Letteratura scientifica selezionata sul tema "Intrants intermédiaires"

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Articoli di riviste sul tema "Intrants intermédiaires":

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PIOT-LEPETIT, I., e P. RAINELLI. "Détermination des marges de manoeuvre des élevages à partir de la mesure des inefficacités". INRAE Productions Animales 9, n. 5 (20 ottobre 1996): 367–77. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.5.4076.

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Abstract (sommario):
Après une brève revue de la littérature économique sur la notion d’efficacité et sur son intérêt pour la gestion, cet article définit l’inefficacité technique comme la distance séparant tout niveau de production observé du niveau optimal qui serait obtenu si tous les intrants étaient utilisés de manière techniquement efficace. L’utilisation d’une méthodologie non paramétrique, appelée Data Envelopment Analysis (DEA), basée sur des techniques de programmation linéaire, permet la mesure de l’efficacité technique de trois échantillons du RICA (Réseau d’Information Comptable Agricole) pour l’année 1991 de producteurs de porcs ayant des orientations différentes : porcs seuls, porcs et herbivores ou granivores (porcs et volailles). Les premiers résultats attribuent une plus grande efficacité moyenne aux producteurs de porcs. Ces derniers sont en général moins âgés et mieux formés que les producteurs des deux autres groupes. Ce résultat apparaît lié à la plus grande homogénéité des techniques de production mises en oeuvre et à la prépondérance des facteurs variables par rapport aux facteurs fixes dans le processus de production. Pour les producteurs d’herbivores, les plus et les moins efficaces ont plutôt une orientation laitière. La différence de performance s’explique par une meilleure utilisation des consommations intermédiaires chez les plus efficaces. Enfin, le groupe de producteurs de granivores se rapproche de celui des éleveurs de porcs mais présente des caractéristiques moins marquées. Sur un plan environnemental, une compatibilité entre amélioration de l’efficacité technique et réduction des rejets azotés semble possible seulement chez les éleveurs d’herbivores et de granivores. Quant aux marges de manoeuvre pour améliorer l’efficacité technique des producteurs, elles concernent à court terme principalement les charges liées à l’activité de production de végétaux et à plus long terme le facteur terre pour les exploitations hors sol et le matériel pour celles élevant des herbivores. Enfin, la mesure de l’efficacité d’échelle met en évidence des possibilités d’économies de coût suite à une modification de l’échelle de production pour plus de 52 % des élevages quel que soit l’échantillon considéré.
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Guiderdoni-Jourdain, Karine, e Ewan Oiry. "Expliquer les usages d'un Intranet RH par la hiérarchie intermédiaire ? L'apport de la notion « d'univers local »". Recherches en Sciences de Gestion 96, n. 3 (2013): 111. http://dx.doi.org/10.3917/resg.096.0111.

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Garon, Jean-Denis, e Alain Paquet. "LES ENJEUX D’EFFICIENCE ET LA FISCALITÉ". Articles 93, n. 3 (29 marzo 2019): 297–337. http://dx.doi.org/10.7202/1058424ar.

