Letteratura scientifica selezionata sul tema "Politique urbaine – Europe – 1990-2020"

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Articoli di riviste sul tema "Politique urbaine – Europe – 1990-2020":

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FOURA/ NAIMI, Sarra. "LA « SMART CITY » : RÉALITE OU UTOPIE DANS L’AMÉLIORATION DE L’ENVIRONNEMENT URBAIN DES VILLES ALGÉRIENNES ?" URBAN ART BIO 1, n. 1 (17 aprile 2022): 33–44. http://dx.doi.org/10.35788/uab.v1i1.22.

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Abstract (sommario):
Dans les années 1990, des notions phares ont vu le jour en France et dans la majorité des pays Européens, telles que le projet urbain qui a fait couler beaucoup d’encre à travers d’innombrables études, recherches et publications, mais aussi par sa concrétisation ainsi que les principes qu’il prône dans beaucoup de grandes villes, et bien que le projet urbain ait grandement participé à leur essor, l’engouement dont il a fait l’objet n’a pas fait long feu. L’autre notion majeure, c’est le « développement durable », dont l’ampleur est beaucoup plus large et dont les enjeux sont plus importants car il véhicule des préoccupations inhérentes à l’environnement, et à l’avenir de la planète et des générations futures. L’enthousiasme autour de cette notion est tel qu’il en a généré une multitude de dérivées. En outre, en quelques années, du projet urbain et développement durable et de l’urbanisme durable on est passé à la ville durable et au quartier durable, à l’éco urbanisme, à l’éco quartier, à l’éco architecture, à l’écodéveloppement, à l’éco construction, et aujourd’hui on parle même d’éco techniques, écolabels, éco budgets, éco profits etc. Aujourd’hui avec la suprématie des NTIC (Nouvelles technologies d’information et de communication) dans les pays développés mais aussi en voie de développement, c’est au tour de la « smart city » de prendre la tête des réflexions urbanistiques. Écologique, connectée, adaptée au fort développement urbain : cette nouvelle utopie de la ville du futur est pleine de promesses ! On fantasme sur la « Smart City », « ville intelligente » qui consiste globalement en l’optimisation des coûts, de l’organisation, du bien-être des habitants et de leurs modes de vie, de la mobilité, de la gouvernance… Cependant qu’en est-il dans nos pays africains et plus particulièrement en Algérie ? Peut-on appliquer les critères de ces notions, adaptables dans un des contextes urbains où l’urbanisation en Europe est presque achevée, alors qu’elle est galopante dans les pays du Sud, ce qui réclame et réclamera un grand effort dans la construction de logements, d'équipements collectifs et diverses infrastructures dans les villes pour satisfaire cette population urbaine croissante ? Peut-on appliquer ces solutions utopiques là où l’urgence de la quantité prime sur la qualité et où la périurbanisation continue à entraîner l'étalement urbain et l'absence d'une politique d'urbanisme volontariste créant davantage des problèmes de prolifération de l'habitat illicite et spontané ? En effet, étant donné que les concepts de projet urbain et de développement durable peinent à trouver une place au sein de politiques urbaines centrées et basées sur des instruments dépassés et caduques. , il est difficile d’aborder la « Smart City » là où son fondement même que sont les NTIC, ne sont pas complétement assimilés ni bien installés. Effectivement bien qu’en Algérie ces nouvelles technologies soient en pleine expansion, il reste que leur élément le plus fort qu’est l’e-payement en est toujours à un timide début. Notre communication portera sur la mise en évidence du contexte urbanistique Algérien, à fin d’établir les obstacles à la faisabilité d’une smart city algérienne, et les éventuelles possibilités de concrétisation de ses critères fondamentaux à travers des recommandations.
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Annese, Mariella. "Gli effetti della rigenerazione pre-pandemica nella risposta alla crisi. Il caso pugliese". ECONOMIA E SOCIETÀ REGIONALE, n. 3 (gennaio 2022): 61–76. http://dx.doi.org/10.3280/es2021-003005.

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Abstract (sommario):
A valle dell'esperienza condotta con gli strumenti multisettoriali complessi (Pirp), nel 2008 la Regione Puglia si e` dotata di una legge regionale sulla rigenerazione urbana. A partire da questo strumento normativo e utilizzando risorse europee (PO Fesr 2007- 2013, Por Fesr- Fse 2014-2020), rispettivamente nel 2011 e nel 2017 e` stato dato il via alla prima e alla seconda stagione della rigenerazione urbana, orientata in entrambi i casi sia alla scala urbana che terri-toriale. Dopo circa 15 anni di esperienza acquisita sul tema, nell'attesa che si concludano le operazioni riferite ai finanziamenti stanziati nel 2017 e siano noti i dati ufficiali, delineando gli aspetti più significativi e rilevanti di queste due stagioni della rigenerazione pugliese, il lavoro tenta di avanzare alcune riflessioni, problematizzando le questioni irrisolte e delineando prospettive per l'azione. Si vuole cosi` provare a verificare se le politiche urbane innovative pre-pandemiche che hanno cercato di lavorare nel solco della sostenibilità urbana siano state in grado di anticipare le risposte rispondendo alle sfide poste dai rischi globali, valorizzando i temi del radicamento territoriale, della accessibilità, della inclusione delle comunità.
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Drèze, Jacques H., e Edmond Malinvaud. "Croissance et emploi : l'ambition d'une initiative européenne". Revue de l'OFCE 49, n. 2 (1 giugno 1994): 247–88. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.49n1.0247.

