Articoli di riviste sul tema "Houblon – Variabilité – Composition chimique"

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Bourkhiss, M., A. Chaouch, M. Ouhssine e B. Bourkhiss. "Étude comparative de la composition chimique des huiles essentielles de Tetraclinis articulata (Vahl) Masters du Maroc". Phytothérapie 18, n. 1 (26 ottobre 2018): 02–05. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2018-0082.

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Abstract (sommario):
La qualité et la variabilité de la composition chimique de l’huile essentielle isolée de tronc de Tetraclinis articulata ont été étudiées dans trois régions bien représentatives dans la tétraclinaie marocaine. Les rendements moyens obtenus par hydrodistillation sont de 1,10 % pour la région de Debdou (Maroc oriental), 2,70 % pour Essaouira nord (Haut Atlas) et 1,45 % pour Ben Karrich (Rif occidental). L’analyse par CPG et GC/MS a permis de mettre en évidence cinq constituants majoritaires dans chaque localité. Ces constituants présentent une variabilité quantitative et sont, respectivement, le carvacrol (71,03 ; 47,17 et 11,84 %), le γ-curcumène (12,95 ; 20,27 et 13,24 %), la thymoquinone (1,58 ; 11,50 et 33,82 %), le cédrol (6,48 ; 7,76 et 16,64 %) et le 4-terpinéol (2,03 ; 3,09 et 3,83 %).
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Bastianelli, Denis, e Laurent Bonnal. "Evaluation de la qualité des produits du canard gras". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, n. 3 (27 giugno 2015): 135. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10176.

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Abstract (sommario):
La caractérisation des produits animaux est importante autant pour le suivi de leur qualité que pour la recherche de leur amélioration par des voies d’amélioration génétique ou de pro­cédés technologiques. L’enjeu est particulièrement important pour des filières à forte valeur ajoutée, comme le canard gras.Dans le cadre d’essais sur l’amélioration génétique du canard (2), des méthodes rapides – spectroscopie proche infrarouge (SPIR) – de prédiction de la qualité ont été testées pour le foie gras et pour le filet (magret). Il s’agissait de permettre la mesure sur un grand nombre d’échantillons de paramètres dont la méthode de référence est particulièrement longue (matières grasses [MG] par extraction Folch, rendement technologique, entre autres) et d’étudier la possibilité de les appliquer ensuite dans l’industrie.Les spectres des échantillons ont été acquis sur un spectromètre ASD Labspec, directement sur le produit entier (foie ou magret), sans préparation. L’étalonnage a été réalisé avec des mesures de composition chimique (matière sèche [MS], minéraux, protéines, MG) ou technologique (par exemple taux de fonte pour le foie, pertes à la cuisson pour le filet) (1).La précision des étalonnages a varié selon les paramètres (tableau I). Les paramètres de composition proximale ont glo­balement été bien prédits (MS, MG, protéines) avec des valeurs de R² comprises entre 0,80 et 0,90. Certains constituants bio­chimiques comme le collagène ont été moins facilement prédits (R² = 0,19), soit par manque de variabilité dans la population, soit par des défauts dans les mesures de référence. Les propriétés technologiques du filet sont difficiles à approcher par SPIR, avec par exemple une valeur de R² = 0,19 pour la prédiction de la perte à la cuisson. En revanche, la qualité technologique du foie évaluée par le taux de fonte est assez bien prédite (R²=0,85) pour permettre une évaluation objective du produit.Dans un second temps les étalonnages réalisés ont été appli­qués à l’étude de la variabilité intra-échantillon : 46 spectres acquis sur toute la surface d’un foie gras ont permis d’établir des cartes de répartition des constituants et des propriétés des foies, comme le montre la figure 1 pour le taux de fonte.Les calibrations réalisées ont permis de prédire la composition chimique de plusieurs milliers d’échantillons, et d’évaluer les paramètres génétiques (héritabilité) et de rechercher des locus de caractères quantitatifs (2). La base de données générée a également permis de décrire la variabilité des paramètres de qualité. L’étude de la variabilité de composition au sein même d’un échantillon permet de mieux comprendre l’élaboration des propriétés technologiques. Par ailleurs des essais sont actuelle­ment en cours chez un industriel pour utiliser ces résultats dans la caractérisation du foie en routine.
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THÉRON, L., M. BOUILLIER-OUDOT, C. MARIE-ETANCELIN, C. BONNEFONT, X. FERNANDEZ e C. MOLETTE. "La fonte lipidique du foie gras à la cuisson". INRAE Productions Animales 26, n. 5 (19 dicembre 2013): 415–24. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3170.

