres are a very important testimony because from them comes out Clerselier’s willing to celebrate the greatness of Descartes and reconstruct an edifying image of this philosopher. My thesis is made up of two volumes. The volume I contains, after an introduction, four chapters followed by a conclusion, a general chronological table of Clerselier’s correspondence, and a bibliography (some manuscripts, some printed sources and some studies). The volume II contains the transcription of the letters of the manuscript n. 366, according to the alphabetical order of the correspondents (Bertet, Daniel, Denis, Desgabets, Fabri, Malaval, Pastel, Poisson, Terson, Vinot, Viogué)
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
40

Kaposi, Dorottya. "La liberté de l’esprit selon Descartes : la doctrine de la volonté et la question de l’individualité". Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040052.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Ce travail a pour objet d’étudier le rôle de la doctrine cartésienne de la volonté dans l’établissement de l’individualité de l’ego, ainsi que ses implications relativement à la responsabilité du sujet et à son inscription dans une relation avec autrui. Comme l’étude des premiers écrits de Descartes permet de l’établir, le développement d’une doctrine de la liberté dans son œuvre n’est due ni à un traitement de questions théologiques ou morales soulevées par l’étude du concept de libre arbitre, ni, comme le laisserait croire son apparition au sein de la Meditatio IV, à l’intention de constituer une théorie permettant d’expliquer la cause de l’erreur. Ce développement est essentiellement lié au problème posé par la possibilité que les démarches de l’ego soient déterminées, indépendamment de lui-même, par des circonstances et des pouvoirs extérieurs. Ainsi, le refus de l’influence d’autrui suscite, d’une part, l’examen de la problématique du rapport à autrui et, d’autre part, l’interrogation sur les modalités qui permettent d’affirmer l’appartenance à l’ego de ses propres pensées et de ses propres actions. L’analyse du statut de la volonté s’inscrivant dans ce cadre permet de mettre en évidence un lien entre le problème de l’imputabilité et la question de l’altérité qu’il convient donc de traiter de manière conjointe. Au terme de notre travail, nous essayons de montrer que c’est sur le seul terrain de la morale que l’homme, dont la notion fait intervenir la doctrine de l’union de l’âme et du corps, peut accéder à une relation réelle avec les autres « soi-même » en tant que « causes libres » et former avec eux une communauté de sujets moraux
The main purpose of this study is to examine the role of the Cartesian doctrine of the will in the establishment of the ego’s individuality, as well as its consequences for the individual responsibility and for the problem of the relation of the “I” to other subjects. An analysis of Descartes’s early writings establishes that the development of his doctrine of freedom can be accounted for neither by the treatment of theological or moral questions arising from study of the traditional concept of “liberum arbitrium”, nor, as might be suggested by its appearance in the Fourth Meditation, with reference to his attempt to formulate a theory which could explain the causes of error. This point is clearly connected to the problem which arises when one considers that the inquiries and intellectual procedures of the ego may be determined quite independently of it by external circumstances and powers. Hence, the consideration that the Cartesian ego refuses to depend on the influence of any Other requires, first, an analysis of the possible relationship between the “I” and the Other and, second, an investigation of the modalities according to which the “I” can consider thoughts and actions as its own. My analysis of the status of will in this framework reveals a link between the problem of imputation and the question of alterity, two issues which must be treated in relation to each other. In conclusion, I try to show that it is only in the realm of morality that man, the concept of whom is related to Descartes’s doctrine of the union of body and mind, can have access to a real relation with the other “selves” as “free causes”, forming with them a community of moral subjects
