Letteratura scientifica selezionata sul tema "Lutte anti-terroriste – Histoire – France"

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Articoli di riviste sul tema "Lutte anti-terroriste – Histoire – France":

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Mohandesi, Salar. "Bringing Vietnam Home". French Historical Studies 41, n. 2 (1 aprile 2018): 219–51. http://dx.doi.org/10.1215/00161071-4322930.

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Abstract (sommario):
AbstractThe Vietnam War made May ’68 possible. The war prompted young radicals to experiment with new forms of struggle, reinvent radical internationalism, and ultimately embrace revolution. Transnational exchanges and a changing political conjuncture pushed some radicals to argue that the best way to aid their Vietnamese comrades abroad was to bring the war home to France. Their efforts to translate the exemplary struggles in Vietnam into a domestic idiom helped trigger the events of May ’68. Seen in this transnational context, May ’68 was one front among many in a broader, worldwide anti-imperialist struggle, led primarily by the Vietnamese. In France, Vietnam became a universal symbol of revolt, supercharging other struggles, while radicals elsewhere were inspired to translate the French May into their own national contexts. This article shows just how profoundly Vietnam shaped the radical imaginary of the “68 years.”La guerre du Vietnam a rendu Mai 68 possible. La guerre a permis à de jeunes radicaux d'expérimenter de nouvelles formes de lutte, de reconstruire un internationalisme fort et de se lancer dans la révolution. Les échanges transnationaux ainsi qu'une nouvelle conjoncture politique entraînèrent certains radicaux à affirmer que la meilleure façon d'aider leurs camarades vietnamiens était d'importer la guerre en métropole. Leurs efforts pour traduire les luttes exemplaires des Vietnamiens dans le contexte français participèrent au déclenchement des événements de Mai 68. Pris dans une perspective transnationale, Mai 68 était un front parmi d'autres dans une lutte anti-impérialiste globale, conduite principalement par les Vietnamiens. En France, le Vietnam devint un symbole universel de révolte, s'articulant avec d'autres luttes, tandis que les événements poussèrent les radicaux d'autres pays à traduire le Mai français dans leurs propres contextes nationaux. Cet article montre que le Vietnam a façonné profondément l'imaginaire radical des « années 68 ».
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Zederman, Mathilde. "L’union fait-elle la force face à l’autoritarisme tunisien ? Dynamiques d’alliances transidéologiques en France dans les années 2000". Critique internationale N° 88, n. 3 (8 ottobre 2020): 91–110. http://dx.doi.org/10.3917/crii.088.0091.

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Abstract (sommario):
Si l’« exceptionnalisme » supposé du cas tunisien, fer de lance de la transition démocratique dans le monde arabe grâce au « dialogue » et aux politiques de « réconciliation », a été déconstruit à juste titre, force est de constater l’existence d’une longue histoire d’alliances entre acteurs politiques antagonistes, dont une partie significative s’est déployée au-delà des frontières nationales. J’interroge ici les conditions de possibilité des alliances anti-régime Ben Ali en France, et les conditions de dépassement des polarisations idéologiques entre les principales forces de l’opposition tunisienne depuis l’indépendance : les militants islamistes et ceux des gauches. En analysant les modalités concrètes et ce que la « distance » fait à ce type d’alliances improbables, je montre en quoi elles sont révélatrices des caractéristiques de l’espace des mobilisations et des rapports de force qui s’y jouent. L’union ne fait pas nécessairement la force face à l’autoritarisme, mais elle révèle les rapports de force dans l’architecture de ces luttes en France.
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Ibos, Caroline, e Éric Fassin. "Ce que nous faisons, et ce que l'on nous fait. Les luttes politiques universitaires". French Cultural Studies 34, n. 3 (21 luglio 2023): 284–300. http://dx.doi.org/10.1177/09571558231175399.