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Abstract (sommario):
Résumé Depuis bientôt vingt ans, le chômage européen est un problème social majeur et le signe d'une importante sous-utilisation des ressources à une époque où existent bien des besoins insatisfaits. Alors que l'emploi a crû de près de 6 % entre 1987 et 1990 dans la Communauté Européenne des douze, le taux de chômage dépasse à nouveau 10 % et s'élève. Même selon des prévisions raisonnablement optimistes (un taux de croissance de 2,5 à 3 %) le taux de chômage dépassera 10 % durant au moins quatre ou cinq ans. Cette note prend position sur les politiques de court, moyen et long terme que nous considérons comme les mieux aptes à promouvoir la croissance et l'emploi en Europe Occidentale. Nous prétendons qu'actuellement une politique budgétaire active ne paraît pas constituer un instrument adéquat pour la stabilisation économique à court terme. L'attention devrait plutôt se concentrer sur la consolidation structurelle à moyen terme des budgets, un objectif négligé durant l'expansion de la fin des années 80. Mais nous plaidons pour une stimulation monétaire, à obtenir par une forte réduction des taux d'intérêt nominaux à court terme ; nous proposons le niveau de référence zéro pour les taux d'intérêt réels à court terme, pour aussi longtemps que l'on n'observe pas clairement que la reprise est engagée. S' agissant des politiques de moyen terme, nous recommandons deux ensembles de mesures relatifs respectivement aux coûts du travail et à l'investissement. Nous notons que le chômage élevé se concentre fortement sur les travailleurs non qualifiés. De plus nous trouvons la preuve d'un désaccord croissant entre les structures par qualifications de l'offre et la demande de travail, la composition de celle-ci se modifiant vite au détriment des travailleurs non qualifiés. Cette observation justifie que l'on investisse dans l'enseignement et la formation. Nous considérons qu'elle justifie aussi des mesures visant à réduire le coût du travail non qualifié par rapport aux coûts du travail qualifié et du capital. Un élément important du coût du travail est constitué par des impôts et contributions sociales, qui entraînent un écart, particulièrement substantiel pour le travail non qualifié, entre le coût pour les employeurs et le coût d'opportunité pour la société — de 30 % à 50 % dans les pays de la Communauté. Nous prétendons que le moment est venu de réduire cet écart et nous proposons d'exempter le salaire minimum des contributions sociales à la charge des employeurs. Cela peut se faire soit en percevant de telles contributions, pour tout salaire, sur la part excédant le salaire minimum, soit en introduisant une exonération dégressive s'élevant à 100 % au niveau du salaire minimum et décroissant linéairement jusqu'à zéro au niveau double. La première modalité implique une réforme substantielle des systèmes fiscaux, car son coût direct s'élève à environ 3,2 % du PIB en moyenne dans la Communauté, avec des différences importantes suivant les pays. En revanche, le coût de la seconde modalité est plutôt de l'ordre de 1,2 % du PIB. Dans les deux cas, des ressources de remplacement doivent être trouvées pour la sécurité sociale. Une source naturelle serait l'impôt sur les émissions de CO2 qui est actuellement examiné par les pays de la Communauté (avec un rendement estimé de l'ordre de 1 à 1,3 % du PIB). Une autre source résiderait dans un relèvement des taux de la TVA. Pour la définition exacte, la mise en œuvre et le financement de cette mesure, il y a évidemment place à des mesures spécifiques aux divers pays. Les simulations économétriques faites en France et en Belgique concernant les exonérations de taxes sur le travail, doivent être considérées comme imprécises. En termes généraux elles confirment nos idées selon lesquelles il ne faut certes pas espérer un miracle, mais des gains appréciables en emploi peuvent être attendus à moyen terme, sans coût budgétaire, si notre proposition est appliquée sans timidité. A propos de l'investissement, nous reconnaissons que des capacités inutilisées limitent les perspectives immédiates d'équipe- ment des entreprises. Mais nous prétendons que des ressources inemployées peuvent être mobilisées pour des investissements riches en travail, qui auraient des rendements sociaux adéquats et contribueraient de plus à soutenir la demande globale. C'est aussi la logique de l'initiative d'Edimbourg, où les réseaux trans-euro- péens ont reçu la priorité, ainsi que les petites entreprises. Nous prétendons cependant que l'ensemble convenu à Edimbourg est insuffisant. Un programme d'investissement dont le montant correspondrait aux efforts à venir pour la consolidation structurelle des budgets ne créerait pas de tension sur les marchés du capital, tout en compensant le retard pris par les investissements publics dans la décennie passée. Nous avançons le chiffre de 250 milliards d'Ecus (soit grosso modo huit fois l'objectif d'Edimbourg) comme un but réaliste à moyen terme. Nous proposons de privilégier aussi des domaines tels que le logement pour les ménages à bas revenus, la rénovation urbaine et les transports urbains. Afin de stimuler les investissements ainsi visés, nous suggérons que l'on s'en remettre surtout aux subventions à l'emploi, en proportion du contenu en travail des projets retenus. Une telle disposition renforcerait, voire anticiperait, sur notre proposition précédente destinée à réduire les coûts du travail ; elle aurait surtout pour effet d'élargir l'ensemble des projets attractifs pour des investisseurs privés et des autorités locales. De plus un meilleur accès au marché du capital devrait être recherché grâce à la collaboration d'intermédiaires institutionnels, à l'accroissement des missions de la Banque Européenne d'Investissement, à l'extension ou à la duplication du Fonds Européen d'Investissement. Notre discussion des problèmes structurels se concentre sur les principes de base. Nous insistons d'abord sur les effets défavorables des incertitudes actuelles qui touchent non seulement certains taux d'inflation, d'intérêt et de change, mais aussi les évolutions institutionnelles dans le domaine monétaire, y compris la tentation récurrente de dévaluations compétitives. Nous ne choisissons pas un programme politique spécifique. Mais nous proclamons que réduire les incertitudes institutionnelles à propos des monnaies constitue un objectif important en lui-même. Il devrait être poursuivi activement, afin d'engager l'Europe monétaire sur une voie plus prometteuse pour l'emploi qu'un retour à des taux de change flottants libres entre les monnaies d'économies relativement petites et intégrées entre elles par d'étroits liens commerciaux. Nous examinons ensuite les finances publiques et l'Etat-provi- dence, en reconnaissant que plusieurs pays ont besoin d'une consolidation structurelle de leurs budgets et qu'il existe des éléments de déception quant aux effets des régimes sociaux. Etudiant la logique économique de l' Etat-providence, nous concluons que les réformes à réaliser devraient viser à le rendre plus svelte et plus efficace, non à le démanteler. Pour cela il faut revoir à fond l'efficacité opérationnelle et distributive des programmes existants, afin d'atteindre deux objectifs difficilement compatibles : réduire dans la plupart des pays la part des transferts sociaux dans le PIB, renforcer la protection des plus mal dotés. Les économistes devraient intensifier leur participation aux recherches destinées à relever cet important défi. Enfin, nous tirons les conséquences salariales d'une Initiative Européenne de Croissance visant à une période d'expansion soutenue, donnant la priorité à l'emploi par rapport aux salaires réels. Nous estimons qu'un schéma réaliste associe une croissance de la production de plus de 3 % l'an à une augmentation de l'emploi de plus de 1 % l'an. Cela laisse une marge d'au plus 2 % pour les salaires réels. Etant donné la présence du glissement salarial, le calcul semble conduire à des accords négociés avec des taux réels à peu près constants. Ce schéma est-il réaliste ? Nous soulevons alors la question controversée du rôle que peuvent jouer sur les salaires les poids comparés des impôts sur le capital et le travail. Nous reconnaissons que la baisse de la part des salaires au cours des années 80 a été accompagnée d'une augmentation de la part des revenus d'intérêt, qui dans de nombreux cas sont peu taxés, notamment en raison de la mobilité des capitaux et d'une concurrence fiscale entre pays. A défaut de déclarations systématiques, un prélèvement à la source uniforme au niveau européen, est le seul moyen de corriger ce déséquilibre en faveur des revenus d'intérêt. La question de savoir si un tel prélèvement est ou non désirable en lui-même de façon permanente est débattue entre spécialistes de la fiscalité. Le débat devrait être élargi pour tenir compte de ce que l'équité dans le traitement fiscal du capital et du travail pourrait contribuer de façon significative à la modération salariale, bien qu'il soit prématuré de considérer les preuves empiriques comme concluantes à cet égard. Nous espérons avoir identifié un ensemble de mesures formant un tout cohérent et avoir défini une initiative ayant la taille du problème qui nous confronte. Ces mesures ont des implications budgétaires conduisant à réallouer quelques pour cent du PIB, donc davantage qu'on l'envisage habituellement. Et elles relèvent de la responsabilité d'un vaste ensemble d'institutions qui ne sont pas engagées dans une coordination systématique de leurs politiques. De sérieux problèmes devraient ainsi être résolus pour une mise en œuvre. Nous en appelons aux responsables politiques pour qu'ils fassent preuve d'audace et de détermination en affrontant ces problèmes. Et nous en appelons aux économistes des milieux académiques pour qu'ils participent activement à la définition et à la promotion d'une initiative européenne ambitieuse.
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Vdovina, Irena. "Paul Ricoeur about Co-existence of the People (through the pages of the book «Paul Ricoeur. Politique, économie et société. Écrits et conférences 4» (Paris, 2019))". Philosophical anthropology 6, n. 2 (2020): 47–61. http://dx.doi.org/10.21146/2414-3715-2020-6-2-47-61.

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Abstract (sommario):
The 4th volume of “Manuscripts and Speeches” by the prominent contemporary thinker Paul Ricoeur (1913‑2005) contains works discussing one of his central themes — the problem of a common existence of men considered from the point of view of politics, economics, power, law, culture, morality, and ethics. At the same time, the French thinker specifically highlights and discusses such burning problems of modern life as mutual recognition, the fragility of human existence and earthly civilization in general, tolerance, care, justice, responsibility for the future of humanity, for the very idea of man. In a number of works, Ricoeur expresses his views on the possible future of Europe — on its new ethos overcoming the boundaries and structures of national states, on the combination of their “identity” and “otherness” at the global level. Translation from one language to another as a kind of a priori communication, exchange of memory as a preliminary transfer to a different cultural environment, forgiveness that stems from the suffering of others and raises the question of the burden of debt, — all this is being considered as a models of integration. Originally presented at philosophical congresses and symposia, as well as qua journal publications, the highlighted problems were fundamentally studied by the philosopher in his works “History and Truth” (1955), “Oneself as Another” (1990), “Ethics and Responsibility” (1994), “The Just” (vols. 1, 2 — 1995, 2001), “Ideology and Utopia” (1997), “Memory, History, Oblivion” (2000), “The Way of Recognition” (2004). The book “Paul Ricoeur. Politics, Economics and Society. Manuscripts and Speeches 4” is addressed to philosophers, cultural and political scientists and scholars representing different branches of humanitarian studies, as well as to readers interested in contemporary philosophy.
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Jané, Oscar. "Controlar la frontera en Cataluña. Fortificar y dominar el espacio en la época moderna". Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, n. 11 (22 giugno 2022): 170–88. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2022.11.07.