Elemzésem fő célja megvizsgálni a karteziánus akarat-doktrina szerepét az ego individualitásának megalapozásában, valamint hogy ez a kérdéskör hogyan függ össze az individuális felelősség és a másikhoz való viszony problémáival. Descartes korai írásainak elemzése alapján megállapíthatjuk, hogy a szabadság doktrinájának megformálása nem annak köszönhető, hogy a szerző a hagyományos szabad akarat fogalom használatából eredő teológiai és morális kérdéseket tárgyalná, s nem is annak, hogy egy olyan elméletet akarna megalkotni, amely képes megmagyarázni a tévedés okát – mint ahogy azt a IV. Elmélkedésben való megjelenése sugallná. Gondolatmenetének fejlődése lényegileg összefügg annak a lehetőségnek a problémájával, hogy az ego intellektuális tevékenységét külső, tőle független körülmények és erők határozhatnák meg. Ha észrevesszük tehát, hogy a karteziánus ego elutasítja a másik befolyását, ebből két kérdés vizsgálata kerül előtérbe: egyrészt, az énnek a másikhoz való viszonyának problémaköre, másrészt pedig az a kérdés, hogy mi teszi lehetővé, hogy az én önmagához tartozónak tekintse saját gondolatait és cselekedeteit. Az akarat státuszának ebben a keretben történő elemzése megmutatja a tulajdoníthatóság és az alteritás problémái közti mély kapcsolatot, amelyeket így egymással összefüggésben szükséges tárgyalni. Munkánk végén megpróbáljuk megmutatni, hogy az ember, akinek fogalma a test-lélek egységének tanítására épül, egyedül a morál keretei között képes a többi „én”-nel mint „szabad okok”-kal való reális viszony kiépítésére, és létrehozni velük a morális szubjektumok együttesét
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
41

Bourgeois-Gironde, Sacha. "La reconstruction analytique du cogito". Nantes, 1998. http://www.theses.fr/1998NANT3020.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Le cogito cartesien me delivre la premiere certitude de mon existence. L'etablissement de cette certitude n'est pas independante de la presence de proprietes formelles au sein de l'argument, en particulier d'une certaine forme d'inferentialite et de performativite. Il faut donc definir une methode qui soit conjointement la restitution intrinseque de ces traits formels et l'anticipation de la connaissance qu'ils garantissent. La reconstruction analytique du cogito part du plus manifeste en vue de saisir la realite de cet acte et la relation entre la position de cet acte et la nature de mon esprit. La disjonction et la generalisation des deux aspects de l'argument doivent etre evitees par la mise en evidence de l'articulation de la valeur epistemique de l'acte sur l'interpretation de sa constitution et de sa portee semantiques. En plus du sens des termes qu'il comprend, il appartient a l'analyse des caracteristiques indexicales du cogito - formule en premiere personne et au present - d'elucider la relation entre mon usage de certaines tournures et ma conception d'un mode de renvoi, a travers celles-ci, entre la subjectivite d'un acte mental et l'objectivite d'une pensee. La comprehension de l'identite de cette pensee et de sa presence en mon esprit est dependante de la prise en compte, en premiere personne, d'une liaison individuative entre cette pensee et son objet. Cette liaison referentielle fournit une contrainte necessaire a la situation du cogito au sein d'un contexte de pensees singulieres. Mais, s'il est en partie issue des modes objectifs de la cogitation, le cogito s'en distingue par l'indication purement autoreferentielle du type d'esprit au sein duquel il se produit. L'identification autoreferentielle a travers le cogito est cependant a la fois paradoxale et incomplete. La transition du cogito a la res cogitans est essentiellement concevable et elle demeure, en principe, liee au croisement d'un point de vue en premiere personne et d'une garantie d'objectivite
The cogito yields the first certainty on my existence. This certainty is grounded in formal properties of the cartesian dictum, especially its inferential aspect and its performatoriness. A method to define those properties and envision their relation to the nature of my mind has to be sought for. An analytic reconstruction of the cogito must avoid the generalization of both its overt and its mental properties by showing how its epistemic value is articulated upon its semantical scope and content. Beside the meaningfulness of the terms it comprehends, the fact that the cogito is a first-person utterance in the present tense is particularly relevant to the understanding of an indexical or perspectival mode of identification involved in those semantic features. Their role is to make me conceive of an ineliminable subjective way of presenting an objective thought. The other way round, i can but admit that this thought is present to my mind because it is related to some objective trait of my environment. This individuating link bears a general