Letteratura scientifica selezionata sul tema "Partage – Valeur ajoutée"

Cita una fonte nei formati APA, MLA, Chicago, Harvard e in molti altri stili

Scegli il tipo di fonte:

Consulta la lista di attuali articoli, libri, tesi, atti di convegni e altre fonti scientifiche attinenti al tema "Partage – Valeur ajoutée".

Accanto a ogni fonte nell'elenco di riferimenti c'è un pulsante "Aggiungi alla bibliografia". Premilo e genereremo automaticamente la citazione bibliografica dell'opera scelta nello stile citazionale di cui hai bisogno: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver ecc.

Puoi anche scaricare il testo completo della pubblicazione scientifica nel formato .pdf e leggere online l'abstract (il sommario) dell'opera se è presente nei metadati.

Articoli di riviste sul tema "Partage – Valeur ajoutée":

1

Calviac Selvame, Virginie. "Le partage de la valeur ajoutée". Idées économiques et sociales N° 165, n. 3 (2011): 79. http://dx.doi.org/10.3917/idee.165.0079.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
2

Lakhal, Salem Y., e Souad H’Mida. "Vers une politique de prix exploitant la valeur perçue et maximisant l’avantage concurrentiel, la part du marché et la valeur ajoutée1". Revue de l'Université de Moncton 35, n. 1 (18 agosto 2004): 99–128. http://dx.doi.org/10.7202/008764ar.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Résumé Cet article propose une politique de prix sous forme de propositions formelles, basées sur un développement mathématique, permettant à l’entreprise de maximiser sa valeur ajoutée, l’avantage concurrentiel perçu par le client ainsi que sa part de marché. Le cadre d’analyse est tout produit pour lequel le client est en mesure d’estimer une valeur en fonction de ses besoins propres et d’un ensemble d’attributs confrontés aux attributs des produits concurrents ou substituts. La conclusion est : pour maximiser en même temps la valeur ajoutée dégagée par l’entreprise, sa part du marché et son avantage concurrentiel perçu, il faut partager avec le client l’avantage concurrentiel potentiel. Le mode du partage dépend de la nature de la courbe de demande de l’article et de l’agressivité de la concurrence.
3

Verne, Jean-François. "Le partage équitable de la valeur ajoutée". La Revue des Sciences de Gestion 219, n. 3 (2006): 143. http://dx.doi.org/10.3917/rsg.219.0143.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
4

Eeckhoudt, Louis, e Patrick Roger. "Partage des risques et création de valeur ajoutée". Revue économique 45, n. 1 (1994): 5–20. http://dx.doi.org/10.3406/reco.1994.409507.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
5

Timbeau, Xavier. "Le partage de la valeur ajoutée en France". Revue de l'OFCE 80, n. 1 (2002): 63. http://dx.doi.org/10.3917/reof.080.0063.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
6

Eeckhoudt, Louis, e Patrick Roger. "Partage des risques et création de valeur ajoutée". Revue économique 45, n. 1 (gennaio 1994): 5. http://dx.doi.org/10.2307/3502299.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
7

Husson, Michel. "Le partage de la valeur ajoutée en Europe". La Revue de l'Ires 64, n. 1 (2010): 47. http://dx.doi.org/10.3917/rdli.064.0047.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
8

Roger, Patrick, e Louis Eeckhoudt. "Partage des risques et création de valeur ajoutée". Revue économique 45, n. 1 (1 gennaio 1994): 5–20. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1994.45n1.0005.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
9

Hurlin, Christophe, e Franck Portier. "Le partage de la valeur ajoutée dans le cycle". Économie & prévision 125, n. 4 (1996): 73–85. http://dx.doi.org/10.3406/ecop.1996.5809.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
10

Sylvain, Arnaud. "Partage de la valeur ajoutée dans les pays industrialisés". Revue de l'OFCE 100, n. 1 (2007): 201. http://dx.doi.org/10.3917/reof.100.0201.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri

Tesi sul tema "Partage – Valeur ajoutée":

