Articoli di riviste sul tema "Trouble de la dépendance à l’internet"

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1

Vargas Castro, J. A., T. Grau, G. Faus e M. Sanchez Povedano. "Répercussions des nouvelles technologies dans la santé mentale des enfants et des adolescents". European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013): 9–10. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.022.

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Abstract (sommario):
ObjectifDéterminer si l’emploi addictif des nouvelles technologies (Internet – Jeux vidéo – Téléphone portable – Télévision) par les adolescents pourrait partager la même cause que celle qu’on observe dans les troubles alimentaires et dans les troubles d’externalisation, avec des altérations dans l’impulsivité, et partager également la même dysfonction neuropsychologique.Introduction et objetLes nouvelles technologies fournissent une meilleure qualité de vie, le problème est leur potentiel de dépendance surtout chez les adolescents souffrant de troubles du contrôle des impulsions, en particulier des troubles alimentaires et des troubles d’externalisation.MéthodesIl s’agit d’une étude descriptive et comparative. Le diagnostic s’établit selon notre protocole (DSM-IV/CIE-10), et selon l’application de trois instruments différents : BIS.11 (Barratt-échelle-de-l’impulsivité), DENA (questionnaire-de-dépistage-des-nouvelles addictions), IAT (Test-d’Addiction-à-l’Internet). La population a été divisée en deux groupes : les troubles de l’alimentation (n = 10) et les troubles d’externalisation (n = 10), dans la fourchette d’âge 12 à 17 ans, dans nos centres-d’ITA.RésultatsLes résultats ont démontré que le modèle de l’impulsivité est plus élevé chez les adolescents atteints de troubles de l’externalisation que chez ceux souffrant de troubles alimentaires. Les deux groupes avaient une tendance similaire dans l’utilisation des nouvelles technologies. ConclusionsL’usage et l’abus potentiel des nouvelles technologies est similaire chez les adolescents hospitalisés pour troubles de l’alimentation et ceux hospitalisés pour pathologies liées à des troubles d’externalisation, ouvrant une zone problématique : celle de la canalisation de l’impulsivité dans l’emploi des nouvelles technologies. Il est nécessaire de mener à terme des recherches avec plus de population d’appui, ce qui pourrait fournir des lignes directrices en faveur d’une approche clinique.
2

Dufour, Magali, Louise Nadeau e Sylvie R. Gagnon. "Tableau clinique des personnes cyberdépendantes demandant des services dans les centres publics de réadaptation en dépendance au Québec : étude exploratoire". Santé mentale au Québec 39, n. 2 (15 dicembre 2014): 149–68. http://dx.doi.org/10.7202/1027837ar.

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Abstract (sommario):
À ce jour, il n’existe aucun consensus quant aux critères diagnostiques d’une dépendance à Internet (Hinic, 2011 ; Tonioni et al., 2012 ; Weinstein et Lejoyeux, 2010). Pourtant, des personnes s’autodéclarent cyberdépendantes et réclament des soins dans les centres de réadaptation en dépendance (CRD) au Québec. Ces admissions ont amené l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal à demander la réalisation d’une étude descriptive sur la cyberdépendance. Objectifs : Décrire les caractéristiques sociodémographiques des cyberdépendants en traitement dans les CRD ; et 2) Documenter leurs problématiques associées telles les problèmes de consommation d’alcool, de drogues, pratiques de jeux, estime de soi, symptômes de dépression et d’anxiété. Méthode : L’étude a été menée dans huit CRD au Québec. Un échantillon de convenance de 57 personnes a été recruté sur une période de 24 mois de 2010 à 2012. Pour participer à cette étude, il fallait être âgé d’au moins 18 ans, s’identifier comme étant cyberdépendant, demander de l’aide pour un problème de cyberdépendance dans un CRD public. L’Internet addiction test (IAT) (Young, 1998), dans sa version française validée (Khazaal et al., 2008), a servi à évaluer la gravité des habitudes d’utilisation d’Internet. Les problèmes associés ont été évalués à l’aide des questionnaires suivants : l’inventaire d’anxiété de Beck (Beck, Epstein, Brown et Steer, 1988) ; l’inventaire de dépression de Beck (Bourque et Beaudette, 1982) ; le DÉBA-Alcool/Drogues/Jeu (Tremblay et Blanchette-Martin, 2009) et le questionnaire de l’échelle d’estime de soi (Rosenberg, 1965). Résultats. Cinquante-sept personnes ont accepté de participer à l’étude. La très grande majorité des participants était des hommes (88 %), âgés en moyenne de 30 ans, vivant chez leurs parents et ayant un faible revenu. Ils consultaient à la suite des recommandations de leurs proches et rapportaient de nombreuses conséquences reliées à leur utilisation d’Internet. Ils passaient en moyenne 65 heures par semaine sur Internet et rapportaient avoir plusieurs applications problématiques. Les applications problématiques les plus fréquemment rapportées étaient les jeux de rôles multijoueurs (57,8 %), les sites de divertissement streaming (35,1 %) et les bavardoirs communément appelés chat rooms (29,8 %). À l’échelle d’estime de soi, 66,6 % des participants présentaient une estime de soi très faible, ou faible, alors que 21,1 % rapportaient une estime supérieure à la moyenne. L’inventaire de dépression de Beck a évalué que 3,5 % (n = 2) de l’échantillon atteignait le seuil clinique tandis que 7,5 %, (n = 4) vivait de l’anxiété atteignant le seuil clinique. Presque la moitié (45,6 %) prenait une médication psychotrope pour un problème de santé mentale et 33,3 % présentait un problème de santé physique chronique. Conclusion : Cette étude a permis de mettre en lumière les caractéristiques d’un groupe encore méconnu dans la population, soit les personnes cyberdépendantes. Ces cyberdépendants vivent des conséquences significatives à la suite de la perte de contrôle de l’utilisation d’Internet. Par ailleurs, à leur admission en traitement, bien que la détresse psychologique subjective ne soit pas toujours élevée, les participants présentent un tableau clinique complexe où la comorbidité est la règle plutôt que l’exception. Il nous semble que les données actuelles comportent suffisamment de similarités avec les autres troubles addictifs pour permettre aux cliniciens de travailler en prenant assise sur leur expérience avec d’autres dépendances.
3

Romo, L., C. Aubry, J. Djordjian, E. Fricot e J. Adès. "La dépendance à l’Internet et la prise en charge cognitivo-comportementale". Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 14, n. 3 (settembre 2004): 117–23. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(04)97458-7.

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4

Houdeyer, K., C. Aubry, L. Romo, C. Gérard e J. Adès. "Trouble de l’attention/Hyperactivité (TDAH) et Alcoolo-dépendance". Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 14 (dicembre 2004): 43. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(04)97652-5.

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5

Lapierre, P., S. Szaffarczyk, T. Danel, O. Cottencin e D. Pins. "Étude du sentiment de familiarité dans l’alcoolo-dépendance : une hyperfamiliarité aux visages". European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S106. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.199.

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Abstract (sommario):
L’alcoolo-dépendance est une maladie chronique hautement récidivante dont l’enjeu principal est la prévention des rechutes. Les rechutes sont favorisées par le ressenti du sujet vis-à-vis de son environnement social [1]. L’alcoolo-dépendance entraîne des troubles cognitivo-comportementaux dont des déficits de reconnaissance émotionnelle et une altération des interactions sociales [2] majorant le risque de rechutes [3]. Ces troubles pourraient être liés à une altération du sentiment de familiarité. La familiarité se définit comme un sentiment de connaissance préalable d’un stimulus générant une émotion inconsciente, sans souvenir conscient de son identité [4]. Nous nous proposons d’étudier la familiarité aux visages dans l’alcoolo-dépendance. Douze patients alcoolo-dépendants (AD) étaient appariés en sexe et en âge à 12 témoins (T). Les participants ne présentaient ni trouble psychiatrique, ni neurologique, ni addiction en dehors d’un trouble d’usage sévère d’alcool pour le groupe AD (classification DSM-5). Des morphes entre visages familiers et inconnus (contenant 5 à 95 % du visage familier) étaient présentés. Les sujets devaient indiquer les visages leur semblant familiers. Un pourcentage de réponse « familier » était alors calculé par niveau de familiarité, permettant de construire une fonction psychométrique par sujet, et d’en déduire le seuil de familiarité (pourcentage de familiarité contenue dans le morphe pour lequel 50 % des stimuli étaient considérés comme familiers). Les interactions sociales étaient évaluées par une échelle de cognition sociale (MASC). Le seuil de familiarité était significativement plus faible dans le groupe AD que dans le groupe T (48,79 % versus 54,94 % – p = 0,025). Parallèlement les 2 groupes différaient sur les scores au MASC (AD : 26/45 ; T : 31/45 – p = 0,015). Ces résultats démontrent une hyperfamiliarité dans l’alcoolo-dépendance, associée à une altération de la cognition sociale. L’implication de l’altération de ces deux processus sur les risques de rechute est abordée.
6

Ben Alaya, S., W. Homri, A. Harbaoui, A. Hari e R. Labbene. "Personnalité dépendante et maltraitance physique". European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013): 9. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.021.

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Abstract (sommario):
IntroductionLes sujets à personnalité dépendante sont assez souvent victimes de maltraitance physique émanant dans la majorité des cas de leurs proches. Cependant, cette maltraitance reste longtemps tolérée par le sujet afin de ne pas rompre le lien de dépendance. ObjectifMettre en exergue l’association entre ce type de trouble de la personnalité et la tolérance à la maltraitance infligée par leurs proches.MéthodologieRevue de la littérature par recherche sur la base de données « Science direct », via les mots clés « Dependant personality » « Violence » « Abuse », illustrée par un cas clinique.RésultatsIl s’agit de M. A.R., âgé de 59 ans sans antécédent notable, marié, père d’un fils âgé de 27 ans, suivi dans notre service pour trouble dépressif majeur avec caractéristiques psychotiques sur une personnalité dépendante. Lors des hospitalisations nous avons constaté la présence de traces de maltraitance physique, ce n’est qu’après plusieurs entretiens que le patient avoue qu’il subissait continuellement la violence physique et la maltraitance de la part de sa femme et de son fils. Après revue de la littérature, nous avons constaté que les sujets ayant une personnalité dépendante auraient tendance à être agressés plus fréquemment par leurs proches, de manière répétée. Il s’agit d’une population à risque capable de supporter longtemps la violence émanant d’un proche de peur de perdre son soutien et son approbation, maintenant ainsi le lien de dépendance. ConclusionLa personnalité dépendante est un trouble de la personnalité relativement fréquent mais les sujets ne consultent généralement pas pour leur trouble, il s’agit d’une population vulnérable et silencieuse souvent sujette à la maltraitance qu’il faudrait savoir dépister afin d’entamer une prise en charge adaptée. Cependant, il n’existe que peu de travaux relatifs traitant de ce sujet.
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Le Bouthillier, Jacques, e Charles-Antoine Garneau. "Un trouble à part entière ?" Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 7, n. 2 (5 settembre 2019): 9–17. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v7i2.10106.

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Abstract (sommario):
Internet a bouleversé nos habitudes et fait désormais partie intégrante de nos vies. En dépit de ses nombreux avantages, l’avènement de cette technologie a mené à l’apparition de certaines conséquences découlant de son utilisation. En effet, un nombre préoccupant de personnes montrent des signes de dépendance au monde virtuel et les jeunes de moins de 25 ans semblent particulièrement vulnérables. Cet article met l’accent sur les principales conséquences (1) biologiques, (2) psychologiques et (3) sociales de la cyberdépendance chez les adolescents et les jeunes adultes. Les connaissances actuelles révèlent que les conséquences biologiques, majoritairement indirectes, s’expliqueraient par les mauvaises habitudes de vie adoptées par les cyberdépendants. La cyberdépendance serait également associée au développement et au maintien de nombreux troubles psychologiques et psychiatriques comorbides. Les recherches montrent ensuite de multiples impacts de la cyberdépendance au niveau relationnel, autant sur le plan social, familial, conjugal, professionnel que financier. Malgré le fait que la cyberdépendance ne soit toujours pas répertoriée comme un trouble distinct, les écrits scientifiques reflètent bien l’ampleur de la problématique et les nombreuses conséquences qui peuvent en découler.
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Jahjah, Marc. "Les ruses du web et de l’Internet : expérience du trouble et confiance en soi". Socio-anthropologie, n. 46 (15 dicembre 2022): 63–80. http://dx.doi.org/10.4000/socio-anthropologie.12665.

