Letteratura scientifica selezionata sul tema "Ressemblance spirituelle"

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Articoli di riviste sul tema "Ressemblance spirituelle"

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Szram, Mariusz. "Od obrazu do podobieństwa Bożego. Dynamiczna koncepcja antropologii teologicznej w II-III wieku (stanowisko Ireneusza i Orygenesa)". Vox Patrum 42 (15 gennaio 2003): 357–76. http://dx.doi.org/10.31743/vp.7165.

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Abstract (sommario):
L'article presente les questions fondamentales de l'anthropologie patristique aux IIe et IIIe siecles: les traits caracteristiques des notions de l'image de Dieu et de la ressemblance de Dieu, et la relation entre elles. L'auteur compare deux ecrivains majeurs de cette periode: Irenee, lie avec la tradition asiatique (plus „materialiste") et Origene, representant de la tradition alexandrine (plus „spirituelle"). Dans leur doctrines il y a quelques elements presque identiques: le sens christologique de l'image (c'est le Christ qui est vraie et premiere image de Dieu); la difference sementique entre notions de l'image et de la ressemblance; le caractere statique et ontique de l'image, et active et moral de la ressemblance. Mais malgre ces points communs, Irenee et Origene comprennent autrement ces deux notions et en consequence leur doctrines anthropologiques sont differentes.
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Kost, Hanna, e Zoriana Piskozub. "L’imaginaire du pain dans les proverbes français et ukrainiens : traditions, identité, acquis culturels et moraux". Roczniki Humanistyczne 71, n. 8 (25 agosto 2023): 69–85. http://dx.doi.org/10.18290/rh.23718-4.

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Abstract (sommario):
Dans notre article nous nous sommes posé pour but d’étudier la présentation multidimensionnelle du mot pain présent dans des proverbes français et ukrainiens, et d’analyser ses caractérictiques lexico-sémantiques, sa portée et son originalité socioculturelles. Étant une partie intégrante de notre vie quotidienne, le pain se présente d’abord comme un aliment de base, un élément vital, mais aussi comme un objet éminemment historique, mental et national. La notion de ‘pain’ évolue à travers l’histoire des sociétés, accumule les marques et spécificités identitaires, exprime son symbolisme et sa perception émotionnelle. Les proverbes en tant que vérités collectives fixées dans la mémoire nationale s’avèrent des procédés efficaces pour une recherce comparative. Ils servent de source permettant de se demander une fois de plus quels sont les habitudes culturelles, les valeurs morales, les jugements spirituels d’un peuple, mais aussi de constater comment ces vérités passent dans les valeurs universelles. Notre intérêt vient d’abord du constat de la particularité des proverbes relatifs à la notion de ‘pain’ aussi bien au niveau linguistique (forme, structure) que sémantique (contenu). Nous avons pris en considération l’influence translinguistique et le fonctionnement de ses caractéristiques typologiques dans les deux langues, le français et l’ukrainien. Cette notion peut paraître simple mais notre étude montre que sa présentation révèle une richesse lexico-sémantique importante et une figuralité identitaire avec une éventuelle manifestation de ressemblances ou de divergences dans les deux langues. Outre sa simplicité et sa large étendue sémantique ce mot se caractérise également par la diversité d’applications au niveau pragmatique, stylistique et cognitif. Le corpus de proverbes relevé dans différentes sources lexicographiques et internet a été analysé de façon complexe comprenant aussi des caractéristiques stylistiques et cognitives du mot pain. Le recours à la traduction nous a permis d’expliciter les divergences sémantiques et lexico-syntaxiques de la présentation du pain dans les proverbes français et ukrainiens. En raison de la richesse quantitative de matériaux, nous avons limité l’éventail thématique aux aspects du pain relatifs à la religion, à la notion de ‘Patrie’, à des phénomènes de la nature, à quelques traditions culturelles et culinaires dans les deux pays. Notre approche prétend apporter certaines explications des particularités expressives et cognitives sur la notion de ‘pain’ à travers une étude comparative de sa présentation en français et en ukrainien.
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Maciejewski, Marek. "„Najpierw Niemcy”. Z dziejów prawicowego ekstremizmu w Republice Federalnej Niemiec". Czasopismo Prawno-Historyczne 54, n. 1 (30 giugno 2002): 193–228. http://dx.doi.org/10.14746/cph.2002.1.8.