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Abstract (sommario):
La capacité à retenir les lipides lors de la cuisson constitue la principale qualité technologique recherchée du foie gras. La fonte se traduit par une exsudation de nature essentiellement lipidique qui a lieu lors des traitements thermiques de conservation. Différentes méthodes d’évaluation de ce rendement sont disponibles et de manière générale, les corrélations entre ces dernières sont significatives. La variabilité du rendement technologique est élevée. Des facteurs de variation identifiés sont des paramètres liés à l’élevage, au gavage ou encore aux conditions entourant l’abattage des animaux. Des études ont également permis de mettre en évidence un lien entre le rendement technologique et de nombreux paramètres : le type et les caractéristiques génétiques de l’animal, le poids du foie et sa composition chimique. Enfin, la recherche du déterminisme biologique de la variabilité de la fonte à la cuisson a conduit à proposer un mécanisme en lien avec le niveau de stéatose hépatique au moment de l’abattage.
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Millet, A., T. Bariac, C. Grimaldi e J. Boulègue. "Signature isotopique et chimique des précipitations (pluies et pluviolessivats) en Guyane française". Revue des sciences de l'eau 12, n. 4 (12 aprile 2005): 729–51. http://dx.doi.org/10.7202/705375ar.

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Abstract (sommario):
Au cours de 2 crues survenues le 24 mai 1992 et le 15 mai 1993 sur 2 bassins versants, nous avons étudié la composition isotopique et chimique des précipitations (pluies et pluviolessivats) ainsi que leurs variations temporelle et spatiale. Les bassins étudiés (d'environ 1,5 ha) sont situés près de la ville de Sinnamary (Guyane Française) et sont proches l'un de l'autre (200 m). Un des bassins (bassin B) est recouvert par une forêt primaire, tandis que le second (bassin A) a été défriché et transformé en prairie (Digitaria swazilendensis, programme ÉCÉREX Orstom-CTFT). Le dispositif expérimental est composé de 31 pluviomètres sur le bassin B et de 3 pluviomètres sur le bassin A. Les hauteurs d'eau précipitées lors des événements étudiés sont importantes (environ 60 mm sur le bassin A). La hauteur d'eau précipitée est homogène spatialement sur le bassin A, alors qu'elle est très hétérogène sur le bassin B. La teneur instantanée des précipitations en18O est très variable temporellement, mais reste homogène spatialement, sur les 2 bassins. L'interception de la pluie par la canopée déstructure donc la hauteur d'eau précipitée sous forêt, mais pas sa signature isotopique. Le 24 mai 1992, nous avons observé une dilution de la composition chimique de la pluie et une diminution de son pH au cours du temps. Les pluviolessivats sont généralement plus concentrés que la pluie et leur pH est plus tamponné. Nous n'avons pas observé de corrélation entre la composition chimique de la pluie ou des pluviolessivats et l'intensité des précipitations. La variabilité spatiale de la composition chimique des pluviolessivats, étudiée lors de l'averse principale du 24 mai 1992, est très importante et 31 pluviomètres semblent insuffisants pour estimer précisément les apports au sol. L'effet de masse est respecté le 24 mai 1992, mais n'est pas visible le 15 mai 1993. La comparaison de l'évolution des teneurs intégrées en Cl- et en18O montre que l'événement pluvieux du 24 mai 1992 est issu d'une masse d'air unique, alors que celui du 15 mai 1993 est issu de plusieurs masses d'air différentes. On remarque également que la teneur intégrée en18O des pluviolessivats est légèrement supérieure à celle de la pluie en milieu ouvert. En l'absence d'évaporation (la composition isotopique des pluviolessivats est alignée sur la droite locale des eaux météoriques), cela s'explique par un mélange entre la pluie directe et de l'eau de pluie plus ancienne, retenue sur la canopée et de composition isotopique différente.
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AGABRIEL, C., G. BRUNSCHWIG, C. SIBRA, J. B. COULON e C. NAFIDI. "Relations entre la qualité du lait livré et les caractéristiques des exploitations". INRAE Productions Animales 8, n. 4 (23 settembre 1995): 251–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.4.4133.