1

Daudey, Emilie. "Essais sur le partage de la valeur ajoutée". Aix-Marseille 2, 2006. http://www.theses.fr/2006AIX24001.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Les économistes du 20e siècle accordèrent peu d'attention au partage de la valeur ajoutée, la part des salaires étant considérée comme constante entre pays et à travers le temps. Cependant, les données récentes rejettent cette hypothèse. Ainsi, les économistes portent un intérêt croissant aux facteurs déterminant cet aggrégat. Nous étudions deux aspects non encore explorés par cette littérature: la relation entre les inégalités de revenu et la part des salaires et les effets de l'éducation sur cette dernière. Dans un premier temps, nous rassemblons les données existantes. Ce travail montre que le choix des données et des ajustements affectent les comparaisons inter pays et intra pays. Puis, nous construisons un modèle d'équilibre général dans lequel les inégalités de revenu et le partage de la valeur ajoutée sont corrélés grâce à l'offre de travail d'équilibre. Nous trouvons une relation ambiguë entre part des salaires et offre de travail, qui dépends de la valeur de l'élasticité de substitution entre facteurs de production. Une étude empirique sur données de panel sur la période 1960-1990 montre que plus la part de salaires est élevée, plus les inégalités sont faibles. Nous nous intéressons ensuite à l'effet de l'éducation sur la part des salaires grâce à un modèle à deux secteurs dans lequel les travailleurs sont hétérogènes par rapport à leur niveau d'étude et les firmes ont un pouvoir de monopsone du aux frictions sur le marché du travail. Plus un agent est éduqué, plus il reçoit d'offres de travail. L'éducation augmente la concurrence entre employeurs, le salaire des éduqués et donc la part des salaires croît avec la proportion d'individus très éduqués. Enfin, nous étudions le rôle de l'éducation dans la détermination de la part des salaires, en utilisant un panel de pays de l'OCDE sur la période 1970-2000. Nos résultats indiquent qu'une augmentation de la proportion d'individus très éduqués dans la population a un effet positif sur la part de salaires
Economists of the 20th century paid little attention to the labour share, probably because the the labour share was thought to be constant over time and across countries. However, recent data refute this hypothesis. Hence, in recent years, economists have been increasingly concerned with the determination of factor shares. We study two aspects not explored yet : the relationship between the labour share and the distribution of personal incomes and the effect of education on the labour share. We start by putting together the existing data on country labour shares. This analysis shows that measuring the labour share is a difficult exercise and that the choice of data and adjustment affects both country ranking and movements over time within a country. We then build a general equilibrium model in which income inequality and the sharing of value-added are correlated through the equilibrium labour supply. We find an ambiguous relationship between the labour supply and the labour share which depends on the elasticity of substitution between capital and labour. On the other hand, our cross-country and panel evidence over the period 1960-1990 shows that a larger labour share is associated with lower inequality. Our next concern is the effect of education on the labour share. We study a two-sector model where workers are heterogenous with respect to their level of schooling and where firms have monopsony power due to search frictions. The more educated an agent is, the more job offers she may receive. Higher education raises wage competition among employers, and hence, wages obtained by high-educated workers, which implies that the labour share is increasing in the proportion of high-educated individuals. Lastly, we examine the role that education has played in determining the labour share using a panel of OECD countries over the period 1970-2000. Our results indicate that an increase in the proportion of high-educated workers leads to an increase in the labour share
2

