Articoli di riviste sul tema "La fille aux yeux d'or"

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Majewski, Henry F. "Painting as Intertext in Balzac'sLa Fille aux Yeux D'or". Symposium: A Quarterly Journal in Modern Literatures 45, n. 1 (marzo 1991): 370–84. http://dx.doi.org/10.1080/00397709.1991.10733732.

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2

Heathcote, Owen. "Hermeneutic Circles and Cycles of Violence: "La fille aux yeux d'or", "Histoire d'O", "Les guerilleres"". South Central Review 19, n. 4 (2002): 44. http://dx.doi.org/10.2307/3190135.

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3

Walter, David Michael. "Strange Attractions: Sibling Love Triangles in Faulkner's Absalom, Absalom! and Balzac's La Fille aux yeux d'or". Comparative Literature Studies 44, n. 4 (2007): 484–506. http://dx.doi.org/10.1353/cls.2007.0084.

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4

Heathcote, Owen N. "The Engendering of Violence and the Violation of Gender in Honore de Balzac'sLa Fille Aux Yeux D'or". Romance Studies 11, n. 3 (ottobre 1993): 99–112. http://dx.doi.org/10.1179/ros.1993.11.3.99.

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5

TRINGALAS, S. "MARIQUITA/MARGARITA: A NOTE ON BALZAC'S LA FILLE AUX YEUX D'OR1". French Studies Bulletin 20, n. 71 (1 gennaio 1999): 14–15. http://dx.doi.org/10.1093/frebul/20.71.14.

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6

Walter, David. "Strange Attractions: Sibling Love Triangles In Faulkner's Absalom, Absalom! And Balzac's La Fille Aux Yeux D'or". Comparative Literature Studies 44, n. 4 (1 gennaio 2007): 484–506. http://dx.doi.org/10.2307/complitstudies.44.4.0484.

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7

Malinconi, Nicole. "Ma fille aux yeux bridés". La lettre de l'enfance et de l'adolescence 56, n. 2 (2004): 109. http://dx.doi.org/10.3917/lett.056.0109.

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8

Apfelbaum, Érika. "La petite fille aux yeux bleus". L'Autre 14, n. 1 (2013): 82. http://dx.doi.org/10.3917/lautr.040.0082.

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9

Berthier, Patrick. "Honoré de Balzac, Ferragus, La Fille aux yeux d’or". Studi Francesi, n. 177 (LIX | III) (1 dicembre 2015): 606. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.1383.

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Bordas, Eric. "La composition balzacienne dansFerragusetLa Fille aux yeux d'or:de la négligence à l'ambivalence". Orbis Litterarum 49, n. 6 (dicembre 1994): 338–47. http://dx.doi.org/10.1111/j.1600-0730.1994.tb00064.x.

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Silvestri, Agnese. "Quand le « rêve asiatique » de l’amour rencontre le rêve autocratique : le creuset deLa Fille aux yeux d’or". Romantisme 172, n. 2 (2016): 106. http://dx.doi.org/10.3917/rom.172.0106.

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Pappas, Sara. "Opening the Door: Reinterpreting Interior Space and Transpositions of Art inLa Fille aux yeux d'orvia Assia Djebar". Symposium: A Quarterly Journal in Modern Literatures 64, n. 3 (8 settembre 2010): 169–86. http://dx.doi.org/10.1080/00397709.2010.502490.

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Gingras, Francis. "Préhistoire de la sorcière d'après quelques récits français des XIIe et XIIIe siècles". Florilegium 18, n. 1 (gennaio 2001): 31–50. http://dx.doi.org/10.3138/flor.18.004.

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Abstract (sommario):
Les médiévistes savent bien qu'avec la Dame des troubadours, librement redessinée par les premiers romanciers du Nord de la France, l'écriture médiévale a réinventé la femme en élaborant une figure de mots capable de rivaliser dans l'imaginaire érotique avec la place occupée ailleurs par Dieu lui-même. Pour autant, dans la perception commune, les pouvoirs prêtés à la femme médiévale pencheraient plutôt du côté du diable et de la magie noire, les «siècles obscurs» constituant aux yeux de plusieurs de nos contemporains, un temps béni (si l'on peut dire) pour les sorcières de tout acabit, si ce n'était qu'il fut quelque peu troublé par les flammes des bûchers. Si les historiens ont établi, depuis longtemps déjà, que la chasse aux sorcières touche bien moins le Moyen Âge que la Renaissance, la vision d'un Âge d'Or de la sorcellerie avant le XVe siècle persiste, alimentée il est vrai par l'apologie romantique de la sorcière médiévale, figure de liberté opposée au pouvoir grandissant de l'Église. Héraut de cette histoire romantique de la sorcière, Michelet a rendu célèbre l'expression d'un démonologue du XVIIe siècle qui affirmait pouvoir trouver: «pour un sorcier, dix mille sorcières» inscrivant dès lors la féminité au rang des conditions nécessaires, sinon essentielles, à la sorcellerie.
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Anne Linton. "Allegory and Exoticism: Balzac’s Allusion to La Liberté guidant le peuple in La Fille aux yeux d’or". Nineteenth-Century French Studies 39, n. 1-2 (2010): 46–61. http://dx.doi.org/10.1353/ncf.2010.0012.

