Letteratura scientifica selezionata sul tema "Relations extérieures – Autriche – 1955-"

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Articoli di riviste sul tema "Relations extérieures – Autriche – 1955-":

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Kilani, Mondher. "Identité". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.122.

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Abstract (sommario):
Dans le lexique des anthropologues, le mot identité est apparu bien plus tard que le mot culture. Mais depuis quelques décennies, alors que divers anthropologues se sont presque vantés de soumettre à une forte critique et même de rejeter leur ancien concept de culture, l'identité a acquis un usage de plus en plus étendu et prépondérant, parallèlement à ce qui s'est passé dans d'autres sciences humaines et sociales, ainsi que dans le langage de la politique et des médias. Nombreux sont ceux dans les sciences sociales qui s'accordent pour dire que le concept d'identité a commencé à s'affirmer à partir des années soixante du siècle dernier. Il est habituel de placer le point de départ dans les travaux du psychologue Erik Erikson (1950 ; 1968), qui considérait l'adolescence comme la période de la vie la plus caractérisée par des problèmes d'identité personnelle. Cette reconstruction est devenue un lieu commun des sciences humaines et sociales du XXe siècle, et pour cette raison, elle nécessite quelques ajustements. Par exemple, le sociologue américain Robert E. Park (1939) utilisait déjà, à la fin des années 1930, le terme identité, en rapport avec ceux d'unité, d'intégrité, de continuité, pour décrire la manière dont les communautés et les familles se maintiennent dans le temps et l'espace. En ce qui concerne l'anthropologie, un examen rapide permet de constater que l'identité a déjà été utilisée dans les années 1920 par Bronislaw Malinowski d'une manière qui n'était pas du tout sporadique. Dans ses textes sur les Trobriandais – comme par exemple La vie sexuelle des Sauvages du Nord-Ouest de la Mélanésie (1930) – il parle de l'identité du dala, ou matrilignage, en référence à la « substance » biologique dont il est fait, une substance qui se transmet de génération en génération dans la lignée maternelle. Ce n’est peut-être pas par hasard que le terme identité fut ensuite appliqué par Raymond Firth, dans We, the Tikopia (1936), pour affirmer la continuité dans le temps du clan, et que Siegfried Nadel dans The Foundations of Social Anthropology (1949) parle explicitement de l’identité des groupes sociaux grâce auxquels une société s’articule. La monographie The Nuer (1940) d'Edward E. Evans-Pritchard confirme que l’on a fait de l’identité un usage continu et, en apparence, sans problèmes dans l'anthropologie sociale britannique sous l’influence de Malinowski. Dans ce texte fondamental, l’identité est attribuée aux clans, à chacune des classes d'âge et même à l'ensemble de la culture nuer, que les Nuer considèrent eux-mêmes comme unique, homogène et exclusive, même si le sentiment de la communauté locale était « plus profond que la reconnaissance de l'identité culturelle » (Evans-Pritchard 1975: 176). Par contre, l’autre grand anthropologue britannique, Alfred R. Radcliffe-Brown, qui était particulièrement rigoureux et attentif aux concepts que l'anthropologie devait utiliser (selon M.N. Srinivas, il « prenait grand soin de l'écriture, considérant les mots comme des pierres précieuses » 1973 : 12), il est resté, probablement pour cette raison, étranger au recours au terme d'identité. S’il fait son apparition dans son célèbre essai consacré à la structure sociale de 1940, c’est uniquement lorsqu'il fait référence à l'utilisation approximative de ce concept par Evans-Pritchard. Il soutient que certains anthropologues (y compris Evans-Pritchard) utilisent l’expression « structure sociale » uniquement pour désigner la persistance des groupes sociaux (nations, tribus, clans), qui gardent leur continuité (continuity) et leur identité (identity), malgré la succession de leurs membres (Radcliffe-Brown 1952 : 191). Son utilisation du terme identité ne se justifie ainsi que parce qu’il cite la pensée d'Evans-Pritchard presque textuellement. On a également l’impression que Radcliffe-Brown évite d’adopter le concept d’identité, utilisé par ses collègues et compatriotes, parce que les termes de continuité (continuity), de stabilité (stability), de définition (definiteness), de cohérence (consistency) sont déjà suffisamment précis pour définir une « loi sociologique » inhérente à toute structure sociale (Radcliffe-Brown 1952 : 45). Qu’est-ce que le concept d'identité ajouterait, sinon un attrait presque mystique et surtout une référence plus ou moins subtile à l'idée de substance, avec la signification métaphysique qu’elle implique? Radcliffe-Brown admet que la persistance des groupes dans le temps est une dimension importante et inaliénable de la structure sociale. Mais se focaliser uniquement sur la stabilité donne lieu à une vision trop étroite et unilatérale : la structure sociale comprend quelque chose de plus, qui doit être pris en compte. Si l’on ajoute le principe d’identité à la stabilité, à la cohérence et à la définition, ne risque-t-on pas de détourner l’attention de l’anthropologue de ce qui entre en conflit avec la continuité et la stabilité? Radcliffe-Brown a distingué entre la structure sociale (social structure), sujette à des