Sylvain, Arnaud. "Le partage de la valeur ajoutée en France depuis 1970". Phd thesis, Université de la Méditerranée - Aix-Marseille II, 2004. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00686280.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Comprendre la formation de la répartition salaires-profits est important puisqu'un partage déséquilibré est préjudiciable à la croissance et à l'emploi. En France, la part des profits dans la valeur ajoutée a connu des évolutions tranchées : une période de forte diminution entre 1973 et 1982; un redressement sensible de 1982 à 1989 ; une augmentation régulière depuis 1989. Ces évolutions sont comparables à celles constatées en Allemagne et au Japon. La répartition salaires-profits semble en revanche relativement stable aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Les analyses théoriques s'accordent pour interpréter la chute puis le redressement du taux de marge par l'apparition puis la résorption d'un excès de salaire réel. Elles expliquent également le niveau élevé du taux de marge à partir de la fin des années 80 par un choc additionnel. Selon les auteurs, ce choc provient d'une modification de la demande de travail, d'une hausse des taux d'intérêt réels, ou de l'apparition d'un progrès technique économe en main d'œuvre. L'ensemble de ces analyses repose cependant sur des indicateurs fragiles. La tendance à la hausse du taux de marge commune à ces indicateurs est certainement un phénomène artificiel et le partage de la valeur ajoutée est proche du niveau d'équilibre de début de période depuis le début des années 90. Ce résultat fragilise l'hypothèse d'un choc au cours des années 80 et rend plus plausible l'hypothèse d'une stabilité de long terme du partage de la valeur ajoutée. Cette hypothèse de stabilité est en outre renforcée par l'estimation de fonctions de production sur données individuelles qui ne permettent pas de rejeter l'hypothèse d'une fonction de type Cobb-Douglas. Finalement, (1) comme le partage de la valeur ajoutée se trouvait à son niveau d'équilibre au début des années 70 (2) parce que le partage de la valeur ajoutée est vraisemblablement d'un niveau équivalent en début et en fin de période (3) puisqu'il se peut que le partage de la valeur ajoutée soit stable à long terme, on ne peut exclure que le partage de la valeur ajoutée se trouve à la fin des années 90 à son niveau d'équilibre de long terme et que les mouvements heurtés des décennies 70 et 80 proviennent de rigidités sur les marchés du travail voire des biens et services.
3

Orgiazzi, Elsa. "Essais sur le partage de la valeur ajoutée et les inégalités". Aix-Marseille 2, 2009. http://www.theses.fr/2009AIX24016.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
4

Labadi, Moufida. "Protection des salariés et des actionnaires et partage de la valeur : effet de substituabilité ou de complémentarité ?" Thesis, Reims, 2011. http://www.theses.fr/2011REIME003/document.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
La firme est un ensemble de contrats conclus entre les différentes parties prenantes, actionnaires, créanciers, salariés, dirigeants, clients, fournisseurs, pouvoirs publics, etc. Les conflits d‟intérêts naissent lors de la répartition de la valeur ajoutée et chacun des parties procède à augmenter sa part au détriment des autres. Les salariés réclament une augmentation de salaire ou un intéressement aux résultats, les actionnaires, apporteurs du capital financier, désirent un part élevé des bénéfices afin de rémunérer le risque financier. D‟un autre côté, les créanciers souhaitent le remboursement de leurs crédits avec des taux d‟intérêt plus élevés alors que l‟objectif de l‟entreprise est de garder une partie des bénéfices afin de financer de nouveaux investissements. Suite aux différents conflits, les dirigeants agissent afin de modifier la répartition de la valeur ajoutée entre les différentes parties prenantes. Ils réduisent la richesse des salariés afin de créer de la valeur au profit des actionnaires. De ce fait, plusieurs mécanismes sont mis en place afin de protéger les salariés et assurer une meilleure répartition de la valeur ajoutée. Sur la base d‟un échantillon de 85 firmes françaises durant la période 2000-2005, notre étude montre que les droits accordés aux actionnaires et aux salariés ainsi que les mécanismes de gouvernance affectent leurs parts dans la valeur ajoutée. A partir des résultats, nous concluons des différences selon la structure de propriété de la firme
The firm is represented as a set of contracts concluded between the various stakeholders, the shareholders, but also, creditors, employees, leaders, customers, suppliers, public authorities, etc. conflicts of interests are born during the distribution of the added value and each proceeds to increase his part to the detriment of the others. The employees demand a pay rise or a profit-sharing in the results, the shareholders, the contributors of the financial capital, wish one part raised by profits to pay the financial risk. Of other one quoted, the creditors wish a better payment for their credits with higher interest rates while the purpose of the company is to constitute a reserve to finance new investments. Further to the various conflicts, the leaders act to modify the distribution of the added value between the various stakeholders. They reduce the wealth of the employees for the benefit of the shareholders they reduce the wealth of the employees for the benefit of the shareholders. Therefore, several mechanisms are set up to protect the employees and assure a better distribution of the added value. On the basis of a sample of 85 French firms during period 2000-2005, our study shows that the rights of the shareholders and employees as well as the characteristics of property and governance affect their parts in the added value. From the results, we conclude differences according to the structure of property of the firm
5

