Articoli di riviste sul tema "Relations villes-campagnes dans la littérature"

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Frucquet, Pascal, David Carassus, Didier Chabaud e Pierre Marin. "Politiques publiques de Villes et de Territoires Intelligents : le rôle clé de la gouvernance dans le processus de création de valeur publique". Gestion et management public Volume 11 / N° 4, n. 4 (19 dicembre 2023): 9–33. http://dx.doi.org/10.3917/gmp.114.0009.

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Abstract (sommario):
Le concept de Smart City est régulièrement associé à une ambition de création de valeur multi-dimensionnelle. Plusieurs auteurs proposent de l’étudier du point de vue de la théorie de la valeur publique. Toutefois, peu de travaux adressent directement la question de l’influence des pratiques de gouvernance dans le processus de création de valeur publique. Nous proposons de remédier à ce manque en nous centrant sur les politiques publiques de Villes et de Territoires Intelligents (VTI). Après un état des lieux de la littérature relative aux relations entre Smart City , gouvernance et valeur publique, nous élaborons un cadre d’analyse qui s’efforce d’appréhender, pour chaque action et activité composant les politiques VTI, le mode dominant de gouvernance entre proactivité et ouverture, ainsi que le(s) type(s) de valeur publique créé(s). Les six « mécanismes générateurs de valeur » décrits par Harrison et al . (2012), efficience, efficacité, améliorations intrinsèques, transparence, participation et collaboration, sont positionnés en tant que variable médiatrice. Nous réalisons alors une étude qualitative longitudinale exploratoire sur deux collectivités locales françaises. Nos résultats permettent de préciser le rôle de la gouvernance locale dans le processus de création de valeur publique dans la mise en œuvre des politiques VTI. Nous mettons en évidence la contribution de la gouvernance proactive à la création des cinq premiers types de valeur publique identifiés par Harrison et al . (2012) : économique, politique, sociale, stratégique et qualité de vie. La gouvernance ouverte contribue également à ces types de valeur publique, mais surtout aux deux derniers : idéologique et intendance. Toutefois, sa mise en pratique reste principalement limitée par des facteurs techniques et organisationnels, ainsi que par de fortes tensions sur les ressources, qui rendent difficile de mener conjointement la double dynamique de proactivité et d’ouverture. Nous identifions ainsi un risque de ne pas voir se réaliser la promesse associée au concept de Smart City de renouvellement de la relation des autorités publiques avec leur environnement de légitimité et de soutien, et donc de ne rester que sur des dynamiques partielles de création de valeur publique.
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Frucquet, Pascal, David Carassus, Didier Chabaud e Pierre Marin. "Politiques publiques de Villes et de Territoires Intelligents : le rôle clé de la gouvernance dans le processus de création de valeur publique". Gestion et management public Pub. anticipées, n. 3 (21 aprile 2050): 22–47. http://dx.doi.org/10.3917/gmp.pr1.0004.

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Abstract (sommario):
Le concept de Smart City est régulièrement associé à une ambition de création de valeur multi-dimensionnelle. Plusieurs auteurs proposent de l’étudier du point de vue de la théorie de la valeur publique. Toutefois, peu de travaux adressent directement la question de l’influence des pratiques de gouvernance dans le processus de création de valeur publique. Nous proposons de remédier à ce manque en nous centrant sur les politiques publiques de Villes et de Territoires Intelligents (VTI). Après un état des lieux de la littérature relative aux relations entre Smart City , gouvernance et valeur publique, nous élaborons un cadre d’analyse qui s’efforce d’appréhender, pour chaque action et activité composant les politiques VTI, le mode dominant de gouvernance entre proactivité et ouverture, ainsi que le(s) type(s) de valeur publique créé(s). Les six « mécanismes générateurs de valeur » décrits par Harrison et al. (2012), efficience, efficacité, améliorations intrinsèques, transparence, participation et collaboration, sont positionnés en tant que variable médiatrice. Nous réalisons alors une étude qualitative longitudinale exploratoire sur deux collectivités locales françaises. Nos résultats permettent de préciser le rôle de la gouvernance locale dans le processus de création de valeur publique dans la mise en œuvre des politiques VTI. Nous mettons en évidence la contribution de la gouvernance proactive à la création des cinq premiers types de valeur publique identifiés par Harrison et al. (2012) : économique, politique, sociale, stratégique et qualité de vie. La gouvernance ouverte contribue également à ces types de valeur publique, mais surtout aux deux derniers : idéologique et intendance. Toutefois, sa mise en pratique reste principalement limitée par des facteurs techniques et organisationnels, ainsi que par de fortes tensions sur les ressources, qui rendent difficile de mener conjointement la double dynamique de proactivité et d’ouverture. Nous identifions ainsi un risque de ne pas voir se réaliser la promesse associée au concept de Smart City de renouvellement de la relation des autorités publiques avec leur environnement de légitimité et de soutien, et donc de ne rester que sur des dynamiques partielles de création de valeur publique.
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Faleye, Olukayode A. "Regional integration from “below” in West Africa: A study of transboundary town-twinning of Idiroko (Nigeria) and Igolo (Benin)". Regions and Cohesion 6, n. 3 (1 dicembre 2016): 1–19. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2016.060301.

