Articoli di riviste sul tema "Rites et cérémonies – Japon"

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Monnier, Alain. "Religion, tradition et communication : les cérémonies d’Achoura chez le Hezbollah chiite libanais". Confluences Méditerranée N° 128, n. 1 (13 maggio 2024): 187–200. http://dx.doi.org/10.3917/come.128.0188.

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Abstract (sommario):
Le Hezbollah a su utiliser les cérémonies d’Achoura au Liban et notamment les rites traditionnellement observés par les fidèles durant cette période, pour servir sa communication et ses objectifs politiques. En étudiant le contenu des discours et des latmiya ainsi que la mise en scène du Hezbollah, durant cet événement annuel important dans le calendrier religieux chiite, on tentera de saisir à l’aune de cet exemple la politique de communication du parti-milice libanais.
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Shun'ya, Yoshimi. "Les rituels politiques du Japon moderne. Tournées impériales et stratégies du regard dans le Japon de Meiji". Annales. Histoire, Sciences Sociales 50, n. 2 (aprile 1995): 341–71. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1995.279369.

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Abstract (sommario):
Fruit des relations fécondes nouées depuis quelques années par l'histoire et l'anthropologie, l'étude des rituels monarchiques s'est considérablement développée. Un intérêt renouvelé a été porté aux recherches classiques d'E. Kantorowicz et de Marc Bloch et, sous l'influence des enquêtes de Clifford Geertz en particulier, divers travaux novateurs ont été engagés sur les aspects rituels des symboliques du pouvoir. Dans de courtes observations au sujet du charisme royal, Geertz a comparé les apparitions publiques des souverains dans l'Angleterre élisabéthaine, à Java au 14e siècle et au Maroc au 19e siècle ; il a attiré l'attention sur quelques modèles de « formes symboliques structurées » par lesquelles les élites dirigeantes « expriment le fait qu'elles sont bien les dirigeants authentiques ». D'après lui, dans toutes les sociétés à organisation complexe, de telles formes symboliques —un ensemble de récits par exemple, de cérémonies, de médailles ou autres accessoires— caractérisent le centre comme centre, légitiment l'existence des dominants et ordonnent leur comportement. Cela ne concerne pas seulement les sociétés traditionnelles prémodernes, mais également l'ensemble des Etats-nations modernes et contemporains.
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Tremblay, Martine. "Cérémonies de mariage dans la vallée du Haut-Richelieu au XXe siècle : le faste et le sacré". Articles 67 (14 dicembre 2011): 93–104. http://dx.doi.org/10.7202/1006765ar.

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Abstract (sommario):
Une enquête menée dans la région de Saint-Jean-Iberville, auprès de personnes mariées au cours des périodes 1920-1940 et 1980-1995, a permis de montrer la transformation de la cérémonie religieuse du mariage au XXe siècle. Ce changement est le résultat de multiples tensions. D’abord, l’Église édicte les règles de la célébration des mariages et établit une classification des cérémonies en fonction de l’aisance des familles. Ensuite, les prêtres tentent de répondre aux demandes des fidèles qui réclament des rites renforçant la distinction sociale. Enfin, un groupe au sein du clergé s’oppose au déploiement cérémoniel lors des mariages. À la fin du siècle, les cérémonies de mariage sont fastueuses et les couples tiennent une place très importante dans leur organisation. Si l’Église favorise la participation des époux et de leurs familles, elle n’a pas totalement perdu son privilège de définir le rituel religieux. Elle est parvenue à transmettre aux jeunes mariés sa vision sacrée du mariage et de la famille.
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Javeau, Claude. "Le cadavre sacré". Article 19, n. 1 (1 novembre 2007): 21–24. http://dx.doi.org/10.7202/016631ar.

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Abstract (sommario):
Résumé Peu après la fin de la Grande Guerre, divers États vainqueurs ont inhumé à une place d’honneur un soldat inidentifiable, qu’on a appelé Inconnu. Celui-ci devenait « le Fils de toutes les mères qui n’ont pas retrouvé leur Fils », le métonyme de tous les soldats tombés pour la Patrie, dont leurs mères était la métaphore. Les rites qui sont liés à la présence de ce corps méconnaissable présentent les divers aspects des rites funéraires en général, mais portés au niveau de cérémonies commémoratives, dont la signification se perd, qui sont à la fois d’expiation (de toutes ces morts glorieuses) et d’exaltation de la communauté nationale.
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Cressy, David. "Death and the social order: the funerary preferences of Elizabethan gentlemen". Continuity and Change 5, n. 1 (maggio 1990): 99–119. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000003891.

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Abstract (sommario):
Cet exposé utilise les testaments de gentilshommes d'Essex pour étudier les cérémonies funéraires en vogue en Angleterre pendant la seconde moitié du 16e siècle. Plusieurs rites traditionnels ont survécu la Réforme et aussi dans certains cas, les trente jours ou le mois du ‘souvenir’. Les pratiques réformatrices étaient lentes à se propager. Alors que certains membres de la noblesse proclamaient leur aversions de toute ‘pompe’, d'autres spécifiaient la panoplie complète des cérémonies: vêtements de deuil, cortèges funèbres, distributions charitables, fêtes communautaires et le verre à vider solennellement en souvenir du défunt. Les testateurs se souciaient souvent autant de l'endroit où reposerait leur dépouille, soit á proximité de leurs ancêtres ou parents et alliés, soit dans un lieu consacré ou socialement important, que du sort de leur âme. On peut mieux comprendre ces coutumes á partir des observations anthropologiques modernes. Les funérailles des gentilshommes élisabéthains non seulement disposaient d'un cadavre, mais elles servaient encore á souligner certaines valeurs, telles que la décence, la réputation, la continuité de la famille, l'hospitalité ainsi que d'autres piliers de l'ordre moral et social.
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Coulmont, Baptiste. "Marcelle Saindon, Cérémonies funéraires et postfunéraires en Inde. La tradition derrière les rites". Archives de sciences sociales des religions, n. 124 (1 ottobre 2003): 63–170. http://dx.doi.org/10.4000/assr.991.

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CHARLES-LAFORGE, Marie-Odile. "Rites et offrandes dans la religion domestique des Romains : quels témoignages sur l’utilisation de l’encens ?" Archimède. Archéologie et histoire ancienne Archimède n° 9 (dicembre 2022): 46–58. http://dx.doi.org/10.47245/archimede.0009.ds1.05.

