Letteratura scientifica selezionata sul tema "Marges chirurgicales"

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Articoli di riviste sul tema "Marges chirurgicales":

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Sciarra, Alessandro, Cristiano Cristini, Magnus Von Heland, Stefano Salciccia e Vincenzo Gentile. "Randomized trial comparing an anterograde versus a retrograde approach to open radical prostatectomy: results in terms of positive margin rate". Canadian Urological Association Journal 4, n. 3 (17 aprile 2013): 192. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.851.

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Abstract (sommario):
Objectives: Surgical technique, patient characteristics and methodof pathological review may influence surgical margin (SM) status.Positive surgical margin (SM+) rates of 14% to 46% have beenreported in different radical retropubic prostatectomy (RRP) series.We evaluated the effect of an anterograde versus retrograde approachto RRP and specifically focused on the incidence of SM+.Methods: From January 2003 to November 2007, we randomlyassigned 200 patients with clinically localized prostate adenocarcinomasto undergo a retrograde (Group A) versus an anterograde(Group B) open RRP. All RRPs were performed at our institutionby 2 surgeons. For all 200 patients, we evaluated a panelof clinical and pathological variables relating to their associationwith SM status.Results: In Group A, 22% of cases after RRP showed a pT3 tumourand 39% of cases with a Gleason score ≥7 (4+3); in Group B,20% of cases showed a pT3 tumour and 37% of cases with aGleason score ≥7 (4+3) (p > 0.10). The incidence of SM+ was18% in Group A and 14% in Group B (p = 0.0320). In Group A,22.2% of cases with SM+ had multiple positive margins, whereasno cases in Group B showed multiple SM+. Regarding the localizationof SM+, no difference was found between the 2 groups.In the multivariate analysis, only prostate-specific antigen(p = 0.0090 and p = 0.0020, respectively in the 2 groups) andpathological stage (p < 0.0001 in both groups) were significantand independently associated with SM+ occurrence.Conclusion: In our experience, the anterograde approach to openRRP is associated with lower SM+ rates and no risk of multipleSM+ when compared with the retrograde approach.Objectifs : La technique chirurgicale, les caractéristiques du patientet la méthode d’examen pathologique peuvent tous avoir un impactsur le statut des marges chirurgicales. Des taux de marges chirurgicalespositives de 14 à 46 % ont été notés lors de différentesséries de prostatectomies radicales rétropubiennes (PRR). Nousavons évalué l’effet d’un abord antérograde ou rétrograde, plusprécisément sur l’incidence des marges chirurgicales positives.Méthodologie: Entre janvier 2003 et novembre 2007, nous avonschoisi au hasard 200 patients porteurs d’un adénocarcinome prostatiquecliniquement localisé pour qu’ils subissent une PRR ouverterétrograde (groupe A) ou antérograde (groupe B). Toutes les PRRont été réalisées à notre établissement par deux chirurgiens. Pourchacun des 200 patients, nous avons évalué un ensemble de variablescliniques et pathologiques quant à leur lien avec le statutdes marges chirurgicales.Résultats : Dans le groupe A, 22 % des patients présentaient unetumeur pT3 et 39 %, un score de Gleason ≥ 7 (4+3) après la PRR;dans le groupe B, 20 % des patients présentaient une tumeur pT3et 37 %, un score de Gleason ≥ 7 (4+3) (p > 0,10). L’incidencedes marges chirurgicales positives était de 18 % dans le groupeA et de 14 % dans le groupe B (p = 0,0320). Dans le groupe A,22,2 % des cas de marges chirurgicales positives étaient des casmultiples, tandis qu’aucun des patients du groupe B n’avaient demarges chirurgicales positives multiples. Aucune différence n’aété notée entre les deux groupes concernant l’emplacement desmarges positives. Dans l’analyse multivariée, seuls l’antigène prostatiquespécifique (p = 0,0090 et p = 0,0020, respectivement,dans les deux groupes) et le stade pathologique (p < 0,0001 dansles deux groupes) étaient significatifs et liés de façon indépendanteà la présence de marges chirurgicales positives.Conclusion: Selon nos observations, l’abord antérograde est lié àdes taux inférieurs de marges chirurgicales positives et à un risquenul de charges chirurgicales positives multiples, en comparaisonavec l’abord rétrograde.
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Bouras, Samir. "Oncological outcomes of partial nephrectomy". Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 8, n. 1 (4 giugno 2021): 9–12. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2021.8102.

