Articoli di riviste sul tema "Valorisation de coproduit"

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Boutin, Élaine, Jean-François Blais, Guy Mercier, Patrick Drogui e Myriam Chartier. "Valorisation de coproduits de l’industrie agro-alimentaire par production de compost de haute qualitéArticle envoyé à la Revue du génie et de la science de l'environnement." Canadian Journal of Civil Engineering 37, n. 1 (gennaio 2010): 156–66. http://dx.doi.org/10.1139/l09-112.

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Abstract (sommario):
Les industries de transformation alimentaire génèrent des quantités imposantes de coproduits organiques, lesquels demeurent, même aujourd’hui, peu valorisés. La présente recherche a permis de réaliser un inventaire détaillé des coproduits générés dans des usines de production de biscuits, chocolat, céréales et barres collations et d’identifier des formulations adéquates de mélanges d’intrants (écailles de cacao, résidus de biscuits et céréales, boues physico-chimiques et biologiques) pour des essais de compostage. Un dispositif expérimental comprenant six tas de compost d’approximativement une tonne métrique, et aérés par retournement manuel, a ensuite été opéré pendant une période de 4 mois. Des températures maximales se situant entre 60 et 68 °C ont été mesurées dans les différents tas au cours de la période de compostage, alors que des températures moyennes supérieures à 50 °C ont été maintenues pendant des périodes se situant entre 6 et 10 semaines. Des composts d’excellente qualité, répondant aux exigences de qualité AA (normes du Bureau de normalisation du Québec) en termes de teneurs en contaminants métalliques et microbiens et de stabilité microbiologique, ont été générés au terme de la période de compostage. Ces essais ont aussi démontré que les écailles de cacao, un coproduit important de la fabrication du chocolat, constituent un excellent agent de foisonnement de compostage.
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Badey, Laureen, Michel Torrijos, Philippe Sousbie, Philippe Pouech e Fabrice Bosque. "La valorisation des coproduits de l’huilerie par méthanisation". Oléagineux, Corps gras, Lipides 19, n. 6 (novembre 2012): 358–69. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2012.0483.

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Mahieu, Angélique, Sébastien Alix e Nathalie Leblanc. "Valorisation de coproduits agricoles dans des panneaux composites biosourcés". Revue des composites et des matériaux avancés 26, n. 3-4 (30 dicembre 2016): 313–29. http://dx.doi.org/10.3166/rcma.26.313-329.

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Le Floc'h, Pascal, Patrick Bourseau, Fabienne Daurès, Fabienne Guérard, Laurent Le Grel, Margot Meunier e Mehmet Tuncel. "Valorisation des coproduits de la mer et territoire : enjeux territoriaux". Revue d'Économie Régionale & Urbaine février, n. 1 (2011): 213. http://dx.doi.org/10.3917/reru.111.0213.

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CHAPOUTOT, Patrick, Benoît ROUILLÉ, Daniel SAUVANT e Bénédicte RENAUD. "Les coproduits de l’industrie agro-alimentaire : des ressources alimentaires de qualité à ne pas négliger". INRA Productions Animales 31, n. 3 (18 gennaio 2019): 201–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2353.

