Letteratura scientifica selezionata sul tema "Militaires français – États-Unis – 19e siècle"

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Articoli di riviste sul tema "Militaires français – États-Unis – 19e siècle":

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Kaspi, André. "Introduction : « Il faudrait écrire l’histoire des relations militaires entre les États-Unis et la France. »". Revue Historique des Armées 246, n. 1 (1 gennaio 2007): 4–9. http://dx.doi.org/10.3917/rha.246.0004.

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Abstract (sommario):
L’histoire des relations militaires entre la France et les États-Unis commence au milieu du XVIII e siècle, avec la guerre de Sept Ans, qui oppose Américains et Français au Canada. Vingt ans plus tard, tout a changé. Américains et Français s’allient contre un ennemi commun : l’Empire britannique. La France envoie un corps expéditionnaire pour soutenir les Américains dans leur guerre d’Indépendance. Par la suite, c’est l’ombre de Napoléon qui plane sur les états-majors américains, notamment pendant la guerre de Sécession. Mais lorsque la Première Guerre mondiale éclate, l’impréparation des Américains est telle qu’ils préfèrent d’abord la neutralité. Le corps expéditionnaire américain, commandé par le général John J. Pershing, débarque en France en 1917. Français et Américains s’opposent alors sur l’instruction des troupes américaines, sur leur emploi et leur commandement. Quand ils entrent dans la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis peuvent déployer l’armement et l’équipement qui ont tant manqué à la France en 1940. Cette évolution sera déterminante au lendemain de la guerre.
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Champonnois, Sylvain. "Les Wright et l’armée française : les débuts de l’aviation militaire (1900-1909)". Revue Historique des Armées 255, n. 2 (1 aprile 2009): 108–21. http://dx.doi.org/10.3917/rha.255.0108.

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Abstract (sommario):
L’invention de l’aéroplane est une solution au problème du vol humain. Ce moyen de locomotion, étant « plus lourd que l’air », peut s’y diriger contrairement au ballon qui dépend des courants aériens. L’ère des pionniers de l’aviation débute à l’extrême fin du XIX e siècle pour s’achever en 1909. Elle a pour théâtre la France et les États-Unis. Ce sont en effet deux frères américains, Wilbur (1867-1912) et Orville (1871-1948) Wright, qui parviennent les premiers à exécuter de véritables vols en 1903. Cette aviation naissante va susciter l’intérêt des militaires français qui possèdent une expérience dans le domaine du « plus léger que l’air » depuis plus d’un siècle.
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Sanfilippo, Matteo. "Les voyageurs italiens et le fait français au Canada (17e-21e siècles)". Recherche 54, n. 2 (6 settembre 2013): 251–67. http://dx.doi.org/10.7202/1018280ar.

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Abstract (sommario):
Toute une tradition de voyageurs italiens en Nouvelle-France, au Canada français et enfin au Québec nous permet en effet de suivre les développements de l’opinion italienne autour du fait français au Canada. Nous partirons des relations des jésuites (le père Francesco Giuseppe Bressani) et des traductions italiennes de mémoires du 17e siècle (par exemple, ceux d’Henri Tonti, qui d’ailleurs était né en Italie, sur l’exploration du Mississippi et de la Louisiane). Nous poursuivrons par les réflexions des « touristes » qui, après la Révolution américaine, visitent la vallée du Saint-Laurent afin de comprendre la différence entre les États-Unis et les nouvelles colonies britanniques. Nous évoquerons aussi les réflexions des exilés du Risorgimento italien qui arrivent pendant la première moitié du 19e siècle. Enfin, en ce qui concerne le Québec dans la Confédération, nous comparerons les récits de voyage publiés par des journalistes et des romanciers aux rapports sur la Province rédigés par des diplomates de l’Italie et du Vatican. Même si la plupart de ces rapports diplomatiques n’ont pas été publiés, ils étaient conçus pour être lus ; de plus, ils ont influencé sinon l’opinion publique, au moins celle des experts.
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Frenette, Yves. "La genèse d’une communauté canadienne-française en Nouvelle-Angleterre : Lewiston, Maine, 1800-1880". Historical Papers 24, n. 1 (26 aprile 2006): 75–99. http://dx.doi.org/10.7202/030997ar.

