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Tesi sul tema "Laevius (01..?-01..? av. J.-C.)"

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Boikou, Angeliki. "Aux origines de "l'expressionnisme" dans la littérature latine : reconstitution et analyse des poèmes de Laevius et de Matius". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. http://www.theses.fr/2024SORUL135.

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Abstract (sommario):
Cette étude vise à reconstituer les origines d'une tendance de la littérature latine que l'on qualifie souvent d'« expressionnisme » et à analyser les œuvres fragmentaires de deux poètes peu connus, Laevius et Cn. Matius, dont nous sont parvenus une cinquantaine d'extraits environ. Le poète Laevius est présenté par les sources comme l'auteur des Erotopaegnia, un recueil lyrique de poèmes d'amour en mètres divers. Le terme paegnia fait penser aux Παίγνια que Philétas de Cos avait composés au IIIe s. av. J.-C. Quant à Matius, il traduit en latin l'Iliade d'Homère et écrit des mimiambes, à l'instar du poète alexandrin Hérondas. Nos connaissances sur la poésie de la fin du IIe et du début du Ier siècle av. J.-C., qui a précédé l'avènement des néotériques, sont rudimentaires, notamment en raison de la perte presque totale des textes de cette époque. Ce qui nous reste se limite à de courts fragments isolés de leur contexte et conservés dans les œuvres des érudits, des lexicographes, des commentateurs et des grammairiens de l'époque impériale. La présente étude propose une nouvelle édition et une traduction française des fragments de Laevius et de Cn. Matius, accompagnées d'une analyse métrique et d'un commentaire linguistique et interprétatif de leurs recueils. Une attention particulière est portée au style et à la langue de ces extraits, dans le but de démontrer que la poésie de Laevius et de Matius reflète un moment transitoire et expérimental dans la littérature latine. Ces auteurs partagent un intérêt pour les formes expressives, telles que les archaïsmes, les néologismes, les hapax legomena et les composés originaux, faisant de la langue un outil au service de l'expressivité. Laevius et Matius tiennent une place originale dans l'histoire de la littérature latine : ils développent des thèmes célèbres mais les présentent selon des perspectives nouvelles, anti traditionnelles et antihéroïques, comme dans la poésie alexandrine ; ils introduisent des éléments lyriques et sentimentaux et annoncent les poètes néotériques comme Catulle, sans pour autant s'identifier à ceux-ci. La dernière partie de cette étude explore les modalités de transmission et de circulation des fragments de Laevius et de Matius, en analysant les contextes dans lesquels leurs vers ont été cités. Cette enquête constitue un facteur fondamental dans la reconstitution des œuvres de ces poètes, car elle contribue tant à la solution de problèmes éditoriaux délicats qu'à la restitution de l'histoire et de la postérité de ces textes à l'époque impériale
This study aims to reconstruct the origins of a trend in Latin literature usually called “expressionism”, engaging in the analysis of the works of Laevius and Matius, two minor poets of the late Republic, whose works have survived only in fragmentary form. The ancient sources identify Laevius as the author of the Erotopaegnia, a collection of lyric love poems composed in various metres. The term paegnia, featuring in the title, most probably evokes the Παίγνια of Philitas of Cos, a collection of short light poems dating back to the early 3rd century BCE. Matius, on the other hand, is considered among the first Latin poets to translate the Iliad in hexameters, whereas he has also composed mimiambs in the manner of the Alexandrian poet Herodas. More generally, our knowledge of Latin poetry from the late second and the early first centuries BCE remains limited, primarily due to the almost entire loss of the poetic texts written in this period. Indeed, the only literary evidence comes from small poetic fragments preserved by imperial scholars, mainly by critics, lexicographers, commentators and grammarians. This study proposes a new edition and a French translation of the surviving fragments of Laevius and Cn. Matius, along with a metrical, linguistic, and interpretative commentary. Special attention is given to the stylistic features of their poetry, to demonstrate that their verses reflect a moment of transition and deliberate experimentalism in Latin literature. Both Laevius and Matius exhibit a common interest in peculiar linguistic forms, such as archaisms, neologisms, hapax legomena and original compounds, which they combine in the most expressive and surprising way. While they draw inspiration from well-known mythological themes, they reinterpret these narratives from a different perspective, focusing, as the Alexandrian poets before them, on the un-heroic and unconventional aspects of these stories. Moreover, Laevius and Matius are among the first Latin poets who explored lyric and emotional themes. Although they foreshadow the poetry of Catullus and the other neoterics, they don't entirely identify with them.The final chapter of the present thesis sheds light on the different ways of transmission of Laevius' and Matius' fragments, exploring the grammatical, lexicographical and antiquarian contexts in which their verses were cited. This investigation is particularly interesting because it contributes to the solution of various editorial problems and helps us understand how poetic collections circulated in late Antiquity
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Czinczenheim, Claire, e Théodose de Tripoli. "Édition, traduction et commentaire des Sphériques de Théodose". Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040162.