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Carballo, Lula. "restos de barrios". HYBRIDA, n. 5(12/2022) (27 dicembre 2022): 172. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25557.

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Abstract (sommario):
sur la piste cyclable, papa regarde-moi !, chuter en bmx, essuyer mes mains incrustées de pierres pointues. ici, dans les souvenirs de mon premier quartier d’enfance, les édifices côtoient des bidonvilles en carton. j’emprunte des trajets interminables vers le centre-ville de montevideo, et je hume l’odeur des aliments que personne ne peut m’offrir. nous sommes pauvres en garrapiñadas, bizcochos, merengues et panchos. mon ventre fait de l’écho. la musique des machines à sous résonne sur le comptoir du dépanneur. j’entends les cris de la mère de ma mère battue par son amant alcoolique, les coups de poings sur le mur mitoyen de ma chambre, les rats qui se promènent sur mon oreiller. je me réveille souvent en sursaut, les vidanges brûlées devant la porte, le plafond en plastique. je souffre de problèmes respiratoires portant le nom de la nature qui foisonne. j’ai appris à lire la nuit, égarée dans l’encyclopédie des fleurs. **** montevideo, años 90, villa española, calles de pedregullo, casa sin árboles. vecinas tóxicas, gritos y murmullos. las venas abiertas de mi tía enferma, la basura acumulada, el humo, las ratas, la hija milica de la loca de al lado, la vieja yazira, sus amantes violentos, los llantos, las piñas y las puertas agujereadas de los roperos, el cielorraso de plástico recubriendo el techo de mi cuarto, los libros con flores ilustradas, los abrazos, las lecturas, las vegetaciones, los accidentes de tránsito, las muertes sin crónicas anunciadas, los rostros transformados por el cansancio y el silencio. y dos o tres cosas más que no desvelaré. **** voisinage hanté. soir d’automne, je marche dehors. je m’arrête là où je vois de la lumière. je sonne. un homme ouvre sa porte et me dévisage avec mépris : tu diras à ta mère que c’est interdit de faire travailler des enfants et que c’est insalubre de vendre des parts de gâteau en faisant du porte-à-porte. il n’avait qu’à rien m’acheter. il n’avait qu’à garder le silence. la nuit, les voleurs craignent les coups de feu du calibre 38 de mon père, revolver argenté, froid et lourd que j’ai déjà serré entre mes mains. **** ombú, barrio con nombre de árbol, la casa de mi padre cuando aún era un niño. la mía, también, veinte años más tarde. la vecina italiana que nos ofreció pan duro el día de nuestra mudanza, la vecina rica que le dio trabajo a mi madre. sus lágrimas de señora amargada, su marido bandido con amante joven, el arma apuntando una garganta temblorosa. las metáforas. las mentiras encubriendo imperios de pacotilla. las apariencias no engañan a las niñas enfermas. tres meses en cama con el hígado cansado. probé todas las galletitas de agua y los dulces de membrillo del almacén de don carmelo. la enfermera entraba a mi cuarto una vez por semana para sacarme sangre. ahora de grande, no le temo a las agujas. conozco el dolor que procuran y sé que puedo resistirlo. **** camino maldonado, avenue aux voitures inquiètes. j’emprunte, chaque matin, le parcours à obstacles séparant ma maison de mon école secondaire. mes chaussures aux semelles fatiguées évitent les petites roches et les flaques d’eau. mon amour malade au cœur agité. sa tuberculose de fin de siècle, les premières lectures des contes de garcía márquez. ma boulimie pauvre. mes jambes poilues. mes traumas d’adolescente. l’infestation de coquerelles dans ma chambre. les journées humides d’automne, les limaces se tortillent dans du sel de mer. pour rendre visite aux parents de mon père, nous traversons une zone piégée, je me recroqueville sous le siège de la voiture, évite les projectiles lancés par des voyous qui tentent de nous voler. **** camino maldonado, avenida con automóviles alborotados. en el trayecto que separa mi casa de mi colegio evito los charcos y las piedras. cuido mis zapatos de gamuza con suela cansada. disimulo la tristeza. de un primer amor enfermo. tuberculosis de fin de siglo. garcía márquez y la lectura de sus primeros cuentos. escondo una bulimia pobre. acumulo traumas, bigote, uniceja y piernas peludas. miles de cucarachas invaden mi cuarto. los días de lluvia, las babosas se retuercen en sal gruesa. pero no me quejo. vivo en una casa con hermoso patio y jardín. **** montréal en plein été. la plaza st-hubert brille avec ses commerces protégés par des toits en tôle verte. ma voisine salvadorienne achète une robe de bal à 650$. tissu noir, tulles transparentes aux broderies argentées et aux motifs abstraits incrustés de cristaux. maquillage et coiffure dans un salon de beauté latino. elle transitionne de jeune fille de 16 ans en femme mûre en un clin d’œil. moi, grosse aux cheveux courts, je la regarde partir en limousine et je pense : je n’ai pas beaucoup de temps pour avoir l’air d’autre chose d’ici un an. thérapie alimentaire. anxiété contrôlée. robe satinée bleue achetée dans une boutique seconde main. coiffure ostentatoire, esthétique années soixante-dix, sprinette dans mes cheveux. si je ferme les yeux, je ressens le parfum artificiel de mon bal de finissants. **** montréal, años 2000, la plaza st-hubert brilla con sus comercios protegidos por techos de lona verde. mi vecina salvadoreña se compra un vestido de 650$. tules bordados con flores plateadas e incrustaciones de cristales. delante del espejo, pasa de ser una joven de 16 años a señora adulta en un abrir y cerrar de ojos. yo, gorda y con pelo corto, la miro irse en limusina y pienso: no me queda tiempo para parecerme a otra cosa de aquí a un año. terapia alimenticia. ansiedad controlada. vestido celeste satinado comprado en una tienda de segunda mano. peinado sesentoso improvisado con exceso de fijador en aerosol. veinte años más tarde, cierro los ojos y vuelvo a sentir el perfume artificial de mi baile de egresados. y no me invade ninguna nostalgia. ****
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Pujante González, Domingo. "Apertura: No hay palabras..." HYBRIDA, n. 5(12/2022) (27 dicembre 2022): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25813.

