Articoli di riviste sul tema "Transition énergétique – Île-de-France (France)"

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1

Poucineau, Valentin. "Les entreprises locales d’énergie, leviers de transition énergétique ?" Canadian Journal of Regional Science 46, n. 2 (31 maggio 2023): 30–39. http://dx.doi.org/10.7202/1100212ar.

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Abstract (sommario):
Cet article s’intéresse aux entreprises locales d’énergie (ELE), opérateurs énergétiques détenus par des collectivités locales et présents sur quelques territoires en France. Dans un contexte de crise climatique et énergétique, leurs liens directs avec les collectivités locales en font-ils un levier de transition énergétique ? Une méthode combinant analyses statistiques et entretiens semi-directifs nous conduit à caractériser trois grands groupes d’ELE. De nombreuses ELE ne disposent pas d’une taille et de moyens suffisants pour investir dans la transition énergétique. D’autres s’unissent et mutualisent leurs moyens en créant des structures communes. Enfin, quelques ELE de taille importante et disposant d’une expertise sur toute la chaîne de valeur de l’énergie sont des outils dont peuvent se saisir les collectivités locales. Ce travail participe à la recherche de modèles alternatifs, ou tout du moins complémentaires, au modèle centralisé dans la territorialisation de la transition énergétique en France. Pour être considérées comme telles, les ELE devront s’adapter aux évolutions de marché et aux nouvelles attentes et besoins des territoires en matière d’énergie.
2

Christen, Guillaume, e Philippe Hamman. "Associer les habitants à la transition écologique". Cahiers de recherche sociologique, n. 58 (25 aprile 2016): 119–37. http://dx.doi.org/10.7202/1036209ar.

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Abstract (sommario):
À l’heure où le changement climatique s’est affirmé comme un problème politique et un objet de politique publique tant au niveau global que national et local, l’article éclaire la question de la transition écologique à travers la mise en oeuvre de la transition énergétique en Alsace (France), et plus spécialement la possibilité donnée aux acteurs dits ordinaires d’y prendre part. À partir de trois cas d’étude – l’éolien citoyen dans une commune rurale, la mise en oeuvre par un bailleur social d’une action de maîtrise de l’énergie auprès d’habitants de logements sociaux à Strasbourg et l’installation de dispositifs d’énergie solaire auprès de propriétaires à Plobsheim, en couronne périurbaine de Strasbourg –, nous interrogeons la dimension participative des projets : en quoi permettent-ils (ou pas) d’associer les habitants et de concevoir des modes de gouvernance qui rendent possible une appropriation sociale des problématiques énergétiques et environnementales ?
3

Lefebvre, Gaétan, Patrick D’Hugues e Christophe Poinssot. "Transition énergétique, « intensité matières » et criticité". Revue Générale Nucléaire, n. 4 (luglio 2021): 22–25. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20214022.

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Abstract (sommario):
L’augmentation régulière des concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère sous l’effet des activités anthropiques conduit aujourd’hui à des modifications majeures du climat terrestre comme vient de le rappeler le rapport du GIEC. La France s’est engagée dans une stratégie ambitieuse de réduction de ses émissions afin d’atteindre la neutralité carbone en 2050. Cette stratégie repose notamment sur une modification profonde de nos consommations d’énergie en accélérant l’électrification des usages, en améliorant l’efficacité énergétique et en maintenant un mix électrique décarboné. Ces changements requièrent le déploiement de nouvelles technologies bas carbone reposant sur le nucléaire et les énergies renouvelables et sur le numérique (IA, réseau intelligent, etc.), mobilisant des quantités importantes de matières premières, métaux de base et de métaux rares.
4

Bonhomme, Gérard. "Transition énergétique - les défis de la défossilisation". Reflets de la physique, n. 77 (febbraio 2024): 4–5. http://dx.doi.org/10.1051/refdp/202477004.

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Abstract (sommario):
Ce dossier spécial sur l’énergie marque l’aboutissement d’un travail de longue haleine mené au sein de la commission Énergie & Environnement de la SFP. L’impulsion de départ du projet avait été donnée par Michel Spiro. Il indiquait déjà dans l’éditorial intitulé « Les physiciens face au défi du réchauffement climatique » du n°55 de Reflets de la physique (octobre-novembre 2017), les principales thématiques dans lesquelles les physiciens devraient s’impliquer pour affronter ce défi mondial de la transition énergétique. Cette transition doit conduire à renoncer aux combustibles fossiles, qui représented pourtant actuellement plus de 80 % des ressources en énergie primaire au niveau mondial et assurent de l’ordre de 60 % de notre consommation d’énergie finale en France et en Europe. On mesure immédiatement I’ampleur du défi !
5

Grand, Dominique, Christian Le Brun, André Latrobe e Roland Vidil. "Dans quelles conditions fonctionnerait le mix électrique prévu pour la France par la loi sur la transition énergétique ?" Reflets de la physique, n. 77 (febbraio 2024): 116–21. http://dx.doi.org/10.1051/refdp/202477116.