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Abstract (sommario):
Depuis des décennies, les filières agroalimentaires génèrent des coproduits de première ou de deuxième transformation qui représentent en France un gisement important (12 millions de tonnes de matière sèche), dont plus de la moitié est issue des filières de la trituration (29 %), de la sucrerie (14 %) et de l'amidonnerie-féculerie (13 %). Les trois-quarts de ces ressources sont valorisés en alimentation animale, pour 80 % environ via les aliments composés et 20 % directement en élevage. De ce fait, les coproduits, que les réglementations européenne et française distinguent clairement de la catégorie « déchets », sont des matières premières de l'alimentation animale à part entière et doivent en respecter la réglementation. La disponibilité de ces coproduits peut fortement varier dans le temps avec une saisonnalité marquée pour certaines filières, ou dans l'espace selon la répartition des usines agroalimentaires sur le territoire et la superposition avec les zones d'élevage. Les procédés technologiques générateurs de ces coproduits peuvent différer d'une filière à l'autre. La nature et la composition chimique des coproduits dépendent du procédé mis œuvre qui peut évoluer dans le temps, mais également d'une usine à l'autre au sein d'une même agro-industrie. Leur bonne valorisation en alimentation animale est largement conditionnée par une connaissance précise de la qualité des différentes fractions organiques (parois végétales et protéines, notamment) ou minérales accumulées dans les coproduits, et de l'efficacité de leur utilisation qui peut varier fortement selon l'espèce animale destinataire (ruminants ou monogastriques) et selon les types de process appliqués. Un certain nombre de recommandations alimentaires et sanitaires doivent être appliquées pour garantir une utilisation optimale des coproduits par les animaux sans pénaliser leurs performances zootechniques. Ces coproduits présentent de ce fait une réelle valeur économique qu'il est possible de déterminer, même pour les ruminants, au moyen des outils de formulation à moindre coût par programmation linéaire couramment utilisés chez les monogastriques.
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Ravoninjatovo, Mboahangy, Z. Randriamahatody, C. Ravonizafy, B. Ramananjaona, M. Rajaonarivony, H. Randrianatoro e A. Rajoelisoa. "Valorisation des coproduits de crevette (Penaeus spp.) par hydrolyse enzymatique". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, n. 3 (30 giugno 2015): 137. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10173.

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Abstract (sommario):
A Madagascar, la production halieutique annuelle est estimée à 150 000 tonnes. La crevette occupe une place importante dans l’économie malgache et constitue 73 p. 100 des exporta­tions de produits halieutiques (2). Cependant, une grande par­tie des produits entiers n’est pas destinée à la consommation humaine, étant constituée essentiellement par les carapaces et les têtes dont l’élimination peut poser un problème pour l’envi­ronnement. Pourtant, ces déchets contiennent des composants valorisables, notamment des protéines, des lipides et des miné­raux, pour l’amélioration de l’alimentation humaine. L’objectif de cette étude a été d’extraire par hydrolyse enzymatique les composés contenus dans les coproduits de crevettes, de les caractériser et de déterminer les propriétés fonctionnelles des fractions obtenues après hydrolyse.Pour l’hydrolyse, le processus décrit dans une étude antérieure (3) a été adopté avec quelques modifications : les carapaces et les têtes de crevettes ont été hydrolysées en présence de 2 p. 100 de pepsine pendant 2 h à 37 °C et à pH 2. Cette hydrolyse a permis d’obtenir trois fractions : le surnageant, l’eau de lavage du culot, et les résidus de lavage après inactivation de l’enzyme par neu­tralisation du milieu, centrifugation et lavage. Ces fractions ont été caractérisées (matières sèches, protéines, lipides et cendres brutes) et les propriétés fonctionnelles (propriété moussante, pro­priété d’absorption de lipides et propriété d’adsorption d’eau) du surnageant et de l’eau de lavage du culot ont été déterminées.Pour la détermination de la propriété moussante, 20 ml de la solu­tion préparée à 1 p. 100 de l’échantillon ont été homogénéisés à 9 500 tr/min pendant 1 min. Le volume de la mousse formée a été mesuré à 0, 30 s, et à 5, 10, 40 et 60 min. La capacité moussante a été exprimée par le pourcentage de l’augmenta­tion du volume de la mousse à 0 min tandis que la stabilité de la mousse a été exprimée par l’expansion de la mousse durant 60 min (1, 5). La propriété d’absorption de lipides a été obtenue par la détermination du volume d’huile absorbé par gramme de protéine après homogénéisation de 500 mg d’échantillon et 10 ml d’huile, avec agitation toutes les 10 min pendant 30 min et centrifugation à 2 500 tr/min pendant 25 min (1, 4). La pro­priété d’adsorption d’eau a été obtenue par la détermination du volume d’eau absorbé par gramme de protéine après homogé­néisation de 500 mg d’échantillon et 10 ml d’eau avec agitation toutes les 10 min pendant 30 min et centrifugation à 2 500 tr/min pendant 25 min (4).Les têtes de crevettes sont riches en protéines et les carapaces contiennent une quantité considérable de cendres brutes. Après hydrolyse pepsique, le taux d’hydrolyse des carapaces (57 p. 100) a été plus élevé que celui des têtes de crevettes (48 p. 100) (figure 1). Les résultats de la caractérisation des fractions obtenues ont montré que le surnageant contenait une quantité importante de protéines et présentait une propriété moussante intéressante (figures 2 et 3). En effet, l’hydrolyse enzymatique a donné lieu à des protéines de plus petite taille, augmentant leur solubilité et donc leur passage dans la phase soluble. Les résidus de lavage ont représenté une fraction chitineuse pauvre en cendres (tableau I). Le culot a montré une propriété d’absorption de lipides et d’adsorption d’eau non négligeable qui mérite d’être valorisée (figures 3 et 4).L’hydrolyse des coproduits de crevettes avec la pepsine a per­mis de séparer diverses molécules dans plusieurs fractions dont certaines possèdent des propriétés fonctionnelles intéressantes. Elle peut ainsi constituer une voie de valorisation permettant de récupérer différentes molécules d’intérêt.Actuellement, des études sur la toxicité des produits sont effec­tuées et leur utilisation en alimentation est envisagée. En outre, des études sur la composition des acides aminés des protéines du surnageant des carapaces et des têtes de crevettes, ainsi que sur la composition des acides gras contenus dans les lipides du culot sont envisagées pour la valorisation de chaque fraction issue de l’hydrolyse.
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Boumali, Noure El Imene, Fateh Mamine, Foued Cheriet e Etienne Montaigne. "Performances des coopératives agricoles innovantes : le cas de la valorisation de la figue de Barbarie par Nopaltec en Algérie". Cahiers Agricultures 32 (2023): 3. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2022034.

