Letteratura scientifica selezionata sul tema "Urbanisme – Berlin (Allemagne)"

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Indice

  1. Tesi

Tesi sul tema "Urbanisme – Berlin (Allemagne)":

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Langeheinecke, Ute. "Der Wedding als ländliche Ansiedlung : zur städtebaulichen Entwicklung des Bezirks Wedding, 1720 bis 1840 /". Berlin : Gebr. Mann Verl, 1992. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36210030p.

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Billereau, Sébastien. "Plasticités berlinoises, des visions d'histoires pour une liberté d'invention". Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2011PA010610.

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Abstract (sommario):
Berlin peut être appréciée en termes d'attraction spectaculaire. Mais cette ville, de par son histoire, peut également se comprendre comme un anti paysage appelant détournements, relectures et reconstructions. Ville de symboles, Berlin construit un vocabulaire graphique particulier. Les signes furent d'abord mis en concurrence dans des situations de confrontation entre plusieurs univers et temporalités. Matière de l'oubli et parfois de l'indicible, les murs renferment les expériences traumatisantes et l'émiettement du corps berlinois semble exposer l' Accident. Autochtone dans ce système, l' expression graffiti réussit à s'y couler. De nouvelles dynamiques plastiques se nourrissent de la mise en commun des matériaux berlinois, entre réalité et artifice, entre porosité historique et perfection formelle. Les nouvelles compréhensions plastiques et graphiques peuvent des lors se déberliniser et accéder à une autonomie nouvelle. Berlin devient une ville ouverte à d'autres possibilités de tramage. La distinction entre une promenade réelle dans les matières et les signes de la ville et sa relecture plastique et esthétique a posteriori n'est alors plus primordiale. L'une et l’autre des attitudes deviennent dorénavant pertinentes.
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Delaby, Claire. "Les nouveaux modes de faire la ville à Berlin, urbanisme et architecture participatifs : les Baugruppen". Thesis, Lille 1, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL10130.

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Abstract (sommario):
Cette thèse interroge les récentes pratiques d'aménagement du territoire qui font appel à des stratégies participatives dans la ville de Berlin, terrain d'expérimentations et d'observations. Ce phénomène apparaît à un moment de l'histoire de l'urbanisme où la participation croise le pragmatisme de la standardisation pour s'orienter vers une troisième voie du logement. Dans la ville laboratoire du vide, les Baugruppen se répartissent sporadiquement en marge des politiques urbaines et ne sont plus les éléments constitutifs d'éco-quartiers. Affiliées aux coopératives de logements du XIXe siècle et aux projets participatifs depuis les années 1960, ces constructions suscitent néanmoins une réception ambivalente qui est en rupture avec la ville locative en pleine mutation. L'analyse de la morphologie, typologie et dispositifs architecturaux des Baugruppen fait émerger deux tendances dans leur évolution. Ils favorisent d'abord une marchandisation du logement traditionnel vers laquelle la société évolue dans la ville-globale. Ensuite, la création de standards spécifiques, qui invitent à une dérive architecturale, produit un urbanisme interne par les interactions naissant entre espaces et usagers. Par une radicalisation de la construction et une rationalisation de la participation, ces expériences proposent un nouveau rôle pour les architectes qui réalisent alors des architectures de processus. Générant des micocommunautés, ce nouvel habitat met en avant une nouvelle version de socialisation dans la fabrique de logement. La recherche d'optimisation dans un système non hiérarchique propose un scénario horizontal au sein duquel l'appropriation de l'espace est planifiée
This thesis is dedicated to new ways of developing urban territory through contemporary practices of participation based on the peculiar identity of Berlin. This phenomenon is a method of urban planning in which participation meets standardization to achieve a third means of conceiving collective-housing. In a city considered a laboratory of emptiness, these projects, which spread sporadically throughout an urban wasteland, are subsantially different from what we are used to seeing in the context of eco-neighborhoods. If the experiments model themselves upon a participative filiation, they provoke ambivalent reception because they embrace a long tradition of low percentage of property ownership in a city that is quickly and constantly being reconfigured. The examination of morphology, typology and architectural system of Baugruppen in Berlin highlights two major tendencies. First, they contribute to the marketing of housing, exploiting the notion of Baugruppe as a label and responding to a production of mass customization in an emerging global-city. Second, the creation of specific standards, as architecural dérive lead to collisions between users and space. Through the radicalization of the construction and the rationalization of participation, Baugruppen experiences open a new role for the architects. Performing an architecture of process and seeking optimization in a non-hierarchical system, these projects suggest a horizontal scenario. They offer a new version of socialization in housing development by generating micro-communities and planning an appropriation of space in open-buildings structure for the management of shared scene and the flexibility of living space
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Mougel, Grégory. "Berlin (1990-2000) : processus et formes de division sociale d'un espace intra-métropolitain réunifié". Caen, 2006. http://www.theses.fr/2006CAEN1458.

