Letteratura scientifica selezionata sul tema "Traite des esclaves – Nigeria – 19e siècle"

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Articoli di riviste sul tema "Traite des esclaves – Nigeria – 19e siècle":

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Monika, Salzbrunn. "Migration". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.059.

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Abstract (sommario):
En anthropologie, la migration, du mot latin migratio, signifie en principe un déplacement physique d’un être humain (migration humaine), bien que des déplacements non-humains soient aussi qualifiés de migrations (migration animale, migration de plantes, migration de planètes etc.). Suite à la généralisation de l’État-nation comme forme d’organisation politique au 19e siècle, on distingue surtout la migration transnationale (qui implique le déplacement d’au moins une frontière nationale) et la migration interne (à l’intérieur de frontières étatiques). Par ailleurs, ces migrations peuvent prendre la forme d’une migration pendulaire (mouvement de va-et-vient), circulaire (mouvement en cercle), saisonnière (migration de travail influencé par les saisons agricoles) ou durable, menant à une installation et une naturalisation. Parmi les causes, on a longtemps souligné les migrations de travail alors que les cas de migrations climatiques et forcées augmentent de façon significative : migrations imposées par le contexte, notamment politique, par exemple pendant une guerre civile ou encore déplacements engendrés par des changements climatiques comme une sècheresse ou l’avancement du désert dans la zone du Sahel. Le tourisme est parfois considéré comme une forme volontaire de migration à courte durée. Jusqu’à présent, peu de travaux lient les réflexions sur les migrations avec celles sur la mobilité (Ortar, Salzbrunn et Stock, à paraître). Certaines recherches sur l’ethnicité (Barth 1999 [1969]) et la transnationalisation ainsi que de nouvelles catégories statistiques développées au niveau gouvernemental témoignent du fait que certaines personnes peuvent être considérées ou perçues comme migrant-e-s sans avoir jamais effectué un déplacement physique au-delà des frontières nationales de leur pays de naissance. Ainsi, aux Pays-Bas et en Belgique, dans le discours politique, on distingue parfois autochtones (grec, littéralement terre d’ici) et allochtones (grec, littéralement terre d’ailleurs). Au Pays-Bas, on entend par allochtone une personne qui y réside et dont au moins un parent est né à l’étranger. Ce terme était destiné à remplacer le terme « immigré », mais il continue à renvoyer des résidents (voire des citoyens) à (une partie de) leur origine. Le terme allemand « Migrationshintergrund » (littéralement background migratoire) pose le même problème. L’anthropologie s’intéresse de facto dès l’émergence de la discipline aux migrations, notamment dans l’étude de sociétés pastorales (en focalisant les déplacements des éleveurs et de leurs troupeaux) ou dans l’analyse des processus d’urbanisation (suite à la migration du monde rural vers les villes). En revanche, l’anthropologie des migrations et de la transnationalisation n’émergent que dans les années 1990 en tant que champ portant explicitement ce nom – d’abord dans le monde anglophone (Glick Schiller N., Basch L. et C. Blanc Szanton 1992, Hannerz U. 1996), et ensuite dans le monde francophone (Raulin A., D. Cuche et L. Kuczynski 2009 Revue Européenne des Migrations internationales, 2009, no. 25, vol. 3), germanophone (Pries L. 1996), italophone (Riccio 2014), hispanophone, lusophone etc.. La traite des esclaves et les déportations de millions de personnes d’Afrique Sub-Saharienne vers l’Europe et les Amériques, qui ont commencé au 17e siècle et duré jusqu’en 1920, ont été étudiées dans le cadre de l’anthropologie marxiste (Meillassoux 1986) puis par des historiens comme Olivier Pétré-Grenouilleau (2004) ou encore par Tidiane N’Diaye (2008), ce dernier ayant mis l’accent sur la longue et intense implication de commerçants arabes dans la traite négrière. La violente « mission civilisatrice » ou campagne de conquête coloniale a très souvent été accompagnée d’une mission de conversion au christianisme, ce qui a fait l’objet de publications en anthropologie depuis une trentaine d’années sous l’impulsion de Jean et John Comaroff (1991) aux Etats-Unis, et plus récemment en France (Prudhomme 2005). Selon les contextes régionaux, l’une ou l’autre forme de migration a été étudiée de manière prépondérante. En Chine, les migrations internes, notamment du monde rural vers les villes, concernent presque autant de personnes dans l’absolu (229,8 millions en 2009 selon l’Organisation internationale du Travail) que les migrant-e-s transnationaux dans le monde entier (243,7 millions en 2015 selon les Nations Unies/UN International Migration Report). Le pourcentage de ces derniers par rapport à la population mondiale s’élève à environ trois pour cent, ce qui semble en décalage avec la forte attention médiatique accordée aux migrant-e-s transnationaux en général et aux réfugiés en particulier. En effet, la très grande majorité des déplacé-e-s dans le monde reste à l’intérieur des frontières d’un État-nation (Withol de Wenden C., Benoît-Guyod M. 2016), faute de moyens financiers, logistiques ou juridiques (passeport, visa). La majorité des réfugiés politiques ou climatiques reste à l’intérieur des frontières