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Abstract (sommario):
Cette étude met en lumière l’impact de l’innovation sur l’orientation-marché et les performances d’une coopérative de valorisation des coproduits du figuier de barbarie en Algérie. Alors que la question des performances de l’entreprenariat collectif a été largement débattue, elle l’a été beaucoup moins pour des coopératives innovantes. Dans ce travail, nous mettons l’accent sur les performances de ce modèle d’entreprenariat fondé sur la réappropriation d’innovations techniques. Dans ce sens, notre analyse cherche à étendre la recherche empirique antérieure sur les performances des coopératives agricoles en introduisant l’orientation vers le marché et une évaluation plus globale des performances socioéconomiques des coopératives innovantes comme Nopaltec. Nos résultats portant sur les « autres » performances – rôle dans l’appropriation collective et la diffusion de l’innovation, structuration de la filière, fonctions socio-politique et territoriale de la coopérative – plaident pour une lecture élargie des performances des structures coopératives agricoles.
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Boutin, Élaine, Jean-François Blais, Guy Mercier, Patrick Drogui e Myriam Chartier. "Valorisation de coproduits de l’industrie agro-alimentaire par production de compost de haute qualité (in French)". Journal of Environmental Engineering and Science 8, n. 4 (novembre 2013): 436–47. http://dx.doi.org/10.1680/jees.2013.0044.

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BONNEAU, M., F. BELINE, J. Y. DOURMAD, M. HASSOUNA, C. JONDREVILLE, L. LOYON, T. MORVAN, J. M. PAILLAT, Y. RAMONET e P. ROBIN. "Connaissance du devenir des éléments à risques dans les différentes filières de gestion des effluents porcins". INRAE Productions Animales 21, n. 4 (27 settembre 2008): 325–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.4.3409.

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Abstract (sommario):
Cet article résume les apports du programme «Porcherie verte» dans la connaissance et la maîtrise du devenir de l’azote, du phosphore et des éléments traces métalliques qui ont, à des titres divers, un impact sur l’environnement. La diminution de la teneur en protéines de l’aliment permet de réduire fortement les quantités d’azote excrétées par les animaux. Une part importante de l’azote est éliminée sous forme gazeuse lorsque les animaux sont placés sur litière ou lorsque le lisier est composté. L’importance de ces pertes d’azote peut cependant varier fortement selon les techniques utilisées et la nature des substrats. Le traitement biologique abat la majeure partie de l’azote et certains types de stations permettent de capter le reste dans des coproduits potentiellement exportables. La bonne valorisation agronomique des effluents nécessite de bien connaître leur valeur fertilisante azotée, ce que facilite l’approche typologique mise au point dans le cadre du programme. Un certain nombre de leviers alimentaires permettent de diminuer la fraction du phosphore alimentaire qui est excrétée dans les effluents : ajustement des apports alimentaires grâce à une meilleure connaissance des besoins des animaux, amélioration de la digestibilité du phosphore alimentaire par une meilleure connaissance de sa disponibilité dans les diverses matières premières ou via l’adjonction de phytase exogène. Les traitements biologiques avec séparation de phases permettent de capter le phosphore dans des coproduits potentiellement exportables et la valeur fertilisante phosphatée des effluents est en général très élevée et facile à prédire.
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LAISSE, Sarah, René BAUMONT, Léonie DUSART, Didier GAUDRÉ, Benoit ROUILLÉ, Marc BENOIT, Patrick VEYSSET, Didier RÉMOND e Jean-Louis PEYRAUD. "L’efficience nette de conversion des aliments par les animaux d’élevage : une nouvelle approche pour évaluer la contribution de l’élevage à l’alimentation humaine". INRA Productions Animales 31, n. 3 (18 gennaio 2019): 269–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2355.