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Abstract (sommario):
Six manuscrits grecs ont été retenus pour l'établissement du texte du texte des sphériques de Théodose : les vat. Gr. 191, 202, 203, par. Gr. 2390, 2448 mais en premier lieu le vat. Gr. 204, dont la prééminence pour les traités de la petite astronomie est confirmée par des leçons où il conserve seul le texte à l'origine de celui des autres manuscrits. Quinze autres manuscrits ont été collationnés, le plus souvent partiellement ; cinq d'entre eux sont les témoins d'une recension systématique du texte, qui a été à l'origine de l’Edition princeps des sphériques. La version de Gérard de Cremone, traduite de l'arabe, a également été utilisée : elle s'avère souvent retravaillée, mais peut aussi préserver un état primitif, comme le montre une convergence avec des citations des Pappus. Le traité a été soumis à des processus répétés d'interpolation, que l'on a essayé de repérer. L'histoire du texte imprime, et les manuscrits récents, montrent que l'amplification n'a jamais cessé : les éditeurs successifs des sphériques ont apporté des notes personnelles qui viennent s'ajouter aux amplifications antérieures. Les témoins antiques révèlent parfois un état du texte différent de celui des manuscrits. L'examen d'une rupture dans la séquence déductive du traité permet de reconstituer les innovations de son auteur. Afin d'inclure une proposition sur les ascensions droites, il a bouleversé la structure d'un ouvrage plus ancien, dont l'existence a depuis longtemps été postulée ; ce faisant, il a rendu inaccessible la démonstration de sa proposition sur les différentes inclinaisons de l'écliptique.
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Tsouna, Paraskevoula. "Les philosophes cyrénaïques et leur théorie de la connaissance". Paris 10, 1988. http://www.theses.fr/1988PA100111.

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Abstract (sommario):
Le but de la présente thèse fut de discuter la théorie cyrénaïque de la connaissance. En premier lieu, nous avons situé les philosophes cyrénaïques dans leur contexte historique et philosophique. Nous avons établi les successions de l'école aussi bien qu'une chronologie approximative des philosophes cyrénaïques. Nous avons traite des problèmes concernant le statut institutionnel des cyrénaïques, leur filiation socratique et leurs écrits. Nous avons trace les grandes lignes de l'hédonisme cyrénaïque et nous avons déterminé les origines historiques de la gnoséologie de la secte. Nous avons analysé également les traits principaux de la notion cyrénaïque de l'affect. En second lieu, nous nous sommes placées dans la perspective de la philosophie systématique. Nous avons discuté la conception cyrénaïque de l'infaillibilité et celle de la vérité, la croyance a l'existence du monde extérieur et la critique d'Aristocles contre les cyrénaïques. Nous avons examiné la formulation du problème des autres esprits et la théorie cyrénaïque du langage. Enfin, nous avons analysé la gnoséologie cyrénaïque en termes de la théorie dite analyse adverbiale de la perception. Nous avons soutenu que cette interprétation est formellement correcte et philosophiquement pertinente
The aim of the present thesis was to discuss the Cyrenaic theory of knowledge. In the first place, we have tried to situate the Cyrenaic philosophes in their historical and philosophical context. We have established their success as well as an approximate chronology of the school. Problems concerning their institutional status, their Socratic origins and their writing have been discussed. We have traced the main features of the Cyrenaic hedonism and the historical background of the Cyrenaic epistemology. We have also analyzed the Cyrenaic notion of affect. In the second place, we proceeded to a systematic approach to the Cyrenaic theory of knowledge. Our topics were the Cyrenaic conception of infallibility and of truth, the belief in the existence of the external world and Aristotles' critique against the Cyrenaic. We also examined the formulation of the other minds problem and the Cyrenaic theory of language. Finally, we analyzed the Cyrenaic epistemology in terms of the so-called adverbial analysis theory. In our mind such an interpretation is formally adequate and philosophically interesting
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Gaile-Irbe, Agnese. "Réformer la tyrannie : étude du Hiéron de Xénophon". Strasbourg, 2011. http://scd-theses.u-strasbg.fr/2482/01/GAILE-IRBE_Agnese_2011.pdf.