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Abstract (sommario):
Résumé Si l’encens trouve sa place dans la plupart des rites publics des religions de l’Antiquité, qu’en est-il sur le plan du culte privé chez les Romains ? Les auteurs anciens, notamment les poètes, évoquent fréquemment la libation du vin et l’offrande de l’encens qui interviennent avant le sacrifice proprement dit. Ceci se retrouve dans les témoignages iconographiques qui sont tout aussi indispensables que les témoignages littéraires pour l’analyse des rites. C’est pourquoi cette étude sera menée à partir des peintures de laraires et objets de culte découverts dans les maisons pompéiennes afin de déterminer quelle est la place accordée à l’encens dans les cérémonies du culte domestique mais aussi lors des rites funéraires. Nous devrions être à même de trouver des témoignages archéologiques de sa présence et d’en tirer des conclusions. Nous les enrichirons par une approche du domaine funéraire à Pompéi afin de compléter nos témoignages sur l’utilisation de l’encens lors des rites organisés par la famille. Abstract Title: Rites and offerings in the domestic religion of the Romans: what testimonies on the use of incense? If frankincense finds its place in most of the public rites of religions of Antiquity, what about the Romans’private worship ? Ancient authors, especially poets, frequently mention the libation of wine and the incense’s offering that occur before the sacrifice itself. Nevertheless, the sacrifices’ scenes don’t give them much importance whereas they are as indispensable as the literary testimonies for the rites’ analysis. Therefore, this study will be carried out from lararia paintings and cult objects discovered in Pompeian houses to determine the place given to incense in the ceremonies of domestic cult but also in funeral rites. We should be able to find archaeological evidence of its presence and draw conclusions. We will complete with an approach to the funerary field to look for evidence of incense use in the funeral in Pompeii.
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Muanda, Kafuku, Léon Shongo Onasaka, Pierrot Iyolo Kumakele e Jean Mamvaka Mbwisi. "Les Rites Mortuaires Et Ses Conséquences Dans La Ville Province De Kinshasa, Rd Congo". International Journal of Progressive Sciences and Technologies 34, n. 1 (15 settembre 2022): 193. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v34.1.4566.

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Abstract (sommario):
Aujourd'hui, l'homme actuel qu'on appelle homo sapiens sapiens, avec l'évolution de la vie, de la capacité crânienne et intellectuelle, nous assistons par contre à des cérémonies funéraires différemment dans divers milieux et provinces qui laissent à désirer. C'est ainsi que nous nous sommes posés la question de savoir comment se les rites mortuaires à Kinshasa, Ville Province de la République démocratique du Congo et quelles en sont les conséquences ?Dans le but d'évaluer la qualité des rites mortuaires et ses conséquences dans la ville province de Kinshasa, RD Congo, nous avons utilisé la méthode d'enquête avec les techniques d'interview constituées et d'observation non participante et un questionnaire guide interview nous un service comme instrument de collecte des données sur un échantillon de 100 sujets.Après analyse des données nécessaires, nous avons trouvé que 70 % des sujets pensent que le lieu mortuaire est un lieu de compassion ; les sportifs et chabanistes sont les auteurs des désordres au lieu de deuil ; la tranche d'âge la plus impliquée dans le désordre au lieu de deuil est celle de 15 à 18 ans, soit (55%). L'influence des masses et la mauvaise compagnie sont des facteurs explicatifs du désordre le plus cité, soit (44%) ; la majorité des enquêtés participe la nuit et le jour au deuil, soit (50%) ; les insanités sont les paroles les plus attendues au deuil, soit (68%) ; la bagarre est l'acte majoritairement vécue au deuil, soit (50%). Pour mettre fin au désordre au lieu de deuil, les enquêtés responsables que les pouvoirs pourraient permettre un programme de la campagne de la sensibilisation par les médias ou défendre l'exposition et le passage de la morgue, du corps du défunt à son domicile voir même dans les lieux de recueillement, soit (45%).Mots-clés : rites, rites mortuaires, conséquences, Kinshasa
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Rivera Andía, Juan Javier, e Geneviève Deschamps. "Comparaison entre la herranza, la « fête de l’eau » et la zafa-casa dans les Andes". Recherches amérindiennes au Québec 44, n. 2-3 (1 giugno 2015): 39–48. http://dx.doi.org/10.7202/1030965ar.

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Abstract (sommario):
Le but de cet article est de comparer le rituel andin qui entoure le marquage du bétail (herranza) avec d’autres rites essentiels du cycle annuel de la région. L’auteur compare tout d’abord la herranza avec les rituels liés au nettoyage des canaux d’irrigation, puis il la confronte avec les cérémonies relatives au recouvrement des chaumières. La première comparaison est géographiquement limitée à une seule région – celle de la sierra de Lima –, tandis que la seconde considère les ethnographies d’autres régions de langue quechua afin de pallier le manque de données existantes sur le sujet. Lorsqu’elle est intégrée de cette façon au cycle rituel annuel, la herranza se révèle être une forme de rite de passage dont les multiples dimensions symboliques sont ici explorées.
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Sauvage‑Cerisier, Manon. "S’isoler pour honorer : l’exemple des sanctuaires de Déméter dans le Péloponnèse". Matérialiser la frontière, n. 3 (14 dicembre 2020): 43–53. http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.389.

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Abstract (sommario):
Les sanctuaires de Déméter dans le Péloponnèse sont le théâtre de rites dont la nature nécessite souvent d’être dissimulés. Ainsi, il est possible de déterminer l’existence de plusieurs niveaux de frontières protégeant ces cérémonies secrètes. L’installation de sanctuaires éloignés des centres urbains constitue une première façon de s’isoler et permet, de surcroît, d’exploiter les caractéristiques naturelles du terrain ; la pente d’une montagne, les bois ou encore les grottes offrent une couverture supplémentaire. Les délimitations peuvent tout autant être architecturées : de hauts murs d’enceinte interviennent parfois pour protéger les lieux de culte en contexte urbain, ces derniers peuvent aussi être agrémentés d’un bois pour encore plus de discrétion. Il existe également des bâtiments conçus pour abriter les rites qui ne doivent pas être vus ou entendus de certaines catégories de personnes (hommes ou non-initiés). Enfin, plusieurs éléments doivent même être cachés des fidèles : il est parfois interdit à quiconque de voir la statue de culte, d’assister au sacrifice ou d’accéder à une certaine partie du lieu de culte. Par conséquent, la frontière revêt divers rôles au sein des cultes de Déméter et divise la population des fidèles en différentes catégories.
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Boisvert, Mathieu. "Comptes rendus / Reviews of books: Cérémonies funéraires et postfunéraires en Inde. La tradition derrière les rites". Studies in Religion/Sciences Religieuses 30, n. 3-4 (settembre 2001): 447–48. http://dx.doi.org/10.1177/000842980103000333.

