Letteratura scientifica selezionata sul tema "Mécanisme de mise en accord sur une clé"

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Articoli di riviste sul tema "Mécanisme de mise en accord sur une clé":

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Castro, Paula, e Marlene Kammerer. "The Institutionalization of a Cleavage: How Differential Treatment Affects State Behavior in the Climate Negotiations". International Studies Quarterly 65, n. 3 (25 maggio 2021): 683–98. http://dx.doi.org/10.1093/isq/sqab045.

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Abstract (sommario):
Abstract Differential treatment is a key norm in multilateral environmental agreements. Its main objective is to increase compliance and reduce the free-rider problem by apportioning the costs and benefits of implementation more equitably across the parties in an agreement. The question of how to differentiate those burdens is inextricably linked to national interests, and while in some instances differential treatment is well designed and facilitates cooperation, in other cases a rigid divide—or cleavage—leads to a stalemate and constant conflict. This article studies the consequences of differential treatment as institutionalized under the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC). Previous research has shown that the separation of UNFCCC parties into two opposing groups has deepened the polarization in the negotiations. We identify two causal mechanisms that may have driven this polarization, namely socialization through material incentives and the formation of group identity. We draw on an original dataset that records (dis)agreements between country pairs, coded from negotiation summaries between 1995 and 2013. Using a relational events model, we show that the division of UNFCCC parties into Annex I (with obligations) and non-Annex I (without obligations) is related primarily to material incentives and less to group identity formation. El trato diferenciado es una norma fundamental en los acuerdos ambientales multilaterales. Su principal objetivo es aumentar el cumplimiento y reducir el problema de los oportunistas distribuyendo los costos y los beneficios de la implementación de forma más equitativa entre las partes de un acuerdo. La cuestión de cómo diferenciar esas cargas está inextricablemente vinculada a los intereses nacionales y mientras que en algunos casos el trato diferenciado está bien diseñado y facilita la cooperación, en otros casos, una división rígida o escisión conduce a un estancamiento o un conflicto constante. En este artículo se estudian las consecuencias del trato diferenciado institucionalizado en la Convención Marco de las Naciones Unidas sobre el Cambio Climático (CMNUCC). Investigaciones anteriores han demostrado que la separación de las partes de la CMNUCC en dos grupos opuestos ha profundizado la polarización en las negociaciones. Identificamos dos mecanismos causales que pueden haber impulsado esta polarización; a saber, la socialización a través de incentivos materiales y la formación de la identidad de grupo. Nos basamos en un conjunto de datos original que registra los (des)acuerdos entre pares de países, codificados a partir de resúmenes de negociación entre 1995 y 2013. Utilizando un modelo de eventos relacionales, demostramos que la división de las partes de la CMNUCC en Anexo I (con obligaciones) y no Anexo I (sin obligaciones) está relacionada principalmente con los incentivos materiales y no tan relacionada con la formación de la identidad de grupo. Le traitement différencié est une norme clé des accords environnementaux multilatéraux. Son principal objectif est d'accroître la conformité et de réduire le problème de bénéficiaire sans contrepartie en répartissant plus équitablement les coûts et les avantages de la mise en œuvre d'un accord entre les parties qui y sont impliquées. La question de savoir comment différencier ces « fardeaux » est inextricablement liée aux intérêts nationaux, et bien que dans certains cas, le traitement différencié soit bien conçu et facilite la coopération, dans d'autres cas, une séparation rigide—ou clivage—conduit à une impasse et à un conflit permanent. Cet article étudie les conséquences du traitement différencié tel qu'il est institutionnalisé dans la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Une recherche précédente a monté que la séparation des parties de la CCNUCC en deux groupes opposés avait accru la polarisation des négociations. Nous avons identifié deux mécanismes causaux qui peuvent avoir entraîné cette polarisation: la socialisation par incitations matérielles et la formation d'une identité de groupe. Nous nous appuyons sur un jeu de données original retraçant les (dés)accords entre paires de pays, qui ont été codés à partir des résumés des négociations qui sont intervenues entre 1995 et 2013. Nous utilisons un modèle d’événements relationnels et montrons que la séparation entre parties de la CCNUCC en pays de l'Annexe I (avec obligations) et pays hors Annexe I (sans obligations) est principalement davantage associée à des incitations matérielles qu’à une formation d'identité de groupe.
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Parent, Geneviève. "L'industrie laitière canadienne devant les contraintes de la réglementation internationale de l'Organisation mondiale du commerce". Les Cahiers de droit 41, n. 3 (12 aprile 2005): 513–66. http://dx.doi.org/10.7202/043614ar.