and referential constraint upon the interpretation of the cogito as a singular thought within a mental context. Nonetheless, even though the cogito as a pure intellection is still countable among the particular modes of cogitation, it refers in a special way to the mind itself wherein those thoughts occur. New semantic paradoxes arise when self-identification of a mind has to be brought about by a self-referring procedure. If the cogito is such a procedure, then it definitely cannot allow for a comprehensive knowledge of my essence. This knowledge is only conceivable, and must be completed by a further elucidation of a referential content of my thought. The transition from + cogito, ergo sum ; to + ego sum res cogitans ; is then interpreted as a deduction of an objective guarantee from an irreducible first-person account of my essence
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
42

Aucante, Vincent. "L'horizon métaphysique de la médecine de Descartes". Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1997PA040304.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
La médecine de Descartes est confrontée à un étrange paradoxe : parangon de la méthode dans le discours, sans cesse annoncée dans sa correspondance, elle souffre pourtant de carences manifestes qui jettent un inévitable soupçon sur la cohérence de l'ensemble de l'œuvre du philosophe, et plus particulièrement sur l'efficacité de la méthode elle-même. Loin de suivre rigoureusement un ordre synthétique ou analytique, la médecine se révèle comme un compromis des deux, ou l'experientia jouit de fait d'une place privilégiée. L'explication de toute la physiologie par la physique cartésienne est la seule partie développée systématiquement. Suivant plutôt l'observation directe que les thèses de Galien ou de Paracelse, la recomposition de la "fabrique" du corps humain jouit de fait d'un statut précaire en ce qu'elle se trouve mise en cause par toute nouvelle découverte. Par ailleurs, la physiologie n'est qu'un préliminaire nécessaire à l'élaboration d'une médecine pratique comprenant pathologie, étiologie et thérapeutique. Epars dans l'ensemble du corpus, les nombreux indices une fois rassembles révèlent l'intervention massive de l'âme. Il s'avère alors que le véritable sujet de la médecine cartésienne n'est pas le corps seul, mais le corps en ce qu'il est pour l'âme cause de douleur. L'inachèvement de la médecine apparait donc comme la conséquence d'une double difficulté, d'une part pour saisir tous les rouages de la "machine" corporelle, et d'autre part pour comprendre l'union de l'âme et du corps qui n'est connue véritablement que de dieu seul
The Descartes medicine is facing an odd paradox : parangon of the method in his discourse, always promised in his letters, its obvious deficiencies implicate unavoidably to suspect the whole philosopher's work, and particularly the efficiency of the method. Far from following rigorously a synthetic or an analytic order, the medicine is revealing itself to be a compromise of both, where the experientia has got actually the privilege. The explanation of all the physiology with the Cartesian physic is the only part systematically developed. Following the direct observation more than thesis of Galen or Paracelsus, the recombining of the "fabric" of human body has in fact a precarious status because it can be modified by any new discovery. In other respects, the physiology is nothing but a preliminary required for the development of a practical medicine, with pathology, etiology and therapeutics. Sparse in all the corpus, the many indications once got together reveal an important implication of the mind. It is then proved that the real subject of the Cartesian medicine is not the body alone, but the body causing pain in the soul. The incompletion of Cartesian medicine appears to result from a dual difficulty : on the one hand to discover all the wheels of the bodily machine, and on the other hand to understand the union of mind and body, which is only really known by god
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
43