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Aubrée, Marion. "Un néo-pentecôtisme brésilien parmi les populations immigrées en Europe de l’Ouest". Anthropologie et Sociétés 27, n. 1 (2 ottobre 2003): 65–84. http://dx.doi.org/10.7202/007002ar.

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Abstract (sommario):
Résumé Le néo-pentecôtisme est l’une des formes récentes d’un type de religiosité néo-évangélique émotionnelle qui s’est développée en Amérique Latine durant tout le XXe siècle. Le Brésil a joué un rôle important dans la dynamique de ce mouvement, et il est le berceau de l’Église Universelle du Royaume de Dieu (Igreja Universal do Reino de Deus) qui est considérée par divers chercheurs comme le paradigme de la transnationalisation du néo-pentecôtisme latino-américain. Fondée à Rio en 1977, l’IURD s’est implantée en Amérique, en Afrique, au Japon et dans plusieurs pays d’Europe de l’Est comme de l’Ouest. Dans cette dernière région, si l’on excepte le Portugal, elle a peu de succès chez les nationaux mais est rejointe en masse par les populations immigrées, en particulier les Portugais et Africains de l’Ouest à Paris, Afro-Caribéens et Pakistanais à Londres. Après avoir présenté les différents éléments qui permettent de définir les catégories de pentecôtisme et néo-pentecôtisme, ce texte présente rapidement quelques cérémonies de l’IURD et analyse les stratégies rituelles spécifiques qui sont utilisées pour recruter des fidèles ainsi que les raisons probables d’une telle expansion pour un univers symbolique relativement différent des traditions culturelles de ses nouveaux adeptes.
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Ansart, Olivier. "Les rites et la question du droit: la construction d'une Nature dans le confucianisme en Chine et au Japon". Ebisu 7, n. 1 (1994): 97–148. http://dx.doi.org/10.3406/ebisu.1994.913.

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Grosse, Christian. "Des « rites de passage » avant van Gennep : les cérémonies funéraires dans les traités antiquaires et « ethnographiques » de la première modernité (xvie-". Anabases, n. 23 (2 maggio 2016): 99–114. http://dx.doi.org/10.4000/anabases.5599.

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van Der Aalst, A. J. "De Spiritualiteit van Het Christelijk Oosten". Het Christelijk Oosten 43, n. 1 (12 novembre 1991): 4–20. http://dx.doi.org/10.1163/29497663-04301003.

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Abstract (sommario):
La spiritualité de l'Orient chrétien: IV La spiritualité liturgique Dans ce quatrième article l’auteur essaie d’esquisser la relation entre la liturgie et la vie spirituelle. Puisque Ie sujet est très vaste, il en relève un point central: Ie symbolisme dans la liturgie. Le symbolisme se manifeste dans l’espace et Ie temps. Il est clair dans l’architecture de l’église, dans l’art des icönes, comme aussi dans Ie temps, ou Ie passé et l’avenir sont rendus présents en célébrant les mystères. Les personnes et les choses ont également un sens symbolique. Les célébrants habillés de leurs vêtements liturgiques forment un ordre sacré, une hiérarchie. Nombreux sont les détails qui viennent rehausser la splendeur des cérémonies et qui aident à représenter Dieu et Ie Christ parmi les hommes et Ie ciel surterre. Ce symbolisme est emaciné dans une société sacrale. Pourtant, on constate un paradoxe: d’un côté la création et les créatures, sortant de la main de Dieu, sont regardées commes bonnes, mais d’autre part elles doivent être bénies et consacrées sans cesse. Une valeur spéciale est attribuée à la bénédiction et à la consécration. Les mystères ou sacrements, comme beaucoup de rites et de prières du rituel, sont des instruments pour rendre Ie sacré présent. Mais ce monde sacramentel s’affaiblit lentement. Le changement de culture a une répercussion sur Ie culte. Reconnaître que Dieu est à l’oeuvre par des instruments humains et matériels, c’est essentiel pour la structure sacramentelle du christianisme. Mais on peut interpréter ce fait d’une façon moins cultuelle. En accentuant moins l’union dans Ie mystère au profit de l’imitation du Christ, on pourrait présenter un christianisme plus convaincant et contagieux.
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Konan, Akissi Amandine, Bouhi Sylvestre Tchanbi e Kando Amédée Soumahoro. "« Avant ce sont les coqs qui chantaient, Désormais les poules ont commencé à chanter. » La participation grandissante des femmes aux dépenses et aux rituels funéraires parmi les Gouro de Côte d'Ivoire". Mande Studies 24, n. 1 (2022): 157–73. http://dx.doi.org/10.2979/mnd.2022.a908474.

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Résumé: Cette contribution analyse les dépenses funéraires des femmes Gouro dans le Centre Ouest de la Côte d'Ivoire. Les ressources économiques provenant de la commercialisation de produits vivriers ont permis au leadership féminin associatif d'établir une relation de concurrence entre sexes aboutissant à la transgression de normes sociales et culturelles par des femmes désignées « femmes battantes » dans les espaces masculins. Leur prise de pouvoir se fonde sur les contributions financières aux funérailles qui étaient auparavant uniquement à la charge du groupe agnatique du défunt ou de la défunte. Cette étude examine les différentes formes de légitimation du repositionnement statutaire des femmes lors des cérémonies funéraires en pays Gouro. Pour ce faire, nous avons mobilisé l'ethnographie comme méthode d'observation et comme production de sens de la transformation des rapports de sexes à l'occasion des rites funéraires. ABSTRACT: This paper analyzes the funeral expenditures of Gouro women in west central Côte d'Ivoire. The economic resources derived from the commercialization of food products have created a competitive relationship between the sexes, leading to the transgression of social and cultural norms by women called "fighting women" in male spaces. Their empowerment is based on financial contributions to funerals that were previously the sole responsibility of the agnatic group. This study examines the different forms of legitimization of Gouro women's changing status in funeral ceremonies. To do so, we have relied on ethnography as a method of observation, and as a means of producing meaning about the transformation of gender relations.
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Konan, Akissi Amandine, Bouhi Sylvestre Tchanbi e Kando Amédée Soumahoro. "« Avant ce sont les coqs qui chantaient, Désormais les poules ont commencé à chanter. » La participation grandissante des femmes aux dépenses et aux rituels funéraires parmi les Gouro de Côte d'Ivoire". Mande Studies 24, n. 1 (2022): 157–73. http://dx.doi.org/10.2979/mande.24.1.09.