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Abstract (sommario):
El texto aborda la evolución del análisis historiográfico que se ha llevado a cabo sobre la Cataluña moderna entre finales del siglo XVI y principios del XVIII. Aunque la frontera moderna de Cataluña puede ser múltiple, nos centramos esencialmente en aquella que va desde el Valle de Arán hasta el Mediterráneo. El texto abre con una primera reflexión sobre el camino hacia el cambio de modelo, luego evoca los efectos de las guerras con Francia, con algunos ejemplos concretos, como el de Cerdaña, y, por último, expone la realidad percibida y llevada a cabo con la nueva “fortificación” de la frontera catalana a finales del siglo XVII, cuando el control de Francia se hace evidente. Palabras clave: Frontera, fronterización, fortificaciónTopónimos: Francia, España, Cataluña,Período: época moderna ABSTRACTThe text addresses the evolution of the historiographical analysis that of modern Catalonia between the end of the 16th and the beginning of the 18th century. Although the modern border of Catalonia may be multiple, the focus will essentially be upon the border that runs from the Arán Valley to the Mediterranean. The text opens with an initial reflection on the path towards a change of model, before evoking the effects of the wars with France, with some specific examples, such as that of Cerdanya, and finally presenting the reality perceived and manifested with the new “fortification” of the Catalan border at the end of the 17th century, when French control became evident. Keywords: Border, bordering, fortificationPlace names: France, Spain, CataloniaPeriod: modern era REFERENCIASAyats, A., Louis XIV et les Pyrénées catalanes de 1659 à 1681. Frontière politique et frontières militaires, Trabucaire, Canet, 2002.Bély, L., “La representación de la frontera en las diplomacias durante la Época Moderna”, Manuscrits, 26, (2008), pp. 35-51.— “Westphalie, Pyrénées, Utrecht: trois traités pour redessiner l'Europe”, en O. 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Aunque la arqueología de Al-Andalus no se constituyó como disciplina propia hasta hace unos cuarenta años, el interés hacia las fortalezas llamadas por entonces “hispano-musulmanas” se manifestó mucho antes, centrado esencialmente en los aspectos arquitectónicos y de poliorcética. Más recientemente, la aproximación al proceso de la fortificación medieval se ha ido diversificando. No son pocos los trabajos que buscan en él unas respuestas a preguntas más ambiciosas, relativas a la organización de la sociedad campesina, a las estructuras de poblamiento y a la ordenación del territorio, o a las formas adoptadas por el control estatal.Después de unas breves observaciones introductorias sobre el cambio metodológico experimentado a finales de los años 1970, el artículo hace hincapié en la polisemia de los términos árabes referidos a la arquitectura defensiva. A continuación, se centra en las polémicas surgidas a propósito de uno de estos términos, el ḥiṣn (en el ámbito rural) y en las hipótesis avanzadas al respecto. Finalmente, plantea la cuestión de la existencia en al-Andalus de graneros colectivos fortificados y de ribāṭ-s, estructuras mejor documentadas en África del Norte. Palabras claves: fortificación, estructura social islámica, ordenación del espacioTopónimos: al-AndalusPeriodo: siglos VIII-XV ABSTRACTUntil about forty years ago, the archeology of al-Andalus was not regarded as a discipline in itself. However, interest in the so-called “Moorish” fortresses had been expressed much earlier, focused primarily on architectural and polyorcetic aspects. More recently, the approach to the process of medieval fortification has become more diverse: today many scholars seek within it answers to more ambitious questions, related to the organization of peasant society, settlement structures, land-use planning, or formulae of state control.After some preliminary remarks on the methodological change that occurred in the late 1970s, this paper emphasizes the polysemy of Arabic terms referring to defensive architecture. It then focuses on the debates that arose with regard to one of these terms, the ḥiṣn (in rural areas), and on the hypotheses proposed in this respect. Finally, the paper raises the question of the existence in al-Andalus of ribāṭ-s and fortified collective granaries, structures long considered to be specific to North Africa. Keywords: fortification, Islamic social structure, spatial planningPlace names: al-AndalusPeriod: 8th-15th centuries REFERENCIASAcién Almansa, M. 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Abstract (sommario):
Les difficultés inhérentes à l’accès à la propriété du sol amènent ces dernières décennies (1990-2010) les populations aux revenus modestes à occuper illégalement les espaces publics. Les autorités, pour libérer ces dits espaces, ont recours à la « politique du bulldozer » qui consiste à démolir par la force publique leurs propriétés bâties, ce qui envenime les tensions sociales autour du foncier urbain. À cet égard, l’objectif de cette étude empirique est d’apprécier l’utilisation du bulldozer comme outil de gestion par contrainte, et par ricochet d’en dégager ses répercussions sur le grignotage de l’espace intra- urbain de Bamako, la capitale du Mali. La méthodologie utilisée a consisté en la revue documentaire pour avoir un large spectre sur la question foncière en général et celle du foncier urbain à Bamako en particulier. Ensuite des outils d’enquête dont le questionnaire a été utilisé pour recueillir les données quantitatives, et un guide d’entretien pour glaner les informations qualitatives. Ces données recueillies ont été analysées, interprétées pour les besoins de la cause. Les principales trouvailles de ce travail sont entre autres : la découverte de l’informel comme moteur d’une économie urbaine ; l’épuisement presque total des réserves foncières urbaines ; la précarité des zones à risque où se déroule une violence économique et sociale et le désarroi des pouvoirs publics qui recourent de plus en plus à la politique du bulldozer pour déguerpir les occupations illicites des sites d’utilité publique. Il est de poids de rappeler que le Mali est un pays de l’Afrique Occidentale avec une superficie de 1.241.238km 2, et une densité de 6 habitants /km2 pour une population d’environ 2000.000 d’habitants.
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Béchacq, Dimitri, e Hadrien Munier. "Vodou". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.040.

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Abstract (sommario):
Le vodou haïtien compte parmi les religions issues des cultures afro-américaines telles que les différentes formes de candomblé au Brésil, la santería et le palo monte à Cuba ou encore le culte shango à Trinidad. Le vodou partage certains aspects avec ces autres religions nées de la traite et de l'esclavage des Africains, façonné par l'histoire singulière de la société dans laquelle il est s'est formé. Tout au long de l’histoire haïtienne, le vodou a été marqué par des rapports étroits avec le champ politique et religieux. Entre mythe et histoire, à la fois réunion politique et religieuse, la cérémonie vodou du Bois-Caïman est passée à la postérité comme l’événement initiateur de l’indépendance d’Haïti proclamée le 1er janvier 1804. Nées dans le contexte esclavagiste de la colonie française de Saint-Domingue, les pratiques alors assimilées au vodou (fabrication de poisons, danses, assemblées nocturnes, etc.) étaient interdites. Au XIXe siècle, différentes constitutions privilégièrent le catholicisme au détriment du vodou jusqu’au Concordat de 1860 entre Haïti et le Vatican. Si certains dirigeants haïtiens comptaient dans leurs réseaux des serviteurs du culte, d’autres soutenaient les campagnes antisuperstitieuses menées par le clergé. L’Occupation américaine d’Haïti (1915-1934) provoqua un sursaut nationaliste : l’indigénisme et le mouvement ethnologique et folklorique placèrent alors les classes populaires et le vodou au centre d’une refondation culturelle, ce qui fut ensuite récupéré par François Duvalier avec le noirisme (Béchacq 2014a). En 1986, des officiants et des temples vodou furent attaqués à la suite de l’exil de Jean-Claude Duvalier du fait de leur relation étroite, avérée ou supposée, avec la dictature. Deux premières associations de défense et de promotion du culte, Zantray et Bodè Nasyonal furent crées. Un mouvement d’institutionnalisation du vodou se développa dans les années 1990 par des militants souhaitant représenter les pratiquants dans les instances publiques nationales. En 2003, le culte fut reconnu par décret comme « religion à part entière » et en 2008, une fédération d’associations vodou désigna son représentant, Max Beauvoir, comme « Guide Suprême du Vodou » et défenseur du culte contre ses détracteurs (Béchacq 2014b). Le catholicisme, les églises protestantes et plus récemment l’islam entretiennent des relations complexes avec le vodou. Son influence est combattue par les autorités religieuses, notamment protestantes, qui appellent à la lutte contre le vodou, poursuivant ainsi l’œuvre des campagnes antisuperstitieuses catholiques (fin XIXe-milieu XXe siècles). Parallèlement, plusieurs religions peuvent être représentées dans une même famille ; l’adhésion au vodou, comme aux autres cultes, peut constituer une étape dans un parcours religieux, d’autant qu’il existe des similitudes entre vodou et pentecôtisme (glossolalie, transe, etc.). Le vodou est réputé pour être fréquenté majoritairement par des femmes, comme espace de tolérance pour les homosexuels et il existe plusieurs niveaux de rapport au vodou, du client non initié au pratiquant assidu. Si ce culte a pendant longtemps symbolisé la bipolarité socioculturelle haïtienne (pauvres/riches, noirs/mulâtres, campagne/ville, créole/français, etc.), toutes les couches sociales sont aujourd’hui représentées dans le vodou. Les serviteurs sont organisés en familles spirituelles sous l'autorité charismatique d'un oungan ou d'une manbo et liés par une filiation initiatique. De ce fait, et par son mode de transmission principalement oral, le vodou haïtien connaît une grande variabilité d'un groupe à l'autre. Une diversité régionale du vodou se manifeste dans les identités des esprits, les rites, les chants, les rythmes musicaux, la liturgie, l’initiation et dans le rapport à la possession, certains rituels régionaux valorisant des transes plus expressives. Enfin, selon qu'il soit pratiqué en ville, et surtout à Port-au-Prince, ou en milieu rural, lieu de nombreux pèlerinages, le vodou affiche des différences importantes affectant le rapport aux entités, la sophistication des cérémonies ou le rapport à l'environnement. Cette diversité amène certains auteurs à considérer qu'il existe plusieurs vodou (Kerboull 1973). L’essentiel de la liturgie est issu de rites de possessions africains, origine que l’on retrouve dans les noms des lwa (Legba, Danbala, Ogou…), dans ceux de leurs familles ou nanchon (nation), ou encore dans ceux des rituels (Rada, Nago, Kongo...) (Métraux 1958). Pendant la période coloniale, les pratiquants – principalement des esclaves mais également, à différents degrés d’implication, des colons ou des « libres de couleur » – se sont aussi appropriés le catholicisme populaire européen par l'usage des chromolithographies et des prières. Les deux autres influences sont la magie – européenne, diffusée par la circulation de livres, et plusieurs variantes africaines – et la franc-maçonnerie. Par ailleurs, le contact des esclaves avec les premiers habitants de l’île et l’usage d’artefacts taïno (haches polies, céramiques) dans le vodou étant avérés, certains intellectuels y voient la preuve d’une influence sur le culte. L'ensemble de ces influences, sans cesse retravaillées par les dynamiques sociales, a fait du vodou une « religion vivante » (Bastide 1996) parmi les religions afro-américaines. Le vodou fait partie intégrante du pluralisme médical haïtien, aux côtés de la phytothérapie populaire, des doktè fey (docteurs feuilles), de la biomédecine et de certaines églises évangéliques (Brodwin 1996 ; Vonarx 2011 ; Benoît 2015). Pour effectuer leurs trètman (traitements), les praticiens vodou recourent systématiquement à leurs entités, dépositaires du savoir thérapeutique. Les rituels de guérison et les séances de consultation prennent en charge les maux physiques, relationnels et spirituels et comprennent des bains, des prières, des boissons et/ou la confection d'objets magiques (Munier 2013). Ils sollicitent parfois des lieux spécifiques (église, carrefour, cimetière) et des éléments de l’espace naturel (rivière, mer, arbre, grotte). Ces pratiques visent à intégrer le patient dans des collectifs composés d'entités et de pratiquants, reliés entre eux par des échanges mutuels témoignant de la dimension holistique du vodou qui associe étroitement médecine et religion, environnement social et naturel. La diaspora haïtienne – en Amérique du Nord, dans la Caraïbe et en Europe francophone – s’est formée dans les années 1960 et est actuellement estimée à 2 millions de personnes. Ces communautés d’Haïtiens, leurs descendants et leur pays d’origine sont reliés par des réseaux familiaux, économiques, politiques et religieux, dont ceux du vodou (Richman 2005). Ce dernier s’est adapté à de nouveaux environnements urbains et participe de cette dynamique transnationale (Brown Mac Carthey 2001) ; Béchacq 2012). Du fait de son fort ancrage dans la culture haïtienne et de son absence de prosélytisme, le vodou est surtout pratiqué dans ces nouveaux espaces par des Haïtiens et leurs descendants, ainsi que par des Caribéens et des Africains-Américains mais assez peu par d'autres populations.
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"Buchbesprechungen". Zeitschrift für Historische Forschung: Volume 47, Issue 3 47, n. 3 (1 luglio 2020): 465–590. http://dx.doi.org/10.3790/zhf.47.3.465.