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Abstract (sommario):
Résumé Le présent article a pour sujet la genèse d'une communauté canadienne-française en Nouvelle-Angleterre, celle de Lewiston, Maine, avant 1880. L'auteur décrit d'abord la localité à la veille de l'arrivée des premiers Canadiens français en I860, s'attardant plus particulièrement aux bouleversements causés par la Révolution industrielle, qui fit de Lewiston un des plus importants centres textiles des États-Unis. Il explique ensuite la nature des migrations canadiennes-françaises au 19e siècle, et le rôle de premier plan qu'y jouaient la famille et la parenté. De fait, la famille était la cellule de base de la communauté ethnique en formation. L'économie familiale caractérisait les ménages nucléaires et se tissèrent entre ceux-ci et les manufactures de coton des liens étroits et complexes. La parenté aussi avait des fonctions économiques, sociales et psychologiques, facilitant l'adaptation des migrants dans leur nouveau milieu, un milieu où les conditions d'existence étaient très précaires. De cette masse de paysans devenu ouvriers émergea une petite-bourgeoisie composée d'hommes d'affaires, de professionnels et de prêtres. Ces hommes utilisèrent leur pouvoir pour intensifier le sentiment religieux de leurs coreligionnaires et pour tenter d'instiller en eux l'idéologie de la survivance culturelle. Certains prirent leur distance de la masse des migrants, alors que d'autres, le curé et les professionnels notamment, travaillèrent à la création d'un réseau institutionnel centré sur la paroisse, contribuant ainsi thnique sur des fondations solides et à transformer les migrants en immigrants.

Tesi sul tema "Militaires français – États-Unis – 19e siècle":

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Ameur, Farid. "Les Français dans la guerre de Sécession, 1861-1865". Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010557.

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Abstract (sommario):
Contrairement à une idée reçue, les Français sont présents dans la guerre de Sécession, épisode capital de l’histoire des Etats-Unis. Au moment de l’appel aux armes, plus de cents mille d’entre eux vivent à l’ombre de la bannière étoilée. Isolément ou par petits groupes, certains de leurs compatriotes, tels que les princes d’Orléans, n’hésitent pas à traverser l’océan Atlantique pour offrir leur épée à la cause de leur choix et tenter de renouveler l'exploit de La Fayette. Mêlés bon gré mal gré aux péripéties d’une lutte fratricide appelée à sceller les destinées d’une nation dont Alexis de Tocqueville venait de prédire l’essor, les Français n’en ont pas été de simples spectateurs ; à l’instar des autres groupes d’immigrants, ils en ont été à la fois les témoins, les acteurs et les victimes. Au milieu du fracas des armes, la proclamation de neutralité de Napoléon III n’a guère été prise en compte. Géographiquement dispersés, idéologiquement divisés et jusque-là réfractaires à l’alliage américain, les Français rompent peu à peu les amarres qui les liaient à la mère patrie pour céder à la marée montante de l’américanisation et s’attacher définitivement à leur pays d’adoption. L’expérience de la guerre civile constitue pour eux un terreau propice à l’assimilation. A mi-chemin entre l’indépendance des Etats-Unis et le premier conflit mondial, les événements dramatiques qui se sont succédé de 1861 à 1865 ont ouvert un chapitre insolite et totalement méconnu de l’histoire des relations franco-américaines.
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Planchot-Mazel, Françoise. "Un général français au Etats-Unis de 1816 à 1831 : Simon Bernard". Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010532.