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Abstract (sommario):
Cet article passe principalement en revue différentes questions liées aux impacts de la fiscalité sur l’efficience et discute de propositions clés de la Commission d’examen sur la fiscalité québécoise (CEFQ). Tout en faisant référence à des propositions de réformes majeures à l’étranger, à l’aide d’une recension de la littérature, il présente les grands principes économiques sur lesquels doit reposer une révision du système fiscal. Il fait notamment ressortir le rôle des taux effectifs marginaux d’imposition et différents aspects à considérer lors d’une restructuration d’une taxe sur la consommation. Ceux-ci incluent le mode de prélèvement fiscal qui peut différer d’un prélèvement d’une taxe indirecte sur la valeur ajoutée, de la pertinence ou non d’appliquer un taux uniforme,etc.D’autres questions sont aussi abordées telles que les taxes sur les revenus du travail et du capital, de même que la taxation environnementale.En Grande-Bretagne en 1978, le rapport Meade faisait émerger plusieurs idées importantes telles que : privilégier la taxation du revenu dépensé (consommation) à un taux uniforme pour détaxer l’épargne, réduire les taux de taxation statutaire sur le revenu, abolir des échappatoires fiscales et réformer l’imposition sur les héritages. En 2011, le rapport Mirrlees s’est concentré sur la réduction des effets distortifs de la fiscalité au Royaume-Uni en maintenant les recettes du gouvernement constantes et en affectant le moins possible la redistribution des revenus. Le rapport recommande un impôt sur le revenu progressif et transparent sur le revenu des particuliers. Par ailleurs, quant à l’impôt sur les rendements du capital, le système fiscal devrait être neutre en évitant d’influencer le calendrier et la nature des investissements.Des éléments de théories viennent appuyer les arguments de Meade et Mirrlees. Le modèle néoclassique canonique permet de tirer plusieurs conclusions quant aux effets de la fiscalité sur l’efficacité économique. Notamment, il est préférable que les taux marginaux de taxation varient peu à travers le temps, car de trop grandes variations pousseront les ménages à modifier leurs décisions intertemporelles quant à leur consommation et leur travail à travers le temps, occasionnant ainsi des pertes sèches dans l’économie. Les taxes sur le revenu du travail et sur la consommation vont impacter sur les choix de consommation et de travail des ménages. Les taxes sur le revenu du capital ont à la fois des impacts sur la capacité de production future et les choix intertemporels des ménages.Plusieurs considérations doivent être prises en compte pour analyser la taxation des rendements du capital, qui tendent à décourager l’investissement privé. Premièrement, le gouvernement doit être intertemporellement cohérent, notamment si on veut éviter le recours à une taxe confiscatoire sur l’ensemble du revenu du capital. Deuxièmement, une taxe sur les rendements du capital est une taxe sur la consommation future. Troisièmement, pour des biens intermédiaires produits en situation de concurrence imparfaite, tout comme le mark-up inhérent au pouvoir de marché des firmes, l’impact d’une taxe sur revenu du capital sur l’investissement peut être accentué. Des considérations similaires s’appliquent également à l’investissement en capital humain. Par ailleurs, en présence d’agents hétérogènes soumis à des risques spécifiques non diversifiables, une taxe sur les rendements du capital pourrait être optimale afin d’éviter une épargne excessive.Les agents économiques peuvent être très sensibles à une hausse de la taxation des revenus du travail. Selon les cas, elle peut les pousser à réduire le nombre d’heures travaillées (à la marge intensive), à quitter le marché de l’emploi (à la marge extensive), à rechercher des formes de rémunération du travail non imposées ou moins imposées, voire à adopter des stratagèmes d’évitement fiscal, ou carrément se tourner vers l’économie clandestine. Tout en reconnaissant l’existence d’un débat sur l’ampleur empirique de chacun de ces effets, plusieurs travaux récents suggèrent que les impacts macroéconomiques sur les marges intensive et extensive peuvent être plus importants qu’on le pensait, surtout en fonction de l’âge et de la situation familiale des ménages. En outre, un impact négatif significatif de l’imposition des revenus du travail se ferait sentir sur l’accumulation de capital humain.D’autre part, en raison de l’interaction et du calcul applicable aux multiples crédits d’impôt existants de différents niveaux de gouvernement, les taux effectifs marginaux d’imposition sur le revenu du travail, notamment au Québec, sont souvent très élevés pour des travailleurs à faibles et moyens revenus, avec des effets désincitatifs vraisemblablement significatifs sur l’emploi. Un bouclier fiscal, dans la foulée d’une des recommandations de la CEFQ, peut compenser, dans une certaine mesure, la non-éligibilité partielle ou totale d’aides gouvernementales survenant avec une hausse du revenu personnel. Cette question mérite que les gouvernements y accordent une attention soutenue.La réforme proposée par la CEFQ a pour objectif de réduire les distorsions économiques causées par le système fiscal. La CEFQ propose notamment de taxer davantage la consommation et de réduire la taxation des intrants. Elle privilégie la TVQ à taux uniforme en tant que principal moyen de taxer la consommation, tout en préservant des biens détaxés. Pourtant, Boadway et Pestieau (2003) énumèrent des situations où il serait optimal de différencier les taux de taxation sur les biens, même en présence d’un impôt direct linéaire. Par souci d’équité, il est toutefois nécessaire de bonifier le crédit d’impôt pour solidarité pour les ménages à faibles revenus. Ces différentes questions font l’objet d’une réflexion approfondie.Les taxes environnementales viennent, avant toute chose, corriger les externalités négatives générées par l’activité économique. À l’instar des autres formes de taxation, elles génèrent tout de même des distorsions, qui réduisent l’assiette fiscale. De plus, une littérature émergente sur les changements technologiques « dirigés » montre que la combinaison de taxes sur le carbone et de subventions de recherche pour stimuler l’innovation et le développement de technologies propres peut être socialement optimale, lorsque des technologies propres et polluantes sont en concurrence.Réformer la fiscalité est une tâche de grande ampleur. De telles réformes affectent le quotidien des citoyens et suscitent des débats et les oppositions de certains groupes et personnes à une telle démarche. Pour augmenter les chances de succès d’une telle entreprise, et notamment sa faisabilité politique, le Québec aurait avantage à s’inspirer d’expériences ailleurs dans le monde. La proposition de réforme fiscale doit se fonder sur la science et sur les bonnes pratiques suggérées à la fois par les enseignements microéconomiques et macroéconomiques de la théorie de la taxation, ainsi que ceux tirés de la recherche empirique. Sans atteindre la perfection, tout en tenant compte des impondérables et des exigences démocratiques, un système fiscal peut être plus performant sur le plan de l’efficacité et de l’équité à la condition qu’un gouvernement fasse preuve de vision, de profondeur, de transparence et de volonté.
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DONNARS, C., P. CELLIER e J. L. PEYRAUD. "Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages". INRAE Productions Animales 25, n. 4 (2 ottobre 2012): 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