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Abstract (sommario):
Classen, Albrecht (Hrsg.), Travel, Time, and Space in the Middle Ages and Early Modern Time. Explorations of World Perceptions and Processes of Identity Formation (Fundamentals of Medieval and Early Modern Culture, 22), Boston / Berlin 2018, de Gruyter, XIX u. 704 S. / Abb., € 138,95. (Stefan Schröder, Helsinki) Orthmann, Eva / Anna Kollatz (Hrsg.), The Ceremonial of Audience. Transcultural Approaches (Macht und Herrschaft, 2), Göttingen 2019, V&R unipress / Bonn University Press, 207 S. / Abb., € 40,00. (Benedikt Fausch, Münster) Bagge, Sverre H., State Formation in Europe, 843 – 1789. A Divided World, London / New York 2019, Routledge, 297 S., £ 120,00. (Wolfgang Reinhard, Freiburg i. Br.) Foscati, Alessandra, Saint Anthony’s Fire from Antiquity to the Eighteenth Century, übers. v. Francis Gordon (Premodern Health, Disease, and Disability), Amsterdam 2020, Amsterdam University Press, 264 S., € 99,00. (Gregor Rohmann, Frankfurt a. M.) 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Über Leben und Sterben im Krieg (Konsulat und Kaiserreich, 5), Berlin [u. a.] 2018, Lang, 352 S., € 71,95. (Jürgen Luh, Potsdam)
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Canals, Roger. "Culte à María Lionza". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.005.

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Abstract (sommario):
Le terme « culte à María Lionza » renvoie à un ensemble de pratiques rituelles consacrées à la déesse María Lionza et à d’autres esprits de son panthéon. Il est présent sur une grande partie du territoire vénézuélien, notamment dans la région de Yaracuy, au centre ouest du pays, sur la côte caribéenne et dans les grandes villes comme Caracas. La Montagne de Sorte, dans la région de Yaracuy, est le principal centre de pèlerinage des croyants. Bien qu’il soit originaire du Venezuela, le culte à María Lionza est également visible, avec quelques variantes, dans plusieurs autres pays de la région caribéenne et de l’Amérique du Sud, voire aux États-Unis et en Europe. L’origine de ce culte remonte à la conquête espagnole du Venezuela. Au fil des ans, les pratiques sacrées indiennes, les religions africaines apportées par les esclaves noirs ainsi que le catholicisme auraient fusionné donnant lieu à des manifestations religieuses nouvelles (Mintz et Price 1992 ; Andrews 2004). Dès la fin du XIXe siècle se seraient ajoutées à ces trois sources principales d’autres influences culturelles comme le spiritisme kardeciste et l’occultisme, entre autres (Pollack-Eltz 1972 ; Clarac de Briceño 1996 ; Barreto 1990). Cependant, et à la différence de cultes afro-américains comme la Santería Cubaine, le Candomblé ou le Voudou haïtien, le culte à María Lionza n’est pas, dès son origine, connecté aux communautés d’esclaves africains. Jusqu’au XXe siècle, ce culte contenait essentiellement des éléments d’origine catholique et indienne, notamment des images religieuses de saints ou des pratiques d’adoration d’éléments naturels comme des cascades ou des fleuves. A cette période-là, le culte était majoritairement répandu parmi la population métisse et rurale, et l’apport africain n’était que peu présent –la possession spirituelle ou l’usage de percussions, par exemple, étaient rares lors des cérémonies. Dans les années quarante, le culte devint urbain du fait de la migration massive de la population rurale vers les grandes villes suite au boom pétrolier (Coronil 1997). C’est dans ce nouveau contexte, et essentiellement sous l’influence de la santería cubaine, que le culte commence à subir un processus d’afroaméricanisation avec plus de recours aux possessions spirituelles, aux percussions et à une multiplication des entités surnaturelles. Aujourd’hui, le culte à María Lionza entretient de multiples connexions avec d’autres cultes afro-américains comme le Palo Mayombe, l’Umbanda et le spiritisme dominicain. L’incessant partage d’éléments entre ces pratiques oblige à les considérer toutes en termes de continuité et à adopter à leur égard une perspective d’analyse comparatiste. Enfin, quant aux liens du culte avec d’autres religions, force est de constater que l’immense majorité des Maríalionzeros (les pratiquants du culte) s’affirme catholique, paradoxalement à l’opposition historique de l’Église catholique à la pratique de ce culte. Les églises évangélistes, dont le nombre au Venezuela ne cesse de s’accroître, critiquent elles aussi le culte avec véhémence, l’accusant souvent d’être une œuvre du diable. Le culte à María Lionza englobe des rituels de guérison, divination, purification et initiation, dans lesquels les épisodes de possession sont fréquents. La transe est plus ou moins violente selon l’esprit qui « descend » et la façon de « travailler » de chaque médium ou materia (matière). Parfois la possession pousse le médium jusqu’à la blessure ou l’automutilation (Ferrándiz 2004). Cela dit, nombre de croyants rendent hommage aux divinités de manière très calme et discrète, sans inclure des épisodes de transe. A part María Lionza, ce culte compte des centaines d’esprits, nommés aussi entidades (entités) ou hermanos (frères). Ceux-ci correspondent aussi bien à des divinités n’ayant jamais eu une existence terrestre qu’à des personnages célèbres ou aux âmes de défunts. Ces esprits sont regroupés en différentes cortes (cours) ou ensembles de divinités présentant une affinité ethnique, sociale ou professionnelle. On retrouve ainsi la Corte Africana (Cour Africaine), la Corte Malandra (Cour des Délinquants) ou la Corte Militar (Cour Militaire), parmi bien d’autres. Les cortes, quant à elles, sont ordonnées suivant une logique pyramidale : celles ayant moins de pureté sont placées en bas du panthéon tandis que les plus pures ou dites « avec le plus de lumière » sont placées en haut, aux côtés de María Lionza et du Christ. S’ils réalisent de bonnes actions, les esprits en position basse peuvent gravir l’échelle du panthéon. Ce vaste panthéon spirituel peut être interprété comme un dispositif de réappropriation voire de subversion de l’histoire. Il est par exemple fréquent que les esprits d’anciens chefs indiens ayant lutté contre les Espagnols pendant la Conquête (les célèbres caciques) descendent dans le corps des médiums et racontent, en témoins directs, les faits survenus il y a 500 ans, donnant leur avis sur la situation politique actuelle et offrant des conseils à l’assistance. Le culte relie ainsi passé, présent et futur, vie et mort, mémoire collective et expérience individuelle. Le culte à María Lionza ne constitue une pratique ni unifiée ni cohérente. Chaque groupe de culte, nommé centro (centre), organise les rituels à sa manière et donne sa propre version de l’origine de la déesse. Les rivalités entre les centros sont fréquentes et parfois violentes. Non seulement pluriel, le culte à María Lionza est aussi dynamique et changeant. En effet, les pratiquants le transforment incessamment en y incorporant de nouvelles divinités (tel que l’ex-président Chávez) et de nouvelles techniques rituelles à travers notamment les technologies de communication. María Lionza, quant à elle, est une déesse imaginée et représentée de façons très différentes, voire apparemment contradictoires : on peut la voir indienne, blanche, métisse ou, plus rarement, noire, selon les mythes, légendes ainsi que les études à caractère historique retraçant son origine. Cela dit, deux versions iconographiques et littéraires de María Lionza sont particulièrement répandues : d’une part, celle où elle apparaît comme une femme indienne nue chevauchant un tapir et, d’autre part, celle où elle est représentée comme une femme métisse ou blanche, habillée comme une femme du XVIIe ou XVIIIe siècle, portant une couronne sur la tête et tenant une rose sur la poitrine (Canals 2010). María Lionza apparaît souvent accompagnée de Felipe le Noir (El Negro Felipe) et de l’Indien Guacaipuro (El Indio Gucaipuro). L’ensemble de ces trois figures, nommées les Trois Puissances (las Tres Potencias), a, pour les croyants, un double sens : d’un côté, il est l’expression divine du métissage de la population vénézuélienne à travers les représentants de ce que les Vénézuéliens appellent « les trois races » (las tres razas, c’est-à-dire indien, blanc et noir) qui ont constitué le réseau ethnique du pays, et, d’un autre côté, il représente le paradigme d’entente et de réconciliation historique entre ces trois sources culturelles. Bref, les Trois Puissances sont, en même temps et pour les croyants, le reflet de ce qu’est le Venezuela et l’exemple de ce qu’il devrait être. Les images religieuses ont une grande importance dans le culte (Canals 2011) et donnent lieu à une industrie ésotérique qui a acquis une échelle planétaire. Lors des cérémonies, les croyants se réunissent autour de l’autel, nommé aussi portal (portail) où se trouvent surtout des statuettes de divinités. Hormis ces icônes, le culte serait inconcevable sans un grand nombre d’objets ou produits à forte composante sensitive et symbolique. Parmi ceux-là, il faut distinguer les substances « naturelles » (tabac, rhum, miel) de celles composées dans les perfumerías ou boutiques ésotériques. Dans ces boutiques s’amoncellent des savons, flacons de parfum, crèmes, encens et nombre d’autres éléments fabriqués à des fins très précises liés à la vie quotidienne et arborant des noms suggestifs: Amarra Hombres (lotion de séduction « attrape-hommes » adressée aux femmes) ou Tumba Negocios (produit pour faire échouer les affaires de ses concurrents commerciaux). Cette industrie ésotérique joue un rôle économique important au Venezuela et ailleurs. En fait, le culte à María Lionza est, pour nombre de croyants, un moyen de survie. Les rituels de guérison, divination ou initiation sont souvent payants, sans arriver pour autant aux prix exorbitants pratiqués dans d’autres religions comme la Santería. Par ailleurs, le culte à María Lionza est très présent sur le net, aussi bien sur des sites ésotériques que sur des réseaux sociaux. Cette présence sur Internet joue un rôle décisif dans l’expansion et la réinvention du culte. Récemment, certains groupes de culte ont initié des démarches pour intégrer le culte au Patrimoine Immatériel de l’UNESCO. Cette volonté de reconnaissance institutionnelle constitue un changement par rapport à la dynamique historique du culte qui a maintenu vis-à-vis du pouvoir et de l’officialisme une position majoritairement d’opposition, bien que nombre de représentants politiques et de militaires aient été, depuis les années 1950, pratiquants du culte en secret (Taussig 1997)