Bauer, Arthur. "Essays on Firms Production Function, Markups, and the Share of their Income Going to Workers". Electronic Thesis or Diss., Institut polytechnique de Paris, 2020. http://www.theses.fr/2020IPPAG006.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
La fonction de production des entreprises lie leur niveau de production à leurs dépenses en facteurs de production. Son estimation est à la fois importante et peu fiable. Importante, parce que des indicateurs clés pour la conception des politiques publiques, tels que le taux de marge, en découlent. Peu fiable, car elle repose sur des hypothèses d'identification.Ce projet étudie les hypothèses qui sous-tendent l'estimation des fonctions de production : à la fois leurs formes fonctionnelles et la flexibilité des facteurs de production. Il s'appuie ensuite sur une estimations des fonctions de production des entreprises françaises, pour évaluer l'évolution de leur taux de marge et de la part du travail dans leur valeur ajoutée au cours des 30 dernières années.Le chapitre 1 conforte l'hypothèse de flexibilité des facteurs de production: l'ajustement instantané des matières premières ou du travail et l'ajustement retardé du capital. Nous nous appuyons sur l'existence de notches ; des valeurs où les bénéfices après impôt diminuent avec le chiffre d’affaire avant impôt dans le code des impôts français.Nous montrons que les entreprises qui optimisent ont une plus grande élasticité de production par rapport aux matières premières et une plus faible élasticité de la production par rapport au capital. De même, pour ajuster leur production, les entreprises ont tendance à réduire principalement leurs dépenses en matières premières.Le chapitre 2 s’appuie sur le résultat du chapitre 1 pour mesurer le taux de marge de toutes les entreprises françaises entre 1984-2016. De Loecker et Warzynski (2012) montrent que la marge d'une entreprise est proportionnelle à l'inverse de la part de revenu de l'un de ses intrants flexibles. Nous analysons l'évolution des marges agrégées en France et documentons que l'augmentation de la concentration est corrélée à une réallocation des parts de marché vers les entreprises à marge élevée. Nous montrons également que l'évolution de la part du travail reflète l'évolution des marges : la réallocation tend à diminuer la part du travail tandis qu'au sein des entreprises, la part du travail augmente.Le choix d'une forme fonctionnelle pour décrire le processus de production est un compromis entre théorie et empirisme. La fonction de production standard est de type Cobb-Douglas mais impose une élasticité de substitution constante et égale à 1, en contradiction avec la littérature empirique. Les fonctions de production CES ont des élasticités de substitution non unitaires mais constantes au sein de chaque industrie et un ratio d'utilisation des facteurs de production indépendant de la taille de l'entreprise.Le chapitre 3 montre que cette dernière fonction de production ne rend pas compte de l'utilisation des technologies de l’information (TIC), puisque nous documentons une augmentation de la demande relative de TIC avec la taille des entreprises: en cohérence avec une fonction de production CES non-homothétique. Nous analysons ensuite comment l'interaction de la baisse des prix des TIC et les caractéristiques non-homothétiques des TIC rationalisent les faits empiriques documentés dans le chapitre 2. (i) comme les grandes entreprises sont plus intensives en TIC, elles bénéficient de manière disproportionnée de la baisse des prix des TIC, ce qui rationalise l'augmentation de la concentration. (ii) comme les grandes entreprises sont plus intensives en TIC dans l'échantillon, elles fonctionnent avec des rendements d'échelle plus faibles et ont donc des parts de bénéfices plus élevées et des parts de travail plus faibles. Cela explique comment l'augmentation de la concentration entraîne une diminution de la part globale du travail. (iii) les statistiques comparatives du modèle prédisent que l’adoption de TIC liée à la baisse de leur prix implique des rendements d'échelle plus élevés et ont donc une part de travail plus importante, ce qui explique la tendance haussière de la part du travail au sein des entreprises