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Abstract (sommario):
[Full article is in English]English: This article examines the phenomenon of town-twinning between Idiroko (Nigeria) and Igolo (Benin). While transboundary town twinning is the integration of settlements across distinct state territories—an emerging pattern of borderland urban evolution—this seems to be a new impact of the colonially determined borders in West Africa. Despite the challenges posed by the partition of West African culture areas, town twinning has more recently turned into an established form of regional integration based on a “bottom-up” rather than “top-down” approach in the region. Using qualitative methodology based on descriptive analysis of oral interviews, government records, geographical data, as well as diverse literature, this paper uncovers the role of “borderlanders” in negotiating borders through increased non-state transnational sociospatial cooperation and networking. Apart from altering the traditional state-centric territoriality, this new development may entail broader economic and socio-political implications in the region.Spanish: Este artículo examina el hermanamiento de las ciudades de Idiroko (Nigeria) e Igolo (Benin). Mientras que el hermanamiento de ciudades transfronterizas es la integración de asentamientos más allá de los distintos territorios estatales—un patrón emergente en la evolución urbana de las regiones fronterizas—esto parece ser un nuevo impacto en las fronteras colonizadas en África Occidental. A pesar de los retos de la división cultural en África Occidental, el hermanamiento de ciudades se ha convertido recientemente en una forma de integración regional con enfoque “de abajo hacia arriba” más que “de arriba hacia abajo.” Empleando una metodología cualitativa basada en un análisis de entrevistas orales, archivos gubernamentales, datos geográfi cos y una literatura diversa, este artículo revela el rol de las regiones fronterizas en negociaciones transfronterizas de cooperación y de formación de redes socio-espaciales no estatales. Además de alterar la territorialidad tradicional centrada en el estado, este nuevo desarrollo puede generar implicaciones económicas y socio-políticas más amplias en la región.French: Cet article examine le phénomène des villes jumelles d’Idiroko (Nigéria) et d’Igloo (Bénin). Alors que les villes jumelles transfrontalières sont le résultat de l’intégration d’implantations au-delà de territoires étatiques distincts -un schéma émergeant d’évolution urbaine en région frontalière-, ce cas semble être un nouvel impact des frontières déterminées par la colonisation en Afrique de l’Est. Malgré les défi s posés par la partition des aires culturelles de l’Afrique de l’Est, les villes jumelles se sont converties plus récemment en une forme établie d’intégration régionale fondée sur une approche régionale de bas en haut plutôt que de haut en bas. À partir de l’’usage d’une méthodologie qualitative basée sur une analyse descriptive d’entretiens, d’archives gouvernementales, de données géographiques ainsi que sur une littérature diverse, cet article met à jour le rôle des régions frontalières dans la négociation des frontières à travers la coopération et la formation de réseaux socio-spatiaux trans nationaux non étatiques. En plus de modifier la territorialité traditionnelle centrée sur l’État, ce fait nouveau peut entraîner des implications économiques et socio-politiques plus larges dans la région.
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Mauclair, Patricia. "La relation ville/campagne dans les dystopies espagnoles pour la jeunesse: quelles alternatives pour l'espagne de demain?" Ondina - Ondine, n. 8 (22 dicembre 2022): 113–29. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_ondina/ond.202285833.

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Abstract (sommario):
Le recours à l'anticipation pour repenser les défis écologiques n'a rien d'étonnant dans une littérature destinée à une jeunesse que l'on cherche à préparer pour l'avenir. Aussi serait-il logique que les dystopies écrites au XXIe siècle dans une Espagne préoccupée par l'expansion tentaculaire de la ville et la désertification des campagnes invitent à réinventer la relation ville/campagne. Nous tenterons de voir ici si elles y sont parvenues. Mots-clés : Roman jeunesse espagnol, dystopie, écologie, ville
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Sapori Toledo Roquette, Maria Luiza, e Antônio Dimas Cardoso. "A MOBILIDADE SÓCIOESPACIAL VIA TRANSPORTE RODOVIÁRIO INFORMAL". Revista Cerrados 14, n. 01 (19 marzo 2020): 215–44. http://dx.doi.org/10.22238/rc24482692v14n12016p215a244.

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Abstract (sommario):
A promoção de encontros e a busca pela satisfação de direitos fundamentais (saúde, trabalho, educação, lazer etc.) que não podem ser supridos num mesmo local faz surgir uma necessidade de locomoção cada vez maior entre os indivíduos, realidade esta que é facilmente percebida no dia-a-dia dos espaços sociais do Norte de Minas Gerais, Brasil. Esse fluxo migratório humano, além de introduzir novos comportamentos e modos de relações sociais, modifica a maneira pela qual os deslocamentos ocorrem. Atualmente, 2016, a migração de pessoas entre as cidades na região do Norte de Minas Gerais se dá, em grande número, através do transporte informal, que atua à margem do sistema legal brasileiro. A proposta do presente artigo é fazer uma análise da mobilidade sócioespacial no Norte de Minas Gerais, através da utilização do transporte rodoviário informal, levando-se em consideração a cidade polo de Montes Claros (MG). Para a produção deste artigo, utilizou-se a revisão bibliográfica, análise de dados secundários extraídos de instituições públicas e privadas, além de reportagem em revistas, jornais e redes sociais (facebook), coleta de dados nas fontes primárias através de observação e entrevistas abertas. Palavras-chave: Fluxo; Mobilidade; Transporte. SOCIOSPATIAL MOBILITY THROUGH INFORMAL ROAD TRANSPORT Abstract The promotion of meetings and the search for the satisfaction of fundamental rights (health, work, education, leisure etc.) that can’t be supplied in one place gives rise to a need for increased mobility among people, a reality which is easily perceived day by day in the social spaces of the North of Minas Gerais, Brazil. This human migration, as well as introducing new behaviors and social relations, changes the way in which displacements occur. Currently, 2016, the migration of people from the cities in the northern region of Minas Gerais takes place in large numbers through the informal transport, which operates outside the Brazilian legal system. The proposal of this article is to analyze the socio-spatial mobility in the North of Minas Gerais, using the informal road transport, taking into account the pole city of Montes Claros (MG). For the production of this article, we used the literature review, analysis of secondary data drawn from public and private institutions, as well as magazines articles, newspapers and social networks (facebook), data collection on primary sources through observation and open interviews . Keywords: Flow; Mobility; Transport. LA MOBILITÉ SOCIOSPATIALE VIA LE TRANSPORT ROUTIER INFORMEL Résumé La promotion des réunions et la recherche de la satisfaction des droits fondamentaux (santé, travail, éducation, sports, etc.) qui ne peuvent pas être fournis au même endroit donne lieu à un besoin de mobilité accrue entre les individus, réalité qui est facilement perceptible tous des jours dans les espaces sociaux du les Norte de Minas Gerais, Brésil. Cette migration humaine, ainsi que l'introduction de nouveaux comportements et les relations sociales, change la façon dont les déplacements se produisent. À l'heure actuelle, 2016, la migration des populations des villes de la région du Norte de Minas Gerais a lieu en grand nombre par le transport informel, qui opère en dehors du système juridique brésilien. Le but de cet article est d'analyser la mobilité socio-spatiale dans le Norte de Minas Gerais, en utilisant le transport routier informel, en tenant compte de la ville pôle de Montes Claros-MG. Pour la production de cet article, a été fait la révision de la littérature, l'analyse des données secondaires extraites des institutions publiques et privées, ainsi que les recherches des magazines, des journaux et des réseaux sociaux (facebook), e obtention de données dans les sources primaires par le biais de l'observation in loco et des entretiens ouverts. Mots-clés: Flux; Mobilité ; Transport.
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Paulet, Matiline, e Maya Leclercq. "L’humain et le goéland en ville : quand des interactions modifient les pratiques et les représentations des citadins vis-à-vis de l’oiseau". Géo-Regards 16, n. 1 (2023): 109–28. http://dx.doi.org/10.33055/georegards.2023.016.109.