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Abstract (sommario):
Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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Bodart, Vincent, e Sébastien Fontenay. "Numéro 133 - juin 2017". Regards économiques, 12 ottobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.14363.

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Abstract (sommario):
Alors que, depuis 1996, la compétitivité de la Belgique fait l’objet d’une attention toute particulière, nous montrons dans ce numéro de Regards économiques que son impact sur la dynamique des exportations de la Belgique est effectivement déterminant, tout en étant cependant limité. La compétitivité de la Belgique est un sujet souvent au-devant de l’actualité, en raison des discussions (parfois âpres) qui ont lieu à son sujet entre les partenaires sociaux. La Belgique étant une petite économie ouverte, son commerce extérieur a effectivement un impact considérable sur ses performances économiques et l’évolution de sa situation conjoncturelle. La compétitivité et les performances à l’exportation de la Belgique constituent ainsi l’objet de l’étude qui est présentée dans ce numéro de Regards économiques. Notre étude vise notamment à examiner si, comment cela est souvent présupposé, la compétitivité est un facteur déterminant de l’évolution des exportations belges. Notre étude confirme que la compétitivité joue effectivement un rôle déterminant dans l’évolution des exportations belges de biens et services. Notre étude conclut également que les effets de compétitivité se marquent davantage à travers le prix relatif des exportations belges par rapport à celui de ses concurrents étrangers plutôt qu’à travers le niveau relatif du coût salarial. Comme déjà suggéré par d’autres études, cela indique que la sauvegarde de la compétitivité implique de veiller à contrôler l’évolution de tous les facteurs qui interviennent dans la formation des prix à l’exportation (coût unitaire du travail, prix des intrants intermédiaires, marge de profit) et de ne pas se concentrer uniquement sur le contrôle des coûts salariaux. Bien que le facteur «compétitivité» soit déterminant, il apparaît toutefois qu’il n’a qu’un rôle limité dans l’évolution des exportations de la Belgique. La plus grande partie de l’évolution des exportations est en effet déterminée par l’évolution des marchés potentiels à l’exportation de la Belgique, c’est-à-dire par la demande étrangère qui résulte de la croissance économique des pays vers lesquels les entreprises belges exportent. Nous en concluons que, dans un contexte de faible conjoncture, promouvoir la modération salariale pourrait ne pas avoir les bienfaits attendus sur la croissance économique s’il s’avère que l’impact positif de la modération salariale sur les exportations n’est pas suffisamment important pour compenser son impact négatif sur la consommation des ménages. Alors que les discussions politiques sur les faiblesses de la Belgique en matière d’exportation tournent essentiellement autour de la compétitivité, notre analyse tend à suggérer que le principal problème est avant tout un manque de dynamisme des exportations. En effet, alors que la demande étrangère est le principal déterminant de la croissance des exportations, il apparaît que, pour des raisons autres que celles liées à la compétitivité, tout accroissement de la demande mondiale ne se répercute qu’à environ 70 % dans la croissance des exportations. Comme certaines études l’ont suggéré, la réponse à ce problème se situe en partie dans un meilleur positionnement des exportations en matière de produits et de destination géographique. Plus généralement, cela implique, comme le soulignait la Banque Nationale de Belgique dans son Rapport annuel 2012, de renforcer «l’attractivité de l’économie et son potentiel d’innovation et d’adaptation, à travers la quantité et la qualité du capital humain, la qualité, le design et la différenciation de produits offerts, le marketing de ces produits et l’organisation des processus de production».
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Bodart, Vincent, e Sébastien Fontenay. "Numéro 133 - juin 2017". Regards économiques, 12 ottobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2017.06.01.