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Abstract (sommario):
Introduction. Selon les données de l'Organisation mondiale de la santé 2018, le cancer du rein occupe en Algérie le 20eme rang chez les deux sexes. L'objectif de cette étude est d'évaluer nos résultats oncologiques de la néphrectomie partielle. Patients et méthodes. Étude rétrospective mono centrique, de juin 2012 à mars 2020. 50 patients ont bénéficié d'une néphrectomie partielle pour cancer du rein. Parmi ces patients, 37 (74%) cancer ont été confirmés par la pathologie. L'étude statistique a été réalisée à l'aide du logiciel SPSS 20. Résultats. L'âge moyen était de 55,1 ans et les femmes étaient majoritaires 23 (62,2%). Le carcinome à cellules claires prédominait : 21 cas (56,8%). Les marges chirurgicales étaient positives dans 06 cas (16,2%) et le stade pT1 était majoritaire dans 29 (78,3%). Après un suivi moyen de 55,7 mois, nous avons eu un taux de récidive global de 10,8% (04 patients). Aucun facteur de risque probable n’a été statistiquement significatif. Discussion. Nos résultats carcinologiques sont comparables aux données de la littérature (des taux de récidives jusqu’à 10,6%). Malgré un taux relativement élevé de marges chirurgicales positives, 80% des récidives sont survenus sur des marges négatives. En effet, les marges chirurgicales positives ne sont pas considérées comme un facteur de risque de récidive indépendant. Plusieurs facteurs de risque de récurrence ont été rapportés ; cependant dans cette série, nul n’a été identifié. Le cancer du rein est connu pour des récidives très tardives. Conclusion. La néphrectomie partielle est réalisée dans notre service depuis plus de 08 ans en toute sécurité, avec des résultats oncologiques satisfaisants. Mots clés : cancer du rein, néphrectomie partielle, résultats oncologiques.
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Such, M., N. Barry Delongchamps, D. Saighi, M. Peyromaure, M. Zerbib e E. Xylinas. "Marges chirurgicales positives après cystectomie totale : une issue fatale ?" Progrès en Urologie 24, n. 13 (novembre 2014): 807. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2014.08.055.

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Koutlidis, N., C. Duperron, T. Castaings e L. Cormier. "Marges saines lors de la prostatectomie totale par chirurgie robot-assistée : facteurs prédictifs de marges chirurgicales positives ?" Progrès en Urologie 22, n. 13 (novembre 2012): 797–98. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2012.08.131.

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Arroua, F., H. Toledano, S. Gaillet, A. Saïdi, X. Breton, V. Delaporte, L. Daniel, E. Lechevallier e C. Coulange. "Prostatectomie radicale avec conservation du col vésical : marges chirurgicales et continence urinaire". Progrès en Urologie 18, n. 5 (maggio 2008): 304–10. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2008.03.023.

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Descazeaud, A., M. Zerbib e M. Peyromaure. "Facteurs de risque de marges chirurgicales positives après prostatectomie radicale: mise au point". Annales d'Urologie 40, n. 6 (dicembre 2006): 342–48. http://dx.doi.org/10.1016/j.anuro.2006.09.004.

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Cormier, L., C. Bastide, P. Beuzeboc, G. Fromont, C. Hennequin, P. Mongiat-Artus, M. Peyromaure et al. "Les marges chirurgicales dans le cancer de la prostate. CCAFU revue de la littérature". Progrès en Urologie 24, n. 6 (maggio 2014): 334–45. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2013.11.006.