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Abstract (sommario):
Il me regarde. Parfois il murmure des mots que je ne comprends pas. Et puis il s’assoit sur le lit, et il rabat les couvertures. Il dit mon nom tout bas, tu dormais, mon amour ? Là il n’y a plus d’espoir, je sais que ça commence. J’ouvre les yeux sur le noir de la chambre qui peu à peu s’éclaire et dévoile le visage de papa. Il n’y a pas de mots pour ce qu’il me fait dans la chambre. Voix coupée, je ne pourrai jamais le dire. À moi seule je le dis pour ne pas me perdre de vue. Lori Saint-Martin (1999). Mon père, la nuit (p. 7). L’instant même. Nous voilà au troisième solstice d’hiver pour la revue HYBRIDA. J’ai eu la chance de passer mon anniversaire à Montréal, de recevoir l’automne aux couleurs changeantes, de savourer l’énergie du jaune, ma couleur préférée, décliné à l’infini : citron, cadmium, moutarde, ocre, auréolin, indien, de Naples, de Sienne, de Cambodge… L’Association Internationale des Études Québécoises, incarnée dans la précieuse figure de Suzie Beaulieu, a contribué à la réussite de ce séjour d’un mois à l’Université de Montréal, accueilli par une personne magnifique et généreuse, écrivaine prestigieuse à juste titre, Catherine Mavrikakis, qui venait de publier son dernier roman Niagara (2022), ainsi que par son entourage académique et familial, son frère Nicolas Mavrikakis, perspicace critique d’art ; son conjoint, l’insigne professeur de littérature Terry Cochran, et leur fille Loulou, toujours le sourire aux lèvres et aux yeux… Le mois d’octobre est spécialement animé du point de vue culturel à Montréal ce qui m’a permis de participer à une intense vie culturelle : nouvelles publications, activités théâtrales, expositions artistiques, cycles organisés par la cinémathèque québécoise (dont la superbe rétrospective sur l’œuvre du canadien Bruce LaBruce)… Je me suis plu à visiter les intéressantes librairies montréalaises toujours en ébullition. J’ai eu la chance d’entrer en contact direct avec le monde éditorial québécois qui connaît certainement un nouvel âge d’or, des maisons d’édition d’une longue tradition comme Gallimard, dont l’ancien directeur Rolf Puls m’a parlé de tant d’anecdotes littéraires en nous régalant avec des huîtres et des oursins des mers du Nord, et dont l’actuelle directrice générale, Florence Noyer, m’a ouvert également les portes. Tout comme les éditions du Boréal où je suis passé plusieurs fois, reçu magnifiquement par Jean Bernier, avec qui j’ai passé des moments d’intense complicité où j’ai pu partager la passion pour Marie-Claire Blais, qu’il connaît dans le moindre détail, et le deuil à cause de la disparition douloureuse, cet intense mois d’octobre, du jeune écrivain Simon Roy, qui était venu à Valence présenter son premier roman Ma vie rouge Kubrick (2014) ; ainsi que celle de Lori Saint-Martin quelques jours plus tard. Il me reste à mentionner la maison d’édition Héliotrope. Un vrai bijou. J’ai eu le privilège de partager quelques conversations littéraires et humaines de haut niveau et une belle promenade du côté du Mont Royal, avec une halte dans la petite pâtisserie du quartier portugais pour prendre un vrai café, avec sa directrice, écrivaine elle-aussi, Olga Duhamel-Noyer, une âme sœur, qui dirige cette maison respirant sans aucun doute un air nouveau, fortement stimulant. Ma valise était donc bien pleine au retour à Valence et j’aurai de quoi lire dans les prochains mois. Tout cela m’a permis de rencontrer, parfois intensément, dans divers contextes, plusieurs écrivain·e·s, tous les âges confondus, dont je signalerai, par ordre alphabétique, Martine Audet, Arianne Bessette (écrivaine discrète et sensible avec qui j’ai connecté immédiatement), Lula Carballo (« ma Lula », mon double), David Clerson, Pierre-­André Doucet (charmant auteur et musicien acadien spécialement remarquable), Clara Dupuis-Morency, Benjamin Gagnon Chainey, Julien Guy-Béland (personne exceptionnelle, engagée, et écrivain percutant), Monique Proulx, que j’ai reçue à Valence et que j’apprécie énormément comme écrivaine et comme personne, avec qui j’ai partagé des croissants et de la confiture faite maison sur son balcon en regardant les arbres perdre leurs feuilles lorsqu’elle me dédicaçait son dernier roman Enlève la nuit (2022) ; et, bien entendu, Lori Saint-Martin. Je ne voudrais pas oublier le professeur de l’Université de Montréal Alex Noël, qui s’intéresse à la littérature québécoise récente et à la mémoire queer, et qui m’a fait découvrir le travail de l’artiste multidisciplinaire canadienne, originaire de l’île Maurice, Kama La Mackerel et le professeur espagnol de l’Université du Québec