nationales ou dans un des pays voisins. Ainsi, selon l’UNHCR/ l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés, sur les 65,3 millions de personnes déplacées de force, 40,8 millions étaient des déplacé-e-s internes et seulement 3,2 millions des demandeur-e-s d’asile en 2015. L’urbanisation croissante qui s’opère dans le monde suscite une augmentation de la migration de travail, notamment en Chine. Dans cet État, le système d’enregistrement et d’état-civil (hukou) limite l’accès aux services sociaux (santé, école, etc.) à la commune de naissance : un changement de résidence est soumis à des conditions restrictives, ce qui engendre une perte de droits élémentaires pour des dizaines de millions de migrants ruraux ne possédant pas de permis de résidence (Jijiao 2013). En France, jusqu’au tournant culturel (qui marque une bifurcation de la focale de la recherche vers les appartenances culturelles et religieuses des personnes étudiées) dans les années 1990, les sciences sociales des migrations, notamment la sociologie des migrations, ont surtout étudié les conditions et rapports de travail, les inégalités sociales ou encore la politique du logement et les inégalités spatiales (Salzbrunn 2015), conduisant ainsi à une très forte focalisation sur les rapports de classe et sur les conditions de vie des immigré-e-s des anciennes colonies. La migration des personnes hautement qualifiées n’a en revanche été que peu étudiée. Après la chute du mur de Berlin, les « appartenances multiples » (concept central de l’ouvrage de Yuval-Davis, Viethen et Kannabiran 2006), notamment religieuses (Capone 2010), ont été privilégiées comme objet de recherche. Cette tendance, accompagnée par un climat politique de plus en plus xénophobe dans certains pays européens, a parfois pointé vers une « ethnicisation » de la religion (Tersigni, Vincent et Willems, à paraître). Le glissement de perception d’une population de la catégorie des « travailleurs immigrés » ou « Gastarbeiter » (littéralement « travailleurs invités ») vers celle de « musulmans » s’inscrit dans un processus d’altérisation, sous-entendant dans les deux cas qu’il s’agit d’un groupe homogène marqué par les mêmes caractéristiques, et ignorant de ce fait la « diversité au sein de la diversité » (Vertovec 2010), notamment les différences en termes de niveau de formation, de genre, d’âge, de statut juridique, de préférence sexuelle, du rapport aux discours et pratiques religieux etc. Beaucoup d’études se sont ainsi focalisées sur des groupes fondés sur le critère d’une nationalité ou d’une citoyenneté commune, ce qui a été critiqué comme relevant d’un « nationalisme méthodologique » (Glick Schiller et Caglar 2011). Même le nouveau champ de recherches consacré aux espaces sociaux transnationaux (Basch, Glick Schiller et Szanton Blanc 1992 ; Salzbrunn 2016) a parfois été (auto-)critiqué pour la reproduction des frontières nationales à travers une optique transnationale. Ont alors émergé des réflexions sur une relocalisation de la migration (Glick Schiller et Caglar 2011) et sur l’enracinement spatial de la migration dans des espaces sociaux translocaux (Salzbrunn 2011). Bien que la moitié de la population migratoire soit féminine, les aspects de genre n’ont été étudiés que très tardivement (Morokvasic-Müller 1984), d’abord dans un contexte de regroupement ou de liens familiaux maintenus pendant la migration (Delcroix 2001 ; Kofman 2004 ; Kofman et Raghuram 2014), puis dans celui des approches féministes du développement (Verschuur et Reysoo 2005), de la migration du travail et des frontières genrées (Nouvelles Questions Féministes 26, 2007). En effet, les dynamiques internationales dans la division du travail engendrent une chaîne globale des soins (« global care chain ») qui repose essentiellement sur les femmes, que ce soit dans le domaine médical, de la pédiatrie ou des soins aux personnes âgées. La réflexion sur la division internationale du travail reproductif a été entreprise par Rhacel Parrenas (2000) et développée par Arlie Hochschild (2000). On peut obtenir une vue d’ensemble des projets européens consacrés au genre et à la migration, voir les résultats du projet européen GEMMA. Enhancing Evidence Based Policy-Making in Gender and Migration : http://gemmaproject.seminabit.com/whatis.aspx En anthropologie politique, l’évolution de systèmes politiques sous l’impact d’une migration de retour, a été étudiée dans un contexte postcolonial (von Weichs 2013). De manière générale, les réflexions menées dans un contexte études postcoloniales de ce type n’ont été entreprises que tardivement en France, et ce souvent dans une optique très critique, voire hostile à ces débats (L’Homme 156, 2000). Parmi les autres sujets traités actuellement en anthropologie des migrations se trouvent les inégalités sociales et spatiales, les dynamiques religieuses transnationales (Argyriadis et al. 2012), les réfugiés et leurs moyens d’expressions politiques et artistiques (Salzbrunn 2014) ou musicales (Civilisations 67, 2018 ; Salzbrunn, Souiah et Mastrangelo 2015). Enfin, le développement conceptuel du phénomène de transnationalisation ou des espaces sociaux translocaux, voire le retour à la « localisation de la migration » (titre de l’ouvrage de Glick Schiller et Caglar 2011) sont des réponses constructives à la question : Comment étudier les migrations dans des sociétés super-diverses (Vertovec 2011) sans réifier leurs appartenances ?