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Duperron, C., M. Moulin, N. Koutlidis, E. Mourey e L. Cormier. "Marges chirurgicales des cancers de prostate à haut risque en prostatectomie totale robot-assistée". Progrès en Urologie 25, n. 7 (giugno 2015): 390–95. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2015.02.003.

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Toledano, H., C. Bastide, M. Thoulouzan, F. Arroua, A. Carcenac, E. Ragni, E. Huyghe, P. Plante, D. Rossi e M. Soulie. "Cystectomie totale pour cancer urothélial : impact pronostique de l’atteinte ganglionnaire et des marges chirurgicales positives". Progrès en Urologie 22, n. 12 (ottobre 2012): 705–10. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2012.07.011.

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Beauval, J. B., M. Roumiguié, C. Mazerolles, N. Vazzoler, P. Plante, M. Soulié, M. Thoulouzan e C. Barre. "Étude comparative des marges chirurgicales après prostatectomie totale par voie ouverte : reproductibilité d’une technique reconnue". Progrès en Urologie 22, n. 13 (novembre 2012): 796–97. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2012.08.129.

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Tesi sul tema "Marges chirurgicales":

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Dubois, Gaëlle. "La responsabilité du chirurgien esthétique : un régime aux marges de la responsabilité médicale traditionnelle". Paris 8, 2005. http://www.theses.fr/2005PA082660.

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Abstract (sommario):
Les sociétés modernes assistent à une explosion du recours à la chirurgie esthétique et se pose la question des règles juridiques encadrant ce fait de société. Depuis 1950, l'augmentation du contentieux médical a permis d'en élaborer les contours et les juges ont fait preuve de créativite face à la carence législative. La réforme de 2002 a tenté de concilier les intérêts divergents des médecins et des patients. La chirurgie esthétique est gouvernée par les principes généraux de la responsabilité médicale. Pourtant, en l'absence de la nécessité thérapeutique indissociable de l'acte médical normal, cette matière réclame l'existence de règles spécifiques adaptées. Tel est la démonstration de la présente étude. La première partie dresse le bilan de la responsabilité médicale caractérisée principalement par les devoirs de conscience et de science du médecin, et explique comment la chirurgie esthétique s'est intégrée dans ce corps de règles général. La seconde partie traite de l'encadrement spécifique que les juges ont tenté d'imposer aux chirurgiens esthétiques, spécificité limitée par le législateur. Pourtant, l'acte de chirurgie esthétique se banalisant et n'étant pas l'écho d'un besoin lié à la santé, se doit d'être encadré par un régime de responsabilité renforcée qui peut notamment être trouvé dans le droit de la consommation ou dans les principes généraux du droit de la protection de la dignité et de l'intégrité physique
The modern societies are facing an explosion of aesthetic surgery act. The question arises consequently of knowing which legal rules must frame this societies new behaviour. Since 1950, the increase of trials dealing with medical liability made a "case law" contours and the judges showed creativity towards the legislative deficiency. The reform of 2002, tried to reconcile the divergent interests of the doctors and the patients. The aesthetic surgery is controlled by the general pinciples of the medical liability. However, the absence of therapeutic need for a classic medical act, this specific field is in need of adapted rules. Such is the demonstration of this study. The first part draws up a general assessment of the medical liability which is characterized mainly by the duties of conscience and science of the doctor, and explains how the plastic surgery was integrated in this general body of rules. The second part puts forward a more specific framing that the judges tried to impose to the aesthetic surgeons, specificity which tends to be limited by the legislator. However, the plastic surgery act tends to be standardized, must be framed by a mode of reinforced liability which can find its source within the special mode of the right of consumption or within the general principles of the right such as those of protection of dignity and the patient's physical integrity
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Roussel, Lucas. "Diagnostiquer le cancer de l'ovaire grâce à la technologie SpiderMass". Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2023. https://pepite-depot.univ-lille.fr/ToutIDP/EDBSL/2023/2023ULILS121.pdf.