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Abstract (sommario):
Le premier volume présente une étude du Hiéron ou sur la tyrannie, dialogue écrit par Xénophon d'Athènes, auteur prolifique du IVe siècle av. J. C. Le second volume présente le texte grec, une nouvelle traduction, des notes et un index répertoriant les mots grecs. L’étude poursuit plusieurs objectifs. Elle propose une réflexion sur la méthodologie d’approche de Xénophon ; une analyse de sa structure rhétorique ; une analyse de sa place dans le corpus xénophontique ; une étude du message historique ; une analyse du texte dans le contexte de la tradition des épinicies et du genre de Fürstenspiegel grec ; des biographies des prototypes choisis par l'auteur ; et des rapprochements avec les textes parallèles écrits par d'autres théoriciens politiques, Platon, Isocrate et Aristote. Selon nous, le dialogue de Xénophon doit être lu comme une réaction consciente et motivée au portait du tyran platonicien décrit dans les livres VIII et IX de la République. Nous soutenons aussi qu'Aristote a lu le Hiéron et que les chapitres de sa Politique consacrés aux méthodes de sauvegarde de la tyrannie élaborent les idées proposées par Xénophon. Après avoir examiné toutes les hypothèses proposées par les historiens et tous les candidats du prototype, nous concluons que c'est à Denys l'Ancien, tyran de Syracuse entre 403 et 376 av. J. C, que Xénophon a pensé. Un ensemble d'observations et d'arguments nous font placer la date de la composition après 358. L'étude examine aussi la réception du Hiéron faite par le philosophe américain Leo Strauss (1899-1973) qui a proposé une lecture radicalement ironique du Hiéron qui ne nous semble pas pertinente
The first volume contains an elaborate study of the Hiero or Tyrannicus, dialogue written by Xenophon, a prolific author of the IVth century BC. The second volume presents a new translation in French, notes and an index of greek words. The study itself has several aims: it proposes a reflection on the methodology of reading Xenophon; an analysis of the rhetorical structure of the text; an analysis of its place in the corpus xenophonticum; a study of its political message in the historical context of the Greek IVth century; an analysis in the context of the epinician tradition, as well as the tradition of the Greek Fürstenspiegel. It also provides biographies and studies of the two prototypes of the persons of the dialogue, looks into the established topoi about the tyranny that Xenophon worked on and provides detailed comparisons with parallel texts written by important political theorists, Isocrates, Plato and Aristotle. I try to show that the dialogue must be read as a conscious and motivated reaction to the tyrant's portrait in books VIII and IX of the Republic. I also believe that Aristotle had read the Hiero, and the chapters of the Politics that deal with the methods of preserving the tyranny are influenced by some of the Xenophon's ideas. After a detailed study of different historians' hypotheses concerning the prototype tyrant, I conclude that Xenophon must have thought about Dionysius the Elder, tyrant of Syracuse between 403 and 376 BC. A certain amount of observations and arguments seem to prove that the dialogue was written shortly after 358 BC. The last part is devoted to the reception of the Hiero made by the american philosopher Leo Strauss (1899-1973) who proposed a radically ironic reading of the Hiero that is not historically plausible
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Micunco, Stefano. "La géographie dans la Bibliothèque de Photios : le cas d'Agatharchide". Reims, 2008. http://theses.univ-reims.fr/exl-doc/GED00000875.pdf.

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Abstract (sommario):
La présente thèse a pour objet la Bibliothèque de Photios de Constantinople (IXe siècle), recueil hétérogène de notices bio-bibliographiques et d’extraits d’auteurs. On approfondit l’intérêt géographique qui se manifeste dans de nombreux chapitres de cet ouvrage, et particulièrement dans les chapitres 213 et 250, qui portent sur Agatharchide de Cnide (IIe av. J. -Ch. ) et sur son traité Sur la Mer Rouge. Ce travail s’articule en trois parties. La première est une introduction à Agatharchide et à sa production (on s’occupe surtout de l’Asie de cet auteur et de son rôle de source pour Diodore de Sicile). La deuxième porte sur le texte : on y trouvera la traduction des chapitres 213 et 250 (il s’agit de la première traduction en langue italienne depuis celle de G. Compagnoni en 1836) et une mise en synopsis des extraits par Photios du livre V du traité Sur la Mer Rouge et du réemploi des mêmes matériaux par Diodore de Sicile (Bibliothèque historique, livre III). La troisième partie expose les résultats de ce travail : une étude de la géographie comme discipline, à partir d’une recherche sur les premières attestations du mot grec geographia et sur son évolution ; une évaluation de l’intérêt porté par Photios à la matière géographique ; une analyse de la structure de la Bibliothèque fondée sur les données de la synopsis. La nature du chapitre 250 permet de jeter la lumière sur le vrai caractère des notes de lecture de la Bibliothèque : il ne s’agit pas simplement d’informations et d’extraits inertes, mais de matériaux jaillis d’une activité d’enseignement, la composition desquels a fait l’objet de l’activité d’étude de Photios pendant toute sa vie
This thesis concerns the Bibliotheca of Photius of Constantinople (IX A. D. ), an heterogeneous collection of bio-bibliographical notes and extracts from Greek authors. We have studied the geographical interest coming out in many chapters of this work, and particularly in chapters 213 and 250, regarding Agatharchides of Cnidus (II B. C. ) and his treaty On the Erythraean Sea. Our work articulates in three parts. The first one is an introduction to Agatharchides and to its production (we have drown attention especially on the Asia of this author and on its role of source for Diodorus of Sicily). The second part deals with the text: it consists of an Italian translation of chapters 213 and 250 (the first one since that of G. Compagnoni, 1836) and a synopsis between Photius’ extracts of the work On the Erythraean Sea, book V and Diodorus’ reuse of the same materials (Bibliotheca Historica, book III). The third part exposes the results of this work: a study of geography as a discipline, based on a research on the first occurrences of the Greek word geographia and on its evolution; an examination of Photius’ interest in geographical subjects; an analysis of the structure of the Bibliotheca based on the data of the synopsis. The nature of chapter 250 allows to cast the light on the real nature of the reading notes composing the Bibliotheca: they are not simply pieces of information and mere extracts, but most of all they are materials coming from a teaching activity, whose composition is the result of a lifetime of study
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Calvié, Laurent. "Le rhéteur Aristide Quintilien philosophe panmusicaliste et la théorie rythmique de l'Antiquité : tradition manuscrite et histoire du texte des Eléments rythmiques d'Aristoxène de Tarente : avec une édition critique provisoire et une première traduction en français de son seul fragment conservé". Aix-Marseille 1, 2008. http://www.theses.fr/2008AIX10001.