Tesi sul tema "Traite des esclaves – Nigeria – 19e siècle":

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Ramos, de Santana Aderivaldo. "Destins d’Osifekunde, né et mis en esclavage au Nigeria, déporté au Brésil, transporté en France, revenu au Brésil et assassiné à Recife (1793-1842)". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. http://www.theses.fr/2022SORUL034.

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Abstract (sommario):
Pendant les plus de trois cents ans que dura la traite négrière transatlantique, du XVIe au XIXe siècle, plus de douze millions de personnes furent déportées du continent Africain pour servir de main-d'œuvre dans les plantations de canne à sucre, de coton, ainsi que dans les mines "du Nouveau Monde." On considère que 4.800.000 Africains ont débarqué au Brésil, soit 43 % du total des déportés. Des études plus récentes sur les biographies d’esclaves, retracent les itinéraires individuels des captifs ainsi que leurs démarches pour regagner la liberté. La reconstitution du parcours de ces derniers leur donne de l’humanité, tout en leur restituant leur dignité. Nous nous inspirons de cette méthodologie pour accomplir notre étude doctorale sur la biographie d’Osifekunde, un commerçant issu de l’ethnie Ijebu (du sud-ouest de l’actuel Nigeria), réduit en esclavage au Brésil en 1820 et devenu homme libre en France en 1837. Pour ce faire, nous avons divisé notre étude en six parties et chaque partie est subdivisées en trois chapitres: Dans la première partie nous avons présenté des observations sur les études biographiques en France après les années 1970, notamment sur les biographies d’esclaves, sur l’utilisation de la méthode microhistorique dans ces dernières recherches et les champs de recherche sur les biographies d’esclaves aux États-Unis, au Brésil et en France. Dans une deuxième partie, nous avons essayé de comprendre comment l’intérieur de l’Afrique est devenu le centre d’intérêt des Sociétés Savantes et par conséquent, comment les membres de ces sociétés ont utilisé les témoignages d’esclaves dans leurs études, afin de trouver des endroits très reculés comme la ville de Tombouctou ou la source du fleuve Niger, pour propager l’idée de l’Africain comme « sauvage, antropophage, » ce qui pourrait justifier l’argument civilisateur, utilisé par les européens pour coloniser l’Afrique
During the more than three hundred years that the transatlantic slave trade lasted, from the XVIth to the XIXth century, more than twelve million people were deported from the African continent to serve as labor in the plantations of sugar cane, cotton, as well as in “New World” mines. It is considered that 4.800,000 Africans have landed in Brazil, or 43% of the total deportees. More recent studies on the biographies of slaves, retrace the individual itineraries of the captives as well as their steps to regain freedom. The reconstruction of their journey gives them humanity, while restoring their dignity. We are inspired by this methodology to complete our doctoral researcher on the biography of Osifekunde, a trader from the Ijebu ethnic groupe (from southwestern present-day Nigeria), enslaved in Brazil in 1820 and become a free man in France in 1837. To do this, we divided our researcher into six parts and each part is subdivided intro three chapters: In the first part we presented observations on biographical studies in France after the 1970s, in particular on the biographies of slaves, on the use of the microhistorical method in this latest research and the fields of research on the biographies of slaves in the United States, Brazil and France. In a second part, we tried to understand how the interior of Africa became the center of interest of the “Scientifical Societies” and consequently, how the members of these societies used the testimonies of slaves in their studies, in order to find very remote places like the city of Timbuktu or the source of the Niger river, to propagate the idea of the African as “wild, anthropophagous,” which could justify the civilizing argument, used by Europeans to colonize the Africa
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Kakou, Marc Gildas Bi Kouakou. "La Côte des Quaqua dans la traite négrière atlantique du XVIIIe au XIXe siècle". Thesis, Nantes, 2017. http://www.theses.fr/2017NANT2030.