Firms production function link their use of input factors to their production level. Production function estimates are at the same time important and untrustworthy. Important, because key indicators for policy design, such as the measure of aggregate markups, are derived from those estimates. Untrustworthy because they rely on identification assumptions.This project studies the assumptions underlying the usual techniques for estimating production functions: both their functional forms and the often assumed inputs flexibility. It then leverages production function estimates, to assess how firms ability to price over marginal income and the share of their income going to workers have evolved over the last 30 years.In Chapter 1 we provide evidence on the input flexibility assumption grounding production function estimation: the quasi instantaneous adjustment of either material or labor and delayed adjustment of capital hold. We rely on the existence of notches; values where after-tax profits decrease in before-tax sales in the French tax code.We identify which type of firms adjust their size in response to a transient notch. We do this by studying the ex-ante characteristics of firms below the tax cutoff. We find that firms who bunch tend to have larger elasticity of output with respect to materials and lower elasticity of output with respect to capital. Consistently, we also show that to adjust their remaining production firms, tend to primarily reduce spending on material.In Chapter 2 we leverage evidence on inputs flexibility to recover firm level markups of the universe of firms in France over the 1984-2016 period. De Loecker and Warzynski (2012) show that a firm’s markup proportionates the inverse of one of its flexible inputs revenue share. We analyze the evolution of aggregate markups in France and document that the rise of concentration correlates with a reallocation of market share towards high markup firms. We also show that the evolution of the labor share mirrors the evolution of markups: reallocation tends to decrease labor share while within firms, labor share rises.The choice of a functional form to describe firms production process is a compromise between theory and empirics. The workhorse production function is Cobb-Douglas and imposes a constant (and equal to 1) elasticity of substitution. Recent evidence in the empirical literature has however estimated a micro-elasticity of substitution significantly lower than one. While CES production functions allow for non-unit elasticity of substitution, they assume constant elasticity within industry and imply that the ratio of input use doesn’t depend on firm size.In Chapter 3, we show that the latter production function cannot account for IT inputs use in firms.With detailed data on software and hardware investments among French firms, we document that the firm-level demand for IT inputs relative to other inputs grows in the firm’s scale of operation. Theoretically, a non-homothetic CES production function helps rationalizing this empirical fact.We then analyze how the interaction of the fall of IT prices and the non-homothetic characteristics of IT inputs also help rationalize the empirical facts documented in chapter 2. First, since larger firms are more IT intensive in the cross-section, they benefit disproportionally from the fall in IT prices, rationalizing the rise of concentration. Similarly, since larger firms are more IT intensive in the cross-section, they operate at lower returns to scale and therefore have higher profit shares and lower labor shares. This explains how the rise in concentration drives a decline in aggregate labor shares. Finally, the comparative statistics of the model predicts that the fall of IT prices imply that when firms substitute toward IT they operate at higher returns to scale and therefore tend to have larger labor share, explaining the positive contribution to aggregate labor share of the within component
6