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9

Stephan, P. "Adolescents borderline et utilisation de substances : de la consommation à l’abus, de l’abus à la dépendance". European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S23—S24. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.073.

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Abstract (sommario):
Il a été clairement établi que le trouble de la personnalité borderline (BDP) est fréquemment associé aux troubles liés à la consommation de substances (SUD). En effet, depuis longtemps, plusieurs études se sont penchées sur l’association fréquente rencontrée entre le SUD et le BDP. Les données de la littérature admettent en moyenne une prévalence de 50 % de diagnostic de trouble des substances chez les patients présentant un trouble BDP. De plus, la grande majorité des individus borderlines présentant une comorbidité SUD la développe au cours de leur adolescence. En allant plus loin nous sommes tentés de penser que les éléments à l’origine de la mise en place d’un SUD chez les borderline sont présents dès l’adolescence. Ceci pose donc la question de la fonction de la consommation de substance dans l’économie psychique du borderline ainsi que leurs liens avec le processus d’adolescence. Ainsi, la consommation de substance est particulièrement importante chez les adolescents borderline et constitue l’une des principales comorbidités. La rencontre avec une substance psychoactive (alcool, cannabis ou autre) en plein processus d’adolescence semble jouer deux fonctions : d’une part, elle devient un moyen de palier au manque de capacités de régulations émotionnelles particulièrement sollicitées à cette période de la vie et tente ainsi de canaliser un débordement psychique. D’autre part, elle ravive par l’intensité de son vécu les expériences précoces de saturations émotionnelles à l’origine des dysfonctionnements du système de régulation des émotions. À la fois remède et poison la consommation risque de fixer d’avantage la construction du trouble borderline dans un cercle de renforcement auto-entretenu. L’adolescence étant par ailleurs une occasion de moduler, de remodeler certains aspects du rapport au monde, elle est une période particulièrement pertinente pour la mise en place d’une action thérapeutique.
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Beaupré, Juliette, Félicie Gingras, Alycia Jobin, Maxime Legendre e Catherine Bégin. "Rôle modérateur de la dépendance alimentaire sur la sévérité des problématiques alimentaires". Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 13, n. 2 (29 marzo 2024): 28–30. http://dx.doi.org/10.51656/763qvv03.

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Plusieurs évidences suggèrent que la dépendance alimentaire (DA) augmente la sévérité des symptômes de trouble des conduites alimentaires (TCA), surtout lorsqu’en comorbidité avec le trouble accès hyperphagiques (TAH). L’objectif était d’examiner l’effet modérateur de la DA sur la sévérité des comportements alimentaires et des déterminants psychologiques en fonction d’un diagnostic de TCA. Les participants (n=193) ont été recrutés au Centre d’expertise Poids, Image et Alimentation puis catégorisés selon la présence d’un TCA (TAH, TCA non-spécifié ou sans diagnostic) et de DA. Différents questionnaires auto-rapportés mesuraient les comportements alimentaires, les traumatismes interpersonnels vécus à l’enfance, la régulation émotionnelle, les traits de la personnalité et l'impulsivité. Sans tenir compte de la DA, les résultats montrent plus de désinhibition alimentaire et de susceptibilité à la faim pour le groupe TAH comparativement au groupe sans diagnostic. La DA, quant à elle, est associée à plus de désinhibition, de stratégies de régulation non-adaptatives et de traumatismes pour le groupe sans diagnostic, moins de coopération pour le groupe TCA non-spécifié ainsi que moins d’autodétermination et plus de stratégies de régulation non-adaptatives pour le groupe TAH. L’évaluation de la DA en complémentarité avec l’évaluation diagnostique des TCA permet de mieux saisir la sévérité de la pathologie.
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Markus, Wiebren, e Hellen K. Hornsveld. "Interventions EMDR dans le traitement des addictions". Journal of EMDR Practice and Research 13, n. 2 (1 maggio 2019): E16—E49. http://dx.doi.org/10.1891/1933-3196.13.2.e16.

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La consommation de tabac, d'alcool et de drogues illicites est très répandue et a des conséquences négatives importantes pour les individus, leurs familles et la collectivité à laquelle ils appartiennent. Un nombre important d'usagers développent un trouble de dépendance. Le traitement à visée curative de la dépendance est difficile, sur le plan de la fidélisation des patients et du taux de rechute. Nous discutons ici du potentiel de la thérapie EMDR (désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires) dans le traitement de la dépendance. On distingue deux approches : l'EMDR axée sur les traumatismes et l'EMDR axée sur l'addiction. Nous faisons ici un examen critique des protocoles EMDR adaptés déjà existants et des recherches sur ces deux types d'approche. Malgré vingt ans de développement et de recherche, la faisabilité et l'efficacité de la thérapie EMDR axée sur les addictions n'ont guère encore été étudiées. Nous discutons ici les nouvelles possibilités passionnantes offertes par les recherches sur la théorie de la mémoire de travail. Nous présentons dans cet article la palette des interventions EMDR en toxicomanie (PIET), une vue d'ensemble de toutes les interventions visant au traitement de la toxicomanie par apport de ressources et thérapie EMDR. L'article se conclut par des recommandations pour les recherches futures dans ce domaine.
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Richard, Roxanne, e Diane Marcotte. "La relation temporelle entre l’anxiété et la dépression dans le contexte de la transition primaire-secondaire". Mosaïque 38, n. 2 (21 marzo 2014): 257–75. http://dx.doi.org/10.7202/1023999ar.

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Abstract (sommario):
Cette étude longitudinale s’intéresse à la relation temporelle entre l’anxiété et la dépression en contexte de la transition primaire-secondaire, en examinant si la présence d’un trouble anxieux en sixième année (temps 1), soit à l’âge de 11-12 ans, augmente le risque que se développe un trouble dépressif deux ans plus tard, soit en deuxième secondaire (temps 2). Un échantillon de 146 élèves, soit 62 filles et 84 garçons (moyenne d’âge 11,22 ans) qui ont participé à cette étude. Les résultats révèlent une tendance entre la présence d’anxiété en sixième année et le développement d’un trouble dépressif en deuxième secondaire, et ce, chez les filles seulement. La présence de distorsions cognitives distingue les groupes sur le plan transversal seulement. L’analyse longitudinale s’avère non significative entre la présence de distorsions cognitives chez les élèves anxieux du temps 1 et le développement d’un trouble dépressif au temps 2. En sixième année, les élèves anxieux présentent déjà des distorsions cognitives associées à la dépression, alors que les élèves concomitants de deuxième secondaire se distinguent des élèves anxieux par la présence de distorsions cognitives de dépendance. Ces résultats démontrent l’importance d’intervenir tôt chez les élèves qui présentent un trouble anxieux et plus spécifiquement chez les filles, qui se révèlent être plus vulnérables pour ce qui est du développement de la dépression au début de l’adolescence.
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Limosin, F., e J. P. Schuster. "Usage et mésusage des benzodiazépines chez le sujet âgé". European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S44. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.123.

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Abstract (sommario):
En France, de nombreuses études indiquent un niveau élevé de prescription des psychotropes, en particulier des benzodiazépines. Ainsi, 9 % à 25 % de la population générale âgée en consomment, avec des prescriptions trop souvent au long cours et fréquemment à l’origine d’un mésusage. Chez le sujet âgé, les effets indésirables des benzodiazépines sont essentiellement psychomoteurs et cognitifs, avec augmentation du risque de chutes et de fractures, et altération de la mémoire à court terme et de rappel. Des études récentes apportent un éclairage nouveau sur le risque de dépendance aux benzodiazépines chez le sujet âgé et sur le lien entre leur prescription au long cours et la survenue d’un trouble neurodégénératif [1, 2]. Une étude réalisée avec les officines de la région Pays de la Loire indique que parmi les consommateurs réguliers de benzodiazépines, les sujets âgés présentent une dépendance moins souvent que les sujets jeunes[1]. Concernant le risque de trouble démentiel induit par un usage de benzodiazépine au long cours, une étude cas-témoin publiée l’année dernière conforte l’hypothèse d’un lien de causalité entre consommation de benzodiazépines et risque accru de maladie d’Alzheimer [2]. Face à un tel contexte, les autorités de santé se sont engagées dans un plan d’action concerté visant à « une consommation raisonnée et à une utilisation responsable des benzodiazépines ». Pourtant, à ce jour, les données de la littérature sur les interventions de sevrage des benzodiazépines chez le sujet âgé sont encore parcellaires, notamment sur leur efficacité au long cours. Des études récentes indiquent néanmoins l’importance de l’approche psychothérapique dans les programmes de sevrage dédiés au sujet âgé [3].
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Swartz, Holly A., Ellen Frank e Debra Frankel. "Psychothérapie interpersonnelle et des rythmes sociaux (PTIRS) dans le trouble bipolaire II : structure du traitement et exemples cliniques". Santé mentale au Québec 33, n. 2 (15 gennaio 2009): 151–84. http://dx.doi.org/10.7202/019673ar.

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Résumé Le trouble bipolaire II (BP II) est une pathologie psychiatrique fréquente, récurrente et débilitante. Pourtant, peu d’études ont évalué quelles étaient les meilleures approches pour le traitement de cette maladie. La psychothérapie interpersonnelle et des rythmes sociaux (PTIRS) [Interpersonal and Social Rythm Therapy] a démontré une utilité dans le traitement du trouble bipolaire I, en association avec la médication. Contrairement au trouble BP I, le trouble BP II est caractérisé par des épisodes atténués, non psychotiques, de manie (hypomanie), de sorte qu’il ne semble pas y avoir de contre-indications à l’emploi de la PTIRS en monothérapie. Cette approche combine une approche comportementale visant à augmenter la régularité des routines quotidiennes, avec une psychothérapie interpersonnelle qui aide les patients à mieux gérer les multiples problèmes psychosociaux associés à cette pathologie chronique. Une description est faite des conceptions théoriques sous-tendant l’utilisation de la PTIRS dans le trouble bipolaire. Une brève description du trouble BP II est faite. Plusieurs modifications sont apparues nécessaires, dans notre expérience, pour adapter la PTIRS au traitement du trouble BP II (en comparaison avec le trouble BP I), en raison des caractéristiques cliniques particulières de cette population, notamment l’instabilité du tableau clinique, la difficulté à repérer le type d’épisode en cours parce que les symptômes sont souvent mixtes (intrication entre symptômes d’activation et de dépression), et également en raison du chevauchement symptomatique ou de la comorbidité avec le trouble de personnalité borderline. Il existe également une comorbidité fréquente avec le trouble d’abus ou de dépendance aux substances psychoactives. Des vignettes tirées de notre expérience clinique tentent d’illustrer diverses problématiques courantes rencontrées dans la thérapie de cette population, et qui sont reliées aux caractéristiques ci-haut mentionnées du trouble BP II. La PTIRS apparaît être un ajout important et intéressant aux approches de traitement du trouble BP II parce qu’elle tient compte des divers aspects de cette pathologie ; cette approche nous est apparue efficace dans cette étude préliminaire et nous sommes d’avis que des études systématiques ultérieures sont requises et permettront d’évaluer de façon plus formelle son efficacité dans le traitement du trouble bipolaire II.
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Lançon, C. "Sujet addict : entre normal et pathologique ?" European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S14. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.046.