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Abstract (sommario):
La Côte des Quaqua dans la traite négrière atlantique du XVIIIe au XIXe siècle révèle deux intérêts importants. Cette étude permet une pesée globale de la traite sur le littoral quaqua conformément à la ponction totale de la Côte des Vents. Ce rivage fait 26,17% soit 88.158 esclaves traités à la Côte des Vents sur un total de 336.867. A l’échelle de toute la traite atlantique, le littoral quaqua pèse 0,70% sur un total d’environ 12.521.335 esclaves embarqués. Le second point associe le commerce intérieur d’esclaves et les exportations via l’Atlantique. Cela traduit l’articulation entre le littoral et l’hinterland. En effet, les conditions géographiques humaines influant sur les grands circuits commerciaux mettent en lien les marchés. Puis, les conditions diverses de la production des esclaves et les différents types d’acteurs commerciaux assurent le fonctionnement des routes intérieures qui débouchent sur les sites portuaires. Enfin, les conséquences de la traite dans les sociétés locales engendrent les changements sociaux. De plus, ce trafic met en lumière les zones productrices d’esclaves
The Coast of Quaqua in the Atlantic slave trade from the 18th to the 19th century reveals two important interests. This study allows a global weighing of traffic on the quaqua coastline according to the total harvest of the Windward Coast . This shore represents 26.17%, or 88,158 slaves treated on the Côte des Vents, out of a total of 336,867. At the scale of the entire slave trade in the Atlantic, the coastline weighed 0, 70% out of a total of about 12,521,335 integrated slaves. The second point concerns domestic trade in slaves and exports across the Atlantic. This reflects the articulation between the coast and the hinterland. Indeed, the human geographic conditions that influence the main commercial chains connect the markets. Then, the different conditions of the production of slaves and the different types of commercial actors ensure the operation of the internal roads leading to the port sites. Finally, the consequences of trafficking in local societies generate social changes. In addition, this traffic highlights the areas of slave production
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Mampuya, Samba. "Survivance et répression de la traite négrière du Gabon au Congo de 1840 à 1880". Paris 4, 1989. http://www.theses.fr/1988PA040131.

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Abstract (sommario):
Nous avons étudié la survivance et la répression de la traite, chez les populations allant des cotes de l'Ogoue, aux cotes du Congo. Capture au cours des guerres ou razzias, traine sur des longues pistes ensoleillées, stocké puis embarqué sur les navires négriers, le nègre était donc une marchandise avant de devenir esclave. Ce nègre-marchandise, il faudrait l'expliquer dans deux contextes : -celui de la traite, qui l'empoignait chez lui-même en Afrique, avant qu'il fut vendu en Amérique; et -celui du système esclavagiste qui lui imposait les contraintes du travail forcé dans un régime colonial. Le trafic négrier avec ses marchés organisés et ses règlementations, nuisait à la liberté du commerce normal; et les atrocités qui s'étaient succédées depuis des siècles, émouvaient l'opinion publique. Les abolitionnistes de la traite et adeptes acharnés de l'émancipation des esclaves, entreprirent une lutte ardente contre tous les gens intéressés au maintien de l'exploitation forcée des noirs par les blancs. En 1845, avait été conclue l'entente franco-britannique pour mettre un terme à la traite sur les cotes africaines. Mais, la traite atlantique qui aurait duré plus de trois siècles et demi, commençait de diminuer seulement en 1860, et cessait presque complètement en 1880. En même temps, s'amplifiait la grande offensive des négriers de Zanzibar et de Khartoum. La ruine des anciens états de Loango, Kakongo, Ngoi, et ceux des royaumes Kongo, Teke ou Kimbundu est manifeste : les séquelles restent encore nombreuses.
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Mattoso, Katia Mytilineou de Queirós. "Au Nouveau Monde : une province d'un nouvel empire : Bahia au dix-neuvième siècle". Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040176.