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Abstract (sommario):
Cette thèse a pour objet l’analyse des modèles de division sociale et ethnique du Grand Berlin dix ans après la réunification. Au début du 21ème siècle, Berlin demeure une figure emblématique de l’ancienne opposition entre le « monde libre » et le bloc soviétique. La ville est un espace urbain particulièrement complexe, qui reste marqué par les phases d’urbanisation socialiste et capitaliste datant de la Guerre Froide. La structuration sociale et ethnique contemporaine de la capitale allemande révèle l’importance encore palpable des inerties liées à la période de bipartition. Cependant, la forme urbaine historiquement héritée est bouleversée par la combinaison de différents facteurs : la redéfinition de la base économique urbaine berlinoise, les transformations du stock résidentiel et l’évolution du marché du logement. Depuis la réunification, la différenciation de l’espace intra-métropolitain berlinois a augmenté. La polarisation sociale et ethnique s’est accrue dans les deux parties orientale et occidentale de Berlin. À Berlin-Ouest, l’opposition est de plus en plus marquée entre les zones résidentielles aisées de l’ouest et du sud-ouest de la ville et les quartiers centraux, qui se distinguent par une concentration accrue des populations défavorisées. À Berlin-Est, on assiste à un renversement du dispositif de division sociale de l’espace caractéristique de la phase d’urbanisation socialiste : alors que les grands ensembles périphériques souffrent de l’émigration massive des ménages actifs avec enfants et des individus parmi les plus qualifiés, l’Innenstadt orientale est l’objet de processus de gentrification associés aux opérations de régénération urbaine
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Jaquand, Corinne. "Le grand Berlin et l'anticipation américaine : infrastructures, paysage et forme urbaine du IIe au IIIe Reich". Paris, EHESS, 2003. http://www.theses.fr/2003EHES0034.