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La question de facteurs psychologiques et ou psychiatriques favorisant l’apparition d’état de dépendance est au cœur de la pratique addictologique. Ces facteurs de risques potentiels ou ces comorbidités influencent de manière significative la pratique des soins et la prévention. Trouble de l’humeur et de l’attention sont probablement les troubles psychiatriques les plus liés aux conduites additives soulevant des facteurs communs à leurs expressions. L’usage du tabac constitue un facteur général de vulnérabilité aux additions et aux troubles psychiatriques. En retour, l’addictologie au travers de certains de ces paradigmes tels la prévention des risques et des dommages interroge le soin psychiatrique.
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Légaré, Nancy, Stéphane Potvin, Adham Mancini-Marïe, Olivier Lipp, Patrick Barabé, Roch-Hugo Bouchard, Emmanuel Stip e Jean-Yves Roy. "Améliorer les symptômes et le tabagisme chez les personnes souffrant de schizophrénie : un manque d’effet synergique du médicament antipsychotique". Santé mentale au Québec 32, n. 2 (25 marzo 2008): 165–76. http://dx.doi.org/10.7202/017803ar.

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Résumé Contexte : Le tabagisme est élevé chez les personnes souffrant de schizophrénie ; certains patients réclament une aide au niveau de la médication qu’ils reçoivent afin de cesser de fumer. Objectif : Parmi les traitements pharmacologiques de la schizophrénie, la clozapine peut réduire la consommation de cigarettes. Les effets de la quétiapine, un autre antipsychotique atypique partageant plusieurs propriétés structurales et pharmacologiques avec la clozapine, ont été examinés chez un groupe de fumeurs atteints de schizophrénie dans une étude exploratoire. Méthode : Vingt-et-un individus fumeurs avec un diagnostic de schizophrénie, de trouble schizo-affectif ou de trouble schizophréniforme et recevant de la quétiapine ont été évalués à l’aide du questionnaire de Fagerström pour la dépendance à la nicotine. Ils ont de plus subi des analyses de monoxyde de carbone sanguin. Résultats : Le profil tabagique des sujets n’a pas été modifié significativement par l’administration de la quétiapine, malgré une amélioration de la symptomatologie psychiatrique. Conclusion : La quétiapine ne semble pas avoir d’effet significatif sur la consommation de cigarettes chez les fumeurs souffrant de schizophrénie.
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Chapellon, Sébastien, e Florian Houssier. "Iron Man : entre confusion identitaire et addiction à la technologie". Mosaïque 42, n. 2 (16 novembre 2017): 245–61. http://dx.doi.org/10.7202/1041926ar.

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L’engouement que suscite une oeuvre d’art réussie est lié au fait qu’elle renvoie le spectateur à des aspects méconnus de sa propre vie psychique. Il en va ainsi de la bande dessinée Iron Man. Derrière l’armure se cache un homme pris dans les incidences traumatiques de la vie. L’analyse des mésaventures de ce personnage de comics dévoile une problématique narcissique très intense. Le dialogue conflictuel qu’il entretient avec son armure de fer questionne l’expérience interne liée au trouble du sentiment d’identité. De surcroît, cette bande dessinée fait émerger un questionnement quant aux conséquences de l’évolution de notre lien aux objets technologiques, à l’heure où notre dépendance à eux ne cesse de s’accentuer.
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Wallaert, R., X. Laqueille, M. C. Bourdel, M. O. Krebs e A. Dervaux. "Dépendance au cannabis : quelles corrélations entre âge de début de la consommation, troubles cognitifs et psychiatriques ?" European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014): 530–31. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.387.

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Abstract (sommario):
ContexteCertaines études ont retrouvé que la consommation précoce de cannabis était associée à une fréquence plus élevée de troubles cognitifs ou psychiatriques, mais l’âge exact reste indéterminé, entre 13 et 18 ans selon les études [1–4].ObjectifComparer certaines caractéristiques cliniques des sujets dépendants au cannabis ayant commencé leur consommation à l’âge de 13 ans ou moins et celles de ceux qui ont commencé après.MéthodesCent soixante-douze patients, consultant consécutivement dans le service d’Addictologie du CH Sainte-Anne pour dépendance au cannabis (critères DSM-IV), entre juin 2007 et juin 2013, ont été inclus dans l’étude. Les patients présentant des troubles psychotiques, bipolaires type 1, des dépendances opiacées ou à la cocaïne étaient exclus de l’étude. Ils ont été évalués à l’aide du Diagnostic Interview for Genetic Studies (DIGS).RésultatsLes sujets ayant commencé leur consommation de cannabis à l’âge de 13 ans (n = 37) ou moins présentaient plus fréquemment un diagnostic de trouble de personnalité antisociale (respectivement 58,8 % vs 22,1 % ; Chi2 = 16,6 p = 0,0001, OR : 4,9) et rapportaient plus fréquemment des troubles subjectifs de l’attention que les sujets ayant commencé leur consommation plus tard (n = 135) (respectivement 86,5 % vs 66,7 %, Chi2 = 5,53, p = 0,03, OR : 3,02). En revanche, il n’y avait pas de différences significatives entre les deux groupes concernant la fréquence des troubles dépressifs, des phobies sociales, des troubles anxieux, des conduites suicidaires, des traitements anxiolytiques ou antidépresseurs antérieurs, ni de différence au niveau des symptômes de sevrage et des effets subjectifs induits par le cannabis.ConclusionsLes sujets dépendants au cannabis qui commencent leur consommation avant l’âge de 13 ans ont un risque de présenter un trouble de la personnalité antisociale cinq fois plus élevé et des troubles subjectifs de l’attention trois fois plus élevés, par rapport aux sujets qui commencent le cannabis après l’âge de 13 ans.
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Nubukpo, P. "Dommages liés à l’alcool : et si agir sur l’environnement était aussi la clé ?" European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S13—S14. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.045.

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Abstract (sommario):
Il apparaît évident aujourd’hui de la nécessité, dans une perspective de santé publique, d’aider à réduire les dommages liés à l’alcool. Les leviers d’action sont nombreux et doivent tenir compte de l’environnement. Nous souhaitons l’illustrer par quelques exemples. Le premier concerne l’âge. L’enjeu du trouble de l’usage d’alcool chez la personne âgée n’est pas tant la dépendance mais les dommages associés en lien avec la fréquence à cet âge des comorbidités, des modifications physiologiques, la polymédication , et enfin les représentations des soignants plus enclins à penser derniers plaisirs à conserver plutôt que gain en qualité de vie. Le deuxième exemple pour illustrer l’importance de l’environnement concerne la place de la culture dans les comportements d’usage d’alcool notamment chez les femmes en Afrique du Sud, où la province du CAP a une des plus fortes prévalences du syndrome d’alcoolisme fœtal (SAF) dans le monde. Parmi les facteurs associés les plus significatifs, se situe le contexte culturel marqué par le Dop System inventé au 17e siècle, qui consistait à un mode de paiement des ouvriers agricoles par du pain, du vin et du tabac favorisant l’alcoolisme . L’influence de l’environnement passe aussi par les gènes ; ainsi le troisième exemple concerne l’alcooldéshydrogénase (ADH), enzyme dont l’allèle ADH1B*1 serait associé à un risque trois fois supérieur d’alcoolodépendance comparé à l’allèle ADH1B*2 inexistant ou rare chez les caucasiens et les africains mais majoritaires chez les asiatiques . Enfin, un dernier exemple est constitué par le brain-derived neurotrophic factor (BDNF), neurotrophine qui a un rôle essentiel dans la synaptogenèse, qui semble important dans les mécanismes de dépendance, et dont le polymorphisme Val66Met retrouvé dans 20 à 30 % de la population en Europe, Amérique, ou Asie semble associé à la vulnérabilité à la dépendance alcoolique .
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Geneste-Saelens, J. "Quels programmes d’éducation thérapeutiques pour les patients alcoolodépendants ?" European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013): 3. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.007.

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Abstract (sommario):
Dans sa définition classique l’éducation thérapeutique est conçue comme l’aide apportée au patient pour comprendre sa maladie et les traitements, collaborer aux soins et devenir compétent dans la gestion de sa pathologie. Les programmes de prise en charge addictologiques en thérapie comportementale et cognitive rencontrés dans les établissements de soins, notamment centré sur la prévention de la rechute, sont déjà largement centrés sur ces objectifs.La difficulté pour nous, intervenant dans le champ de l’alcoologie, est sans doute de redéfinir le champ de l’éducation thérapeutique au sein de l’ensemble des soins apportés, ce qui revient en partie à se poser la question de l’intérêt que nous avons à rebaptiser une partie de nos prises en charge « éducation thérapeutique ».En ce qui concerne leurs finalités, on pourrait ici résumer celle des soins par la sortie de la dépendance et celle de l’éducation thérapeutique par la gestion des contraintes que cette dépendance induit au long cours, même stabilisée. Le temps de l’éducation thérapeutique serait alors secondaire à la stabilisation de la maladie.Si nous retenons comme cible principale de l’éducation thérapeutique, l’objectif de vivre avec sa maladie, il va de soi que cela engage, en plus des compétences, des réaménagements psychologiques et identitaires nécessitant un accompagnement ne pouvant se limiter à l’apprentissage d’outils et/ou de transmission de savoirs. Il s’agit d’un vrai travail d’acceptation à accompagner et à ne surtout pas réduire à la simple question de reconnaissance du trouble (de façon catégorielle) face à un tiers.Les programmes d’éducation thérapeutique en alcoologie se doivent d’être particulièrement attentifs aux différents aspects du trouble (cognitif, émotionnel et comportemental) afin de permettre cette acceptation.Enfin, au sujet de l’acceptation, un dernier point mérite d’être soulevé en ce qui concerne l’objectif de consommation « contrôlée » ou d’abstinence qui sera choisi. En effet, qui dit « éducation thérapeutique » dit promotion de l’autonomie du patient, et, dans ce contexte, il est important d’appréhender la capacité des soignants à accepter et accompagner les patients, à travers ces programmes, dans leurs objectifs de consommation.
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Ballon, N. "Prévalence et particularités sémiologiques du trouble de déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H) dans différentes formes d’addiction : cocaïne, opiacés et trouble du comportement alimentaire". European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013): 1. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.003.

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Abstract (sommario):
La validité du Trouble de Déficit de l’Attention/Hyperactivité (TDA/H) chez l’adulte ayant longtemps été contestée, la recherche de ce trouble chez les patients addicts n’est pas systématique. De plus, chez l’adulte addict, le diagnostic de TDA/H peut être rendu difficile car la clinique de ce trouble évolue avec l’âge et l’usage des psychotropes. Notre objectif est de rapporter les données de la littérature et de nos travaux concernant la prévalence et les caractéristiques sémiologiques du TDA/H dans trois groupes de patients présentant des conduites addictives : cocaïne, opiacés et trouble du comportement alimentaire. La littérature rapporte une prévalence du TDA/H chez des adultes de 3,4 % à 4,4 % avec des taux de 12 % à 15,2 % d’addictions parmi les patients TDA/H. Dans une population de sujets dépendant au crack/cocaïne, nous avons retrouvé 53 % d’antécédents de TDA/H dans l’enfance et 21,7 % de symptôme de TDA/H persistant à l’âge adulte. Des taux élevés de TDA/H ont aussi été rapportés dans d’autres addictions. La co-occurrence, TDA/H et addiction, apparaît donc comme une donnée robuste, retrouvée dans les deux groupes de patients, identifiés par l’utilisation de substances d’abus ou par le TDA/H. Les instruments d’évaluation actuellement validés sont parfois insuffisants pour porter le diagnostic de TDA/H chez un adulte addict. Cliniquement, les addictions ont été décrites comme plus sévères chez les patients TDA/H : début plus précoce, progression plus rapide vers la dépendance et problèmes avec la justice plus fréquents. De plus, les patients TDA/H rapportent des effets paradoxaux au cours de l’usage de certaines drogues : augmentation de l’attention avec le cannabis et diminution de l’hyperactivité avec la cocaïne. Nous discuterons les résultats qui mettent en évidence l’utilité, mais aussi les difficultés sémiologiques du diagnostic de TDA/H chez les patients adultes souffrant d’addictions.
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Le Strat, Y. "De l’alcoolo-dépendance au trouble lié à l’usage d’alcool: impact du DSM-5 sur la pratique clinique?" European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014): 539. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.412.