Roger, Julia. "Descartes et ses livres : l'édition comme geste philosophique". Caen, 2015. http://www.theses.fr/2015CAEN1027.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Le présent travail part du constat d’un désintérêt de Descartes pour les livres. Désintérêt motivé par la vanité des connaissances seulement vraisemblables qu’ils peuvent véhiculer et par leur matérialité même qui empêche le lecteur de se saisir les vérités qu’ils pourraient exceptionnellement renfermer. Ce désintérêt personnel de Descartes pour l’objet-livre procède donc d’une réprobation épistémologique qui prend place au sein d’une critique de l’autorité : qu’est-ce qui fait précisément autorité pour connaître la vérité ? Le media imprimé peut-il être l’instrument d’un enseignement de la vraie philosophie ? Qu’est-ce qu’un auteur et qu’est-ce qu’un livre ? Le présent travail propose d’interroger la pensée cartésienne sur ces sujets, par le prisme de sa « mise en livre ». L’étude des propriétés éditoriales des livres de Descartes constitue ainsi le cœur de cette thèse et permet de rendre compte du rapport non contradictoire d’un Descartes lecteur, déçu par les livres, et d’un Descartes auteur et editor, largement impliqué dans l’édition de ses textes : Discours de la méthode, Meditationes de prima philosophia, Principia philosophiae, Specimina philosophiae et Passions de l’âme
The present work finds its origins in the lack of interest of Descartes for the books. This lack of interest stems from the vanity of likely knownledges they convey and their materiality which prevent the reader to grab the truth they could hold. This lack of personal interest of Descartes for the book as an object is an epistemological condemnation which takes place at the heart of a critique of authority: What makes authority for knowing the truth? Can a media such as the book be used to teach true philosophy? What is an author and what is a book? The present work aims at questionning these subjects through the prism of publishing. The study of Descartes books editorial properties is at the core of this thesis and allows to understand how Descartes, a disappointed reader, was so much involved in the publishing of his works: Discours de la méthode, Meditationes de prima philosophia, Principia philosophiae, Specimina philosophiae and Passions de l’âme
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
44

Caravedo, Durán Joan. "El uso equívoco de los términos "formal" y "material" en las Meditaciones metafísicas". Bachelor's thesis, Pontificia Universidad Católica del Perú, 2013. http://tesis.pucp.edu.pe/repositorio/handle/123456789/5306.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
La noción de idea en Descartes es uno de los términos trasversales en el conjunto de su obra y muestra una nueva consideración al respecto de lo anímico y de su relación con lo material. Procurar negar el rol fundamental de las ideas cartesianas nos dejaría sin la capacidad de comprender una de las obras más importantes de este autor, en la cual nos centraremos en el presente trabajo: Meditaciones metafísicas. La noción de “idea”, que recibe un tratamiento detallado recién en la tercera de las meditaciones, nos sirve como elemento fundamental para la comprensión del conjunto del texto, al punto que incluso las dudas escépticas de la primera meditación pueden ser vistas como el despliegue de un camino hacia el descubrimiento del terreno del cogito, región de una clase de los entes puramente espirituales, que son las ideas
Tesis
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
45

Cardoso, Regis. "A recusa da experiencia da loucura como razão de duvidar no projeto cartesiano de critica do conhecimento". [s.n.], 2009. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/281920.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Orientador: Eneias Junior Forlin
Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciencias Humanas
Made available in DSpace on 2018-08-14T12:12:45Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Cardoso_Regis_M.pdf: 556464 bytes, checksum: 3cc419022ecb112e8fd0ee59cd6d9ba6 (MD5) Previous issue date: 2009
Resumo: Este trabalho tem por objetivos: A) tentar entender os motivos da recusa cartesiana da experiência da loucura, no plano de sua crítica ao conhecimento na Primeira Meditação. B) verificar se não inserida numa perspectiva cartesiana, a adesão à loucura como experiência cética, poderia ser sustentada. C) analisar criticamente as interpretações que Foucault e Derrida realizam sobre a recusa cartesiana da loucura por um lado, e a admissão da experiência dos sonhos por outro. Quanto ao primeiro objetivo, foi verificado que a adesão à experiência da loucura travaria todo o empenho filosófico cartesiano. Quanto ao segundo objetivo, a partir da análise de um recente artigo intitulado "O argumento da loucura", verificou-se que a loucura pode sim ser sustentada como artifício cético. Finalmente, concluímos que há, tanto em Foucault, quanto em Derrida inexatidões interpretativas no tocante às suas análises sobre a recusa da loucura por Descartes.