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Abstract (sommario):
Cette histoire de la province brésilienne de Bahia et de sa capitale Salvador au dix-neuvième siècle (1553 pages en cinq volumes dont un volume de notes et un volume d'annexes) est surtout une histoire des rapports sociaux entre noirs, blancs et métis dans une société esclavagiste ou les richesses ne sont pas seulement de biens matériels mais aussi de solidarités nouées grâce à une certaine organisation de la famille, de l'état et de l'église, trois pivots privilégies des relations sociales qui encadrent et soutiennent un monde ou les ascensions individuelles se font surtout par l'acceptation de certains modèles: le modèle européen d'abord, mais aussi un modèle imposé par les maitres de moulin à sucre que les négociants et les grands commerçants cherchent à imiter et même certains modèles africains que nous saisissons encore mal mais qui expliquent entre autres choses le grand nombre d'affranchissements de cette période. On a cherché à expliquer pourquoi l'opulente Bahia du dix-huitième siècle s'est peu à peu endormie dans le confort et la sécurité d'un jeu social accepte par tous les privilégiés et les moins privilégiés, accepte aussi par la majorité des bahianais qui vivent à la limite de l'indigence. Tout ce qui pouvait être compté l'a été. Mais à cause des lacunes des archives bahianaises, c'est une histoire qualitative plutôt qu'une histoire quantitative.
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Ali, Tabibou Ibouroi. "Des esclaves makua et de leurs descendants aux Comores". Thesis, La Réunion, 2014. http://www.theses.fr/2014LARE0008.

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Abstract (sommario):
L'Archipel des Comores composé de quatre îles : Grande-Comore, Anjouan, Mohéli et Mayotte dont le premier peuplement remonte au premier millénaire avant Jésus Christ, a connu l'esclavage avant la traite et la colonisation française qui commence. Les fonctions principales de l'esclavage dans ce petit pays au bout du monde sont agricoles et domestiques. Mais contrairement aux autres pays, c'est la rareté des documents écrits et le silence absolu des habitants qui prédominent face à ce phénomène. L'esclavage va connaître une croissance fulgurante avec le phénomène de la traite et l'histoire coloniale. De nombreux Mozambicains sont déversés dans les îles : les uns pour répondre aux besoins des bras dans l'économie agricole coloniale basée sur la culture des produits de rente ; les autres pour partir par la suite dans d'autres pays, et plus particulièrement l'île de La Réunion. Les Africains d'origine mozambicaine sont connus aux Comores sous le nom de Makua. Après un survol rapide de d'histoire générale de l'esclavage aux Comores, la thèse se penche spécifiquement sur la traite de Makua pendant une période précise d'un siècle : 1870 à 1970. L'analyse aborde successivement les aspects liés à la route, les perceptions, l'occupation des espaces, l'intégration et l'apport de Makua. L'abolition officielle de l'esclavagisme était diversement appréciée à l'image actuelle du pays dont les séquelles de cette histoire douloureuse sont toujours visibles jusqu'à enfanter ce que l'on appelle communément l'esclavage moderne
The Comoro Archepelago is composed of four Islands: Great Comoro, Anjouan, Moheli and Mayotte, whose first population, goes back to the first century BC, has known slavery before the slave trade and the beginning of French Colonization. The main functions of slavery in this little country at the end of world are mainly agricultural and domestic work. But contrary to the others countries, written documents are scarce and an absolute silence of the inhabitants prevail in front of this phenomenon. Slavery was going to have a steady growth with this phenomenon of the slave trade and colonial history. A lot of Mozambicans are brought to the islands: some to respond to the need of labor in the agricultural colonial economy based on the culture of commercial products; others to be sent to other countries, and more particularly to la Reunion Island. The Africans originated from Mozambique are known in the Comoros under the name of wamakua (from makua). After a quick glance of the general history of slavery in the Comoros, the thesis focuses specially on the makua slave trade in a specific period of a century: from 1870 to 1970. The analysis deals successively on the different aspects linked to the route, the perceptions, the occupation of space, integration and the makua contribution. The official abolition of slavery was differently appreciated with regard to the present image of the country the remains of which of this painful history are always visible until the birth of what is commonly known as Modern slavery
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Daget, Serge. "Les croisières françaises de répression de la traite des noirs sur les côtes occidentales de l'Afrique (1818-1850)". Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040303.