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Abstract (sommario):
Dans l’article, sont présentés les principes idéologiques de base et ceux d’organisation de deux mouvements de l'extrême-droite à la RFA, à savoir „La Nouvelle Droite” et le néo[1]nazisme. La période du développement le plus grand du prémier mouvement tombe sur les années 70 et 80 du XXme siècle. Le second juit toujours d’une popularité, en particulier dans les parties orientales de l’Allemagne unifié. A la RFA, aux groupements les plus importants de la néo-droite appartenait l’Aktion Neue Rechte, qui vient de finir son activité. Parmi nombréuses organisations néo-nazies il n’y en avait pas pourtant aucune qui a réussi remporter une position politique du rang premier, bien qu’on faisait des essais, par Michaèl Kuehnen parmi d’autres, en vue de faire consolider ce milieu dispersé. La rélation entre la Novelle Droite et le néo-nazisme se forme dans la manière ressemblante aux rapports entre les conservateurs revolutionnaires et les nazistes au temps de la République de Weimar. Pas toujours spécialement, ceux premiers fournissait aux séconds, les arguments téoriques pour le nationalisme et l’autoritarisme et contre le liberalisme et la démocratie parlementaire. Après la seconde guèrre pareillement, la néo-droite essaya de jouer le rôle d’un guide spirituel parmi tous les courants de l’extrême-droite. De son oeuvre doctrinal, crée par Alain de Benoist, Klaus-Gerard Kaltenbrunner, Armin Mohler, Gerd Waldmann et par les autres nombreux idéologues, les extremistes de droite tiraient les conceptions d’une forme nouvelle du rasisme, de la xénophobie, ou de l’élitarisme c’est-à-dire de l’etnopluralisme, de l’etologie, de la zoo-psychologie et de la „méritocration”. A la RFA et dans d’autres pays d’Europe, surtout en France, la doctrine de l’extrême-droite se caractérise par sa réserve l’égard de l’idée de l’intégration du notre continent, c’est qui a sa source dans son anti[1]americanisme d’aujourd’hui et dans son anti-sovietisme d’hier. A la RFA, dans toutes les conceptions de la droite radicale est présent un slogan bien vaste et atractif - „l’Allemagne avant-tout” (Deutschland zuerst), qui garantit les nazistes et les autres mouvements de la extrême-droite d’une popularité sociale bien considérable. En Allemagne, différement par rapport aux néonazistes, les adhérents de l’extrême-droite gardent l’attitude plutôt critique à l’égard du passé hitlérien. Ayant pour but la transformation de l’Allemagne d’aujourd’hui en puissance politique et économique, ils ne veulent pas du tout y arriver par la voie d’un expansionisme territorial. En ce qui concerne les rapports internes, l’estrême-droite prone les slogans bien populistes, comme la modification du système capitaliste par l’élargissement de la fonction tutélaire de l’Etat. A la RFA, la doctrine de l’extrême-droite ne constitue pas d’un système homogène et cohérent des conceptions. Aussi dans ce point, elle resamble l’idéologie nationaliste et antidémocratique vue en Allemagne avant la guèrre.
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Tesi sul tema "Ressemblance spirituelle"

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Ho, Hsi-Yun. "Etude comparative du protrait du monarque en France et du portrait en Chine du XVIIe au XVIIIe siècle". Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2024. http://www.theses.fr/2024EHES0109.