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Abstract (sommario):
Alors que, depuis 1996, la compétitivité de la Belgique fait l’objet d’une attention toute particulière, nous montrons dans ce numéro de Regards économiques que son impact sur la dynamique des exportations de la Belgique est effectivement déterminant, tout en étant cependant limité. La compétitivité de la Belgique est un sujet souvent au-devant de l’actualité, en raison des discussions (parfois âpres) qui ont lieu à son sujet entre les partenaires sociaux. La Belgique étant une petite économie ouverte, son commerce extérieur a effectivement un impact considérable sur ses performances économiques et l’évolution de sa situation conjoncturelle. La compétitivité et les performances à l’exportation de la Belgique constituent ainsi l’objet de l’étude qui est présentée dans ce numéro de Regards économiques. Notre étude vise notamment à examiner si, comment cela est souvent présupposé, la compétitivité est un facteur déterminant de l’évolution des exportations belges. Notre étude confirme que la compétitivité joue effectivement un rôle déterminant dans l’évolution des exportations belges de biens et services. Notre étude conclut également que les effets de compétitivité se marquent davantage à travers le prix relatif des exportations belges par rapport à celui de ses concurrents étrangers plutôt qu’à travers le niveau relatif du coût salarial. Comme déjà suggéré par d’autres études, cela indique que la sauvegarde de la compétitivité implique de veiller à contrôler l’évolution de tous les facteurs qui interviennent dans la formation des prix à l’exportation (coût unitaire du travail, prix des intrants intermédiaires, marge de profit) et de ne pas se concentrer uniquement sur le contrôle des coûts salariaux. Bien que le facteur «compétitivité» soit déterminant, il apparaît toutefois qu’il n’a qu’un rôle limité dans l’évolution des exportations de la Belgique. La plus grande partie de l’évolution des exportations est en effet déterminée par l’évolution des marchés potentiels à l’exportation de la Belgique, c’est-à-dire par la demande étrangère qui résulte de la croissance économique des pays vers lesquels les entreprises belges exportent. Nous en concluons que, dans un contexte de faible conjoncture, promouvoir la modération salariale pourrait ne pas avoir les bienfaits attendus sur la croissance économique s’il s’avère que l’impact positif de la modération salariale sur les exportations n’est pas suffisamment important pour compenser son impact négatif sur la consommation des ménages. Alors que les discussions politiques sur les faiblesses de la Belgique en matière d’exportation tournent essentiellement autour de la compétitivité, notre analyse tend à suggérer que le principal problème est avant tout un manque de dynamisme des exportations. En effet, alors que la demande étrangère est le principal déterminant de la croissance des exportations, il apparaît que, pour des raisons autres que celles liées à la compétitivité, tout accroissement de la demande mondiale ne se répercute qu’à environ 70 % dans la croissance des exportations. Comme certaines études l’ont suggéré, la réponse à ce problème se situe en partie dans un meilleur positionnement des exportations en matière de produits et de destination géographique. Plus généralement, cela implique, comme le soulignait la Banque Nationale de Belgique dans son Rapport annuel 2012, de renforcer «l’attractivité de l’économie et son potentiel d’innovation et d’adaptation, à travers la quantité et la qualité du capital humain, la qualité, le design et la différenciation de produits offerts, le marketing de ces produits et l’organisation des processus de production».

Tesi sul tema "Intrants intermédiaires":

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Guedidi, Insaf. "Global value chains and deep trade agreements". Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2022. http://www.theses.fr/2022PA01E026.