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Abstract (sommario):
Ce mémoire constitue la première partie d'un travail entrepris il y a une dizaine d'années sur le texte des rythmiciens grecs. Ce travail vise à en donner une première édition critique et une interprétation nouvelle, libérée de la tradition exégétique inaugurée par August Rossbach et Rudolf Westphal, dont il propose une lecture critique. Centré sur le seul fragment conservé du livre II des Eléments rythmiques d'Aristoxène de Tarente, où apparaît pour la première fois en Grèce une conception purement temporelle du rythme musical, le présent mémoire étudie donc la tradition manuscrite de ce traité fondateur, avant de retracer l'histoire de son texte durant l'Antiquité, le Moyen-âge et les débuts de l'époque moderne. Trois acteurs de cette dernière enrichissent principalement notre connaissance de la rythmique du disciple d'Aristote : Aristide Quintilien, Porphyre et Michel Psellos. Plusieurs des textes ici étudiés bénéficient d'une édition critique et d'une première traduction en français
This is a first part of a larger work on the text of Greek rhythmicians. It only concerns the fragment of book II of Aristoxenus Elementa Rhythmica and studies textual tradition and its text story during the Antiquity, Middle ages and the beginning of modern era. This story shows the great importance of Aristides Quintilianus, Porphyry and Psellus in this tradition. Some of these texts have been already translated with a critical edition
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Lucchelli, Juan Pablo. "Lacan avec Platon : le Socrate de Lacan". Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010526/document.

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Abstract (sommario):
Lacan fait de Socrate l’antécédent historique du psychanalyste. Dans son séminaire sur le transfert, il prend appui sur le Banquet de Platon pour démontrer comment Socrate opère une manœuvre digne d’un analyste : quand Alcibiade lui déclare son amour, il le renvoie à Agathon. On peut ainsi dire que l’«interprétation» de Socrate lui dévoile le véritable objet de son désir, en lui prouvant aussi qu’il faut être trois pour aimer : telle serait l’éthique socratique, qui devancerait Freud quand ce dernier formule que «l’exemple est la chose même». Mais ce dialogue de Platon nous intéresse aussi parce qu’il met en relief ce que Lacan appelle la «métaphore de l’amour», à savoir le renversement à travers lequel l’aimé, celui qui se trouve être le centre et l’objet du désir des autres, devient aimant, manifestant ainsi un manque et abandonnant du coup sa position confortable. Ainsi, Lacan se sert de Platon pour comprendre la manière dont opère la psychanalyse : dans toute analyse digne de ce nom s’opère un renversement, une permutation de places, qui permet au sujet de se tourner vers l’inconscient, vers le désir de l’Autre. On peut en dire plus : il n’y a pas d’inconscient à proprement parler avant que ce changement de places énonciatives ne se produise
Lacan makes Socrate the historical antecedent of the psychoanalyst. In his seminar about the transfer, he bases on Plato's Symposium to demonstrate how Socrate makes a maneuver worthy of an analyst: when Alcibiade declares his love to him, he send him back to Agathon. Thus, we can say that the "interpretation" of Socrates reveals the true object of Alcibiade's desire, proving to him that it takes three to love: such is the Socratic ethics. But Plato's dialogue is also interesting as it highlights what Lacan calls the "metaphor of love", namely the reversal through which the loved one, which is the center and the object of the other's desire, becomes the lover, expressing a lack and abandoning his comfortable position. Thus, Lacan uses Plato to understand how the psychoanalysis operates: in any analysis worthy of the name is effected a reversal, a permutation of places, which allows the subject to turn to the unconscious, to the desire of the Other. We can say more: there is no unconscious strictly speaking before a change of enunciative places occurs
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Guyomarc'h, Gweltaz. "Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote". Electronic Thesis or Diss., Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

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Abstract (sommario):
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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Guyomarc'h, Gweltaz. "Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote". Thesis, Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

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Abstract (sommario):
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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Contensou, Antoine. "La Bibliothèque d'Apollodore et les mythographes anciens". Thesis, Lyon, École normale supérieure, 2014. http://www.theses.fr/2014ENSL0885.

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Abstract (sommario):
La Bibliothèque d’Apollodore, probablement composée au IIe ou au IIIe s. ap. J.-C., vise à rassembler les légendes et les mythes grecs en un système cohérent organisé selon un plan généalogique. Son auteur fonde son travail sur les écrits qui faisaient autorité en la matière, en particulier ceux des grands mythographes en prose du Ve s., parmi lesquels Phérécyde et Acousilaos sont les plus souvent nommés par Apollodore. Ce travail se propose d’analyser les rapports entre ces deux mythographes anciens et la Bibliothèque. Il examine chaque mention de leur nom dans cet ouvrage, et confronte tous leurs fragments au texte de la Bibliothèque, afin de comprendre pourquoi Apollodore choisit de les nommer ou, au contraire, de ne pas le faire ; pourquoi il les suit ou pourquoi il s’en écarte ; quelle place ils occupent réellement dans son traité. Plus largement, ce travail présente une réflexion sur les liens génériques entre la Bibliothèque et les mythographes anciens, en examinant en particulier la question de leur écriture, afin de comprendre comment Apollodore se situe par rapport aux premiers traités mythographiques grecs
Apollodorus’ Library, probably written during the 2nd or 3rd century A. D., aims at gathering Greek legends and myths in a coherent system based upon a genealogical structure. Its author bases his work on the most authoritative sources, including prestigious 5th-century mythographers as Pherecydes and Acusilaus, whose names are the most mentioned ones in Apollodorus’ treatise, along with Hesiod’s. This work analyses the links between those two ancient mythographers and the Library. It takes a close look at every mention of their name, and compares all their fragments to Apollodorus’ text, in order to understand how and why he cites them or not ; why he draws on them or chooses other sources ; what is their real influence on his treatise. This study also offers a reflection about the links between the Library and the ancient mythographical tradition as a genre, mainly on the basis of their respective style
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Gannagé, Emma. "Le commentaire d'Alexandre d'Aphrodise "In De generatione et corruptione" perdu en grec, retrouvé en arabe dans Ġabir ibn Hayyān "Kitāb al-taşrif" : édition, traduction annotée et commentaire"". Paris 1, 1998. http://www.theses.fr/1998PA010689.