à Montréal Antonio Domínguez Leiva, écrivain lui-aussi, dont j’avais perdu la trace et avec qui je partage bien des intérêts littéraires autour du corps, de la monstruosité et du « panique ». Une dernière mention spéciale pour deux danseurs : Francis Paradis, personne instruite et empathique qui est restée tout le temps à mon écoute et m’a fait découvrir des lieux remarquables ; et, enfin, le danseur tunisien Achraf El Abed, en asile politique à Montréal à cause des persécutions LGBT dans son pays, n’ayant pas pu venir à Valence pour ces raisons lors du Colloque Queer Maghreb que nous avons organisé en juin 2022. Il a dansé pour nous en privé chez moi dans le quartier du Red Light de Montréal, pas loin de l’emblématique Café Cléopâtre, le jour de mon anniversaire, en compagnie de ma collègue et amie Adela Cortijo, qui était venue pour l’occasion. Je n’oublierai jamais ce moment magique. Merci à tous et à toutes pour avoir contribué à rendre ce séjour montréalais si spécial et si riche dans tous les sens. Comme je l’annonçais, nous avons perdu Lori Saint-Martin, excellente professeure, traductrice et écrivaine canadienne, ayant choisi le français comme langue d’asile et de refuge, d’identité réinventée, et surtout personne proche et généreuse, disparue dans la Seine, subitement. Des ombres spectrales ont envahi mon cœur et mes pensées à cause de ce destin trop funeste, trop tragique, trop romanesque, tellement j’ai envie de ne pas y croire… et, pourtant, Lori n’est plus là. Juste un dernier message sur WhatsApp quelques jours avant l’hécatombe : « Aquí todo bien » (« tout va vient ici »). Elle adorait l’espagnol, sa nouvelle demeure, sa nouvelle passion. Lori, mon amie, tu as troublé mon âme et laissé un grand vide difficile à combler. Je n’ai que des mots de gratitude envers toi. Et, pourtant, la vie continue à couler, elle coule et coule… comme les larmes des mères qui perdent leurs enfants dans toutes les guerres de la planète. Cette planète Terre qui pleure de plus en plus fort pour que l’on prenne soin d’elle, pour que l’on développe une conscience écologique efficace et durable… Temps catastrophiques, oui… excessifs, oui… scandaleux, oui… Et, pourtant, temps de Saturnales et de Noël, de fêtes, de chants et de vœux, de décorer les maisons, d’allumer les bougies et d’offrir des cadeaux, de rêves de santé, de paix et d’amour… tellement on a besoin de diluer les tensions que l’on ressent ; temps d’apaiser nos esprits… de se ressourcer, de reprendre haleine… de se projeter dans un meilleur avenir… malgré… Revenons à nos moutons… Le Dossier central de ce cinquième numéro de la revue HYBRIDA, coordonné par Fabio Libasci, vise à s’interroger sur les multiples enjeux de la notion d’extrême, que ce soit du point de vue chronologique que du point de vue conceptuel. En effet, l’expression « extrême contemporain », étant en perpétuel déplacement, reste spécialement attirante mais problématique, depuis sa création attribuée à Michel Chaillou, à la toute fin des années 80 du siècle dernier. On assisterait, de nos jours, à une « deuxième génération » de l’extrême contemporain. On pourrait donc l’actualiser pour faire référence aux productions littéraires et culturelles récentes au sens large. Du point de vue thématique, l’extrême est vite associé à la notion de limite, de démesure, voire de violence. En ce sens, force est de constater une tendance et une présence des esthétiques de rupture et des formes de l’excès chez des auteur·e·s contemporain·e·s, plus ou moins jeunes, ce qui nous a menés à nous pencher sur les usages et, peut-être les abus, de cette notion poreuse et changeante. Ce Dossier est composé de quatre articles venus de Côte d’Ivoire, de Finlande et de France. Ils abordent l’œuvre des écrivain·e·s Azo Vauguy, Koffi Kwahulé et Hélène Cixous et des cinéastes tels qu’Anne Fontaine, Christopher Doyle ou Julien Abraham. Dans la section Mosaïque, nous publions quatre articles très intéressants également. Hassna Mabrouk, de l’Université Chouaïb Doukkali (Maroc), en s’appuyant sur le révisionnisme historique proposé par les études postcoloniales et subalternes, s’empare de la figure historique de l’explorateur et interprète du début du XVIe siècle Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico, connue essentiellement en Europe sous l’angle de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, trop eurocentrée, pour y opposer d’autres représentations de l’explorateur comme celle du personnage Al-Azemmouri qui apparaît dans le roman de Kebir M. Ammi, Les Vertus immorales (2009) où les représentations artistiques qui perdurent dans la ville marocaine d’Azzemmour où il est né. Ahmed