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Abstract (sommario):
Les cancers de l'ovaire (OC) sont les cancers gynécologiques les plus mortels, entraînant plus de 200 000 décès chaque année dans le monde. Le diagnostic de ces cancers reste difficile et un diagnostic tardif entraîne un retard de prise en charge du patient réduisant alors ses chances de survie. Pour répondre à ce besoin clinique, nous avons développé un outil de diagnostic et pronostic en temps réel : le SpiderMass. Dans un premier temps, pour permettre un diagnostic précoce et une action préventive, nous nous sommes intéressés à l'origine du sous-type d'OC le plus agressif : le cancer séreux de haut grade (HGSOC). Suite à la découverte de marqueurs lipidiques et protéiques spécifiques des lésions pré-néoplasiques de la fimbria, nous avons mis en évidence les mécanismes sous-jacents liés à ces lésions et avons confirmé qu'elles étaient à l'origine du HGSOC. Dans un second temps, nous avons étudié l'ensemble des signatures moléculaires lipidiques spécifiques des différents sous-types d'OC afin de bâtir un modèle de classification via la technologie SpiderMass. Ce modèle, associant à la fois les données moléculaires et les données morphologiques des patients, a été capable de reconnaître l'ensemble des sous-types en temps réel ex vivo. Nous avons également développé un nouveau modèle d'imagerie par spectrométrie de masse permettant la visualisation directe des différentes cellules immunitaires au sein de tissus. Cela permet de fournir un diagnostic précis des différents types de cancer de l'ovaire et d'y associer un pronostic, étant donné que la survie du patient est étroitement liée à l'infiltration de cellules immunitaires au sein de la tumeur. Nous avons démontré que ce modèle d'imagerie est applicable à plusieurs types de cancer, incluant le cancer de l'ovaire et le glioblastome. Associé à ces modèles novateurs, le SpiderMass guide le chirurgien pendant l'opération pour réduire les marges d'exérèse et apporte un diagnostic et un pronostic fiable pour proposer le meilleur traitement au patient
Ovarian cancer (OC) is the deadliest gynecological cancer, causing over 200,000 deaths worldwide every year. Diagnosis of OC is extremely difficult and late diagnosis leads to delays in patient management thus reducing the chances of survival. Against this backdrop, we have developed a real-time diagnostic and prognostic tool: SpiderMass. Initially, to enable early diagnosis and preventive action, we focused on the origin of the most aggressive OC subtype: high-grade serous cancer (HGSOC). Following the discovery of lipid and protein markers specific to pre-neoplastic lesions of the fimbria, we highlighted the underlying mechanisms linked to these lesions and confirmed that they were at the origin of HGSOC. Secondly, we studied all the lipid molecular signatures specific to the different OC subtypes to build a classification model using SpiderMass technology for diagnostic. This model, combining both molecular and patient morphological data, was able to recognize all subtypes in real time ex vivo. We have also developed a new mass spectrometry imaging model enabling direct visualization of different immune cells within tissues. This model provides an accurate diagnosis of the different types of ovarian cancer, and can associate a prognosis with them, given that patient survival is closely linked to the infiltration of immune cells within the tumor. We have demonstrated that this imaging model is applicable to several types of cancer, including ovarian cancer and glioblastoma. Combined with these innovative models, SpiderMass guides the surgeon during the operation to reduce excision margins and provides a reliable diagnosis and prognosis to propose the best treatment to the patient
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Turrini, Olivier. "La mutation K-RAS détectée dans la marge de résection veineuse d'une pièce de duodénopancréatectomie céphalique définit la notion de "marge génique" et peut modifier la technique chirurgicale". Thesis, Aix-Marseille, 2013. http://www.theses.fr/2013AIXM5027.