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Abstract (sommario):
Cent-quarante trois exploitations laitières dans 2 zones du Massif Central ont fait l’objet d’une enquête détaillée concernant à la fois la structure de l’exploitation et du troupeau, l’utilisation des surfaces, les pratiques alimentaires hivernales et estivales, les pratiques de traite et l’hygiène des animaux. Parallèlement des caractéristiques du lait (taux butyreux et protéique, numération cellulaire, flore totale et contamination butyrique) ont été relevées mensuellement pendant 14 mois. Ces données ont permis d’analyser la variabilité des caractéristiques du lait en fonction des caractéristiques des exploitations. En dehors de l’effet de la race des vaches laitières, ce sont des variables de maîtrise de l’alimentation qui permettent le mieux d’expliquer les variations de la composition chimique du lait (nature du fourrage et niveau des apports nutritifs). La qualité bactériologique du lait a pu être associée à la fois à la nature des fourrages hivernaux (contamination butyrique) et à l’hygiène de traite. Dans la plupart des exploitations, la numération cellulaire a été sensiblement plus élevée en été qu’en hiver. Peu d’exploitations présentent à la fois un taux protéique élevé et des caractéristiques hygiéniques du lait optimales. Dans les 2 zones, c’est au cours de l’hiver que l’on observe la plus grande variabilité de composition du lait, liée aux différences de conduite alimentaire hivernale. D’une manière générale, l’hygiène du lait reste peu maîtrisée dans un grand nombre de troupeaux, et, dans la majorité des exploitations de la zone Nord, l’alimentation hivernale semble insuffisante pour assurer l’expression d’un taux protéique élevé.
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COZANNET, I. P., M. LESSIRE, J. P. METAYER, C. GADY, Y. PRIMOT, P. A. GERAERT, L. LE TUTOUR, F. SKIBA e J. NOBLET. "Valeur nutritive des drêches de blé et de maïs pour les volailles". INRAE Productions Animales 23, n. 5 (19 dicembre 2010): 405–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.5.3319.

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Abstract (sommario):
Parallèlement à l’accroissement rapide de la production d’éthanol à partir des céréales, la disponibilité des coproduits associés, les drêches, pour l’alimentation des animaux, ruminants mais aussi porcs et volailles, s’est accrue. L’objet de cette synthèse est de considérer l’information disponible pour l’introduction des drêches de bioéthanol de céréales dans les aliments des volailles. Elle dresse le profil moyen de la composition chimique et des valeurs énergétiques et protéiques des drêches de blé et de maïs. Elle indique aussi une forte variabilité de ces critères, en particulier pour la lysine en lien avec les réactions de Maillard lors du séchage et la diminution de la luminance (L). Les échantillons de faible valeur L (< 50 pour les drêches de blé et < 30 pour les drêches de maïs) ont ainsi une teneur en lysine des matières azotées faible et cette lysine est peu digestible. La digestibilité de l’énergie des drêches de blé ou de maïs ou leurs teneurs en EM peuvent également varier avec la couleur mais elles sont surtout dépendantes de leur composition chimique et notamment de leur teneur en matières grasses et en parois végétales. Notre synthèse indique que les drêches de blé ou de maïs sont des sources potentielles d’énergie et de protéines susceptibles d’être utilisées dans les aliments des différentes catégories de volailles sans que les performances soient altérées mais à la condition que les caractéristiques nutritives des drêches soient prises en compte pour la formulation des aliments.
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Tine, Yoro, Moussa Diop, Idrissa Ndoye, Alioune Diallo e Alassane Wele. "Revue bibliographique sur la composition chimique et les activités biologiques de Guiera senegalensis J.F. Gmel. (Combretaceae)". International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, n. 7 (13 febbraio 2020): 3449–62. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.37.