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Richer, Jean-Camille. "Théocrite et la création de la pastorale : entre mime et idylle". Thesis, Lyon, École normale supérieure, 2015. http://www.theses.fr/2015ENSL1057.

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Abstract (sommario):
Dans cette thèse est proposée une définition du genre poétique bien connu qu’est la poésie bucolique. Son point de départ réside dans le double statut qui la caractérise : c’est à la fois un titre (les Bucoliques) et un genre (la poésie bucolique). Le fait de privilégier l’un ou l’autre de ces statuts oriente la définition qui est retenue. Nous avons donc examiné les sources antiques et tenté d’inverser la perspective habituellement retenue : alors que l’on considère souvent que c’est le genre qui a engendré le titre, nous pensons que c’est le titre (Bucoliques) qui a engendré le genre. En d’autres termes, à l’origine, un poème bucolique n’est pas un « poème de bouviers », mais un poème contenu dans un recueil intitulé Βουκολικά. Ce n’est que dans un second temps que le sens du titre originel (Βουκολικά) se serait restreint au genre tel que nous le connaissons aujourd’hui (une « poésie de bouviers », souvent réduite à une « poésie de pâtres ») et qui aurait entraîné, à la fin de l’Antiquité, le remplacement de ce titre par les mots « idylles » et « églogues », qui à l’origine n’avaient aucun rapport avec la poésie bucolique. La définition du poème bucolique que nous proposons est fondée sur la rencontre entre deux personnes et l’interprétation d’un chant, car ce schéma s’observe dans la plupart des poèmes bucoliques, y compris post-théocritéens. Dès lors opère une loi de variation censée varier le genre des chants insérés. Cela créée une hiérarchie entre les genres : le poème bucolique n’est pas un poème de bouviers, mais un poème comportant l’interprétation d’un chant dont le genre est appelé à varier. La notion de « mime » n’est ici étudiée qu’à titre de variante de la bucolicité. En effet, trois poèmes de Théocrite sont ainsi décrits parce qu’ils n’appartiennent ni au monde de la campagne (poèmes bucoliques), ni au monde des héros (epyllia). Nous analysons la manière dont cette catégorie s’est constituée, puis sa pertinence : si elle permet à n’en pas douter de constater des codes communs entre les poèmes de Théocrite et ceux d’Hérondas, elle ne doit pas faire oublier que la différence métrique entre les deux auteurs implique une différence d’esthétique
The aim of this study is a definition of Bucolic poetry. Nowadays it can be analized as a title (Bucolics) or as a poetry genre (bucolic poetry). The choice which is made between these two categories has consequences on the way bucolic poetry is theorised. I try to demonstrate that the genre was invented out of the title : at first, a bucolic poem was no more than a poem included in collection entitled Βουκολικά. At the end of Antiquity this title had been changed into Idylls in the Greek-speaking World and into Eglogues in the Latin-speaking world because the definition has changed. « Bucolicity » is based not on the cowherd, but on a scenario which is repeated from a poem to another : two people meet, a song is sung, and the people leave each other. Any poetic genre could be included in the song which is sung, so I distinguish the bucolic poem from the inserted song which lies inside. I then compare Theocritus to Herodas and Sophron because some bucolic poems are nowadays called « urban mimes ». The name of this categorie is modern, so it shows how new definitions (and new termes) are constantly proposed for poetic genres
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Davaze, Virginie. "Memnon, historien d’Héraclée du Pont : commentaire historique". Thesis, Le Mans, 2013. http://www.theses.fr/2013LEMA3005/document.