Aziz Houdzi, de l’Université Chouaïb Doukkali également, analyse les transformations identitaires du sujet diasporique par rapport aux événements historiques dans le contexte français marqué par les attentats terroristes qui ont eu lieu à Paris en 2015. Il fait une fine lecture de Ce vain combat que tu livres au Monde (2016) de Fouad Laroui où le personnage principal se débat entre le désir d’intégration dans la société laïque et la tentation intégriste incarnée par l’État islamique. Lourdes Rubiales Bonilla de l’Université de Cadix (Espagne) se penche sur « l’affaire Batouala ». Dans son article, elle analyse avec précision les clés de la réception et de la diffusion dans la presse du moment du Prix Goncourt de 1921 octroyé au roman Batouala. Véritable roman nègre de René Maran. Ainsi, elle s’efforce de démontrer les mécanismes de la censure pour essayer de neutraliser le discours politique de l’auteur. Enfin, Diana Requena Romero de l’Université de Valence (Espagne) revient sur la problématique liée à l’étude des personnages féminins dans l’œuvre de Boris Vian. Pour ce faire, elle prend un corpus peu étudié qui est celui des nouvelles de l’auteur afin d’y déceler les processus de métamorphose du corps et les images de l’hybridation de la femme-animal située dans des espaces intermédiaires. Dans la section Traces, plus créative, nous publions trois contributions. Nous avons l’honneur de publier un texte fragmentaire bilingue (en français et en espagnol) de l’écrivaine québécoise, originaire de l’Uruguay, Lula Carballo intitulé restos de barrios (« des restes de quartiers ») où les bribes du passé se mélangent à la rupture du discours à la recherche de nouvelles voies d’expression littéraire. Son premier roman Créatures du hasard (2018) a été spécialement apprécié par la critique. Elle a aussi publié l’album illustré Ensemble nous voyageons (2021), co-écrit avec Catherine-Anne Laranjo et illustré par l’artiste Kesso. Carballo explore avec délicatesse et subtilité la mémoire liée aux souvenirs d’enfance et d’adolescence dans un contexte social spécialement marqué par la pauvreté et la migration, ainsi que les hybridations culturelles et la quête identitaire guidée par l’émotion et par un clair positionnement féministe aux côtés des minorités. Alexandre Melay nous offre [Timescapes], un document photographique présenté par l’auteur où il met en valeur ses préoccupations environnementales et nous fait partager son regard engagé face à « l’impossibilité du paysage » et « l’implacable déconstruction structuraliste du sujet ». Ces photographies en noir en blanc, sorte de cartographie de villes grises, polluées, envahies par les déchets et les éléments inhospitaliers, à l’ère du « Capitalocène », constituent un bel exemple de l’« extrême urbain contemporain ». Enfin, Natalia L. Ferreri de l’Université Nationale de Cordoba et Francisco Aiello de l’Université Nationale de Mar del Plata (toutes deux en Argentine) ont eu la générosité de choisir notre revue pour publier un long entretien en espagnol avec l’écrivaine française (née en Argentine en 1968) Laura Alcoba intitulé « ¿Para qué sirven las historias ? » (« À quoi servent les histoires ? »). Après l’évocation de son sixième et dernier roman intitulé Par la forêt (2022) où la narratrice évoque des expériences traumatiques telles que l’infanticide, le suicide et l’exil, Ferreri et Aiello passent en revue, d’une manière savante et subtile en même temps, les questions essentielles qui traversent l’écriture d’Alcoba où le geste de la traduction, la langue maternelle et la matière des histoires occupent une place prépondérante. Nous inaugurons la section Éventail, où nous voudrions, par le biais des recensions ou des comptes rendus, aérer et diffuser des publications de recherche ou de création proches des intérêts et des perspectives qui animent notre revue. En ce sens, nous publions l’intéressante et complète recension de Martine Renouprez de l’Université de Cadix (Espagne) sur le livre de Laurence Hansen-Love (2022), Planète en ébullition. Écologie, féminisme et responsabilité. Notre revue commence à décoller, à être indexée, répertoriée, présente un peu partout dans le monde grâce au grand intérêt démontré particulièrement par les chercheur·e·s africain·e·s. Un grand merci à vous. Bonne lecture et rendez-vous en juin 2023 pour questionner les « frontières » dans un Dossier intitulé LIMES. Sol invictus.
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Stankovic, Vlada. "Novelisim Konstantin, Mihailo V i rod Paflagonaca". Zbornik radova Vizantoloskog instituta, n. 40 (2003): 27–48. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0340027s.