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Abstract (sommario):
Cette étude avait pour objectif de faire le point sur la composition chimique et les activités biologiques de G. senegalensis, une plante médicinale largement utilisée en Afrique par les guérisseurs traditionnels pour le traitement de divers troubles. La plupart de ces études chimiques ont porté sur le criblage phytochimique des extraits de feuilles, de racines, de tiges et de galles. Elles ont montré la présence d'hydrates de carbone, de stéroïdes, de saponines, de flavonoïdes, d’alcaloïdes, de tanins, de saponines, de glycosides cardiaques, de coumarines, d’anthraquinones, d’acide ascorbique, d’hétérosides cardiotoniques, de cyanogènes et de terpénoïdes. Les potentialités thérapeutiques des extraits de G. senegalensis rapportées dans plusieurs travaux scientifiques ont porté sur les activités antibactériennes, antitussives, antidiarrhéiques, cytotoxiques, anti-inflammatoires antipaludiques, antitrypanosomiques, antihelminthiques, antivirales et antioxydantes. Des études de toxicité sur ces extraits ont été aussi réalisées. Ainsi, des études de caractérisation chimique (variabilité chimique), de formulation galénique et aussi de toxicité clinique sur G. senegalensis doivent être menées afin de mettre en place des produits de phytothérapie moderne.Mots clés: Phytochimie, pharmacologie, feuilles, Guiera senegalensis. English Title: Review on the chemical composition and biological activities of Guiera senegalensis J.F. Gmel. (Combretaceae)The aim of this study was to review the chemical composition and biological activities of G. senegalensis, a medicinal plant widely used in Africa by traditional healers for the treatment of various disorders. Most of these chemical studies have focused on the phytochemical screening of leaf, root, stem and gall extracts. They showed the presence of carbohydrate, steroids, saponins, flavonoids, alkaloids, tannins, saponins, cardiac glycosides, coumarins, anthraquinones, ascorbic acid, cardiotonic glycosides, cyanogens and terpenoids. The therapeutic potentialities of extracts of G. senegalensis reported in several scientific studies have focused on antibacterial, antitussive, antidiarrheal, cytotoxic, anti-inflammatory, antimicrobial, antitrypanosomal, anthelmintic, antiviral and antioxidant activities. Toxicity studies on these extracts have also been carried out. Thus, chemical characterization studies (chemical variability), galenic formulation and clinical toxicity studies on G. senegalensis must be carried out in order to implement modern phytotherapy products.Keywords: Phytochemistry, pharmacology, leaves, Guiera senegalensis.
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Soro, LC, L. Grosmaire, AL Ocho-Anin Atchibri, S. Munier, C. Menut e Y. Pelissier. "Variabilité de la composition chimique de l’huile essentielle des feuilles de Lippia multiflora cultivées en Côte d’Ivoire". Journal of Applied Biosciences 88, n. 1 (28 maggio 2015): 8180. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v88i1.5.

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AGABRIEL, C., J. B. COULON, G. MARTY e B. BONAÏTI. "Facteurs de variation de la composition chimique du lait dans des exploitations à haut niveau de production". INRAE Productions Animales 6, n. 1 (27 febbraio 1993): 53–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4187.