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Gosselin, Patrick, Robert Ladouceur, Charles M. Morin, Michel J. Dugas e Lucie Baillargeon. "Sevrage des benzodiazépines chez des patients souffrant du Trouble d’anxiété généralisée : efficacité d’une intervention comportementale et cognitive". Santé mentale au Québec 28, n. 2 (7 settembre 2004): 59–86. http://dx.doi.org/10.7202/008617ar.

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Abstract (sommario):
Résumé Les benzodiazépines sont souvent prescrites pour le traitement à court terme du Trouble d’anxiété généralisée (TAG). La nature chronique du TAG entraîne une prise prolongée de ces psychotropes sur plusieurs mois et plusieurs années, entraînant ainsi une dépendance psychologique et physique. La présente étude vise à déterminer si la combinaison d’une thérapie comportementale et cognitive et d’un sevrage médicamenteux graduel facilite l’arrêt des benzodiazépines chez les patients souffrant d’un TAG. Au total, cinq participants ont reçu l’intervention combinée selon un protocole expérimental à cas uniques avec niveaux de base multiples. Quatre d’entre eux ont complété le plan de sevrage et ont démontré des améliorations cliniques importantes. Les données recueillies lors des suivis 3 et 6 mois indiquent un maintien des gains thérapeutiques. Ces résultats suggèrent que la thérapie comportementale et cognitive facilite l’arrêt des benzodiazépines chez les patients présentant un TAG tout en diminuant significativement les symptômes anxieux.
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Rogue, P. J. "Abus de substance et DSM-5.0 – Le point sur les controverses". European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S110. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.209.

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Abstract (sommario):
Le DSM-5 (2013) a introduit des changements marqués, notamment concernant les abus de substance. Ces changements font l’objet de controverses qui restent vives. Ainsi les catégories individualisées dans le DSM-IV, abus de substance (dont la validité était contestée) et dépendance (au sens d’une altération du contrôle sur la consommation, conceptualisation qui a permis de justifier l’assimilation de l’addiction à un trouble psychiatrique au lieu de concevoir celle-ci comme une faiblesse morale ou un choix), ont été fusionnées en une seule pathologie, le trouble d’utilisation de substance (TUS), avec 11 symptômes possibles. Un nouveau critère, le désir impérieux ou fort besoin de consommer la substance (craving, l’une des expression phénoménolgique de la perte de contrôle), a été inclus dans cette liste. Or, la validité du nouveau TUS est loin d’être démontrée. En outre, la définition d’un continuum de sévérité (fonction du nombre de critères observés, avec un seuil à deux critères, et six critères ou plus correspondant à une forme sévère), est particulièrement contestée (notamment le seuil bas qui peut entraîner une inflation de la prévalence, car il devient beaucoup plus facile pour un sujet de satisfaire à deux critères seulement). Des données essentielles de la neurobiologie seraient ignorées. Par exemple aucune référence n’est faite au processus de sensibilisation, pourtant reconnu comme fondamental dans les phénomènes addictifs. Lors de cette présentation, basée sur une analyse de la littérature récente, les éléments actuels du débat et les pistes explorées (« DSM-5.1 ») seront discutés.
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Féline, A. "L’utilisation Pratique des Benzodiazépines dans le Traitement des Troubles Anxieux". Psychiatry and Psychobiology 3, S2 (1988): 183s—188s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002212.

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Abstract (sommario):
RésuméLes benzodiazépines ont fait la preuve de leur efficacité dans le traitement des désordres anxieux relativement «purs», en tout cas libres d’une symptomatologie psychotique, dépressive, phobique ou obsessionnelle, qui pourrait leur être associée. Cependant, dans ce cadre même, l’utilisation de molécules à cinétique d’action très inégale, la différence des posologies utilisées, les associations médicamenteuses souvent multiples, les durées de traitement souvent très excessives témoignent s’il en était besoin de pratiques d’utilisation non codifiées et mal maîtrisées.Dans les attaques de panique et, plus banalement, dans les crises d’angoisse observables dans l’urgence médicale, la prescription d’une benzodiazépine par voie orale est une réponse peu évitable, efficace à condition qu’elle n’initie pas une prescription prolongée.C’est sans doute dans le registre du trouble de l’adaptation avec humeur anxieuse (309.24 du DSM III) que les benzodiazépines ont leurs meilleures indications. Il a été suggéré avec pertinence que des molécules à demi-vies longues soient utilisées lorsque la charge anxieuse est constante et importante, des molécules à demi-vies brèves si l’anxiété est variable, à recrudescence vespérale. La prescription ne devra pas excéder 6 semaines.Dans les troubles phobiques, le trouble-panique et le trouble obsessionnel-compulsif, des stratégies thérapeutiques excluant dans la durée l’utilisation des benzodiazépines sont actuellement retenues.Pour le traitement d’un état dépressif majeur ou d’un trouble dysthymique, fussent-ils très infiltrés ou saturés d’angoisse, c’est le choix de l’antidépresseur à prescrire, la dose à laquelle il faudra l’utiliser qui constituent les impératifs essentiels. Le principe d’une monothérapie est à promouvoir; si la prescription d’une benzodiazépine comme tranquillisant ou hypnotique s’avère indispensable, elle devra être courte et en tout cas ne pas être prolongée après la guérison de l’accès dépressif.Lors du sevrage d’un alcoolisme ou d’une toxicomanie, les benzodiazépines comme traitement de confort ou d’accompagnement sont largement utilisées. Il n’existe aucune justification à leur prolongation qui n’évite pas les rechutes et qui expose au risque de dépendance chez des personnalités à risques.De manière générale, l’excessive banalisation de la prescription des benzodiazépines doit être dénoncée; le médecin doit proposer un projet de prescription dont il restera le garant de manière à éviter les autoprescriptions durables par le patient.
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Schuster, J. P., e A. Manetti. "Prévalence et comorbidités de l’épisode dépressif majeur du sujet âgé en population générale". European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013): 44. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.112.

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Abstract (sommario):
L’évolution démographique confronte nos pratiques aux spécificités liées au vieillissement de nos patients. Ainsi, par son impact en termes de morbi-mortalité, la dépression du sujet âgé constitue un enjeu majeur de santé publique. Ce trouble est connu pour avoir un fort impact en termes de morbi-mortalité [1]. La prévalence de l’épisode dépressif majeur actuel chez le sujet âgé en population générale est estimée entre 1 et 5 %. En population française, l’étude ESPRIT indique une prévalence de 3,1 % [4]. Des données récentes issues de la plus importante cohorte de sujets âgés en population générale américaine (plus de 8000 sujets de plus de 65 ans) confirment ces chiffres de prévalence [2]. La prévalence sur douze mois en population générale de l’épisode dépressif majeur a été évaluée à 2,6 % (écart type = 0,22) chez les sujets âgés d’au moins 65 ans, avec une forte association avec la dysthymie, la dépendance à l’alcool et au tabac, les troubles anxieux et de personnalité [3]. Plusieurs biais méthodologiques, dont le recours à des instruments d’évaluation peu adaptés aux sujets âgés, sont susceptibles de sous-estimer cette prévalence. Contrairement à l’idée communément admise, l’handicap ressenti par le sujet de l’épisode dépressif majeur n’est pas différent chez le sujet âgé comparativement aux sujets plus jeunes. Ces deux populations diffèrent cependant dans le délai de prise en charge qui demeure plus important chez les sujets âgés [3]. Ces résultats épidémiologiques incitent le praticien et en particulier les médecins généralistes consultés en première ligne à dépister plus systématiquement ce trouble afin d’en améliorer la prise en charge.
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Chiron, C., A. H. Boudoukha, P. Graziani e Y. Leclaire. "Alcoolo-dépendance et trouble de stress post-traumatique : présentation clinique de cette comorbidité par le biais d’une étude de cas". Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 18 (dicembre 2008): 23. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(08)74820-1.

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Belleville, Geneviève, Lynda Bélanger e Charles M. Morin. "Le traitement cognitivo-comportemental de l’insomnie et son utilisation lors de l’arrêt des hypnotiques". Santé mentale au Québec 28, n. 2 (7 settembre 2004): 87–101. http://dx.doi.org/10.7202/008618ar.

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Abstract (sommario):
Résumé L’insomnie constitue un problème de santé très répandu menant souvent à l’utilisation d’hypnotiques. Parmi les agents pharmacologiques disponibles pour traiter l’insomnie, les benzodiazépines (BZD) sont les plus prescrites. Bien qu’efficaces pour améliorer le sommeil à court terme, les BZD présentent certains effets indésirables, entraînent des risques de tolérance et de dépendance, et augmentent le risque d’accidents de la route, de chutes et de fractures chez les personnes âgées. Le traitement cognitivo-comportemental (TCC) de l’insomnie, qui met l’accent sur les facteurs psychologiques et comportementaux jouant un rôle dans le maintien des difficultés de sommeil, est efficace pour améliorer le sommeil des personnes aux prises avec un trouble d’insomnie primaire. Il peut représenter une alternative à la pharmacothérapie ou encore être un complément thérapeutique facilitant lors de l’arrêt des hypnotiques. Le TCC de l’insomnie peut inclure différentes composantes, telles que le contrôle par le stimulus, la restriction du sommeil, la relaxation, la restructuration cognitive et l’hygiène du sommeil. Chez les personnes dépendantes aux BZD ou autres hypnotiques, un sevrage supervisé, basé sur l’atteinte d’objectifs successifs, s’ajoute généralement au TCC de l’insomnie.
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Brunault, P. "Concept d’addiction à l’alimentation : mesures et données dans l’obésité". European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S30. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.089.

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Abstract (sommario):
Le concept d’addiction à l’alimentation a été récemment proposé en appliquant les critères diagnostiques DSM de dépendance à une substance dans le champ de l’alimentation . Selon ces auteurs, il est possible de développer vis-à-vis de l’alimentation (et notamment vis-à-vis de certains aliments riches en graisse ou en sucre) une relation de dépendance similaire aux autres addictions. L’intérêt de ce concept est de pouvoir identifier un sous-groupe plus homogène de patients pour lesquels il serait possible de proposer des stratégies thérapeutiques plus ciblées. Bien qu’il ne soit pas démontré que l’addiction à l’alimentation mène nécessairement à l’obésité, la plupart des travaux sur l’addiction à l’alimentation ont été réalisés chez des patients obèses car ce trouble y est plus fréquent qu’en population générale. Ainsi, l’addiction à l’alimentation (mesurée à l’aide de la Yale Food Addiction Scale ) était plus fréquente chez certains patients obèses : patients célibataires, présentant certaines caractéristiques psychopathologiques (symptômes de dépression, de TDAH, de stress post-traumatique, antécédent de traumatisme physique ou sexuel dans l’enfance, difficultés de régulation émotionnelle) et ayant des altérations du circuit opioïde et du système de la récompense . L’addiction à l’alimentation était plus fréquente chez les individus consommant plus fréquemment et en plus grande quantité des aliments riches en graisse, à fort index glycémique ou industriels, mais n’était pas associée à la sévérité de l’obésité. Ces résultats soulignent la pertinence de considérer l’addiction à l’alimentation comme une addiction à part entière ainsi que l’intérêt de proposer à ces patients des prises en charge classiquement efficaces en addictologie (entretiens motivationnels, prévention de la rechute, psychothérapies, traitements médicamenteux ciblant les systèmes neurobiologiques impliqués dans les addictions, voire traitements de substitution, prévention et politique de réduction des risques) .
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Pedersen, Line. "Souffrance, jugement moral et « société addictogène » : les registres de sens du traitement de la dépendance". Drogues, santé et société 17, n. 1 (23 aprile 2019): 99–116. http://dx.doi.org/10.7202/1059141ar.

