Letteratura scientifica selezionata sul tema "Start-up – Environnement"

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Articoli di riviste sul tema "Start-up – Environnement":

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ZEBOX Caraïbes. "L’innovation et l’accélération des start-up dans les outre-mer, véritable levier de développement économique et social". Annales des Mines - Réalités industrielles Août 2023, n. 3 (4 agosto 2023): 87–91. http://dx.doi.org/10.3917/rindu1.233.0087.

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Abstract (sommario):
En dépit d’obstacles spécifiques, le développement de l’écosystème start-up dans les outre-mer apparaît dynamique et prometteur, si bien qu’il est permis d’y voir un véritable levier de création de richesses pour ces territoires. Dans la continuité des actions menées par les pouvoirs publics et le monde associatif, les grands groupes ont un rôle à jouer pour accompagner les entrepreneurs locaux dans leurs projets, et participer à la structuration d’un environnement favorable à l’innovation. ZEBOX, le réseau international d’incubateurs de start-up du Groupe CMA CGM, un acteur mondial des solutions de transport et de la logistique, comprend depuis 2022 des locaux en Guadeloupe, accueillant actuellement une dizaine de start-up dans divers domaines stratégiques. Dans une démarche complémentaire, le Phare, incubateur social de la Fondation CMA CGM, a également étendu son action aux Antilles.
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Boutellaa, Mohamed, e Naima Bendebiche. "L’impact de l’utilisation des incubateurs d’entreprises sur la durabilité des PME Algériennes". Finance and Business Economies Review 2, n. 1 (31 marzo 2018): 38–51. http://dx.doi.org/10.58205/fber.v2i1.1677.

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Abstract (sommario):
Les PME constituent dans les économies contemporaines une base motrice de développement socio-économique, néanmoins leur vulnérabilité face à la compétition accrue des grandes entreprises et des multinationales a impliqué l’adoption de quelques dispositifs et mécanismes d’appui dans plusieurs pays, dont l’Algérie, notamment sous une tendance à l’ouverture sur le marché mondial, parmi ces mécanismes on distingue les incubateurs et les pépinières d’entreprises, qui ont pour objectif essentiel l’accompagnement des PE ou des start-up durant leur période de démarrage, en leur fournissant l’incubation, en plus des facilités nécessaires et des divers mesures de soutient, et ce afin de leur assurer une continuité réussite dans environnement devenu de plus en plus compliqué.
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EVANGELISTA, Marc. "Créer un environnement de type « start-up » dans une organisation". Management et ingénierie de l'innovation, dicembre 2021. http://dx.doi.org/10.51257/f-1732.

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Tesi sul tema "Start-up – Environnement":

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Carle, Alice. "Sustainability for Startups : A Complex Phenomenon Analyzed Through A Symbolic Interactionist Perspective". Electronic Thesis or Diss., Institut polytechnique de Paris, 2023. http://www.theses.fr/2023IPPAX112.