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Abstract (sommario):
La technique d'une DPC pour adénocarcinome a évolué ces dernières années tant au niveau sécurité qu'au niveau carcinologique mais cela n'a pas suffit à faire progresser la survie. On peut se demander si la modification de la technique chirurgicale pourrait avoir un impact significatif sur la survie.A) Nous avons recherché, sur 23 pièces de DPC encrées, la présence de la mutation K-ras au niveau de la marge veineuse affirmée R0 en analyse histologique : 13 spécimens (groupe kras+) exprimaient une mutation K-ras au sein de la marge veineuse versus 10 spécimens (groupe kras-) ne l'exprimant pas. Les tumeurs des 2 groupes étaient comparables (taille, envahissement ganglionnaire, engainement périnerveux…). La survie globale à 1 an et 3 ans des groupes kras- versus kras+ étaient de 80% versus 84,6% et 16,7% versus 0% (p=0,03), respectivement. Les médianes de survie des groupes kras- versus kras+ étaient de 24 mois versus 16 mois (p=0,04), respectivement.B) Nous avons comparé, après appariement, 19 patients ayant eu une DPC avec résection « par excès » de la veine porte (groupe VP) avec 19 patients ayant eu une DPC sans résection de la veine porte (groupe contrôle). Les survies médianes et à 3 ans du groupe VP versus groupe contrôle étaient 42 mois versus 22 mois (p=0,04) et 60% versus 31% (p=0,03), respectivement.En conclusion, notre travail a montré qu'au-delà de la marge déterminée par le chirurgien pendant la chirurgie, de celle de l'anatomopathologiste déterminée par l'analyse microscopique, il existait une marge génique. La résection systématique de la veine porte semblait bénéfique car elle permettait sans doute de passer au-delà de cette marge génique
Pancreticoduodenectomy (PD) for adenocarcinoma was safer during the last decades but did not improve survival. We sought to determine if technical changes during PD could improve survival.A) In a first study, we determine the presence of K-ras mutation in the venous margin of 23 PD's specimens. Thirteen specimens had K-ras mutation (kras+ group) and 10 specimens did not (kras- group). Except K-ras mutation status, tumors of the 2 groups were not different when comparing major histological findings (margin status, lymph node invasion, perineural invasion…). Overall 1- and 3-years survival of patients of kras- group versus kras+ group were 80% versus 84,6% and 16,7% versus 0% (p=0,03), respectively. Median survival of patients of kras- group versus kras+ group were 24 months versus 16 months (p=0,04), respectively.B) In a second study, we compared 19 patients with “excessive” portal vein resection during PD (PV group) with 19 matched patients who underwent PD without venous resection (control group). Median survival of patients of PV group versus control group were 42 months versus 22 months (p=0,04), respectively.In conclusion, we showed that the « genic margin » concept was consistent. Systematic portal vein resection could avoid positive genic margin and might be benefic for patient who underwent PD for resecable adenocarcinoma

Atti di convegni sul tema "Marges chirurgicales":

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Lan, R., F. Campana, J. H. Catherine, U. Ordioni e D. Tardivo. "Nouvelles techniques d’aide au diagnostic des lésions pré-cancéreuses et cancéreuses de la cavité orale : revue systématique et résultats préliminaires". In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206602018.