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Abstract (sommario):
Memnon a écrit une histoire locale, celle de sa cité d’origine, Héraclée du Pont, colonie mégarienne située en mer Noire. Sa chronique est conservée en partie grâce aux fragments, plus ou moins consistants, résumés dans la Bibliothèque de Photius. Ce dernier nous a transmis seulement une partie de l’œuvre de Memnon, puisqu’il ne rapporte que les faits contenus dans les livres IX à XVI qui couvrent une période allant des années 60 du IIIème siècle aux années 40 du Ier siècle av. J.-C. avec, cependant, une grosse lacune entre le milieu du IIIème siècle et l’arrivée des Romains. Le texte a fait l’objet d’un commentaire historique détaillé qui met en lumière les incohérences du récit et les événements pour lesquels Memnon constitue notre seule source. Cette recherche se propose également de dégager la méthode historique de Memnon à travers l’étude des thématiques récurrentes dans le texte et l’analyse de l’ordre chronologique des événements. Il est évident que l’intervention de Photius a des incidences sur l’organisation chronologique initiée par Memnon mais il semble néanmoins que la méthode de l’historien d’Héraclée a, dès l’origine, dénaturé la chronologie des faits qu’il rapporte. De surcroît, l’analyse du texte a permis de dégager les objectifs de Memnon, lequel tente de raviver le passé glorieux d’Héraclée et de dénoncer les excès de la domination romaine, en particulier envers sa cité d’origine. L’auteur de l’Histoire d’Héraclée reste méconnu mais il me semble qu’il faut situer son activité littéraire dans la seconde moitié du IIème siècle de notre ère
Memnon wrote a local history, the one of his native city, Heraclea Pontica, megarian colony located in the Black Sea. His chronicle is partially preserved thanks to fragments, more or less substantial, summarized in Photius’ Library. The latter passed on to us only a part of Memnon’s work, since he related only the facts contained in books IX to XVI, which cover a period from the 60’s of the third century to the 40’s of the first century BC., but with a big gap between the mid-third century to the arrival of the Romans. The text was the object of a detailed historical commentary which highlights the inconsistencies of the story and the events for which Memnon is our only source. My research also aims to identify the historical method of Memnon through the study of the recurring themes in the text and the analysis of the chronological order of events. It is obvious that Photius’ intervention has incidences on the chronological organization initiated by Memnon, nevertheless it seems that the method of the historian of Heraclea has distorted from the start the chronology of events he related. Furthermore, analysis of the text allowed to identify the objectives of Memnon who tries to revive the glorious past of Heraclea and to denounce the excesses of the Roman rule, especially to his city of origin. The author of the History of Heraclea remains unknown but it seems to me that his literary activity should be placed in the second half of the second century AD
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Sammour, Karim. "Les machines de siège romaines : restitution virtuelle, contextualisation et médiation". Thesis, Normandie, 2017. http://www.theses.fr/2017NORMC016/document.

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Abstract (sommario):
La présente recherche s'intéresse à la compréhension de quelques aspects particuliers de la poliorcétique romaine et aux moyens de transmettre ces résultats à un public, qu’il soit spécialisé ou non. Nombreuses sont les sources qui n’ont pas été exploitées dans l’historiographie ancienne et récente, qu’il s’agisse de récits, de poèmes, et même de certaines informations présentes dans les textes techniques. L’analyse exhaustive de ces sources anciennes entre le Ier siècle a.C. et le IVe siècle p.C. permet de considérer chaque problématique liée aux machines de siège romaines afin d’en obtenir une compréhension qui soit la plus complète possible. La restitution virtuelle de plusieurs machinae décrites avec précision permet d’obtenir des hypothèses expérimentales des principaux engins de siège et d’en déduire des corollaires sur les plans physiques, logistiques et stratégiques. La prise en compte du contexte de fonctionnement des machines s’inscrit dans une approche globale, méthode inhérente à l’Histoire des techniques. Cette méthodologie scientifique contribue à un développement parallèle des solutions de médiation scientifique permettant à tous d’accéder et de réfléchir aux problématiques abordées
This research focuses on some particular aspects of Roman Siege Warfare and on solutions to transmit these results to an expert or non-expert public. There are many unstudied historical sources in the ancient and recent historiography, either narrative sources, poems or even some details from technical texts. An exhaustive analysis of those sources, dated between the first century BC to the fourth century AD, allows us to consider each problematic related to Roman siege machines in order to acquire an understanding as complete as possible. The virtual restitution of several well described machinae allows us to formulate experimental hypotheses of the main siege engines and to infer physical, logistical and strategic corollaries. By taking into account the operating context of the machines, we subscribe to an overall approach, the specific method of Technical history. This scientific methodology enables a parallel reflection about scientific mediation solutions, allowing everyone to access and give thought to the developed problematic
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Hertz, Géraldine. "Dire Dieu, le dire de Dieu chez Philon, Plutarque et «Basilide»". Thesis, Paris Est, 2013. http://www.theses.fr/2013PEST0015.