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Abstract (sommario):
La transition énergétique prévoit de réduire à 50 % la part du nucléaire dans le mix électrique, pour augmenter celles de l’éolien et du solaire. Or, ces énergies intermittentes nécessitent des moyens pour rééquilibrer le réseau. Nous en dégageons les ordres de grandeur, grâce à une méthode initiée pour la transition énergétique allemande (Energiewende). En ce qui concerne le mix retenu pour la France, un quart de la production intermittente, 44 TWh, devrait être transféré entre périodes de surplus et de manque. Ce serait possible avec un stockage de grande taille – 15 TWh de volume et 45 GW de puissance – qui malheureusement dépasse largement les moyens connus (barrages hydroélectriques, batteries…). Sans ce stockage, les centrales à combustibles fossiles pallieraient la demande, dégradant ainsi l’empreinte carbone. Ceci se voit déjà dans les résultats de la décennie écoulée en Allemagne et en Europe.
6

Degron, Robin. "La pluriannualité budgétaire : une avancée contrariée en dépit de son utilité". Gestion & Finances Publiques, n. 6 (novembre 2022): 5–11. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2022.6.001.

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Abstract (sommario):
La prochaine loi de programmation des finances publiques de la France 2023-2027 ne sera sans doute pas adoptée dans le contexte parlementaire actuel. Outils de pluriannualité budgétaire au service du rétablissement des équilibres financiers du pays, les lois de programmation des finances publiques ont été portées par la construction de l’ordre budgétaire européen. En France, leur pouvoir d’encadrement des finances reste faible mais elles indiquent une trajectoire et donnent une crédibilité à la France au sein de l’espace communautaire. Au-delà de leur portée financière, les lois de programmation devraient s’imposer comme des leviers des grandes transitions dans lesquelles le pays est engagé. La transition écologique, en particulier énergétique, appelle forcément une planification des efforts financiers à consentir dans le temps. Le passage d’une économie hautement émettrice de gaz à effet de serre à une société bas-carbone ne peut s’opérer très rapidement au risque de fragiliser un peu plus les équilibres financiers de l’État mais aussi des collectivités territoriales qui sont aux avant-postes de l’adaptation aux dérèglements climatiques et de leur atténuation. Il reste ainsi du chemin à parcourir pour une pluriannualité opérationnelle qui serve les desseins de la planification financière et écologique.
7

Cantin, Richard, e Cédric Bereaud. "Differentes sources d’erreurs dans le diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments". Acta Europeana Systemica 8 (10 luglio 2020): 231–40. http://dx.doi.org/10.14428/aes.v8i1.56393.

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Abstract (sommario):
Parmi les différents diagnostics mis en oeuvre dans le bâtiment, le diagnostic de performance énergétique (DPE) renseigne sur la performance énergétique en évaluant sa consommation d'énergie et son impact en termes d'émission de gaz à effet de serre. Le contenu et les modalités d'établissement du DPE sont réglementés en France depuis plus de 10 ans. Les DPE ont ainsi produit des données, des rapports, des guides, des logiciels... utilisés pour élaborer les stratégies de réhabilitation énergétique du parc immobilier. Mais aujourd’hui les retours d’expériences interrogent la qualité de ces DPE. En effet, alors que ces diagnostics influencent le marché de l’immobilier, différentes enquêtes ont montré qu’ils manquaient de fiabilité... Dans ces conditions, il semble difficile d’assurer la qualité des prises de décision pour une transition énergétique efficace dans le secteur du bâtiment. Il apparaît que l’évaluation de la performance énergétique des bâtiments relève d’une problématique complexe qui fait appel à un ensemble de connaissances dans des domaines variés. Définir la performance énergétique d’un bâtiment renvoie à toutes les difficultés de compréhension posées par l'appréhension d'une réalité complexe. Cet article présente comment la vision systémique permet d’appréhender la problématique complexe de l’évaluation de la performance énergétique des bâtiments. Avec plusieurs exemples, il montre comment la modélisation des systèmes, l’identification des facteurs complexes et leurs influences vont permettre de caractériser les différentes sources d'erreurs. Enfin, l’article propose des actions visant à réduire ces sources d’erreurs et à améliorer l’intégration des exigences du développement durable dans le secteur du bâtiment.
8

Marignac, Yves. "Nucléaire en Normandie : une page d’histoire à tourner…". Études Normandes 4, n. 1 (2017): 15–18. http://dx.doi.org/10.3406/etnor.2017.3614.

