Letteratura scientifica selezionata sul tema "Idéologie – Écologie"

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Articoli di riviste sul tema "Idéologie – Écologie":

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Kalamba Mupoyi, Augustin. "L’écologie théo-logique, une prevention aux derives de l’ecologisme contemporain." Cuadernos Isidorianum 12 (30 dicembre 2021): 89–114. http://dx.doi.org/10.46543/cuadisid.2112.1006.

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Abstract (sommario):
La recherche de la solution à la crise écologique mobilise tout le monde. L’écologie scientifique a éveillé la conscience de l’homme sur le danger qui le guette s’il continue à se comporter en potentat et despote envers la création. Cependant, dans une approche très revendicative, l’écologie scientifique s’est rapidement convertie en un écologisme qui s’apparente à une idéologie verte. Ne serait-ce pas important de revisiter les bases de cet écologisme afin de lui éviter de devenir un nouveau totalitarisme ? A cet question, l’auteur répond en proposant une écologie théologique qui serait pour lui une prévention aux dérives de l’écologisme contemporain.
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Piat, Alexis. "Deux manières d’en finir avec l’homme : transhumanisme et écologie". Le Philosophoire 60, n. 2 (8 dicembre 2023): 43–67. http://dx.doi.org/10.3917/phoir.060.0043.

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Abstract (sommario):
Le transhumanisme passe pour ouvrir d’innombrables possibles à l’humanité. Pourtant, il apparaît d’abord comme l’expression idéologique de l’approfondissement des dynamiques de domination qui traversent le capitalisme néolibéral. Ce constat pourrait conduire à une réaffirmation de l’humanisme comme à la promotion d’un transhumanisme libéré du capital. Ces deux perspectives apparaissent néanmoins vaines : la première parce qu’elle défend un cadre idéologique que la dynamique du capitalisme ne cesse de saper, la seconde parce qu’elle n’aperçoit pas que le transhumanisme est indissociable des tendances destructrices du capitalisme. La réponse au défi transhumaniste doit donc être cherchée du côté d’une radicalisation de l’anti-humanisme, dans l’écologie politique.
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Amberger, Alexander, e Jean Quétier. "Sur le rapport entre écologie et marxisme en RDA". Actuel Marx 74, n. 2 (2 agosto 2023): 71–88. http://dx.doi.org/10.3917/amx.074.0071.

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Abstract (sommario):
Après le rapport du « Club de Rome », le débat écologique a acquis une très grande audience à l’Ouest. Les « limites de la croissance » étaient discutées publiquement dans de nombreux ouvrages à succès et faisaient l’objet de débats dans le champ politique, culturel, économique et social. Un mouvement environnemental s’est constitué qui, par la suite, a donné naissance aux partis verts. En RDA, en revanche, la croissance n’a pas fait l’objet de discussions à cette époque. Le parti-État qu’était le SED était focalisé sur l’idée d’une croissance extensive et d’une consommation financée par la dette. L’objectif était de dépasser l’Ouest sur le plan économique. La « crise écologique » était donc perçue comme une arme idéologique contre la croissance du socialisme réel. À la fin des années 1970, Rudolf Bahro, Wolfgang Harich et Robert Havemann, auteurs marxistes de RDA critiques à l’égard du système, ont élaboré des utopies écologiques orientées vers des alternatives éco-communistes. L’article présente ces utopies et leurs auteurs et esquisse les grandes lignes de la réception dont elles ont bénéficié à l’époque et aujourd’hui.
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Gandon, Anne-Line. "Il y a le ciel, le soleil… et la mère". Emulations - Revue de sciences sociales, n. 14 (16 luglio 2015): 15–28. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.014.002.

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Abstract (sommario):
À partir de thèses issues de l'anthropologie, de la psychologie, de la philosophie et de l'écologie politique, l’article se propose de penser l'articulation politique entre féminisme et écologie en mettant l'accent sur la dichotomie nature/culture. L’article explore les liens entre écoféminisme spirituel et psychanalyse lacanienne. Ces deux courants de pensée partagent en effet une même matrice idéologique : celle d'un fondement dualiste prétendument "naturel" qui régirait l'organisation sociale et psychique des individus. D'une part, la Terre-Mère-Nature, expression de la Loi immanente; d'autre part, le Ciel-Père-Culture, expression de la Loi transcendante. Ainsi, l'écoféminisme spirituel et la psychanalyse lacanienne se complèteraient plus qu’ils ne s’opposeraient. L'un et l'autre naturaliseraient les dimensions genrées et sexuées de la vie humaine, à la fois en termes d'organisation sociale et de structures psychiques. C’est ce que se propose d’étudier cet article, après une introduction historique fouillée à l’écoféminisme.
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Delannoi, Gil, e Edgar Morin. "La gauche, du XXeau XXIesiècle. Pour une double autocritique, idéologique et écologique". Communications 82, n. 1 (2008): 171. http://dx.doi.org/10.3917/commu.082.0171.