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Abstract (sommario):
Soixante-seize exploitations laitières utilisant des vaches Montbéliardes à haut niveau de production (6200 à 8800 kg/vache/an) et alimentées l’hiver avec une ration à base de foin, ont fait l’objet d’une enquête détaillée concernant à la fois la structure de l’exploitation et du troupeau, la qualité des fourrages utilisés, les pratiques alimentaires hivernales et estivales et les caractéristiques génétiques des animaux (index et effet troupeau pour le lait, le taux butyreux et le taux protéique). Ces données ont permis d’analyser les variations de la composition chimique du lait d’une exploitation à l’autre. Les taux butyreux et protéique moyens annuels ont été très variables d’une exploitation à l’autre (respectivement 34,2 à 41,2 g/kg et 30,7 à 34,5 g/kg), malgré l’homogénéité des exploitations sur les critères niveau de production laitière, race et type de ration de base. Cette variabilité est due essentiellement à des facteurs du milieu. Lorsque l’on classe les exploitations par niveau d’effet troupeau (taux butyreux ou taux protéique), on observe 1) que les écarts de taux protéique sont les plus élevés au cours de la période hivernale et sont associés à des pratiques alimentaires différentes (qualité des foins, part du regain dans la ration, type de concentré utilisé), 2) que les écarts de taux butyreux d’un groupe d’exploitations à l’autre sont aussi importants, voire plus, l’été que l’hiver. Ces écarts ne sont qu’en partie associés à des pratiques alimentaires favorables ou défavorables au taux butyreux (présence de betteraves dans la ration, méthode de distribution du concentré). On n’a pas observé de liaison entre les effets troupeau taux butyreux et taux protéique. Il est donc possible de faire varier ces 2 taux de manière indépendante, par le biais de facteurs du milieu.
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COULON, J. B. "Facteurs de variation du taux protéique du lait de vache en exploitation : réflexions à partir de résultats d’enquêtes". INRAE Productions Animales 4, n. 4 (2 ottobre 1991): 303–9. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.4.4344.

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Abstract (sommario):
En raison de ses conséquences sur la quantité et la qualité des produits transformés, la composition chimique du lait, et plus particulièrement le taux protéique, fait l’objet depuis quelques années de nombreux travaux d’enquête dans différentes situations françaises. A partir de ces travaux, l’objectif de cette étude a été de montrer la complexité de ces situations de terrain par rapport aux connaissances expérimentales. Ces observations confirment bien que les différences de niveau moyen annuel du taux protéique sont dûs à la fois à des facteurs génétiques et à des facteurs du milieu, en particulier liés à l’alimentation. Ces derniers sont la plupart du temps prépondérants, parce que la variabilité génétique des troupeaux est réduite par rapport à celle des caractéristiques du milieu. Celles-ci interagissent souvent entre elles de sorte que la prise en compte d’un seul facteur peut conduire à des conclusions erronées. Ainsi, la période de vêlage des animaux n’est pas un facteur direct majeur de variation du taux protéique annuel, mais plutôt un indicateur de la conduite d’élevage qui, selon les cas, regroupe des facteurs différents et n’a donc pas toujours la même signification. Il est aussi possible que des facteurs autres que ceux expérimentalement identifiés puissent intervenir sur les variations du taux protéique.
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Horeau, V., S. Richard, R. Vigouroux, L. Guillemet e P. Cerdan. "Variabilités spatiales et temporelles de la qualité physico-chimique et des invertébrés pélagiques des eaux de la retenue hydroélectrique de Petit Saut (Guyane française)." Revue des sciences de l'eau 18 (12 aprile 2005): 109–26. http://dx.doi.org/10.7202/705579ar.

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Abstract (sommario):
Le bassin versant du fleuve Sinnamary est situé en Guyane française, au nord du continent sud américain, en zone néo-tropicale. Il s'étend entre 4 et 5°de latitude Nord et entre 52°50' et 53°30' de longitude Ouest. En 1994, la mise en eau du barrage hydroélectrique construit sur le site de Petit Saut occasionne l'ennoiement de 365 km2 de forêt primaire. Le remplissage s'effectue en 18 mois, et la demande en oxygène dissous nécessaire à la dégradation de la matière organique est telle qu'en quelques jours la masse d'eau se stratifie en un épilimnion oxygéné et un hypolimnion anoxique. Représentant quelques centimètres en 1994, l'épilimnion s'épaissit progressivement jusqu'en 1998. Depuis, cette progression s'est nettement ralentie et l'épilimnion oscille autour d'une valeur moyenne de 5 à 6 mètres. Il abrite la plus grande partie du zooplancton pélagique. L'hypolimnion est anoxique et riche en éléments réduits. Le zooplancton s'est rapidement installé avec des rotifères, des cladocères et des copépodes. Des ostracodes et des Chaoboridae y sont désormais associés. La retenue présente une zonation longitudinale, de la tête de la retenue vers la queue, aussi bien en termes de densités que de composition des peuplements. De même, il existe une zonation transversale, notamment marquée par un gradient croissant de la conductivité de l'axe vers les berges. Ces ressources endogènes ainsi que des apports complémentaires (végétaux, invertébrés terrestres, détritus…) sont utilisées par la faune ichtyque qui a su s'adapter au changement du milieu. Le temps de rétention des eaux qui fluctue saisonnièrement en fonction des pluies semble être le facteur prépondérant de variabilité pour la qualité physico-chimique des eaux et les communautés biologiques.
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ARCHIMÈDE, H., D. BASTIANELLI, M. BOVAL, G. TRAN e D. SAUVANT. "Ressources tropicales : disponibilité et valeur alimentaire". INRAE Productions Animales 24, n. 1 (4 marzo 2011): 23–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3235.