changements continus, tels que ceux qui se produisent dans tous les organismes, et la forme structurale (structural form), qui « peut rester relativement constante pendant plus ou moins une longue période » (Radcliffe-Brown 1952 : 192). Même la forme structurale – a-t-il ajouté – « peut changer » (may change); et le changement est parfois graduel, presque imperceptible, alors que d’autres fois, il est soudain et violent, comme dans le cas des révolutions ou des conquêtes militaires. Considérant ces deux niveaux, la forme structurale est sans aucun doute le concept qui se prêterait le mieux à être associé à l'identité. Mais l’identité appliquée à la forme structurale ne nous aiderait certainement pas à appréhender avec précision les passages graduels, les glissements imprévus ou, au contraire, certaines « continuités de structure » qui se produisent même dans les changements les plus révolutionnaires (Radcliffe-Brown 1952 : 193). Bref, il est nécessaire de disposer d’une instrumentation beaucoup plus raffinée et calibrée que la notion d’identité, vague et encombrante, pour saisir l’interaction incessante et subtile entre continuité et discontinuité. On sait que Radcliffe-Brown avait l'intention de construire une anthropologie sociale rigoureuse basée sur le modèle des sciences naturelles. Dans cette perspective, l'identité aurait été un facteur de confusion, ainsi qu'un élément qui aurait poussé l'anthropologie naissante vers la philosophie et l'ontologie plutôt que vers la science. Alors que Radcliffe-Brown (décédé en 1955) avait réussi à éviter le problème de l'identité en anthropologie, Lévi-Strauss sera contraint de l'affronter ouvertement dans un séminaire proposé, conçu et organisé par son assistant philosophe Jean-Marie Benoist au Collège de France au milieu des années soixante-dix (1974-1975). Quelle stratégie Lévi-Strauss adopte-t-il pour s'attaquer à ce problème, sans se laisser aller à la « mode » qui, entre-temps, avait repris ce concept (Lévi-Strauss 1977 : 11)? La première étape est une concession : il admet que l’identité est un sujet d’ordre universel, c’est-à-dire qu’elle intéresse toutes les disciplines scientifiques, ainsi que « toutes les sociétés » étudiées par les ethnologues, et donc aussi l’anthropologie « de façon très spéciale » (Lévi-Strauss 1977 : 9). Pour Lévi-Strauss, les résultats suivants sont significatifs: i) aucune des sociétés examinées – même si elles constituent un petit échantillon – ne tient « pour acquise une identité substantielle » (Lévi-Strauss 1977 : 11), c’est-à-dire qu’il ne fait pas partie de leur pensée de concevoir l'identité en tant que substance ou la substance en tant que source et principe d'identité; ii) toutes les branches scientifiques interrogées émettent des doutes sur la notion d'identité et en font le plus souvent l'objet d'une « critique très sévère » (Lévi-Strauss 1977 : 11); iii) il est possible de constater une analogie entre le traitement réservé à l’identité de la part des « sociétés exotiques » examinées et les conceptions apparues dans les disciplines scientifiques (Lévi-Strauss 1977 : 11); iv) cela signifie alors que la « foi » que « nous mettons encore » sur l’identité doit être considérée comme « le reflet d'un état de civilisation », c'est-à-dire comme un produit historique et culturel transitoire, dont la « durée » peut être calculée en « quelques siècles » (Lévi-Strauss 1977 : 11) ; v) que nous assistons à une crise contemporaine de l'identité individuelle, en vertu de laquelle aucun individu ne peut se concevoir comme une « réalité substantielle », réduit qu’il est à une « fonction instable », à un « lieu » et à un « moment » éphémères d’« échanges et de conflits » auxquelles concourent des forces d’ordre naturel et historique (1977 : 11). Ceci fait dire à Lévi-Strauss que « quand on croit atteindre l'identité, on la trouve pulvérisée, en miettes » (in Benoist 1977 : 209), tout en constatant dans le même mouvement que, tant dans les sociétés examinées que dans les sciences interrogées, nous assistons à la négation d'une « identité substantielle » et même à une attitude destructrice qui fait « éclater » l’identité « en une multiplicité d’éléments ». Dans un cas comme dans l'autre, on arrive à « une critique de l’identité », plutôt qu’« à son affirmation pure et simple » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 331). Pourtant, nous ne pouvons pas oublier que Lévi-Strauss était parti d'une concession, c’est-à-dire de l'idée que nous ne pouvions pas nous passer du thème de l'identité : c'est quelque chose qui concerne d'une manière ou d'une autre toutes les sociétés, les sociétés exotiques étudiées par les anthropologues et les communautés scientifiques qui se forment dans la civilisation contemporaine. Lévi-Strauss aurait pu développer plus profondément et de manière plus radicale l’argument présenté au point iv), à savoir que l’identité est une croyance (voire une foi), produit d’une période historique de notre civilisation. Mieux encore, étant donné que les autres sociétés d’une part et nos sciences de l’autre « la soumettent à l’action d’une sorte de marteau-pilon », c’est-à-dire qu’elles la font « éclater » (in Benoist 1977 : 309), nous aussi nous pourrions finalement nous en débarrasser. Lévi-Strauss sent bien, cependant, la différence entre sa propre position et celle du public qui a participé au séminaire, beaucoup plus enclin à donner du poids et un sens à