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VAILLANCOURT, Jean-Guy. "Évolution, diversité et spécificité des associations écologiques québécoises : de la contre-culture et du conservationisme à l’environnementalisme et à l’écosocialisme". Sociologie et sociétés 13, n. 1 (30 settembre 2002): 81–98. http://dx.doi.org/10.7202/001812ar.

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Abstract (sommario):
Résumé Le mouvement écologique québécois s'est développé à peu, près en même temps que les mouvements équivalents en France et aux États-Unis, et selon une dynamique semblable dans ses grandes lignes. Par ailleurs, si on examine la diversité des associations qui constituent ce mouvement, on s'aperçoit qu'elles sont quand même assez différentes sous certains aspects de celles qu'on rencontre ailleurs. Cette originalité est due en bonne partie au fait que les problèmes écologiques québécois auxquels ces associations ont à faire face sont spécifiques à l'environnement québécois, et à la situation socioéconomique, politique et idéologique dans laquelle elles évoluent.
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Bigé, Emma. "« Nous sommes la contre-nature qui se défend »". Multitudes 93, n. 4 (14 dicembre 2023): 185–90. http://dx.doi.org/10.3917/mult.093.0185.

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Abstract (sommario):
Les écologies queers sont pleines de créatures indociles, non seulement aux schémas binaires mâle/femelle, hétéro/homo, cis/trans, mais encore aux mondes compétitifs individualistes sur lesquels ces schémas sont fondés. Elles sont ainsi « la contre-nature qui se défend » d’être contre-nature , c’est-à-dire qu’elles montrent que les formes réputées déviantes du genre, de la sexualité, de la parenté et de famille, sont bien plus répandues que les sciences hétéropatriarcales n’ont bien voulu l’admettre. Mais elles sont aussi « la contre-nature qui se défend » contre les assauts du capitalisme extractiviste , en montrant le caractère idéologique des idées de prédation, de lutte pour la survie et pour la transmission du patrimoine génétique individuel. À la place, suivant les leçons de la bactériologie de Lynn Margulis et des théoriciennes queer qui s’en sont inspirées, il s’agit de penser des formes de parentés et de solidarités pour vivre et mourir sur une planète symbiotique.
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Delannoi, Gil, e Edgar Morin. "La gauche, du XXe au XXIe siècle. Pour une double auto-critique, idéologique et écologique". Communications 82, n. 1 (2007): 171–88. http://dx.doi.org/10.3406/comm.2007.2448.

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Delannoi, Gil, e Edgar Morin. "La gauche, du XXe au XXIe siècle. Pour une double auto-critique, idéologique et écologique [Dialogue avec Edgar Morin sur son parcours politique et idéologique]". Communications 82, n. 1 (2008): 171–88. http://dx.doi.org/10.3406/comm.2008.2448.

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Vibert, Stephane. "Tradition et modernité". Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.081.