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Abstract (sommario):
La lign?e des Paphlagoniens, leur conqu?te de la couronne imp?riale, mais aussi leur destruction rapide et totale, repr?sentaient un ph?nom?ne unique dans l'histoire de Byzance du Xle si?cle. Depuis leur premi?re apparition dans les sources byzantines, jusqu'au d?clin final de la famille en 1042, ce n'est qu'une dizaine d'ann?es plus tard, pendant lesquelles les membres de la branche des Paphlagoniens avaient r?ussi ? se soumettre toute une administration de l'Empire, et gr?ce ? la solidarit? familiale, ? parvenir ? une ?norme richesse. Ils ?taient aussi sp?cifiques par le fait qu'ils repr?sentaient un genos clos, une ?lite autosuffisante, les Paphlagoniens par leur politique ont indiqu? l'importance des relations familiales dans l'Empire qui apr?s la mort de Basile II et Constantin VIII ?tait rentr? dans une longue lutte pour la conqu?te de la couronne imp?riale, mais aussi pour la l?gitimit? souveraine qui avait ?t? requise dans la relation avec les membres f?minines de la dynastie mac?donienne, Zo? et Theodora. Le r?gne des Paphlagoniens a ?t? interrompu pendant les r?bellions ? Constantinople en avril 1042, lorsque Michel V a ?t? chass? du tr?ne et aveugl? avec son oncle - le fr?re de sa m?re - le nob?lissime Constantin. La relation de Michel V le Calfat avec le nob?lissime Constantin, leur coop?ration et discordes mutuelles avec l'autre partie de la famille des Paphlagoniens ? la t?te de laquelle se trouvait Jean Orphanotrophe, repr?sentaient le point de d?part du pr?sent ouvrage. Plus pr?cis?ment, la circonstance que Michel V se soit vivement confront? aux membres de la famille des Paphlagoniens, ? laquelle lui-m?me appartenait par la ligne f?minine, imposait une relecture et une nouvelle interpr?tation des sources, afin de tenter de d?passer leurs donn?es contradictoires. Parmi les sources qui d?crivent les ?v?nements depuis le r?gne de Romain III Argyros (1028-1034) lorsque les Paphlagoniens apparaissent pour la premi?re fois dans les sources et lorsque d?bute leur apog?e, jusqu'au d?clin de toute la famille en 1042, l'une des plus importantes est aussi celle de Jean Skylitz?s. Cependant, c'est aussi la plus probl?matique, c'est-?-dire sa d?claration et ses donn?es divergent au premier abord m?me assez visiblement - des donn?es de Michel Psellos Jean Zonaras ou Michel Attaliate. Une lecture plus d?taill?e de Skylitz?s apporte sa d?claration en harmonie, avant tout avec certains d?tails uniques que nous transmet Michel Psellos, mais aussi avec l'image compl?te de l'expansion, du r?gne et du d?clin de la famille de Paphlagoniens. En premier lieu, Skylitz?s souligne l'importance des eunuques influents de Constantin VIII, qui avaient eu un grand r?le ?galement dans la venue au pouvoir de Michel IV, en 1034, de Michel V, en d?cembre 1041, mais aussi dans sa destitution seulement quatre mois plus tard. Le cercle de personnes influents dans la cour de Constantin VIII, a ?t? partiellement repouss? d?j? par la politique familiale de Romain Argyros, ? moins qu'ils ne soient pass?s dans le clan de ce basileus aristocrate, comme cela a ?t? le cas avec l'eunuque Sym?on (pendant le r?gne de Romain, il ?tait le domestique des scholes d'Orient et le pr?tovestiaire qui avait aid? l'ancien ?parque de Constantinople ? acc?der au tr?ne imp?rial). Insatisfait par le r?gne de Romain Argyros, les courtisans influents de la cour de Constantin VIII avaient tent? de voir en la famille des Paphlagoniens une mani?re de reprendre leurs anciennes positions et de reconqu?rir leur ancienne influence. Dirig?s par ces id?es, et jouissant des faveurs et de la confiance de l'imp?ratrice Zo?, sur laquelle ils exer?aient une grande influence, avec son aide ? elle, avec l'Orphanotrophe, ils ont ramen? Michel IV au pouvoir. Jean Skylitz?s et encore plus explicitement Jean Zonaras soulignent leur retour dans le palais imp?rial apr?s la mort de Romain Argyros, c'est-?-dire leur complicit? dans la venueau tr?ne de Michel. D?s la conqu?te du pouvoir, les Paphlagoniens se sont charg? ? placer les membres de leur genos aux plus importantes positions, afin de repousser l'influence des assistants de Romain Argyros, mais aussi les puissants du cercle de Zo?. C'est ainsi que la suite de la cour de l'imp?ratrice Zo? a ?t? remplac?, suite que maintenant ? la place de ses fid?les servantes repr?sentaient les membres f?minines de la famille des Paphlagoniens, les cousines de Michel IV et de l'Orphanotrophe. Pour le duc d'Antioche ? la place de Th?ophylacte Dalass?ne a ?t? plac? le troisi?me fr?re par a?nesse Nik?tas, et lorsque ce dernier est mort, cette m?me ann?e 1034, il a ?t? remplac? par le fr?re suivant Constantin, alors que le plus jeune Georges ?tait devenu pr?tovestiaire ? la place de l'eunuque Sym?on. La