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Abstract (sommario):
Cet article explore la teneur de l’évaluation morale dans les modes de traitement du « trouble addictologique » en s’intéressant aux trajectoires des personnes en prise avec des produits psychoactifs inscrites dans une démarche d’arrêt ou de diminution des consommations d’alcool ou des drogues illicites. En suivant ces trajectoires de sortie, j’ai pu questionner leur passage dans deux entités de traitement, les Centres de Soin, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA) et les groupes d’entraide associatifs (Vie Libre, Narcotiques et Alcooliques Anonymes). À partir d’une posture ethnographique, à la fois compréhensive et critique, nous explorons la construction de la « sortie » des addictions au regard des contraintes morales, sociales et institutionnelles. L’article se fonde sur des données de recherche recueillies de 2010 à 2013. Elle combine à la fois l’observation directe des milieux, ainsi que des entretiens biographiques et semi-directifs réalisés avec des intervenants (nb 15) et des personnes dépendantes (nb 41).L’analyse qualitative de données met en évidence que le travail biographique déployé par les personnes dépendantes permet une mise à distance de l’expérience de l’emprise. Il s’agit de constituer un jugement moral sur ses comportements passés sous l’effet des produits. La catégorie de trajectoire de déprise permet donc de rendre compte des formes subjectives de (se) composer avec ou sans les produits sans renvoyer à l’idéal d’abstinence. C’est seulement au moment de la mise en récit devant les pairs ou les professionnels que l’on peut parler d’une rupture biographique. En ce sens les entités médiatisent les récits des personnes dépendantes, parce qu’elles contribuent à construire un cadre d’énonciation des récits, et donc de distinguer ce qui peut être dit ou pas. Cet article interroge l’aspect contraignant de ce processus, en ce sens que l’obligation de se raconter participe aussi à construire un sujet moral capable de s’autocontrôler.
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Peron, J., R. Zebdi e A. Dentz. "Corrélation entre les symptômes anxieux et les schémas d’inadaptation précoces auprès de participants âgés de 10 à 15 ans". European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S132. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.259.

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Abstract (sommario):
IntroductionLa prévalence des troubles anxieux est élevée autant pour les adultes que les enfants . Young et al. (2005) élaborent une théorie des schémas précoces utile à la compréhension des troubles anxieux. Les schémas comprennent des cognitions, des émotions, des images mentales et des sensations corporelles. Depuis, une corrélation entre ces schémas et les troubles anxieux a été établie chez l’adulte et l’adolescent . Toutefois, ce thème demeure rarement exploré auprès de participants âgés de 10 à 15 ans. Cette étude examine la présence de corrélations entre les schémas précoces et les troubles anxieux.MéthodeCent cinquante-neuf élèves de collège (10–15 ans) ont complété l’échelle des peurs pour enfants ; l’Inventaire des schémas précoces pour enfants et l’outil de dépistage de l’anxiété de l’enfant et des troubles émotionnels associés (SCARED).RésultatsDes corrélations significatives sont visibles entre :– l’échelle Trouble Anxiété Généralisée et les schémas Incompétence (r = 0,48 ; p < 0,05) et Carence émotionnelle (r = 0,41 ; p < 0,05) ;– l’échelle Trouble Anxiété de Séparation et les schémas Abandon, (r = 0,41 ; p < 0,05), Vulnérabilité (r = 0,40 ; p < 0,05) et Dépendance ; (r = 0,42 ; p < 0,05) ;– l’échelle Phobie Scolaire et le schéma Incompétence, soit la croyance en des capacités inférieures à celles des autres(r = 0,52 ; p < 0,05).Enfin, la corrélation entre le schéma Perte de Contrôle et l’âge indique qu’en grandissant, l’intensité de ce schéma diminue, alors que le schéma Abandon aurait tendance à s’intensifier avec l’âge.ConclusionLes schémas activés diffèrent selon le type de symptômes anxieux présentés. Une intervention ciblant les pensées dysfonctionnelles liées aux schémas inadaptés et aux symptômes anxieux pourrait être proposée pour cette tranche d’âge.
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Icick, R., E. Karsinti, V. Bloch, J. P. Lépine, J. L. Laplanche, F. Bellivier e F. Vorspan. "Associations différentielles de différents dysfonctionnements parentaux avec un début plus précoce d’usage de substances chez des patients stabilisés sous méthadone". European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S104—S105. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.196.

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Abstract (sommario):
ContexteDans une cohorte de patients traités par méthadone, nous avons retrouvé 35 % de tentatives de suicide (TS) sur la vie, 53 % un trouble anxieux et 61 % un trouble de l’humeur. Presque tous étaient fumeurs quotidiens de tabac, les trois quart avaient soit une dépendance au cannabis, à l’alcool ou à la cocaïne associée sur la vie. Dans ce contexte, l’identification de facteurs de variabilité interindividuelle de sévérité et de comorbidité pourrait prédire le risque d’évolution péjorative chez les sujets jeunes ou moins comorbides. Outre les traumas dans l’enfance [1], les styles parentaux [2] semblent avoir un rôle important dans ces trajectoires, tout comme un âge de début (ADD) plus précoce des consommations de substances [3].Objectif/méthodesNous avons ainsi recherché chez 85 patients stabilisés sous méthadone des associations entre les scores à la Measure of Parental Style (MOPS) [4] (séparés pour chaque parent) et l’ADD de tabac, alcool, cannabis, sédatifs et cocaïne ainsi que la présence de comorbidités addictives. Les caractéristiques sociodémographiques, les conduites suicidaires et les comorbidités addictives et psychiatriques (DSM IV) étaient évaluées par entretien semi-structuré.RésultatsNous avons retrouvé des associations significatives (p < 0,00625) après corrections de Bonferroni pour huit tests effectués) entre indifférence paternelle et ADD inférieur du tabac, et entre abus maternel et ADD inférieur des sédatifs, mais pas entre MOPS et présence d’un TA comorbide. Après ajustement sur âge, sexe, dépression majeure et troubles anxieux en régression linéaire, l’abus maternel restait prédictif d’un ADD plus précoce des sédatifs (bêta = –0,24, p = 0,039), tout comme la dépression (bêta = –0,24, p = 0,045).DiscussionMalgré des limites dues à notre évaluation rétrospective et à la faible taille de l’échantillon, ces résultats soulignent l’importance de l’environnement précoce dans la variabilité des trajectoires addictives. Cela suggère l’intérêt d’une prévention primaire chez des patients jeunes présentant ces dysfonctionnements parentaux.
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Rabenandrasana, F., S. Ghodhbane, C. Legoupil e R. Manamani. "La dépendance à l’exercice physique en Picardie et dans le Nord pas de Calais. Étude transversale sur 230 sportifs". European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S111. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.211.

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Abstract (sommario):
IntroductionLes addictions posent un problème de santé publique. Le concept d’addiction comportementale est récent. Les données de la littérature concernent essentiellement les addictions au jeu. Peu de données sont disponibles en France sur la dépendance à l’exercice physique (DEP). Quelle est sa prévalence chez les sportifs en Picardie et dans le Nord pas de Calais ? Quelles sont les comorbidités psychiatriques et addictives associées ? Les motivations à la pratique sportive diffèrent-elles chez les sujets avec DEP ?Matériels et méthodesNous avons réalisé une étude épidémiologique descriptive randomisée transversale en double aveugle et une étude transversale analytique. Nous avons étudié la DEP avec l’échelle EDQ d’Ogden et al.RésultatsDeux cent trente personnes (144 hommes et 86 femmes) issues de 8 associations sportives différentes ont participé. L’âge moyen était 41,31 ans ± 11,972. La prévalence de la DEP était de 18,26 %. La DEP concernait plus les sports individuels. Les liens entre la DEP et la souffrance psychologique, entre la DEP et l’antécédent de suivi psychiatrique ou psychologique, entre la DEP et la consommation de compléments alimentaires étaient significatifs. La motivation principale des sujets avec une DEP était la recherche de récompense positive tandis que les sujets sans DEP exerçaient surtout pour des raisons de santé.DiscussionLes données de la littérature sur la DEP sont controversées. L’association de la DEP uniquement à la souffrance psychologique, à un suivi psychiatrique ou psychologique, à la recherche de récompense et à la consommation de compléments alimentaires nous questionne quant à la pertinence de cette entité.ConclusionLa DEP qui est un trouble fréquent chez les sportifs nécessite de meilleures sensibilisation et prévention.
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Kabamba, Victor Hutu, Daniel Okitundu Luwa, Jean-Pierre Mayambu Banea, Bruno Giordani, Michael Joseph Boivin, Dieudonné Mumba-Ngoyi e Désiré Tshala-Katumbay. "Screening for neurocognitive deficits in adult populations reliant on toxic cassava as the main source of food". Annales Africaines de Medecine 16, n. 2 (22 maggio 2023): e5030-e5041. http://dx.doi.org/10.4314/aamed.v16i2.2.

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Abstract (sommario):
Contexte & objectif. La dépendance alimentaire chronique au manioc cyanogène mal détoxifié est largement répandue en Afrique subsaharienne. L’objectif de la présente étude était de dépister les troubles neurocognitifs et le fonctionnement de la vie quotidienne chez les adultes avec dépendance alimentaire au manioc cyanogène comme principale source de nourriture. Méthodes. C’était une étude transversale analytique incluant les chefs de ménage vivant dans le district rural de Kahemba, en République démocratique du Congo. Les participants ont été dépistés pour les troubles neurocognitifs à l'aide de Community Screening Interview for Dementia (CSID). L’exposition au manioc cyanogène a été déterminée par les concentrations urinaires de thiocyanate (SCN). Des modèles de régression ont été utilisés pour identifier les prédicteurs de mauvaises performances au CSID. Résultats. Quatre cent et six chefs de ménage (203 couples, âge moyen 38,4 ± 11, 4 ans) ont été enrôlés. Cent trente-six (33,5 %) [69 femmes et 67 hommes, âge moyen 39 ± 14,4, ans et 13 (3,2 %) [7 femmes et 6 hommes, âge moyen 32 ± 2,6 ans,) remplissaient respectivement les critères de trouble neurocognitif léger (TNL) et de trouble neurocognitif majeur (TNCM). La concentration urinaire Moyenne globale de SCN était de 949,5 ± 518,3 μmol/L. Après ajustement pour l'âge, le sexe, l'état nutritionnel et les antécédents de konzo, les déficits spécifiques aux différents domaines de la neuro-cognition étaient significativement associés de manière indépendante à l'hypertension ou à l'USCN (350 μmols/L, augmentation incrémentale de l'excrétion). Les déficiences fonctionnelles dans les activités de la vie quotidienne ont été directement proportionnelles à la mauvaise performance au CSID (Spearman r = - 0, 2, p < 0,01). Conclusion. Les déficits neurocognitifs sont courants chez les adultes congolais qui dépendent du manioc cyanogène comme principale source de nourriture. Ce qui justifie la réalisation d'études ultérieures pour élucider l’impact cérébral / comportemental global ainsi que les mécanismes de la toxicité du manioc chez les adultes ayant une dépendance alimentaire au manioc cyanogène. Context and objective. Chronic dietary reliance on improperly processed cyanogenic toxic cassava is widespread in sub-Saharan Africa. The objective of the present study was to screen for neurocognition impairments and daily-life functioning in adults with dietary dependency on cyanogenic cassava as the main source of food. Methods. A cross-sectional design enrolled heads of households (in couples) in the rural district of Kahemba, Democratic Republic of Congo. Participants were screened for neurocognitive impairments using the Community Screening Interview for Dementia (CSID). Detailed neuropsychiatric evaluations were performed and disease entities classified according to the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM-IV) criteria when applicable. Cassava cyanogenic exposure was ascertained by urinary concentrations of thiocyanate (SCN). Regression models were used to identify predictors of CSID performance at the 0.05 significance level. Results. For hundred and six households (203 couples, mean age 38.4 ± 11. 4 years) were involved. One hundred thirty-six subjects (33.5 %) [69 women and 67 men, mean age 39 ± 14.4 years)] and 13 (3.2 %) [7 women and 6 men, mean age: 32 ± 2.6 years] fulfilled the criteria for mild cognitive impairment (MCI) and Major Neurocognitive disorder (MNCD), respectively. The overall mean urinary concentration of SCN was 949.5 ± 518,3 μmol/L. and history of konzo, neurocognition domain-specific deficits were independently associated with either hypertension or USCN (350 μmol/l incremental increase in excretion). Functional impairments in daily-life activities increased as subjects poorly performed at the CSID screening (Spearman r = - .2, p < 0.01). Conclusion. Neurocognitive deficits in adults are common in Congolese adults relying on cyanogenic cassava as the main source of food. Our study findings warrant further studies to elucidate the overall lifespan brain/behavioral burden and mechanisms of cassava toxicity among adults with dietary dependency on cyanogenic cassava as the main source of food.
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Hilal, Fahd, Jérôme Jeanblanc e Mickaël Naassila. "Intérêt et mécanismes d’action de la kétamine dans le traitement de l’addiction à l’alcool – Revue des études cliniques et précliniques". Biologie Aujourd’hui 217, n. 3-4 (2023): 161–82. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2023028.