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Abstract (sommario):
« Tradition » et « modernité » sont longtemps apparues, pour les sciences sociales et le sens commun, non seulement comme des notions relatives, initialement définies l’une par rapport à l’autre dans un rapport d’exclusivité mutuelle, mais plus encore, comme des qualificatifs désignant de véritables régimes d’humanité – sociétés traditionnelles et modernes. Pourtant, de l’intérieur même du champ anthropologique, de nombreuses critiques se sont régulièrement élevées à l’encontre de ce découpage trop schématique, appelant à davantage de réflexivité quant à l’usage de ces catégories englobantes. En effet, durant une majeure partie de son existence, l’anthropologie a été associée à l’étude des sociétés « primitives », ou « traditionnelles », alors que la description des sociétés « civilisées », ou « modernes », était dévolue à la sociologie. Cette distinction épousait de fait l’auto-compréhension des sociétés occidentales, dont la reconstruction évolutionniste de l’histoire de l’humanité présentait celle-ci selon une succession linéaire et nécessaire de stades indiquant les progrès de l’esprit humain, manifestes tant au niveau de l’organisation sociale, de la connaissance des phénomènes, de la morale personnelle que des réalisations matérielles et techniques. Aussi, dès la rencontre effective avec des sociétés aux langues, mœurs, croyances ou activités dissemblables, l’intérêt pour l’altérité comme différence s’est trouvé en tension avec une volonté de classification abstraite, selon une philosophie de l’histoire élaborée à partir des catégories intellectuelles propres à la trajectoire occidentale. Cela passe notamment, à partir des 18éme-19èmes siècles, par une auto-identification à la Raison universelle, seule apte à circonscrire le savoir « vrai » sur la réalité physique ou sociale, à distance de tous les préjugés enfermant l’humain dans la coutume, l’ignorance et la superstition. De cette configuration culturelle particulière (dite « post-traditionnelle »), nouveau mode de représentation du monde et de l’Homme apparu à la Renaissance et aboutissant aux Lumières, découleront tant un ensemble de processus socio-politiques définissant la « modernité » (développement scientifique et technique, révolution industrielle, État de droit, capitalisme marchand, individualisation des comportements et des valeurs, etc.) qu’une opposition globale à la « tradition » (les « survivances », en termes évolutionnistes). Ce « désenchantement du monde » – pour reprendre l’expression célèbre de Max Weber –, sera perçu à travers une dichotomie généralisée et normativement orientée, déclinée sous de multiples aspects : religion / science, immobilisme / changement, hiérarchie / égalité, conformisme / liberté, archaïsme / progrès, communauté / société, etc. Si le « grand partage » entre Nous et les Autres, entre modernité et tradition, a pu constituer un soubassement fondamental à la prime ambition empirique et positiviste du savoir anthropologique, il n’en a pas moins dès l’origine de la discipline été contesté sur bien des points. En anthropologie, l’idée d’une tradition fixe et rigide s’avère critiquée dès Malinowski, l’un des premiers à souligner la rationalité contextuelle des « primitifs » en référence à leurs règles communes de coexistence, et à récuser l’assimilation indue de la tradition à une obéissance servile et spontanée, sorte d’inertie mentale ou d’instinct groupal. Chez les Trobriandais ou ailleurs, soulignait-il, « dans des conditions normales, l’obéissance aux lois est tout au plus partielle, conditionnelle et sujette à des défaillances et (…) ce qui impose cette obéissance, ce ne sont pas des motifs aussi grossiers que la perspective du châtiment ou le respect de la tradition en général, mais un ensemble fort complexe de facteurs psychologiques et sociaux » (Malinowski, 2001 : 20). L’anthropologie, par sa mise en valeur relativiste des multiples cultures du monde, insistera alors davantage sur l’importance de la tradition dans la constitution de toute société, comme ensemble de principes, de valeurs, de pratiques, de rituels transmis de génération en génération afin d’assurer la permanence d’un monde commun, fût-ce à travers d’essentielles dynamiques de réappropriation, d’altération et de transformation, trait fondamental de toute continuité historique. Selon Jean Pouillon, « la tradition se définit – traditionnellement – comme ce qui d’un passé persiste dans le présent où elle est transmise et demeure agissante et acceptée par ceux qui la reçoivent et qui, à leur tour, au fil des générations, la transmettent » (Pouillon, 1991 : 710). En ce sens, « toute culture est traditionnelle », même si elle se conçoit comme radicalement nouvelle et en rupture totale avec le passé : son inscription dans la durée vise implicitement un « devenir-tradition ». Dès les années 1950, le