l'identité. Pour cette raison, il offre un compromis (un compromis kantien, pourrait-on dire), qui consiste à détacher la notion d’identité de celle de substance et à penser l’identité comme « une sorte de foyer virtuel auquel il nous est indispensable de nous référer pour expliquer un certain nombre de choses, mais sans qu’il ait jamais d’existence réelle » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Si nous l’interprétons bien, c'est comme si Lévi-Strauss avait voulu dire à ses collègues anthropologues : « Voulez-vous vraiment utiliser le concept d'identité? » Au moins, sachez que cela ne fait jamais référence à une expérience réelle : c’est peut-être une aspiration, une affirmation, une manière de représenter des choses, auxquelles rien de réel ne correspond. Avec ce compromis, Lévi-Strauss semble finalement attribuer à l'identité une sorte de citoyenneté dans le langage des anthropologues. Cependant, même comme un feu virtuel, où se trouve l'idée d'identité : dans la tête des anthropologues, qui utilisent ce concept pour représenter des sociétés dans leur unité et leur particularité, ou dans la tête des groupes sociaux lorsqu'ils se représentent leur culture? Revenons à l'exemple de Malinowski et des Trobriandais. C'est Malinowski qui interprète le veyola, la substance biologique du matrilignage (dala), en termes d'identité, et établit un lien entre identité et substance. Parler de l'identité du dala, surtout si elle est soutenue par le concept de substance (c'est-à-dire quelque chose qui se perpétue avec le temps et qui est complet en soi, de sorte qu'il ne dépend de rien de ce qui lui est extérieur, selon la définition classique d'Aristote), finit par obscurcir la pensée plus profonde des Trobriandais, c’est-à-dire l’incomplétude structurelle du dala. Il ne suffit pas de naître dans le dala et de recevoir le veyola de la mère. Le veyola n'est pas une substance identitaire, mais une matière sans forme qui doit être modelée par l’intervention du tama ou tomakava, c'est-à-dire « l'étranger », avec lequel la mère est mariée et qui est proprement le modeleur, celui qui aide les enfants de son partenaire à grandir, à prendre un visage, une personnalité, non pas en assumant une identité, mais par une participation progressive à des relations sociales (Weiner 1976). Malgré l’utilisation extensive du terme identité dans leurs descriptions ethnographiques et leurs réflexions théoriques, les anthropologues feraient bien de se demander s’il est vraiment approprié de conserver ce concept dans leur boîte à outils ou s’il ne convient pas de considérer l’identité comme une modalité de représentation historiquement et culturellement connotée. L'auteur de cette entrée a tenté de démontrer que l'identité en tant que telle n'existe pas, sauf en tant que mode de représentation que les anthropologues peuvent rencontrer dans telle ou telle société (Remotti 2010). Toutes les sociétés, dans leur ensemble ou dans leurs éléments constitutifs, ressentent les besoins suivants : stabilité, continuité, permanence, cohérence d’un côté, spécificité, certitude et définissabilité de l’autre. Mais, comme l’a suggéré Radcliffe-Brown, les réponses à ces besoins sont toujours relatives et graduelles, jamais complètes, totales et définitives. Nous pourrions également ajouter que ces besoins sont toujours combinés avec des besoins opposés, ceux du changement et donc de l'ouverture aux autres et au futur (Remotti 1996 : 59-67). Autrement dit, les sociétés ne se limitent pas à être soumises au changement, mais le recherchent et l’organisent en quelque manière. Il peut y avoir des sociétés qui donnent des réponses unilatérales et qui favorisent les besoins de fermeture plutôt que d’ouverture, et d’autres le contraire. Si ce schéma est acceptable, alors on pourrait dire que l'identité – loin d'être un outil d'investigation – apparaît au contraire comme un thème et un terrain important de la recherche anthropologique. En retirant l'identité de leur boîte à outils, prenant ainsi leurs distances par rapport à l'idéologie de l'identité (un véritable mythe de notre temps), les anthropologues ont pour tâche de rechercher quelles sociétés produisent cette idéologie, comment elles construisent leurs représentations identitaires, pour quelles raisons, causes ou buts elles développent leurs croyances (même leur « foi » aveugle et aveuglante) en l’identité. Nous découvrirons alors que nous-mêmes, Occidentaux et modernes, nous avons construit, répandu, exporté et inculqué au monde entier des mythes et des concepts identitaires. Nous l’avons fait à partir de l’État-nation aux frontières rigides et insurpassables, de l’idéologie clairement identitaire qu’est le racisme, et pour terminer de la racialisation de la culture qui exalte les traditions locales ou nationales comme substances intouchables, dont la pureté est invoquée et qu’on entend défendre de toutes les manières contre les menaces extérieures. Passée au niveau du discours social et politique, l'identité révèle tôt toute la violence impliquée dans la coupure des liens et des connexions entre « nous » et les « autres ». Comme le disait Lévi-Strauss (et aussi Hegel avant Lévi-Strauss), à l'identité « ne correspond en réalité aucune expérience » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Mais les effets pratiques de cette représentation n'appartiennent pas au monde des idées : ils sont réels, souvent insupportablement réels.