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Abstract (sommario):
Ce doctorat traite de la réception de l'américanisme dans le domaine de l'architecture et de l'urbanisme allemand. Lanalyse est centrée sur la métropole de Berlain, de l'Empire des Guillaume jusqu'au IIIe Reich. La problématique s'articule autour du topos de la modernité pris dans le sens d'un processus de modernisation sociétale, technique et esthétique. L'ensemble des courants de la modernité allemande, des radicaux aux conservateurs, est examiné du point de vue des références discursives et de projet au modèle américain. Le corpus de recherche concerne l'édition d'architecture et d'ingénierie urbaine (revues, livres, essais, catalogues d'expositions, actes de congrès). Le propos développe quatre thèmes : l'architecture métropolitaine et le débat sur les gratte-ciel ; les transformations urbaines par les infrastructures de transport, rail et automobile ; celle des avant-gardes et de la polarisation entre modernes-radicaux et modernes-conservateurs ; le développement de systèmes de parcs urbains et régionaux ; les modèles d'extensions urbaines et la question de la ville fordiste. Un premier chapitre diachronique décrit les protagonistes allemands de l'américanisme sous trois conjonctures : celle des experts proteurs de la réforme urbaine ; celle qui suit la Grande Dépression jusqu'à la fin du nazisme où le modèle américain est discrédité voire refoulé alors que le processus de modernisation du pays continue. Ce doctorat s'inspire des théories métrhodologiques sur la réception en littérature (Jauss, Sulzer). Il pose la question de l'identité nationale dans la pratique du projet urbain et la culture architecturale. A partir de l'hypothèse que le modèle américain aurait contribué à formuler un projet culturel spécifiquement allemand, il débouche sur la notion d' "aires géo-culturelles" caractérisées par l'évolution lente des données conceptuelles, juridiques et institutionnelles et soumises ponctuellement à des changements de paradigmes des contextes professionnels
This doctorale deals with the reception of Americanism in the field of German architecture and city- planning. The analysis focuses on the metropolis of Berlin from the Wilhems' Empire to the III Reich. The problematic is articulated to the topos of modernity, understood as a process of modernization - socially, technically and aesthetically. We have examined how the different trends of German modernity - from the radical to the conservative, have referred to American modernity. The corpus concerns the edition of architecture and urban ingineery (reviews, books, essays, exhibitions catalogues and conferences proceedings). The subject is developed with four topics : metropolitan architecture and debates on skyscrapers : urban transformations through transport infrastructures, railroad and then automobile ; development of urban and regional park systems : patterns of urban extensions relates to Fordist city. The first chapter described diachronically the German protagonists of the A mericanism in regards to three epochs : the first, the urban reform supported by experts ; the second, the years of avant-gardism which opposed radical Moderns against conservative Moderns ; the third, from the Great Depression to the end of nazism, saw the American model rejected even if the modernization of the country went forward. Methodologically, this doctorate refers to the theories of Jauss and Sulzer on reception in literature. In questions the national identity of urban design and architecture as a culture and practices. It proceeds from the hypothesis that the American model was used to formulate a cultural project on modernity, specifically German. It comes out to the notion of "geo-cultural eras" which are characterized by slow evolutions of the conceptual, legal and institutional patterns of concepts and which could be submitted, but punctually, to changing paradigms of professional contexts
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Füzesséry, Stéphane. "L’expérience de la très grande ville. Berlin 1860-1930". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2023. http://www.theses.fr/2023SORUL040.

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Abstract (sommario):
Entre 1860 et 1930, Berlin connaît un cycle de croissance sans précédent : tandis que sa population est multipliée par huit, sa superficie est multipliée par cinquante. Le temps d’une génération, elle devient une très grande ville. Sans équivalent en Europe, ce gigantesque saut d’échelle suscite non seulement un doute quant à la viabilité de cette forme urbaine nouvelle, mais il bouleverse également le type d’expériences que l’on y fait au quotidien. Pour des millions de citadins, il s’agit en effet de composer avec des phénomènes inédits tels que le surpeuplement résidentiel, la promiscuité dans les transports, l’allongement des temps de parcours entre domicile et travail, les risques d’accident de la rue, l’accélération des rythmes ou encore l’artificialisation des ambiances urbaines. Déstabilisée par cette mutation, la société allemande s’engage sur la voie d’une double adaptation : adaptation de la très grande ville aux citadins, adaptation des citadins à la très grande ville. Tandis que la première est favorisée par des politiques portant sur l’amélioration de l’habitat, la réintroduction de la nature en ville ou encore la prévention des accidents de la rue, la seconde est permise par l’acquisition spontanée par les citadins de nouvelles compétences routinières pour tout à la fois se côtoyer en situation de congestion, se déplacer dans un environnement mécanisé ou encore faire face au trop-plein de sollicitations sensorielles. Même si les graves crises qui touchent l’Allemagne à partir de 1914 en perturbent le cours, un processus de normalisation de la vie métropolitaine s’observe donc, qui invalide en partie les doutes nés avec l’urbanisation explosive
Between 1860 and 1930, Berlin underwent an unprecedented growth cycle: while its population increased eightfold, its area increased fiftyfold. In the space of one generation, it became a very large city. This gigantic leap in scale, unparalleled in Europe, not only raised doubts about the viability of this new urban form, but also changed the kind of everyday experiences one had in the city. For millions of city dwellers, it was a matter of coping with new phenomena such as residential overcrowding, crowded transport, longer journey times between home and work, the risk of street accidents, the acceleration of rhythms and the artificialisation of urban environments. Destabilized by this spatial and social mutation, German society embarked on a twofold adaptation process: an adaptation of the very large city to the city dwellers, and an adaptation of the city dwellers to the very large city. While the former was promoted by policies to improve housing, reintroduce nature into the city, and prevent street accidents, the latter was made possible by the spontaneous acquisition of new routine skills by city dwellers to cope with congestion, to evolve in a mechanized environment, and to deal with an overload of sensory stimuli. Even if the serious crises that affected Germany from 1914 onwards disrupted the course of the city, a process of normalization of metropolitan life can thus be observed, which partly invalidates the doubts that had arisen with the explosive urbanization
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Dufaux, Frédéric. "Recomposition territoriale et restructuration du système urbain à l'Est de l'Allemagne (1950-1993)". Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010628.