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Abstract (sommario):
Plus que de nombreuses régions françaises, la Normandie a vu son histoire récente façonnée par l’industrie nucléaire, avec des installations parmi les plus emblématiques. Si ce demi-siècle d’histoire a sans doute contribué à l’essor économique de la région, il laisse aussi un héritage de plus en plus controversé. Surtout, à l’heure où le nucléaire français traverse une crise sans précédent et où la transition énergétique est engagée en France et en Europe, la question se pose pour la Normandie d’une forme de reconversion.
9

Roult, Didier. "Hydro Energy & Sustainability – Synthèse de la conférence internationale organisée par la SHF, les 29 et 30 janvier 2019 à Grenoble". La Houille Blanche, n. 2 (aprile 2019): 117–21. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2019021.

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Abstract (sommario):
L'hydroélectricité reste la plus importante des énergies renouvelables. Ses apports au système énergétique sont indéniables. Offrant à la fois la possibilité de stockage à différentes échelles de temps (de l'heure à l'année), une grande flexibilité et permettant de répondre aux besoins de services systèmes, l'hydroélectricité joue un rôle essentiel dans la transition énergétique. L'hydroélectricité participe largement au développement économique des territoires. L'usage multiple de l'eau (eau potable, irrigation, soutien d'étiage, navigation) est devenu la règle. Au-delà de la production énergétique, elle est au centre des enjeux liés à la gestion des ressources en eau et au développement des territoires. Mais, dans un contexte énergétique en pleine mutation, l'hydroélectricité doit s'adapter. La question environnementale reste une priorité, avec notamment de nombreuses solutions à apporter sur la continuité piscicole, reposant sur des actions de recherche et d'innovation importantes. De nouvelles technologies sont testées, telles que le couplage énergie photovoltaïque/ STEP, l'installation d'hydroliennes fluviales, et un nouveau regard est porté sur l'énergie des marées. Ce document présente une synthèse de la conférence internationale HydroES 2019 ≪ Quel avenir voulons-nous pour l'hydroélectricité en France et en Europe ? », organisée par la SHF et accueillie par INP ENSE3 à Grenoble, les 29 et 30 janvier 2019.
10

Verbecke, Alban. "L’énergie nucléaire : un moteur pour la Normandie". Études Normandes 4, n. 1 (2017): 11–14. http://dx.doi.org/10.3406/etnor.2017.3613.

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Abstract (sommario):
La Normandie est aujourd’hui la quatrième région française productrice d’électricité et sera bientôt troisième avec l’EPR de Flamanville et les parcs éoliens off shore. Elle dispose du deuxième plus grand parc nucléaire de France, avec 17 % des capacités nationales installées à Penly, Paluel et Flamanville. La Normandie exporte en moyenne 54 % de sa production électrique vers les régions voisines. L’électricité produite en Normandie est décarbonée à 96 %. À l’heure où l’avenir de la filière fait débat, entre EPR et transition énergétique, comment se positionne le nucléaire dans le paysage français et normand ? Quels atouts favorisent sa pérennité aux côtés des énergies renouvelables ?
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Mourlon, Sophie. "Réduction des consommations et décarbonation : les deux piliers de la stratégie française pour l’énergie et le climat". Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 113, n. 1 (23 gennaio 2024): 27–30. http://dx.doi.org/10.3917/re1.113.0027.

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Abstract (sommario):
En application de l’accord de Paris sur le climat et de ses engagements internationaux, la France a inscrit en 2019 dans la loi l’objectif d’atteindre la neutralité carbone en 2050. La mobilisation pour le climat impose une accélération de la décarbonation de l’économie et des modes de vie, une réduction des consommations d’énergie ainsi qu’une redéfinition de notre système énergétique encore dépendant aux deux tiers des énergies fossiles, en s’appuyant sur les énergies bas-carbone : renouvelables et nucléaire. Cette transition doit permettre également d’assurer la sécurité de l’approvisionnement en énergie et de réduire la dépendance aux importations, de préserver la compétitivité de l’économie et de protéger les consommateurs français. Elle représente un défi industriel majeur.
12

Chevalier, Josiane. "Aujourd’hui, le Rhin n’est plus une frontière". Administration N° 279, n. 3 (4 ottobre 2023): 28–31. http://dx.doi.org/10.3917/admi.279.0028.

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Abstract (sommario):
La réalité transfrontalière constitue un facteur déterminant de la région Grand Est, avec 760 km de frontières bordant cinq pays, dont 200 km tracés par le Rhin, axe de transport structurant et peu émissif en CO2. L’échange et le commerce sont au cœur des relations entre ces pays, avec 44 % des frontaliers de la France métropolitaine. Le Traité d’Aix-la-Chapelle de 2019 a donné un nouvel élan à une coopération franco-allemande déjà riche, créant le Comité de coopération transfrontalière (CCT) qui met en œuvre les priorités (transition énergétique, environnement, gestion de l’eau et entraide lors de crises). Le Traité ouvre aussi l’opportunité d’une différenciation entre les règles de droit applicables aux territoires frontaliers et celles en vigueur dans le reste du pays. La crise sanitaire a montré que cette coopération transfrontalière a su être résiliente, notamment grâce à des réunions hebdomadaires initiées par la préfète du Grand Est, mais elle doit être confortée et institutionnalisée.
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Missaghieh-Poncet, Justin. "Le déploiement de la géothermie en France et en suisse : vers une redéfinition des usages du sous-sol ?" Écologie & politique N° 68, n. 1 (3 maggio 2024): 87–103. http://dx.doi.org/10.3917/ecopo1.068.0087.