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Abstract (sommario):
L’objectif de cette thèse est de conduire une étude comparative du portrait du monarque en France et du portrait de l’empereur en Chine aux XVIIe et XVIIIe siècle. Ma recherche vise à saisir comment et pourquoi le peintre élabore un tel portrait et figure la majesté dans une image, ou encore l’invisible dans le visible. Le peintre de la dynastie des Ming, Wang Fu (王紱1362-1416) a reconnu que « Peindre un portrait est difficile, peindre un portrait d’empereur est plus difficile ». En effet, peindre un portrait, ce n’est pas seulement rendre la ressemblance ni l’apparence. Il importe non seulement de restituer le statut social voire politique mais d’exprimer l’intériorité du modèle, de rendre vivante sa singularité. Mais peindre le portrait en majesté d’un souverain, c’est lui conférer toute sa puissance, faire rayonner sa gloire, apparaître l’étendue de son pouvoir et le figurer dans son autorité absolue. C’est pourquoi nous interrogeons le sens des emblèmes et insignes, des symboles qui lui sont réservés, et aussi les postures du corps, ainsi que le langage des couleurs, et les codes picturaux des deux cultures. Il nous faut convoquer pour ce faire des approches d’anthropologie culturelle, de sociologie, pour élaborer l’analyse de la dimension iconographique, ainsi qu’une analyse sémiologique. Quel est en effet le véritable sens de l’image du souverain en majesté, quand elle doit conjuguer la tradition, l’idéologie politique avec la structure de la représentation ? En un mot, comment un peintre peut-il représenter l’invisible dans le visible ?Notre recherche se confronte à deux questions essentielles. Comment précisément restituer le rayonnement de la gloire et la toute-puissance dans le portrait d’un souverain en majesté ? Et quelle en est la destination essentielle, s’il est répandu à l’infini pour le monarque occidental, et demeure invisible à ses sujets pour l’empereur ? Concernant la première question, il faut chercher à définir la notion de portrait, l’acte de portraire, de tracer des formes, des contours, jusqu’à modeler des reliefs par le jeu des contrastes clair-obscur, ombre-lumière, proche-lointain, par le recours à la perspective également. Nous développerons notamment des théories picturales distinctes d’une culture à l’autre, d’autant que, si le portrait est en usage depuis longtemps dans les deux cultures, il s’y est développé selon des objectifs et des rythmes bien distincts et prend un sens autre, selon le public auquel il est destiné. Ainsi, le portraitiste chinois cherche-t-il la « ressemblance spirituelle », et le souffle qui relie l’homme au cosmos, quand le portraitiste occidental cherche à rendre l’expression du sujet, et ce, selon des techniques picturales qui diffèrent largement d’une culture à l’autre. Concernant la seconde question, nous montrerons que les peintres créent le genre du portrait en majesté non seulement en choisissant soigneusement la pose et toute une gestuelle, qui traduit un langage du corps, mais aussi en y inscrivant marques et insignes d’une lignée dans la pérennité. Et ce, dans l’objectif d’attester à la fois de la légitimité et de la toute-puissance du souverain, en frappant les destinataires, en leur donnant à imaginer et à croire. Ainsi est assurée la « fabrique du roi », et sa souveraineté incontestée, ainsi est attestée auprès de tous, qui paradoxalement n’en sont pourtant pas les témoins visuels, la légitimité du Fils du ciel. Mais, ce faisant, l’image n’a-t-elle d’autre sens que d’entretenir l’illusion de la toute-puissance ? Et l’absence d’image de l’empereur qui se qualifie lui-même de zhen, l’invisible, et cultive aux yeux de ses sujets, son opacité, son impénétrabilité, nourrissant ainsi l’efficace de sa puissance, n’est-elle semblablement facteur d’illusion ?
