Letteratura scientifica selezionata sul tema "Produits de luxe – Paris (France) – 18e siècle"

Cita una fonte nei formati APA, MLA, Chicago, Harvard e in molti altri stili

Scegli il tipo di fonte:

Consulta la lista di attuali articoli, libri, tesi, atti di convegni e altre fonti scientifiche attinenti al tema "Produits de luxe – Paris (France) – 18e siècle".

Accanto a ogni fonte nell'elenco di riferimenti c'è un pulsante "Aggiungi alla bibliografia". Premilo e genereremo automaticamente la citazione bibliografica dell'opera scelta nello stile citazionale di cui hai bisogno: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver ecc.

Puoi anche scaricare il testo completo della pubblicazione scientifica nel formato .pdf e leggere online l'abstract (il sommario) dell'opera se è presente nei metadati.

Indice

  1. Tesi

Tesi sul tema "Produits de luxe – Paris (France) – 18e siècle":

1

Letourmy-Bordier, Georgina. "La feuille d'éventail : expression de l'art et de la société urbaine, Paris 1670-1790". Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010620.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
L'étude porte sur le décor de la feuille d'éventail produite dans les ateliers parisiens entre 1670 et 1790. La première partie présente le contexte artisanal. La La seconde partie identifie l'iconographie. La grande variété des thèmes est soulignée comme leur fréquence et leur variation sur la période: les histoires antique et mythologique, l'actualité et la vie politique du royaume, sans oublier la pastorale, les jeux, la musique ou le théâtre. Cette approche conduit à s'interroger sur les influences et à comprendre les caractères des décors. Des comparaisons sont faites avec la gravure, la peinture, les' arts décoratifs et la littérature. L'ambition décorative ne réduit pas la valeur' didactique de l'objet comme le démontre l'importance de l'écrit (textes et chansons). Enfin,l'étude s'ouvre sur une réflexion autour de l'éventail et de son appréciation par les contemporains. Il se découvre expression de la société fémininé et reflet de l'expansion des arts décoratifs au XVIIIe siècle
2

Camus, Alice. "Les parfumeurs et la cour de France, de Louis XIV à Louis XVI : analyse sociale, culturelle et technique d'un métier". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2021. http://www.theses.fr/2021SORUL062.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
De 1650 à 1789, les parfumeurs parisiens opèrent une transformation fondamentale de leur artisanat. Auparavant gantiers, ils élargissent leurs compétences à la parfumerie alors en pleine expansion. Fabricants et marchands de produits parfumés multiples, eaux de senteur, poudres, pommades, pâtes, pastilles, pots-pourris, gants, éventails, ils s’appuient sur le cadre juridique des institutions pour construire un monopole lucratif. La cour constitue la première clientèle de ces artisans. Elle suscite la création de tout un apparat olfactif pour répondre aux besoins de se conformer à l’étiquette et à la mode. L’évolution des goûts culturels et des pratiques d’hygiène entraîne le développement de la parfumerie française. Cet artisanat du primo-luxe bénéficie dès lors d’une image positive pour la richesse économique qu’il produit. Les parfumeurs qui fournissent la cour réussissent leur carrière et atteignent un niveau financier et matériel confortable à condition de parvenir à développer leurs réseaux de fournisseurs de matières premières et de produits manufacturés, de se constituer une clientèle nombreuse, de tempérer et maîtriser la vente à crédit afin de ne pas être à court de trésorerie et de faire fructifier leur commerce et leur patrimoine. L’influence des origines sociales est incontestable. Un tiers de ces artisans sont fils de parfumeurs. Les alliances matrimoniales qu’ils réalisent expriment une endogamie et une hypergamie manifeste. Les parfumeurs qui fournissent la cour sont majoritairement issus des provinces du royaume. Grasse et Montpellier se distinguent particulièrement. Les dynasties familiales Huet et Dulac sont des modèles de réussite artisanale et sociale
From 1650 to 1789, Parisian perfumers underwent a fundamental transformation of their craft. Previously glove makers, they broadened their skills to include perfumery, which was then in full expansion. Manufacturers and merchants of multiple perfumed products, scented waters, powders, ointments, pastes, pastilles, potpourris, gloves, fans, they rely on the legal framework of the institutions to build a lucrative monopoly. The court constituted the primary clientele of these craftsmen. It gave rise to the creation of an entire olfactory apparatus to meet the needs of etiquette and fashion. The evolution of cultural tastes and hygiene practices led to the development of French perfumery. This primo-luxury craft benefits from a positive image for the economic wealth it produces. The perfumers who supply the court succeed in their career and reach a comfortable financial and material level on the condition that they manage to develop their networks of suppliers of raw materials and manufactured products, to build up a large clientele, to temper and control the sale on credit in order not to be short of cash and to make their trade and their patrimony grow. The influence of social origins is indisputable: a third of these craftsmen were the sons of perfumers. The matrimonial alliances they made expressed a clear endogamy and hypergamy. The perfumers who supplied the court were mostly from the provinces of the kingdom. Grasse and Montpellier stand out in particular. The Huet and Dulac family dynasties are models of successful craftsmanship and social status
3