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Abstract (sommario):
En France, les goélands commencent à nicher en milieu urbain dans les années 1970. Quelques décennies plus tard, les municipalités mettent en place des campagnes de stérilisation des œufs pour contrôler le nombre de goélands en ville. L’article s’intéresse à la manière dont des citadins s’adaptent à la présence de l’oiseau et interagissent avec lui dans le cas des villes de Lorient et de Sète, en décrivant les pratiques, les interactions et les perceptions vis-à-vis du goéland. Qu’il s’agisse de lutter contre la présence animale ou au contraire d’entretenir des relations privilégiées avec lui, l’article révèle que la rencontre avec le goéland fait évoluer les représentations et les rapports du citadin à l’animal.
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Bavoux, Claude, e Claudine Bavoux. "Le coût social des dernières politiques linguistiques". Politique africaine 52, n. 1 (1993): 76–88. http://dx.doi.org/10.3406/polaf.1993.5715.

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Abstract (sommario):
Malgré l’atout d’une langue nationale unique, le français continue d’occuper à Madagascar une place dominante dans les secteurs modernes de l’économie, l’Université et les médias. Les politiques linguistiques tentées jusqu’en 1980 ont échoué à valoriser la langue nationale, qui a souffert d’un problème plus vaste : l’effondrement du système scolaire. Le passage au malgache, au lieu de contribuer à la démocratisation, a accentué les inégalités entre riches et pauvres, villes et campagnes. Les écoles privées francophones sont surchargées de demandes venant des groupes socialement dominants. Le thème du retour général au français, luxe inaccessible, risque de n’être qu’un slogan de plus.
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Bochaca, Michel. "Les relations économiques entre villes et campagnes dans la France méridionale (XIII-XVe siècle) : bilan et perspectives de recherche". Bibliothèque de l'école des chartes 163, n. 2 (2005): 353–84. http://dx.doi.org/10.3406/bec.2005.463760.

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Chindji, Mediebou, e Otsomotsi Mbida Alain Martin. "Dynamiques spatiales et mobilités à Akonolinga (Cameroun)". European Scientific Journal, ESJ 17, n. 28 (31 agosto 2021): 81. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n28p81.

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Abstract (sommario):
La ville d’Akonolinga, comme presque toutes les villes camerounaises, est le théâtre des dynamiques spatiales ces trente dernières années. Les conditions et le cadre de vie de cette petite ville ainsi que les activités économiques se sont considérablement dégradées. Ce constat semble être relayé par les déclarations des personnes ayant vécues à Akonolinga dans les années 1990 qui se désolent de la situation peu reluisante de cette ville jadis prospère et vivante. La présence des migrants constitue une donnée fondamentale dans l’analyse de cette situation. Ceuxci proviennent non seulement des campagnes environnantes, mais aussi de la quasi-totalité des régions administratives du Cameroun. Ces arrivées croissantes et continues ont des conséquences socio-économiques et environnementales. L’objectif de ce travail est de mettre en évidence l’impact de l’immigration sur la dynamique spatiale et l’accroissement de la pauvreté à Akonolinga. La méthodologie est centrée autour des enquêtes socio-économiques auprès de 342 ménages ; des interviews, des observations de terrain et la consultation de la littérature liée au thème en question. Les résultats montrent que les quartiers périphériques ont bénéficié de l’apport démographique des immigrants installés dans les quartiers centraux et péricentraux à leur arrivée. Ces migrants investissent dans les activités économiques des services et participent de fait à la création des richesses à Akonolinga. De nombreuses mesures ont été mises en œuvre pour limiter les déplacements des populations des zones rurales vers les zones urbaines. Ces mesures ont eu des résultats mitigés justifiant ainsi leur évaluation en vue de définir des politiques et programmes plus adaptés et à même de promouvoir un développement socioéconomique équilibré entre les villes et les campagnes. During the last thirty years, socio-spatial dynamics have been observed in the urban space of Akonolinga. The conditions and living environment of this small town and its economic activities have deteriorated considerably. This observation seems to be relayed by the statements of people who lived in Akonolinga in the 1990s who are sorry for the poor condition of this once prosperous and lively city. Indeed, despite this situation, this city continued to welcome migrants. These come not only from the surrounding countryside, but also from almost all the administrative regions of Cameroon. These growing and continuous arrivals have multifarious consequences. The purpose of this work is to highlight the impact of immigration on spatial dynamics and increasing poverty in Akonolinga. The hypothetico-deductive method was mobilized and survey and census data were used for spatial and statistical analyzes. The results show that the outlying districts benefited from the demographic contribution of the immigrants settled in the central and pericentral districts on their arrival. Many measures have been implemented to limit the movement of people from rural areas to urban areas. These measures have had mixed results, justifying their evaluation with a view to defining more appropriate policies and programs that can promote balanced socioeconomic development between cities and the countryside.
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Martin, Wanda, e Lindsey Vold. "Renforcer les compétences grâce à l’agriculture urbaine : rapport sur le projet Askîy". Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 38, n. 1 (gennaio 2018): 33–40. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.38.1.06f.

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Abstract (sommario):
Introduction De nombreuses villes d’Amérique du Nord ont construit un environnement donnant accès à des aliments riches en calories et laissant peu de possibilités de mener une vie active. L’agriculture urbaine contribue à un environnement favorable grâce à la culture de végétaux destinés à l’alimentation, ce qui implique leur transformation, leur entreposage, leur distribution et leur compostage. Elle constitue un moyen d’augmenter la production alimentaire locale et d’améliorer ainsi la santé dans les collectivités. Cette étude avait comme objectif de comprendre comment la participation à l’agriculture urbaine peut contribuer à l’autonomisation de jeunes adultes et au renforcement des compétences à cultiver des aliments en ville. Méthodologie Il s’agissait d’une étude qualitative reposant sur sept participants (cinq Autochtones et deux non-Autochtones) de 19 à 29 ans, recrutés comme stagiaires dans un projet d’agriculture urbaine appelé « Askîy » à Saskatoon (Saskatchewan, Canada) en 2015. Nous avons utilisé un modèle d’étude de cas et une analyse qualitative pour décrire l’expérience des participants en fonction du Cadre des moyens de subsistance durables. Résultats L’approche collaborative a eu un effet majeur sur l’expérience des stagiaires, en particulier dans les liens qu’ils ont formés au fil de la planification, de la plantation, de l’entretien, de la récolte et de la vente des produits. Certains stagiaires ont changé leurs habitudes en matière d’épicerie et ont commencé à acheter plus de légumes et à demander où et comment sont produits les légumes. Tous les stagiaires étaient enthousiastes à l’idée de jardiner de nouveau l’année suivante, et certains d’entre eux planifiaient d’appliquer leurs connaissances et leurs compétences dans leur réserve d’origine. Conclusion Les programmes d’agriculture urbaine renforcent les compétences en permettant d’acquérir des habiletés qui vont au-delà de la culture d’aliments. Ils augmentent la production alimentaire locale et améliorent les compétences en littératie alimentaire, les relations sociales, l’activité physique et la fierté au sein de la collectivité.
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Philizot, François. "Sobriété foncière et planification territoriale : des enjeux liés". Administration N° 280, n. 4 (18 gennaio 2024): 71–73. http://dx.doi.org/10.3917/admi.280.0071.