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Abstract (sommario):
Si le sous-sol est historiquement le lieu de l’extractivisme, la transition énergétique requestionne les usages du sous-sol, dont la géothermie profonde. La géothermie se développe sur de nouveaux territoires et modifie en même temps ses caractéristiques techniques. Ce déploiement s’accompagne de promesses technoscientifiques, soutenues par des financements publics. Il s’accompagne également d’« alliances » avec d’autres filières, comme celles du lithium ou du pétrole. Néanmoins, ce déploiement ne se fait pas sans heurts — la géothermie génère notamment des séismes —, ce qui conduit à des débats intenses sur l’encadrement de la technique, politisant ainsi le sous-sol.
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Michel, Laurent, e Quentin Deslot. "Application à 2050 de la transition énergétique et de la neutralité carbone à la demande d’énergie, en France". Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 95, n. 3 (2019): 10. http://dx.doi.org/10.3917/re1.095.0010.

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Lesgards, Valérie, e Salvatore Stelitano. "Crowdfunding et transition énergétique : analyse empirique des plateformes de financement participatif des projets d’énergies renouvelables en France". Innovations Prépublication (11 giugno 2022): I130—XXV. http://dx.doi.org/10.3917/inno.pr2.0130.

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Fontaine, Antoine. "Dossier « Politiques locales de l’énergie : un renouveau sous contraintes » – Expérimenter une transition énergétique coopérative : épreuves et innovations territoriales collectives autour d’un projet de « centrale photovoltaïque villageoise » (Rhône-Alpes, France)". Natures Sciences Sociétés 29, n. 1 (gennaio 2021): 36–45. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2021027.

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Abstract (sommario):
Cet article porte sur le développement de projets photovoltaïques citoyens coopératifs en Rhône-Alpes au début des années 2010, dans le contexte d’une politique nationale alors davantage favorable au développement de projets individuels et privés. La première partie de l’article souligne que ces projets émergent de dynamiques et de problématiques à la fois nationales, régionales et locales qui ouvrent simultanément une fenêtre d’opportunité. Dans la seconde partie, l’article analyse les épreuves traversées par l’un de ces collectifs lorsqu’il tente d’ouvrir la politique incitative nationale pour le photovoltaïque à des enjeux territoriaux qu’elle ne prend pas en compte (redistribution et réinvestissement des revenus solaires, innovation paysagère et architecturale). L’analyse donne à voir un collectif innovant qui traverse des épreuves multiples en tentant d’initier une trajectoire territoriale de transition énergétique qu’il juge plus équitable que celle alors à l’œuvre.
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Duruisseau, Kévin. "Le massif forestier des Landes de Gascogne (France) dans la transition énergétique : les effets territoriaux du déploiement spatial photovoltaïque au sol". Sud-Ouest européen, n. 43 (17 novembre 2017): 107–20. http://dx.doi.org/10.4000/soe.2899.

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ADLER, E. "Le biodéchet, une notion à stabiliser pour une meilleure valorisation". 9, n. 9 (20 settembre 2022): 45–51. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202209045.

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Abstract (sommario):
Impulsé successivement par les lois dites Grenelle de 2009 et 2010, en 2015 par la loi de transition énergétique pour la croissance verte, dite LTECV, en 2018 par la loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et une alimentation saine et durable, dite EGALIM, puis en 2020 par la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire, dite AGEC, le tri à la source des biodéchets ambitionne de mieux capter leur valeur agronomique et énergétique. Ainsi, en substitution à l’incinération et à l’enfouissement, l’objectif est désormais de favoriser les filières de valorisation des biodéchets par épandage, après compostage et/ou méthanisation. Mais si, avec le composteur au fond du jardin, la mise en oeuvre de ce programme est relativement simple dans le cas de l’habitat rural, il en va autrement en zone urbaine où de nombreuses options sont à considérer, avec des circuits de collecte et de traitement plus ou moins complexes. Conjointement au développement de solutions de compostage à petite échelle très médiatisées, de nouveaux modèles de gestion centralisée couplée à une grande diversité de procédés font leur apparition. Aux côtés de nouveaux équipements de déconditionnement qui permettent d’extraire la soupe organique des biodéchets des gros producteurs pour nourrir les méthaniseurs, cohabitent des usines sous maîtrise d’ouvrage publique pour traiter les biodéchets en mélange des collectivités. Dans ce contexte de développement de l’économie circulaire, mais aussi de grande instabilité du marché des prix de l’énergie, la notion récente de « biodéchets », introduite en droit français par la directive cadre de 2008, perturbe l’équilibre des filières du retour au sol des déchets organiques (déchets végétaux, fraction fermentescible des ordures ménagères, ordures ménagères résiduelles, résidus alimentaires, boues d’épuration…). Au travers de divers outils, l’objet de cet article est d’interroger l’origine de cette notion de « biodéchets », en France et à l’étranger.
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Grandjean, Alain. "La transition énergétique en France". Études avril, n. 4 (1 aprile 2014): 29–39. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4204.0029.