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Abstract (sommario):
Simon Bernard est né à Dole, en 1779, dans un milieu d'artisans modestes. Il doit à la révolution la possibilité d'entrer à l'école polytechnique où il fait des études brillantes. Officier du génie, il gravit ensuite rapidement les échelons de la hiérarchie militaire de l'empire (campagne d’Italie, fortification de l’Illyrie, puis d’Anvers) pour devenir aide de camp de napoléon en 1813. A la chute de l'empire, il est recruté comme assistant de l'ingénieur en chef du génie de l'armée américaine. Pendant quinze ans, membre de la commission des fortifications parcourant sans cesse tout le territoire américain, il conçoit un système global de défense des frontières maritimes du pays, puis participe à la conception d'un vaste réseau de communications intérieures (routes, canaux, amélioration de la navigation des fleuves. . . ). Il est aussi l'architecte d'une succession de forts "à la Vauban" qui protègent les grandes baies stratégiques de la côte est des Etats-Unis : Fort Adams, Fort Monroe à l'entrée de la baie de la Chesapeake, Fort Macon, Fort Sumter, Fort Pulaski et plusieurs forts sur le golfe du Mexique et dans les environs de la Nouvelle-Orléans. C'est aussi lui qui fait le trace du canal Chesapeake-Ohio, du canal Morris, du canal Delaware Raritan et qui choisit celui du canal Chesapeake Delaware. Brillant ingénieur, travailleur acharné, apôtre du libéralisme, adepte des Etats-Unis, grand admirateur et ami de Lafayette, Simon Bernard joue un rôle important dans les relations franco-américaines dans la première moitié du XIXème siècle. En 1830, convaincu que la France est à un tournant de son histoire politique, il accepte les offres de Louis-Philippe et rentre en France pour s'occuper des fortifications françaises. En 1836, il devient ministre de la guerre, fonction qu'il occupe jusqu'en 1839, date de sa mort. Cette thèse est une biographie insistant tout particulièrement sur la période américaine de la vie de Simon Bernard
Simon Bernard is born in Dole, in 1779, in a poor family. He owes the French revolution the possibility to enter the polytechnic school, from which he brilliantly graduates. Officer in the corps of engineers, he quickly moves upward the military hierarchy of the empire (campaign of Italy, fortification of Illyria and Antwert) to become aide de camp of Napoleon in 1813. At the fall of the empire, he is hired as assistant to the chief engineer of the united states army. For fifteen years, as a member of the board of fortifications and then of the board of internal improvement, travelling intensively throughout the country, he designs a global system of defense of the maritime frontiers of the country and then takes part in the construction of a large network of internal communications (roads, canals, improvement of river navigation. . . ). He is also the designer of a series of forts, built according to the Vauban principles, which protect the main strategical bays of the eastern coast of the united states: Fort Adams, Fort Monroe at the entrance of the Chesapeake bay, Fort Macon, Fort Sumter, Fort Pulaski and several forts on the gulf of Mexico and in the surroundings of New-Orleans. He is also the architect of the Chesapeake and Ohio canal, of the Morris canal, of the Delaware and Raritan canal and is responsible for selecting the route of the Chesapeake and Delaware canal. A brilliant engineer, an eager worker, a convinced liberal, an admirer of the united states, a friend of Lafayette, Simon Bernard plays an important part in the Franco-American relationships in the first half of the XIXth century. In 1830, convinced that France is at a turning point in its political history, he accepts Louis Philippe's offers to come back and supervise French fortifications
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Foucrier, Annick. "La France, les Français et la Californie avant la ruée vers l'or (1786-1848)". Paris, EHESS, 1991. http://www.theses.fr/1991EHES0005.