Tesi sul tema "Relations extérieures – Autriche – 1955-":

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Tiberghien, Anne. "La politique culturelle extérieure de l'Autriche en Europe centrale et orientale : 1955-1995". Paris 8, 2000. http://www.theses.fr/2000PA081710.

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Abstract (sommario):
Depuis 1955, l'autriche dispose de deux atouts specifiques pour mener dans les pays d'europe centrale et orientale une politique culturelle active : son heritage culturel de la monarchie austro-hongroise et son statut de neutralite. Dans la region centre et est-europeenne, la politique culturelle autrichienne remplit la fonction traditionnelle d'une politique culturelle exterieure, a savoir celled'un vehicule de l'identite du pays a l'etranger. Dans cette zone, elle contribue en retour a la consolidation de l'identite autrichienne. Entre 1955 et 1989, l'etat autrichien cherche a developper des relations culturelles avec tous les pays de l'est malgre l'organisation geopolitique bipolaire de l'europe. L'autriche s'attache alors a remplir un role de << pont entre l'est et l'ouest >>. Cette fonction d'intermediaire jouee grace a sa neutralite la fait apparaitre comme un artisan du rapprochement entre les deux blocs. A partir de 1989, l'autriche est en concurrence en europe centrale et orientale avec les autres pays occidentaux et notamment avec l'allemagne reunifiee. Pour assurer sa presence dans une zone d'influence jugee traditionnelle (la mitteleuropa}, l'etat autrichien developpe sa politique culturelle exterieure de deux facons. D'une part, il renforce les moyens financiers de son budget culturel exterieur destines a cette zone. D'autre part, il met en exergue la specificite de son offre culturelle dans une politique linguistique, composante jusqu'alors negligee de sa politique culturelle exterieure. L'autriche souligne ainsi que son patrimoine culturel ne se reduit ni a un appendice de la culture allemande ni a une survivance du passe. Elle montre une originalite propre et actuelle qu'elle peut mettre en valeur au sein de l'union europeenne a laquelle elle adhere en 1995.
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Bonnefoi, Nadine. "Le Temps : les conflits austro-serbes et leurs retentissements : 1903-1918". Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010592.

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Abstract (sommario):
Journal d'opinion et d'information, le temps s'est sensibilisé aux problèmes balkaniques et à l'opposition austro-serbe en s'attachant à leurs conséquences sur l'équilibre européen. Indépendant bien que souvent inspire par la politique officielle des différents gouvernements, il justifiait l'intégrité des grands empires et la valeur des blocs d'alliances contre les revendications d'indépendances balkaniques, plus menaçantes pour le maintien de la paix générale. Le déroulement du conflit mondial lui fit ensuite admettre, puis réclamer, l'effondrement de l’Europe des nations au profit de l’Europe des nationalités qui devait sonner le glas des ambitions expansionnistes des puissances et instituer une paix internationale basée sur le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. Sur l'ensemble de la période, son analyse des aspirations nationales serbes et sud-slaves est restée subordonnée aux intérêts supérieurs de la France et à la nécessité de l'équilibre européen. Les commentaires du journal étaient adressés aux dirigeants et contribuaient à l'apathie de l'opinion publique qui ne comprenait pas les véritables enjeux nationaux dans cette région et donnait son soutien implicite à l'action gouvernementale
Problems and in the austro-serb opposition by looking at their consequences on independent but often inspired by the official politicy of the different governments, it has for a long time been on the side of the integrity of the great empires and the distinction of the union blocks rather than on the side of Balkan claims for independence which were more threatening for the general the world conflict brought le temps to admit, then to claim, the end of the looking at the wole period, its analysis of the national Serb and south- contributed to the apathy of the public opinion wich could not understand the real national problems and gave its implicit support to its leaders
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Lacaze, Yvon. "Les français face au problème tchécoslovaque : de l'Anschluss à la Conférence de Munich, mars-septembre 1938". Paris 1, 1989. http://www.theses.fr/1990PA010546.