courant « dynamique » de l’anthropologie britannique (Gluckman, 1956 ; Leach, 1954 ; Turner, 1957), les analyses de l’acculturation aux États-Unis (Herskovits, 1955) ou les travaux pionniers de Balandier (1955) et Bastide (1960) en France avaient montré combien les « traditions », malgré les efforts conservateurs des pouvoirs religieux et politiques afin de légitimer leur position, recelaient de potentialités discordantes, voire contestataires. A partir des années 1980, certains courants postmodernes, post-coloniaux ou féministes en anthropologie (Clifford et Marcus, 1986 ; Appadurai, 1996 ; Bhabha, 1994 ; Abu-Lughod, 1993), souvent inspirés par la French Theory des Foucault, Deleuze ou Derrida (Cusset, 2003), se sont inscrits dans cette veine afin d’élaborer une critique radicale de la perspective moderne : partant du native point of view des populations subalternes, objectivées, dépréciées et opprimées, il s’agit de dénoncer le regard implicitement colonialiste et essentialiste, qui – au nom de la science objective – avait pu les rejeter unanimement du côté de l’archaïsme et de l’arriération.. Cette reconsidération féconde de la « tradition » rejaillit alors nécessairement sur son envers relatif, la « modernité ». A partir des années 1950, suite au cataclysme totalitaire et aux puissants mouvements de décolonisation, apparaît une critique anthropologique argumentée des principes de développement et de modernisation, encore approfondie dans les années 1990 avec la fin du communisme réel en Europe et l’avènement d’une crise écologique liée à l’hégémonie du capitalisme industriel. Sous l’effet d’une « mondialisation » aux dimensions hétérogènes voire contradictoires, l’Occident semble redécouvrir les vertus des approches dites « traditionnelles » en de nombreux domaines (spiritualité, médecine, artisanat, agriculture, patrimoine, etc.), à la faveur de réseaux d’information et de communication toujours plus denses. Sans trancher sur le fait de savoir si notre époque globalisée relève encore et toujours de la modernité (seconde, avancée ou tardive), ou alors de la postmodernité (Bonny, 2004) du fait des formes hybrides ainsi produites, la remise en cause de la rationalité progressiste entendue comme « métarécit » (Lyotard, 1979) semble favoriser une compréhension plus équilibrée des « traditions vivantes », notamment des mœurs des populations autochtones ou immigrées (pluralisme culturel, tolérance religieuse, éloge de la diversité et du cosmopolitisme), même si certaines contradictions n’en apparaissent pas moins toujours prégnantes entre les divers répertoires de sens disponibles. Dès lors, les deux termes du contraste classique tradition / modernité en ressortent désormais foncièrement relativisés, et surtout complexifiés. Les études historiques ont montré combien les sociétés apparemment les plus modernes contribuaient plus ou moins consciemment à une constante « invention de traditions » (Hobsbawm et Ranger, 1992), évidente dans la manifestation de certains nationalismes ou fondamentalismes religieux cherchant à légitimer leurs revendications politiques et culturelles les plus contemporaines par le recours à un passé idéalisé. D’une certaine manière, loin d’avoir strictement appliqué un programme rationaliste de séparation nature / culture, « nous n’avons jamais été modernes » (Latour, 1991), élaborant plutôt à notre insu un monde composite et hétéroclite, sous la domination d’un imaginaire social qui érige paradoxalement le progrès, la rationalité et la croissance en mythe de la maîtrise rationnelle. Et lorsqu’elle s’exporte, cette « ontologie naturaliste » (Descola, 2005) se voit réinterprétée, transformée, voire inversée, selon une « indigénisation de la modernité » (Sahlins, 2007 : 295) qui bouscule tant les univers locaux de signification que les principes globaux d’arraisonnement du monde. S’avère désormais entérinée l’existence de « modernités multiples », expression synonyme d’une évolution différenciée des trajectoires socio-culturelles à travers des cheminements à la fois interreliés, métissés, contingents et comparables. A l’inverse, nul ne semble pouvoir dorénavant se réclamer ingénument de la tradition sans être confronté à un paradoxe fondamental, déjà repéré par Hocart (1927) : puisqu’elle ne vit généralement qu’ignorée de ceux qui la suivent (selon un agir pratique incorporé dans les us et coutumes du quotidien), on fait appel à la tradition d’abord pour justifier ce qui justement ne va plus de soi, et se trouve en danger de disparaître. Ce passage de la tradition au « traditionalisme » peut prendre à la fois la forme légitime d’une sauvegarde de valeurs et coutumes ou de la résistance à la marchandisation globale, mais aussi le visage grimaçant d’une instrumentalisation idéologique, au service d’un ordre social chimérique, soi-disant pur et authentique, fût-il répandu par les moyens technologiques les plus modernes.