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Abstract (sommario):
Résumé: Cette contribution analyse les dépenses funéraires des femmes Gouro dans le Centre Ouest de la Côte d'Ivoire. Les ressources économiques provenant de la commercialisation de produits vivriers ont permis au leadership féminin associatif d'établir une relation de concurrence entre sexes aboutissant à la transgression de normes sociales et culturelles par des femmes désignées « femmes battantes » dans les espaces masculins. Leur prise de pouvoir se fonde sur les contributions financières aux funérailles qui étaient auparavant uniquement à la charge du groupe agnatique du défunt ou de la défunte. Cette étude examine les différentes formes de légitimation du repositionnement statutaire des femmes lors des cérémonies funéraires en pays Gouro. Pour ce faire, nous avons mobilisé l'ethnographie comme méthode d'observation et comme production de sens de la transformation des rapports de sexes à l'occasion des rites funéraires. ABSTRACT: This paper analyzes the funeral expenditures of Gouro women in west central Côte d'Ivoire. The economic resources derived from the commercialization of food products have created a competitive relationship between the sexes, leading to the transgression of social and cultural norms by women called "fighting women" in male spaces. Their empowerment is based on financial contributions to funerals that were previously the sole responsibility of the agnatic group. This study examines the different forms of legitimization of Gouro women's changing status in funeral ceremonies. To do so, we have relied on ethnography as a method of observation, and as a means of producing meaning about the transformation of gender relations.
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Trenson, Steven. "Une analyse critique de l'histoire du Shōugyōhō et du Kujakukyōhō : rites ésotériques de la pluie dans le Japon de l'époque de Heian". Cahiers d'Extrême-Asie 13, n. 1 (2002): 455–95. http://dx.doi.org/10.3406/asie.2002.1191.

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Mahdavi Zadeh, Mojgan. "La mise en scène des pièces de théâtre européennes par Ali Raffi en Iran et Circulation des savoirs entre la France et l’Iran". ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, n. 5 (13 febbraio 2020): 6–20. http://dx.doi.org/10.29173/af29394.

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Abstract (sommario):
Résumé Des traces de diverses cérémonies plutôt rituelles datant de l'Antiquité prouvent la fertilité de l'histoire du théâtre persan. Il y a eu même à cette époque des échanges culturels entre l'Orient et l'Occident. Au cours des siècles, les rites traditionnels ont cédé la place à des genres de théâtre populaire tels les farces, les comédies, les marionnettes, les imitations mimétiques, …etc. Puis, des conteurs se sont mis à réaliser les récits à épisodes basés sur des histoires épiques, de divers romans picaresques, des lamentations pour les Imams martyrisés, sur des places publiques ou dans des maisons de thé. Ce n'est qu'au XIXe siècle que le théâtre moderne d'inspiration occidentale a été créé par les témoignages des étudiants envoyés en Europe pour se spécialiser en diverses technologies occidentales. En 1886, une première salle de théâtre a été construite à l'École Polytechnique de Téhéran (Dâr Ol- Fonûn), où la traduction du Misanthrope de Molière, y a été mise en scène en 1889. Sous le règne des Pahlavis, fut créé un théâtre nationaliste, se référant au passé préislamique de l'Iran. Puis, vu que les iraniens diplômés en études théâtrales et cinématographiques des universités, des grandes écoles et des conservatoires européennes se sont mis à traduire les pièces de théâtre étrangères, les pièces ont pris un air socio-politique. Sous la Révolution islamique, le théâtre a vécu plusieurs périodes de détente et de tension. Et enfin, depuis 1997, une autorisation de la mise en scène des pièces de théâtre a été émise de nouveau. Ali Raffi, iranien contemporain, dont la dernière réalisation théâtrale à Téhéran date du mois de Janvier 2019, a su exposer l'essentiel de sa conception esthétique par le mépris total des conventions scéniques mises en pratique en Iran. L'esthétique de ses pièces a suscité des discussions sans nombre. Il a toujours privilégié la couleur, le mouvement et l'intuition. Il a eu une influence considérable sur la mentalité du peuple iranien par la mise en scène des pièces de théâtre françaises ou européennes traduites vers le français. Notre problématique consiste à mettre en évidence les échanges interculturels qui se sont effectués entre l'Iran et la France grâce à la mise en scène des pièces de théâtre européennes en Iran et de voir l'innovation créative et le rôle d'Ali Raffi dans l'enrichissement de ces transferts culturels et artistiques. Notre but est de mettre en relief la circulation des savoirs, issue de la mise en scène des pièces de théâtre françaises par les réalisateurs iraniens, en particulier par Ali Raffi en Iran, de démontrer l'omniprésence des grands auteurs dramatiques, tragiques et comiques français dans ce pays, et de dévoiler que les élites intellectuelles iraniennes vivent en symbiose permanente avec ces éminents auteurs français. Mots clés: Circulation des savoirs France-Iran, Échanges culturels, Mise en scène, Ali Raffi, Pièces de théâtre européennes, Francophonie, Conception esthétique
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Hautecoeur, Jean-Paul. "Variations et invariance de l'Acadie dans le néo-nationalisme acadien". Articles 12, n. 3 (12 aprile 2005): 259–70. http://dx.doi.org/10.7202/055537ar.