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Abstract (sommario):
Les accords de Munich ne peuvent se comprendre sans une appréhension de l'opinion publique française, à travers l'étude non seulement des partis politiques et autres groupes de pression, mais aussi de la représentation que se font les français de l'allié tchécoslovaque (mal connu en dehors d'une élite restreinte) ou de l'adversaire allemand (relations franco-allemandes d'"amour-haine"). La droite est acquise dans sa grande majorité au pacifisme, par idéologie antirépublicaine, conviction d'une nécessaire "conversation" avec le Reich, référence au "repli impérial", et surtout par anticommunisme. À gauche, le parti radical-socialiste, dans sa dérive droitière, endosse Munich ; la SFIO est divisée ; le PCF seul reste monolithique, mais le "pacifisme de gauche" exerce des ravages. Munich divise les partis politiques, mais aussi les familles spirituelles, la "France profonde". L'attitude de l'opinion ne se comprendrait pas enfin sans la prise en compte d'un débat moral, d'un débat juridique et d'un débat d'opportunité. Une mauvaise connaissance de l'étranger ; une perception inquiète de la "puissance" française ; le pacifisme profond de l'opinion ; l'aveuglement de la droite sur la nature du danger prioritaire, le nazisme ; celui d'une gauche qui privilégie un puéril intérieur imaginaire, permettent d'expliquer Munich
We cannot understand the Munich agreements without exmaning the French public opinion, through the study of political parties and other lobbies, but also through the knowledge which the French people have of the czechoslovak ally (ill-known outside of a limited elite) or of the german adversary (Franco-German relations of "love-hate"). The right, for the most part, professes pacifism out of antirepublican ideology, conviction of a necessary "conversation" with the reich, reference to "repli imperial" and chiefly out of anticommunism. At left, the radical-socialist party, in consequence of its drift to right, assumes the responsability of munich ; the sfio is divided ; only the pcf remains monolithic, but the "leftist pacifism" works havoc. Munich divides not only political parties, but also spiritual families, "deep France". Lastly, the posture of opinion cannot be understood without taking into account a moral debate, a juridical debate, a debate of opportunity. A bad acquaintance of foreign people ; an anxious perception of the French "power" ; the deep pacifism of opinion ; the blindness of the right on the nature of the foremost danger (the nazism) or of the left (which privileges an internal imaginary danger) allow us to explain Munich
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Gallouët, Laure. "Une politique de la neutralité ? Les stratégies de sécurité et de défense de la Seconde République d'Autriche de 1955 à nos jours". Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2020. http://www.theses.fr/2020TOU20063.

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Abstract (sommario):
Au terme de dix années d’occupation alliée (1945-1955), le statut international de l’Autriche changea. Le 26 octobre 1955, le Parlement autrichien adopta en effet la loi constitutionnelle sur la neutralité perpétuelle. Cette décision souveraine de l’État autrichien était néanmoins à mettre en relation avec le contexte du début de la Guerre froide, le Mémorandum de Moscou et la signature du Traité d’État. Bien qu’inspiré par la neutralité suisse, le modèle autrichien de la neutralité permanente présenta très vite ses spécificités. Dès 1955, l’Autriche signala, par son adhésion aux Nations unies, que sa neutralité reposait avant tout sur une composante militaire, et que ce statut ne l’empêchait pas de prendre part à des organisations internationales. Ce travail de recherche présente les différents défis auxquels fit face la Seconde République et le rôle que joua la neutralité au sein des considérations stratégiques autrichiennes de 1955 à nos jours. La démarche est ici diachronique, car la politique de sécurité et de défense, tout comme l’interprétation juridique et politique de la neutralité, évoluèrent au gré de l’évolution du contexte international
After ten years of allied occupation (1945-1955), Austria’s international status changed. On October 26, 1955, its Parliament passed the constitutional law on the neutrality of Austria. This sovereign decision of the Austrian State has nonetheless to be considered in the context of the beginning of the Cold War, the Moscow Memorandum and the Austrian State Treaty. Even if Swiss neutrality was seen as a model, the Austrian concept of permanent neutrality demonstrated its uniqueness. As early as 1955, Austria’s accession to membership in the United Nations indicated that its neutrality was based above all on its military character, and that this status did not prevent the Austrian state from taking part in international organizations. This doctoral thesis presents the various challenges faced by the Austrian Second Republic and how neutrality has influenced its strategic decision-making. The approach here is diachronic, since security and defense policy, as well as legal and political interpretation of neutrality, have evolved over time in order to adapt to changes in the international environment
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Buirette, Olivier. "La formation et les premiers travaux de la Commission interalliée des réparations de guerre 1919-1923, appliquée aux alliés de l'Allemagne : Autriche, Hongrie, Bulgarie". Paris 3, 2003. http://www.theses.fr/2003PA030070.