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Abstract (sommario):
Introduction : Récemment, de nombreuses techniques d’aide au diagnostic des lésions potentiellement malignes ou malignes de la cavité orale ont vu le jour (autofluorescence, spectroscopie, analyse cytologique microscopique, Narrow Band Imaging ...) sans jamais apporter la preuve scientifique de leurs intérêts, en complément ou en remplacement de l’examen histologique. De nombreuses études ont également été menées afin de comparer ces nouvelles techniques en comparaison avec l’examen visuel direct dans la détection précoce des transformations malignes. L’objectif principal de ce travail est de présenter les résultats préliminaires d’une revue systématique réalisée afin d’évaluer la performance diagnostique de ces nouvelles techniques en comparaison à la biopsie dans le diagnostic des lésions pré-cancéreuses et cancéreuses de la cavité orale. Matériels et méthodes : En novembre 2017, une revue systématique de la littérature portant sur les nouvelles techniques d’aide au diagnostic des lésions de la muqueuse buccale a été réalisée, basée sur la méthode PRISMA et dont la méthodologie du protocole a été déposé pour enregistrement sur la plateforme Prospero. Les bases de données Pubmed et Science Direct, la collection Web of Science et la librairie Cochrane ont été consultées (2000-2017). Après le retrait des doublons, les titres et les résumés d’articles potentiellement pertinents seront examinés par deux évaluateurs indépendants selon les critères d’inclusion suivants : articles en anglais, articles originaux ou suivies de cas clinique sur la cavité orale. Les ≪ lettres aux éditeurs ≫ et les études chez l’animal seront exclues. Résultats attendus : De par leurs hétérogénéités, biais, faibles puissances et niveaux de preuves insuffisants, aucune recherche n’a pu à ce jour être jugée suffisamment acceptable pour mettre en évidence un réel intérêt de ces techniques en comparaison à l’examen histologique ou visuel, que ce soit dans le dépistage ou le diagnostic des lésions potentiellement cancéreuses ou cancéreuses de la cavité orale. En revanche, certaines techniques prometteuses, comme le Narrow Band Imaging, paraissent prometteuses comme aide dans l’identification de zones cibles à la biopsie et des marges chirurgicales. Discussion et conclusion : De par leurs manques de spécificités et sensibilités, les dernières techniques d’aide au diagnostic ne permettent remplacer l’examen visuel direct et la palpation digitale, référence de l’inspection de la muqueuse buccale dans le dépistage des lésions potentiellement maligne de la cavité orale ni la biopsie, gold standard de l’établissement de diagnostic d’une pathologie de la muqueuse buccale. De nouvelles études, aux méthodologies appropriées sont encore nécessaires pour affirmer l’intérêt réel de ces techniques dans l’identification de zones cibles à la biopsie et des marges chirurgicales. Les cancers de la cavité orale, de mauvais pronostic et dont la détection précoce est insuffisante, est une priorité de santé publique qui devrait amener à voir l’émergence de nouvelles techniques plus performantes.
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Elmoutawakkil, N., S. Bouzoubaa, S. Bellemkhannate e I. Benyahya. "Flux de travail du guidage tridimensionnel en chirurgie orale". In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206602005.

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Abstract (sommario):
L’implantologie assistée par ordinateur permet de sécuriser le geste, de prévoir les potentielles complications, d’anticiper la séquence de forage et le choix de l’implant et donne la possibilité d’avoir une transition entre la simulation et la chirurgie à l’aide d’un guide chirurgical, elle est utilisée pour faciliter l’établissement d’un diagnostic précis et du plan de traitement idéal[1]. Dès que les images radiologiques (sous format DICOM) sont acquises suite à la réalisation d’une tomodensitométrie ou d’un cône-beam, elles sont transférées dans un logiciel de planification qui permettra la transformation des vues bidimensionnelles en une vision tridimensionnelle, pour évaluer la quantité et la qualité du volume osseux disponible et réaliser une représentation colorée et tridimensionnelle des éléments anatomiques présents sur les coupes dans le but de réaliser une simulation implantaire, Une fois placé, l’implant est visualisé immédiatement dans les trois plans de lespace, ensuite le praticien peut anticiper les caractéristiques du pilier, l’axe prothétique, et simuler l’épaisseur de la gencive. Ainsi un guide chirurgical à appui dentaire, muqueux ou osseux est conçu, à sa réception du guide, le fabricant fournit une feuille de route correspondant au système implantaire et à la trousse chirurgicale utilisée. Elle contient toutes les informations pour chaque implant et peut être complété par des cuillères et des porte-implants individualisés.Les résultats montrent que les écarts entre la réalité clinique et la planification émanent du type d’appui du guide. Un bio-modèle peut être imprimé en 3D, il servira comme outil pédagogique pour expliquer au patient le déroulement du projet et permettra également de réaliser une chirurgie « sèche » en amont de la pose d’implant ; et dans le cas de régénération osseuse guidée utilisant des grilles en titane il servira de support pour les préformer dans l’asepsie totale [2]. Les prothèses provisoires immédiates sont également réalisées au besoin, grâce à la superposition de la conception tridimensionnelle implantaire au modèle du patient scanné optiquement éviteant les erreurs de conception des prothèses immédiates. En oncologie buccale, la planification assistée permettra en segmentant la tumeur, de visualiser ses marges et sa taille, de réaliser un guide de résection et de customiser les plaques et les treillis imprimés en 3D. L’avènement de la conception et de la fabrication assistée par ordinateur a permis de révolutionner la chirurgie orale et de supprimer les erreurs opérateur dépendant en codifiant les actes, le travail présenté vise à décrire les différentes étapes du flux de travail optimal à adopter en chirurgie orale, permettant la réalisation de chirurgie totalement assistée, la conception et la fabrication de différents guides de forage et de résection osseuse ainsi que des prothèses provisoires immédiates [3].
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de Cidrac, L., L. Radoï, R. Pecorari e T. Nguyen. "Tumeur à cellules géantes : à propos d’un cas récidivant et agressif à localisation mandibulaire". In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603021.