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Abstract (sommario):
Les dispositions de la loi Climat et Résilience de 2021 sur la réduction de moitié de la consommation d’espaces agricoles, naturels et forestiers à l’horizon 2021 et l’atteinte en 2050 du « zéro artificialisation nette » obligent à accentuer fortement les efforts consentis pour une gestion économe du foncier. Il faut construire de nouvelle pratique d’aménagement, fondée sur une vision de long terme des besoins et passant par une densification accrue. Une meilleure connaissance des marchés fonciers et de la consommation d’espace est indispensable pour que régions et intercommunalités, qui sont en responsabilité première via leurs outils respectifs de planification, opèrent des choix complètement éclairés. La révision des SRADDET, à l’initiative des régions, est la première étape qui sera suivie par celle des SCOT. L’enjeu global est porteur de choix politiques lourds sur la répartition du potentiel de consommation, renvoyant aux équilibres internes à chaque région ou chaque territoire de SCOT, mais aussi à l’évolution des formes urbaines et des relations villes-campagnes. Les collectivités disposent de marges d’appréciation, tenant compte notamment de la diversité des pratiques antérieures ou des objectifs de politique publique poursuivis (réindustrialisation par exemple). La démarche d’étude lancée par l’Observatoire des territoires et portée par l’ANCT vise à enrichir leur outillage par une analyse des pratiques identifiées aujourd’hui, des sources d’information disponibles ou des critères de choix mobilisables. Elle s’inscrit dans un travail conjoint entre l’État et les collectivités locales, indispensable pour atteindre les objectifs de la loi.
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Souza, Keulle Oliveira da, Inailza Barata Silva, Nadabe de Jesus da Silva Cordeiro, Lúcio Osvaldo Rabelo Mendes Neto, Jucimeire Rocha Macêdo, Elisângela Claudia de Medeiros Moreira, Carla Viana Dendasck et al. "Effondrement du port de Santana-AP en mars 2013: perspectives d’un impact socio-environnemental sur le fleuve Amazone, Brésil". Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, 30 dicembre 2019, 48–64. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/environnement/effondrement-du-port-de-santana-ap.

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Abstract (sommario):
Cet article se compose d’une analyse de l’effondrement du port d’exportation de minerai de fer, situé dans la municipalité de Santana/AP, survenu en mars 2013, et de ses conséquences, notamment sociales et environnementales. Sur la base de ces aspects, cet article visait à analyser quelles étaient et sont encore les implications d’un impact socio-environnemental sur le fleuve Amazone, six ans après l’effondrement du port de Santana-AP. Sur le plan méthodologique, une étude qualitative, descriptive-analytique et exploratoire a été réalisée, élaborée à partir d’une recherche bibliographique, sur la littérature publiée dans des livres, des articles scientifiques publiés dans des revues, ainsi que sur l’analyse de documents et de rapports officiels, liés à des études sur la catastrophe. Une nouvelle phase d’exploration minérale a été déclenchée dans l’État d’Amapá dans les premières décennies du XXIe siècle. Dans ce contexte, les municipalités de Santana et Pedra Branca do Amapari étaient et sont encore des villes stratégiques pour le fonctionnement de la dynamique de l’exploration minérale dans l’État. L’effondrement de la structure portuaire a tué six personnes, versé une grande quantité de minerai de fer sur le fleuve Amazone, affectant directement les caractéristiques environnementales de Rio, ainsi que le mode de vie des communautés qui en dépendent, parce que ces peuples ont des relations culturelles d’utilité directe et de survie avec elle. À long terme, la catastrophe a affecté l’économie minérale amapaense, causé des licenciements massifs, la faillite de nombreux fournisseurs de services, entre autres. Compte tenu des faiblesses mises en évidence et aggravées par l’effondrement du port de Santana, il est essentiel de réformer les politiques d’urbanisme et d’aménagement du territoire qui investissent, dès l’installation de ces entreprises, même dans la prévention et les alertes d’éventuelles catastrophes, en particulier dans les régions qui ont de grands projets miniers, comme le cas à l’étude.
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Constant, Marie-Hélène, e Caroline Loranger. "Un nationalisme tourné vers l’Amérique et les colonies : l’exportation du « Roman canadien » des éditions Édouard Garand". Papers of The Bibliographical Society of Canada 55, n. 2 (11 marzo 2019). http://dx.doi.org/10.33137/pbsc.v55i2.29564.

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Abstract (sommario):
En 1923, Édouard Garand fonde à Montréal une maison d’édition destinée à promouvoir la littérature canadienne au sein de la classe populaire et francophone à travers le pays. Gérard Malchelosse, membre du comité éditorial, témoigne à l’époque de l’ancrage nationaliste des éditions : il s’agit d’« une édition canadienne de romans canadiens, écrits pour des Canadiens par des Canadiens et imprimés au Canada par des Canadiens. C’est une entreprise nationale destinée à fournir un stimulant de patriotisme, tout en aidant les auteurs de chez nous en propageant leurs ouvrages ». Bien que ces affirmations pourraient laisser croire que les éditions Édouard Garand s’adressent exclusivement à un public local à même de partager leurs préoccupations, l’étude de la distribution de la collection « Le Roman canadien » nous informe sur des réseaux commerciaux de distribution particulièrement étendus : au premier plan de ce rayonnement extérieur se trouvent les villes des colonies françaises et britanniques, ainsi que l’Amérique, depuis New York jusqu’à Buenos Aires.L’article propose l’étude de ces réseaux en regard de leurs positionnements coloniaux, politiques et marchands, tout en mettant en contexte ce rayonnement par rapport aux activités d’exportation de livres canadiens de l’époque. L’étude des documents constituant le Fonds Édouard-Garand (Université de Montréal) permet de constater la mise en place de deux réseaux distincts. Dès 1926, on annonce que les romans canadiens sont vendus dans des points de dépôt en France, en Grande-Bretagne, mais aussi, de manière plus surprenante, à Saigon, à Alger et au Cap. L’éditeur semble alors exploiter les réseaux marchands de comptoirs coloniaux français et britanniques pour participer à la diffusion, au sein de différentes librairies francophones, de la littérature canadienne outremer. Puis, à partir de 1944, alors que la France est encore sous l’Occupation, Montréal devient la plaque tournante de l’édition francophone mondiale, et Garand en profite pour ouvrir de nouveaux réseaux de distribution vers l’Amérique latine, convoquant un ensemble de relations diplomatiques et politiques canadiennes. Le roman canadien vise alors notamment les dépositaires en Argentine, au Chili, en Colombie, à Cuba et au Pérou, par le biais des représentants commerciaux et des fonctionnaires du Ministère des Affaires extérieures du Canada. Cette entreprise ne vise toutefois pas, chez l’éditeur, une inscription dans des réseaux d’échanges intellectuels et culturels suivant l’axe nord-sud, étudiés notamment par Michel Lacroix et Michel Nareau. Du côté du commerce, le système mis en place par l’éditeur montréalais touche moins l’économie du savoir que la mise en marché.
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Deirdre, Meintel. "Ethnicité". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.095.