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Abstract (sommario):
L'action des croiseurs français de répression de la traite des noirs ne peut être comprise, si l'on n'a point posé au préalable l'état des forces que ces croiseurs doivent réprimer. La traite illégale depuis 1818 en France, les armateurs négriers métropolitains et antillais ne se privent pas de la pratiquer, sans susciter de fortes réactions des autorités officielles, lesquelles ont cependant institué un système répressif sur la cote d’Afrique. Des conditions sociales, culturelles, politiques, diplomatiques, expliquent autant que les conditions économiques cette permanence d'une activité plus que séculaire. Dès lors, la question est de savoir comment les agents de la répression vont opérer sur la cote d’Afrique, et si leurs résultats ne sont pas évidents, se demander pourquoi. Les croisières françaises, d'abord inopérantes, se plient peu à peu à leur devoir : elles capturent des négriers nationaux, jugés et condamnés. Apres une longue politique de patience et de dénonciations l’Angleterre obtient en 1831 ce qu'elle réclamait jusqu'alors vainement : une collaboration officielle des deux marines de guerre contre les bâtiments négriers. Or, une troisième loi abolitionniste française a pour résultat de mettre fin à la traite nationale. L'on est ainsi devant le paradoxe qu'un système répressif théoriquement efficace n'a plus d'objet réel de s'exercer. Une situation idyllique est créée par la traite introuvable. Des forces dont les intérêts sont bien moins humanitaires que politiques suscitent une grave crise en France, cherchant à supprimer les conventions signées en 1831-1833. Si elles obtiennent un succès, il reste qu'une nouvelle convention avec la nation toujours sentie comme rivale et machiavélique donne naissance à une splendide croisière : elle ne vit qu'une année, car inutile et incapable d'agir contre les nombreux négriers brésiliens ou espagnols. Ainsi, d'une façon générale, il faut conclure à l'échec de la répression française. Cependant, toutes les raisons de cet échec ne sont pas militaires. Le poids des mentalités acquises, des besoins économiques d'ailleurs moins pressants qu'on ne le dit, la faiblesse de doctrines humanitaires incapables de renouvellement, sont parmi les causes profondes de l'échec. En somme, une histoire négative, répétitive, sans évènement marquant. Les progrès de la connaissance de l'homme en Afrique sont à peu près insensibles
The effect which the french cruisers had on the suppression of the african slave trade cannot be understood unless one first takes into account the forces to be curbed. Although slave trading was made illegal in France in 1818, french and west indian slavers did not hesitate to continue their trading without arousing any strong official reaction, even though repressive measures had been taken on the west african coast. Social, cultural, political and diplomatic conditions, as well as economic ones, explain the continued existence of an enterprise that had already lasted more than a century. Consequently, the question is to know how the repressive agents are going to operate on the african coast, and, if their results are not obvious, why not ? French cruisers, at first ineffectual, comply more and more with their duties: they capture national slavers that are judged and condemned. After a long policy of patience and denunciations, England in 1831 secures what she has been claiming in vain: an official co-operation of the royal navy with the french one in order to fight against the slavers. It is then a third french abolition law results in the ending of the national slave trade. We are therefore confronted with the paradox that a theoretically efficient system has no object to justify. An idyllic situation is brought about by an untraceable slave trade. Powers whose interests are less humanitarian than political create a serious crisis in France seeking to suppress the agreement signed in 1831-1833. Although successful, a new covenant with a nation that has always been resented as a machiavellian rival gives rise to a splendid french cruise: it lasts but one year as it is useless, and unable to act against the numerous brazilian or spanish slave traders. Thus, on the whole, french repression has been a failure. All the reasons for this failure have not been military ones. The weight of established mentalities, of economic needs, not nearly as urgent as implied, the weakness of humanitarian doctrines incapable of renovation, are among the deeper causes of this failure. Altogether a negative, repetitive story without any outstanding events. The knowledge of man in africa is imperceptible
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Maillard, Bruno. "Les noirs des geôles : la répression pénale des esclaves à l'Ile Bourbon, entre puissance publique et pouvoir despotique des maîtres 1815-1848". Paris 7, 2010. http://www.theses.fr/2010PA070004.