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Abstract (sommario):
In France, successive Ministers of the Interior systematically come to the defense of the police. By contrast, their colleagues in Higher Education and Research don't hesitate to join in attacks on academics. This is how Frédérique Vidal ended up in 2021 echoing the polemics launched the year before by the President of the Republic, Emmanuel Macron, and then by the Minister of National Education, Jean-Michel Blanquer. However, the campaign against “Islamo-leftism” was preceded by other offensives against higher education and research: university autonomy was thus challenged … in the name of autonomy. As the reforms have progressed, higher education and research have been subjected to an authoritarian neoliberal regime, under the leadership of managers rather than colleagues, in a logic of competition that is supposed to guarantee excellence at the service of the economy. Just like a company, isn't the CNRS run by a CEO? Today, the takeover of ESR is inseparably ideological and economic. Thus, the increase in university fees for non-Europeans has used xenophobia to promote a neoliberal conception of studies. The threats to the academic world cannot be understood without articulating these distinct but intertwined logics. How can we tell the story of the attacks we are suffering, without erasing the struggles we are waging? For there is a great risk, in taking power as the object, of underestimating the role of counterpower that academics can still play in a country that is heir to a tradition of the “intellectual” as a figure of commitment. On the one hand, the multiple offensives of successive governments, whether directed at university policy or academics, have met with considerable resistance. Far from being reduced to inaction, the academic world is mobilizing strongly. But it's not just a question of reaction. On the other hand, the governmental campaigns themselves must be understood as forms of reaction against the politicization of academics: far from being passive victims, they play an active role. This is precisely the reason why ministers try to bring them into line: in France, the university is not isolated from society, as a campus can be. Critical knowledge circulates with social movements. In other words, campaigns targeting the academic world are proof that it is not without political importance. It's a form of recognition of the role it plays and can play. Anti-university politics today can be understood as a game of action and dreaction.
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Guedj, Pauline. "Afrocentrisme". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.046.