Tesi sul tema "Idéologie – Écologie":

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Billemont, Hubert. "L'écologie politique : une idéologie de classes moyennes". Phd thesis, Université d'Evry-Val d'Essonne, 2006. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00122490.

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Abstract (sommario):
La thèse est consacrée aux modes de vie et aux représentations sociales et politiques des militants et sympathisants écologistes en France. L'analyse porte sur l'étude des fractions semi-intellectuelles de la classe moyenne salariée qui sont sur-représentées parmi les écologistes. Il s'agit de montrer que nombre d'attitudes et de schèmes de pensées véhiculées par les écologistes sont imputables aux positions sociales ambivalentes de cette catégorie sociale d'intellectuels subalternes.
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Feertchak, Hélène. "Contribution à l'étude des rapports entre habitat et idéologie : un cas d'habitat communautaire". Paris 5, 1987. http://www.theses.fr/1987PA05H005.

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Abstract (sommario):
A travers l'étude monographique et psychosociologique d'un cas d'habitat communautaire situe dans un immeuble de cent foyers de la banlieue parisienne et vieux de vingt-cinq ans, j'ai cherché à éclaircir les rapports existant entre l'idéologie et l'habitat. Après l'analyse des écrits consacrent d'une part à l'idéologie et de l'autre à l'habitat, le choix du cadre théorique s'est porte sur la psychologie écologique de R. G. Barker, qui permet de prendre en compte l'espace et la durée. L’hypothèse prévoyait une combinaison de déterminants d'ordre spatial, sociologique et idéologique. Les méthodes utilisées ont été les suivantes : monographie, analyse de contenu de documents internes et d'articles donnes à la presse, analyse d'entretiens non directifs menés auprès d'habitants et de non-habitants de cet immeuble. Les résultats vont dans le sens d'une validation de l'hypothèse : l'interaction entre l'idéologie "personnaliste" des pionniers et les caractéristiques originales de cet ensemble immobilier n'a pu se réaliser que par le truchement d'une série d'ajustements interpersonnels, cependant que se forgeait une mémoire vive du groupe, témoignant que celui-ci avait acquis une identité propre, opposable aux tiers. Accessoirement, on a pu montrer la force des aspirations en matière de logement et d'habitat, ainsi que le rôle joue par la petite bourgeoisie intellectuelle durant les "trente glorieuses". En conclusion, cette recherche, en raison de son caractère descriptif, aura parfaitement mis en lumière la difficulté fondamentale à laquelle se heurte une psychologie écologique : comment tout à la fois suivre le cours naturel des évènements, -naturel, i. E. Sans l'intervention du chercheur- et rendre compte de phénomènes se situant à des niveaux d'analyse différents (W. Doise), dont l'articulation continue de poser problème au psychologue social?
Through the case study of a community, living in a residential suburb near Paris for thirty years, the relations between ideology and housing have been analyzed. In reference to ecological psychology of R. G. Barker, the combining effects of spatial, sociological and ideological determinants have been hypothesized. A monography has been completed by the following data : twelve non-directive interviews, then content analysis of internal documents and articles in press. The results show that an interaction between advanced catholic ideas of the leaders and architectural caracteristics of building originate dynamic interpersonal behaviors. In addition, the strength of motivations concerning housing, and the influence of intellectual executives social class in French society during post-war period has been pointed out. Though the results are concordant with the hypothesis, it appears that ecological psychology is more adapted to description than to hypothetico-deductive thinking
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Suchier, Johann. "Justification du système, idéologies et jugement social : étude de la modernisation écologique selon une perspective de psychologie sociale". Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2021. http://www.theses.fr/2021AIXM0447.

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Abstract (sommario):
Se positionnant dans une approche critique et sociétale des questions environnementales, cette thèse se propose d’étudier, sous l’angle de la psychologie sociale, une théorie de sciences sociales et une conception des politiques environnementales introduite en sociologie environnementale : la Modernisation Ecologique (ME). Cette approche, hégémonique au sein des institutions européennes, peut être conceptualisée comme un système de croyances légitimant une certaine conception de l’ordre social et peut, de ce fait, être considérée comme une idéologie. Cette dernière permettrait, à la fois, de reconnaitre l’existence des problèmes environnementaux et d’avancer que les systèmes socio-économiques actuels ont la capacité de les prendre en charge sans subir de modifications fondamentales. Dans une première série de recherches, nous avons mobilisé la Théorie de la Justification du Système (TJS), ainsi que le concept de paradigme social, afin d’étudier dans quelle mesure la ME pouvait jouer le rôle d’une idéologie légitimatrice de l’ordre social à un niveau psychologique. Dans une deuxième série d’études, nous avons souhaité étudier le caractère normatif de la ME. Pour cela, nous avons mobilisé l’approche socio-cognitive des normes en articulation avec la TJS. Cette thèse vient souligner l’intérêt d’une grille de lecture en termes d’ordre social pour les études en lien avec les problématiques environnementales. Dans cette perspective, elle invite à ne plus considérer les croyances, les attitudes, ou les comportements pro-environnementaux comme constituant un bloc homogène, mais à les situer plutôt sur un continuum selon le degré de changement social qu’ils impliquent
Positioning itself within a critical and societal approach to environmental issues, this thesis proposes to study, from the perspective of social psychology, a social science theory and a conception of environmental policies introduced in environmental sociology: Ecological Modernization (EM). This approach, hegemonic within the European institutions, can be conceptualized as a belief system legitimizing a certain conception of social order and can, therefore, be considered as an ideology. The latter would allow, at the same time, to recognize the existence of environmental problems and to argue that the current socio-economic systems have the capacity to deal with them without undergoing fundamental changes. In a first series of research, we mobilized the System Justification Theory (SJT), as well as the concept of social paradigm, in order to study the extent to which the EM could play the role of a social order legitimizing ideology at a psychological level. In a second series of research, we studied the normative dimension of EM. For this, we mobilized the socio-cognitive approach of norms in articulation with the SJT. This thesis underlines the interest of a social order reading grid for studies related to environmental issues. In this perspective, it invites us to no longer consider pro-environmental beliefs, attitudes, or behaviors as constituting a homogeneous block, but rather to situate them on a continuum according to the degree of social change that they imply
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Tassinari, Carlo Andrea. "Les nouvelles frontières du développement : l'idéologie durable, une analyse sémiotique des textes onusiens". Thesis, Toulouse 2, 2019. http://www.theses.fr/2019TOU20108.