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Abstract (sommario):
Le Débat National sur la Transition Énergétique a mis en évidence la nécessité de réduire notre consommation d’énergie. L’accent est mis en particulier sur la rénovation du bâtiment. Cela suppose la mise en place de financements nouveaux sous la responsabilité des pouvoirs publics.
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Berroir, Sandrine, Hadrien Commenges, Jean Debrie, Juliette Maulat, Colette Bordedebat, Guillaume Blandeau, Esther Briend e Justine Lanon. "Dessine-moi une ville sans voiture : les aspirations en matière de mode de vie et de mobilité en Île-de-France". Nouvelles perspectives en sciences sociales 13, n. 2 (5 settembre 2018): 27–73. http://dx.doi.org/10.7202/1051111ar.

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Abstract (sommario):
Dans un contexte de remise en cause de la place de l’automobile dans les mobilités urbaines, cet article rend compte des premiers résultats d’une recherche prospective visant à scénariser les conditions d’une Île-de-France Post-Car. À partir d’une entrée quantitative et qualitative des pratiques et aspirations en matière de mobilité et de modes de vie, l’article souligne la pluralité des pratiques de mobilité des Franciliens et de leurs idéaux, mais également des aspirations partagées à une amélioration des conditions de mobilité, de proximité et de ralentissement en contrepoint d’une hypermobilité urbaine. L’entrée par les aspirations permet alors de tracer un scénario partiel, mais partagé de réduction de la mobilité automobile en Île-de-France qui compose avec la diversité des idéaux, les contraintes territoriales et le schéma centre-périphérie des mobilités. Ces résultats contribuent ainsi aux débats sur la place de la voiture en ville et les conditions d’une transition des mobilités, en soulignant l’enjeu d’une différenciation territoriale des politiques de lutte contre la dépendance automobile.
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Serhan, H., e G. Yannou-LeBris. "SOCIOTECHNICAL INNOVATIONS OF SHORT FOOD SYSTEMS CASE STUDY OF THE CITY REGION ILE DE FRANCE". Proceedings of the Design Society: DESIGN Conference 1 (maggio 2020): 2149–56. http://dx.doi.org/10.1017/dsd.2020.338.

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Abstract (sommario):
AbstractThis paper relies on four case studies designed as short food systems aimed at coupling production, distribution, and consumption to contribute to the ecological transition of the City-Region Île-de-France. Through documentary research and interviews, we explore the growth strategies and sociotechnical innovations these short food systems implemented, and the links that can be established between these innovations, localism strategies, and the regional sustainable development.
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Rich, Flora, e Yves Petit-Berghem. "Le jardinage-habitant et la transition écologique des petites villes sous influence métropolitaine : le cas de Magny-en-Vexin, Île-de-France, France". Nouvelles perspectives en sciences sociales 17, n. 2 (2022): 415. http://dx.doi.org/10.7202/1092779ar.

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Schaible, Christian. "Vision du Bureau européen de l’Environnement pour la révision de la directive IED". Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 114, n. 2 (10 aprile 2024): 39–50. http://dx.doi.org/10.3917/re1.114.0039.