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Abstract (sommario):
L’élevage est souvent perçu comme inefficient pour produire des denrées alimentaires pour l’Homme car les animaux consomment davantage de végétaux qu’ils ne produisent de viande, de lait ou d’œufs. Le calcul de l’efficience nette de conversion des aliments en ne considérant dans le calcul que la part potentiellement consommable par l’Homme des aliments utilisés par les animaux permet de relativiser ce constat. En effet, une large part des aliments consommés par les animaux d’élevage (fourrages, coproduits…) n’est pas directement consommable par l’Homme. Appliqués à des systèmes d’élevage français, les calculs d’efficience nette montrent que toutes les productions animales (bovins laitiers et à viande, ovins à viande, porcins, poulets de chair, poules pondeuse) peuvent être producteurs nets de protéines à condition de maximiser la part des végétaux non valorisables en alimentation humaine dans les rations. Le calcul de l’efficience nette est très sensible à l’estimation de la part des aliments utilisés en alimentation animale qui peut être directement valorisée par l’Homme. Celle-ci varie fortement d’une matière première à l’autre selon les habitudes alimentaires et les technologies agroalimentaire qui peuvent évoluer dans le temps. Il est donc nécessaire d’analyser les résultats d’efficience nette à travers plusieurs scénarios de valorisation des matières premières végétales. De même le niveau de valorisation du cinquième quartier de la carcasse des animaux d’élevage pour l’alimentation humaine est très variable et influence sensiblement les résultats d’efficience nette. Enfin, la prise en compte du différentiel de qualité entre les protéines végétales permettrait d’affiner les calculs d’efficience protéique.
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SAILLEY, Manon, Cécile CORDIER, Jean-Yves COURTONNE, Boris DUFLOT, François CADUDAL, Christophe PERROT, Aude BRION e René BAUMONT. "Quantifier et segmenter les flux de matières premières utilisées en France par l’alimentation animale". INRAE Productions Animales 34, n. 4 (3 marzo 2022): 273–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.4.5396.

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Abstract (sommario):
Les attentes sociétales relatives à l’alimentation des animaux d’élevage s’intensifient (sans OGM, sans déforestation importée, limitant la compétition avec l’alimentation humaine, enrichi en Oméga 3 et/ou 6…) et deviennent parfois une condition d’accès au marché pour certaines productions animales. Afin de construire une méthodologie permettant une segmentation détaillée des consommations de matières premières par filière animale, le Groupement d’Intérêt Scientifique Avenir Élevages a mobilisé un réseau d’experts des différentes filières. Une méthode de réconciliation des flux avec optimisation sous contraintes a été utilisée pour mettre en cohérence les différentes sources de données disponibles et ainsi dresser un panorama complet des flux de matières premières (grains, coproduits et fourrages) dans le système alimentaire de France métropolitaine (alimentation humaine et animale, export, énergie…). Pour l’année 2015, le total des utilisations animales de matières premières concentrées a été évalué autour de 34 Mt standardisées à 85 % de matière sèche et celles de fourrages entre 70 et 72,5 Mt de matière sèche (pertes et refus déduits). Les filières bovines étaient les premières utilisatrices de matières premières concentrées (37 % au total dont 25 % pour les bovins laitiers et mixtes et 12 % pour les bovins à viande), devant les volailles (34 %) et les porcs (23 %). L’utilisation du tourteau de soja apparaît encore plus ciblée : 43 % pour les bovins (36 % pour les laitiers et mites et 7 % pour ceux à viande), 43 % également pour les volailles (dont 29 % pour les volailles de chair), et 6 % pour les porcs. La méthodologie « flux de matières premières » développée dans ce travail permet de fournir des repères précis sur l’alimentation des animaux d’élevage, sa durabilité, l’importance de l’élevage dans la valorisation des coproduits issus de l’agro-alimentaire ou encore l’autonomie alimentaire et protéique de l’élevage français. Sa pérennisation dans un observatoire des flux de matières premières utilisées en alimentation animale est à l’étude afin de disposer d’un suivi pluriannuel de l’évolution des consommations.
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HUANG, Y., J. F. HOCQUETTE, J. L. PORRY, J. M. CHAUMET e Y. HUO. "Production de viande bovine en Chine et perspectives d’évolution". INRA Productions Animales 28, n. 3 (14 gennaio 2020): 259–70. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.3.3031.