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Abstract (sommario):
Les relations de la france, des francais et de la californie de 1786 (passage de laperouse a monterey) a 1848 (rattachement aux etats-unis) sont etudiees dans leurs dimensions economique, socio-culturelle et politique. Les francais vont d'abord cherche en californie des fourrures de loutres marines pour les vendre en chine, puis des approvisionnements pour les baleiniers ou pour les etablissements militaires francais installes a partir de 1842 aux iles marquises et a tahiti. Les voyageurs francais decrivent les misions, installees par les espagnols, a partir de 1769, pour convertir les indiens, puis apres l'independance du mexique, le mouvement de secularisation des biens des misions qui contribue a faire du pays une region de grands domaines d'elevage, les "ranchos". La californie occupe une place strategique dans le pacifique-nord, aux limites des empires espagnol, russe et anglais, et suscite les convoitises des etats-unis. La france s'interesse aussi au sort de la californie a partir de 1836, et un consulat francais est cree a monterey en 1842. Pendant les annees 1840, les puissances maritimes menent un jeu complexe qui se termine en 1848 avec l'annexion de la californie par les etats-unis. Plusieurs chapitres sont consacres aux francais installes en californie, a leurs origines sociales et regionales, a leurs activites professionnelles, a leur integration et a leur participation a la vie politique californienne
The relationships of france, the french and california from 1786 (when laperouse called at monterey) to 1848 (the annexation by the united states) are studied from economical, social, cultural and political viewpoints. The french first came to california to trade sea otter furs, to be sold in china, then to buy supplies for whalers or for the french steelements in the marquesas and tahiti islawds. These travelers described the missions, built by the spanish beginning in 1769 to convert indians, and after the mexican independence, they observed the secularization of mision lands which turned california into a cattle breeding country, divided into large ranchos. Being situated at the borders of the spanish, russian and english empires, california held a strategic place, and its harbors were coveted by the united states. From 1836, france too was interested in the future of california, and in 1842 a french consulate was created at monterey. The complex play of the maritime powers in the 1840s ends in 1848 with the annexation of california by the united states. Several chapters deal with the french who lived in california, their origins (social and regional), their trades, their integration and their participation in the political life of the country
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Clerc, Charles. "Les républicains de langue française aux Etats-Unis: 1848-1871". Paris 13, 2001. http://www.theses.fr/2001PA131036.

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Abstract (sommario):
Entre 1848 et 1871, plusieurs milliers de républicains de langue française (on dénombre en dehors des Français, tant des Suisses que des Belges, voire des Italiens) trouvent refuge aux Etats-Unis d'Amérique. Un grand nombre d'entre eux s'installent dans les métropoles ouvertes aux influences cosmopolites, principalement à New York, où ils bénéficient d'un terrain propice à leurs activités militantes, en particulier à la publication de journaux. Ce milieu se compose à la fois d'"exilés", chassés par la répression de juin 1848 et plus encore par le coup d'Etat du 2 décembre, et d'"émigrants volontaires" qui, en épousant la cause républicaine, se lient au sort des éxilés. La première partie de la thèse identifie les milieux républicains de langue française en général et les personnalités les plus marquantes en particulier. La seconde partie se focalise sur le groupe républicain de la ville de New York, en s'appuyant sur l'étude de deux journaux essentiels : le Républicain, publié de 1853 à 1854 et le Messager Franco-Américain, publié de 1859 à 1883. La dernière partie a pour objet de retracer l'histoire des idées embrassées par les républicains de langue française en fonction des grands évènements politiques qui agitent à la fois le Nouveau et l'Ancien Monde. Cette thèse met en valeur la cohérence d'un milieu politique d'origine française, attaché aux valeurs de la Révolution, tâchant d'apposer son empreinte sur l'histoire sociale et idéologique américaine.
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Chalmers, Claudine. "L'aventure française à San Francisco pendant la ruée vers l'or, 1848-1854". Nice, 1991. http://www.theses.fr/1991NICE2020.