Abstract: This work has for objectives: A) try understand the reasons of the Cartesian refusal of the experience of madness in the plan of its critical one to the knowledge in the First Meditation. B) verify if not inserted in a cartesian perspective, the adhesion to madness as skeptical experience, could be supported. C) to critically analyze the interpretations that Foucault and Derrida realize on the cartesian refusal of madness on the one hand, and the admission of the experience of the dreams another one. How much to the first objective, it was verified that the adhesion to the experience of madness would stop the cartesian philosophical persistence. How much to the second objective, from the analysis of one recent intitled article "the argument of madness", was verified that madness can yes be supported as skeptical artifice. Finally, we conclude that, as much in Foucault, how much in Derrida exist interpretative mistake, in regards to its analysis on the refusal of madness for Descartes.
Mestrado
Doutor em Filosofia
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
46

Ramos, José Portugal dos Santos 1983. "Método e ciência em Descartes". [s.n.], 2013. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/279995.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Orientador: Fatima Regina Rodrigues Evora
Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciências Huimanas
Made available in DSpace on 2018-08-21T20:51:35Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Ramos_JosePortugaldosSantos_D.pdf: 2384313 bytes, checksum: e2f5697953843c457eadf3019953438a (MD5) Previous issue date: 2013
Resumo: O propósito desta tese é explicar o método cartesiano por meio da lógica matemática que opera a sua constituição. Defende-se nesta pesquisa que, a partir dessa explicação do método, Descartes encontram meios que viabilizam a orientação de suas experimentações científicas. As experimentações científicas são iniciadas, então, quando Descartes encontra previamente uma determinada demonstração geométrica e visa, a partir desta, justificar os resultados da reconstrução de um fenômeno físico. No entanto, tal reconstrução requer outros meios da aplicação do método, pois neste momento trata-se da investigação de objetos que compõem um fenômeno físico. Nesta perspectiva, a aplicação do método de Descartes prescreve dois procedimentos de investigação científica, a saber, os procedimentos de redução e reconstrução. Sustenta-se nesta pesquisa que esses procedimentos requerem objetos manipuláveis que possibilitem, por meio do uso de suposições e analogias, a justificação experimental dos efeitos observados nos objetos físicos (ou seja, do fenômeno físico investigado). As obras de Descartes utilizadas nesta pesquisa são o Discurso do método e Ensaios complementares: A Geometria, a Dióptrica, os Meteoros, e ainda as Regras para orientação do espírito
Abstract: This thesis aims to explain the cartesian method through the mathematical logic which operates its constitution. It is defended in this thesis that, in this explanation of the method, Descartes finds geometric demonstrations that can guide his scientific experimentations. The scientific experimentations are started, so, when Descartes previously finds a particular geometrical demonstration and aims, through such demonstration, to justify the results of the reconstruction of physical phenomenon. However, such a reconstruction requires other means of the method's application, because in this moment it treats on the investigation of objects which compose a physical phenomenon. At this prospect, the application of Descartes' method prescribes two procedures of scientific enquiry, to wit, the ones of reduction and reconstruction. It is maintained in this thesis that such procedures require controllable objects which make possible, through suppositions and analogies, the experimental justification of the effects observed in the physics objects (i. e., as an investigated physical phenomenon). The works of Descartes used here are the Discourse on the Method and Complementary Essays: Geometry, Dioptrics, Meteors, and also Rules for the Direction of the Mind
Doutorado
Filosofia
Doutor em Filosofia
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
47