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Abstract (sommario):
La thèse propose une généalogie du concept de « développement durable » par une analyse sémiotique de l’archive onusien. Le but est de dégager les contraintes idéologiques du discours juridique et parajuridique sur le « durable », à partir d’une typologie des discours des Sommets de la Terre de 1972 à 2012. Articulée en trois parties, la recherche s’ouvre sur la construction conjointe de la problématique des crises écologiques actuelles et du développement corrélatif du droit international de l’environnement : elle montre que les crises écologiques sont définies non pas comme des crises de la « nature en soi », mais d’abord comme des crises de la catégorie du « naturel » par opposition au « culturel » ; et qu’une telle catégorisation a orienté la formation des concepts théoriques et pratiques à la base du droit international de l’environnement. Dans la seconde partie, la thèse met en place les outils théoriques et méthodologiques pour l’analyse du corpus. À partir d’un état des lieux de la sémiotique juridique – ayant pris historiquement pour objet les textes et les interactions – la recherche aborde le corpus des Sommets dans la perspective plus large d’une sémiotique des cultures fondée sur l’unité d’étude de la « formation sémiotique ». De dérivation foucaldienne, le concept de formation met en évidence les liens entre discours, technologies et pratiques, permettant ainsi de retracer les logiques de contamination entre droit, science, politique et environnement donnant lieu à l’élaboration du concept de « développement durable ». En retraçant ces dérivations, la recherche met en évidence les tendances du droit international de l’environnement à une époque marquée par l’hybridation croissante entre humains et non-humains. La troisième partie propose une analyse ponctuelle des documents onusiens qui attestent les articulations généalogiques majeures du concept de « durable ». Tout en ayant un rôle de premier plan dans l’intégration juridico-politique des enjeux écologiques, cette notion résout la tension environnement/développement par la construction juridique d’un marché d’éthique environnementale, permettant de pérénniser le souci de la croissance par la traduction d’une limite écologique en valeur économique. C’est ce qui en fait une « idéologie durable », c’est-à-dire l’histoire d’un marché conçu pour durer, contre tout récit catastrophiste
This work provide a semiotic analysis on the evolution of international environmental law based on the concept of sustainable development as United Nations define it in the EarthSummit. In order to do so, the thesis organize the corpus of the Earth Summit records following the idea that they are bound together by a coherent strategy which deploys from 1972 to 2012, and found a typology of ONU's documents, encompassing directive and normative discourse. In the firs part, the work elaborate on the necessity of the semiotic account for a better understanding of both legal discourse and ecological tensions, which are both takled as practices of meaning construction. The second part provides a state of the art of the juridical semiotics, with particular emphasis to the problem of ideology in legal texts. Building on that, it elaborates on models for diachronic analysis and for the individualization of emerging tendencies in law. Starting from the concept of « discursive formation » by Foucault, it discuss the idea of « juridical formations » in the framework of a semiotic of « semiotic formations ». Finally, in the third part, th work provides a diachronic analysis of the way the concept of « sustainable development » has influenced United Nation legal production, as well as of how the ideological bias that impede the translation of the concept of « sustainable development » in effective legal rules. In conclusion, we will sketch the semantics paths that sustainable ideology didn't thematize, narrowed by the semiotic constraints that defines it : sustainable development maintains an idea of environmental law as a strategy to take economical advantage from limitation of pollution, new technology development and green economy, in brief, of object that we can dispose of. The juridical construction of an international market of environmental ethics thus opposes the idea of an ecological catastrophe by the identification of economic growth and ecological purposes : that’s precisely the ideological orientation defined as « durable » (« sustainable ») ideology. This perspective totally ignores the raising of a minor discourse which recongnizes that ecological objects have "interests", intertwined with the human ones, and that can be legally recognized seeking a mediations between humans and non-human actors in a project of cohabitation that has yet to be found
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Da, Silva Rosa Teresa. "L'Union Européenne et le cofinancement des ONG : discours idéologique ou conscience écologique?" Paris, EHESS, 2005. http://www.theses.fr/2005EHES0001.