Baby, Luc. "Le marché de la carrosserie à Paris dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle à travers les "affiches annonces et avis divers" : l'approche d'une industrie de luxe, de corps de métiers variés, de la société, et des rapports avec les carrossiers des pays européens". Montpellier 3, 2006. http://www.theses.fr/2006MON30057.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Le marché de la voiture à Paris dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, peut être abordé, malgré leurs limites, par les annonces des Affiches de Paris. Produit de luxe, composé de voitures neuves et de « hazard », il est en progression constante au cours de la période grâce à l’enrichissement des élites et au développement du cabriolet, pour s’effondrer au moment de la Révolution. Il fait l’objet d’importations et d’influences d’Allemagne, puis d’Angleterre mais aussi d’Italie et de Bruxelles, et d’exportations dues à la renommée de la carrosserie française. Il concerne tous les types de voitures adaptés aux exigences de la vie sociale et fait appel à la sécurité, à la souplesse et à la mode, qui suit celle des arts décoratifs. Acquéreurs et vendeurs, au cours des années, s’échelonnent du roi et de la famille royale aux bourgeois enrichis. Il est le fait des artisans privilégiés et des maîtres des corps de métiers, de marchands qui, à partir des années 1770, créent des magasins spécialisés. Ce marché témoigne de l’évolution d’un objet de luxe qui est un élément insigne des arts décoratifs
The success of the carriage market in the second half of that century in Paris can, in part, and despite its limitations, be put down to advertising by posters “Affiches de Paris”. This de luxe product made up of new designs and some good fortune, continued its upward progression during those times when the ‘Elite’ were growing richer and the soft top (cabriolet) coach was being developed, only to be followed by total collapse of the industry at the commencement of the French Revolution. The manufacture was the subject to German imports and influences followed by English and also Italian and Belgian ideas. Its export business was founded on the excellent reputation of French coach bodywork builders. This market covered all types of coaches which were appropriate to demands made by social lifestyles, safety, gracefulness and encompassed the latest fashion. Buyers and sellers over the years have included everyone from kings and other royalty to the newly wealthy middle classes. It is a product made by specialist tradesmen and master craftsmen who since 1770 have developed highly specialist workshops. This market has witnessed the evolution of a luxury product into a badge of honour of the decorative arts (or art-deco)
4

Provost, Audrey. "Les usages du luxe : formes et enjeux des publications sur le luxe en France dans la seconde moitié du dix-huitième siècle (vers 1760-1789)". Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040216.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Entre les années 1760 et 1789, le luxe devient un sujet de publication visible dans l'espace de l'imprimé. Le luxe est pris en charge par des auteurs qui entreprennent d'en fixer la nature et la définition. Cet investissement intensif du sujet est une manière, pour des polyraphes de second rang, de prendre place au sein de la République des lettres. L'affrontement autour du sens du mot " luxe " met en jeu les compétences des hommes de lettres, mais aussi leur autorité à établir des valeurs communes, ce qui concurrence la légitimité monarchique à fixer les termes du débat politique public
Between 1760 and 1789, luxury became a topic of written publication. Many authors strategically chose to publish on luxury and attempted to define its nature and meaning. This intensive investment proved ambitious writers with a way to advance through the Republic of Letters. At stake in the debate over the meanings of "luxury" was not only the linguistic competence and literary talent of the authors concerned, but also their authority to establish common values, an authority which competed with the power of the monarchy to fix the terms of political discourse
5