Aïssaoui, Mohammed Amine. "Des modalités de fixation aux déterminants du prix des médicaments innovants : le cas des anticancéreux dans les pays de l’OCDE". Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLED026.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Cette thèse se propose d’étudier les déterminants des prix des médicaments innovants de l’oncologie, en s’interrogeant à la fois sur le rôle des caractéristiques propres à chaque produit, en particulier sa valeur thérapeutique ajoutée, et sur l’influence d’éléments structurels, notamment les modalités des politiques de fixation des prix appliqués par les Etats.Une revue de la littérature nous permet tout d’abord de spécifier les modalités de fixation des prix ainsi que les nouveaux instruments mis en place par les décideurs pour réguler leur montant. Nous montrons que la détermination des prix des traitements innovants passe par l’évaluation de la valeur ajoutée et donc la mise en place de politiques d’évaluation de type Health Technology Assessment (HTA). Toutefois, nous mettons en lumière que les politiques de prix se réfèrent à des doctrines différentes tant dans les démarches évaluatives que dans la fixation des prix. Dès lors, nous proposons un cadre théorique de détermination des prix qui permet de prendre en compte ces différences. En complément, la constitution d’une base de données incluant les caractéristiques des anticancéreux et leurs prix fixés dans huit pays de l’OCDE, nous permet d’entreprendre différentes analyses statistiques.A partir des études empiriques, nous examinons dans un premier temps la relation entre les prix et le caractère innovant des anticancéreux. Nous commençons pour cela par nous intéresser à l’accès au marché de ces produits dans les pays retenus avant d’examiner les disparités de prix entres les pays.Si l’on constate qu’une majorité des médicaments de notre échantillon étaient bien disponibles dans ces pays, il apparaît néanmoins des différences en matière réglementaire, notamment concernant l’octroi du statut de médicament orphelin ou encore en matière de délais d’enregistrement. Une étude comparative plus fine des évaluations faites par le NICE et la HAS confirme l’existence de divergences sur les décisions et/ou recommandations de prise en charge malgré une appréciation similaire de la valeur ajoutée. Enfin lorsqu’on procède à la comparaison des prix, on constate un écart de prix considérable selon les modalités de fixation des prix appliqués par les Etats.Ce dernier constat nous conduit ensuite à rechercher des éléments d’explication à partir d’une approche économétrique permettant de mesurer l’effet de la valeur ajoutée, définie par la survie incrémentale, sur le prix des anticancéreux. De façon complémentaire, nous montrons que cette influence se manifeste même lorsque l’estimation de cette valeur ajoutée reste incertaine au regard du niveau de preuve obtenu.De façon complémentaire, les analyses économétriques confirment que les écarts de prix entre pays reflètent les différences internationales sur les choix de politique de prix. En effet, nous montrons que les prix les plus élevés sont relevés dans les pays exerçant une politique de prix libres. A l’inverse, les prix les plus bas sont retrouvés dans les pays pratiquant une évaluation économique. Et l’on retrouve à un niveau intermédiaire les pays ayant recours à la négociation et au référencement international
This PhD thesis focused on the regulation and the determinants of innovative drugs prices in oncology. First, with a literature review we provided a comprehensive description examining the pricing mechanisms of innovative drugs in OECD countries. This approach shows us that most of the countries determine their prices according the assessment of the added value of the pharmaceutical product, and use HTA policies in their decisions making. Based on that conclusions and regarding the differences observed between the policies’ countries we assumed a framework to describe the pricing mechanism.In addition, we developed an original database which contains the anticancer drugs characteristics and their prices in 8 OECD countries. From empirical studies, we examined the relationship between the prices and the drugs characteristics. Before assessing prices disparities between the selected countries, we focused on the market approval of these medicines in each country. Nevertheless, even if most of the products were available in all studied countries, we observed differences between their regulations notably concerning the orphan status designation as well as for the time to market authorization.Thereafter, we achieved a comparative study to assess the discordance between the NICE and HAS. This analysis shows that despite a similar estimation of the added value, there is divergences between these HTA bodies in term of decisions making. Then, when we investigated the trends in prices across the selected countries, the level of pricing disparities observed, in most cases, seems to reflect the differences in pricing regulations.Finally, in order to highlight the determinants of these disparities between countries with respect to anticancer drug prices, we used the econometric approaches, we assessed both the effects on the prices of the added value (the incremental survival) and the pharmaceutical policy: It appears that the incremental survival impacts on the prices, independently of its uncertainties and its level of evidence provided in the clinical trials. In addition, the analysis confirms that the prices disparities reflect the pricing policy applied. Indeed, the countries using a free pricing policy have the highest-level prices, followed by the countries using the pricing negotiation and external reference pricing. Lastly, the countries using economic evaluation have the lowest prices
7