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Abstract (sommario):
NOtre recherche vise à analyser le discours sur le ligne budgétaire "cofinancement des ONG" de l'Union Européenne (UE) pour vérifier sa contribution à l'établissement de projets de société écologiquement soutenables. Trois perspectives théoriques caractérisent la pensée écologique du développement : systémique, biocentrique et thermodynamique. La gestion écologique du système social vise à diminuer les impacts par deux stratégies : la suffisance et l'éco-efficience. Deux grilles d'analyse ont été constituées : le lexique écologique et le contenu écologique. La faible présence d'éléments écologiques et l'absence de ceux sélectionnés nous amène à croire au maquillage écologique des intérêts économiques marchands de l'UE plutôt qi'à une prise de conscience écologique. Ainsi, le discours analysé semble ne pas être en mesure de contribuer ni à l'élaboration ni à l'établissement de projets de société écologiquement soutenables
Our research aims to analyze the Eurpean Union's (EU) budget program co-financing with NGOs official discourse in order to assess its contribution to the encouragement of sustainable developpment projects. Three theoretical views define the ecological approach to development : systemic, biocentric and thermodynamic. Ecological management of the social system aims to diminish the human impact on the biosphere through two strategies : sufficiency and eco-efficiency. Two lists were created : ecological lexicon and ecological subjects. So few ecological elements and that the ones chosen here do not appear at all suggests that the use of ecological terminology only serves to hide the EU's economic interests rather than to create true ecological awareness. The analysed message does not seem to be able to encourage an ecologically friendly design of development projects in the South
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Blanchet-Gravel, Jérôme. "La dimension apocalyptique de l'écologisme : Al Gore et la crise de l'environnement". Master's thesis, Université Laval, 2016. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26800.

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Abstract (sommario):
Dans un article publié en 1982, Danièle Hervieu-Léger établissait un rapprochement significatif entre l’idéologie apocalyptique née dans l’Antiquité avec l’apparition de la pensée juive et l’idéologie écologiste née dans les années 1970 en réaction à la crise environne-mentale. Selon cette auteure, il existerait une affinité élective entre l’idéologie apocalyptique religieuse, judéo-chrétienne, et l’idéologie apocalyptique sécularisée incorporée à l’idéologie écologiste. Bien plus qu’à un simple « catastrophisme » ambiant, l’idéologie écologiste obéirait donc à des schémas eschatologiques issus de l’imaginaire religieux occidental. Nous avons voulu vérifier si cette piste d’analyse était encore féconde. Pour ce faire, nous avons d’abord construit un idéal-type de l’idéologie apocalyptique nous permettant d’identifier les similitudes, mais aussi les différences fondamentales distinguant l’idéologie apocalyptique religieuse de l’idéologie apocalyptique sécularisée. En nous basant sur la littérature spécialisée, nous avons découvert que les quatre caractéristiques centrales de cet idéal-type peuvent être : (1) l’idée de la fin du monde imminente, (2) la croyance en la détermination suprahumaine de l’histoire, (3) la conviction de l’urgence d’agir et (4) la division du monde en deux camps opposés (les bons et les mauvais). Ensuite, pour vérifier la présence cette hypothétique « apocalypse verte » dans l’imaginaire collectif, nous avons choisi un échantillon de la pensée écologiste nous permettant de noter l’influence de l’idéologie apocalyptique. Nous avons enfin procédé à une analyse de contenu de la dernière version du bestseller écologiste Earth in the balance d’Al Gore, initialement paru en 1993 et réédité en français en 2007 sous le titre d’Urgence Planète Terre. Mots-clés : écologisme, apocalypse, idéologie, religion séculière, environnement.
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Tourreilles, Aurélien. "De l’Encyclopédie des Nuisances à la pensée anti-industrielle : retour sur la construction idéologique d’une utopie contemporaine". Thesis, Bordeaux, 2019. http://www.theses.fr/2019BORD0005/document.