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Abstract (sommario):
Des milliers de Français ont participé à la grande ruée vers l'or de Californie. En effet, la découverte de ses champs aurifères a coïncidé avec les troubles révolutionnaires qui secouent la France en 1848. Quelques résidents français déjà établis en Californie s'enrichissent aisément des 1848, dans les placers ou à San Francisco. Trois vagues distinctes d'émigrants de France viennent les rejoindre. Entre 1848 et 1849, ce sont les français du pacifique : rompus à la vie en pays étranger, ils fondent à San Francisco des entreprises solides et durables. Entre 1849 et 1851, des milliers d'"argonautes" arrivent directement de France par le Cap Horn : cultivés, entreprenants, très nombreux, ils communiquent à la ville leur gout très parisien de l'élégance, de la bonne chère et des divertissements. En 1852 et 1853, la "loterie des lingots d'or" expédie d'ardents républicains qui rêvent d'un nouveau départ. Avec leurs convois s'achève la grande aventure française à San Francisco durant la ruée vers l'or. Elle a laissé sa marque sur cette ville souvent appelée le "Paris du pacifique"
Three major events combine, in 1848, to propel thousands of frenchmen to California : the annexation of the territory by the United States, the discovery of rich gold deposits north of San Francisco, and in France, the outbreak of a revolution and the emergence of a new social order. Besides a few french residents already settled in california who find easy fortunes in the placers or in San Francisco at the onset of the gold rush, three distinct groupes of frenchmen emigrate to California. Between 1848 and 1849, they come with the great rush from the pacific : these adaptable pioneers meet with great success in San Francisco where they create long-lasting businesses. Between 1849 and 1851, thousands of "argonauts" come directly from France around the Horn. Educated and enterprising, these numerous emigrants give the town their passion for entertainment, good food and elegance. Finally, in 1852 and 1853, the arrival of ardent "republican" emigrants sent by the "lottery of the golden ingots" marks the close of the great french adventure in San Francisco during the gold rush. It left enduring marks on the city often nicknamed the "paris of the pacific"
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Villerbu, Tangi. "Espace et nation : constructions françaises du récit de l'Ouest américain au XIXe siècle". Paris, EHESS, 2004. http://books.openedition.org/pur/6251.

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Abstract (sommario):
Au fil d'un large 19e siècle, plusieurs milieux produisent en France des récits de l'Ouest américain. Des voyageurs cherchent dans l'Ouest les traces de la construction d'une nation américaine. Des touristes, intégrés peu avant 1900 à un système industriel à visée nationaliste, font l'expérience des parcs nationaux. D'autres français ont envisagé de s'y installer : les migrants disent leurs échecs et leurs succès, les missionnaires se voient s'offrir la possibilité d'un dévouement christique à la foi. Alors que les romans de Cooper imprègnent tous les milieux, des savants se penchent sur l'Ouest. Certains peinent à y voir un élément important de lidentité américaine, d'autres croient au contraire y déceler l'essence de la nation. Mais la majorité des Français ne prend connaissance de l'Ouest que par la culture de masse, qui l'offre en abondance, tant dans le domaine visuel que dans le domaine littéraire. De l'ensemble se dégage l'idée que la nation américaine se construit aussi en France, par le récit de l'Ouest américain. Ce récit est dabord l'histoire de la conquête d'un espace qui doit être normalisé. Il faut donc exclure les autres, à commencer par les Indiens. Un récit alternatif, issu du roman populaire ou de missionnaires, s'oppose à cette conquête mais il est voué à l'échec. De surcroît, la définition de l'Ouest est complexe. "Américain" a priori, il n'est en fait qu'une création du Nord. Lorsque la région ouest naît, il faut l'arrimer à la nation, ce qui ne peut s'opérer que par el commerce. Et encore le rapport ainsi créé semble-t-il colonial. Cependant la conquête de l'Ouest sert tout le long du siècle à attribuer aux Américains des traits nationaux : virilité, ou esprit démocratique transparaissent au travers des figures archétypales, le pionnier ou le cow-boy. Lorsqu'à la fin du siècle le modèle paraît s'épuiser, le récit au présent et au futur de l'Ouest donne naissance au récit au passé de la frontière, qui exhale les temps pionniers
During a long 19th century, many Frenchmen narrated what happened in the American West. Travellers was looking for evidence of the birth of an American nation. Tourists visited the national(ist) parks, industrialized natural spaces. Others wanted to settle : migrants, narrated their failures and successes, missionaries could imitate Jesus Christ and die working for their faith. Fenimore Cooper's novels were read by everybody, but few scientists tried to know the West more seriously. Many failed to imagine the West could have been important to understand the American identity, but on the contrary some believed the nation born in the West. Nevertheless, most of the Frenchmen knew the West by what they could read in popular literature or see in the Wild West Shows. The American nation born in France, as it born in the United States or any other country. And the narrative of the West is in the heart of that process. It's the story of a region which had to become "normal", "American". The others have no right to live in the western memory. A counter-narrative existed, in mass culture or catholic writings, but it couldn't resist at the end of the 19th century. The West had to be "American", but it was created by the North, and not by the South, and only colonial trade bound it to the nation. The American nation born through the western story as a conquering, democratic and mainly nation created by settlers and cow-boys. Nevertheless, at the end of the 19th century, this herois West seems to disappear; the story seems to end. It is impossible to narrate the future West, so the "frontier" appear to narrate its glorious past
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Saugera, Éric. "Renaître en Amérique ? : réfugiés et exilés français aux Etats-Unis, l'aventure de la vigne et de l'olivier, 1815-1865". Nantes, 2007. http://www.theses.fr/2007NANT3024.