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Abstract (sommario):
Bien que souvent non revendiqué par les auteurs que l’on considère comme ses tenants (Molefi Asante 1987, Maulana Karenga 2002, John Henrik Clarke 1994, Marimba Ani 1994, Frances Cress Welsing 1991, Théophile Obenga 2001, qui lui préfèrent les termes afrocentricité, africologie ou kawaida), le terme afrocentrisme est utilisé pour désigner un courant d’idées présent dans les cercles académiques nord-américains, africains et européens, depuis la deuxième moitié du vingtième siècle. Académique, l’afrocentrisme est actuellement l’objet d’un important processus de transnationalisation et entretient des relations précises et continues avec des pratiques sociales, artistiques, religieuses et/ou politiques. Il semble que le mot « afrocentrique » soit apparu pour la première fois en 1962 sous la plume du sociologue afro-américain W.E.B. Du Bois. Invité par Kwame Nkrumah à Accra au Ghana dans le but d’y rédiger une encyclopédie sur les populations noires, Du Bois insistait, dans un document non publié, sur son intention d’éditer un volume « volontairement Afro-Centrique, mais prenant en compte l’impact du monde extérieur sur l’Afrique et l’impact de l’Afrique sur le monde extérieur » (in Moses, 1998 : 2). Du Bois, grand penseur du panafricanisme, voyait donc dans son projet un moyen de donner la parole aux peuples d’Afrique, d’en faire des acteurs de leur propre histoire au moment même où ceux-ci entamaient la construction nationale de leurs États depuis peu indépendants. Lié chez Du Bois à un projet scientifique et politique, la tendance afrocentrique connaîtra ses heures de gloire à partir de la fin des années 1960 lorsqu’elle devint la marque de fabrique d’une école de pensée comptant quelques représentants au sein des cercles académiques américains. En réalité, l’histoire de la pensée afrocentrique aux États-Unis est indissociable de la création de départements d’études dites ethniques dans les universités américaines, départements nés en pleine ère du Black Power, lorsqu’une jeunesse noire radicalisée se battait pour l’intégration de son expérience au sein des cursus universitaires. Ces départements d’études African-American, Black ou Africana se donnaient pour but de relayer la voix des opprimés et d’inclure l’histoire afro-américaine dans le récit scientifique de l’histoire états-unienne. Parmi les manifestes afrocentriques de l’époque, notons la création de l’African Heritage Studies Association en 1969 née d’une réaction aux postures idéologiques de l’African Studies Association. Orchestrée par John Henrik Clarke (1994), l’organisation rassemblait des intellectuels et des militants africains, entendus ici comme originaires du continent et de ses diasporas, se battant pour la mise en place d’une étude politique de l’Afrique, arme de libération, cherchant à intervenir dans la fondation d’un panafricanisme scientifique et afrocentré. A partir des années 1980, l’afrocentrisme académique entra dans une nouvelle phase de son développement avec les publications de Molefi Asante. Dans la lignée de Du Bois, celui-ci tendait à définir l’afrocentrisme, ou plutôt l’afrocentricité, comme une théorie cherchant à remettre l’Afrique au cœur de l’histoire de l’humanité. Toutefois, ses principaux écrits, The Afrocentric Idea (1987), Afrocentricity (1988), Kemet, Afrocentricity and Knowledge (1990), associèrent à l’afrocentrique duboisien tout un appareil conceptuel et idéologique, grandement hérité des écrits de l’historien sénégalais Cheikh Anta Diop (1959). et de militants du nationalisme noir classique tels Edward Blyden et Alexander Crummel. Dès 1990, la pensée d’Asante se déploya autour d’une série de points précis, déjà mis en avant par le politiste Stephen Howe (1998) : 1. L’humanité s’est d’abord développée en Afrique avant de se répandre sur la planète. Les Africains entretiendraient avec les autres humains un rapport de primordialité chronologique et ce particulièrement avec les Européens, jeunes dans l’histoire de l’humanité. 2. La première civilisation mondiale est celle de l’Égypte ou Kemet. L’étude des phénotypes égyptiens tels qu’ils sont visibles sur les vestiges archéologiques apporterait la preuve de la négritude de cette population. 3. Le rayonnement de la civilisation égyptienne s’est étendu sur la totalité du Continent noir. Toutes les populations africaines sont culturellement liées à la civilisation et aux mœurs de l’Égypte antique et la linguistique en constituerait une preuve évidente. 4. La culture égyptienne se serait également diffusée au Nord, jusqu’à constituer la source d’inspiration première des civilisations qui apparurent plus tardivement en Grèce puis partout en Europe. 5. L’ensemble des traditions africaines constitue autant de manifestations d’une culture unique. Depuis son foyer égyptien, la culture africaine, au singulier, s’est diffusée pour s’immerger dans la totalité du continent et dans la diaspora des Amériques. Au début des années 2000, l’afrocentrisme académique s’est trouvé au cœur de vifs débats dans les espaces anglophones et francophones. Aux États-Unis, c’est la publication de l’ouvrage de Mary Lefkowitz Not Out of Africa (1993) qui rendit publiques les nombreuses tensions entre afrocentristes et anti-afrocentristes. En France, la discussion s’est également concentrée autour de la parution d’un ouvrage dirigé par François-Xavier Fauvelle-Aymar, Jean-Pierre Chrétien et Claude-Hélène Perrot (2000). Le texte, provocateur, se donnait pour but de déconstruire des théories afrocentriques qualifiées de naïves, « fausses » et dont « le succès parmi les Américains noirs peut être attribué au fait que, à l’heure actuelle, la pensée critique n’est pas en grande estime dans la communauté noire aux États-Unis » (2000 : 70-71). Le livre fut accueilli très froidement dans les milieux qu’il visait. En 2001, l’intellectuel congolais Théophile Obenga, rétorqua avec la publication d’un nouvel ouvrage Le sens de la lutte contre l’africanisme eurocentriste. Manifeste d’un combat « contre l’africanisme raciste, ancien ou moderne, colonial ou post-colonial, qui ne voit pas autre chose que la domination des peuples ‘exotiques’, ‘primitifs’, et ‘sous-développés’. » (2001 : 7), le texte d’Obenga multipliait, de son côté, les attaques personnelles et violentes. Aujourd’hui, il semble que l’appréhension des phénomènes afrocentriques ne puisse gagner en profondeur que si elle évite les écueils polémiques. Une telle approche supposerait alors de considérer l’afrocentrisme comme un objet de recherche construit historiquement, sociologiquement et anthropologiquement. Il s’agirait alors à la fois de le replacer dans le contexte historique de sa création et de s’intéresser à ses effets concrets dans les discours et les pratiques sociales populaires en Afrique, dans les Amériques et en Europe. En effet, depuis une vingtaine d’années, le terme et l’idéologie afrocentriques n’apparaissent plus seulement dans des débats des universitaires mais aussi dans une série d’usages sociaux, culturels et artistiques de populations qui les conçoivent comme un outil d'affirmation identitaire. Ces communautés et ces individus s’en saisissent, leur donnent une définition propre qui émane de leur environnement social, culturel et géographique particuliers, les utilisent comme fondement de nouvelles pratiques, de nouvelles élaborations du politique et de revendications identitaires. Ainsi, l’afrocentrisme se retrouve dans les pratiques religieuses d’Afro-Américains des États-Unis à la recherche de leurs racines ancestrales (Capone, 2005 ; Guedj, 2009), dans les textes des rappeurs de Trinidad ou du Gabon (Aterianus-Owanga, 2013) ainsi que dans les œuvres et les propos d’artistes aussi variés que la plasticienne Kara Walker et le saxophoniste Steve Coleman. Afrocentrismes populaires, a priori dissociés des milieux académiques, ces pratiques ne sont pourtant pas étrangères aux théories qui animent les spécialistes. En effet, nombreux sont les religieux qui citent les livres de Cheikh Anta Diop (1959) ou Molefi Asante (1987), les artistes qui revendiquent comme sources d'inspiration les vidéos postées sur youtube des discours de Leonard Jeffries, John Henrik Clarke ou Maulana Karenga. Il semble alors que c’est précisément dans cette analyse des pratiques et discours afrocentriques entre champs académique, politique, religieux et artistique que l’anthropologie peut jouer un rôle décisif. Il s’agirait alors pour les chercheurs de mettre en place des méthodologies permettant non seulement d’analyser les logiques de circulation des représentations de l’Afrique entre différentes catégories sociales mais aussi d’étudier la perméabilité des savoirs académiques et leurs influences en dehors des universités.