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Abstract (sommario):
Le concept d’ethnicité est le sujet d’une vaste littérature qui a bénéficié des contributions d’auteurs issus de différentes disciplines, dont la sociologie, l’histoire, la science politique et la démographie. Nous faisons ici une revue sélective des ouvrages anthropologiques qui ont marqué le domaine. Le concept d’ethnicité en sciences sociales est généralement attribué au sociologue Max Weber (1921, 1971). Le sociologue allemand conçoit l’ethnicité comme une construction sociale; c'est-à-dire, comme le produit de rapports sociaux. De nos jours, l’approche constructiviste de l’ethnicité prédomine à travers toutes les sciences sociales, y compris l’anthropologie. C’est l’anthropologue Frederik Barth (1969) qui a théorisé l’aspect processuel de l’ethnicité, et ce, en lien avec l’ethnographie des relations intergroupes. Son approche se distingue en ce qu’elle problématise l’émergence de groupes ethniques et leur durabilité dans le temps. Comme l’a écrit Robin Cohen (1978 : 389), « l’ethnicité n’a pas d’existence en dehors des relations interethniques » (notre traduction). Avant d’aller plus loin, précisons certains des termes utilisés ici. « Ethnicité » englobe non seulement l’identité ethnique, mais aussi les modèles culturels qui caractérisent le groupe – certains d’entre eux servant à le délimiter –, les associations, institutions sociales, activités collectives et intérêts communs (Meintel 1993). À l’instar de Fischer (1986), nous ajoutons que l’ethnicité englobe aussi la mémoire, soit la quête des individus et des collectivités de traditions qui servent à développer une vision du futur. Bref, l’ethnicité concerne non seulement le passé, mais aussi le présent et l’avenir. Dans l’optique de Fischer, l’ethnicité n’est pas qu’une forme de distinction sociale, ou un élément de hiérarchisation : elle représente également une gamme de ressources symboliques. L’intérêt pour l’ethnicité en anthropologie doit beaucoup aux recherches en Afrique, notamment celles menées par l’École de Manchester dans les villes où les travailleurs migrants demeuraient. Dans leur optique, ces villes et les villages d’origine constituaient un seul champ social. Dans un vocabulaire centré sur le « tribalisme », des chercheurs britanniques liés à cette école, dont Godfrey et Monica Wilson, Max Gluckman, J. Clyde Mitchell et Elizabeth Colson parmi d’autres, ont développé le Rhodes Livingstone Institute, institut dédié à l’étude des cultures du nord de la Rhodésie (aujourd’hui la Zambie). Ces chercheurs étudiaient les transformations sociales et culturelles des paysans devenus travailleurs urbains. Dans ce contexte de contact intergroupes, les identités ethniques sont devenues prééminentes. Leur nouvelle importance dans les relations sociales des citadins s’illustre par la danse Kalela (Mitchell 1956). Ce rituel hebdomadaire d’invention urbaine où les danseurs mettaient en scène la diversité ethnique et des figures urbaines (médecin, infirmière, etc.). Ici, l’identité tribale (les danseurs provenaient du groupe Bisa) était réinventée comme une forme d’ethnicité urbaine (retribalisation dans les termes de Mitchell). Par ailleurs, Mitchell a développé un schéma de relations urbaines tripartite : relations personnelles, structurelles et « catégoriques ». Tandis que les relations structurelles étaient largement encadrées par les rôles fixes des participants (par exemple, ainé/cadet, patron/ouvrier), les relations « catégoriques » (categorical relationships) concernaient les relations ponctuelles et superficielles; par exemple, au marché, dans les foules urbaines (Mitchell 1966) et largement gouvernées par des stéréotypes ethniques, pas forcément négatifs (1966). Plus tard, Jean-Loup Amselle (1990) a soulevé la question du rôle du colonialisme dans la création de frontières artificielles entre les sociétés africaines. S’appuyant sur ses recherches auprès de plusieurs groupes maliens, notamment les Malinkés, les Peuls et les Bambaras, l’ethnologue propose, plutôt que de considérer les sociétés africaines comme des entités étanches où coïncident cultures, langues et frontières politiques et sociales, de les définir comme une « chaîne de sociétés » caractérisée par un « syncrétisme originaire ». Dans la même veine, Lee Drummond concevait les sociétés des Caraïbes comme un « continuum culturel » caractérisé par une hybridation incessante, perspective qu’il appliqua par la suite à la société pluriethnique de Montréal (1982). Bien que la diversité ethnique (et religieuse) soit le sujet de grands débats sociaux, les études ethnographiques sur les relations interethniques n’abondent pas. Celle de Gerd Baumann (1996) fait exception, l’anthropologue ayant étudié les discours identitaires des habitants d’un district de Londres très diversifié et densément peuplé. Sa monographie illustre bien la fluidité des identités, des discours et des pratiques à l’égard de l’ethnicité. La labilité des frontières ethniques, pour ne pas mentionner la variabilité de marqueurs qui les définissent est illustrée par l’identité « québécoise » au Québec, définie largement par la langue maternelle française, tandis qu’auparavant, les habitants de la province se considéraient plutôt comme Canadiens français, catégorie définie principalement par la confession catholique. Cette mutabilité des frontières et des marqueurs soulève la question de la légitimité des identités et des revendications de droits ou de ressources articulées dans le cadre de ce que plusieurs dénomment « la politique identitaire ». Ces enjeux sont au cœur des travaux d’anthropologues comme James Clifford (2000), parmi d’autres. Clifford se penche sur plusieurs sociétés autochtones, dont les Kanaks de Nouvelle-Calédonie et les Nisga’a de la Colombie-Britannique, pour critiquer la tendance de certains anthropologues (par exemple, Kuper 2003) à considérer les discours identitaires de groupes indigènes comme « essentialistes » et leurs pratiques culturelles adaptatives comme « inventées ». L’auteur affirme par ailleurs que les luttes de groupes subalternes obligent les anthropologues à revoir la notion de « tradition » et à la concevoir non pas comme un corpus culturel figé, mais plutôt comme une gamme de ressources qui sont constamment remaniées. Les sociétés indigènes ne représentent pas, évidemment, des « minorités ethniques » comme les groupes immigrants (Eriksen 1993); au Canada, le terme « Premières Nations » connote leur statut distinct. Cependant, on constate certaines similitudes entre les enjeux identitaires et politiques des peuples autochtones et les minorités ethniques (Cipolla 2017), à plus fort raison compte tenu du fait que la majorité des autochtones au Canada et au Québec vivent en dehors des réserves. Par exemple, les diasporas, telles que Clifford (1994) les présente, concernent les Juifs et les Arméniens mais aussi des peuples amérindiens forcés à quitter leurs territoires (Clifford 2007). Les études anthropologiques de l’ethnicité ont pris une nouvelle tournure avec les travaux de Nina Glick Schiller et ses collègues (Glick Schiller, Basch et Blanc-Szanton 1992) sur la transnationalité. Dans cette optique, l’ethnicité des groupes immigrants est abordée non seulement en rapport avec un territoire particulier (quartier, ville, etc.), mais aussi en lien avec le pays d’origine des migrants et d’autres régions du monde où se trouvent des personnes du même groupe. Les nombreuses études en sciences sociales influencées par ce courant révèlent les dimensions politiques et économiques des réseaux transnationaux des migrants, tout en montrant que la transnationalité ne concerne pas tous les migrants de manière égale. Enfin, le « champ social » où se construit l’ethnicité s’étend désormais au-delà des frontières nationales. Dans les années récentes, nombreux chercheurs ont préféré parler de diversité plutôt que d’ethnicité, pour englober des critères tels que la religion, la l’orientation sexuelle, etc. Comme d’autres le reconnaissent, la diversité n’est pas un concept rigoureux (Kraus date) ; certains considèrent la diversité comme l’angle mort du racisme (CJF) puisqu’elle peut occulter les inégalités entre groupes ethniques. La sociologue Danielle Juteau (2018, p. 38) insiste sur pertinence de l’ethnicité de nos jours pour développer une perspective critique sur la diversité, puisque « son approche relationnelle et constructiviste, souvent matérialiste et transversale, en éclaire diverses facettes » de la diversité. Nous avons eu l’occasion de constater la création de nouvelles catégories ethniques, notamment celle d’ « Arabes » pour désigner les musulmans du Moyen-Orient, repris par des jeunes musulmans eux-mêmes pour s’identifier (Meintel 2018, p. 6-7). L’ethnicité nous semble toujours actuelle comme outil conceptuel pour mieux comprendre les relations intergroupes et les inégalités qui les caractérisent.
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Mainet, Hélène, e Ephantus Kihonge. "Les villes secondaires dans les relations villes-campagnes en Afrique de l'Est". Territoire en mouvement, n. 27-28 (3 dicembre 2015). http://dx.doi.org/10.4000/tem.2938.