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Abstract (sommario):
La consommation de viande bovine a fortement augmenté en Chine depuis la réforme économique et la politique d’ouverture du pays à la fin des années 1970. Cependant, la Chine ne possède pas de véritable filière « viande bovine » avec des partenaires professionnels organisés. De plus, la production augmente avec difficulté. Le ralentissement de la croissance de la production ces dernières années a entraîné une forte hausse du prix de la viande bovine pour le consommateur. La filière « viande bovine » chinoise est face à de nombreux problèmes techniques liés aux pratiques traditionnelles (par exemple, les bovins étaient utilisés comme force de traction pour les travaux agricoles). Ces difficultés entraînent une faible productivité de la filière et s'accompagnent d'une dégradation continue du cheptel de vaches reproductrices en raison de la dispersion des petites fermes paysannes, de la forte réduction des besoins en traction animale, de la faible valorisation des ressources fourragères, du manque de connaissances techniques de la part des petits éleveurs, et du retard dans l’amélioration génétique des races locales. L’amélioration de la technicité est nécessaire notamment pour mieux valoriser les différentes ressources alimentaires des bovins (herbe pâturée ou récoltée, coproduits) et adapter la production à la demande des consommateurs. La structuration de la filière « viande bovine » est également nécessaire pour un élevage durable qui sera amené à prendre en compte d’autres problématiques comme la protection de l’environnement et le bien-être animal.
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ARCHIMÈDE, H., D. BASTIANELLI, M. BOVAL, G. TRAN e D. SAUVANT. "Ressources tropicales : disponibilité et valeur alimentaire". INRAE Productions Animales 24, n. 1 (4 marzo 2011): 23–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3235.

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Abstract (sommario):
La disponibilité et les facteurs de variation de la valeur alimentaire des ressources végétales tropicales et des sous-produits de l’agro-industrie sont présentés dans cette synthèse. Les ressources alimentaires utilisées sont très variées (herbes, arbres fourragers, céréales, tubercules, coproduits de culture, sous-produits de l’agro-industrie) à l’image de la grande diversité des systèmes de production plus ou moins intensifiés, avec un niveau d’intégration variable des cultures et de l’élevage. Les matières premières peuvent être identiques à celles utilisées dans les zones tempérées (soja, maïs), notamment dans les ateliers modernes. Elles peuvent aussi se singulariser par leur origine botanique (sorgho, tubercules, fourrages, arbres fourragers), leur composition (présence fréquente de métabolites secondaires) et les traitements technologiques (coproduits d’industries agroalimentaires artisanales) qu’elles ont pu subir. Il y a une grande variabilité de la valeur alimentaire intra et inter-ressources. Quelle que soit l’espèce animale considérée, des ressources aux valeurs énergétiques élevées similaires ou proches d’homologues tempérés sont disponibles. Les nombreuses ressources «protéiques» ont en revanche des valeurs qui ne « rivalisent » qu’exceptionnellement avec le soja. Des stratégies particulières d’utilisation de certaines ressources sont nécessaires du fait de la présence de métabolites secondaires aux activités antinutritionnelles. En intra-ressource, les variabilités induites par la gestion (âge du fourrage, mode d’alimentation…) et la technologie utilisée (élimination de facteurs antinutritionnels, mode d’extraction, usinage des grains de céréales) qui affectent aussi bien la valeur énergétique que protéique, sont souvent supérieures à celles résultant de la génétique. Des ressources de bonne valeur alimentaire sont donc disponibles en zone tropicale à condition d’y appliquer la bonne gestion et de choisir l’espèce animale adéquate pour leur valorisation. L’information accumulée sur la valeur alimentaire des ressources tropicales est abondante. L’accès aux données n’est pas toujours aisé du fait des stratégies de publication souvent ciblée sur l’échelle régionale. L’information peut être partielle (certains critères de la composition chimique). Les résultats peuvent être fortement liés au contexte dans lequel ces données ont été produites ce qui limite leur généralisation. Une étape importante pour l’avenir serait le regroupement de ces données avec la perspective de dégager des lois générales tel que permet de l’envisager le projet en cours de tables de valeur alimentaire (AFZ-INRA-CIRAD).
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Bengono, Gael Bibang, Alain Souza, Félicien Tosso, Robin Doucet, Aurore Richel e Jean-Louis Doucet. "Les Dialium de la région guinéo-congolaise (synthèse bibliographique)". BASE, n. 3 (2021): 172–91. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.19114.