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Abstract (sommario):
L'industrie laitière canadienne a traditionnellement été l'un des secteurs d'activité agricole les plus florissants au Canada. Depuis les années 70, sa prospérité est assurée par un système de gestion des approvisionnements en lait. Ce système est le résultat d'une profonde mutation que l'industrie laitière canadienne a entreprise à la fin des années 50 et terminée dans les années 70, afin de s'adapter à l'environnement commercial d'après-guerre. Il a pour objet de contrôler la production de lait en vue d'assurer l’autosuffisance canadienne en fait de produits laitiers tout en évitant la surproduction. Un tel système a pu être maintenu en place par le Canada malgré l'entrée en vigueur du GATT (General Agreement on Tariffs and Trade ou Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce) en 1948 puisque le commerce agricole et agroalimentaire bénéficiait d'un statut particulier en étant maintenu à l'écart des discussions sur la libéralisation des échanges mondiaux. Or, depuis la clôture des dernières négociations multilatérales, en 1994, le commerce agricole et agroalimentaire est finalement soumis à la réglementation internationale de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) par l'entremise de l’Accord sur l'agriculture. Le protectionnisme nécessaire au maintien du système de gestion des approvisionnements en lait est donc appelé à disparaître. L'industrie laitière canadienne se trouve dès lors à la croisée des chemins. La réglementation internationale et les attaques répétées des Membres de l'OMC contre l'industrie laitière canadienne pressent de plus en plus l'ouverture du marché canadien de produits laitiers. La décision rendue le 13 octobre 1999 par l'Organe d'appel de l'OMC force le Canada à repenser son mécanisme d'approvisionnement en lait voué à l'exportation. Cette affaire offre donc l'occasion à l'industrie laitière canadienne de se repositionner par rapport au système de gestion des approvisionnements en lait et de s'engager, dès à présent, dans un véritable processus d'adaptation aux nouveaux paramètres du commerce international. Une anticipation des effets de la réglementation internationale et une adaptation de la politique laitière à ces paramètres seront garantes de la prospérité de l'industrie laitière canadienne dans un marché favorisant la libre concurrence. Le résultat des négociations actuelles entre les producteurs et les transformateurs quant aux modalités de la mise en oeuvre de la décision de l'OMC sera d'une importance majeure pour l'industrie laitière canadienne.
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Rafi, S., G. Elmghari e N, Elansari. "POST-COVID ENDOCRINOPATHY :ABOUT A CASE ENDOCRINOPATHIE POST- COVID :À PROPOS D’UN CAS". INDIAN JOURNAL OF APPLIED RESEARCH, 1 novembre 2021, 13–14. http://dx.doi.org/10.36106/ijar/2413571.

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Abstract (sommario):
Introduction : La Covid 19, est l'épidémie du siècle. Elle se manifeste par une atteinte respiratoire prédilective et engendre dans les cas extrêmes un syndrome respiratoire aigu sévère, cependant elle peut être source de complications extra-pulmonaires précoces ou tardives, quand est –il des atteintes endocriniennes ? Observation : Nous rapportons un cas de diabète nouvellement apparu et d'une thyroïdite d'Hashimoto quatre mois après l'infection au Covid 19, chez une patiente de 34 ans, sans histoire personnelle ou familiale de diabète ni de thyréopathie. Trois mois après l'infection, la patiente a présenté une asthénie, avec un ralentissement physique et psychique, une boufssure du visage et œdème palpébral. La symptomatologie s'est compliquée un mois après par l'apparition d'un syndrome polyuro-polydypsique, le tout évoluant dans un contexte d'amaigrissement chiffré à 8kg sur deux mois. le bilan a mis en évidence un diabète avec une HBA1c à 12% et une hypothyroïdie profonde avec une TSHus à 99mui/l et une T4L à 0,16 pmol/l . Les anticorps anti glutamate décarboxylase (GAD), anti-ilots de Langerhans (IA2) et les anticorps anti -protéine transporteuse du zinc (ZNT8) étaient négatifs et les AC anti TPO étaient positifs avec un titre élevé à 880 mui/l. l'échographie cervicale a objectivé un aspect de thyroïdite. La patiente a été mise sous insulinothérapie et sous hormonothérapie substitutive. Conclusion : Les endocrinopathies post Covid existent et doivent être connues par les professionnels de santé, en particulier les endocrinologues. Le principal mécanisme physiopathologique met en cause l'enzyme de conversion de l'angiotensine II, comme clé d'entrée du virus.
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ZIAKWAU Lembisa, Martin. "« L’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République Démocratique du Congo et la Région » à l’épreuve de la résurgence du Mouvement du 23 mars". Revue Congo Research Papers 3, n. 3 (26 dicembre 2022). http://dx.doi.org/10.59937/xzch9432.