Tesi sul tema "Lutte anti-terroriste – Histoire – France":

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Bausardo, Thomas. "Les coopérations internationales de la France dans la lutte contre le terrorisme (fin XIXe siècle – 1989)". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040120.

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Abstract (sommario):
À la fin du XIXe siècle, à la faveur du développement en Europe des premières formes contemporaines d’un terrorisme internationalisé, la France participe à la naissance d’une première grammaire de la coopération internationale contre le terrorisme, qui se décline en une coopération politique multilatérale, une coopération policière secrète et une coopération de nature judiciaire ayant pour fondement l’extradition. Il s’agit dès lors d’écrire l’histoire des coopérations internationales de la France contre le terrorisme depuis cette période jusqu’à la fin des années 1980, dans ses versants tant politiques que policiers et judiciaires, en analysant les appréhensions, adaptations et spécialisations des différents organes de l’État, en fonction non seulement de l’évolution du terrorisme lui-même mais aussi des relations internationales dont elles constituent un élément à part entière. À l’ère du terrorisme anarchiste à la fin du XIXe siècle succède un entre-deux-guerres durant lequel la France fait l’expérience du terrorisme balkanique et où pour la première fois une organisation internationale, la SDN, se saisit du terrorisme. À l’issue de la Seconde Guerre mondiale, la France fait de nouveau l’expérience de la coopération durant la guerre d’Algérie, et à partir de la fin des années 60 participe à un mouvement d’européanisation de ses enjeux et de ses pratiques tant au niveau bilatéral que multilatéral. L’Europe géographique autant qu’institutionnelle devient l’espace de référence de la coopération antiterroriste, du fait de la persistance du phénomène tant d’origine domestique qu’international et de sa transformation en enjeu majeur pour la société internationale
At the end of the nineteenth century, in response to the rise of a modern internationalized terrorism, European states, and chiefly among them France, draft a first grammar of international cooperation against terrorism, a multilateral political cooperation, a secret police cooperation and a judicial cooperation of which extradition is the cornerstone. The history of France’s international cooperation against terrorism from this point on to the end of the 1980s shall thusly be written with regards to its political, policing, intelligence and judicial implications and take into account not only the evolving nature of the understanding of the phenomenon by and within the state, but the evolution of terrorism itself and that of international relations, of which international cooperation against terrorism is an integral part. Following the era of anarchist terrorism, during the interwar years, the rise of nationalist terrorism in the Balkans provide France with a new outlook and the phenomenon becomes, for the first time, an issue on the agenda of an international organization, the League of Nations. After WWII, France faces anew the challenges of international cooperation during the Algerian War, and, from the end of the 1960s on, takes part in a differential process of Europeanization of international cooperation against terrorism. In its geographical and institutional incarnations, and due to the persistence of both domestic and international terrorism, Europe thus becomes the core of France’s international efforts against terrorism
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Drouvot, Laurent. "Etude historique du droit antiterroriste français depuis 1986". Electronic Thesis or Diss., Toulon, 2023. http://www.theses.fr/2023TOUL0160.