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Abstract (sommario):
Introduction. Le présent travail dresse une synthèse des connaissances sur le genre Dialium (Fabaceae, Dialioideae) dans la région guinéo-congolaise. Il examine plus particulièrement la possibilité de valoriser durablement le bois de ces espèces et les coproduits de leur transformation en vue de diminuer la pression sur d’autres espèces de bois durs dont les populations se raréfient. Littérature. Bien qu’il n’existe pas de consensus parmi les botanistes, le genre Dialium comprendrait 44 espèces, dont 22 espèces seraient inféodées à la région guinéo-congolaise. Les différences entre espèces sont parfois ténues et les descriptions reposent sur un nombre limité d’individus. Les espèces vivant en forêt dense humide ont des structures de populations équilibrées. À part leur mode de dispersion, lequel est zoochore, les connaissances écologiques sont très lacunaires. L’absence de données sur la dynamique des populations est particulièrement problématique dans le cadre de l’aménagement durable des forêts. Les propriétés physiques, mécaniques et biochimiques du bois ont seulement été caractérisées pour un nombre limité d’espèces. Conclusions. Cet article, en proposant une clé de détermination des espèces de la région guinéo-congolaise, a tenté de clarifier la taxonomie du genre Dialium tout en soulevant la nécessité de mener des études génétiques complémentaires. En Afrique centrale, certaines espèces du genre Dialium sont localement abondantes et semblent se régénérer correctement. Elles offrent de nombreuses perspectives de valorisation car leur bois est très durable et pourrait renfermer des molécules intéressantes. Les recherches à venir devraient se concentrer en priorité sur la dynamique démographique de ces espèces et sur les propriétés de leur bois.
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Sraïri, Mohamed Taher. "Extensive livestock farming in Morocco: From marginal territories to major social and environmental roles". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 68, n. 2-3 (25 marzo 2016): 123. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20598.

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Abstract (sommario):
Les évolutions récentes de l’approvisionnement en pro­duits animaux au Maroc ont montré une nette diminution de la contribution des élevages extensifs. Dans un contexte de forte croissance démographique (de 15,3 à 32,9 millions d’habitants entre 1956 et 2013) associée à une urbanisation rapide (près de 60 % de la population vit dans des centres urbains), les habitudes alimentaires ont clairement évolué. La structure patriarcale de la société, où les repas étaient consommés collectivement à la maison, a été remplacée par des comportements plus individualistes. Par conséquent, la nature des produits animaux consommés par de grands pans de la population a changé. Les produits laitiers et à base de volaille apparaissent les mieux adaptés à ces changements car ils s’incorporent aisément aux repas rapides. D’un autre côté, la consommation de viande de boeuf et de mouton prove­nant des systèmes extensifs n’a pas évolué. Ces systèmes per­mettent cependant de valoriser de nombreux aliments riches en fibres, comme les ressources pastorales et les coproduits de la céréaliculture. Ceci leur a traditionnellement permis d’assu­rer des fonctions stratégiques comme le développement régio­nal de zones marginales, la gestion des ressources naturelles, la valorisation efficace de l’eau à travers les produits d’éle­vage dans un pays affecté par des pénuries d’eau aiguës, et la création de richesses et d’opportunités d’emploi. Le fait que ces systèmes d’élevage extensifs aient été délaissés au profit de systèmes plus intensifs soulève de nombreuses questions. Ces derniers ajoutent une immense pression sur les ressources naturelles des zones où la production intensive est concen­trée. Cela signifie aussi que l’approvisionnement en produits animaux s’est fortement fragilisé car il dépend d’intrants importés, comme des gènes animaux et des produits alimen­taires (soja et maïs pour la volaille). Ces évolutions nécessitent que plus d’attention soit accordée aux systèmes d’élevage extensif car ils assurent un mode de production écologique tout en valorisant de grands espaces ruraux. Ces systèmes tiendront un rôle stratégique essentiel dans un avenir proche lorsque les questions de durabilité de l’approvisionnement en protéines animales et de préservation des ressources naturelles deviendront pressantes, et pour permettre le développement équilibré des différentes régions du pays.
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DUMERGUES, Laurent, e Christine PEYRELASSE. "Valorisation du coproduit CO2 issu de la méthanisation". Gestion durable des déchets et des polluants, agosto 2022. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-g1818.