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Abstract (sommario):
Entre 1815 et 1848, les esclaves reconnus coupables d'une infraction à l'Ile Bourbon ont été presque exclusivement condamnés à des formes spécifiques de « privation de liberté ». Pourquoi une telle métamorphose du système pénal, centré encore aux XVIIe et XVIIIe siècles sur le fouet, les mutilations ou la mort ? Au premier abord, le phénomène résulte des stratégies élaborées par la puissance publique, incarnée à Paris par le ministère de la Marine et dans la colonie par le gouverneur et son administration, qui vise à assimiler la justice répressive exercée à l'Ile Bourbon à celle qui est consacrée en métropole et de surcroît à réduire les prérogatives judiciaires déléguées aux maîtres sur les habitations. Ces derniers, qui profitent de leur représentation au sein d'institutions nationale et locale, à l'instar de la délégation des colonies et du conseil colonial, usent cependant de diverses tactiques pour imposer leur conception de la politique pénale et pénitentiaire. Quant aux « noirs » des geôles, dont le statut oscille entre celui d'objet et de sujet de droit, ils développent différentes formes de résistances contre cette nouvelle structure d'oppression propre à la société coloniale esclavagiste. C'est manifestement aux croisées de ces stratégies, de ces tactiques et de ces résistances, impulsées par les « acteurs » de cette histoire, que se dessinent les choix, les mécanismes et les enjeux, masqués ou non, de cette répression pénale
Between 1815 and 1848, on the Ile Bourbon, slaves who were found guilty of an offense were almost exclusively sentenced to one or another specific form of imprisonment. Why should such a metamorphosis of the penal System occur when, during the XVIIh and XVIIIth centuries, it was still centred on whipping, mutilation or death? This phenomenon was first of all induced by the strategies designed by public authority, then represented by the Ministry of Navy in Paris and by the governor's administration in the colony, that aimed both at assimilating the repressive legal System practiced on the ile Bourbon with the one established in the Metropole and at curbing the judicial prerogatives exercised by slaveholders on their lands. The latter, however, taking advantage of their being represented in local and national institutions, such as the delegation for the colonies or the colonial council, devised several schemes to lay down their vision of penitential and penal law. As for the "black" in jail, whose status wavered between object and juridical person, they came up with various forms of resistance to this new oppressive structure peculiar to the colonial slave society. At the crossroads of all of these strategies, tactics and acts of resistance triggered off by the protagonists of this page in history, there apparently materialises the choices, mechanisms and what is at stake, whether openly or indirectly, in this penal repression
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Rispal, Jean-François. "La présence française à Zanzibar : 1770-1904". Pau, 2004. http://elgebar.univ-reunion.fr/login?url=http://thesesenligne.univ.run/H/2004PAUU1003_RISPAL.pdf.

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Abstract (sommario):
Zanzibar est aux XVIII et XIXèmes siècles un sultanat, gouverné par les Omanais. Pour des raisons commerciales puis stratégiques (visées sur les Comores et Madagascar, traite " déguisée " vers la Réunion) la France y installe un consulat, en 1844, qui perdurera jusqu'en 1904. Quelques commerçants et missionnaires sont présents, le plus souvent d'une manière temporaire, dans l'île. Mais leur action est diffuse et a peu de conséquences sur la vie politique sur l'île, au contraire de quelques consuls. Privilégiant les affaires européennes, les différents gouvernements (Restauration, Seconde République, Second Empire) veulent, cependant, obtenir un accès facile à une main d'œuvre agricole pour les îles françaises du sud-ouest de l'océan Indien et éviter les interventions zanzibarites aux Comores et à Madagascar. Ayant obtenu satisfaction, la Troisième République acceptera le protectorat britannique sur Zanzibar en 1890 et se retira de l'île
Zanzibar is at the XVIII and XIX centuries a sultanate controlled by Omani. For commercial reasons then strategic (sights on the Comoros and Madagascar, draft "disguised" towards the Reunion) France installs a consulate in 1844 which will last until 1904. Some tradesmen and missionaries are present, generally in a temporary way, in the island. But their action is diffuse and has few consequences on the political life of the island, contrary to some consuls. Privileging the European affairs, the various governments (Restauration, Second Republic, Second Empire) want, however to obtain an easy access to an agricultural labour for the French islands of the Indian Ocean and to avoid the interventions of Zanzibar in the Comoros and Madagascar. Having obtained satisfaction, the Third Republic will accept the British protectorate on Zanzibar in 1890 and will withdraw the island
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Mevi, Régine Medegnonmi. "Le reflux : une contribution à l'étude de l'implantation des communautés afro-brésiliennes aux rives du Golfe du Bénin et leur influence dans la vie politique et sociale au XIXe et XXe siècles". Paris 4, 2009. http://www.theses.fr/2009PA040086.