The objective of this thesis is to conduct a comparative study of the portrait of the monarch in France and the portrait of the emperor in China in the 17th and 18th centuries. My research aims to understand how and why the painter creates such a portrait and represents majesty in an image or the invisible in the visible. The painter of the Ming dynasty, Wang Fu (王紱1362-1416), recognized that “Painting a portrait is difficult, painting a portrait of an emperor is more difficult.” Indeed, painting a portrait is not just about rendering the likeness or appearance. It is important not only to restore the social or even political status but also to express the interiority of the model and bring its uniqueness to life. However, painting a majestic portrait of a sovereign means giving him all his power, making his glory radiate, demonstrating the extent of his power, and representing him with absolute authority. That is why we need to explore the meaning of the symbols and emblems, which are specific to the sovereign, and also analyze the postures of the body, as well as the language of colors, and the pictorial codes of the two cultures. For this, we must call upon approaches of cultural anthropology, sociology, to develop the analysis of the iconographic dimension, as well as a semiological analysis. What is indeed the true meaning of the image of the sovereign in majesty, when it must combine tradition, political ideology with the structure of representation? In a word, how can a painter depict the invisible in the visible?Our research confronts two essential questions. How precisely to restore the radiance of glory and omnipotence in the portrait of a sovereign in majesty? And what is its essential purpose? The portraits of Western monarchs were widely reproduced and made accessible to the public, while the portraits of Chinese emperors were kept hidden from the eyes of their subjects. Regarding the first question, we must explore the concept of portrait, that is, the act of creating a portrait, including how to depict forms and contours through techniques such as the contrast of light and shadow, distance, and how to create a sense of volume through perspective. We will elaborate on the different theories of painting in the two cultures, as portraiture has existed for a long time in both cultures, but their goals and development differ, and it has been given different meanings based on its audience. For instance, the Chinese portraitists - pursue “spiritual resemblance” seeking to connect the essence of the individual with the universe. Western portraitists focus on expressing the demeanor of the subject, and this, according to pictorial techniques differs widely from one culture to another. Regarding the second question, we will show that painters create the genre of the portrait in majesty not only by carefully choosing the pose and a whole range of gestures, which translates into a language of the body, but also by embedding emblems and symbols representing the dynasty's perpetuity. The purpose of this is to affirm the legitimacy and supreme authority of the monarch, captivating viewers and evoking feelings of awe and reverence. Through such techniques, the image of the monarch is constructed, and their ruling status is established, even though the viewers of these images often have not witnessed them in person. However, does the meaning of the portrait only maintain the monarch's illusion of supremacy? And the emperor calls himself zhen, meaning the invisible one, while deliberately maintaining an air of mystery and inscrutability before his subjects. Does this absence of image also contribute to constructing an illusion? What we aim to establish is that whether through widely existing portraits or the absence of images, such means achieve their purpose: to evoke awe, obedience, and loyalty; in other words, to construct authority
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Capitoli di libri sul tema "Ressemblance spirituelle"

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Solignac, Laure. "Faut-il croire aux métaphores ? À propos du statut des créatures dans l’exégèse, la métaphysique et la théologie mystique de saint Bonaventure". In La Métaphore médiévale comme exercice spirituel, 63–84. Éditions de l'Université de Lorraine, 2024. http://dx.doi.org/10.62688/edul/b9782384510405/06.

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Abstract (sommario):
Bonaventure, appelé le « Docteur séraphique », déploie une logique de la ressemblance dans laquelle le sens littéral est le lieu de transfert vers le sens spirituel. La métaphore, comme celle du « fleuve », de « l’huile » ou de « la vigne », est la figure de style par laquelle s’opère ce passage. L’exégèse se présente comme un exercice de décèlement de ce qui se trouve déjà là, mais de manière cachée. Le monde est un premier livre dont le livre des Écritures révèle le sens, tout en guérissant celui à qui il ouvre les yeux. Bonaventure prend son lecteur par la main, dans une « manuduction ». C’est à travers la puissance affective de la métaphore qu’est revisitée chez lui la translatio in divinis.
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