Beveraggi, Hervé. "La liberté spéculative chez Descartes et Spinoza". Aix-Marseille 1, 1997. http://www.theses.fr/1997AIX10068.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Le probleme de la liberte de la pensee en general, et plus particulierement face a la verite, que nous pouvons appeler liberte speculative, ne trouve pas d'explication satisfaisante chez descartes et spinoza, representants des efforts de la raison raisonnante a l'inclure dans un systeme de la rationalite. Tous deux le comprennent a l'interieur d'ontologies differentes, le confrontent a des theories de la verite egalement differentes. Car la liberte speculative se manifeste bien face au couple verite - erreur : le faux l'empeche, est source de contrainte, seule la verite fournit le sentiment de liberte le plus haut pour descartes, ou est purement et simplement synonyme de liberte pour spinoza. Mais d'un cote, il nous semble impossible de parler de liberte si l'on ne peut refuser le vrai, s'il s'impose necessairement en nous. Si descartes parvient a sauvegarder l'experience du libre arbitre, affirmant la possibilite pour l'individu de penser a ce qu'il veut et ce qu'il veut d'une idee vraie, c'est au prix de contradictions internes a son systeme quant aux rapports liberte - transparence de la pensee, liberte - verite, liberte - omniscience divine. Spinoza evite ces contradictions en refusant le libre arbitre a partir de la critique systematique de ses fondements, mais affirme une libre necessite qui n'est plus reellement une liberte, consistant en une necessite interne de type mathematique, et la place dans un troisieme genre de connaissance finalement inaccessible
The problem of freedom of thought in general, and more particulary in front of truth, which can be called speculative truth, does not find a satisfying explanation with descartes and spinoza, the representatives of the efforts from reasoning reason to include the problem of freedom of thought in a system of rationality. Both philosophers include it inside different ontologies, confront it to theories of truth which are different as well. For, speculative truth indeed, manifests itself in front of the couple truth - error : falsehood prevents it, it a source of constraint, truth only provides the highest feeling of freedom for descartes, or is merely synonymous with freedom for spinoza. But, on the other hand, it seems impossible for us to speak about freedom if we connot refuse what is true, if it necessarily asserts itself into us. If descartes manages to safeguard the experience of free - will while affirming the possibility for the individual to think of whatever he wants, and to think whatever he wants about a true idea, it is then at the expenses of contradictions inner to his system as far as the following relationships are concerned : freedom - transparency of thought, freedom - truth, freedom - divine conscience. Spinoza avoids these contradictions by refusing free - will, from the systematic criticism of its foundations, but affirms a free necessity wich is no longer really a freedom, consisting in an inner necessity of the mathematical type, and assigns it in a third genre of knowledge, inaccessible in the end
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
48

Safou, Jean-Bernard. "Husserl et la métaphysique de Descartes : essai d'une interprétation phénoménologique du projet cartésien de la Mathesis universalis". Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040047.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
La phénoménologie, en tant que philosophie du vingtième siècle finissant, est la métaphysique. Certes Husserl, en fondant la phénoménologie, fonde aussi la métaphysique sur des bases nouvelles, mais, qui restent tributaires de la tradition philosophique. Car, Husserl recourt à la doctrine de la mathesis universalis que Descartes a remise en valeur au dix-septième siècle pour accéder à la philosophie, qu'il a baptisée la phénoménologie. La doctrine de la mathesis universalis telle que Descartes la conçoit se définit comme un projet; la réalisation du projet philosophique cartésien se manifeste par la science universelle. Le nom qu'attribue Descartes à la philosophie, la science universelle ou sagesse humaine, légitime le sens de la philosophie, la philosophie première. Husserl reprend l'idée cartésienne de la philosophie, la science universelle. Ainsi la phénoménologie assume-t-elle le sens de la métaphysique, autrement dit la philosophie première.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
49

Comtois, Nicolas. "Préparation à la lecture des Méditations de Descartes". Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27862.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Le présent mémoire interroge le mode de lecture des Méditations métaphysiques de Descartes. Leur auteur a souligné en plusieurs endroits que, pour bien comprendre son texte, il fallait le « méditer sérieusement ». Il faut nous demander quel sens avait cette recommandation pour lui. Descartes avait connaissance des origines de la méditation dans la philosophie antique ; il y a lieu de croire que c'est avant tout de ce point de vue qu'il en envisageait l'exercice. Il a par ailleurs donné à son texte une forme qui rappelle celle des manuels chrétiens de dévotion ; il a trouvé là un moyen de doter son texte d'une structure reconnaissable mais également d'établir un rapport d'autorité avec son lecteur. Des indices font enfin croire qu'il avait une connaissance pratique des modèles de méditation proposés dans les Exercices spirituels d'Ignace de Loyola et dans les écrits d'Augustin d'Hippone. Il a pu trouver dans le premier des procédés permettant de surmonter les obstacles posés dans la méditation par l'union de l'âme et du corps. Il a pu trouver dans le second un itinéraire capable de mener à la connaissance intuitive de l'âme et de Dieu ; de manière à fonder et à garantir la mathesis universalis. Il faut avoir ce contexte à l'esprit au moment de lire les Méditations de Descartes. Nous devons nous défaire de nos propres préjugés si nous voulons pouvoir méditer avec lui.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