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Abstract (sommario):
Les premières années de l'après première guerre mondiale sont caractérisées par des règlements territoriaux mais aussi financiers. C'est dans ce dernier cadre que l'on a cherché ici à étudier l'histoire des réparations de la guerre de 1914/1918. Pour cela nous nous sommes penchés sur l'étude d'un des organismes crée par les Traités de paix : La commission interalliée des réparations de guerre. Le champ chronologique retenu alla des années 1919 à 1923. L'année 1919 fut marquée par la mise en place de cette commission internationale, l'année 1923 par une nette rupture dans l'application des réparations : l'occupation de la Ruhr. Durant les 4 années qui figurent les premiers travaux de la commission, celle-ci fut amenée à largement contribuer à la reconstruction financière des anciens alliés de l'Allemagne : Autriche, Hongrie et Bulgarie. Ceci aboutit à partir de 1923 à la mise en place de moratoires sur les réparations de ces états. Cette thèse tente d'expliquer comment on en est arrivé à cette solution ?
The immediate aftermath of the First World War was the scene of both territorial and financial settlements, and the latter provides the framework for this present study of the history of war reparations from 1914-1918 conflict. Within this context, we have chosen to look at one of the bodies created by the Peace Treaties: the Commission for War Reparations. The chronology we have selected runs from 1919, and the setting-up of this international commission, to 1923, which marks a clear rupture in the actual application of reparations with the occupation of the Ruhr. During the first four years of the Commission's work, it was to make a considerable contribution to the financial reconstruction of Germany's former allies, Austria, Hungary and Bulgaria. From 1923 onwards, this led to the addition of moratories on the reparations of these states. This thesis aims to explain how this solution was reached
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Hude-Gauer, Caroline. "L'entrée de l'Autriche dans l'Union Européenne". Versailles-St Quentin en Yvelines, 1995. http://www.theses.fr/1996VERS003S.

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Abstract (sommario):
Le but de cette thèse est d'étudier l'intégration de l'Autriche à l'Union Européenne. Elle comprend une introduction sur le rôle historique de l'Autriche dans l'Europe. La première partie traite de lévolution des relations entre l'Autriche et les Communautés Européennes. La deuxième partie est relative à la neutralité, si elle est compatible avec une adhésion à l'Union Européenne ; et la troisième partie traite des négociations d'adhésion et de leurs résultats. Pour des raisons à la fois politiques, économiques et culturelles, la candidature de l'Autriche a été rapidement traitée. D'autres candidatures émanant de pays européens figurent sur la longue liste d'attente mais leur entrée dans l'Union Européenne prendra plus de temps que celles des pays de l'Association Européenne de libre-échange pour des raisons principalement économiques car ces pays ont opté récemment pour la démocratie et l'économie de libre marché et ne sont donc pas encore prêts pour rejoindre l'Union Européenne
The aim of this thesis is the study of the Austrian integration to the European Union. It includes an introduction on the historical role of Austria in Europe. Its first part describes the evolution of the ties between Austria and the European Community. The second part focuses on neutrality and analyses whether or not it is compatible with a membership to the European Union. The third part is related to negotiations on the accession of Austria to the European Union and their results. For obvious political, economical and cultural reasons, the Austrian application has been dealt within the shortest time. New applications from other countries of Europe may well have been added to the waiting list but it will probably take more time for these countries to join the EU than for EFYA countries for economic reasons because they have recently opted for democracy and the free market and are not yet prepared to join the European Union
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Lauzun, Hélène de. "La question autrichienne en France dans les années trente (1930-1938)". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040019.