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Abstract (sommario):
Après l'abdication de Napoléon en 1814, l’armée se moula dans l’ordre militaire des Bourbons, mais des généraux complotèrent contre le roi, puis combattirent à Waterloo. L’ordonnance du 24 juillet 1815 les condamna à mort. Avec militaires et civils victimes de la loi d’amnistie du 12 janvier 1816, ils s’exilèrent à Philadelphie et fondèrent avec les réfugiés de Saint-Domingue la Société coloniale des émigrés français. La loi du Congrès du 3 mars 1817 leur concéda des terres en Alabama pour y planter vignes et oliviers. Une partie des sociétaires se rendit sur place, fonda Démopolis et Aigleville, comté de Marengo, tandis qu’une autre ralliée au général Lallemand aîné le suivit au Texas et se perdit au Champ d’Asile. Ce ne fut pas la seule raison de l’échec de la colonie française, il y eut l’inadaptation des exilés au métier de vigneron et l’impossible acclimatation de la vigne et des oliviers exogènes. Des exilés revinrent en France, mais beaucoup firent souche aux États-Unis. (993 caractères, espaces compris)
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Prévost, Urkidi Nadia. "Brasseur de Bourbourg (1814-1874) et l'émergence de l'américanisme scientifique en France au XIXe siècle". Toulouse 2, 2007. http://www.theses.fr/2007TOU20064.

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Abstract (sommario):
Comment expliquer l'importance du statut du personnage de Brasseur de Bourbourg dans les études américanistes françaises du milieu du XIXe siècle, en dépit des célèbres « dérives » d'interprétations qui caractérisèrent la fin de sa vie ? L'étude approfondie du parcours brasseurien, tant personnel que « professionnel », répond à cette question et permet non seulement d'approcher les problèmes de définition de « l'américanisme » scientifique des années 1850/1860, mais aussi de dessiner les contours de réseaux intellectuels et savants existant alors des deux côtés de l'Atlantique. Divisée en trois parties, cette thèse présente donc à la fois la biographie d'un personnage et le portrait d'une science en pleine gestation. Dans un premier temps, elle analyse l'état des connaissances des études portant sur les peuples non-occidentaux jusqu'au début des années 1840, en prêtant une particulière attention à la représentation qui était alors celle de « l'homme américain ». Dans un second temps, elle aborde l'étude de Charles-Étienne Brasseur avant qu'il ne devienne « Brasseur de Bourbourg » l'américaniste et met en évidence le cheminement qui mena ce personnage vers ce nouveau domaine scientifique. Dans un troisième temps, enfin, elle rend compte non seulement de la véritable révolution épistémologique que constituèrent les premières œuvres américanistes brasseuriennes pour les « études américaines » à un niveau international, mais également les problèmes d'institutionnalisation que connut le groupe américaniste français travaillant dans le giron de la Société d'Ethnographie créée en 1859
How to explain the importance of Brasseur de Bourbourg in the French americanist studies of the XIXth century in spite of the famous fanciful interpretations which characterized the end of his life ? The detailed study of his life course on both personal and "professional"points of view answers this question and allows to approach the problems of definition of sicentific americanism il the 1850/1860 decades. It also permits to outline the intellectual and sicentific networks existing then on both sides of Atlantic. This thesis thus presents in three parts the biography of a character as well as the portrait of a nascent science. It begins with the analysis of the state of knowledge of the studies relating to the non-Occidental people until the beginning of the years 1840, with a particular focus on the representation which was then that of the american man. The second part deals with the study of Charles-Etienne Brasseur before his becoming "Brasseur de Bourbourg" the americanist. It highlights the march of thought which carried him towards this new scientific field. In its third part, the thesis accounts not only for the true epistemological revolution which the early brasseurian works meant on an international level for the "American studies" but also for the problems of institutionalization encountered by the French americanist group working in the bosom of the Société d'ethnographie founded in 1859
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Hervé, Michel. "Une bataille jugée : la défaite des Saintes (12 avril 1782 ) et le Conseil de guerre de Lorient". Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040079.