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CRINI, Grégorio, e Pierre-Marie BADOT. "Valorisation d'un coproduit agroalimentaire en bioadsorbant pour traiter des solutions contaminées issues de la filière papetière". Environnement, luglio 2008. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-in95.

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MARTIN-DUPONT, Fabienne, Vincent GLOAGUEN, Robert GRANET, Michel GUILLOTON, Henri MORVAN e Pierre KRAUSZ. "Essai de valorisation d'un coproduit de la filière bois : Etude des capacités de fixation de métaux lourds par les écorces". Tome 13 | 2002, n. 13 (15 febbraio 2018). http://dx.doi.org/10.25965/asl.778.

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DELANNOY, Charles, e Mathilde COQUELLE. "Valorisation des coproduits marins". Agroalimentaire, maggio 2017. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-bio9150.

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Bombeck, Pierre-Louis, Jacques Hébert e Aurore Richel. "L’utilisation de l’hydrolyse enzymatique pour la production de nanocellulose dans une stratégie de bioraffinage forestier intégré (synthèse bibliographique)". BASE, 2016, 94–103. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.12689.

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Abstract (sommario):
Introduction. Dans un monde qui cherche à se défaire de sa dépendance à la pétrochimie, le concept de bioraffinage de la biomasse forestière est de plus en plus étudié. Dans une recherche de valorisation maximale des composants de cette biomasse, la transformation de fibres de cellulose en nanocellulose séduit de plus en plus l’industrie papetière par sa haute valeur ajoutée. Littérature. Le concept de bioraffinage forestier intégré vise l’adaptation des usines de pâte à papier en bioraffineries où un maximum de coproduits sont valorisés. Au départ de la cellulose contenue dans la pâte, deux types de nanocellulose peuvent être obtenus en déstructurant les fibres selon différents moyens. Comme elle génère des coproduits valorisables, l’hydrolyse enzymatique constitue un moyen de production de nanocellulose mais doit néanmoins être combinée à des traitements mécaniques. La production de nanocellulose au départ de pâte à papier chimique est une étape de fin de chaine qui peut même s’envisager sans modifier le fonctionnement des usines actuelles. La viabilité économique de cette production et la taille du marché potentiel sont l’objet d’études récentes qui s’avèrent encourageantes. Conclusions. La nanocellulose est un biomatériau d’avenir dont le domaine d’application ne cesse de grandir. La cellulose contenue dans la pâte à papier peut servir de matière première à la production de nanocellulose à l’aide de prétraitements enzymatiques générateurs de coproduits valorisables. Cette production peut s’intégrer dans une usine chimique classique de pâte et constituer ainsi un élargissement de la gamme de produits proposés par l’industrie papetière.
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BAUMONT, René, Virginie DECRUYENAERE, Gaëlle MAXIN, Benoît ROUILLÉ, Valérie HEUZÉ e Gilles TRAN. "Valoriser une diversité de biomasses pour répondre aux enjeux techniques, environnementaux et sociétaux des élevages de ruminants". INRAE Productions Animales 36, n. 1 (5 maggio 2023). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2023.36.1.7478.