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Abstract (sommario):
A la fin de la Première Guerre mondiale, la France contribue largement à transformer l’ancienne Autriche-Hongrie, et doit assumer une responsabilité quant à la survie et au devenir de la nouvelle Autriche, à travers différents engagements internationaux, même si aucun traité ne lie formellement les deux Etats. On définit généralement la position française vis-à-vis de l'Autriche par cette alternative : ni Habsbourg, ni Anschluss. A partir de 1930, l'héritier du trône, Otto de Habsbourg, accède à la majorité : se pose alors concrètement la question d'une éventuelle restauration. Les années 1930 voient par ailleurs le développement d'une multitude de projets de réorganisation de l'Europe centrale, alternative à ce retour des Habsbourg. L'arrivée d'Hitler au pouvoir en Allemagne doit pousser la France à des prises de position claires : son dessein est la réunion de l'Autriche au Reich, et le gouvernement français doit déterminer quelle attitude adopter envers le gouvernement autrichien qui choisit la voie de l'autoritarisme contre la poussée nazie. Si une part de l'opinion française a des sympathies pour la cause de l'indépendance autrichienne, le gouvernement n'impose jamais de choix clairs en ce sens, en raison notamment de facteurs idéologiques. Il est aussi prisonnier d'une conception trop économique de l'organisation de l'Europe centrale, qui lui fait sous-estimer les problèmes identitaires existant entre l'Autriche et l'Allemagne. L'absence d'une réflexion sur les spécificités de la nation autrichienne en construction conduit à faire le jeu de l'Allemagne, à travers l'idée d'un « germanisme » commun aux deux Etats. L'Anschluss, sans réaction française, vient couronner plus d'une décennie de contradictions et prépare la défaite symbolique de Munich
At the end of World War I, France is a major actor of the transformation of old Austria-Hungary and becomes one of the main protectors of Austria through several international commitments; yet no treaty ever connects the two countries. The French policy on Austria is generally admitted to be : neither Habsburg, nor Anschluss. In 1930 Otto von Habsburg, the son of the last emperor, attains the age of majority ; so the issue of restauration appears again to be a major problem in Europe. At the same time, many plans and projects are discussed to reorganize Central Europe, as a possible alternative to the come back of the Habsburg family. With Hitler's appointment as Chancellor in Germany in 1933, France has to make up clear decisions, since Hitler's goal is to achieve the unification of Austria with Germany. The French government has to decide whether to support or not the Austrian government, getting authoritative in order to fight against nazi propaganda and terrorism. Many people in France are quite in favour of the cause of the independence of Austria. Yet the French government doesn't make any decisive choices to defend it, in particular because of ideological reasons. The French policy is also confined to an all-economic conception of international relations in Central Europe, and under-estimates the problems of national identity existing between Austria and Germany. The lack of a reflection on the specificities of an Austrian nation to be built tends to be of a great advantage for Germany, which praises for the idea of a common « germanism » for both countries. The Anschluss is made without any real French reaction, as a consequence of more than ten years of political contradictions ; thus it prepares the symbolical defeat of Munich
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Qu, Xing. "Relations franco-chinoises de 1949 à 1955". Paris, Institut d'études politiques, 1992. http://www.theses.fr/1992IEPP0016.

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Abstract (sommario):
Dès leur origine, les relations franco-chinoises souffrent de deux handicaps: trop de conflits idéologiques et pas assez de liens économiques, ceci, superposé à la bipolarisation des relations internationales et à la guerre d’Indochine, définit un cadre pour les rapports entre la France et la Chine populaire de 1949 et 1955. Ces relations ont parcouru trois étapes caracterisées respectivement par l'hésitation française sur la reconnaissance du nouveau gouvernement chinois (jan, 1949-jan,1950). Le scepticisme mutuel sur les échanges en l'absence des relations diplomatiques (jan. 1950-avril 1954), et l'amélioration limitée des relations bilatérales (avril 1954-fin 1955). L'état des relations franco-chinoises de cette période s'explique tant par les facteurs of l'époque que par les volontés des acteurs. Pendant que les interactions entre les facteurs politique, économique, géographique, stratégique et idéologique créent un climat peu favorables pour un rapprochement franco-chinois, les acteurs des deux côtés sont victimes de quelques clichés à l'égard l'un de l'autre. Pour réparer les handicaps historiques et développer les relations entre les deux grands pays aussi différents comme la France et la Chine, une compréhension mutuelle est indispensable. Or, jusqu'à nos jours, cette compréhension laisse beaucoup à désirer
Since their origin, the Franco-Chinese relations su fred of two handicaps: too much ideological conflits and not enough economic links. This, coupled with the bipolarization of the international relations and the Indochinese war, shaped the relations between France and the newborn people's China. From 1949 to 1955, the Franco-Chinese relations have run through three periods marked respectively by the hesitation of France to recognize the new Chinese governemnt (jan. 1949-jan. 1950), by the mutual scepticism over the exchanges in the absence of diplomatic relations (jan. 1950-april 1954), and by the limited improvement of bilateral relations (April 1954-Dec. 1955). The state of Franco-Chinese relations was explained by the interactions of the factors of this period and the wills of the actors. While the interactions between the political, economic, geographical, strategical and ideological factors resulted in an unfavourable climat to any improvement of Franco-Chinese relations, the actors of both sides were victims of some prejudices one against another. A mutual comprehension is indispensable to repair the historical handicaps and to develop the relations between two great nations as different as they are
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Chalisarapong, Chanintr. "La Thai͏̈lande et la question indochinoise (1945-1955)". Paris 7, 1991. http://www.theses.fr/1991PA070028.