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Abstract (sommario):
Traditionnellement reconnues pour leur contribution à l’innovation et à l’économie, les startups sont désormais considérées comme des organisations prometteuses pour résoudre les problèmes sociaux et environnementaux. Le recours aux startups n'est toutefois pas évident. Non seulement une telle attente s'ajoute à la tâche, déjà difficile, de lancer une startup, mais la contribution des startups à la durabilité est difficile à déterminer en raison de l'incertitude qui les caractérise. Par conséquent, l'objectif de cette recherche est d'explorer comment les startups abordent la durabilité dans un contexte de grande incertitude.Alors que la littérature a largement exploré les pratiques des grandes entreprises, peu d'informations sont disponibles pour les plus petites. Elles rencontrent non seulement moins de pression de la part des parties prenantes, mais semblent également percevoir moins d'avantages à s'engager dans le développement durable. Le domaine de l'entrepreneuriat durable a commencé à combler cette lacune, mais le cas spécifique des startups reste largement négligé. Fournir de telles connaissances est crucial non seulement pour les startups, mais aussi pour leurs parties prenantes et les décideurs qui manquent actuellement d'informations sur ce qu’il est possible d’attendre des startups en termes d’impact social et environnemental. Jusqu'à présent, la recherche a démontré la complexité du sujet, et a suggéré des cadres pour évaluer leur contribution à la durabilité. Cependant, la perspective des principaux concernés manque, en particulier sur la manière dont elles abordent le sujet en l'absence de normes et de pratiques partagées dans l'écosystème entrepreneurial.Compte-tenu de la nouveauté et de la complexité du phénomène, une démarche exploratoire a été privilégiée. Une recherche action de 36 mois dans un incubateur de jeunes startups innovantes a permis de collecter différents types de données, notamment des observations directes, des entretiens et des documents d'archives. Plutôt que de viser la généralisation, cette approche qualitative et compréhensive cherche à révéler les pratiques, les défis et les arbitrages des acteurs pour mieux comprendre les mécanismes en jeu et comment les actions sont menées. La recherche s’est inspirée de problèmes rencontrés sur le terrain, suivant un processus abductif où les surprises ont conduit à l'identification de sous-questions de recherche.Les résultats sont articulés autour de trois articles de recherche, mettant en évidence différents aspects du phénomène. La durabilité pour les startups est vue comme faisant partie du processus entrepreneurial (1), intégrée dans un écosystème entrepreneurial (2) et comme une nouvelle exigence demandée par les acteurs publics (3). Le cadre immersif a révélé que les acteurs agissaient en faveur de la durabilité en fonction du sens qu'ils donnaient à ce concept encore abstrait, et que ce sens évoluait continuellement selon un processus interactif et interprétatif. Une telle perspective interactionniste symbolique enrichit la littérature en proposant une approche originale pour décrire une gestion de l'incertitude d'un problème complexe.En combinant les résultats des trois articles de recherche, la thèse a mis l'accent sur un écosystème entrepreneurial en transition et a suggéré une nouvelle définition pour les start-ups durables. En accord avec l'approche collective et contextuelle, la recherche a mobilisé le concept d'improvisation pour souligner que la durabilité pour les startups n'est pas un objet statique, conduisant les startups à tenir compte de leur environnement changeant. L'approche processuelle a contribué à la fois à la littérature sur l'entrepreneuriat durable et au domaine émergent de la recherche sur l'évaluation de l'impact de la durabilité pour les startups. Des recommandations pratiques pour les startups et les décideurs ont également été fournies
Traditionally known for their contribution to innovation and the economy, startups are now considered promising organizations for addressing social and environmental issues. However, turning to startups is not straightforward. Not only does such an expectation add to the already challenging task of launching a startup, but the contribution of startups to sustainability is difficult to determine due to the uncertainty that characterizes them. Therefore, the aim of this research is to explore how startups tackle sustainability given the significant uncertainty.While the literature has extensively explored the practices of large companies, little information is available for smaller ones. According to the literature, they not only face less pressure from stakeholders but also seem to perceive fewer benefits in engaging in sustainable development. The field of sustainable entrepreneurship has begun to fill this gap, but the specific case of startups remains largely overlooked. Providing such knowledge is crucial not only for startups but also for their stakeholders and decision-makers who currently lack information on what to expect from startups in terms of social and environmental impact. So far, research has demonstrated the complexity of the subject and suggested frameworks for assessing their contribution to sustainability. However, startups’ perspective is lacking, especially on how they tackle in the absence of shared norms and practices in the entrepreneurial ecosystem.Given the novelty and complexity of the phenomenon, an exploratory approach was favored. A 36-month action research in an incubator of young innovative startups allowed the collection of various types of data, including direct observations, interviews, and archival documents. Instead of aiming for generalization, this qualitative and comprehensive approach seeks to reveal the practices, challenges, and trade-offs of the actors to better understand the mechanisms at play and how actions are taken. The research drew inspiration from issues met on the field, following an abductive process where surprises led to the identification of sub-research questions.The results are articulated around three research articles, highlighting different aspects of the phenomenon. Sustainability for startups is seen as part of the entrepreneurial process (1), as embedded into an entrepreneurial ecosystem (2), and as a new requirement demanded by public actors (3). The immersive framework revealed that actors acted in favor of sustainability based on the meaning they attributed to this still abstract concept, and that this meaning continually evolved through an interactive and interpretative process. Such a symbolic interactionist perspective enriches the literature by proposing an original approach to describing the management of uncertainty in a complex problem.By combining the results of the three research articles, the thesis focused on an entrepreneurial ecosystem in transition and suggested a new definition for sustainable startups. In line with the collective and contextual approach, the research mobilized the concept of improvisation to emphasize that sustainability for startups is not a static object, leading startups to consider their changing environment. The processual approach contributed to both the literature on sustainable entrepreneurship and the emerging field of research on evaluating the impact of sustainability for startups. Practical recommendations for startups and decision-makers were also provided
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Kedjar, Malia. "Essais sur les déterminants de l'éco-innovation : une application aux entreprises françaises". Electronic Thesis or Diss., Normandie, 2020. http://www.theses.fr/2020NORMC020.