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Abstract (sommario):
La structure territoriale de l'est de l’Allemagne a subi des modifications majeures entre 1950 et 1993. Le mouvement de décomposition recomposition ouvert en 1989 est au cœur de notre étude. L'échelle spatiale choisie - celle des arrondissements ou kreise - nous a permis une approche spatiale fine des dynamiques puisque ce découpage est reste en place - à de menues retouches près - de 1952 à 1993. Les données des archives de l'ancienne administration centrale de la statistique de la R. D. A. , inaccessibles pendant la période socialiste, ont été utilisées et mises en perspective avec les données récentes. Les résultats les plus originaux portent sur le système migratoire est-allemand et tout particulièrement sur la place de Berlin dans ce système
The territorial structure of eastern Germany has undergone major changes between 1950 and 1993. The dynamics of decomposition and recomposition which began in 1989 is carefully analyzed by our study. The scale of analysis chosen - that of the "kreise" (districts) - enabled us a precise spatial study of the dynamics because it remained almost unaltered between 1952 and 1993. The data used comes from the archives of the former central administration of statistics, which remained partly closed until 1990. We made a comparison with the recent data. Our most original results concern the migratory system of eastern germany, and especially the role of Berlin in that system
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Di, Lecce Claudia. "Art et imaginaire des lieux : valorisation symbolique 'site-specific' à Berlin". Thesis, Paris Est, 2014. http://www.theses.fr/2014PEST1181.