Tesi sul tema "Politique urbaine – Europe – 1990-2020":

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Fontana, Francesca. "Seuils et densités dans les perspectives de régénération urbaine au tournant du XXIè siècle". Electronic Thesis or Diss., Strasbourg, 2013. http://www.theses.fr/2013STRAG034.

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Abstract (sommario):
Au tournant du XXIème siècle plusieurs nouveaux défis dans les domaines environnementales, économique et sociétal intéressent les villes. Nombreuses métropoles occidentales visent aujourdʼhui à devenir des «modèles» de développement durable, intelligeant et équitable, dans lʼaprès-Kyoto. Lors des consultations internationales sur lʼavenir des villes métropoles (Grand Paris en 2007 suivi par Bruxelles 2040, Lille 2030, Grand Moscou 2050, etc.), politiciens, économistes et experts réfléchissent ensemble au rapport entre régénération et formes urbaines. Notamment les pratiques du recyclage, de la récupération et de la réparation deviennent centrales. Pour contrevenir lʼétalement urbain, la dispersion résidentielle et le manque dʼidentité de plusieurs zones, on parle à nouveau de concentration et intensification des aires urbaines, de densités minérales et végétales, de mixité et dʼhybridation fonctionnelle. Qualités indéniables de la ville durable mais dépourvues des réelles retombées à une échelle architecturale adéquate. Au moment que nouveaux regroupements dʼintercommunalités redessinent leurs limites urbains en envisageant de reconstruire leur identité sur des objectives communes, notre recherche réclame la nécessité de comprendre et maîtriser les différents dégrés de modifications possibles sur un tissu urbain déjà sédimenté. Réversibilité et flexibilité deviennent alors deux concepts opérationnelles et complémentaires dans le nouveau rôle que lʼarchitecture doit se donner à fin de sʼinsérer dans des situations déjà en cours. Architecture capable dʼintégrer la perspective et dʼaccueillir, au cours du temps, ses propres transformations et évolutions
At the beginning of the 21st century, many new challenges have been proposed to the cities in the realms of ecology, economy and sociology. Several western metropolis aim at becoming nowadays a template for a sustainable, smart and fair development, particularly in the “after Kyoto” world. In recent international consultations on the future of cities (e.g. Grand Paris in 2007, followed by Bruxelles 2040, Lille 2030, Big Moscow 2050 etc.) politicians, economists and urban experts discussed together the relationship between regeneration and urban forms. In particular the practices of recycling, rescue and repair became central themes. In order to contain urban expansion, sprawl and lack of identity, the consultations re‐propose the concepts of concentration and intensification of urban areas, of vegetal and artificial density, of mixing and of functional hybridization. These are undeniable qualities of a sustainable city, but unfortunately deprived of real repercussions at the proper human scale. At present, while new inter‐municipal groups redraw their urban limits and envisage to renovate their identity around common goals, our research claims the need to understand and master different degrees of possible modifications on the already established urban fabric. In order for architecture to play a role in situations that are already in progress, reversibility and flexibility become two operational and complementary concepts. Architecture must become capable of integrating in time mutating perspectives and accepting its own transformation and evolution
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Fontana, Francesca. "Seuils et densités dans les perspectives de régénération urbaine au tournant du XXIè siècle". Thesis, Strasbourg, 2013. http://www.theses.fr/2013STRAG034.

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Au tournant du XXIème siècle plusieurs nouveaux défis dans les domaines environnementales, économique et sociétal intéressent les villes. Nombreuses métropoles occidentales visent aujourdʼhui à devenir des «modèles» de développement durable, intelligeant et équitable, dans lʼaprès-Kyoto. Lors des consultations internationales sur lʼavenir des villes métropoles (Grand Paris en 2007 suivi par Bruxelles 2040, Lille 2030, Grand Moscou 2050, etc.), politiciens, économistes et experts réfléchissent ensemble au rapport entre régénération et formes urbaines. Notamment les pratiques du recyclage, de la récupération et de la réparation deviennent centrales. Pour contrevenir lʼétalement urbain, la dispersion résidentielle et le manque dʼidentité de plusieurs zones, on parle à nouveau de concentration et intensification des aires urbaines, de densités minérales et végétales, de mixité et dʼhybridation fonctionnelle. Qualités indéniables de la ville durable mais dépourvues des réelles retombées à une échelle architecturale adéquate. Au moment que nouveaux regroupements dʼintercommunalités redessinent leurs limites urbains en envisageant de reconstruire leur identité sur des objectives communes, notre recherche réclame la nécessité de comprendre et maîtriser les différents dégrés de modifications possibles sur un tissu urbain déjà sédimenté. Réversibilité et flexibilité deviennent alors deux concepts opérationnelles et complémentaires dans le nouveau rôle que lʼarchitecture doit se donner à fin de sʼinsérer dans des situations déjà en cours. Architecture capable dʼintégrer la perspective et dʼaccueillir, au cours du temps, ses propres transformations et évolutions
At the beginning of the 21st century, many new challenges have been proposed to the cities in the realms of ecology, economy and sociology. Several western metropolis aim at becoming nowadays a template for a sustainable, smart and fair development, particularly in the “after Kyoto” world. In recent international consultations on the future of cities (e.g. Grand Paris in 2007, followed by Bruxelles 2040, Lille 2030, Big Moscow 2050 etc.) politicians, economists and urban experts discussed together the relationship between regeneration and urban forms. In particular the practices of recycling, rescue and repair became central themes. In order to contain urban expansion, sprawl and lack of identity, the consultations re‐propose the concepts of concentration and intensification of urban areas, of vegetal and artificial density, of mixing and of functional hybridization. These are undeniable qualities of a sustainable city, but unfortunately deprived of real repercussions at the proper human scale. At present, while new inter‐municipal groups redraw their urban limits and envisage to renovate their identity around common goals, our research claims the need to understand and master different degrees of possible modifications on the already established urban fabric. In order for architecture to play a role in situations that are already in progress, reversibility and flexibility become two operational and complementary concepts. Architecture must become capable of integrating in time mutating perspectives and accepting its own transformation and evolution
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Yun, Ji-Young. "Nouveaux réseaux de communication dans la construction du lien socio-politique en Europe". Paris 5, 2001. http://www.theses.fr/2000PA05H089.