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Abstract (sommario):
Peut-on dire Dieu ? Dieu lui-même parle-t-il et se dit-il ? Les deuxquestions semblent intimement liées : si le langage est tenu pour une réalité étrangèreà la nature divine, il est en effet susceptible d’être jugé inapte à son expression. Cettethèse est consacrée à l’exploration d’une question qui a rencontré un intérêt sansprécédent dans le platonisme des débuts de l’époque impériale : celle de l’articulationentre le discours (λόγος) et le divin (θεός). Le signe le plus évident de cet intérêtnouveau pour la question du rapport entre discursivité et divinité est l’essor queconnaît alors le motif du « dieu ineffable » (θεὸς ἄρρητος). Les trois auteurs surlesquels porte cette étude – Philon, Plutarque et l’auteur présenté dans l’Élenchos(VII, 14-27, X, 14) comme « Basilide » – se caractérisent par une commune adhésionà l’idée que Dieu échappe à l’appréhension verbale, mais cette idée est loin des’exprimer chez eux de façon uniforme : si Plutarque semble réticent à déclarer Dieu« ineffable », Philon, lui, le reconnaît tel avec insistance, tandis que « Basilide »,considérant que le dire « ineffable » revient encore à en dire quelque chose,surenchérit en le déclarant « pas même ineffable ». Pour comprendre ces divergences,il s’agira d’examiner les données ontologiques, gnoséologiques et linguistiques quiexpliquent les positions respectives de ces auteurs sur la question de l’expression dudivin. Cette enquête débutera par un chapitre préliminaire où l’on situera dans soncontexte – celui du médioplatonisme – le débat sur le divorce entre λόγος et θεός etoù l’on en recherchera les prémisses chez Platon, Aristote et dans la spéculationpythagorisante
Can one make statements about God ? Does God speak and does hemake statements about himself ? These two questions are intimately related: iflanguage is taken to be a reality extraneous to God’s nature, it might be consideredunsuitable for expression of his nature. This dissertation explores the question of thearticulation between discourse (λόγος) and the divine (θεός) that became a prominentlocus of debate in early imperial Platonism. The clearest sign of this new-foundinterest in the relationship between discursivity and divinity is the growth in the motifof “ineffable God” (θεὸς ἄρρητος). The study looks at three authors – Philo,Plutarch, and the author presented in the Elenchos (VII, 14-27, X, 14) as “Basilides” –linked by a common adherence to the idea that God escapes verbal apprehension.Their respective way of expressing this idea is by no means uniform, however : ifPlutarch seems reticent to declare God “ineffable”, Philo declares this moreemphatically; “Basilides”, meanwhile, reckoning that declaring God “ineffable” isstill saying something about him, goes even further by declaring him “not evenineffable”. In order to understand these differences we must examine the ontological,gnoseological, and linguistic facts that explain the respective positions of theseauthors on the expression of the divine. This inquiry starts with a preliminary chapterwhich situates the debate about the gulf between discourse and God in its context –Middle Platonism – and seeks its premises in the thinking of Plato, Aristotle andPythagoreanizing speculation
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Giacone, Alessia. "L'essenza e la forma. La presenza di Aristotele nella Wesenslogik di Hegel". Doctoral thesis, Università degli studi di Padova, 2017. http://hdl.handle.net/11577/3425356.

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Abstract (sommario):
Essence and Form. The presence of Aristotle in Hegel’s «Wesenslogik» The aim of this research is to prove the relationship between the Hegelian concept of «Wesen» and Aristotle’s «ti en einai» from a not merely lexical point of view. I will specially attempt the reading of some fundamental moments of the Science of logic using the Lectures on the history of philosophy that Hegel dedicates to the Stagirite. Both signifiers, Wesen and ti en einai, refer to a sense of past, but timelessly past (zeitlos), which is pregnantly speculative. Hegel structures the division of the Objective Logic in two books, “Being” and “Essence”, on the model of the Aristotelian episteme. True science, meaning the one that goes deeply, looks beyond Being (to on) and, once found its Essence (ti en einai), puts this last one as its object. The logical journey from Being to Essence thinks highly this truth. I am convinced that founding such a relationship between the above-mentioned terms has a twofold contribution: On the one hand, which one of clarifying some key-moments of the Doctrine of Essence, so disambiguating expressions, or “formulas” that the Stagirite frequently uses as synonyms (i.e. essence, act, purpose and form); On the other hand, which one of reading, and correctly understanding, the past tense en in the middle of the Aristotelian formula; a past tense definitely metaphysical, which refers to what is necessary, unchangeable, out of time just because it is what time needs most of all and what legitimates time. The dissertation articulates into four chapters, corresponding to four distinct moments of investigation: Chapter I starts with some methodological remarks, and then provides my first general interpretation of the Hegelian Essence as dynamis. I will found this kind of reading on the Aristotelian concepts of essence, act and purpose. The analysis focuses on Aristotle’s Metaphysics and approaches a germinal connection between Wesen, An-sich, ousia, dynamis. Chapter II concerns the recollection (sich erinnert) of Being in Essence, that is, switching to a different level of logical argumentation, its connection on one side with Platonic anamnesis, on the other one with the Aristotelian ti en einai. Both anà and en refer to a past that is not truly such: it has no-time significance but clearly a logical-metaphysical one. Logical development is not made up of continuity but rather of breaks and always-new demotions; it recalls some famous words Socrates says to Meno: “And isn’t finding knowledge within oneself recollection?” (Meno, 85e-86a). Chapter III, in a direct link with the previous ones, thematizes the role of Reflexion as that immanent process of Essence, rethinking the complex balance of Being and Essence as, respectively, proteron pros hemas and proteron te physei, in turn corresponding to the Aristotelian formulas ti esti and ti en einai. Chapter IV, which takes crosswise the themes of the previous chapters, deals with the problem of Wirklichkeit at the end of the Doctrine of Essence, interpreting it in its twofold meaning of energeia and entelecheia. Despite Hegel, in his Lectures on the history of philosophy, apparently considers entelecheia as the most proper determination of energeia, he actually reveals two distinct senses, which correspond to different ranges of use. Wirklichkeit is then determined both as effectuality and as the determinacy of purpose. If, on the one hand, Hegel accomplishes a great ontological building, on the other hand he grounds an effectual reality that is only possible, still to submit to the scrutiny of the Subject, Concept, and Idea.
L'essenza e la forma. La presenza di Aristotele nella «Wesenslogik» di Hegel Scopo del presente lavoro di ricerca è fondare la filiazione tra «Wesen» hegeliano e «ti en einai» aristotelico da un punto di vista non meramente lessicale, tentando principalmente la lettura di alcuni momenti chiave della Scienza della logica al filtro delle Lezioni sulla storia della filosofia dedicate ad Aristotele. Entrambi i significanti, tanto il Wesen quanto il ti en einai, mettono infatti in gioco un senso di passato, ma passato fuori dal tempo, che è esso stesso teoretico e speculativo. La distinzione della logica oggettiva in logica dell’essere e logica dell’essenza è un calco aristotelico. La vera scienza, la scienza cioè che va in profondità, cerca oltre l’essere (to on) e, trovatane l’essenza (ti en einai) ne fa il suo oggetto. Il cammino che conduce dall’essere all’essenza, o meglio che dall’essere svela l’essenza nella Scienza della logica pensa al massimo grado questa verità. Crediamo che la dimostrazione di una simile filiazione tra i due termini abbia un duplice merito: anzitutto, quello di chiarificare alcuni momenti estremamente importanti della Dottrina dell’essenza disambiguando, nel farlo, alcune espressioni o termini di cui lo Stagirita ha fatto largo uso cadendo spesso nella sinonimia (tra tutti essenza, atto, fine e forma); dall’altro, quello di leggere in modo corretto l’imperfetto en della formula aristotelica – un imperfetto che non può non essere metafisico e riguardare, cioè, ciò che è necessario, immutabile, fuori dal tempo proprio in quanto ciò che più di tutto occorre al tempo, e che perciò stesso lo legittima. Il lavoro si articola in quattro capitoli, che corrispondono a quattro ben distinti momenti di indagine: Il primo capitolo, dopo alcune considerazioni di carattere metodologico, offre una prima generale interpretazione dell’essenza come dynamis, imperniando il parallelo sui concetti aristotelici di essenza, atto e fine. L’analisi è condotta principalmente sul testo della Metafisica. Si approccia una germinale connessione tra Wesen, An-sich, ousia, dynamis. Il secondo capitolo ripensa il sich erinnert dell’essere nell’essenza, vale a dire il passaggio a un diverso livello di argomentazione logica, a partire dal suo legame da un lato con l’anamnesis platonica, dall’altro col ti en einai aristotelico. Sia l’anà che l’en alludono infatti ad un passato che non è veramente tale, che non ha valenza temporale ma chiaramente logico-metafisica. E il procedimento logico, fatto non di continuità ma piuttosto di rotture e di sempre nuove retrocessioni, sembrerebbe richiamare proprio una certa frase di Socrate a Menone: “[m]a ricavar da sé, in sé, la propria scienza, non è appunto ricordare?” (Menone, 85e-86a). Il terzo capitolo, in diretta connessione con il precedente, problematizza il ruolo della Reflexion come processualità immanente dell’essenza, ripensando il complesso equilibrio di essere ed essenza come, rispettivamente, proteron pros hemas e proteron te physei, a sua volta corrispondenti alle espressioni aristoteliche ti esti e ti en einai. Il quarto capitolo, che riprende in modo incrociato le tematiche dei capitoli precedenti, affronta il problema della Wirklichkeit a chiusura della Dottrina dell’essenza, interpretandola nel suo duplice senso di energeia e entelecheia. Malgrado Hegel, nelle Lezioni sulla storia della filosofia, consideri apparentemente l’entelecheia come “la specificazione più propria” dell’energeia, ne emergono due sensi distinti e non propriamente sovrapponibili. La Wirklichkeit si determina quindi tanto come effettualità, quanto come finale determinazione del fine. Se, da un lato, Hegel porta qui a compimento una grandiosa trattazione di ontologia, dall’altro apre le porte all’interpretazione di un reale solo possibile, da sottoporre ancora al vaglio del Soggetto e dell’Idea.
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Carra, Esther. "Il corpo femminile nella letteratura medica antica (Ippocrate e Sorano)". Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL049.