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Abstract (sommario):
La bataille des Saintes opposa Anglais et Français le 12 avril 1782. Les Français étaient commandés par le comte de Grasse, qui s’était illustré l’année précédente dans la baie de la Chesapeake en battant l’amiral Graves. Cette victoire permit la prise de Yorktown et l’indépendance des Etats-Unis. En 1782, les Anglais vont prendre leur revanche et l’amiral Rodney va battre de Grasse qui protégeait un convoi marchand et se préparait à envahir la Jamaïque. De retour à Versailles, de Grasse pour se justifier accusa ses deux chefs d’escadre Vaudreuil et Bougainville d’avoir désobéi à ses ordres. D’où un Conseil de guerre ordonné par Louis XVI. Trois cent quatre survivants vont témoigner à Lorient, où chacun essayera de justifier sa conduite. Après trois mois de délibérations, seul Bougainville est condamné, tous les autres officiers sont absous. De Grasse est le grand perdant de ce procès, il lui sera interdit de monter sur un vaisseau et il subira pendant plus d’un siècle l’opprobre de la Marine française. En revanche, les Américains et Washington lui rendirent toujours hommage
The battle at the Saintes opposed the British and French fleets on April 12, 1782. The French navy was commended by comte de Grasse who has been famous the preceding year in the Chesapeake bay, by beating admiral Graves. Thanks to this victory, Yorktown was occupied and the United States win independency. In 1782 the British navy will get their revenge and Admiral Rodney will defeat de Grasse who was getting prepared to invade Jamaica. Back in Versailles, De Grasse to justify himself accused his squadron commanders Vaudreuil and Bougainville to have disobeyed his orders. A war council was then installed by Louis XVI. Three hundred and four sailors will then summoned to Lorient as witnesses, and each of them will try and justify his conduct. After three months of trial, Bougainville was the only one condemned, and all the other officers were acquitted. De Grasse was the real loser of the trial. He was forbidden to command a ship again and during a century years he was disgraced in the French navy. But the Americans and Washington will always pay tribute to him
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Bédard-Fiset, Alexis, e Alexis Bédard-Fiset. "Poétique de la correspondance dans le Courrier des États-Unis de New York entre 1840 et 1850 : le cas du Canadien français Pierre-Joseph-Olivier Chauveau". Master's thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/37455.