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Abstract (sommario):
Notre étude débute sur l'observation de l'affaiblissement de l'espace symbolique de l'état qui remet ainsi en cause l'identité citoyenne. Le lien socio-politique, qui à été fondé sur une structure pyramidale du temps copernicien et dans une logique fondée sur des relations contractuelles et rationnelles, n'est plus à même d'expliquer les rapports sociaux de notre temps. Partant de cette réflexion, notre hypothèse se fonde sur l'observation de l'augmentation de phénomènes socio-politiques lies à l'émergence des nouveaux réseaux de communication et de medias. La manière dont ceux-ci s'impliquent dans notre société nous offrirait ainsi une lecture de nouvelles formes de relations socio-politiques qui s'inscrivent dans un ordre structurel de la société, et que nous appellerons << réticulaires >>. De ce point de vue, nous avons voulu comprendre dans quelle mesure, et sous quelles formes, s'articulent les problèmes que posent la société en réseaux, et les problèmes que posent la reconstitution de nouvelles entités. Nous avons privilégies deux terrains de recherches, l'émergence symptomatique des << réseaux citoyens (community network(ing)) >>, et la politique européenne de la société de l'information en ce qu'elle montre la difficulté à créer une territorialité symbolique par les moyens des NTIC. Nous proposons une compréhension de notre société par les phénomènes corrélatifs de mondialisation et de << communautarisation >>. Ici, l'enjeu identitaire se traduit par la recherche de l'individualité collective, celle qui se manifeste par de nouveaux types d'<< être-ensemble >> et de << vivre-ensemble >>. La relation intersubjective transversale qui s'impose se situe entre le nous et le moi ; la frontière qui sépare ce qui est de l'intérieur et ce qui est de l'extérieur n'est plus fixe, prédéfinie, mais est désormais brouillée par les formes de réseaux. Nous avons appelé ce nouvel ordre de relation << structures réticulaires >>. Les nouvelles technologies de la communication, quant à elles, interviennent dans ce contexte pour accélérer ces nouveaux liens socio-politiques. Aujourd'hui, ceux-ci qui se concrétisent de manière réticulaire nécessiteraient donc d'être compris dans une nouvelle interprétation de la citoyenneté, de l'espace public et de la proximité. Notre étude propose ainsi de ne pas se limiter à l'étude de la société de la communication, mais de l'appréhender dans le
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Comte, Olga. "Les petites villes de Russie centrale dans les réformes des années 1990". Paris, INALCO, 2001. http://www.theses.fr/2001INAL0020.

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Benraïs, Linda. "Bilan et perspectives de la politique de coopération juridique française en Europe centrale et orientale : la stratégie des partenariats". Paris 5, 2004. http://www.theses.fr/2004PA05D008.

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Abstract (sommario):
La présente analyse vise à dresser le bilan et les perspectives de la coopération juridique française en Europe centrale et orientale de 1990 à 2004. Cette thèse se propose de vérifier en pratique la cohérence juridique des politiques de coopération française, européenne et internationale mises en place en matière d'Aide publique au Développement pour renforcer les systèmes juridiques et judiciaires des pays de l'Europe centrale et orientale et de formuler des recommandations visant à améliorer le dispositif actuel. Elle tend à démontrer que le partenariat constitue un nouvel instrument d'entente entre les peuples et le vecteur d'une solidarité d'influence efficace pour l'ensemble des pays tiers de l'Union européenne
The present analysis aims to assess the results and future guidelines of French legal cooperation in Central and Eastern Europe from 1990 to 2004. Starting from a practical viewpoint, it proposes to determine, on a more general level, the legal coherence of the policies of French, European and international cooperation as regards government development aid for the reinforcement of the legal and judicial systems of Central and Eastern European countries and to put forth proposals for the improvement of its current implementation. The present analysis attempts to demonstrate that partnership constitutes the new instrument of agreement between people to be taken for the development of a productive solidarity of efficient influence for the whole of the European Union's third party countries
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Gratadour, Céline. "L'accompagnement des demandeurs d'emploi : de la conception à la mise en oeuvre : complexité des institutions, difficultés d'évaluation". Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010062.

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Abstract (sommario):
L'objectif de cette thèse est d'analyser les différentes réformes réalisées en Europe et plus particulièrement en France de l'accompagnement des demandeurs d'emploi, dans sa dimension tant procédurale (conception et contenu des parcours) qu'institutionnelle (mise en oeuvre par différents acteurs, de nature publique ou privée). L'approche retenue de l'accompagnement des demandeurs d'emploi se veut multidimensionnelle et comparative. L'objectif de la première partie est de comprendre comment l'évolution de l'analyse économique sur le rôle des institutions du marché du travail, relayée en particulier par la Commission Européenne dans le cadre de la Stratégie Européenne pour l'Emploi, s'est-elle concrétisée dans les réformes menées au Royaume-Uni, Pays-Bas, Danemark, Suède et France, pays qui sont au centre de notre attention. Différentes tendances communes sont à l'oeuvre en Europe concernant l'accompagnement des demandeurs d'emploi dans sa dimension procédurale. La question se pose de l'impact de telles réformes. La seconde partie de cette thèse a de fait une portée plus empirique. Après avoir introduit les différentes méthodes microéconomiques permettant d'isoler l'impact d'un dispositif d'accompagnement, nous présentons les résultats de deux études menées d'une part sur les dispositifsciblés d'accompagnement des salariés licenciés pour motif économique et d'autre part sur des dispositifs plus généraux d'accompagnement. Par ailleurs, le Service Public de l'Emploi français a fait l'objet de transformations profondes ces dernières années : implication croissante d'opérateurs privés de placement, décentralisation accrue aux collectivités territoriales, fusion de l'ANPE et des Assedic en un organisme unique, Pôle Emploi. L'objectif de la troisième partie de cette thèse est d'une part de comprendre l'impact de la sous-traitance accrue de l'accompagnement à des opérateurs privés de placement et d'autre part, d'identifier les mécanismes de Gouvernance à mettre en oeuvre, au niveau national et local, afin de faire converger les objectifs de l'ensemble des acteurs partie prenantes du Service Public de l'Emploi.
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Jimborean, Ramona. "Développement financier et convergence économique : le cas des pays en transition". Paris 12, 2007. http://www.theses.fr/2007PA123018.