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Abstract (sommario):
Ces dernières années, le phénomène de production de biens « Made in the World » a considérablement augmenté, entraînant une transformation économique progressive de la façon dont nous comprenons les processus de production (Antràs 2020). La présente thèse considère une variété de questions de recherche : La connectivité maritime et les procédures frontalières affectent-elles de la même manière le commerce des biens finaux et le commerce des intrants intermédiaires ? Quelle est l’importance de l’adoption d’Internet pour la participation aux Chaînes de Valeur Mondiales (CVM) ? Quel est l’impact du Taux de Change Effectif Réel (TCER) sur le commerce international et, plus précisément, sur le commerce des CVM ? Comment la participation aux CVM affecte-t-elle la pollution de l’air et quelle est l’importance des dispositions environnementales dans les accords commerciaux lors de l’analyse des implications environnementales des CVM ? Cette thèse vise à définir et d’analyser deux moteurs (dans le chapitre 2) et deux conséquences (dans les chapitres 3 et 4) de la participation aux CVM. Le chapitre 2 examine l’effet de la facilitation du commerce sur les échanges, plus particulièrement sur les Réseaux de Production Mondiaux (RPM). Il montre que la connectivité maritime est importante pour le commerce dans le cadre des RPM. En particulier, l’exportation de biens intermédiaires est fortement encouragée par des routes maritimes plus efficaces qui relient les différents acteurs des RPM. En outre, l’expédition de marchandises sans retard, des coûts réduits et des procédures simplifiées sont des éléments clés de la participation aux RPM. En outre, le chapitre 2 analyse l’impact d’Internet sur les CVM en Afrique. Il étudie l’effet de l’adoption d’Internet sur la participation en amont et en aval dans les CVM au niveau national et au niveau de l’entreprise. Les résultats montrent que l’utilisation d’Internet et l’infrastructure Internet sont importantes pour l’Afrique en termes de participation future aux CVM. Le chapitre soutient que les pays et les entreprises africains doivent améliorer l’infrastructure Internet afin de tirer le meilleur parti de l’intégration dans les CVM. Un niveau élevé d’intégration dans les CVM peut changer la façon dont nous interprétons l’impact du TCER sur les exportations brutes et le commerce des CVM en Tunisie. Ainsi, le chapitre 3 montre l’importance de calculer une nouvelle mesure du TCER basée sur les termes de la valeur ajoutée sectorielle pour tenir compte de l’importance croissante des CVM. Les résultats montrent que les effets du TCER sur le commerce des CVM diffèrent de son impact sur le commerce traditionnel. On constate que la part de la valeur ajoutée étrangère dans les exportations brutes atténue la réponse du TCER aux exportations. De plus, la prise en compte de l’hétérogénéité sectorielle est importante pour déterminer la compétitivité commerciale car les secteurs tunisiens participent aux CVM à différents niveaux. Le chapitre 4 se concentre sur la relation entre les émissions de polluants atmosphériques, les dispositions environnementales des accords commerciaux régionaux et les CVM. En examinant les effets de la participation aux CVM sur la qualité de l’environnement, le chapitre 4 a trouvé une relation en forme de U inversé entre le niveau de participation aux CVM et les émissions de polluants atmosphériques. Le chapitre prouve que la signature de plus d’accords commerciaux avec des lois environnementales réduit la pollution. Cependant, l’inclusion de dispositions environnementales dans les accords commerciaux ne garantit pas la qualité de l’environnement dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA)
In recent years, the phenomenon of producing “Made in the World” goods has increased dramatically, leading to a progressive economic transformation of the way we understand production processes (Antràs 2020). The present thesis considers a variety of research questions: Do maritime connectivity and border procedures affect the same way trade in final goods and trade in intermediate inputs? How important it is to adopt internet to Global Value Chains (GVCs) participation? What is the impact of the Real Effective Exchange Rate (REER) on international trade and, specifically, on GVC trade? How does GVC participation affect air pollution and what is the importance of environmental provisions in trade agreements when analyzing the environmental implications of GVCs? This thesis aims to define and analyze two drivers (in chapter 2) and two consequences (in chapters 3 and 4) of participation in GVCs. Chapter 2 examines the effect of trade facilitation on trade, more particularly on Global Production Networks (GPNs). It shows that maritime connectivity matters for trade under GPNs. In particular, exporting intermediate goods is highly encouraged by more efficient maritime routes which connect various participants of GPNs. Furthermore, shipping goods without delays, low costs, and simpler procedures are key elements of participation in GPNs. In addition, Chapter 2 analyses the impact of the internet on GVCs in Africa. It investigates the effect of internet adoption on forward participation and backward participation in GVCs at the country level and the firm level. Results show that internet use and internet infrastructure are important for Africa in terms of forward GVC participation. The chapter argues that African countries and firms need to improve internet infrastructure to make the best of integration into GVCs. High integration levels in GVCs can change the way we interpret REER response on gross exports and GVC trade in Tunisia. Thus, chapter 3 shows the importance of calculating a new measure of REER based on the sectoral value-added terms to account for the rising importance of GVCs. Results show that REER effects on GVC trade differ from its impact on traditional trade. It is found that foreign value-added (FVA) share in gross exports dampens the response of REER to exports. Moreover, accounting for sectoral heterogeneity is important to determine trade competitiveness because Tunisian sectors take part in GVCs at different levels. Chapter 4 focuses on the relationship between air pollutant emissions, environmental provisions in Regional Trade Agreements, and GVCs. Examining the effects of participation in GVCs on environmental quality, chapter 4 found an inverted U-shaped relation between the level of participation in GVCs and air pollutant emissions. The chapter proves that signing more trade agreements with environmental laws reduces pollution. However, including environmental provisions in trade agreements does not guarantee environmental quality in the Middle East and North Africa (MENA) region

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