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Abstract (sommario):
S'il est désormais acquis que les communautés d'artistes et plus généralement le système de l'art contemporain jouent un rôle majeur dans le changement urbain, il reste encore plusieurs aspects à éclaircir en ce qui concerne la spécificité de cette contribution. Dans le contexte des quartiers en voie de régénération en particulier, les artistes ont un impact sur le capital symbolique qui se transmet des communautés qui y habitent ou y travaillent, à l'espace ; un processus que l'on pourrait qualifier de « spatialisation du capital symbolique ». Ces hypothèses ont été développées à travers l'exploration d'un ensemble d'éléments artistiques ayant agi dans le processus de régénération urbaine, au sein du cadre spécifique du Berlin des années 1990.Afin de donner des réponses nouvelles à ces questions, il a fallu élargir le champ de l'analyse en associant aux dimensions sociologiques, géographiques, économiques et urbaines la considération des activités artistiques qui appartiennent à la sphère plus proprement esthétique. L'hypothèse étant que les œuvres d'art – qui ne sont pas nécessairement des objets – sont des « configurations signifiantes à partir desquelles il est possible d'exercer un jugement rationnel » parce que dans l'expérience esthétique qu'elles engendrent, se produisent des effets d'ordre « normatif, cognitif et pragmatique ». Le rôle crucial de l'espace urbain dans l'évolution de l'art depuis la fin du XIXe siècle étaye l'hypothèse d'un ensemble d'interactions spécifiques, sur le plan esthétique, entre expression artistique et espace urbain. On ne se réfère pas aux recherches artistiques qui trouvent dans la ville un sujet à représenter, mais à des expériences plus radicales qui ont pu choisir l'urbain comme espace d'intervention, substrat des œuvres et lieu où établir des relations plus directes avec le public et le monde réel. La compréhension de l'émergence d'une approche site-specific dans l'art du XXe siècle peut servir à comprendre les racines symboliques du rôle croissant du système artistique dans le changement urbain. Pour aborder une question intrinsèquement transdisciplinaire nous avons dû avoir recours à des instruments variés et hétérogènes. Ainsi cette recherche s'appuie sur une variété de sources : des fonds d'archives concernant les programmes publics et les initiatives institutionnelles ; des recherches anthropologiques visant à reconstruire des histoires de vie et des expériences racontées par leurs protagonistes ; des sources bibliographiques importantes sur le cadre historique et théorique. Le degré d'indépendance des acteurs artistiques dans la détermination de ces changements démontre une profonde ambivalence qu'on ne peut réduire à des formules synthétiques. Les résultats des actions artistiques peuvent être analysés soit comme une exploitation de la valeur symbolique produite par les acteurs institutionnels de la ville, soit au contraire comme la préservation et le développement d'une alternative urbaine et politique. Par rapport aux exemples observés à Berlin, nous avons essayé de retracer les liens qui unissent ces expériences à des phénomènes antérieurs similaires – et à d'autres encore en évolution dans le présent – cela nous a permis de les considérer ceux-ci comme l'expression d'une tradition constamment renouvelée. En ce sens, les acteurs artistiques dont nous nous sommes occupés peuvent être considérés comme les interprètes de besoins et de désirs latents du corps social et urbain qui reviendraient de façon cyclique et qui pourraient jouer un rôle dans le développement de la ville dans le future aussi. L'analyse approfondie des deux cas d'étude, au-delà de leur intérêt individuel, s'offre comme une exploration à l'intérieur d'un champ dans lequel les études sont encore limitées et souvent très circonscrites. Notre recherche se veut comme la tentative de formuler des concepts, des instruments et des stratégies d'analyse qui pourront par la suite être appliqués à d'autres contextes
The key role played in urban change by artist communities, and more generally the art system has been widely recognized, yet the specific characteristics of this contribution are still to be explored. In the context of regenerating neighborhoods in particular, artist communities are able to produce a symbolic value that is subsequently transferred to the space they inhabit and work into, in a process that we could define as a ‘spatialisation of symbolic value'. Our thesis is focused on a series of artistic elements and events that were able to interact with the urban regeneration process that took place in post-wall Berlin in the 1990s.To fully understand such process, it is necessary to broaden the scope of the analysis in order to associate to sociological, geographical, economic and urban aspects the consideration of those artistic activities that belong to the aesthetic sphere. Our hypothesis being that works of art – which are not necessarily objects – may be regarded as significant configurations whose consideration allows a rational judgment as the aesthetic experience they determine encompasses prescriptive, cognitive and pragmatic effects. The crucial role of urban space in the evolution of art since the end of the XIX century supports the hypothesis of the existence of specific interactions between artistic expressions and the urban environment. We are not referring to those art works that find in the city an object to represent, but to more radical researches that choose the urban dimension as a site of intervention, the foundation of the work of art and the place where a more direct relationship with the public and the real world may be established. The consideration of the ‘site-specific' approach that appeared in the art of the XX century has helped us to understand the symbolic nature of the role increasingly played by the art system in urban change. In order to deal with a question that pertains to urban and cultural geography, urbanism, history as well as art history, we had to rely on a set of heterogeneous tools and sources: archival material concerning public programs and institutional initiatives; anthropological enquiries concerned with ‘life histories' and experiences reconstructed through the direct testimony of their protagonists; extensive bibliographic sources used to analyze the broader context of more specific case studies. As a result of our analysis, the degree of independence of artistic actors in the determination of such changes is marked by deep ambiguity that cannot be reduced to synthetic formulas. At times the symbolic value produced may be subsequently commodified and exploited by the institutional players of the city, in other cases art interventions prove as the expression of an alternative vision for urban development and its politics. In the specific context of Post-wall Berlin, we have tried to explore the relationship that connects specific experiences of the time to similar ones occurring in the past – as well as others currently taking place. This effort has brought us to consider the events of the 1990s as the expression of needs and desires periodically reappearing at the surface of the urban and social body, forces that may still play an important role in the future development of the city. Besides its intrinsic interest, in depth analysis of two case studies appears as a further inquiry in a field where research is still lacking and often focused on specific perspectives. Our contribution is intended as an attempt to develop concepts, tools and analytical strategies that may in the future be applied to other contexts
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Weis, Isabelle. "L'urbanisme berlinois et les Mietskasernen (1840-1914) : réalités, discours et représentations". Thesis, Reims, 2017. http://www.theses.fr/2017REIML009.