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Abstract (sommario):
Cette thèse procède à une analyse des spécificités des systèmes financiers des pays d'Europe Centrale et Orientale et évalue plusieurs aspects: la relation entre le développement financier et la croissance économique (chapitre 1), la structure des actifs monétaires (chapitre 2) et le canal du crédit de transmission de la politique monétaire (chapitre 3). Notre travail est fondé sur les travaux théoriques et empiriques sur la relation qui existe entre le développement financier et la croissance économique (chapitre 1). Nous montrons que le crédit domestique au secteur privé, en tant que mesure du développement financier, a un impact global positif sur la croissance économique. Quand nous distinguons entre les groupes des pays, le coefficient devient négatif et statistiquement significatif pour les pays de l'Europe du Sud- Est; nous expliquons ces résultats par la persistance des `contraintes budgétaires molles' et les crises bancaires qui y ont survenues dans les années 1990s. L'analyse de la structure des actifs monétaires montre la préférence accrue pour la détention d'espèces qui est en forte relation avec le manque de confiance dans le secteur bancaire et son efficacité réduite, auxquels s'ajoute la forte substitution monétaire. Un autre résultat qui ressort consiste dans la détention des dépôts à terme en absence d'autres alternatives d'investissement, le marché financier étant sous-développé dans ces pays (chapitre 2). En utilisant des données agrégées (macro-économiques) et individuelles (de bilan bancaire), nous examinons l'existence du canal de crédit bancaire, en tant que mécanisme de transmission de la politique monétaire (chapitre 3). La méthode utilisée vise à découvrir des asymétries dans le comportement des banques suite à une politique monétaire restrictive. La théorie est confirmée: le volume des crédits octroyés par les banques de taille réduite, moins liquides et avec de ratios réduits de capitalisation est le plus affecté par une politique monétaire restrictive. Nous ne nous attendons pas à ce que la dépendance de prêteurs vis-à-vis des banques diminue au fur et à mesure que ces pays s'intègrent plus et se rassemblent de plus en plus aux économies de l'Europe de l'Ouest. La diminution continue de l'excès de liquidité dans le système bancaire et la réduction de la capitalisation suite à l'amélioration de l'efficacité, soulignent la possibilité de renforcement du canal de crédit bancaire, dans l'avenir, dans les pays d'Europe Centrale et Orientale
This dissertation identifies financial systems features in Central and Eastern European countries and analyzes several aspects: the relationship between financial development and economic growth (chapter 1), the monetary assets structure (chapter 2) and the bank lending channel as a monetary policy transmission mechanism (chapter 3). Based upon the theoretical and empirical literature on financial development-economic growth link, we show that domestic credit to the private sector has an overall long-run positive and significant impact on economic growth. When we distinguish among the group of countries, the coefficient becomes negatively and significantly correlated to the growth process for South-Eastern European countries (chapter 1). We explain this result by the persistence of `soft budget constraints' and the banking crises that occurred in the 1990s. The analysis of the monetary assets structure shows the preference of holding currency; this is strongly connected with the low confidence in the banking sector, its low efficiency and the high monetary substitutions. The analysis equally shows the preference of holding term deposits, as there is a lack of alternative opportunities for investment and the financial markets are under-developed in these countries (chapter 2). The existence of the bank lending channel as a monetary policy transmission mechanism is examined in chapter 3. The theory is confirmed: lending activity of small/less liquid/less capitalized banks is more sensitive to a monetary policy contraction. We do not expect that the bank-dependence of borrowers will decline as these economies integrate more and become more similar to Western European economies. The continuous diminishment of excess liquidity in the banking systems and the decreasing capitalisation, due to the increasing efficiency, outlines the possibility of strengthening the bank-lending channel in the future, in Central and Eastern European Countries
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Wilson, Wetter Yaneira. "La politique de la ville en images : le cas de la Gran Misión Vivienda Venezuela (2011-2020)". Thesis, Paris 10, 2020. http://www.theses.fr/2020PA100064.

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Abstract (sommario):
La « Grande Mission Logement Venezuela » (Gran Misión Vivienda Venezuela ou GMVV) a été créée en 2011 ; dans un pays qui était en mutation depuis 1999 avec l’arrivée de Hugo Chavez au pouvoir, et qui connaît, 21 ans après, une situation de crise généralisée. Ce programme propose la construction massive et rapide de logements destinés prioritairement aux familles touchées par une succession d’événements climatiques. La thèse étudie la transformation du territoire engendrée par la GMVV, qui dépasse le cadre traditionnel d’une politique de la ville. Seront analysés, le statut de la propriété, le rôle imputé à l’architecture et à l’urbanisme, le rôle de l’image produite dans ce contexte, le positionnement des habitants rencontrés face à leur nouveau cadre de vie. La GMVV, fortement étayée par la communication visuelle gouvernementale, sera aussi analysée comme facteur de résilience pour ses bénéficiaires, face aux traumatismes révélateurs de la vulnérabilité du territoire et des habitants. Des sentiments paradoxaux d’abandon de la part du pouvoir, mais aussi de reconnaissance d’être logé, ou de fierté à surmonter la situation de crise du pays, font partie chez les résidents des constats de cette étude
The Great Housing Mission Venezuela (Gran Mision Vivienda Venezuela or GMVV) was created in 2011 in a country that has been in constant change since 1999 after the arrival of President Hugo Chavez to the power and which is still experiencing a situation of generalized crisis 21 years later. This program proposes the massive and fast construction of houses mainly destined for families affected by a succession of climatic events. The thesis studies the transformation of the territory produced by the GMVV which goes beyond the traditional framework of city policies. I will analyze the status of the property, the purpose assigned to architecture and urban planning, the role of the image produced in this context, and the stance of the inhabitants in front of their new living environment. The GMVV, strongly supported by the government's official visual communication, combined with other, will be analyzed as a resilience factor for its beneficiaries facing a trauma that reveals the vulnerability of the territory and its inhabitants. One of the conclusions of this study is that the inhabitants express a paradoxical feeling of abandonment by the authorities concurrently with recognition for being sheltered and pride in overcoming the country's sustained crisis situation
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Estrada, Federico. "Pouvoirs publics, commerce informel et marché du travail : étude de cas sur les transformations du centre historique à Guatemala-Ville". Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0098.

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Abstract (sommario):
Le but de cette étude sur les commerçants informels du centre historique de Guatemala-Ville a été de comprendre leur organisation sociale et politique. La thèse aborde trois axes : la structure administrative municipale et son influence sur le phénomène, les logiques d´organisation et les expressions politiques des commerçants. Cette recherche qualitative s´est déroulée entre 2006 et 2011. Les principaux informateurs sont les représentants des commerçants et les fonctionnaires de la mairie de Guatemala-Ville. Les analyses nous conduisent à affirmer que les politiques publiques de la mairie instrumentalisent l´espace public afin de confronter les groupes qui occupent cette zone. Les modalités de ce commerce effacent peu à peu les frontières entre l´informel et le formel, créant ainsi une articulation dérégulée mais stable. Dans ce milieu, les logiques locales établissent la fragmentation de l´espace et le type de revendications ; la force du mouvement politique est encore en consolidation et dépend de la structure municipale. En étudiant les représentations sociales, on démontre que la catégorie du « travail » diversifie son contenu et par ce biais, la forme et le sens du travail deviennent flexibles. À la fin de cette thèse, seront identifiées trois questions majeures qui réorientent la recherche sur les secteurs informels : dans le cadre d´un État guatémaltèque faible, de quelles capacités d´intervention dispose encore la sphère publique ? Quels sont les effets produits sur le marché du travail à partir de la fusion entre le formel et l´informel ? Quel type de société peut être structuré à partir des nouvelles logiques de régulation locale ? Quels critères politiques seront à la base du renouvellement urbain ?
This doctoral study of informal merchants of the historical zone of Guatemala City was intended to comprehend their social and political organization. The analyses were achieved from three different perspectives: the public administration and its influence over the phenomenon; the social organizational logics and the political expressions being produced. It is a qualitative thesis accomplished between 2006 and 2011. The main informants represent two different groups: merchants and employees from the Guatemala City municipality. The analysis revealed that public policies from the municipality are strategically modifying the public space in order to confront the groups that occupy the zone. This type of commerce is erasing the borders of informal and formal, creating a non regular but stable activity. Local and traditional logics are fractioning the space and the political claims. The political movement is still structuring itself and it depends on the municipality. Analyzing the social representations, we prove the modifications of contents given to the category “labor”, herby the flexibility attached to the shape and sense of labor. At the conclusions, three mayor questions arise for continuing the research on informal sectors: Given a frame of a weak Guatemalan State, which are the remaining capacities of the public sphere to intervene the social orders? What are the upcoming effects of the fusing between formal and informal sectors? What type of society could it be created from these emerging new local regulations? And what are the political criteria of the urban renewal project?
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Allel, Samir. "Les relations entre les Conseils Régionaux du Culte Musulman et les Collectivités territoriales : analyse de l’organisation locale du culte musulman et de son rapport au politique". Paris, EHESS, 2014. http://www.theses.fr/2014EHES0143.