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Abstract (sommario):
L’objectif principal de cette thèse est l’étude des facteurs qui influencent le développement des éco-innovations par les entreprises françaises. Nous avons abordé cette question dans différents contextes en utilisant des données originales. Nous contribuons à la littérature empirique en nous intéressant aux aspects entrepreneurial et spatial. Les principaux résultats montrent que les instruments de la politique environnementale impactent différemment les types d’éco-innovations (les technologies de traitement des déchets, les technologies d’énergie renouvelable et les technologies d’atténuation du changement climatique) et que les éco-innovations ne sont pas toujours rentables pour les entreprises. D’où la nécessité d’adapter les instruments de politique publique de sorte à améliorer la profitabilité des éco-innovations. Après la réalisation d’une enquête auprès des start-ups françaises, les résultats de l’analyse ont montré qu'il existe une diversité de profils d'éco-innovateurs. En effet, les start-ups se regroupent en cinq principaux profils qui correspondent à différents déterminants de l'éco-innovation. Nous avons montré empiriquement que les différentes catégories d'éco-innovateurs n'ont pas les mêmes difficultés d'accès aux fonds. Ce qui nous a amené à conclure que les politiques publiques doivent être conçues en tenant compte de la spécificité de chaque profil. Nous avons également montré que la recombinaison des technologies environnementales et non environnementales et le soutien des autorités publiques aux initiatives environnementales sont les principaux facteurs qui expliquent la localisation des entreprises éco-innovantes. De plus, en appliquant l'économétrie spatiale, nous avons constaté qu'il existe une dépendance spatiale claire vis-à-vis de leur création alors que l'impact de la diffusion des connaissances est plutôt local
The main objective of this thesis is to study the factors that trigger the development of eco-innovations for the case of French firms. We have addressed this question in different contexts using original data. We contribute to the empirical literature by focusing on entrepreneurial and spatial aspects. The main results show that environmental policy instruments have a different impact on the types of eco-innovations (waste treatment, renewable energy and climate change mitigation technologies) and that eco-innovations are not always profitable for firms. Hence, it is essential to adjust public policy instruments in a way to improve the profitability of eco-innovations. After carrying out a survey on French start-ups, the results of the analysis have shown that there is a diversity of profiles of eco-innovators. Indeed, firms cluster into five main profiles and exhibit different eco-innovation drivers. We have shown empirically that the different categories of eco-innovators do not have the same difficulties in accessing funds. This led us to conclude that public policies must be designed taking into account the specificity of each profile. We have also shown that the recombination of environmental and non environmental technologies and environmental political support are the main factors explaining the location of eco-innovative firms. Moreover, by applying spatial econometrics we found that there is a clear spatial dependence on their creation while the impact of knowledge spillovers is quite local

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