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Abstract (sommario):
La résurgence du Mouvement du 23 mars (M23), à partir de novembre 2021, remet sur le tapis la problématique du bienfondé de l’« Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République Démocratique du Congo et la Région », signé le 24 février 2013 à Addis-Abeba (Ethiopie) par une dizaine de Chefs d’Etats et d’institutions internationales. Ce, en vue de faire échec en particulier à l’activisme de ce groupe armé qui avait réussi à prendre le contrôle de la ville de Goma en novembre 2012, et, en général, de mettre un terme aux cycles récurrents des violences armées dans l’Est de l’Etat congolais. Quand bien même les engagements qu’il comprend ne seraient pas assez mis en œuvre suite à des perceptions à la base des postures des parties prenantes, l’Accord-cadre est toujours considéré par le Conseil de sécurité, qui privilégie une solution politique à la crise du M23, comme un mécanisme essentiel pour parvenir à la paix, la sécurité et la stabilité particulièrement en RDC. Ce qui tend à conforter la pertinence de cet instrument juridique international. Il revient à l’Etat congolais, principal concerné dont l’affadissement le réduit aux efforts de survie, de capitaliser les opportunités inhérentes à l’Accord-cadre, moindres seraient-elles, et de s’employer à susciter une « convergence géopolitique » dans la perspective d’une paix véritablement durable dans l’Est de son territoire. A cet effet, il s’impose au Gouvernement congolais, au sens large du terme, de construire une réponse stratégique consistant en un plan global de gestion et de résolution à long terme du problème sécuritaire dans l’Est, comprenant des thérapeutiques précises (militaires et non militaires) aux causes profondes à élucider dans une mise en évidence de la complexité des relations mouvantes des parties prenantes. Il y va de l’efficacité de la lutte contre le système d’insécurité dans l’Est de la RDC, vieux d’environ trois décennies. Mots clés : Accord-cadre, paix, sécurité, coopération, Mouvement du 23 mars.
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Somda, Bezahinibé Micheline, Delphine Ducasse e David Pavot. "Le Chapitre 33 de l’ACÉUM et la prise en compte de la monnaie dans un accord commercial : comment faire du neuf avec du vieux ?" Revue québécoise de droit international, 27 luglio 2022, 257–69. http://dx.doi.org/10.7202/1090927ar.

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Abstract (sommario):
Le chapitre 33 de l’ACÉUM sur les politiques macroéconomiques et questions relatives aux taux de change constitue un nouvel ajout au domaine des accords commerciaux régionaux. Celui-ci n’a donc pas de chapitre équivalent dans l’ALÉNA. Ces nouvelles dispositions semblent avoir été incluses à l’ordre du jour de renégociation à la demande des États-Unis à la suite de multiples manipulations monétaires effectuées au cours de la décennie 2003-2013 et à l’incapacité du Fonds monétaire international (FMI) d’encadrer les dévaluations monétaires compétitives. Bien qu’il ne s’agisse pas d’un problème entre les trois États parties à l’ACÉUM, ce chapitre constituerait un modèle pour de futurs accords commerciaux. L’originalité de l’inclusion de dispositions sur les politiques macroéconomiques et les questions relatives aux taux de change dans un accord commercial régional ne s’étend pas entièrement au contenu de ces dispositions. En effet, la majorité des articles substantifs sont similaires aux dispositions non contraignantes figurant dans les Statuts du FMI. Toutefois, les États parties ont convenu de soumettre les exigences de transparence au mécanisme de règlement des différends de l’Accord, ajoutant ainsi une force de mise en oeuvre qui n’existait pas auparavant dans d’autres fora. L’inclusion de ce chapitre dans l’ACÉUM démontre la volonté de certains États d’inclure de plus en plus de questions non commerciales dans les accords de libre-échange afin de bénéficier des solides mécanismes de règlement des différends qu’ils contiennent généralement. Il reste à voir si le chapitre 33 sera reproduit dans les futurs accords commerciaux.
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Gosseries, Axel, e Vincent Van Steenberghe. "Numéro 21 - avril 2004". Regards économiques, 12 ottobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16063.