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Guerois, Marianne. "Chaléard J.L., Dubresson A., 1999, Villes et campagnes dans les pays du Sud. Géographie des relations, Paris, Karthala, 258 p." Cybergeo, 27 marzo 2001. http://dx.doi.org/10.4000/cybergeo.935.

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Leclerc, Véronique, Alexandre Tremblay e Chani Bonventre. "Anthropologie médicale". Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.125.

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Abstract (sommario):
L’anthropologie médicale est un sous-champ de l’anthropologie socioculturelle qui s’intéresse à la pluralité des systèmes médicaux ainsi qu’à l’étude des facteurs économiques, politiques et socioculturels ayant un impact sur la santé des individus et des populations. Plus spécifiquement, elle s’intéresse aux relations sociales, aux expériences vécues, aux pratiques impliquées dans la gestion et le traitement des maladies par rapport aux normes culturelles et aux institutions sociales. Plusieurs généalogies de l’anthropologie médicale peuvent être retracées. Toutefois, les monographies de W.H.R. Rivers et d’Edward Evans-Pritchard (1937), dans lesquelles les représentations, les connaissances et les pratiques en lien avec la santé et la maladie étaient considérées comme faisant intégralement partie des systèmes socioculturels, sont généralement considérées comme des travaux fondateurs de l’anthropologie médicale. Les années 1950 ont marqué la professionnalisation de l’anthropologie médicale. Des financements publics ont été alloués à la discipline pour contribuer aux objectifs de santé publique et d’amélioration de la santé dans les communautés économiquement pauvres (Good 1994). Dans les décennies qui suivent, les bases de l’anthropologie médicale sont posées avec l’apparition de nombreuses revues professionnelles (Social Science & Medicine, Medical Anthropology, Medical Anthropology Quarterly), de manuels spécialisés (e.g. MacElroy et Townsend 1979) et la formation du sous-groupe de la Society for Medical Anthropology au sein de l’American Anthropological Association (AAA) en 1971, qui sont encore des points de références centraux pour le champ. À cette époque, sous l’influence des théories des normes et du pouvoir proposées par Michel Foucault et Pierre Bourdieu, la biomédecine est vue comme un système structurel de rapports de pouvoir et devient ainsi un objet d’étude devant être traité symétriquement aux autres systèmes médicaux (Gaines 1992). L’attention portée aux théories du biopouvoir et de la gouvernementalité a permis à l’anthropologie médicale de formuler une critique de l’hégémonie du regard médical qui réduit la santé à ses dimensions biologiques et physiologiques (Saillant et Genest 2007 : xxii). Ces considérations ont permis d’enrichir, de redonner une visibilité et de l’influence aux études des rationalités des systèmes médicaux entrepris par Evans-Pritchard, et ainsi permettre la prise en compte des possibilités qu’ont les individus de naviguer entre différents systèmes médicaux (Leslie 1980; Lock et Nguyen 2010 : 62). L’aspect réducteur du discours biomédical avait déjà été soulevé dans les modèles explicatifs de la maladie développés par Arthur Kleinman, Leon Eisenberg et Byron Good (1978) qui ont introduit une distinction importante entre « disease » (éléments médicalement observables de la maladie), « illness » (expériences vécues de la maladie) et « sickness » (aspects sociaux holistes entourant la maladie). Cette distinction entre disease, illness et sickness a joué un rôle clé dans le développement rapide des perspectives analytiques de l’anthropologie médicale de l’époque, mais certaines critiques ont également été formulées à son égard. En premier lieu, Allan Young (1981) formule une critique des modèles explicatifs de la maladie en réfutant l'idée que la rationalité soit un model auquel les individus adhèrent spontanément. Selon Young, ce modèle suggère qu’il y aurait un équivalant de structures cognitives qui guiderait le développement des modèles de causalité et des systèmes de classification adoptées par les personnes. Au contraire, il propose que les connaissances soient basées sur des actions, des relations sociales, des ressources matérielles, avec plusieurs sources influençant le raisonnement des individus qui peuvent, de plusieurs manières, diverger de ce qui est généralement entendu comme « rationnel ». Ces critiques, ainsi que les études centrées sur l’expérience des patients et des pluralismes médicaux, ont permis de constater que les stratégies adoptées pour obtenir des soins sont multiples, font appel à plusieurs types de pratiques, et que les raisons de ces choix doivent être compris à la lumière des contextes historiques, locaux et matériaux (Lock et Nguyen 2010 : 63). Deuxièmement, les approches de Kleinman, Eisenberger et Good ont été critiquées pour leur séparation artificielle du corps et de l’esprit qui représentait un postulat fondamental dans les études de la rationalité. Les anthropologues Nancy Scheper-Hughes et Margeret Lock (1987) ont proposé que le corps doit plutôt être abordé selon trois niveaux analytiques distincts, soit le corps politique, social et individuel. Le corps politique est présenté comme étant un lieu où s’exerce la régulation, la surveillance et le contrôle de la différence humaine (Scheper-Hughes et Lock 1987 : 78). Cela a permis aux approches féministes d’aborder le corps comme étant un espace de pouvoir, en examinant comment les discours sur le genre rendent possible l’exercice d’un contrôle sur le corps des femmes (Manderson, Cartwright et Hardon 2016). Les premiers travaux dans cette perspective ont proposé des analyses socioculturelles de différents contextes entourant la reproduction pour contrecarrer le modèle dominant de prise en charge médicale de la santé reproductive des femmes (Martin 1987). Pour sa part, le corps social renvoie à l’idée selon laquelle le corps ne peut pas être abordé simplement comme une entité naturelle, mais qu’il doit être compris en le contextualisant historiquement et socialement (Lupton 2000 : 50). Finalement, considérer le corps individuel a permis