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Abstract (sommario):
L’Histoire de la gauche radicale en France connaît deux influences majeures souvent considérées comme incompatibles : le marxisme et l’anarchisme (ou la pensée libertaire). Pourtant face aux échecs répétés des tentatives révolutionnaires à base prolétarienne en Europe, et au manque de « poids » des théories libertaires au sein de la contestation radicale du monde contemporain, la « gauche révolutionnaire traditionnelle » semble aujourd’hui être « dépassée » voire « démodée ». Si depuis les évènements de Mai 68 nombre de courants radicaux de gauche, parfois appelés « ultra-gauche », sont apparus en France, il semblerait qu’émerge aujourd’hui, au sein de la gauche radicale, contestataire et révolutionnaire une volonté de s’unir autour d’une ambition commune : faire la Révolution. C’est d’ailleurs ce que tentent d’expliquer Olivier Besancenot et Michael Löwy dans leur ouvrage intitulé : Affinités révolutionnaires . Souvent associés dans la lutte, les partisans de ces deux écoles de pensée semblent se séparer sur le plan des idées. D’inspiration marxiste et libertaire la pensée anti-industrielle reflète cette volonté unificatrice. Issu de la contestation radicale de Mai 1968, la pensée anti-industrielle se développe en France au cours des années 1980 à travers la revue Encyclopédie des Nuisances dirigée par Jaime Semprun. Rejetant le marxisme comme dogme et considérant qu’aucune critique radicale ne permet à cette époque de réellement comprendre correctement l’organisation du monde et l’idéologie dominante, les penseurs de l’Encyclopédie des Nuisances souhaite proposer à travers ce Dictionnaire de la déraison dans les sciences, les arts et les métiers, une forme de bilan reprenant les échecs de mai 1968 et « les immenses succès remportés depuis 68 par la domination modernisée » afin de « les voir dans toute leur ampleur et dans leurs conséquences, sans se dissimuler en quoi ils étaient, bien plus qu’une simple restauration, une contre-offensive décisive, achevant de ruiner à peu près tout ce sur quoi la critique sociale avait cru jusque-là pouvoir se reposer » . Par la suite, c’est en Mars 2010 que Manuel Amoros a rédigé un manifeste intitulé Nous les anti-industriels dans lequel il tenta de définir la position des penseurs anti-industriels. Il conclut en définissant la pensée anti-industrielle comme suit : La pensée contre le développement, ou anti-industrielle, ne représente pas une nouvelle mode, une critique purement négative de la pensée scientifique et des idéologies progressistes, ni un vulgaire primitivisme qui proposerait de retourner à un moment quelconque de l’Histoire ou de la préhistoire. Elle n’est pas non plus une simple dénonciation de la domestication du prolétariat et du despotisme du capital. Encore moins est-elle quelque chose mystificatrice comme une théorie unitaire de la société, chasse gardée de la dernière des avant-gardes ou du dernier des mouvements. Elle va plus loin que cela. Elle est le stade le plus avancé de la conscience sociale et historique. C’est une forme déterminée de conscience, de la généralisation de laquelle dépend le salut de l’époque. Si les Encyclopédistes peuvent être considérés comme les premiers auteurs appartenant à la pensée anti-industrielle et le manifeste comme étant le socle théorique de base de cette pensée, il ne faut pas négliger d’autres auteurs et d’autres maisons d’éditions qui se rattachent aujourd’hui à ce courant. Citer tous les auteurs anti-industriels. Constitution de corpus. Une fois ces auteurs « recensés », il est intéressant de noter que cette pensée anti-industrielle semble rassembler l’ensemble des critiques radicales du monde contemporain afin d’en dégager une globale, permettant à la fois d’en saisir toutes les « caractéristiques » et « les nuisances », mais également de définir les bases du monde à venir qui devrait se substituer au monde contemporain
.This PhD thesis aims at understanding the ideological construction of a revolutionary political thought that came to existence in France during the 1980s. This work is the result of our will to understand – in the Weberian sense of the term – not only what motivated the thinkers of the “Encyclopédie des Nuisances” to start a situational analysis of the social critique of the time, but also the ideological evolution that permitted the development of an anti-industrialist movement at the beginning of the twenty-first century. In 2010, thanks to the anti-industrialist manifesto the movement appeared. Our hypothesis is that the birth of these particular contemporary utopian views is the result of two decisive factors: on the one hand, the disappointment of some activists towards the May 1968 events in France; and on the other hand, the sense of urgency concerning the sophistication of the industrial world through nuclear power, and the new information and communication technology. We argue that these different evolutions seem to lean towards the creation of a contemporary utopian thought offering to readjust the social critique to the new living standards of individuals
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Fournier, Julie. "Le rôle de l'arachide dans la société Moche du Pérou précolombien : son importance dans l'économie étatique et sa symbolique au sein de l'idéologie Moche". Thèse, 2004. http://hdl.handle.net/1866/14253.

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Falardeau, Audrey-Maude. "« Vite, ralentissez ! » : enjeux identitaires, temporels et matériels des slow mags dans l’écologie médiatique québécoise". Thèse, 2018. http://hdl.handle.net/1866/22463.

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Libri sul tema "Idéologie – Écologie":

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Parizeau, Marie-Hélène. Biotechnologie, Nanotechnologie, écologie: Entre Science et Idéologie. Quae, 2010.

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