commande militaire ? l'ouest avait ?t? confi?e par les Paphlagoniens ? leurs cousins par ligne f?minine: leur beau-fr?re le patrice Etienne Calfat, ?tait le commandant de la flotte, et en 1040, le commandant de Th?ssalonique ?tait le patrice Constantin - vraisemblablement le fils d'Etienne Calfat et le fr?re germain de Michel V. D'une fa?on similaire, les Paphlagoniens propageaient ?galement leur influence dans l'?glise. Comme Romain III Argyros, eux aussi faisaient venir sur les chaires de mitropolites leurs cousins (Antoine Pahys ? Nicom?die), s'attiraient les faveurs des anciens membres du clan de Romain Argyros dans la tentative de faire venir l'Orphanotrophe sur le tr?ne patriarcal (D?m?trios de Kyzikos), ou pla?aient des personnes proches ? eux le plus souvent originaires de Paphlagonie (L?on, l'archev?que de Bulgarie voir aussi l'eunuque Constantin Fagitz?s, Paphlagonien de naissance et membre de leur clan). D?s 1034, probablement pendant la premi?re ann?e de leur r?gne, les fr?res Paphlagoniens ont fait de leur mieux afin d'assurer l'h?ritage de la couronne dans le cadre de leur famille. Le fils d'Etienne Calfat et de leur soeur Maria, Michel, a ?t? proclam? c?sar, comme celui qui h?riterait Michel IV, puisque le seul fr?re qui n'avait pas ?t? eunuque Nik?tas, ?tait mort d?j? en cette ann?e 1034. Pourtant, ce qui manque chez Skylitz?s, Zonaras et Attaliate, est compl?t? par les donn?es de Michel Psellos - de la Chronographie, mais aussi d'un discours du d?but du r?gne de Constantin Monomaque o? Psellos avait donn? un court histoire de l'Empire et des empereurs depuis Basile II jusqu'? Monomaque. Dans les deux lieux Psellos mentionne que Jean l'Orphanotrophe, rapidement avoir s'?tre brouill? avec son neveu Michel Calfat, avait tent? dans le cadre de sa famille ? retrouver nouvel h?ritier de la couronne. Les donn?es des autres ?crivains confirment la querelle de Michel IV et de l'Orphanotrophe avec leur neveu mais aucun d'eux ne l'explique de plus pr?s et ce ne sont que les allusions de Psellos dans ce cas-l?, plut?t claires, qui contribuent ? une meilleure consid?ration des relations dans la famille des Paphlagoniens mais aussi dans le sommet-m?me de l'?tat. Ce n'est qu'apr?s comparaison de leurs donn?es que nous pouvons avoir une id?e plus claire sur les ?v?nements qui se sont d?roul?s de 1034 jusqu'? 1042: d?s la prise du pouvoir, Michel IV et l'Orphanotrophe proclament leur neveu Michel c?sar; un peu plus tard, ils renoncent ? ce dessein, en interdisant ? Michel Calfat m?me d'acc?der au palais; en cherchant un nouvel h?ritier appartenant ? leur lign?e, ils se retournent vers le fr?re de Michel Calfat, Constantin, commandant de Th?ssalonique en 1040, qui avec succ?s avait fait la guerre avec les Bulgares et a re?u le haut titre de magistros; Michel Calfat retrouve le soutien pour la lutte contre l'Orphanotrophe dans le cadre de sa lign?e - ? son c?t? se trouvent les deux plus jeunes fr?res des Paphlagoniens Constantin et Georges apr?s la mort de Michel IV, ils r?ussissent ? repousser l'Orphanotrophe et ? obtenir un accord avec l'imp?ratrice Zo? et son entourage -apr?s quoi Zo? adopte Michel et il devient basileus; Michel V r?gle tout d'abord les comptes avec les adversaires au sein de sa lign?e tandis qu'? son oncle il attribue le haut titre de nob?lissime. Apr?s cela ils se l?vent ouvertement contre l'imp?ratrice Zo?; apr?s avoir chass? Zo? une r?volte ?clate ? Constantinople, ? la t?te de cette r?volte se trouvent les puissants de l'?poque de Constantin VIII, repouss?s par les politiques familiales de Romain Argyros et des Paphlagoniens. Ils tirent de son couvent la princesse Theodora, la proclament imp?ratrice et, m?fiants envers Zo? ils cr?vent les yeux ? Michel V et au nob?lissime Constantin. Craignant de confier le pouvoir ? l'imp?ratrice Zo? - dont les accords politiques leur ont caus? la perte de leurs positions - ils r?ussissent ? r?aliser leur influence ? travers le r?gne commun des deux s?urs; apr?s avoir renvers? les Paphlagoniens, les organisateurs du soul?vement gagnent de nouveau les plus hauts rangs dans l'arm?e: Nicolas, l'eunuque le plus puissant de Constantin VIII devient de nouveau le domestique des scholes d'Orient, Constantin Kabasilas, substitu? au tout d?but du r?gne des Paphlagoniens, devient le domestique des scholes d'Occident. Le nob?lissime Constantin, que Michel Attaliate surnomme ? tort le patradelps?z de Michel V, a ?t? renvoy? ? Constantinople uniquement dans le but de d?couvrir l'abri du tr?sor pr?s de son oikos pr?s des Saints Ap?tres o? ont ?t? dissimul?s, selon Skylitz?s presque 1700 kilogrammes d'or.
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Boulard, Stéphanie. "Double enquête sur La Fille aux yeux d’or". Paroles gelées 20, n. 2 (2003). http://dx.doi.org/10.5070/pg7202003140.