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Abstract (sommario):
Le Trouble de l’Usage d’Alcool (TUA) est une maladie psychiatrique caractérisée par une consommation chronique et excessive d’alcool malgré des conséquences négatives sur la santé et le fonctionnement social ou professionnel. Les options de traitements du TUA sont actuellement limitées et les tailles d’effet et taux de réponse à ces traitements sont souvent faibles à modérés. L’Organisation Mondiale de la Santé a identifié le développement des médicaments pour traiter le TUA comme l’une de ses 24 priorités. Cette dernière décennie a été marquée par un intérêt renouvelé pour l’utilisation de psychédéliques en psychiatrie. La kétamine, un psychédélique atypique déjà utilisé dans le traitement de la dépression majeure, est au centre de cette renaissance. Cet antagoniste des récepteurs NMDA existe sous deux formes énantiomères, la S-kétamine et la R-kétamine, qui peuvent être métabolisées en différents dérivés, dont certains ont montré des propriétés antidépressives. Cet article de revue vise à faire le bilan des études cliniques et précliniques sur l’utilisation de la kétamine et de ses métabolites dans le traitement du TUA. L’ensemble de ces études montre que la kétamine est efficace pour réduire les symptômes de sevrage et les envies irrépressibles d’alcool. Les propriétés antidépressives avérées de la kétamine contribuent à la diminution du risque de rechute dans le mésusage d’alcool, notamment chez les patients suivant des psychothérapies. Son efficacité est supposée être liée à sa capacité à réguler la voie glutamatergique, à améliorer la neuroplasticité, à réorganiser la connectivité fonctionnelle des réseaux d’état de repos (resting state networks) du cerveau et à réduire les états dépressifs. Bien que ces premiers résultats soient prometteurs, la mise en évidence de différences importantes entre les sexes, et la méconnaissance du rôle de chacun des métabolites dans les effets observés justifient la poursuite des recherches précliniques pour mieux comprendre comment agissent véritablement la kétamine et ses métabolites sur le TUA. En clinique, les études récentes s’intéressent désormais à la dépendance à la kétamine et à la dépression comorbide, ainsi qu’à l’influence du sexe, une comorbidité plus forte entre la dépendance à l’alcool et la dépression semblant exister chez la femme.
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Dufour, Magali, Sylvie R. Gagnon, Louise Nadeau, Andrée-Anne Légaré e Émélie Laverdière. "Portrait Clinique des Adolescents en Traitement Pour une Utilisation Problématique d’Internet". Canadian Journal of Psychiatry 64, n. 2 (2 ottobre 2018): 136–44. http://dx.doi.org/10.1177/0706743718800698.

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Abstract (sommario):
Objectifs: La présente étude dresse le profil clinique des adolescents ayant consulté un centre de traitement de la dépendance (CTD) au Québec en raison d’une utilisation problématique d’Internet (UPI) afin de développer les connaissances sur cette clientèle spécifique et de cibler avec justesse leurs besoins par rapport au traitement. Méthode: L’étude est réalisée auprès de 80 adolescents âgés entre 14 et 17 ans (M = 15,59) ayant consulté un CTD pour une UPI. Les adolescents ont pris part à une entrevue qui documente les habitudes d’utilisation d’Internet et leurs conséquences, la concomitance de troubles de santé mentale, ainsi que les relations familiales et sociales. Résultats: L’échantillon est composé de 75 garçons (93,8%) et de 5 filles (6,3%), qui passaient en moyenne 55,8 heures (ET = 27,22) par semaine sur Internet pour des activités non-scolaires ou professionnelle. Près de la totalité de ces jeunes (97,5%) présente un trouble de santé mentale en concomitance et plus de 70% ont consulté dans la dernière année pour un problème psychologique. Les résultats indiquent que 92,6% estiment que leur utilisation d’internet nuit significativement à leur relation familiale et 50% à leurs relations sociales. Conclusions: Cette étude révèle les nombreuses difficultés vécues par les adolescents requérants un traitement pour leur UPI. La présence de troubles de santé mentale concomitants et de difficultés relationnelles chez ceux-ci renvoie à la nécessité de développer et implanter dans les CTD des évaluations et traitements intégrés qui ciblent non seulement les activités en ligne, mais également l’ensemble des sphères de vie pouvant être affectée par l’UPI. Implications Cliniques: – Les adolescents consultants pour l’UPI sont principalement des garçons qui rapportent une utilisation problématique des jeux vidéo. – La quasi-totalité des jeunes qui consultent pour l’UPI a en concomitance de problèmes de santé mentale et des difficultés sur le plan relationnel – L’étude met en évidence la nécessité d’offrir à cette clientèle des services d’évaluation et de traitement intégrés qui ciblent toutes les sphères de leur vie sont susceptibles d’être affectée, de contribuer ou de maintenir l’UPI. Limites: – Cette étude est réalisée auprès d’un échantillon de convenance et les résultats sont représentatifs des jeunes ayant consulté un centre de traitement pour la dépendance; la généralisation des résultats à l’ensemble des adolescents présentant une UPI est limitée. – Considérant que les manifestations de l’UPI sont sujettes à une influence culturelle, la portée de la présente étude se limite aux populations qui vivent dans une culture similaire à celle du Québec et du Canada.
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Deslauriers, Jean-Martin. "Le regard de jeunes pères sur leur enfance et leur adolescence". Service social 58, n. 1 (6 luglio 2012): 12–31. http://dx.doi.org/10.7202/1010437ar.

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Abstract (sommario):
Cet article présente un volet des résultats d’une recherche menée à Gatineau auprès de 30 jeunes pères ayant eu un enfant avec une jeune femme de moins de 20 ans. Nous avons voulu connaître leur point de vue sur leur enfance, leur adolescence, jusqu’à leur expérience de la paternité pour situer celle-ci dans leur trajectoire de vie. Les résultats indiquent quatre tendances principales, décrivant la façon dont l’enfance et l’adolescence furent vécues : heureuse, « correcte », difficile et en situation de survie. L’adolescence fut une période trouble pour presque tous les jeunes hommes, bien qu’une majorité ait estimé avoir connu une enfance heureuse. Presque tous les jeunes hommes (27 sur 30) ont présenté au moins un problème de comportement parmi les quatre suivants : expulsion de l’école, dépendance à une substance, batailles à l’école ou tentative de suicide. Ceux qui estiment avoir connu une enfance heureuse présentent plus de persévérance scolaire que ceux qui déclarent avoir vécu une enfance difficile ou traumatisante. Les premiers sont aussi beaucoup plus nombreux à avoir bénéficié d’une vie relativement stable. Néanmoins, leurs rapports avec les adultes en autorité et avec les structures sociales ont souvent été tendus. Également, ces résultats indiquent que l’expérience de l’enfance n’est pas directement liée à l’engagement paternel des jeunes pères. Par exemple, ceux qui ont connu des enfances difficiles sont très présents dans la vie de leur enfant à la dernière cueillette de données.
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Jaquier, Joanne, e Jean-Luc Kuenlin. "Biosphères : mesure de résilience à visée d’insertion sociale et professionnelle en nature et sur le marché du travail réel en faveur des jeunes en difficulté". Cortica 1, n. 2 (20 settembre 2022): 332–54. http://dx.doi.org/10.26034/cortica.2022.3184.

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Abstract (sommario):
Comment agir sur la motivation des jeunes à s’en sortir, s’émanciper et prendre place en société ? Constat : il existe des jeunes pris dans la spirale de la marginalisation sociale et professionnelle à risque de dépendance chronique des systèmes de protection sociale (aide sociale, AI et autres). Problématique : Les jeunes en situation de grande difficulté d’insertion ne voient pas d’issues à leur situation complexe et se sentent, tout comme les professionnels qui les accompagnent, démunis. À force d’échecs successifs, ils perdent espoir et confiance en eux. Ils ne voient plus de sens à l’avenir. Souvent, pour se protéger ou en lien avec des difficultés personnelles, ils ont tendance à se couper de leurs propres émotions qu’ils vont mettre à distance par des comportements et des consommations à risque (drogue, alcool). Ils activent des mécanismes de défense (croyances limitantes, trouble du comportement) et finissent pas se distancer ou être distancé des systèmes d’intégration sociale (travail, famille, formation, société) qui révèlent ses failles. Lorsqu’on leur donne la parole, ils disent avoir besoin d’être attendus quelque part par quelqu’un, pour une activité sociale ou professionnelle valorisante et valorisée, qui procure un statut et une fonction sociale. En bref, ces jeunes ont besoin d’appartenance. C’est pourquoi, souvent, ils se rapprochent des milieux marginaux dans lesquels ils ont une place et sont reconnus par les pairs qui partagent la même réalité de « mise à la marge ». Enjeux : Comment amener les jeunes en (risque de) rupture d’insertion sociale et à la prise de conscience de leur capacité d’agir sur soi ? Depuis 2020, la Fondation de Fribourg pour la jeunesse élabore un concept d’accompagnement spécifique aux jeunes en (risque de) rupture d’insertion sociale et professionnelle, intitulé : « mentorat à haut seuil de tolérance en nature et sur le marché du travail réel ».
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Barde, M. "Consommation de cannabis chez les patients souffrant de troubles bipolaires. Quelles conséquences cliniques ?" European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013): 45. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.115.

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Abstract (sommario):
Le trouble bipolaire (TB) apparaît comme étant la pathologie psychiatrique la plus associée aux comorbidités addictives. Parmi elles les Troubles Liés à l’Utilisation de Cannabis (TLUC) sont très fréquents (entre 30 et 60 % en fonction des cohortes). Devant cette réalité clinique, comprendre l’impact des TLUC sur le cours évolutif des troubles bipolaires paraît une question importante. Notre étude porte sur 910 patients bipolaires inclus dans la cohorte des centres experts sur le TB. L’évaluation du TB ainsi que des comorbidités addictives ont été réalisés avec la Structured Clinical Interview for DSM-IV (SCID), le fonctionnement, la sévérité et les comobidités ont été évalués à l’aide d’échelles spécifiques. Les patients souffrant de TB et d’un TLUC sont préférentiellement des hommes avec un âge de début plus jeune et une durée d’évolution plus courte que ceux sans comorbidité addictive. Le TB est plus sévère lorsqu’il est comorbide d’un TLUC. On note chez ce sous-groupe plus d’épisodes maniaques ou mixtes ainsi que plus d’épisodes psychotiques. Nous relevons plus d’épisodes thymiques (et notamment plus de cycles rapides) et d’hospitalisations sur les 12 derniers mois. Les tentatives de suicides (TS) et en particulier les TS graves ne semblent pas être corrélées à l’abus ou à la dépendance de cannabis chez les patients bipolaires. Le TLUC s’accompagne d’autres comorbidités avec plus de TDAH, plus de troubles anxieux et plus de troubles liés à l’utilisation de substances sur la vie entière (tabac et autres substances). Sur le plan dimensionnel, nous trouvons une association entre le TLUC dans le TB avec une hostilité, une impulsivité mesurées plus importantes, un fonctionnement global mesuré moins bon. À l’inverse, nous ne trouvons pas de lien entre TLUC et antécédents de traumatismes durant l’enfance (ni pour le score global du Childhood Trauma Questionnaire ni pour les sous scores).
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Cléry-Melin, P. "Spécificités des troubles anxieux avec l’avancée en âge". European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S53—S54. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.151.