Antoni, Elisabeth. "Nouveaux alliages, nouvelles alliances : le laiton et ses dérivés en Europe (France-Angleterre) au 18e siècle". Thesis, Paris, CNAM, 2018. http://www.theses.fr/2018CNAM1166.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
La petite métallurgie du cuivre – laiton, bronze, plaqué, dorure, argenture – et la quincaillerie fine associée sont, en France, après la Guerre de Sept Ans jusqu’à la veille de la Révolution, de 1765 à 1790 environ, un secteur de l’économie du luxe à la pointe de l’innovation et très concurrentiel, capable de rivaliser avec l’Angleterre, une nation jusque là tenue comme « invincible ». Une première série de travaux en micro-histoire a aidé à redresser l’image de la « révolution » industrielle, mais la vision hiérarchisée des relations entre les différents acteurs subsistant, profitait à certains (gros merciers et entrepreneurs ; techniciens) au détriment d’autres. Au fil des recherches, s’est dégagée une vision plus complexe du milieu parisien de la curiosité, démontrant que les acteurs principaux, les merciers, étaient en général entourés de nombreux correspondants associés à leurs affaires et qui n’étaient pas de simples exécutants. Il fallait en retrouver trace par un dépouillement systématique des archives de Paris et de Londres.A la lumière des sources nous avons poussé les portes d’ateliers d’artisans-fabricants parisiens, découvrant leurs mises en scène de la technique et l’expression d’une pensée technologique : les équipements et les outils matérialisant leurs capacités à s’organiser ; les matières et matériaux, affichant leurs capacités à diversifier les nouveaux alliages et à en affiner les qualités ; les nombreux modèles affichant des intentions de décliner des gammes d’objets et de jouer sur les complémentarités entre métiers; les techniques de finition par jeux d’éclats, imitations, raffinement prouvant leurs implications dans une quête de la perfection.Mais la technicité et la spécialisation exigent de la sous-traitance, donc le recours à d’autres métiers et réseaux. Or, les contraintes corporatives à Paris à l’époque interdisent à l’artisan de vendre ce qu’il ne fabrique pas. Son corollaire est le privilège marchand de vendre tout ce qu’on n’a pas fabriqué, une prérogative qui donne à ce Corps l’ascendance sur les autres. Notre dépouillement de grosses affaires commerciales à Paris mais aussi à Londres démontre que le secteur du luxe prospère grâce à l’économie marchande et à la dynamique basée sur la multiplicité des métiers et des cultures. Cette dynamique est d’autant activée par la polyvalence de certains intermédiaires, dont la minorité de marchands juifs de Londres. Les archives de faillite confirment que les communications entre les marchands parisiens et les membres de ce réseau ont été porteuses de savoirs technologiques pratiques et que l’histoire de la technologie est inscrite dans ces alliances
In between the end of the Seven Year War and the beginning of the Revolution, from 1765 to 1790, the French hardware trade and the “toy” industry - brass, bronze, plating, gilding, silvering - emerged as one of the most innovative and competitive luxury sector, able to compete with its English counterpart still held as the “hero” in the history of the industrial “revolution”. As a result of many new inquiries and reassessment of the subject through micro-history approaches, inherited historiography has been revised. Yet, a hierarchical vision of relationships among its actors (mercers, producers, and technicians alike) still prevails, leaving apart and undetected some more modest and seemingly ordinary people. As a result of additional recent studies, a new and more complex perception of the Parisian context has demonstrated that the main actors of this achievement usually worked in close association with a number of people that were far from being mere “hands”. Archival resources in Paris and London had to be explored much thoroughly.Perusing through the sources has led us first to visit craftsmen’s workshops and discover “the technique” which reflects the emergence of technological thought : the equipment and tools materialising their capacity to devise and organise the job ; products and materials including new alloys showing their ability to diversify and to refine ; numerous models testifying to their plan to increase the ranges of product relying on analogies and complementarities between trades; finishing and decorating through brilliance, imitations, refinements, proved that their quest for perfection was one of their ultimate challenge.But technique and specialisation mean expansion therefore sub-contracting, that is recruiting other trades and networks. Yet, under the Parisian corporative regulations, a craftsman is denied the right to sell what he does not produce himself, the corollary being that a merchant is allowed under that rule to sell whatever he does not make. This gives him predominance over artisans. Our study of significant mercers’ businesses in Paris and in London demonstrates that the luxury sector has been stimulated by trade and that it involved many arts and crafts; that under this impulse, though originating in France mainly Paris, it went beyond frontiers through different countries one of which being Great Britain, the economy of which was prospering; that the boost was reinforced by the involvement of networks of multi-skilled actors, among them the minority of Jewish traders from London.Thus, progress in historical research has led to the conclusion that between Parisian merchants and the members of this particular network, exchanges involved technology concerns and that, as a result of these alliances, technology had been greatly promoted
6