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Abstract (sommario):
« L'islam a sa place à la table de la République». Cette expression reprise par Jean Pierre Chevènement ministre de l'Intérieur du gouvernement Jospin s'inscrit dans un débat général sur la place de l'islam et plus particulièrement de l'islam local dans la société française. La question de la place de l'islam en France et de ses manifestations au niveau local au quotidien est devenue récurrent ces dernières années et certains événements tels que « l'affaire Merah » ont fait réapparaître le spectre de « l'islamisme politique ». Nous voudrions dépasser la passion afin de comprendre l'islam local en France à travers les CRCM (en toutes lettres) qui sont censés être les interlocuteurs des pouvoirs publics. L'objectif est de comprendre la complexité de l'islam en France. C'est la raison pour laquelle nous avons estimé intéressant d'y consacra- notre étude avec le regard d'un citoyen qui vit l'islam de France. Le sujet de l'islam en France était trop vaste pour être traité. Nous n'avons pas eu cette prétention. Nous nous sommes intéressés à un sujet qui prend ses racines dans l'islam, à son aspect temporel et institutionnel. La polémique que la représentation de l'islam a suscitée, noms a poussés à en savoir plus et plus particulièrement à Avignon. Nous voulons comprendre la portée et la dimension de la création d'une institution représentative du culte musulman en France. Nous avons pris la mesure de la valeur symbolique d'une telle institutionnalisation de l'islam. Une rencontre historique qui semble se jouer sous nos yeux, celle de l'islam et de la République. Il est important de noter que la plupart des travaux n'ont toutefois fait qu'effleurer le volet local de l'organisation du culte musulman en France. Notre objectif principal vise à mesurer quantitativement et qualitativement l’action concrète du CFCM (en toutes lettres) au regard de ses missions premières liées à la représentation et lit défense du culte musulman. Notre recherche se fixe aussi pour objectif de mieux appréhender la réalité des rapports pouvant exister entre les CRCM et les élus locaux. Il est particulièrement intéressant de relever que depuis une dizaine d'années, l'islam en tant que fait social s'est invité dans l'agenda municipal de nombreuses communes sous la forme de dossiers de mosquées en attente de règlement ou de carrés musulmans dans les cimetières, sans oublier les questions de foulards dans les écoles publiques ou la question plus récente de demandes de repas halal dans la restauration scolaire. Autant de dossiers auxquels les élus sont directement confrontés et pas toujours préparés ni armés juridiquement pour y apporter des réponses efficaces. Les interlocuteurs musulmans élus par leurs pairs jouissent ils auprès des élus des différentes collectivités territoriales (maires, présidents de conseils généraux, présidents de conseils régionaux) d'une réelle représentativité ou ne sont-ils qu'un interlocuteur de plus qui accentue l'hétérogénéité du paysage islamique local. L'absence de clergé et la diversité des écoles de pensée font que l'islam a du mal à se structurer et à être reconnu. La nature de la communauté musulmane, divisée et éclatée, est un obstacle à l'organisation et à la reconnaissance de l'islam par les institutions. À l'heure où plusieurs voix réclament un réaménagement de la loi du 9 décembre 1905 portant séparation des cultes et de l'Etat, cette étude vise à éclairer d'un regard neuf l’interaction entre les collectivités religieuses et les collectivités locales dans le contexte d'un Etat laïque et dans une société largement sécularisée. Celle thèse est une contribution à mieux cerner la réalité des rapports entre l'islam tel qu'il est vécu en France dans un pays non musulman et la laïcité telle qu'elle est perçue et pratiquée par les élus locaux. Elle permet enfin d'aborder la citoyenneté et « la non reconnaissance de ces enfants » par la République qui tarde à les considérer comme des citoyens à part entière
''Islam has its place at the table of the Republic". This quote used by Jean Pierre Chevènement, French Home Secretary of the Jospin government fit into a general debate over the position of Islam and more particularly of local Islam in the French society. The issue of the place of Islam in France and of its daily expression on a local scale has become a recurring problem and some events such as the Toulouse shootings, involving Mohamed Merah, made the "political Islamism" ghost reappear. We have to to go beyond passion in order to understand local Islam in France through the regional Muslim Councils that are supposed to be preferred representatives of public authorities. The goal is to understand the complexity of Islam in France. That is the reason why it was considered interesting to dedicate this research to this issue with the experience of a citizen observing Islam in France. Islam in France as topic was too large to discuss and treat. We were interested in a topic that take root in Islam, in its temporal and institutional aspects. The polemic that the representation of Islam provoked was a push to know more, especially in the city of Avignon. We would like to understand the impact and dimension of the symbolic value of such an institutionalization of Islam. A historic meeting between Islam and Republic seems to happen right before our eyes. It is important to say that most of researches barely treated die organization of the Muslim religion on a local scale. The main objective is to measure in quantitative and qualitative terms the practical action of the French Council of Muslim Faith (CFCM), taking into account its primary missions related to the representation and protection of the Muslim faith. This research also has as an objective to comprehend in a better way the relationship between regional Muslim Councils and local elected representatives. It is particularly interesting to note that for ten years, Islam as a social fact invited itself on cities agendas in the form of files dealing with mosque, Muslim cemetery areas, head scarfs, or more recently halal meals in public schools. All of which are among issues that elected representatives have to deal with and they are not always prepared or legally armed to resolve them. Do the elected Muslim interlocutors have a real representativeness next to the elected members of local authorities (mayors, local council presidents. . . ) or are they just another interlocutor that emphasizes the heterogeneity of j the local Islamic landscape? The lack of hierarchy and the diversity of schools of thought have made it hard for Islam to structure itself and to gain acknowledgement. The nature of the Muslim community, divided and split up is an obstacle to the organization and recognition of Islam by the institutions. As some are demanding for a readjustment of the December 9th 1905 Act, dealing with the separation of State and religions, this study is intended to enlighten with a new outlook the interaction between religious communities and local authorities in a lay State context and in a widely secularized society. This thesis is a contribution to define the real connection between Islam in non Muslim country such as France and secularism felt and used by local elected representatives. It is a way to address citizenship and to address the failure by the Republic to recognize some as full-fledged citizens

Atti di convegni sul tema "Politique urbaine – Europe – 1990-2020":

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Cedroni, Anna Rita. "Roadmap per una citta sostenibile: Vienna". In International Conference Virtual City and Territory. Roma: Centre de Política de Sòl i Valoracions, 2014. http://dx.doi.org/10.5821/ctv.7915.

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Abstract (sommario):
Al di là di più di duemila anni di tradizione storica, l’Austria, ha mostrato con coraggio, fin dall’entrata nella Comunità Europea, il suo sviluppo economico così come la sua modernità e la sua apertura verso l’esterno. La dinamicità culturale e tecnologica della sua capitale, l’ha resa uno degli esempi più apprezzati da tutta l’Europa fin dall’inizio di questo secolo. In poco più 15 anni, Vienna è diventata di fatto la città europea con la migliore qualità della vita. Il merito di tale successo è dato sicuramente da due componenti fondamentali: la stabilità politica del Paese e il metodo di gestione dei processi di pianificazione territoriale e urbana. L’attuale sviluppo del territorio mostra come alla base di tale qualità i fattori prevalenti siano l’architettura, ma anche le politiche urbanistiche territoriali. Sta di fatto, spiega un recente rapporto del comune di Vienna sul tema risparmio energetico e sostenibilità, che per garantire e mantenere una tale qualità della vita, occorre tener conto di tre costanti essenziali nelle dinamiche dei processi di sviluppo urbano: il rinnovamento, la ristrutturazione e l’espansione. Tali elementi consentono poi il confronto con modelli europei culturalmente più avanzati. La tutela dell’ambiente e del patrimonio ambientale si inseriscono in questo processo come una delle sfide più importanti che scaturiscono da tale confronto. Questo paper si prefigge di trattare l’esperienza viennese, ripercorrendo il lungo, ma rapido processo di cambiamento cominciato all’inizio degli anni Ottanta. Strumento generale di pianificazione urbanistica, il Piano di Sviluppo della Città (Stadtentwicklungsplan), ha costituito e costituisce tuttora lo strumento decennale di previsione e di programmazione energetica a livello urbano e territoriale, stabilendo le direttrici strategiche di espansione, di ristrutturazione e di rinnovamento della Città e del suo hinterland. Ma l’esclusività di tale strumento, è da vedere nell’anticipazione di temi come il consumo energetico, la sostenibilità e nell’individuazione della tutela ambientale, come questione prioritaria da includere nei programmi d’intervento da attuare a breve termine. Infatti, con la formulazione del primo Programma KliP (Klimaschutzprogramm) (1999–2009) e, successivamente, del secondo Programma KliP (2010-2020), vengono elaborati dei “pacchetti” di provvedimenti con obiettivi ben definiti, come per esempio la riduzione del 21%, a persona, dei gas di emissione e di gas propellenti rispetto ai valori rilevati nel 1990. Gli strumenti con i quali raggiungere tali obiettivi sono: la riduzione del fabbisogno energetico, l’introduzione di fonti di energia ecosostenibile, l’uso di materiali biologici nell’edilizia pubblica e privata a grande e piccola scala, ma soprattutto, gli interventi sulla mobilità, sulla gestione dei rifiuti e sulla protezione del paesaggio. Accanto ai Piani di Sviluppo, Il Programma SEP (Städtische Energieeffizienz-Programm), definisce le linee generali da seguire nella gestione della politica dei consumi energetici a lungo termine, ovvero fino alla fine del 2015. I risultati portano già nel 2011 ad un aumento della quota di energia rinnovabile del 10% del volume totale del consumo di energia. Tra gli incentivi ci sono quelli rivolti alla realizzazione di centrali elettriche, inceneritori per il riciclo di materie dalle quali ricavare energia, mentre un ruolo sempre più importante è dato dall’uso della geotermia, e dell’energia solare. La continuità programmatica culmina nella formulazione di un progetto unitario, SMART CITY WIEN, che riunisce ben dieci gruppi differenti di interessi, istituzioni pubbliche, enti privati, centri universitari di ricerca, ecc., attorno ad una visione a lunga scadenza: Smart Energy vision 2050. Al centro della tavola rotonda le tematiche: lo sviluppo della popolazione, l’ambiente, i metodi di gestione, l’economia, l’energia e la mobilità. Accanto a queste, sostenibilità, partecipazione, diversità, efficienza di risorse, sviluppo regionale integrato come pure sviluppo economico equilibrato sono gli elementi fondamentali per la preparazione delle decisioni future.

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