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Abstract (sommario):
On se représente trop souvent l'Acadie comme une société «monolithique», «unidimensionnelle», «non pluraliste», un peu comme la survivance d'un antique modèle de société hiérarchique où la transmission des traditions est rigoureusement contrôlée par des grands-prêtres ou des dignitaires initiés par la « patente », et méthodiquement rythmée par les rites et cérémonies du calendrier occulte. Une telle image constituée par analogie ressemble trop au type-idéal pour rendre compte de cette formation historique originale qu'est la société acadienne. Elle est aussi trop conforme, par certains côtés, aux canons d'une idéologie unitariste pour ne pas être soumise à la critique. Cette première représentation à laquelle se rattachent de nombreuses variations est très optimiste dans le sens où elle constitue un objet fini, non contradictoire, non problématique : la société existe en soi, tel est son modèle. Une deuxième représentation, moins « savante » que l'autre, consiste à définir l'Acadie comme un souvenir et à ne voir en l'Acadie actuelle qu'un terrain vague parsemé des débris d'une histoire malheureuse. Il resterait quelques ilôts acadiens au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Ecosse où on parle encore un français archaïque et où l'on continue à filer et à chanter, comme dans la chanson. Ce sont eux qui justifiaient que la province du Nouveau-Brunswick se déclare bilingue alors qu'elle était renommée pour son loyalisme à la couronne britannique... Cette image, trop pessimiste, à laquelle se rattachent aussi de nombreuses variations, a des relents de l'idéologie anglo-canadienne intégratrice qui nie à l'autre toute existence autonome pour, au mieux, en faire une originalité « culturelle » à préserver. Acadie traditionnelle, Acadie folklorique : deux stéréotypes — on pourrait en trouver d'autres — dont on découvre vite l'étroite filiation avec des formations idéologiques connues et qui ont tous deux pour conséquence de surdéterminer au départ le terrain sémantique ou de brouiller momentanément le champ d'investigation au « regard prolongé » (celui du sociologue, journaliste, homme politique, etc.). La société acadienne est en soi une certaine configuration de rapports sociaux dont il ne sera pas question dans cet article. Elle existe aussi pour soi dans les diverses théories qu'en ont les acteurs et groupements d'acteurs sociaux. Contrairement à la théorie ou idéologie dominante, j'emploie théories au pluriel et c'est précisément de l'aventure de l'idéologie contestataire de l'idéologie officielle qu'il sera question. L'existence même du discours discordant d'intellectuels et leaders étudiants détruit la théorie simplificatrice selon laquelle la société serait un consensus et ses leaders nationaux les « chefs naturels » incontestés. Il existe deux discours visant à définir les finalités et objectifs de la société globale qui ont en commun une grande cohérence et la même prétention à faire l'unanimité des consciences. La différence est que l'un vise à protéger et perpétuer une certaine lecture de la tradition et une certaine pratique de la culture, et comme tel il a la légitimité, alors que l'autre vise à changer lecture et pratique de la culture pour donner à la société un nouveau destin. Celui-ci n'a pas comme dans d'autres formations sociales la légitimité que pourrait lui conférer l'affiliation à un club, un parti, un syndicat ou tout autre groupement organisé et reconnu : il est tenu pour sauvage, quand il n'est pas tout simplement nié comme tel. Mon propos est le suivant : observer et comprendre le rapport des jeunes idéologues au signe Acadie ou Acadien, en suivre l'itinéraire pour retracer la genèse du projet collectif tout neuf de l'annexion de « L'Acadie » au futur Québec indépendant. Le contenu proprement dit de ce projet m'importe peu ; m'intéresse sa genèse en rapport avec le signe d'identité collective. Mon hypothèse était la suivante : il fallait que les étudiants conservent le signe, qu'ils lui donnent un sens explicite et positif pour faire entrer leur discours dans l'histoire ou pour lui donner des chances objectives de devenir collectif. Mieux : afin que le discours gagne la cohérence nécessaire pour entrer en concurrence avec le discours traditionnel, il devait faire du signe Acadie son centre. Le symbole primordial devait assurer la liaison entre l'ancien et le nouveau : il devait continuer d'être le lieu de l'échange entre le caché et le manifeste, entre la langue et la parole, entre la culture et les traditions. J'ai distingué, dans l'évolution du rapport des nouveaux idéologues au signe Acadie, trois moments qui reproduisent à peu de choses près trois étapes successives de la praxis collective des étudiants de l'Université de Moncton : le Ralliement de 1966, les «événements» de '67-'69, la «répression» de '70-'71. Je n'ai retenu pour ce travail que les exemples les plus significatifs, sélectionnés à partir d'un fichier systématique de la production idéologique acadienne de ces dernières années. Beaucoup de documents annexes ou connexes ne seront pas reproduits ici.
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Noel Kaze, Beaudelaire. "L’ECONOMIE FUNEBRE ET FUNERAIRE EN PAYS BAMILEKE (OUEST CAMEROUN): FACTEUR DE NOUVELLES DYNAMIQUES SOCIALES". EPH - International Journal of Humanities and Social Science 6, n. 4 (5 ottobre 2020). http://dx.doi.org/10.53555/eijhss.v6i4.106.

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Abstract (sommario):
L’intrusion des nouvelles visions, des manières de voir le monde à Travers des canons du christianisme et autres avatars tels la mondialisation et le multiculturalisme en pays bamiléké ont notoirement altéré la réalité culturelle de ces derniers. Le deuil, les funérailles et bien d’autres rites locaux ont évolués prenant tantôt des allures de discrédit, tantôt de rayonnement, relatif pour la majorité aux grandes mutations sociales d’après les indépendances surtout d’un point de vu d’actualité. Ces nouvelles manières de faire on engendrer un important flux économiques autour des pratiques funèbres et funéraires bamiléké. La question centrale ici mise en exergue est celle de savoir: comment les pratiques funèbres et funéraires constituent-elles de nouvelles opportunités économiques chez les Bamiléké de l’Ouest Cameroun? Dès lors, La méthodologie de cette analyse est sou tendu par l’exploitation documentaire ayant permis de saisir la littérature sur la question. Les enquêtes ethnologiques et anthropologiques de terrain auprès de personnes ressources ont permis la collecte des données empiriques sur les sites même de ces pratiques qui se présente comme fleuron d’une économie en plein essor chez les Bamiléké.à terme, Il s’est avéré que les cérémonies funèbres et funéraires bamiléké sont aujourd’hui des émulateurs à n’en plus douter d’une économie sans cesse croissante. Outre, cette neo-economie mortuaire s’adosse sur des échanges commerciales de natures variées tel que les petits commerces, les trafics routiers, les prestations de services (logistiques) et autres tractations financières non moins ressente qui participent au renforcement de ce point de l’industrie mortuaire en pays bamiléké aujourd’hui plus qu’hier. D’ailleurs, il faut dire que cette économie, non sans empiéter la forme de ces cérémonies d’antan participe de leurs revitalisations dans ces territoires pour la majorité rurales
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Andía, Juan Javier Rivera. "COMPARAÇÕES ENTRE A HERRANZA, A “FESTA DA ÁGUA” E A “ZAFA-CASA” NOS ANDES". Interethnic@ - Revista de Estudos em Relações Interétnicas 19, n. 1 (1 agosto 2015). http://dx.doi.org/10.26512/interethnica.v19i1.15343.