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Abstract (sommario):
La directive sur les émissions industrielles – refonte de celle de 2008 relative à la prévention et réduction intégrées de la pollution – (ci-après « IED ») 2010/75/UE couvre environ 50 000 activités industrielles qui sont responsables d’environ 40 % des émissions de gaz à effet de serre de l’UE, 50 % des émissions de polluants de l’air, et 20 % en flux pour les émissions dans l’eau avec un coût externe évalué entre 277 et 433 milliards d’euros par an 1 . Les principales dispositions découlent des obligations fixées dans les prescriptions contenues dans les permis, déterminées par les autorités compétentes des États membres. Les conditions d’autorisation doivent respecter des principes et obligations généraux, notamment la cohérence des conditions d’autorisation avec les conclusions sur les Meilleures Techniques Disponibles (MTDs) des documents de référence de meilleures techniques disponibles (dits les « BREFs »), qui sont périodiquement révisés sur une base d’échange d’informations entre l’industrie concernée, les États membres, les ONG de protection de l’environnement (tels que le Bureau Européen de l’Environnement – EEB) et la Commission européenne. L’auteur aborde les points clefs et grands enjeux de la révision de l’IED (ci-après « IPPC 3.0 ») et du Règlement sur le Portail sur les Émissions Industrielles (ci-après « IEP-R »), de sa perspective (personnelle) et/ou pour le compte de son organisation (EEB), notamment en ce qui concerne la question sur la plus-value éventuelle de ce nouveau cadre pour définir ou promouvoir une « industrie propre », avec des points de frictions entre le positionnement des ONG, certaines industries (notamment de l’élevage intensif) et/ou certains gouvernements sur ces points. Remarque : L’évaluation ci-dessous suppose que la version de l’accord commun (15 décembre 2023) constitue la version finale 2 . En résumé, le cadre révisé pourra apporter quelques avancées utiles sur la transition vers une industrie propre sur les aspects suivants : Un recadrage de ce qui est une meilleure technique disponible (MTD), qui exclura toute option de l’âge fossile et qui se focalisera davantage sur la protection de la santé et la substitution de substances dangereuses. La plus-value concrète de la nouvelle définition de « transformation en profondeur » avec un triple objectif de protection à atteindre avant 2050 dépendra largement de l’honnêteté et de l’engagement réel des parties prenantes dans la détermination de ces nouvelles MTDs, y compris pendant la phase d’élaboration des plans de transitions par les opérateurs. Le devoir pour l’opérateur d’élaborer des « plans de transformations » par installation, même si on s’attend à du concret, risque de devenir un exercice de greenwashing . Le fait que ces plans doivent être faits au plus tard en 2030 est déjà trop tardif pour certains secteurs dont les investissements portent sur 15 à 20 ans. Alors que l’aspect d’efficience de l’utilisation des ressources est renforcé notamment en ce qui concerne l’eau, une incohérence juridique et sur le fond persiste quant à l’aspect de l’efficacité énergétique, qui reste au bon vouloir des opérateurs et des autorités compétentes. Les exigences concrètes de performances à atteindre restent encore à définir pour la majorité des secteurs. L’approche d’alignement quasi systématique par les autorités des valeurs limites d’émissions vers la fourchette haute des niveaux d’émissions associés aux MTDs (NEA-MTD) a été inversée sur le principe, mais avec une naïveté des décideurs politique effrayante vu que ce seront : 1) les opérateurs concernés eux-mêmes qui devront élaborer une analyse de non-faisabilité de se conformer à la fourchette NEA-MTD la plus stricte ; 2) qu’aucun délais précis n’a été fixé pour ces opérateurs de revoir leurs permis ; et 3) aucun devoir explicite de contradictoire avec le public concerné sur ce que l’opérateur compte faire en ce qui concerne ses installations. La révision des permis en question pourra être repoussée au plus tard de 12 ans par les autorités compétentes, ce qui permettra aux autorités compétentes proches de leur industrie de maintenir un statu quo pour la décennie à venir. A contrario une nouvelle dynamique est créée pour les États membres qui transposent les conclusions MTD par des prescriptions générales, tels que la France. Dorénavant ils devront fixer les règles en conformité de l’esprit IED, c’est-à-dire la prévention/réduction des émissions en s’orientant vers les fourchette strictes. À l’inverse on va faire une régression réglementaire généralisée sur les élevages intensifs par rapport à 1996/2010 concernant les porcs et volailles ainsi qu’une inaction sur l’élevage des bovins. Les dispositions sur le renforcement du droit à indemnisation des victimes de pollution et des sanctions ont été affaiblies de telle manière qu’on constate une inversion du principe pollueur payeur. L’extension du champ d’application (activité minière, Giga fabriques de batteries) est dérisoire, de mineures avancées ont été prévus pour la (co)-incinération des déchets. Des avancées sur la transparence et mise en contexte utile des données de performances environnementales ont été apportées notamment par le règlement connexe établissant le Portail sur les émissions industrielles et l’obligation de système de e -permis / procédures par voie électroniques.
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FAVERDIN, P. "Dossier : Palatabilité et choix alimentaires - Avant-propos". INRAE Productions Animales 9, n. 5 (20 ottobre 1996): 337–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.5.4072.