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Abstract (sommario):
Depuis la loi du 9 septembre 1986 relative au terrorisme, l’autorité publique fran1taise s'est dotée d'une loi tout a fait singulière pour lutter contre un phénomène qu'on qualifiera de récurent dans l'histoire fran1taise. II s'agissait, a travers une telle loi au moment de son vote en tout cas de faire échec au phénomène terroriste et ce a un moment de tension politique qu'il faisait peser sur l’État a l'origine de cette création législative. On soulignera que la loi indiquée se situait dans une perspective purement judiciaire offrant a la foi un dispositif tout a fait rigoureux dans la répression avec en outre une forme de bienveillance si l'on juge par l'existence de son dispositif visant les repentis. La phase policière comme juridictionnelle s' est dotée avec cette loi d'un appareil juridique désormais robuste apte à endiguer la menace terroriste. L’intérêt d’étudier !'aspect de la lutte antiterroriste depuis la création de cette loi matrice à la base de l’étude permet de lister à la suite de celle-ci l'affirmation d'un grand nombre de loi antiterroriste qui ont remodelé sans aucun doute la vision sur la matière. Ainsi, à un système à la base de sa création purement judiciaire et surtout éminemment rétrospectif, !'évolution du phénomène terroriste et surtout la culture du martyr particulièrement dans l'évolution du terrorisme d'origine moyen-oriental, a orienter le législateur sous le poids d'évènements dramatiques à se focaliser de plus en plus sur l'aspect préventif de la menace. C'est ainsi que subrepticement la phase pré-judiciaire a pris de l'ampleur pour anticiper le phénomène et ou le renseignement a dès lors prospéré. En effet, de multiples lois ont évolué vers l'aspect pré-infractionnel pour pouvoir endiguer les évènements avant même leurs survenances. Une telle évolution n'est pas neutre dans la garantie du respect des libertés publiques dues aux citoyens et ce alors même qu'un activisme législatif sur le sujet ne semble souffrir d'aucune critique de césarisme puisqu'il s'agit de garantir ici la protection du peuple face à la violence aveugle. Une telle évolution connaitra sa consécration avec la réactivation de la loi du 3 avril 1955 relative à l’État d'urgence qui au moment du terrorisme sunnite faisant vaciller la nation française récemment aboutira à de multiple prolongation d'un tel régime dérogatoire de gestion des libertés publiques avec tous ses corollaires de restrictions. La loi du 30 octobre 2017 viendra ensuite couronner ce retour du droit administratif dans la lutte puisqu'elle consacrera des éléments techniques de l’État d'urgence dans le droit commun. La survenance peu de temps après de la crise sanitaire perturbera dans la foulée grandement dans un état de stress permanent la vie démocratique française sur un sujet cette fois sanitaire de restrictions des libertés publiques une nouvelle fois, on constatera des prises de décisions à ce sujet en dehors du parlement avec le conseil de défense. Ainsi, la lutte antiterroriste aujourd'hui emprunte deux voies, d'une part le volet judiciaire quand l'acte eu lieu comme à l'époque de la loi matrice mais d'autre part surtout la voie administrative quand il s'agit de rechercher les risques de passage à l'acte terroriste. L'une comme l'autre de ces législations subissent un contrôle du droit conventionnel comme européen, situation garantissant une forme de protection des citoyens. Cette protection assurée par ce que l'on désigne par l’État de droit subi actuellement des critiques à l'heure ou les gouvernements sont dans des phases de précarités et ont pris goût à des législations sui generis
Since the law of September 9, 1986 on terrorism, the French public authority has adopted a very unique law to fight against a phenomenon that will be described as recurrent in French history. It was, through such a law at the time of its vote in any case to defeat the terrorist phenomenon and this at a time of political tension that it weighed on the State at the origin of this legislative creation. Tt should be noted that the law indicated was situated in a purely judicial perspective offering both a completely rigorous device in repression and also a form of benevolence if we judge by the existence of it device aimed at repentants. Both the police and the jurisdictional phase have been equipped with this law with a now robust legal apparatus capable of stemming the terrorist threat. The interest in studying the aspect of the fight against terrorism since the creation of this matrix law on which the study is based makes it possible to list after it the assertion of large number of anti-terrorist laws which have undoubtedly remodeled the vision on matter. Thus, to a system at tq.e base of its purely judicial creation and above all eminently retrospective, the evolution of the terrorist phenomenon and especially the culture of the martyr particularly in the evolution of terrorism of Middle Eastern origin, to direct the legislator under the weight dramatic events to focus more and more on the preventive aspect of the threat. This is how surreptitiously the pre-judicial phase grew to anticipate the phenomenon and where intelligence therefore flourished.Indeed, many laws have evolved towards the pre-offence aspect in order to be able to stem events even before they occur. Such a development is not neutral in guaranteeing respect for the public freedoms due to citizens, even though legislative activism on the subject does not seem to suffer from any criticism of Caesarism since it is a question of guaranteeing the protection of the people against indiscriminate violence. Such an evolution will know its consecration with the reactivation of the law of April 3, 1955 relating to the state of emergency which, at the time of Sunni terrorism which recently rocked the French nation, will lead to multiple extensions of such a derogatory regime for the management of civil liberties with all its corollaries of restrictions. The law of October 30, 2017 will then crown this return of administrative law to the fight since it will enshrine technical elements of the state of emergency in common law. The occurrence shortly after of the health crisis will greatly disrupt French democratic life in a state of permanent stress on a subject this time health of restrictions of publie freedoms once again, we will see decision-making on this subject in outside Parliament with the Defense Council. Thus, the fight against terrorism today has two paths, on the one hand the judicial aspect when the act took place as at the time of the matrix law but on the other hand above all the administrative path when it is a question of seeking the risk of a terrorist act. Both of these laws are subject to conventional and Europea law control, a situation guaranteeing a form of protection for citizens. This protection provided by what is referred to as the rule of law is currently being criticized at a time when governments are in precarious phases and have taken a liking tc sui generis legislation
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Chopin, Olivier. "La raison d'Etat et la démocratie : concepts et pratiques". Paris, EHESS, 2005. http://www.theses.fr/2005EHES0085.