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Abstract (sommario):
Dans le cadre du Protocole de Kyoto, la Belgique s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 7,5 % par rapport à leur niveau de 1990. Récemment, un accord a été conclu sur la répartition de cet effort entre les trois régions et l’Etat fédéral. Afin de rencontrer leurs obligations, ceux-ci vont plus que probablement recourir aux "marchés internationaux des permis d’émission". La possibilité d’un tel recours fait néanmoins l’objet de réticences auprès de certaines personnes, dont des décideurs politiques. Ces réticences sont dues à deux facteurs : d’une part la complexité de l’instrument "marché de permis d’émission"; d’autre part la possibilité d’objections éthiques à sa mise en œuvre. Ce numéro de Regards économiques vise à expliquer de manière simple le fonctionnement de tels marchés et à montrer qu’il peut tout à fait être justifié d’y recourir. En ce qui concerne le fonctionnement de l’instrument, les questions suivantes sont abordées : Que gagne-t-on à échanger des permis d’émissions ? La propriété fondamentale de l’échangeabilité des permis est de diminuer les coûts de réduction des émissions pour l’ensemble des pollueurs, encourageant par là la mise en œuvre de politiques de réduction d’autant plus ambitieuses. Nous l’illustrons par la présentation d’un système existant et considéré comme exemplaire : l’ «Acid Rain Program» (Etats-Unis). En pratique, dans quel cadre les échanges de permis d’émission de gaz à effet de serre vont-ils se développer ? Nous identifions, présentons et comparons les deux principaux systèmes conduisant à des échanges de permis d’émission de ces gaz : le protocole de Kyoto (2008-2012) et la Directive européenne sur la mise en place d’un système de permis (à partir de janvier 2005). Quelle sera l’ampleur des échanges et des gains générés par ces échanges des permis issus du protocole de Kyoto ? Plusieurs pays, comme l’Europe des 15, les Etats-Unis et le Japon, devraient avoir largement recours à l’achat de permis (environ 25 % de leur allocation initiale) afin de satisfaire leurs engagements. La vente de ces permis/crédits provient, d’une part, d’autres pays industrialisés (Russie, Ukraine et autres pays de l’Europe de l’Est, qui exportent plus de 30 % des permis qui leur ont été alloués) et, d’autre part, des pays en développement, via le "mécanisme pour un développement propre". Celui-ci autorise des pays industrialisés (engagés à réduire leurs émissions) à remplir une partie de leurs engagements par la mise en œuvre de projets de réduction d’émission dans des pays en développement (pays qui ne sont pas engagés au respect d’un quota d’émission national). L’échangeabilité des permis conduit à une baisse drastique des coûts de la politique de réduction des émissions (de l’ordre de 60 % sous les hypothèses retenues). Toutefois, le retrait des Etats-Unis provoque un bouleversement sur ce marché. Le prix des permis baisse considérablement, au bénéfice notamment de l’Europe dont les coûts du respect de l’engagement au Protocole de Kyoto deviennent alors particulièrement faibles. Les questions et objections d’ordre éthique portent sur l’échangeabilité des permis et sur l’allocation de ces derniers. Les questions suivantes sont abordées : Quels seraient les arguments éthiques allant à l’encontre de l’échangeabilité de permis d’émission ? Trois arguments (objections) sont envisagés : (i) il serait injuste d’exiger de se faire payer (c’est-à-dire de vendre des permis de polluer) pour réduire les émissions; (ii) il serait injuste de payer autrui (c’est-à-dire d’acheter des permis de polluer) pour effectuer les réductions à notre place; (iii) la possibilité d’un prix des permis injustement bas (aux dépens des pays les plus pauvres) serait suffisante pour renoncer à l’échangeabilité. Nous montrons que même si l’échangeabilité peut s’accompagner d’injustices, l’absence d’échangeabilité serait plus injuste encore. Comment allouer de manière juste les permis entre Etats ? Les deux principaux critères d’allocation des permis sont considérés : le critère de grandfathering (allocation des permis au pro-rata des émissions passées) et le critère d’égalité par tête (allocation des permis au pro-rata du nombre d’habitants). Nous expliquons pourquoi le second est plus juste que le premier, même s’il doit toutefois être amendé. L’égalité par tête du droit d’émettre ne prend en effet pas en compte les différences, entre Etats, de coût de réduction des émissions et de coût des dommages causés par les changements climatiques (les petites îles du pacifique par exemple risquent d’être plus affectées que la Suisse en raison de circonstances purement géographiques).
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Gosseries, Axel, e Vincent Van Steenberghe. "Numéro 21 - avril 2004". Regards économiques, 12 ottobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2004.04.01.