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Abstract (sommario):
Les troubles anxieux des sujets âgés de plus de 65 ans ont une prévalence estimée entre 3,2 % et 14,2 % et représentent une source de souffrance importante, de baisse d’autonomie et impliquent un surcoût pour la société. Les troubles anxieux des sujets âgés sont fréquents mais souvent sous-diagnostiqués du fait d’une expression différente par rapport aux jeunes (nécessitant l’utilisation des mesures validées chez les sujets âgés) et de la comorbidité somatique et psychiatrique fréquentes. La plupart de ces troubles anxieux ont débuté avant l’âge de 41 ans (90 %) moins de 1 % débutent après l’âge de 65 ans. Parmi les troubles anxieux des sujets âgés les phobies spécifiques (incluant l’agoraphobie) et le trouble anxieux généralisé (TAG) seraient les plus fréquents suivis de PTSD. La prévalence de l’agoraphobie est élevée et son expression suggère un sous-type de l’âge avancé. Plusieurs barrières sont source de sous-diagnostique et donc de sous traitement pour les troubles anxieux des personnes âgées : la dépression comorbide (fréquente et source de résistance au traitement), les troubles cognitifs, les troubles somatiques (présents chez plus de 80 % des sujets > 65 ans) ainsi que la difficulté à différentier les symptômes de l’anxiété des personnes âgés des changements psychologiques et physiques survenant avec le processus du vieillissement (ex. pattern du sommeil). Les troubles anxieux des personnes âgées sont source d’une plus grande difficulté dans la vie quotidienne, d’une faible adhésion aux traitements et sont à risque élevé de dépression comorbide et de suicide, de chutes, d’impotence physique et fonctionnelle et de solitude. Par ces différentes voies, les troubles anxieux sont source d’augmentation de la dépendance des personnes âgées. Ces données impliquent l’importance d’une détection appropriée de ces troubles fréquents chez les personnes âgées et la mise en place des traitements adaptés ainsi que des mesures de prévention efficaces.
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Genet, M. C., E. Devouche e G. Apter. "Études longitudinales sur les enfants de mères aux pathologies limites/borderline : réflexions sur les mécanismes d’une possible transmission des pathologies limites". European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015): S62. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.173.

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Abstract (sommario):
Les résultats d’une étude constituant un suivi longitudinal prospectif d’une cohorte de dyades de mères présentant une pathologie borderline/limite avec leur enfant, dans une approche comparative avec une population témoin de dyades avec des mères sans trouble psychique apporte des pistes de réflexion sur les mécanismes d’une possible transmission de ces pathologies. Les interactions précoces à 3 mois au Still-face permettent d’appréhender comment les bébés peuvent précocement présenter des difficultés en lien avec des particularités du fonctionnement intrapsychique et interpersonnel maternel impactant la régulation émotionnelle dyadique. La grossesse, crise identitaire et narcissique, ébranle l’identité de ces mères aux pathologies limites déjà fragilisée par un narcissisme défaillant. Le bébé, par la relation de dépendance qu’il lui impose, réactive les particularités du fonctionnement interpersonnel de cette dernière et propre à cette pathologie. Les interactions précoces reflèteraient l’incapacité maternelle à s’accorder aux rythmes propres et aux mouvements affectifs et émotionnels de leur enfant. La notion de partage intersubjectif troublé éclaire la façon dont nous pouvons envisager les difficultés maternelles à aider le bébé à réguler ses émotions. Cette étude, par l’utilisation du protocole de la situation étrange, donne également un éclairage sur la manière dont les comportements d’attachement de ces enfants, à 13 mois, s’ancrent dans la particularité de ces dysfonctionnements interactifs. L’évaluation des représentations d’attachement et de la narrativité des enfants, entre 4 et 8 ans, met en lumière différentes évolutions dans la qualité de leur attachement. Ces différents résultats soulèvent, d’une part, la question de la transmission intergénérationnelle des modalités d’attachement – avec l’importance de sa qualité et des capacités de fonction réflexive maternelles – et d’autre part, celle de la désorganisation de l’attachement dans les pathologies limites. Enfin, une approche psychodynamique des narratifs des enfants au test des histoires à compléter éclaire les particularités de leur fonctionnement psychique.
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Angst, J. "Die Aktuellen Schwerpunkte der Psychiatrischen Forschung in der Schweiz". Psychiatry and Psychobiology 2, n. 2 (1987): 91–100. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00000730.

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Abstract (sommario):
RésuméLa Suisse est un petit pays ; elle comprend cinq universités ayant des chaires de psychiatrie. La faible superficie et la stabilité favorisent des études épidémiologiques, en particulier des études prospectives longitudinales et catamnestiques.Une première étude longitudinale a été réalisée à Lausanne. En 1975, a été effectué un sondage sur un échantillon de 300 enfants âgés de 9 ans, évaluant de façon détaillée : la santé, le développement du langage, le Q.I., la réussite scolaire et la personnalité. Cette enquête a révélé que 35 % des enfants étaient sans symptômes tandis que 26 % présentaient des difficultés psychiques importantes, surtout les garçons issus de familles socialement défavorisées.A Zurich, une étude longitudinale portant sur 6 315 hommes suivis de 19 à 31 ans, a concerné : les caractéristiques sociales, la consommation de tabac, d'alcool et de drogues et des traits de personnalité. Ce travail longitudinal fournira des informations sur les relations existant entre comportement, consommation de toxiques et traits de personnalité.Un autre projet a pour but l’étude de la personnalité prémorbide chez des individus qui ont présenté une schizophrénie ou une psychose maniaco-dépressive après l’âge de 19 ans, ainsi que chez tous les patients décédés accidentellement ou par suicide ;Un autre projet a pour but d'évaluer l’entraide du “voisinage” dans un quartier bien défini de Zurich ;1000 personnes seront ainsi suivies prospectivement pendant une période de 3 à 5 ans.A Genève, ont été enregistrés les dossiers de tous les malades traités dans les institutions psychiatriques (hospitalisations et prises en charge ambulatoires).A Bâle, une étude importante sur les troubles dépressifs des patients traités par des médecins généralistes a fourni des résultats très intéressants, surtout à propos de la fréquence des dépressions masquées.A Zurich, plusieurs études épidémiologiques ont porté sur des maladies psychiatriques infantiles, en particulier le trouble déficitaire de l'attention (“attention deficit disorder”), la dépression et l’encoprésie). Une étude multicentrique et longitudinale a montré une augmentation actuelle de l’incidence de l’anorexie mentale ;A Bâle, se déroule actuellement une étude longitudinale de 6 ans sur des toxicomanes (comparaison des résultats obtenus avec d’autres institutions qui prennent des toxicomanes en charge).Des études catamnéstiques comparent des toxicomanes avec d’autres groupes de malades pour évaluer (entre autres) le degré de dépendance dans cette population.Un questionnaire réalisé à Bâle sur les drogues et l’alcool présente un intérêt méthodologique remarquable.Des études cliniques plus traditionnelles gardent encore une place importante. A Lausanne, on étudie des démences séniles et d’Alzheimer chez les personnes âgées, dans le but de comparer des thérapeutiques différentes.A Genève, plusieurs éludes catamnestiques portent sur l'évolution des patients schizophréniques, en particulier suivis en ambulatoire.A Zurich, depuis 1959, on effectue tous les 5 ans une étude prospective pour étudier l’insertion sociale des malades mentaux.A Berne, sont étudiés les facteurs prognostiques chez les patients dépressifs et schizophrènes (famille, environnement).En ce qui concerne la médecine psychosomatique plusieurs projets ont trait aux réactions psychologiques des patients présentant une maladie chronique.En matière de psychopharmacologie tous les “centres” des villes universitaires participent à l'évaluation des nouveaux psychotropes, on relève cependant un manque d’études comprenant des contrôles “placebo”.A titre d'exemples, ont été étudiés : • les effets des perfusions de dibenzépine, de clomipramine et de maprotiline; • la réponse TRH comme élément éventuel de prédiction de la réponse aux antidépresseurs tricycliques (Bâle) ; • la corrélation des concentrations plasmatiques de maprotiline, d’amitriptyline et de nortriptyline avec l’efficacité clinique (Lausanne) ; • enfin, les vertus potentielles du L-tryptophane dans les troubles du sommeil font l'objet d’investigations actuelles.
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Plessis, Cédric, Emin Altintas, Lucia Romo e Alain Guerrien. "Validation française d’une échelle de mesure de l’utilisation problématique des jeux vidéo en ligne : l’Internet Gaming Disorder-20: French validation of a scale evaluating Internet Gaming Disorder: the Internet Gaming Disorder-20". Canadian Journal of Psychiatry, 10 febbraio 2021, 070674372199079. http://dx.doi.org/10.1177/0706743721990796.

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Abstract (sommario):
Introduction: L’objectif de cette étude est de valider en langue française une échelle de mesure de l’usage problématique des jeux vidéo en ligne ( Internet Gaming Disorder ou IGD): l’Internet Gaming Disorder-20. L’échelle IGD-20 s’inscrit dans le débat sur les déterminants et les facteurs de maintien de l’IGD, trouble introduit dans la section III du DSM-5 et récemment référencé à la classification statistique internationale des maladies et des problèmes connexes sous l’intitulé de « trouble du jeu vidéo ». L’échelle se compose de 20 items séparés en six composantes reposant sur le modèle de l’addiction de Griffiths. Méthode: L’étude a porté sur 166 joueurs de jeux vidéo francophones, recrutés sur des forums spécialisés, jouant en moyenne 21,9 heures par semaine. La version française de l’IGD-20 a été soumise à une analyse factorielle confirmatoire par le biais d’une modélisation en équations structurelles (SEM) afin de retrouver les six facteurs de l’échelle originale (saillance, modification de l’humeur, tolérance, manque, conflits et rechute). Résultat:s L’analyse factorielle confirmatoire par modélisation en équations structurelles montre un ajustement satisfaisant du modèle (RMSEA = 0,063 [0,049; 0,077], CFI = 0,912, TLI = 0,909). Discussion: Une validation en langue française d’un outil tel que l’IGD-20 a un intérêt pour les populations francophones, notamment pour les thérapeutes qui pourront investiguer de façon plus précise le trouble et pour les personnes atteintes qui bénéficieront d’un accompagnement affiné.
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Canali, Stefano, Daniela Altavilla, Alessandro Acciai, Valentina Deriu, Alessandra Chiera, Ines Adornetti, Alessia Bassi et al. "The Narrative of Persons with Gambling Problems and Substance Use: A Multidimensional Analysis of the Language of Addiction". Journal of Gambling Issues, n. 47 (8 marzo 2021). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2021.47.7.