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Abstract (sommario):
L'expérience de la raison d'Etat bouleverse la morale démocratique en réinvestissant la relation obscure qui lie la violence et le droit, notamment à travers l'usage du secret. La raison d'Etat, considérée comme ontologiquement étrangère à la démocratie, constitue-t-elle une menace ou un remède pour la survie même des régimes démocratiques? A tout le moins renvoie-t-elle à leur double fragilité essentielle : fragilité face aux dangers qui les menacent, et fragilité face aux remèdes dont ils se dotent. La thèse analyse spécifiquement le contrôle des services de renseignement de trois pays, la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni, et montre que l'opposition de principe entre la raison d'Etat et la démocratie s'atténue dans les faits en une tension pratique qui n'est pas en elle-même réductible. Enfin l'étude de la réaction américaine au 11 septembre 2001 aborde la question de savoir si les démocraties peuvent, sans se perdre, se défendre et révéler leur force en cas de nécessité
Reason of state disrupts democratic ethics by showing how violence and law are linked by dark bonds - the use of secret above all. Does reason of state, considered as ontologically stranger to democracy, constitute a threat or a remedy for the survival of democracies? At the very least, reason of state evokes the essential double frailty of democracies - fraitly towards the dangers that threaten them and fraitly towards the remedies they choose. The work analyses the control of intelligence services in three countries (France, The United States and the United Kingdom) and shows that the theoratical opposition between reason of state and democracy turns in practice into a tension which can not be suppressed. Finally, the study of the US reaction to the September 11 attacks deals with knowing wether democracies can defend themselves and reveal their strength if necessary - and still remain democracies
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Cantegreil, Julien. "Lutte anti-terroriste et droits fondamentaux : France, États-Unis, Allemagne". Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010281.