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Abstract (sommario):
Dans le cadre du Protocole de Kyoto, la Belgique s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 7,5 % par rapport à leur niveau de 1990. Récemment, un accord a été conclu sur la répartition de cet effort entre les trois régions et l’Etat fédéral. Afin de rencontrer leurs obligations, ceux-ci vont plus que probablement recourir aux "marchés internationaux des permis d’émission". La possibilité d’un tel recours fait néanmoins l’objet de réticences auprès de certaines personnes, dont des décideurs politiques. Ces réticences sont dues à deux facteurs : d’une part la complexité de l’instrument "marché de permis d’émission"; d’autre part la possibilité d’objections éthiques à sa mise en œuvre. Ce numéro de Regards économiques vise à expliquer de manière simple le fonctionnement de tels marchés et à montrer qu’il peut tout à fait être justifié d’y recourir. En ce qui concerne le fonctionnement de l’instrument, les questions suivantes sont abordées : Que gagne-t-on à échanger des permis d’émissions ? La propriété fondamentale de l’échangeabilité des permis est de diminuer les coûts de réduction des émissions pour l’ensemble des pollueurs, encourageant par là la mise en œuvre de politiques de réduction d’autant plus ambitieuses. Nous l’illustrons par la présentation d’un système existant et considéré comme exemplaire : l’ «Acid Rain Program» (Etats-Unis). En pratique, dans quel cadre les échanges de permis d’émission de gaz à effet de serre vont-ils se développer ? Nous identifions, présentons et comparons les deux principaux systèmes conduisant à des échanges de permis d’émission de ces gaz : le protocole de Kyoto (2008-2012) et la Directive européenne sur la mise en place d’un système de permis (à partir de janvier 2005). Quelle sera l’ampleur des échanges et des gains générés par ces échanges des permis issus du protocole de Kyoto ? Plusieurs pays, comme l’Europe des 15, les Etats-Unis et le Japon, devraient avoir largement recours à l’achat de permis (environ 25 % de leur allocation initiale) afin de satisfaire leurs engagements. La vente de ces permis/crédits provient, d’une part, d’autres pays industrialisés (Russie, Ukraine et autres pays de l’Europe de l’Est, qui exportent plus de 30 % des permis qui leur ont été alloués) et, d’autre part, des pays en développement, via le "mécanisme pour un développement propre". Celui-ci autorise des pays industrialisés (engagés à réduire leurs émissions) à remplir une partie de leurs engagements par la mise en œuvre de projets de réduction d’émission dans des pays en développement (pays qui ne sont pas engagés au respect d’un quota d’émission national). L’échangeabilité des permis conduit à une baisse drastique des coûts de la politique de réduction des émissions (de l’ordre de 60 % sous les hypothèses retenues). Toutefois, le retrait des Etats-Unis provoque un bouleversement sur ce marché. Le prix des permis baisse considérablement, au bénéfice notamment de l’Europe dont les coûts du respect de l’engagement au Protocole de Kyoto deviennent alors particulièrement faibles. Les questions et objections d’ordre éthique portent sur l’échangeabilité des permis et sur l’allocation de ces derniers. Les questions suivantes sont abordées : Quels seraient les arguments éthiques allant à l’encontre de l’échangeabilité de permis d’émission ? Trois arguments (objections) sont envisagés : (i) il serait injuste d’exiger de se faire payer (c’est-à-dire de vendre des permis de polluer) pour réduire les émissions; (ii) il serait injuste de payer autrui (c’est-à-dire d’acheter des permis de polluer) pour effectuer les réductions à notre place; (iii) la possibilité d’un prix des permis injustement bas (aux dépens des pays les plus pauvres) serait suffisante pour renoncer à l’échangeabilité. Nous montrons que même si l’échangeabilité peut s’accompagner d’injustices, l’absence d’échangeabilité serait plus injuste encore. Comment allouer de manière juste les permis entre Etats ? Les deux principaux critères d’allocation des permis sont considérés : le critère de grandfathering (allocation des permis au pro-rata des émissions passées) et le critère d’égalité par tête (allocation des permis au pro-rata du nombre d’habitants). Nous expliquons pourquoi le second est plus juste que le premier, même s’il doit toutefois être amendé. L’égalité par tête du droit d’émettre ne prend en effet pas en compte les différences, entre Etats, de coût de réduction des émissions et de coût des dommages causés par les changements climatiques (les petites îles du pacifique par exemple risquent d’être plus affectées que la Suisse en raison de circonstances purement géographiques).