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Abstract (sommario):
La rencontre de trois continents : l’Afrique, l’Amérique et l’Europe a entraîné trois siècles de trafic d’être humains entre l’Afrique et le Nouveau-Monde. Le Golfe du Bénin sur la côte ouest africaine choisi dans le cadre de cette étude a été l’une des régions pourvoyeuses d’hommes destinés à travailler dans les plantations et mines du Brésil, de Cuba ou des Etats-Unis. Ce commerce a meurtri le continent noir tout en favorisant le développement de l’Europe et de l’Amérique. Toutefois, le retour des anciens esclaves libérés du Brésil, de Cuba, est l’un des véritables apports de ce commerce. Appelés Aguda, Amaro, Saro, ou encore Krio pour le cas de la Sierra Leone ou du Libéria, les Afro-Brésiliens ont constitué un groupe social qui a essaimé dans les ville côtières, donnant une nouvelle impulsion au développement des pays concernés : le Nigéria, le Bénin, ex-Dahomey et le Togo. Ils sont devenus le moteur l’économie, se lançant tour à tour dans le commerce des esclaves et d’huile de palme. Ils ont initié, développé et enrichi une culture afro-brésilienne encore existante de nos jours au travers de la religion, de l’architecture et de la culture matérielle. Instruits et parlant les langues européennes, ils ont pris part aux mouvements de contestation contre le système colonial, dénonçant à travers les journaux ses abus, et la misère du peuple africain. Leurs luttes politiques ont notamment contribué à éveiller la conscience politique des masses. Malgré la disparition quasi-totale de cette communauté, son legs incontestable reste visible et éveille les curiosités. Un travail de préservation de ce patrimoine a commencé ces dernières années par des chercheurs africains et américains qui échangent à travers des réunions et des colloques
The meeting of three continents : Africa, America and Europe have led to three centuries of human trafficking between Africa and the New World. The Gulf of Benin on the west coast Africa chosen as part of this study was one of supplying men to work in plantations and mines of Brazil, Cuba and the United States. This trade has ravaged the continent while promoting the development of Europe and America. However, the return of former slaves freed in Brazil, Cuba is one of the real contributions of the trade. Aguda called Amaro, Saro Krio or in the case of Sierra Leone or Liberia, Afro-Brazilians were a social group that has spread to coastal cities, giving a new impetus to the development of concerned countries: Nigeria, the former Dahomey Benin and Togo. They have become the driving force behind the economy, embarking on a rotating basis in the slave trade and oil palm. They have initiated, developed and enriched culture Afro-Brazilian still existing today through religion, architecture and material culture. Educated, speaking European languages, they took part in the protest movement against the colonial system, denouncing newspaper through its abuse and the misey of the African people. Their political struggles have helped to awaken the political consciousness of the masses. Despite the almost total disappearance of this community, its legacy remains visible and indisputable éveille sights. Work of preserving this heritage has begun in recent years by African and American exchange through meeting and seminars
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Vita, Mbala Lussunzi. "La société Kongo face à la colonisation portugaise, 1885-1961 : un peuple en mouvement et une société en mutation". Thesis, Lyon 2, 2009. http://www.theses.fr/2009LYO20100.

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Abstract (sommario):
L’unité politique et territoriale du royaume Kongo prit fin avec l’arrivée des Européens chez les Bakongo. En effet, commencée par les Portugais à partir de 1482 et relayée par d’autres Européens parmi lesquels les Hollandais, les Espagnoles, les Italiens, les Français et les Anglais, la présence européenne dans le royaume Kongo eut deux impacts importants : la traite négrière et l’évangélisation des populations. Les conséquences de ces deux phénomènes occasionnèrent non seulement la fin du pouvoir d’Etat organisé sur un grand espace, mais aussi de nouvelles influences, voire des ruptures, socioculturelles chez tous les peuples Bakongo. Au moment de l’occupation systématique de toute l’Afrique par les puissances coloniales européennes, l’espace du territoire Kongo tomba principalement sous la domination française, belge et portugaise. Ce travail traite du choc colonial de la société Kongo face à l’occupation portugaise, de l’émigration massive des populations du nord de l’Angola au Congo belge et des conséquences socioculturelles qui en résultèrent. Quant à la question méthodologique et à celle de l’exploitation des données historiques, il a été souligné l’importance des sources orales qui permettent une autre approche du passé qui, à son tour, fait émerger les concepts de l’ « histoire en Afrique » et de l’ « histoire de l’Afrique ». Sans aucunement sacrifier la rigueur scientifique, ce travail a privilégié la vision de l’histoire de l’Afrique dans laquelle l’Africain cesse d’être considéré comme un simple objet de l’histoire pour devenir un sujet de l’histoire
Political unity and territorial kingdom Kongo ended with the arrival of Europeans among Bakongo. In effect, started by the Portuguese from 1482 and relayed by other Europeans among which the Dutch, the Spanish, the Italian, the French and English, the European presence in the kingdom Kongo had two important impacts : the slave trade and evangelization of peoples. The consequences of these two phenomenons were not only the end of the power of State organized on a large space, but also new influences, and even ruptures, sociocultural among all peoples Bakongo.At the time of systematic occupation of Africa by the European colonial powers, the area of the Territory Kongo fell mainly under the domination french, belgian and Portuguese.This thesis deals with the shock colonial of society Kongo facing occupation portuguese, mass emigration of populations of the north of Angola to the Belgian Congo and the consequences sociocultural which resulted. As to the question methodological and to that of the use of historical data, it was stressed the importance of oral sources that allow another approach of the past which, in turn, makes emerge the concepts of "history in Africa" and "History of Africa". Without sacrificing the scientific rigor, this thesis has privileged the vision of the history of Africa in which the African ceases to be considered as a simple object of the history to become a subject of history

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