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Abstract (sommario):
Face a une situation compliquee de la premiere guerre d'indochine, la thailande fut obligee a modifier a plusieurs reprises sa politique etrangere vis-a-vis de l'indochine. La politique indochinoise de bangkok pendant la periode de 1945 a 1955 ne pouvait etre consideree comme un succes puisque la position de paris et les forces nationalistes etaient de plus en plus fragilisees par la poussee du parti communiste inchinois. Le sort de la premiere guerre d'indochine se decidait par la bataille de dien bien phu. Pour contenir la montee du communisme, le gouvernement thailandais allait, apres 1954, s'aligner avec les etats-unis pour creer l'organisation militaire en asie du sud-est. En consequence, le retrait des forces francaises fut remplace par l'intervention americaine en indochine
Thailand, face with the complexity of the first indochinese war, had to modify many points of her foreign policy toward indochina. The thai policy in indochina during the period of 1945 to 1955 was unlikely a successful one by the fact that the years pass, france and the nationalists forces were weakened by the revolutionary upsurge led by the indochinese communist party. The fate of the first indochinese war was finally decided by the battle of dien bien phu. After 1954, the thai government had taken the decision to cooperate militarily with the united states for containing the communist enemy in southeast asie. Consequently, the french's military retirement was replaced by the american intervention in indochina
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Beausoleil, David. "Les relations croato-slovènes (1867-1918)". Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010650.

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Abstract (sommario):
Dans le cadre de l'Autriche-Hongrie (1867-1918), les partis politiques slovènes et croates entretiennent des relations soutenues en dépit des frontières introduites par le dualisme. Pour le Parti populaire slovène et le Parti (croate) du droit, qui forment une organisation politique commune en 1912, le principal objectif est la création d'une troisième entité, croato-slovène, au sein de la Monarchie habsbourgeoise. Toutefois, la Première Guerre mondiale entraîne la radicalisation du yougoslavisme et, par le biais du Comité yougoslave, installé à Londres et à Paris, certains politiciens slovènes et croates réclament la création d'un Etat yougoslave en dehors de la Monarchie habsbourgeoise. En revanche, en Autriche-Hongrie, la majorité des partis politiques croates et slovènes demeurent attachés à la Monarchie, tout en appelant à son réaménagement. A la toute fin de la Première Guerre mondiale, face notamment à la pression exercée par l'Italie, à qui les Alliés avaient promis des territoires slovènes et croates en 1915 (Traité de Londres), la classe politique se rallie finalement à l’option yougoslave et créée, en tant que partenaire de la Serbie, le Royaume des Serbes, Croates et Slovènes.

Libri sul tema "Relations extérieures – Autriche – 1955-":

1

Société canadienne d'hypothèques et de logement. Autriche. Ottawa, Ont: Société canadienne d'hypothèques et de logement, 1997.

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2

Bahcheli, Tozun. Greek-Turkish relations since 1955. Boulder: Westview Press, 1990.

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3

Rempel, Roy Anthony. Counterweights: The failure of Canada's German and European policy, 1955-1995. Montreal: McGill-Queen's University Press, 1996.

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4

Kisatsky, Deborah. The United States and the European right, 1945-1955. Columbus: Ohio State University Press, 2005.

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5

Loth, Wilfred. Europe, Cold War and Coexistence, 1955-1965. London: Frank Cass, 2004.

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6

Vangelis, Calotychos, a cura di. Cyprus and its people: Nation, identity, and experience in an unimaginable community, 1955-1997. Boulder, Colo: Westview Press, 1998.

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7

Blackwell, Stephen. British military intervention and the struggle for Jordan: King Hussein, Nasser and the Middle East crisis, 1955-1958. New York: Routledge, 2009.

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8

Warlouzet, Laurent. Le choix de la CEE par la France: L'Europe économique en débat de Mendès-France à de Gaulle (1955-1969). Paris: Comité pour l'histoire économique et financière de la France, 2011.

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Parker, Robert Alexander Clarke, e Correlli Barnett. Winston Churchill: Studies in statesmanship. London: Brassey's, 1995.

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Joyaux, François. La nouvelle question d'Extrême-Orient. Paris: Payot, 1985.

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