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Abstract (sommario):
Comparaison entre la herranza, la « fête de l’eau » et la zafa-casa dans les AndesJuan Javier Rivera Andía Le but de cet article est de comparer le rituel andin qui entoure le marquage du bétail (herranza) avec d’autres rites essentiels du cycle annuel de la région. L’auteur compare tout d’abord la herranza avec les rituels liés au nettoyage des canaux d’irrigation, puis il la confronte avec les cérémonies relatives au recouvrement des chaumières. La première comparaison est géographiquement limitée à une seule région – celle de la sierra de Lima –, tandis que la seconde considère les ethnographies d’autres régions de langue quechua afin de pallier le manque de données existantes sur le sujet. Lorsqu’elle est intégrée de cette façon au cycle rituel annuel, la herranza se révèle être une forme de rite de passage dont les multiples dimensions symboliques sont ici explorées.Mots clés : Andes, Pérou, rituel, religion, cosmologie Some Comparisons Between the Cattle Branding Ritual, the “Fiesta del Agua” and the “Zafa-casa” in the AndesJuan Javier Rivera Andía This article intends to compare the Andean cattle branding ritual (“herranza”) with other rites that are a key component of the annual cycle in this region. First, the compares the “herranza” with the rituals around the cleaning of irrigation cannals, then he contrasts it with the celebrations around the house rethatching. Geographically, the first comparison will be restricted to the same area (Lima highlands), while the second one will consider ethnographies from other Quechua-speaking regions, because of data availability. Finally, framed in this way on its annual ritual cycle, the “herranza” will emerge as a rite of passage whose various symbolic dimension this article will intend to explore.Keywords: Andes, Peru, Rite, Religion, Cosmology Comparaciones entre la herranza, la “fiesta del agua” y la “zafa-casa” en los AndesJuan Javier Rivera Andía Este artículo intenta comparar un ritual ampliamente difundido en los Andes, la herranza, con otros ritos que constituyen momentos claves en el ciclo anual de esta región. En primer lugar, establezco un contraste entre la herranza y los rituales ligados a la limpieza de los canales de riego (conocidos como “champería” o “limpia acequia”, entre otras denominaciones). A continuación, confronto los datos de la herranza con aquellos relacionados al techado ritual de las casas (usualmente llamado “zafa casa” o “wasichakuy”). Geográficamente, la primera comparación está limitada a la misma región de la cual provienen nuestros datos etnográficos de la herranza (la sierra de Lima, Perú). En cambio, la segunda comparación considerará etnografías provenientes de otras regiones de lengua quechua en el Perú, debido a la actual escasez de datos al respecto. Integrándola, pues, en este marco comparativo con ritos cruciales para las actividades económicas y para la formación de las familias, intentaremos delinear la herranza como un rito de paso cuyas múltiples dimensiones simbólicas serán exploradas en este artículo.Palabras clave : Andes, Perú, Ritual, Religión, Cosmologías
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Béchacq, Dimitri, e Hadrien Munier. "Vodou". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.040.