de privilégier l’étude de l’expérience subjective de la maladie à travers ses variations autant au niveau individuel que culturel. Les études de l’expérience de la santé et la maladie axées sur l’étude des « phénomènes tels qu’ils apparaissent à la conscience des individus et des groupes d’individus » (Desjarlais et Throop 2011 : 88) se sont avérées pertinentes pour mieux saisir la multitude des expériences vécues des états altérés du corps (Hofmann et Svenaeus 2018). En somme, les propositions de ces auteurs s’inscrivent dans une anthropologie médicale critique qui s’efforce d’étudier les inégalités socio-économiques (Scheper-Hughes 1992), l’accès aux institutions et aux savoirs qu’elles produisent, ainsi qu’à la répartition des ressources matérielles à une échelle mondiale (Manderson, Cartwright et Hardon 2016). Depuis ses débuts, l’anthropologie médicale a abordé la santé globale et épidémiologique dans le but de faciliter les interventions sur les populations désignées comme « à risque ». Certains anthropologues ont développé une perspective appliquée en épidémiologie sociale pour contribuer à l’identification de déterminants sociaux de la santé (Kawachi et Subramanian 2018). Plusieurs de ces travaux ont été critiqués pour la culturalisation des pathologies touchant certaines populations désignées comme étant à risque à partir de critères basés sur la stigmatisation et la marginalisation de ces populations (Trostle et Sommerfeld 1996 : 261). Au-delà des débats dans ce champ de recherche, ces études ont contribué à la compréhension des dynamiques de santé et de maladie autant à l’échelle globale, dans la gestion des pandémies par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qu’aux échelles locales avec la mise en place de campagnes de santé publique pour faciliter l’implantation de mesures sanitaires, telles que la vaccination (Dubé, Vivion et Macdonald 2015). L’anthropologie a contribué à ces discussions en se penchant sur les contextes locaux des zoonoses qui sont des maladies transmissibles des animaux vertébrés aux humains (Porter 2013), sur la résistance aux antibiotiques (Landecker 2016), comme dans le cas de la rage et de l’influenza (Wolf 2012), sur les dispositifs de prévention mis en place à une échelle mondiale pour éviter l’apparition et la prolifération d’épidémies (Lakoff 2010), mais aussi sur les styles de raisonnement qui sous-tendent la gestion des pandémies (Caduff 2014). Par ailleurs, certains auteur.e.s ont utilisé le concept de violence structurelle pour analyser les inégalités socio-économiques dans le contexte des pandémies de maladies infectieuses comme le sida, la tuberculose ou, plus récemment, l’Ébola (Fassin 2015). Au-delà de cet aspect socio-économique, Aditya Bharadwaj (2013) parle d’une inégalité épistémique pour caractériser des rapports inégaux dans la production et la circulation globale des savoirs et des individus dans le domaine de la santé. Il décrit certaines situations comme des « biologies subalternes », c’est à dire des états de santé qui ne sont pas reconnus par le système biomédical hégémonique et qui sont donc invisibles et vulnérables. Ces « biologies subalternes » sont le revers de citoyennetés biologiques, ces dernières étant des citoyennetés qui donnes accès à une forme de sécurité sociale basée sur des critères médicaux, scientifiques et légaux qui reconnaissent les dommages biologiques et cherche à les indemniser (Petryna 2002 : 6). La citoyenneté biologique étant une forme d’organisation qui gravite autour de conditions de santé et d’enjeux liés à des maladies génétiques rares ou orphelines (Heath, Rapp et Taussig 2008), ces revendications mobilisent des acteurs incluant les institutions médicales, l’État, les experts ou encore les pharmaceutiques. Ces études partagent une attention à la circulation globale des savoirs, des pratiques et des soins dans la translation — ou la résistance à la translation — d’un contexte à un autre, dans lesquels les patients sont souvent positionnés entre des facteurs sociaux, économiques et politiques complexes et parfois conflictuels. L’industrie pharmaceutique et le développement des technologies biomédicales se sont présentés comme terrain important et propice pour l’analyse anthropologique des dynamiques sociales et économiques entourant la production des appareils, des méthodes thérapeutiques et des produits biologiques de la biomédecine depuis les années 1980 (Greenhalgh 1987). La perspective biographique des pharmaceutiques (Whyte, Geest et Hardon 2002) a consolidé les intérêts et les approches dans les premières études sur les produits pharmaceutiques. Ces recherches ont proposé de suivre la trajectoire sociale des médicaments pour étudier les contextes d’échanges et les déplacements dans la nature symbolique qu’ont les médicaments pour les consommateurs : « En tant que choses, les médicaments peuvent être échangés entre les acteurs sociaux, ils objectivent les significations, ils se déplacent d’un cadre de signification à un autre. Ce sont des marchandises dotées d’une importance économique et de ressources recelant une valeur politique » (traduit de Whyte, Geest et Hardon 2002). D’autres ont davantage tourné leur regard vers les rapports institutionnels, les impacts et le fonctionnement de « Big Pharma ». Ils se sont intéressés aux processus de recherche et de distribution employés par les grandes pharmaceutiques à travers les études de marché et les pratiques de vente (Oldani 2014), l’accès aux médicaments (Ecks 2008), la consommation des produits pharmaceutiques (Dumit 2012) et la production de sujets d’essais cliniques globalisés (Petryna, Lakoff et Kleinman 2006), ainsi qu’aux enjeux entourant les réglementations des brevets et du respect des droits politiques et sociaux (Ecks 2008). L’accent est mis ici sur le pouvoir des produits pharmaceutiques de modifier et de changer les subjectivités contemporaines, les relations familiales (Collin 2016), de même que la compréhensions du genre et de la notion de bien-être (Sanabria 2014). Les nouvelles technologies biomédicales — entre autres génétiques — ont permis de repenser la notion de normes du corps en santé, d'en redéfinir les