Bogomolova, Anastasia. "Marché russe des modes françaises en 1700-1825 : jeux politiques, acteurs, produits, contrebande". Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H053/document.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
L'enjeu de l'étude est de saisir l'organisation du marché russe des modes françaises au XVIIIe-XIXe siècles, d'analyser son évolution et les facteurs dont il est tributaire. Créée artificiellement par les lois vestimentaires de Pierre le Grand, la demande pour les toilettes européennes devient naturelle dans le contexte de la gallomanie. Cependant, la consommation reste principalement étroite et aristocratique en raison de la valeur élevée des produits de mode importés. Pour les fabricants français, la Russie représente un débouché incontournable qui consomme une partie importante des soieries et autres articles de mode. Le marché russe ne se résume pas aux exportations directes indiquées dans statistiques qui sous-estiment son importance, il englobe également un vaste trafic indirect qui transite via l'Allemagne, mais aussi les flux illégaux. L'importation considérable des marchandises françaises de luxe contredit les intérêts des autorités russes qui s'efforcent de la contrôler afin de stimuler les industries nationales. Le marché évolue sous l'impact de la politique douanière protectionniste de l'Empire russe et les guerres qui le rendent instable, en particulier pour les fabricants et les commerçants. Si les échanges sont régulièrement perturbés, ils ne se rompent pas. Les liens entre les fabricants français et les consommateurs russes se révèlent plus forts que les contraintes législatives et les conflits internationaux. L'adaptation du marché russe aux circonstances défavorables passe par la mise en place de nouveaux circuits, légaux ou illicites qui permettent de faire triompher les lois de l'offre et de la demande
The main purpose of this study is to determine the organisation of the Russian market of French fashion in the XVlllth-XIXth centuries, to analyse its development and the factors that influence it. First created artificially by Peter the Great's decrees on dress, the demand for the European outfits becomes natural in the context of gallomania. However, the consumption is mainly narrow and aristocratic because of the high cost of the imported fashion goods. Russia represents an important outlet for the French manufacturer as it consumes a large part of silk and other fashion products. The Russian market is not limited to the direct exports shown in the statistics which underestimate its importance, it also involves a big traffic that transits via Germany, and the illicit flows. The imports of French luxury goods contradict the interests of the Russian authorities that try to control them in order to stimulate the national industries. The market develops under the influence of the protectionist customs policy of Russian Empire and the wars that make it unstable, especially for the manufacturers and merchants. Despite the fact that the exchanges are often disrupted, they never stop. The links between the French manufacturers and the Russian consumers have turned to be stronger than the legislative compulsions and international conflicts. The adaptation of the Russian market to the difficult circumstances takes place through the appearance of new trade channels, both legal and illegal that make the laws of offer and demand triumph
7

Bastien, Vincent Charles. "Étude de la production et de la diffusion des tabatières et des objets de luxe à Paris sous Louis XV et Louis XVI. L’exemple de l’atelier des orfèvres Ducrollay, Drais et Ouizille". Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040239.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
La tabatière était sous les règnes de Louis XV et Louis XVI un accessoire indispensable des hommes et des femmes du 18ème siècle. Les orfèvres parisiens Ducrollay, Drais et Ouizille étaient spécialisés dans la fabrication de bijoux en or, de tabatières et d’objets d’art exceptionnels. À partir de l’exemple de ces trois ateliers d’orfèvrerie, après avoir étudié la biographie de chacun, nous définissons le rôle des orfèvres-joailliers, étudions les différents procédés de fabrication. Une telle production oblige à recourir à de nombreux sous-traitants spécialisés : dessinateurs, ornemanistes, ciseleurs, émailleurs, lapidaires, miniaturistes. Pour comprendre la diffusion commerciale de ces précieuses boîtes nous détaillons les différents acheteurs : l’administration royale des Menus-Plaisirs, le ministère des Affaires étrangères, les rois et les princes français et étrangers, mais aussi les commandes des grands collectionneurs du siècle des Lumières. Pour comprendre l’évolution technique et stylistique de ces objets, nous avons catalogué l’ensemble des pièces actuellement connues et plusieurs dessins inédits. La rédaction de ce mémoire s’appuie sur une bibliographie et une documentation très abondante de sources manuscrites, d’actes notariés et de mémoires retrouvés dans de nombreux fonds d’archives
The snuffbox was during the reigns of Louis XV and Louis XVI an essential accessory for men and women of the 18th century. The Parisian goldsmiths Ducrollay, Drais and Ouizille were specialized in the manufacture of gold jewelry, gold boxes and exceptional works of art. From the example of these three goldsmiths’ workshops, after studying the biography of each, we define the role of goldsmiths, jewelers, studying the different manufacturing processes. One this production requires use of many specialized subcontractors: designers, ornamentists, engravers, enamelers, lapidaries, miniaturists. To understand the commercial distribution of these precious gold snuffboxes we discuss the different buyers: the royal administrative body called The Menus-Plaisirs, The Ministry of Foreign Affairs, kings and princes French and foreign, but also demand of the great collectors of the Enlightenment period. So as to understand the technical and stylistic evolution of these objects, we have cataloged all the pieces currently known as well as many drawings, some of them previously unpublished. The writing of this thesis is based on a bibliography of published material as well as on a substantial quantity of manuscript documentation, including official documents and goldsmiths' invoices from a number of different private and public sources

Vai alla bibliografia