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Abstract (sommario):
Introduction : La tumeur à cellules géantes (TCG) est une lésion osseuse qui se développe préférentiellement au niveau de l’épiphyse des os longs chez des sujets de 20 à 40 ans, mais exceptionnellement au niveau des maxillaires. D’étiologie inconnue, elle fait partie du groupe des tumeurs osseuses bénignes. Ce groupe nosologique comprend le granulome central à cellules géantes (GCCG), le chérubisme, le kyste anévrismal ainsi que les TCG et les tumeurs brunes liées à l’hyperthyroïdie. L’histologie ne permet pas de poser un diagnostic de certitude entre la TCG et le GCCG. Cependant, les TCG présentent un tableau clinique plus agressif et récidivant. Il existe un risque de transformation maligne en sarcome dans 10 à 20% des cas (Barthélemy 2009) et un fort potentiel métastatique (Martin-Duverneuil 2004). Observation : Le cas rapporté est celui d’une patiente de 28 ans qui présentait une tuméfaction intrabuccale douloureuse de 35mm de grand axe, en distal de 47. Le Cone Beam (CBCT) montrait une lésion osseuse radioclaire sous-jacente de 22mm de grand axe, à proximité d’un apex résiduel de 48. Le diagnostic initial était celui d’un kyste résiduel compliqué d’une cellulite. Le traitement a consisté en une énucléation simple. L’examen anatomopathologique suspectait un granulome périphérique à cellules géantes (GPCG) avec atteinte osseuse. La patiente a été perdue de vue 4 mois jusqu’à la récidive de la lésion. Le nouveau CBCT montrait une lésion ostéolytique de 40mm de grand axe, au niveau de l’angle mandibulaire, envahissant la branche montante avec perforation des corticales et atteinte des tissus mous. Une chirurgie interruptrice mandibulaire en marges saines avec reconstruction par attelle en titane préformée a été réalisée. L’examen anatomopathologique de la pièce d’exérèse n’a pas pu conclure entre GCCG et TCG. La patiente a été suivie 2 ans sans récidive. Discussion : Contrairement au GPCG, le GCCG et la TCG se développent d’abord dans l’os spongieux puis de manière excentrique jusqu’aux corticales osseuses qui peuvent être détruites et aux tissus mous qui sont refoulés ou envahis. Le contenu est mou, de couleur brun-rouge, parfois vacuolaire ou hémorragique. L’examen histologique montre un stroma assez homogène, très vasculaire, contenant, à côté de cellules mononuclées, de grandes cellules multinucléées : les cellules géantes. Le nombre de noyaux serait corrélé avec l’agressivité de la tumeur (Ficarra 1987). Moins fréquente que le GCCG, la TCG est plus agressive. Elle récidive dans environ 50% des cas. La recommandation actuelle est de la traiter par exérèse chirurgicale réglée avec des limites histologiques saines. Le curetage est insuffisant pour prévenir le risque de récidive et de transformation maligne (Barthélémy 2009). Dans le cas rapporté, la forme particulièrement agressive de la tumeur chez cette jeune patiente (récidive en 4 mois avec perforation des corticales et envahissement des parties molles) nous a orienté vers le diagnostic de TCG et un traitement radical de sa récidive. Conclusion : La TCG nécessite un diagnostic précoce et une exérèse en marges saines dès la première intervention afin de diminuer le risque de récidive et d’éviter des traitements plus mutilants.
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Gossiome, C., F. Rufino, G. Herve, M. Benassarou, P. Goudot, V. Descroix e G. Lescaille. "Découverte fortuite d’une lésion mandibulaire, un cas de kyste anévrismal". In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603020.