Tesi sul tema "Mécanisme de mise en accord sur une clé":

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Khalfaoui, Sameh. "Security bootstrapping for Internet of Things". Electronic Thesis or Diss., Institut polytechnique de Paris, 2022. http://www.theses.fr/2022IPPAT023.

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Abstract (sommario):
La demande de services qui se basent sur l'Internet des objets (IoT) augmente de manière exponentielle, ce qui entraîne le déploiement d'un grand nombre de dispositifs. Cependant, ces dispositifs peuvent représenter une menace pour la sécurité du réseau de déploiement et un point d'entrée potentiel pour des adversaires. Il existe donc un besoin imminent de réaliser une approche d'association sécurisée des objets connectés avant qu'ils ne soient rendus opérationnels sur le réseau de l'utilisateur. Cette procédure, appelée "amorçage de la sécurité", garantit en premier lieu la confidentialité et l'intégrité des échanges de données entre l'utilisateur et les dispositifs. Ensuite, ce processus fournit une assurance sur l'identité et l'origine de ces objets. La première phase d'appairage assure l'établissement d'un canal de communication sécurisé entre l'utilisation et l'objet. La phase d'appairage utilise un protocole d'accord de clé symétrique qui est adapté à la nature de ces dispositifs à ressources limitées. L'utilisation de canaux auxiliaires a été proposée comme moyen d'authentifier l'échange de clés, mais elle nécessite un temps relativement long et une participation importante de l'utilisateur pour transférer les bits d'authentification. Cependant, les systèmes basés sur le contexte utilisent l'environnement ambiant pour extraire un secret commun sans intervention importante de l'utilisateur, à condition d'avoir un périmètre sécurisé pendant la phase d'extraction, ce qui est considéré comme une hypothèse de sécurité forte. La deuxième phase du processus d'amorçage est appelée "enrôlement sécurisé" et vise à éviter l'association d'un objet IoT malveillant en authentifiant son identité et son origine. L'utilisation d'éléments de sécurité matériels, tels que les fonctions physiques non clonables (PUF), a été présentée comme une solution prometteuse adaptée à la nature limitée des ressources de ces dispositifs. Un nombre croissant d'architectures PUF ont été démontrées mathématiquement clonables grâce à des techniques de modélisation par apprentissage automatique. L'utilisation de modèles de PUF a été récemment proposée pour authentifier les objets IoT. Néanmoins, le scénario de fuite du modèle PUF vers un adversaire en raison d'une menace interne au sein de l'organisation n'est pas pris en charge par les solutions existantes. Par conséquent, la sécurité de ces propositions d'inscription basées sur le modèle PUF peut être compromise. Dans cette thèse, nous étudions le processus d'amorçage de la sécurité des dispositifs à ressources limitées et nous introduisons deux protocole: - Un protocole hybride d'appairage, appelé COOB, qui combine d'une manière efficace un schéma d'appairage contextuel avec l'utilisation d'un canal auxiliaire. Ce protocole exploite une technique d'exponentiation spécifique des clés publiques Diffie-Hellman en utilisant des nonces pour atteindre l'objectif de secret temporaire nécessaire à l'accord de clé. Notre méthode assure la sécurité même contre un attaquant qui peut contrôler la zone de sécurité (un environnement hostile), ce qui n'est pas pris en charge par les schémas contextuels existants. Cette amélioration de la sécurité a été formellement validée dans le modèle symbolique en utilisant l'outil de vérification formelle TAMARIN. - Une solution d'enrôlement qui exploite un modèle de PUF dans le processus d'authentification, appelé Water-PUF. Notre protocole est basé sur une technique de tatouage numérique spécialement conçue pour les modèles PUF. Cette procédure empêche un adversaire de s'appuyer sur le modèle tatoué ou sur un autre modèle dérivé pour contourner l'authentification. Par conséquent, toute fuite du modèle PUF filigrané utilisé pour l'enrôlement n'affecte pas l'exactitude du protocole. La conception du Water-PUF est validée par un certain nombre de simulations contre de nombreuses attaques de suppression de tatouage numérique afin d'évaluer la robustesse de notre proposition