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Abstract (sommario):
Le vodou haïtien compte parmi les religions issues des cultures afro-américaines telles que les différentes formes de candomblé au Brésil, la santería et le palo monte à Cuba ou encore le culte shango à Trinidad. Le vodou partage certains aspects avec ces autres religions nées de la traite et de l'esclavage des Africains, façonné par l'histoire singulière de la société dans laquelle il est s'est formé. Tout au long de l’histoire haïtienne, le vodou a été marqué par des rapports étroits avec le champ politique et religieux. Entre mythe et histoire, à la fois réunion politique et religieuse, la cérémonie vodou du Bois-Caïman est passée à la postérité comme l’événement initiateur de l’indépendance d’Haïti proclamée le 1er janvier 1804. Nées dans le contexte esclavagiste de la colonie française de Saint-Domingue, les pratiques alors assimilées au vodou (fabrication de poisons, danses, assemblées nocturnes, etc.) étaient interdites. Au XIXe siècle, différentes constitutions privilégièrent le catholicisme au détriment du vodou jusqu’au Concordat de 1860 entre Haïti et le Vatican. Si certains dirigeants haïtiens comptaient dans leurs réseaux des serviteurs du culte, d’autres soutenaient les campagnes antisuperstitieuses menées par le clergé. L’Occupation américaine d’Haïti (1915-1934) provoqua un sursaut nationaliste : l’indigénisme et le mouvement ethnologique et folklorique placèrent alors les classes populaires et le vodou au centre d’une refondation culturelle, ce qui fut ensuite récupéré par François Duvalier avec le noirisme (Béchacq 2014a). En 1986, des officiants et des temples vodou furent attaqués à la suite de l’exil de Jean-Claude Duvalier du fait de leur relation étroite, avérée ou supposée, avec la dictature. Deux premières associations de défense et de promotion du culte, Zantray et Bodè Nasyonal furent crées. Un mouvement d’institutionnalisation du vodou se développa dans les années 1990 par des militants souhaitant représenter les pratiquants dans les instances publiques nationales. En 2003, le culte fut reconnu par décret comme « religion à part entière » et en 2008, une fédération d’associations vodou désigna son représentant, Max Beauvoir, comme « Guide Suprême du Vodou » et défenseur du culte contre ses détracteurs (Béchacq 2014b). Le catholicisme, les églises protestantes et plus récemment l’islam entretiennent des relations complexes avec le vodou. Son influence est combattue par les autorités religieuses, notamment protestantes, qui appellent à la lutte contre le vodou, poursuivant ainsi l’œuvre des campagnes antisuperstitieuses catholiques (fin XIXe-milieu XXe siècles). Parallèlement, plusieurs religions peuvent être représentées dans une même famille ; l’adhésion au vodou, comme aux autres cultes, peut constituer une étape dans un parcours religieux, d’autant qu’il existe des similitudes entre vodou et pentecôtisme (glossolalie, transe, etc.). Le vodou est réputé pour être fréquenté majoritairement par des femmes, comme espace de tolérance pour les homosexuels et il existe plusieurs niveaux de rapport au vodou, du client non initié au pratiquant assidu. Si ce culte a pendant longtemps symbolisé la bipolarité socioculturelle haïtienne (pauvres/riches, noirs/mulâtres, campagne/ville, créole/français, etc.), toutes les couches sociales sont aujourd’hui représentées dans le vodou. Les serviteurs sont organisés en familles spirituelles sous l'autorité charismatique d'un oungan ou d'une manbo et liés par une filiation initiatique. De ce fait, et par son mode de transmission principalement oral, le vodou haïtien connaît une grande variabilité d'un groupe à l'autre. Une diversité régionale du vodou se manifeste dans les identités des esprits, les rites, les chants, les rythmes musicaux, la liturgie, l’initiation et dans le rapport à la possession, certains rituels régionaux valorisant des transes plus expressives. Enfin, selon qu'il soit pratiqué en ville, et surtout à Port-au-Prince, ou en milieu rural, lieu de nombreux pèlerinages, le vodou affiche des différences importantes affectant le rapport aux entités, la sophistication des cérémonies ou le rapport à l'environnement. Cette diversité amène certains auteurs à considérer qu'il existe plusieurs vodou (Kerboull 1973). L’essentiel de la liturgie est issu de rites de possessions africains, origine que l’on retrouve dans les noms des lwa (Legba, Danbala, Ogou…), dans ceux de leurs familles ou nanchon (nation), ou encore dans ceux des rituels (Rada, Nago, Kongo...) (Métraux 1958). Pendant la période coloniale, les pratiquants – principalement des esclaves mais également, à différents degrés d’implication, des colons ou des « libres de couleur » – se sont aussi appropriés le catholicisme populaire européen par l'usage des chromolithographies et des prières. Les deux autres influences sont la magie – européenne, diffusée par la circulation de livres, et plusieurs variantes africaines – et la franc-maçonnerie. Par ailleurs, le contact des esclaves avec les premiers habitants de l’île et l’usage d’artefacts taïno (haches polies, céramiques) dans le vodou étant avérés, certains intellectuels y voient la preuve d’une influence sur le culte. L'ensemble de ces influences, sans cesse retravaillées par les dynamiques sociales, a fait du vodou une « religion vivante » (Bastide 1996) parmi les religions afro-américaines. Le vodou fait partie intégrante du pluralisme médical haïtien, aux côtés de la phytothérapie populaire, des doktè fey (docteurs feuilles), de la biomédecine et de certaines églises évangéliques (Brodwin 1996 ; Vonarx 2011 ; Benoît 2015). Pour effectuer leurs trètman (traitements), les praticiens vodou recourent systématiquement à leurs entités, dépositaires du savoir thérapeutique. Les rituels de guérison et les séances de consultation prennent en charge les maux physiques, relationnels et spirituels et comprennent des bains, des prières, des boissons et/ou la confection d'objets magiques (Munier 2013). Ils sollicitent parfois des lieux spécifiques (église, carrefour, cimetière) et des éléments de l’espace naturel (rivière, mer, arbre, grotte). Ces pratiques visent à intégrer le patient dans des collectifs composés d'entités et de pratiquants, reliés entre eux par des échanges mutuels témoignant de la dimension holistique du vodou qui associe étroitement médecine et religion, environnement social et naturel. La diaspora haïtienne – en Amérique du Nord, dans la Caraïbe et en Europe francophone – s’est formée dans les années 1960 et est actuellement estimée à 2 millions de personnes. Ces communautés d’Haïtiens, leurs descendants et leur pays d’origine sont reliés par des réseaux familiaux, économiques, politiques et religieux, dont ceux du vodou (Richman 2005). Ce dernier s’est adapté à de nouveaux environnements urbains et participe de cette dynamique transnationale (Brown Mac Carthey 2001) ; Béchacq 2012). Du fait de son fort ancrage dans la culture haïtienne et de son absence de prosélytisme, le vodou est surtout pratiqué dans ces nouveaux espaces par des Haïtiens et leurs descendants, ainsi que par des Caribéens et des Africains-Américains mais assez peu par d'autres populations.
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Gagnon, Éric. "Vieillissement". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.062.