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Abstract (sommario):
Les trois articles qui suivent retracent le contenu de trois exposés présentés dans le cadre du groupe de réflexion sur le thème ingestion au sein du département Elevage et Nutrition des Animaux de l’INRA. Ce groupe "Ingestion", qui existe depuis environ une dizaine d’année maintenant, se réunit une ou deux fois par an autour d’un thème particulier dont les différents aspects sont traités par des membres du groupe ou invités par le groupe. Il nous est apparu que ce travail pouvait intéresser un public francophone plus large que les seuls participants à ces réunions. A l’avenir, des dossiers seront donc ainsi proposés à la revue Productions Animales en fonction des activités du groupe. Le premier dossier a pour thème "Palatabilité et choix alimentaires". Avant même d’essayer d’en définir les termes, le titre posait problème : fallait- il parler de palatabilité ou d’appétibilité ? Si palatabilité nous apparaît aujourd’hui comme un néologisme, Gallouin et Le Magnen (1987) nous ont rassurés en nous apprenant que les Anglais l’ont importé de France il y a plusieurs siècles. Quant au mot appétibilité, il n’a été proposé qu’il y a un peu moins d’un demi-siècle pour traduire "palatability" de l’anglais. Malheureusement, résoudre ce différend linguistique ne permet pas de définir facilement et précisément ce terme. L’estimation de la palatabilité est généralement décrite par la notion de préférence alimentaire, donc de choix, sans que les deux soient équivalents. Enfin, ce critère de palatabilité est très couramment associé aux qualités organoleptiques des aliments. Différences de définitions, de méthodes de caractérisation, de mécanismes impliqués pour expliquer ces phénomènes, il est apparu important de clarifier la situation et de faire le point sur ce sujet. Les finalités des travaux sur la prise alimentaire chez les monogastriques et les ruminants sont généralement différentes. La nature de la ration (des aliments concentrés jusqu’aux prairies naturelles), mais également le type de production qui recouvre des échelles de temps très variées (de quelques semaines à 10 ans) posent des problèmes de prise alimentaire très différents. Les travaux sur les monogastriques (porcs et volailles) et les ruminants sont donc traités dans des articles séparés. Ces textes permettent de mieux percevoir la spécificité d’approche pour chaque espèce, mais soulignent les points communs quant aux mécanismes associés au concept de palatabilité. Pour les espèces à cycle court, les problèmes d’apprentissage et les choix alimentaires peuvent affecter rapidement la productivité des systèmes. Le refus par des jeunes d’un nouvel aliment pendant quelques jours va affecter leur croissance, même si, a priori, dans l’aliment rien de perceptible par l’homme ne permet de comprendre ce comportement. La synthèse de Marie- Christine Meunier-Salaün et Michel Picard essaye donc de préciser les relations entre ces problèmes de choix alimentaires, de préférence ou d’aversion, et la notion de palatabilité chez le porc et les volailles et discute les moyens d’étudier ces problèmes. Les ruminants disposent souvent de fourrages à volonté. Les fourrages étant généralement, en France, d’un coût plus faible que les autres aliments, l’éleveur souhaite en maximiser l’utilisation. Ceci suppose que le fourrage soit bien ingéré par l’animal. La palatabilité d’un aliment interfère-t-elle avec le niveau d’ingestion de cet aliment ? Comment apprécier objectivement cette notion de palatabilité ? Quel est le rôle des sens dans les préférences alimentaires des ruminants ? La revue de René Baumont essaye de répondre à ces questions à l’aide de nombreux exemples. Les ruminants d’élevage disposent généralement pendant plus de la moitié de l’année d’un accès au pâturage. Dans ces conditions d’alimentation très particulières l’animal va être amené à gérer lui-même ses prises alimentaires avec des situations de choix parfois très complexes. Cette complexité au pâturage est accrue par la dispersion de l’offre alimentaire. Les choix comportementaux ne sont donc pas que le reflet des préférences alimentaires strictes pour telle ou telle espèce ou partie de végétal, mais le résultat d’une stratégie de pâturage complexe qui pourrait chercher à maximiser le bénéfice énergétique. Ces relations entre les préférences alimentaires des ruminants et les choix alimentaires effectués au pâturage sont étudiées par Bertrand Dumont qui en présente une synthèse dans le dernier article de ce dossier. Bien que recouvrant des approches et des points de vue très divers, ces trois articles partagent certaines conclusions sur la notion de palatabilité. En particulier, on peut difficilement la dissocier d’une notion d’apprentissage si l’on veut en comprendre les rouages. Essayer de s’en défaire ne fait que renforcer le poids des apprentissages précédents (souvent inconnus) au détriment de la propre expérience de l’animal sur tel aliment. Les choix d’un animal peuvent donc évoluer pour prendre en compte des signaux post-ingestifs. L’utilisation de tests en tout genre pour apprécier la palatabilité doit donc se faire avec discernement. Néanmoins, une meilleure connaissance des mécanismes d’apprentissage et d’identification de l’aliment permettrait de limiter les problèmes lors des transitions alimentaires et de mieux comprendre comment l’animal équilibre sa ration. Un travail de réflexion important reste donc à réaliser pour mettre en place des méthodologies adaptées afin de mieux expliquer les choix alimentaires des animaux domestiques. Gallouin F., Le Magnen J., 1987. Evolution historique des concepts de faim, satiété et appétit. Reprod. Nutr. Dévelop., 27, 109-128.
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"Les matières premières au défi de la transition énergétique". Revue Générale Nucléaire, n. 4 (luglio 2021): 20–21. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20214020.