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Abstract (sommario):
La thèse a pour objectif de contribuer à l’étude de l’urbanisation d‘une ville face à un essor industriel accompagné d’une explosion démographique, qui a posé la question cruciale de l'habitat ouvrier. Elle porte sur Berlin comme terrain d’observation de ce processus sur la période de 1840 à 1914. La genèse de son urbanisme mettait en évidence un type d’habitat ouvrier propre à la ville: la Mietskaserne. La thèse retrace les débats sociaux-politiques, qui ont porté la Mietskaserne au cœur de la question sociale. Durant des décennies, la Mietskaserne s’est imposée dans le paysage urbain berlinois, alors qu’en tant que structure sociale elle ne répondait pas aux attentes d’une grande ville moderne. Le principe de tout aménagement urbanistique est d’avoir pour finalité la création d’habitats adaptés et un plan d’ensemble peut seul garantir cet objectif. Dans le processus carentiel de l’urbanisation de Berlin apparaissait l’interaction de la spéculation, qui infléchissait les décisions de l’administration de la ville.La réaction à la Mietskaserne ouvrait un espace de pensées sur les nouveaux moyens d’urbaniser une ville et sur les possibilités de créer un nouvel habitat ouvrier. Elles s’inspiraient souvent des idées des mouvements de la Lebensreform et de la Gartenstadt, qui marquaient la nouvelle identité urbaine de la ville moderne. Mais, auparavant Berlin devait accepter sa diversité culturelle, ce qui l’obligeait à reconnaître de nouvelles productions culturelles. Cette thèse entendait partager ainsi la réflexion sur les capacités de concevoir la structure urbanistique et sociale d’une ville, en l’occurrence Berlin, pour construire à partir d’identités collectives multiples une ville unique
The aim of this thesis is to contribute to the study of urbanisation which was confronted with industrial expansion and accompanied by a population explosion, raising a question of housing for workers. This study uses Berlin as an experimental locale for this process during the period of 1840 to 1914. The genesis of Berlin’s urbanisation brought to the fore a type of housing for the workers specific to the city : the Mietskaserne. This thesis relates the social and political debate which has placed the Mietskaserne at the heart of the social question and the rights to land use have to be changed. For decades, the rental house has dominated the urban landscape of Berlin, though it does not correspond to the expectation for a large and modern city as a social structure. The goal of urban planning is to create suitable dwellings, and only a comprehensive plan can achieve this purpose. Property speculation has caused deformation of the process of urbanisation in Berlin and affected administration of the city.General reaction to the Mietskaserne resulted in new ways of thinking about urbanisation of a city and the possibilities for creating new dwellings for the workers. These were inspired by ideas from the movements for the Lebensreform (new ways of living) and the Garden City, which characterised the new urban identity of the modern city. Berlin’s growth had to take into account cultural diversity, which obliged it to recognize new cultural contributions. The motivation for this thesis is to support the existing view and explore other ways to conceptualise urban and social structure of a city (in particular, Berlin), in order to built this unique city on collectiv identities
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Jacques, Olivier. "VERTIGES MÉTROPOLITAINS. Enquêtes sur les déséquilibres dans les métropoles modernes". Thesis, Université Laval, 2011. http://www.theses.ulaval.ca/2011/28161/28161.pdf.

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