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Abstract (sommario):
Several studies have shown that the analysis of the narrative dimension may represent a useful instrument to shed light on certain critical psychological aspects; to this extent, it might also be fruitful to understand better the addiction disorder. The present study aimed to investigate the critical psychological-narrative aspects involved in Gambling Disorder (GD). A semi-structured interview, one which invited participants to narrate the various phases of addiction (addiction definition, onset, chronicization, relapse, desire, loss of control, control strategies, treatment, future behaviours with respect to the object of addiction), was administered to two groups of subjects in treatment: thirty with GD and eighteen with Substance Use Disorder (SUD). A quali-quantitative multidimensional analysis of this interview was performed. The dependent variables were psychological aspects (agency, passivity, locus of control, motivation) and narrative variables (global narrative coherence and self-projection into the future). The main findings showed that the GD presented a higher sense of agency, passivity, external locus of control and external motivation compared to SUD. Both groups showed a lower global narrative coherence score during the narration of desire (craving) compared to other phases. Moreover, both groups showed an absent self-projection into the future. The findings could be linked to possible impairment of the integration of the self, emotional dysregulation and low self-control typical in addiction. In conclusion, the present study highlighted the importance of the narrative dimension to detect certain critical points in the addiction condition on which to potentially address the treatment.RésuméPlusieurs études ont montré que l’analyse de la dimension narrative peut apporter un éclairage utile sur certains aspects psychologiques cruciaux; en ce sens, elle peut aussi contribuer à une meilleure compréhension des troubles de dépendance. Notre étude visait à examiner les aspects à la fois psychologiques et narratifs intervenant dans les troubles de dépendance. Nous avons réalisé des entrevues semi-structurées qui invitaient les participants à raconter les différentes phases de la dépendance (définition de la dépendance, début, chronicisation, rechute, désir, perte de maîtrise, stratégie de régulation, traitement, comportements futurs en ce qui a trait à l’objet de la dépendance). Nous avons mené ces entrevues auprès de deux groupes de personnes en traitement : 30 ayant une dépendance au jeu (DJ) et 18 ayant un trouble lié à l’usage d’une substance (TUS), puis nous en avons effectué une analyse multidimensionnelle quali-quantitative. Les variables dépendantes étaient des aspects psychologiques (agentivité, passivité, lieu de contrôle, motivation) et des variables narratives (cohérence narrative globale et projection de soi dans l’avenir). Les principaux résultats ont indiqué que, comparativement au groupe TUS, le groupe DJ présentait une meilleure perception sur les plans de l’agentivité, de la passivité, du lieu de contrôle externe et de la motivation extrinsèque. Par rapport aux autres phases, les deux groupes ont montré une cohérence narrative globale inférieure durant la narration relative au désir (envie irrésistible). En outre, les deux groupes ont montré une absence de projection de soi dans l’avenir. On peut lier ces résultats à l’intégration déficiente du moi, à la dysrégulation émotionnelle et au faible autocontrôle qui caractérisent la dépendance. En conclusion, notre étude souligne l’importance de la dimension narrative pour déceler certains aspects cruciaux de l’état de dépendance susceptibles d’orienter le traitement.
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Legendre, Maxime, Andrée-Anne Breault e Catherine Bégin. "Examen du profil psychopathologique selon la présence de la dépendance alimentaire et d’un trouble accès hyperphagiques." Canadian Journal of Behavioural Science / Revue canadienne des sciences du comportement, 24 marzo 2022. http://dx.doi.org/10.1037/cbs0000324.

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Bartel, Sara J., Anna Huguet, Sanjay Rao, Lori Wozney, Vanessa Varalli, Sharlene Rozari, Patrick J. McGrath J. McGrath, Olga Kits e Sherry H. Stewart. "Initial Usability and Feasibility of a Web-Based Behavioural Activation Program for Young Adults With Comorbid Depression and Problem Gambling: A Case Study and Case Series". Journal of Gambling Issues 45 (4 settembre 2020). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2020.45.8.

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Abstract (sommario):
Approximately 20%–32% of youth and adults with problem gambling also experience comorbid depression, yet treatment for this comorbidity is not readily accessible. We sought to extend and customize DoNamic, our existing web-based app for treating depression, to also treat young adults who experience comorbid problem gambling. We conducted a laboratory-based usability case study (Study 1) and a usability and feasibility clinical case series (Study 2). Study 1 involved an individual with problem gambling who tested the DoNamic version tailored to problem gambling (DoNamic-PG) in the laboratory. Changes based on participant feedback were implemented. Study 2 involved two cycles of testing in which five participants used the revised version of DoNamic-PG and provided feedback. Indicators of feasibility and usability of DoNamic-PG were predominately met; however, even with the increased accessibility and ease of use of DoNamic-PG, recruitment issues suggest it may not fully overcome the problem of attracting gamblers into treatment. This study highlights an existing concern in the field of problem gambling: Even when interventions are accessible for problem gambling populations, they are not necessarily used. Ultimately, the results of our case studies highlight how existing apps can be adjusted for specific subgroups. DoNamic-PG has the potential to be a feasible and usable app that could increase the accessibility, efficiency, and quality of care for younger adults with depression and problem gambling, if recruitment problems can be overcome. The next steps for developing DoNamic-PG include further feasibility testing, followed by trials to determine its efficacy and effectiveness.RésuméEntre 20 et 32 % des jeunes et des adultes aux prises avec une dépendance au jeu éprouvent aussi des problèmes de dépression. Et pourtant, il n’est pas facile d’obtenir un traitement pour ce trouble concomitant. Nous souhaitons donc adapter DoNamic, notre application web pour le traitement de la dépression, aux besoins des jeunes adultes qui éprouvent un trouble dépressif concomitant à leur dépendance au jeu. À cette fin, nous avons mené une étude d’utilisabilité en laboratoire (étude 1), puis une série d’essais cliniques sur l’utilisabilité et la faisabilité (étude 2). Dans l’étude 1, nous avons demandé à un joueur pathologique de mettre à l’essai en laboratoire une version de DoNamic adaptée aux problèmes de dépendance au jeu (DoNamic-PG), puis nous avons effectué des changements à l’application en fonction des commentaires du participant. L’étude 2 comprenait deux cycles d’essais cliniques au cours desquels cinq participants ont utilisé la version révisée de DoNamic-PG, puis ont fourni leurs commentaires. Les indicateurs de faisabilité et d’utilisabilité de DoNamic-PG ont été en bonne partie atteints; toutefois, même si l’application est plus accessible et facile à utiliser, les difficultés de recrutement suggèrent que cette solution ne suffit pas pour inciter les joueurs à se faire traiter. Cela met en évidence un enjeu actuel des traitements de la dépendance au jeu : même lorsqu’il existe des solutions de traitement accessibles, les joueurs compulsifs ne les utilisent pas nécessairement. Les résultats de nos études de cas révèlent par contre qu’il est possible d’adapter les applications existantes aux besoins de sous-groupes spécifiques et que DoNamic-PG constitue une application potentiellement utilisable pour accroître l’accessibilité, l’efficacité et la qualité des soins offerts aux jeunes adultes aux prises avec des problèmes concomitants de jeu et de dépression, à condition d’améliorer le recrutement. Les prochaines étapes du développement de DoNamic-PG comprennent d’autres études de faisabilité, suivies d’essais cliniques pour déterminer l’efficacité et la performance de l’application.
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Ferland, Francine, Nadine Blanchette-Martin, Annie-Claude Savard, Émilie Vézina, Andrée-Anne Légaré, Alexandra Champagne, Haniel Baillargeon-Lemieux, Isabelle Giroux e Pascal Garceau. "Les joueurs pathologiques en traitement sont-ils un groupe homogène? Différences selon la concomitance d’un trouble d’utilisation d’une substance". Journal of Gambling Issues, n. 39 (27 settembre 2018). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2018.39.11.

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Abstract (sommario):
Cette étude compare les profils sociodémographiques et cliniques de joueurs pathologiques en traitement dans un centre public de réadaptation en dépendance selon qu’ils présentent ou non un trouble lié à l’utilisation d’une substance (TUS) au moment de leur entrée en traitement. Les évaluations d’admission des joueurs requérant un traitement dans un centre public de réadaptation en dépendance ont été utilisées. Les joueurs (N = 322) ont été répartis en deux groupes mutuellement exclusifs, soit le groupe Jeu sans TUS (n = 190) et le groupe Jeu avec TUS (n = 132). Il était attendu que les profils sociodémographiques des deux groupes de joueurs pathologiques différeraient et que le groupe Jeu avec TUS présenterait un profil clinique plus sévère que le groupe Jeu sans TUS. Les analyses indiquent que le groupe Jeu avec TUS présente des besoins d’intervention plus importants sur les plans professionnel, judiciaire, psychologique et relationnel, en plus de se distinguer sur le plan sociodémographique. Toutefois, le groupe Jeu sans TUS présente quant à lui des besoins d’intervention plus importants concernant les habitudes de jeux de hasard et d’argent (JHA). Les auteurs discutent des implications de ces différences dans les profils cliniques, en considérant les cibles d’intervention à prioriser.This study compared the sociodemographic and clinical profiles of pathological gamblers in treatment at a public dependence rehabilitation centre. The gamblers (N = 322) were divided into two mutually exclusive groups based on their entry assessments, which evaluated if they presented with a concurrent substance abuse disorder (SAD) at the onset of treatment. The groups were as follows, Gambling without SAD (n = 190) and Gambling with SAD (n = 132). It was expected that the sociodemographic profiles of the two groups of pathological gamblers would differ, with the Gambling with SAD group presenting a more severe clinical profile than the Gambling without SAD group. Analyses indicate that the Gambling with SAD group has a greater need for professional, legal, psychological and relational intervention, as well as differences on the sociodemographic level. However, the Gambling without SAD group has a greater need for intervention concerning their gambling and gaming habits,. The implication of these differences in the clinical profiles is discussed in relation to the intervention targets to prioritize.
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Nowak, Jr, Donald E. "Gambling Disorder in the College Student-Athlete Population: An Overview". Journal of Gambling Issues, n. 39 (27 settembre 2018). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2018.39.8.

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Abstract (sommario):
This review examines research from 1991 to the present regarding college student-athlete gambling addiction and disorder issues, with an emphasis on prevalence rates, motivations, and comorbid disorders, as well as National Collegiate Athletic Association (NCAA) national studies and derivative research. Subsets of the college student-athlete population, specifically minority athletes, are also examined. Databases PsycINFO, PsycARTICLES, ERIC, SPORTDiscus, MEDLINE, and Dissertation Abstracts International (ProQuest), were searched for possible contributions to this review. It was determined that student-athletes, and male student-athletes in particular, are vulnerable to disordered gambling problems, which, if university administration and athletic departments do not address, may result in severe negative consequences for the student-athlete. The research suggests that, for the most part, student-athletes have a higher rate of pathological gambling than non-athletes, though the rate of “normal” gambling behavior is about the same. Additionally, it appears that athletes in certain high profile team sports (football, basketball, etc.), as well as athletes belonging to a minority group, are more likely to report problems with gambling than their counterparts. Recommendations for working with student-athletes with a gambling disorder, as well as directions for future research in this burgeoning area, are offered. These proposals include screening for the disorder by mental health professionals and counsellors, as well as training for coaches and financial aid personnel.Résumé Cette étude fait l’examen de la recherche effectuée de 1991 à nos jours sur les problèmes de dépendance et de désordre chez les étudiants-athlètes, en mettant l’accent sur les taux de prévalence, les motivations et les troubles concomitants, ainsi que les études nationales de la National Collegiate Athletic Association et des travaux de recherche dérivés. Des sous-ensembles de la population d’étudiants-athlètes universitaires, en particulier des athlètes faisant partie de minorités, sont également sousmis à l’étude. Des recherches ont été faites dans les bases de données PsycINFO, PsycARTICLES, ERIC, SPORTDiscus, MEDLINE et Dissertation Abstracts International (ProQuest) pour trouver d’éventuelles contributions à la présente étude. On a établi que les étudiants-athlètes, masculins en particulier, sont vulnérables aux problèmes de jeu compulsifs, et s’ils ne sont pas pris en main par l’administration universitaire et les départements sportifs, ces troubles peuvent avoir de graves conséquences pour eux. La recherche laisse entendre que, pour la plupart, les étudiants-athlètes ont un taux de jeu pathologique plus élevé que les non-athlètes, bien que le taux de jeu « normal » soit à peu près le même. De plus, il semble que les athlètes de certains sports d’équipe de haut niveau (football, basketball, etc.), ainsi que les athlètes appartenant à un groupe minoritaire, sont plus susceptibles de montrer des problèmes de jeu que leurs homologues. Des recommandations sont faites pour travailler avec des étudiants-athlètes ayant un trouble du jeu, ainsi que des orientations pour de futures recherches dans ce domaine en progression. Ces propositions comprennent le dépistage du trouble par des professionnels de la santé mentale et des conseillers, ainsi que la formation des entraîneurs et du personnel de l’aide financière.

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