The demand for internet of Things (IoT) services is increasing exponentially, and a large number of devices are being deployed. However, these devices can represent a serious threat to the security of the deployment network and a potential entry-point when exploited by the adversaries. Thus, there is an imminent need to perform a secure association approach of the IoT objects before being rendered operational on the network of the user. This procedure is referred to as secure bootstrapping, and it primarily guarantees the confidentiality and the integrity of the data exchanges between the user and the devices. Secondly, this process provides an assurance on the identity and the origin of these objects.Due to scalability limitations, the first phase of the bootstrapping process cannot be efficiently conducted using pre-shared security knowledge such as digital certificates. This step is referred to as secure device pairing, and it ensures the establishment of a secure communication channel between the use and the object. The pairing phase uses a symmetric key agreement protocol that is suitable to the resource-constrained nature of these devices. The use of auxiliary channels has been proposed as a way to authenticate the key exchange, but they require a relatively long time and an extensive user involvement to transfer the authentication bits. However, the context-based schemes use the ambient environment to extract a common secret without an extensive user intervention under the requirement of having a secure perimeter during the extraction phase, which is considered a strong security assumption. The second phase of the bootstrapping process is referred to as secure device enrollment, and it aims at avoiding the associating of a malicious IoT object by authenticating its identity. The use of hardware security elements, such as the Physical Unclonable Function (PUF), has been introduced as a promising solution that is suitable for the resource-constraint nature of these devices. A growing number of PUF architectures has been demonstrated mathematically clonable through Machine Learning (ML) modeling techniques. The use of PUF ML models has been recently proposed to authenticate the IoT objects. Nonetheless, the leakage scenario of the PUF model to an adversary due to an insider threat within the organization is not supported by the existing solutions. Hence, the security of these PUF model-based enrollment proposals can be compromised.In this thesis, we study the secure bootstrapping process of resource-constrained devices and we introduce two security schemes:- A hybrid ad-hoc pairing protocol, called COOB, that efficiently combines a state-of-the-art fast context-based scheme with the use of an auxiliary channel. This protocol exploits a nonce exponentiation of the Diffie-Hellman public keys to achieve the temporary secrecy goal needed for the key agreement. Our method provides security even against an attacker that can violate the safe zone requirement, which is not supported by the existing contextual schemes. This security improvement has been formally validated in the symbolic model using the TAMARIN prover.- An enrollment solution that exploits a ML PUF model in the authentication process, called Water-PUF. Our enrollment scheme is based on a specifically designed black-box watermarking technique for PUF models with a binary output response. This procedure prevents an adversary from relying on the watermarked model in question or another derivative model to bypass the authentication. Therefore, any leakage of the watermarked PUF model that is used for the enrollment does not affect the correctness of the protocol. The Water-PUF design is validated by a number of simulations against numerous watermark suppression attacks to assess the robustness of our proposal

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