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Le Doussal, Allison. "Décrire et laisser imaginer : l’ekphrasis comme pont entre image et écrit, l’exemple de la Description du mariage de la fille du sultan Ahmet (ms. Athon. Pantel. 823)". Motifs, n. 4 (1 gennaio 2021). http://dx.doi.org/10.56078/motifs.519.

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Abstract (sommario):
Cet article propose une lecture inédite d’un manuscrit grec, étudié pour la première fois, conservé au Mont Athos et datant probablement du xviiie siècle. Nous allons montrer comment l’auteur, en puisant dans des procédés de rhétorique remontant à l’Antiquité, décrit et cherche à faire vivre au destinataire cet événement majeur du début du xviiie siècle ottoman : le mariage de la fille du sultan Ahmed III. Cette description ou ekphrasis présente, de façon originale, plusieurs formes rhétoriques imbriquées, comme des digressions auxquelles l’auteur donne une importance particulière et qui enrichissent le récit dans lequel se tissent des liens entre le texte et l’image. Elle s’appuie pour ce faire sur un élément fondamental et constitutif de cet exercice littéraire : l’enargeia, qui donne une grande vivacité au récit. Ce genre rhétorique fait également appel aux sentiments ou souvenirs du destinataire comme pour mieux intégrer celui-ci au récit et faire naître une description imagée sous ses yeux.

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