Piton, Sophie. "Macroeconomic imbalances : a European perspective". Thesis, Paris 1, 2018. http://www.theses.fr/2018PA01E016.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Cette thèse regroupe trois articles sur les déséquilibres macroéconomiques en Europe, que ces déséquilibres se manifestent par une divergence entre pays membres de la zone euro, ou par une déformation du partage de la richesse entre travail et capital. Depuis l’introduction de l’Euro jusqu'à la crise financière globale de 2008, les déséquilibres macroéconomiques se sont creusés parmi les États membres : les prix et les salaires entre pays ont augmenté beaucoup plus rapidement dans les pays les plus pauvres initialement que dans le reste de la zone. Ces déséquilibres étaient tout d’abord perçus comme reflétant un processus de rattrapage. Cette interprétation a été remise en cause à partir de la crise financière globale de 2008. Ils ont été pointés du doigt comme reflétant de «mauvais» déséquilibres, signes d’une perte de compétitivité dans la « périphérie » de la zone euro. Les deux premiers chapitres identifient les facteurs à l’origine de ces déséquilibres. Ils montrent qu’ils sont en grande partie la conséquence de l’intégration économique elle-même. Le troisième chapitre s’intéresse au partage de la richesse entre travail et capital. Depuis le début des années 1980, la part de la richesse distribuée au travail a diminué dans les pays européens. En parallèle, la part des profits distribués aux actionnaires sous forme de dividendes et de rachats d’actions a augmenté. Ce chapitre suggère que sont en cause des changements dans la gouvernance des entreprises. Ces changements se manifestent par un rôle accru des investisseurs institutionnels dans le capital des sociétés non-financières, qui sont alors amenées à faire prédominer la rémunération des actionnaires au détriment du travail
This doctoral thesis gathers three articles on macroeconomic imbalances in Europe. It deals with two types of imbalances: imbalances among European countries, and within these countries, in the distribution of income between labour and capital. From the Euro inception up to the 2008 global financial crisis, macroeconomic imbalances widened among Member States. This divergence took the form of strong differences in the dynamics of prices and wages: they increased much faster in "peripheral" economies than in "core" countries. These imbalances were first interpreted as reflecting a catch-up and convergence process of the poorest countries of the area. Both economists and policymakers challenged this view in the aftermath of the 2008 recession. Imbalances were then pointed out as reflecting a broader competitiveness problem in the "sinful periphery" compared to the "virtuous core". The first two chapters ask what are the main contributors to these imbalances. They argue that, in peripheral economies, they mostly reflect the process of economic integration. The third chapter focuses on the distribution of income between labour and capital. Since the early 1980s, there has been a decline in the share of income accruing to labour in European countries. This decline was parallel to an increase in the profit share, that reflects mostly the dynamics of payouts (dividends and buybacks) to shareholders. This chapter argues that these trends could be linked to recent trends in firm ownership. Non-financial corporations are increasingly owned by institutional investors, whom exert pressures for tighter governance in favor of shareholders and to the expense of labour

Libri sul tema "Partage – Valeur ajoutée":

1

Partage de la valeur ajoutée: Rapport. La Documentation française, 1998.

Cerca il testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri

Capitoli di libri sul tema "Partage – Valeur ajoutée":

1

Sauviat, Catherine, e Laurence Lizé. "Chapitre XI. Le mystère de la quasi-stabilité du partage de la valeur ajoutée". In La crise du modèle social américain, 189–96. Presses universitaires de Rennes, 2010. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.63598.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
2

"Partage de la valeur ajoutée entre travail et capital : Comment expliquer la diminution de la part du travail ?" In Perspectives de l'emploi de l'OCDE 2012. OECD, 2012. http://dx.doi.org/10.1787/empl_outlook-2012-4-fr.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri

Vai alla bibliografia