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Abstract (sommario):
L’objet du travail de la thèse est l’étude de l’image du corps de la femme dans la littérature médicale antique, sous ses différents aspects physiologiques et culturels, étude fondée sur les témoignages de deux auteurs centraux pour cette recherche : Hippocrate (Ve siècle av. J.-C.) et Soranos (Ier siècle ap. J.-C.). Les traités gynécologiques et embryologiques du Corpus hippocratique soulignent l’importance absolue du rôle maternel pour l’image de la femme, rôle en fonction duquel est interprété le corps féminin, ce qui est démontré également par l’intérêt pour la future mère dans de nombreux passages de l’œuvre Gynaecia de Soranos. En effet, à cause de jugements négatifs sur la virginité et à cause de problèmes résultant de la stérilité, la maternité devient non seulement garante de la continuité familiale mais a également une fin thérapeutique et assure un état de bien-être. Une analyse des traités du point de vue philologique et historico-littéraire peut rendre pleinement compte de la complexité des indications de nature sociale et anthropologique qui abondent dans les traités
The subject of this work is the study of the woman’s body in the field of ancient medical literature, from both physiological and cultural aspects. The study is based on the testimony of two authors who were key figures in this reserach : Hippocrates (5th century B.C.) and Soranus (1st century B.C.). Genealogical and embryological treatises of the Hippocratic Corpus highlight the great importance of the maternal role in the image of the woman, a function by which the female body is interpreted, matter that is also confirmed in several pieces by Sorano’s Gynaecia which show an important interest for the expectant mother. Indeed, because of the negative opinion about virginity and the problems arising from infertility, motherhood became not only the guarantor of the family continuity, but also a therapeutic method which provided a state of well-being. A philological and historical-literary analysis of the treatises can clearly demonstrate the complexity of the social and anthropological indications which are abound in the treatises
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