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Abstract (sommario):
Introduction : Les kystes et tumeurs des maxillaires représentent une multitude d’entités pour lesquelles le diagnostic est parfois difficile. L’examen anatomopathologique permet dans la majorité des cas de donner un diagnostic de certitude mais il est parfois nécessaire de confronter ces résultats à l’imagerie voir de réaliser des marquages d’immunohistochimie pour mieux caractériser la lésion. Le diagnostic différentiel apparaît comme primordial devant certaines entités dont l’évolution guide une prise en charge très différente. Cas clinique : Il s’agissait d’une jeune patiente de 25 ans sans antécédent médical, adressée par son chirurgien-dentiste à la suite de la découverte fortuite d’une lésion osseuse au niveau de l’angle mandibulaire droit. Une exploration radiographique de type CBCT ainsi qu’une biopsie osseuse ont été réalisées. La confrontation de l’imagerie et du diagnostic histologique ne permettait pas de dissocier deux diagnostics possibles, la lésion pouvant correspondre à une tumeur à cellules géantes (TCG) ou à un kyste osseux anévrismal (KOA). Devant cette incertitude, un marquage par immunohistochimie de la protéine p63 ainsi qu’une imagerie par résonance magnétique ont été demandés. Un marquage négatif à la p63 ainsi que l’analyse de l’ensemble des images radiologiques nous a permis de poser le diagnostic de kyste anévrismal. Devant le caractère asymptomatique de la lésion et de l’absence d’évolution à 9 mois, une attitude de surveillance a été décidée. Discussion : Les deux entités que sont le KOA et la TCG sont des lésions dont le diagnostic différentiel est complexe mais impératif du fait de leurs évolutions très différentes. Le KOA correspond à une dystrophie osseuse bénigne qui forme une lésion cavitaire constituée d’un réseau riche en fibroblastes et cellules géantes plurinucléés parfois bordées par un endothélium. Cette lésion est bénigne d’évolution lente. Le traitement consiste le plus souvent en un curetage de la cavité kystique lorsque la lésion entraîne déformation et/ou symptomatologie. La TCG présente de nombreuses caractéristiques histologiques en commun avec le kyste osseux anévrismal, avec un nombre de cellules géantes plus important. Toutefois la TCG présente un risque de récidive de l’ordre de 50% ainsi qu’un risque de transformation maligne (sarcome) de 10 à 20 %. Son évolution peut également être rapide. Le traitement doit être radical et consiste en une exérèse chirurgicale avec marges. Il a été montré par plusieurs auteurs que le marquage de p63, une protéine nucléaire de la famille du gène suppresseur p53, retrouvée dans différents tissus permettait de distinguer ces deux entités dans plusieurs localisations. Conclusion : Le marquage de la protéine p63 peut apparaît donc très utile dans le diagnostic différentiel de ces lésions dont les pronostics sont très différents lorsque l’imagerie et le marquage en HES ne sont pas suffisants.

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