frontières et d’intervenir sur le corps de manière « incorporée » (embodied) (Haraway 1991). Les avancées technologiques en génomique qui se sont développées au cours des trois dernières décennies ont soulevé des enjeux tels que la généticisation, la désignation de populations/personnes « à risque », l’identification de biomarqueurs actionnables et de l’identité génétique (TallBear 2013 ; Lloyd et Raikhel 2018). Au départ, le modèle dominant en génétique cherchait à identifier les gènes spécifiques déterminant chacun des traits biologiques des organismes (Lock et Nguyen 2010 : 332). Cependant, face au constat que la plupart des gènes ne codaient par les protéines responsables de l’expression phénotypique, les modèles génétiques se sont depuis complexifiés. L’attention s’est tournée vers l’analyse de la régulation des gènes et de l’interaction entre gènes et maladies en termes de probabilités (Saukko 2017). Cela a permis l’émergence de la médecine personnalisée, dont les interventions se basent sur l’identification de biomarqueurs personnels (génétiques, sanguins, etc.) avec l’objectif de prévenir l’avènement de pathologies ou ralentir la progression de maladies chroniques (Billaud et Guchet 2015). Les anthropologues de la médecine ont investi ces enjeux en soulevant les conséquences de cette forme de médecine, comme la responsabilisation croissante des individus face à leur santé (Saukko 2017), l’utilisation de ces données dans l’accès aux assurances (Hoyweghen 2006), le déterminisme génétique (Landecker 2011) ou encore l’affaiblissement entre les frontières de la bonne santé et de la maladie (Timmermans et Buchbinder 2010). Ces enjeux ont été étudiés sous un angle féministe avec un intérêt particulier pour les effets du dépistage prénatal sur la responsabilité parentale (Rapp 1999), l’expérience de la grossesse (Rezende 2011) et les gestions de l’infertilité (Inhorn et Van Balen 2002). Les changements dans la compréhension du modèle génomique invitent à prendre en considération plusieurs variables en interaction, impliquant l’environnement proche ou lointain, qui interagissent avec l’expression du génome (Keller 2014). Dans ce contexte, l’anthropologie médicale a développé un intérêt envers de nouveaux champs d’études tels que l’épigénétique (Landecker 2011), la neuroscience (Choudhury et Slaby 2016), le microbiome (Benezra, DeStefano et Gordon 2012) et les données massives (Leonelli 2016). Dans le cas du champ de l’épigénétique, qui consiste à comprendre le rôle de l’environnement social, économique et politique comme un facteur pouvant modifier l’expression des gènes et mener au développement de certaines maladies, les anthropologues se sont intéressés aux manières dont les violences structurelles ancrées historiquement se matérialisent dans les corps et ont des impacts sur les disparités de santé entre les populations (Pickersgill, Niewöhner, Müller, Martin et Cunningham-Burley 2013). Ainsi, la notion du traumatisme historique (Kirmayer, Gone et Moses 2014) a permis d’examiner comment des événements historiques, tels que l’expérience des pensionnats autochtones, ont eu des effets psychosociaux collectifs, cumulatifs et intergénérationnels qui se sont maintenus jusqu’à aujourd’hui. L’étude de ces articulations entre conditions biologiques et sociales dans l’ère « post-génomique » prolonge les travaux sur le concept de biosocialité, qui est défini comme « [...] un réseau en circulation de termes d'identié et de points de restriction autour et à travers desquels un véritable nouveau type d'autoproduction va émerger » (Traduit de Rabinow 1996:186). La catégorie du « biologique » se voit alors problématisée à travers l’historicisation de la « nature », une nature non plus conçue comme une entité immuable, mais comme une entité en état de transformation perpétuelle imbriquée dans des processus humains et/ou non-humains (Ingold et Pálsson 2013). Ce raisonnement a également été appliqué à l’examen des catégories médicales, conçues comme étant abstraites, fixes et standardisées. Néanmoins, ces catégories permettent d'identifier différents états de la santé et de la maladie, qui doivent être compris à la lumière des contextes historiques et individuels (Lock et Nguyen 2010). Ainsi, la prise en compte simultanée du biologique et du social mène à une synthèse qui, selon Peter Guarnaccia, implique une « compréhension du corps comme étant à la fois un système biologique et le produit de processus sociaux et culturels, c’est-à-dire, en acceptant que le corps soit en même temps totalement biologique et totalement culturel » (traduit de Guarnaccia 2001 : 424). Le concept de « biologies locales » a d’abord été proposé par Margaret Lock, dans son analyse des variations de la ménopause au Japon (Lock 1993), pour rendre compte de ces articulations entre le matériel et le social dans des contextes particuliers. Plus récemment, Niewöhner et Lock (2018) ont proposé le concept de biologies situées pour davantage contextualiser les conditions d’interaction entre les biologies locales et la production de savoirs et de discours sur celles-ci. Tout au long de l’histoire de la discipline, les anthropologues s’intéressant à la médecine et aux approches de la santé ont profité des avantages de s’inscrire dans l’interdisciplinarité : « En anthropologie médical, nous trouvons qu'écrire pour des audiences interdisciplinaires sert un objectif important : élaborer une analyse minutieuse de la culture et de la santé (Dressler 2012; Singer, Dressler, George et Panel 2016), s'engager sérieusement avec la diversité globale (Manderson, Catwright et Hardon 2016), et mener les combats nécessaires contre le raccourcies des explications culturelles qui sont souvent déployées dans la littérature sur la santé (Viruell-Fuentes, Miranda et Abdulrahim 2012) » (traduit de Panter-Brick et Eggerman 2018 : 236). L’anthropologie médicale s’est constituée à la fois comme un sous champ de l’anthropologie socioculturelle et comme un champ interdisciplinaire dont les thèmes de recherche sont grandement variés, et excèdent les exemples qui ont été exposés dans cette courte présentation.
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