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Abstract (sommario):
Nous avons analysé les articles de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau publiés dans le Courrier des États-Unis de New York (1828-1938) pendant la décennie 1840. Le journal rejoignait de nombreuses communautés francophones dispersées dans les Amériques. Chauveau est le seul Canadien français à y collaborer au milieu du XIXe siècle et se révèle un correspondant étranger particulièrement prolifique. Afin de comprendre les poétiques d’écriture du correspondant canadien, nous avons comparé ses articles avec ceux des autres correspondants, principalement parisiens. Nous avons observé que les correspondances, autant celles de Chauveau que celles de ses collègues d’outre-mer, répondent aux mêmes logiques d’écriture que les autres genres journalistiques de l’époque, en particulier la chronique; aussi conservent-elles des traces d’un fort héritage épistolaire. De surcroît, pour pallier le manque de balises dans la manière d’écrire le journal, les correspondants convoquent des formes « canoniques et livresques » : l’influence de la matrice littéraire est tangible. L’étude du contenu des correspondances de Chauveau révèle qu’il utilise sa tribune dans l’espoir de désenclaver sa nation afin de l’arrimer au reste des Français d’Amérique. Pour y parvenir, il exalte la nostalgie pour la Nouvelle-France en misant sur l’identité de « Français d’autrefois » du Canadien, critique de manière récurrente l’opposant commun, l’Angleterre, et fait ressortir les multiples impacts du pouvoir de la religion catholique, rappelant ainsi la France prérévolutionnaire.
Nous avons analysé les articles de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau publiés dans le Courrier des États-Unis de New York (1828-1938) pendant la décennie 1840. Le journal rejoignait de nombreuses communautés francophones dispersées dans les Amériques. Chauveau est le seul Canadien français à y collaborer au milieu du XIXe siècle et se révèle un correspondant étranger particulièrement prolifique. Afin de comprendre les poétiques d’écriture du correspondant canadien, nous avons comparé ses articles avec ceux des autres correspondants, principalement parisiens. Nous avons observé que les correspondances, autant celles de Chauveau que celles de ses collègues d’outre-mer, répondent aux mêmes logiques d’écriture que les autres genres journalistiques de l’époque, en particulier la chronique; aussi conservent-elles des traces d’un fort héritage épistolaire. De surcroît, pour pallier le manque de balises dans la manière d’écrire le journal, les correspondants convoquent des formes « canoniques et livresques » : l’influence de la matrice littéraire est tangible. L’étude du contenu des correspondances de Chauveau révèle qu’il utilise sa tribune dans l’espoir de désenclaver sa nation afin de l’arrimer au reste des Français d’Amérique. Pour y parvenir, il exalte la nostalgie pour la Nouvelle-France en misant sur l’identité de « Français d’autrefois » du Canadien, critique de manière récurrente l’opposant commun, l’Angleterre, et fait ressortir les multiples impacts du pouvoir de la religion catholique, rappelant ainsi la France prérévolutionnaire.
We analyzed Pierre-Joseph-Olivier Chauveau’s foreign correspondences published in the Courrier des États- Unis (1828-1938) between 1840 and 1850. The newspaper was produced in New York and reached many French-speaking communities scattered throughout the Americas. Chauveau was the Courrier’s only French- Canadian correspondent and one of the most prolific among his colleagues. In order to unveil the various influences associated to his writing, we compared his articles with the ones that his Parisian colleagues produced. We observed that more important journalistic genres of the era such as the editorial had a significant impact on their writing. Their articles also contain strong literary and epistolary influences. We dedicated the most crucial part of our study to the analysis of Chauveau’s articles. We discovered that his articles are a means to convince his readers that French Canadians should be perceived as a legitimate part of French America. In order to do so, Chauveau exacerbated the nostalgy for New France. He also tried to prove that French Canadians are actually pre-revolutionary French citizens, namely by highlighting the extent of the Catholic Church’s powers. Moreover, by constantly criticizing a common opponent, England, Chauveau aspired to strengthen his readers’ sympathy for his nation
We analyzed Pierre-Joseph-Olivier Chauveau’s foreign correspondences published in the Courrier des États- Unis (1828-1938) between 1840 and 1850. The newspaper was produced in New York and reached many French-speaking communities scattered throughout the Americas. Chauveau was the Courrier’s only French- Canadian correspondent and one of the most prolific among his colleagues. In order to unveil the various influences associated to his writing, we compared his articles with the ones that his Parisian colleagues produced. We observed that more important journalistic genres of the era such as the editorial had a significant impact on their writing. Their articles also contain strong literary and epistolary influences. We dedicated the most crucial part of our study to the analysis of Chauveau’s articles. We discovered that his articles are a means to convince his readers that French Canadians should be perceived as a legitimate part of French America. In order to do so, Chauveau exacerbated the nostalgy for New France. He also tried to prove that French Canadians are actually pre-revolutionary French citizens, namely by highlighting the extent of the Catholic Church’s powers. Moreover, by constantly criticizing a common opponent, England, Chauveau aspired to strengthen his readers’ sympathy for his nation

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