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Abstract (sommario):
Loin de conduire à l'institution de quelconques "états d'exception", les attaques du 11 septembre 2001 ont renforcé, par la réponse qu'ils ont initiée, le développement d'un ordre juridique global spécifique et plus intégré. La présente analyse comparée des réponses antiterroristes menées en France, aux Etats-Unis et en Allemagne met d'abord en lumière la large convergence des mesures antiterroristes adoptées par les pouvoirs exécutifs et législatifs. Elle montre ensuite comment le contentieux des droits fondamentaux (constitutionnels et conventionnels) a pu contribuer à cette évolution. Par une analyse abstraite et objective du droit en vigueur, elle révèle un phénomène d' « allégeance» (Chief Justice Rehnquist) des cours constitutionnelles: dans le cadre des solutions juridiquement possibles, les juridictions constitutionnelles ont en effet opté pour les solutions qui limitaient le moins possible les compétences d'autres organes, en particulier de l'exécutif. Par une analyse stratégique, elle met ensuite à jour l'insuffisance de l'étude des normes de référence, en particulier en ce qui concerne l'inclusion de normes internationales. Les cours apparaissent avoir statué de façon insoupçonnée sur l'intégration des normes internationales en droit interne, sur le rapport entre les ordres juridiques et sur l'arbitrage entre certaines normes aux acceptations différentes entre les États-Unis et les pays européens. Elles ont ainsi contribué à sécuriser une stratégie de "compliance" accrue des normes internationales et, au-delà, la venue d'un ordre particulier.
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Bahou, Mohamed El Amine. "Les franchises africaines d'Al Qaida". Thesis, Paris 2, 2017. http://www.theses.fr/2017PA020073.

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Abstract (sommario):
Al-Shabaab et Al Qaida au Maghreb Islamique illustrent le fonctionnement du djihad contemporain. Nés dans des contextes de guerre civile, issus de la dislocation de mouvements djihadistes d'envergure nationale, ces deux groupes sont aujourd'hui les seuls en Afrique dont l'allégeance a été acceptée par à Al Qaida. Forgés dans le terreau de luttes nationales, les deux groupes ont exploité les clivages et les revendications sociales, économiques et politiques des populations dans leur quête de puissance. Confrontés à des difficultés d'ordre sécuritaire et politique, ils se sont tournés vers Al Qaida, dans l'espoir d'acquérir une stature internationale, et d'attirer ainsi les recrues et financements qui leur faisaient défaut. De son côté, affaiblie par la guerre contre le terrorisme, l'Organisation d'Oussama Ben Laden a accepté les allégeances africaines par opportunisme, accordant à ces groupes le statut de franchises. De l'autre côté de l'échiquier, les stratégies déployées par les États et des organisations internationales peinent à porter leurs fruits. En cause, des divergences idéologiques, et les interférences des intérêts particuliers des acteurs qui minent les efforts de lutte contre les extrémistes mais font finalement le jeu de la propagande terroriste
Al Qaida in the Islamic Maghreb and Al-Shabaab perfectly illustrate the functioning of contemporary jihad. Born into a context of civil war, from the fall out of national jihadist movements, these two groups are, today, the only ones in Africa whose allegiance have been acknowledged by Al Qaida. Seizing on domestic political and economic struggles, the two groups rose to prominence through social fault lines and equality claims. Facing security and political stalemates, they made allegiance to Al Qaida hoping that international recognition would provide them with the wherewithal and recruits they lacked. The allegiances were opportunistically acknowledged by Al Qaida when Bin Laden's organization was severely weakened by years of war on terror.On the other side of the game, due to a set of divergent ideologies and particular interests, States and international organizations are deploying cacophonous strategies, that not only have poor effect on the ground, but also fit well with the jihadist propaganda. The tale of a foretold fiasco

Libri sul tema "Lutte anti-terroriste – Histoire – France":

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Roy, Jean. Histoire d'un siècle de lutte anti-acridienne en Afrique: Contributions de la France. Paris: Harmattan, 2001.

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