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Abstract (sommario):
À travers l’importance des surfaces valorisées (plus de la moitié de la surface agricole française) et l’importation d’une partie des matières premières riches en protéines, l’alimentation des ruminants est au cœur des enjeux techniques, économiques, environnementaux et sociétaux des élevages. Le changement climatique affecte déjà les calendriers fourragers et les ressources alimentaires disponibles. Face à ces enjeux, de nombreux leviers existent soit pour adapter les ressources existantes soit pour développer de nouvelles ressources. Ils reposent notamment sur l’adaptation des prairies (introduction d’espèces résilientes au changement climatique) et de leur gestion, l’utilisation des mélanges céréales-protéagineux, des dérobées estivales, des plantes à photosynthèse en C4 et le développement de l’agroforesterie. La diversification des systèmes de cultures rendue nécessaire par la réduction des engrais et pesticides de synthèse devrait fournir de nouvelles ressources à l’élevage (légumineuses fourragères et à graines, intercultures). De nouveaux procédés technologiques, comme le bio-raffinage offrent des perspectives comme une meilleure valorisation des coproduits des industries agroalimentaires. L’utilisation des insectes comme source protéique n’est pas encore autorisée en élevage de ruminants dans l’UE. Celle des algues pose la question des volumes nécessaires pour alimenter des ruminants, mais elles offrent des perspectives en tant qu’additifs alimentaires pour réduire les émissions de méthane entérique. Caractériser ces nouvelles ressources alimentaires pose de nombreuses questions de recherche et de développement. Cela nécessite de collecter un nombre suffisant de nouvelles données par les méthodes de référence d’évaluation des aliments in vivo pour conforter les bases de données, construire les tables de valeur alimentaire et développer les outils de prévision.
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Amponsah, Lorraine, Christopher Chuck e Sophie Parsons. "Life cycle assessment of a marine biorefinery producing protein, bioactives and polymeric packaging material". International Journal of Life Cycle Assessment, 17 ottobre 2023. http://dx.doi.org/10.1007/s11367-023-02239-w.

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Abstract (sommario):
Abstract Purpose Algal research has been dominated by the use of marine biomass (mainly microalgae) as feedstock in the production of second-generation biofuels, albeit with limited economic success. A promising alternative strategy is the valorisation of seaweed (macroalgae), with the cascaded extraction of its high-value components, as well as lower-value components further downstream, under the ‘biorefinery concept’. The goal of this study was to assess the environmental performance of one such marine biorefinery situated in the UK. Methods Attributional life cycle assessment (LCA) was conducted on a hypothetical marine biorefinery coproducing fucoidan, laminarin, protein and alginate/cellulose packaging material (target product), from cultivated Saccharina latissima. The functional unit was the production of 1 kg of packaging material. A total of 6 scenarios were modelled, varying in coproduct management methodology (system expansion, mass allocation or economic allocation) and applied energy mix (standard or green energy). Sensitivity analysis was also conducted, evaluating the systems response to changes in allocation methodology; product market value; biomass composition and transport mode and distance. LCA calculations were performed using OpenLCA (version 1.10.3) software, with background processes modelled using the imported Ecoinvent 3.6 database. Environmental impacts were quantified under ReCiPe methodology at the midpoint level, from the ‘Heirarchist’ (H) perspective. Results and discussion The overall global warming impacts ranged from 1.2 to 4.52 kg CO2 eq/kg biopolymer, with the application of economic allocation; 3.58 to 7.06 kg CO2eq/kg with mass allocation and 14.19 to 41.52 kg CO2eq/kg with system expansion — the lower limit representing the instance where green electricity is used and the upper where standard electricity is employed. While implementing the green energy mix resulted in a 67% reduction in global warming impacts, it also incurred a 2–9 fold increase in overall impacts in the categories of terrestrial acidification, human non-carcinogenic toxicity, land-use and terrestrial ecotoxicity. Economic allocation resulted in burden shifting most favourable to the packaging material pathway. Conclusions This study demonstrates that the road to environmental optimisation in marine biorefineries is fraught with trade-offs. From the perspective of LCA — and by extension, the eco-design process that LCA is used to inform — when evaluating such product systems, it serves to strike a balance between performance across a broad spectrum of environmental impact categories, along with having consideration for the nature of energy systems incorporated and LCA methodological elements. Graphical Abstract

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