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Abstract (sommario):
Dans le cadre de la transition énergétique et écologique, la question des ressources et matériaux devient centrale, en France et en Europe. Quelles sont les matières premières et les métaux dont le monde a besoin ? Dans quelle mesure l’Europe et la France assurent-elles leur sécurité d’approvisionnement ? Quelles sont les ressources en tension ? Toutes les énergies bas carbone sont elles consommatrices au même niveau ?
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Clarimont, Sylvie. "Quand le débat public échoue à prévenir le conflit : retour sur la contestation d’un projet industriel de transition énergétique dans les Landes (France)". L’Espace Politique, n. 42 (14 settembre 2021). http://dx.doi.org/10.4000/espacepolitique.9113.

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Hindriks, Jean, e Antoine Germain. "Numéro 169 - janvier 2022". Regards économiques, 26 gennaio 2022. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2022.01.26.01.

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Abstract (sommario):
L’inflation est de retour et avec elle la flambée des prix de l’énergie. Dans ce numéro 169 de Regards économiques, nous mesurons l’impact de la crise sanitaire et du prix de l’énergie sur l’inflation mais aussi et surtout sur les inégalités qu’elle engendre. En effet, les prix n’évoluent pas tous dans la même mesure et les ménages ont des structures de consommation très différentes. En outre la transition énergétique s’accompagne d’une hausse du prix de l’énergie face à laquelle les ménages ne sont pas tous égaux. C’est assez simple à comprendre. D’abord, la consommation d’énergie est fonction de la taille des ménages et les ménages pauvres sont souvent plus nombreux à loger dans une même habitation. Ensuite, les ménages pauvres n’ont ni panneaux photovoltaïques, ni chauffe-eau solaire, ni chaudière à condensation, ni pompe à chaleur, ni maison passive, ni électroménager classe A++ ou lampes à basse consommation. Enfin, les ménages pauvres sont souvent des locataires qui n’ont pas le pouvoir de décision en matière de rénovation et d’isolation. Au final, la part des dépenses énergétiques est 6 fois plus élevée pour le décile le plus pauvre par rapport au décile le plus riche. Dans ce rapport nous calculons le niveau d’inflation spécifique à chaque groupe de revenus compte tenu de leurs structures de consommation différentes. Cette question est centrale compte tenu de notre mécanisme d’indexation uniforme des salaires et prestations sociales qui est basé sur l’indice santé, lui-même construit sur base d’un profil de consommation moyen. Or, ce panier du belge moyen n’existe pas en réalité. Dans le numéro 102 de Regards économiques, il avait déjà été montré que pour la période 2001-2011 l’indice santé sous-estimait de 9 points de pourcent l’inflation réelle des bas revenus et que cette sous-estimation était tirée principalement par les prix de l’énergie. Nous confirmons à nouveau cette tendance pour la période 2011-2021 avec une inflation réelle pour les bas revenus de 5.5 points de pourcent supérieure à l’indice santé lissé (qui tient compte du saut d’index du gouvernement Michel 1er ). Nous montrons que les prix de l’énergie jouent un rôle central dans les inégalités d’inflation. Depuis le début du siècle en Belgique, toutes les années marquées par des hausses des prix de l’énergie sont synonymes d’un creusement des inégalités d’inflation en défaveur des ménages les plus pauvres. A contrario, lorsque les prix de l’énergie diminuent, ces inégalités d’inflation s’inversent. Ce fut le cas en 2014-2015 avec la baisse de la TVA sur l’électricité à 6% puis en 2019-2020 avec le confinement et la mise en arrêt de l’activité économique au niveau mondial qui ont fait baisser les prix de l’énergie. Ceci est d’autant plus pertinent vu la situation actuelle. La flambée récente des prix de l’énergie à des niveaux inédits se fait progressivement ressentir dans la facture des ménages et l’inflation s’accélère fortement, surtout pour les ménages pauvres. Ceci est interpellant car les hausses enregistrées des prix de l’énergie sur les marchés internationaux (le prix du gaz a quadruplé en Europe en 2021) ne sont encore que partiellement répercutées dans la facture des ménages. Beaucoup de ménages sont temporairement protégés par des contrats à prix fixe qui arriveront à échéance en 2022 et dont la facture sera inévitablement revue à la hausse. Nous discutons dans ce rapport de plusieurs pistes pour mieux protéger les bas revenus contre cette poussée inflationniste avec une attention particulière pour une TVA sociale et un cliquet inversé sur l’énergie. La TVA sociale aurait l’avantage de rendre l’énergie domestique durablement moins cher pour les ménages en situation de précarité énergétique, alors que le cliquet inversé permettrait de lisser les factures des ménages et les recettes de l’Etat dans un environnement international incertain. Baisser la TVA ou baisser le thermostat résume assez bien le dilemme écologique auquel nous sommes confrontés cet hiver. Et la crise des gilets jaunes en France nous a rappelé combien il est dangereux d’imposer une fiscalité uniforme sur des biens essentiels sans moduler l’intervention ou l’accompagner de compensations qui tiennent compte de la diversité des situations sociales.

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