50

Savini, Massimiliano. "Le développement de la méthode cartésienne dans les Provinces-Unies (1643-1665)". Paris, EPHE, 2002. http://www.theses.fr/2002EPHE5013.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Notre recherche se propose de suivre le débat sur la methodus cartesiana qui eut lieu dans les Provinces-Unies dans la période relative à la première diffusion du cartésianisme. Un des enjeux philosophiques principaux du débat entre cartésiens et anticartésiens fut celui de la méthode suivie par Descartes. Le rejet, qui se trouve dans le Discours de la méthode, de la logique traditionnelle sembla provoquer un vide "épistémologique" qui ne pouvait pas être comblé, et les premiers adversaires de Descartes ne manquèrent pas de souligner l'absence d'un instrument formel capable de prouver les thèses soutenues dans le Discours de la méthode ou dans les Meditationes de prima philosophia. La première publication contre la philosophie cartésienne (l'Admiranda methodus de Martin Schoock de 1643) met en question la methodus Cartesii et le refus cartésien de la logique. Cette critique se retrouve aussi dans les oeuvres publiées contre Descartes par Jacobus Revius et Ciriacus Lentulus entre 1648 et 1654. Après la mort de Descartes (1650) les cartésiens des Provinces-Unies furent obligés de démontrer qu'on pouvait reconstruire la théorie de la méthode et la logique utilisée par Descartes. Parmi les intervenants dans ce débat on peut compter Johann Clauberg (Defensio cartesiana, 1652), Daniel Lipstorp (Specimina philosophiae cartesianae, 1653) et Tobias Andreae (Assertio methodi cartesianae, 1653-1654). Clauberg, en particulier, fut aussi l'auteur de la première logique s'inspirant des oeuvres de Descartes : la Logica vetus et nova (1654 et 1658). L'étude de la methodus cartesiana nous a portés d'une part à reconstruire la genèse et l'articulation du débat autour de la méthode de Descartes, de l'autre à mettre en évidence les développements essentiels, internes au cartésianisme, qui accompagnent cette discussion. Les limites chronologiques de la recherche sont la publication de l'Admiranda methodus de M. Schoock (1643) et la mort de Clauberg (1665)
Our research purposes to reconstruct the debate on the methodus cartesiana that took place in the Netherlands in the period relevant to the early diffusion of Cartesianism. Among the mainly discussed questions between Cartesians and anti-Cartesians there was one relevant to the method followed by Descartes. The rejection of the traditional logic that is present in the Discours de la méthode seemed to give rise to an "epistemological gap" that could not be filled up, and Descartes' early opponents emphasized the lack of a formal instrument that could be able to prove the theses backed up in the Discours de la méthode or in the Meditationes de prima philosophia. The first publication directed against the Cartesian philosophy (Martin Schoock's Admiranda methodus of 1643) questions the methodus Cartesii and the Cartesian refusal of the logic. This criticism is also present in the works published by Jacobus Revius and Ciriacus Lentulus between 1648 and 1654. After Descartes' death (1650) the Dutch Cartesians were forced to prove that one could "reconstruct" both the method and the logic utilized by Descartes. Among those who intervened in this debate there were Johann Clauberg (Defensio cartesiana), Daniel Lipstorp (Specimina philosophiae cartesianae) and Tobias Andreae (Assertio methodi cartesianae, 1653-1654). The study of the methodus cartesiana led us both to reconstruct the genesis and the articulation of the discussion on Descartes' method, and to show the inner developments of Cartesianism that match to this discussion. The chronological limits of the research are on the one hand the publication of Schoock's Admiranda methodus (1643), on the other Clauberg's death (1665)
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
Oferujemy zniżki na wszystkie plany premium dla autorów, których prace zostały uwzględnione w tematycznych zestawieniach literatury. Skontaktuj się z nami, aby uzyskać unikalny kod promocyjny!

Do bibliografii