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Abstract (sommario):
L’anthropologie de la vieillesse a contribué à remettre en question des idées reçues et plusieurs préjugés tenaces, dont celle voulant que les sociétés modernes déconsidèrent la vieillesse et abandonnent leurs vieux, alors que les sociétés dites traditionnelles valorisent leur ainés et leur font une place honorable. Elle a écarté certaines images d’Épinal, comme l’Ancêtre trônant au milieu de sa famille, ou des clichés, comme le vieillard abandonné à l’hospice. Elle a appelé à se méfier de la mémoire toujours sélective et parfois enjoliveuse («Le bon vieux temps»). Elle a rappelé qu’il faut distinguer les représentations des comportements, que le prestige accordé à la vieillesse ne se traduit pas toujours en un véritable respect ou une réelle affection, et cache parfois des conditions de vie matérielle difficiles. Elle a surtout montré que le vieillissement n’est pas un phénomène purement biologique, partout identique, et qu’il est extrêmement variable d’une société, d’un groupe, d’une classe ou d’un genre à l’autre. Cette fonction critique, l’anthropologie a pu l’exercer au moyen de ce qui demeure son principal outil théorique et méthodologique : la comparaison. En comparant deux communautés au sein d’une même société, un même groupe avant et après des bouleversements historiques, deux culture très éloignées l’une de l’autre, la condition des ainés dans un pays avec celle des ainés originaires du même pays mais ayant migré dans un autre pays, ou encore différentes communautés au sein d’une même diaspora, elle a montré la diversité des conditions et des expériences, le poids des facteurs culturels, politiques ou économiques sur le vieillissement (Solokovski 1990). L’étude de cette diversité a non seulement permis de mieux comprendre le vieillissement, mais également de nourrir la réflexion touchant quatre grandes questions de l’anthropologie, que sont l’articulation du biologique et du social, les échanges familiaux, ce qui fait une communauté et le rôle des sciences et des techniques. Sur la première question, l’anthropologie du vieillissement a montré comment les transformations du corps sont étroitement déterminées par les conditions de vie, comment les changements biologiques, leur compréhension et leur perception, la manière dont les individus en font l’expérience et les réponses que les collectivité y apportent, sont façonnés par la culture, les normes sociales, l’organisation économique et les politiques publiques. L’étude de Margaret Lock (1993) sur la ménopause au Japon et en Amérique du Nord est à cet égard exemplaire. La sénescence, c’est-à-dire la dégradation des capacités générales de l’organisme biologique avec l’avancée en âge, connaît d’importantes variations. Non seulement la définition et les critères du vieillissement varient selon les milieux, les époques, les secteurs d’activité ou le genre (nombre d’années vécues, altérations physiques, incapacités, apparence physique, naissance de petits-enfants…), mais également ce qui est tenu pour un vieillissement normal ou souhaitable, le statut des personnes âgées, leurs obligations et leurs rôles. Si les conditions sociales d’existence ralentissent ou accélèrent le vieillissement biologique, elles donnent aussi à ce dernier une importance et une signification, qui font varier jusqu’aux formes d’expression de la douleur, de son histoire et de son identité (Keith 1985; Fry 2010). L’étude du vieillissement met en lumière la «biologie locale», le façonnement du corps propre à une culture ou un groupe. Sur la seconde question, l’étude anthropologique de la vieillesse s’est beaucoup intéressée aux échanges intergénérationnels, ainsi que le statut et la protection dont les personnes âgées bénéficient. Goody (1976) s’est efforcé de montrer comment les systèmes de parenté et de résidence, les modes transmission et le type d’économie favorisent ou non la dépendance des ainés envers les plus jeunes pour leur subsistance, le contrôle sur les biens, la possibilité de continuer d’habiter la demeure familiale et l’autorité qu’ils continuent d’exercer. La perspective permet non seulement la comparaison entre des sociétés d’aires culturelles très éloignées, mais l’articulation des questions anthropologiques touchant le vieillissement à celles liées à la famille et à l’économie, ainsi qu’à des enjeux politiques contemporains touchant les soins et la «prise en charge» des personnes vieillissantes (Buch 2015). Dans une perspective plus historique, on s’est intéressé aux impacts de l’allongement de la durée de vie, des transformation de l’économie (salariat, travail des femmes), des mutations de la famille, de l’essor des politiques de protection sociale (retraite, pension, allocation) et des migrations, sur les solidarités familiales, la sécurité et l’autonomie des ainés (Fry 2010). Les recherches sur les grands-parents et les transformations de leur rôle et statut (Attias-Donfut et Segalen 2007) ont alimenté l’étude des échanges et de la circulation des biens et des services au sein des familles, mais également de la transmission de la mémoire et du patrimoine familial, matériel et symbolique. Sur la troisième question, les anthropologues se sont intéressés à diverses communautés résidentielles d’ainés, que ce soit les grandes habitations et les foyers, les établissement de soins de longue durée (Hendersen et Vesperi 1995), ou encore les quartiers et villages sécurisés (gated communities), qui regroupent exclusivement ou en forte majorité des ainés. Ils se sont interrogés sur l’homogénéité de ces populations, le fonctionnement et les rites de passage propres à ces regroupements, les hiérarchies, les clivages et l’exclusion par delà le discours égalitariste, les relations avec le monde «extérieur» (les familles des résidents et la société dans son ensemble), en somme: la continuité et la discontinuité de ces communautés. Ces travaux ont nourri la réflexion sur ce qui fait une communauté en général (territoire, sentiment d’appartenance et organisation sociale), et sur la formation de communautés spécifiques de personnes âgées et le contexte dans lequel elles émergent (Keith 1985). Enfin, sur la question la place des savoirs scientifiques et techniques dans les sociétés contemporaines, les anthropologues ont porté une grande attention aux phénomènes de médicalisation et de professionnalisation du vieillissement. Celui-ci est en effet l’objet de savoirs et d’expertises qui en changent la signification et la réalité. Les transitions et transformations liées à l’âge sont devenues des problèmes, qu’il appartient à la médecine et à d’autres disciplines (la gérontologie au premier chef) de guérir, de soigner ou de «gérer» (Corin 1982). Ces interventions visent la préventions des maladies et des incapacités (gestion des risques), l’évaluation des «déficits» (physiques ou cognitifs) au moyen d’instruments diagnostics et de protocoles standardisés, pour déterminer les services ou l’aide dont la personne âgée a besoin, l’aménagement des espaces, la distribution des services spécialisés, les critères d’admission en institutions, etc. (Kaufmann 1994; Lock 1993). Ces interventions et les politiques qui les fondent, changent non seulement la façon dont le vieillissement est conçu et perçu dans une société, mais la manière dont les personnes le vivent (identité, image de soi, conduites, attentes). La vieillesse est redéfinie autour des catégories d’autonomie, de fragilité, d’activité et de dépendance – en Occident du moins – qui changent le statut de la personne âgée, sa place, ses relations aux autres, les critères culturels du vieillissement «normal» ou «réussi». Les personnes âgées sont largement considérées comme des patients et des usagers de services, mais aussi comme un marché pour les biotechnologies qui promettent un ralentissement du vieillissement. L’étude des savoirs et pratiques touchant plus spécifiquement les démences (ex : Alzheimer), du point de vue des savoirs et des pratiques professionnelles (Leibing et Cohen 2006) ou sous un angle plus expérientiel (Taylor 2008), est révélatrice de la manière dont une société conçoit la «personne», ce qui fait son «humanité» ou son identité, et comment, selon le contexte culturel et institutionnel, cette personne et cette humanité se défont ou se maintiennent. Ces travaux rejoignent une riche tradition de recherche sur la construction sociale de la «personne» et du «soi», particulièrement de la personne âgée (Lamb 1997 pour un exemple). Ces quatre grandes questions sont liées entre elles. La médicalisation et la professionnalisation renvoient à l’articulation du biologique et du social, ainsi qu’au soutien et à la prise en charge des personnes âgées; la question des communautés est indissociable des solidarités familiales. Le vieillissement est un phénomène aux multiples facettes, touchant toutes les dimensions de l’existence. Il n’est d’ailleurs compréhensible que mis en relation avec à un ensemble de réalités qui le débordent, et auxquelles, en retour, il apporte un éclairage : la famille, l’économie, la démographie, les soins de santé, les politiques, l’imaginaire social et les valeurs, la personne comme construit culturel. Si, comme le soutient Simone de Beauvoir (1970), on se découvre vieux dans le regard des autres, il reste à comprendre ce regard : les représentations, les normes, les savoirs et les pratiques qui le cadrent et l’orientent, ceux qui posent ce regard et les contextes dans lesquels il est posé, ainsi que les comportements et les expériences que ce regard induit.

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