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Abstract (sommario):
La disponibilité et les facteurs de variation de la valeur alimentaire des ressources végétales tropicales et des sous-produits de l’agro-industrie sont présentés dans cette synthèse. Les ressources alimentaires utilisées sont très variées (herbes, arbres fourragers, céréales, tubercules, coproduits de culture, sous-produits de l’agro-industrie) à l’image de la grande diversité des systèmes de production plus ou moins intensifiés, avec un niveau d’intégration variable des cultures et de l’élevage. Les matières premières peuvent être identiques à celles utilisées dans les zones tempérées (soja, maïs), notamment dans les ateliers modernes. Elles peuvent aussi se singulariser par leur origine botanique (sorgho, tubercules, fourrages, arbres fourragers), leur composition (présence fréquente de métabolites secondaires) et les traitements technologiques (coproduits d’industries agroalimentaires artisanales) qu’elles ont pu subir. Il y a une grande variabilité de la valeur alimentaire intra et inter-ressources. Quelle que soit l’espèce animale considérée, des ressources aux valeurs énergétiques élevées similaires ou proches d’homologues tempérés sont disponibles. Les nombreuses ressources «protéiques» ont en revanche des valeurs qui ne «&nbsp;rivalisent&nbsp;» qu’exceptionnellement avec le soja. Des stratégies particulières d’utilisation de certaines ressources sont nécessaires du fait de la présence de métabolites secondaires aux activités antinutritionnelles. En intra-ressource, les variabilités induites par la gestion (âge du fourrage, mode d’alimentation…) et la technologie utilisée (élimination de facteurs antinutritionnels, mode d’extraction, usinage des grains de céréales) qui affectent aussi bien la valeur énergétique que protéique, sont souvent supérieures à celles résultant de la génétique. Des ressources de bonne valeur alimentaire sont donc disponibles en zone tropicale à condition d’y appliquer la bonne gestion et de choisir l’espèce animale adéquate pour leur valorisation. L’information accumulée sur la valeur alimentaire des ressources tropicales est abondante. L’accès aux données n’est pas toujours aisé du fait des stratégies de publication souvent ciblée sur l’échelle régionale. L’information peut être partielle (certains critères de la composition chimique). Les résultats peuvent être fortement liés au contexte dans lequel ces données ont été produites ce qui limite leur généralisation. Une étape importante pour l’avenir serait le regroupement de ces données avec la perspective de dégager des lois générales tel que permet de l’envisager le projet en cours de tables de valeur alimentaire (AFZ-INRA-CIRAD).
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Dahmani-Hamzaoui, N., N. Sabaou e A. Baaliouamer. "Variabilité infraspécifique de l’Artemisia herba-alba d’Algérie". Phytothérapie, 2021. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2021-0275.

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Abstract (sommario):
L’étude analytique des huiles essentielles d’Artemisia herba-alba poussant en Algérie a mis en évidence une différence remarquable dans la composition chimique et les rendements d’extraction selon les régions (position géographique) et les techniques d’extraction utilisées. L’analyse des huiles essentielles par CG et par CG-SM nous a permis d’identifier 164 constituants, représentant 65,2 à 98,3 % de la composition totale pour l’hydrodistillation et 61,4 à 95,6 % pour la micro-onde. Les composés cétoniques : tels que l’α- thujone, la β-thujone, le camphre, la chrysanthénone et la davanone en constituent la majeure partie. Cette étude nous a permis de confirmer la diversité des chémotypes dont l’existence serait étroitement liée à des variations de patrimoines génétiques. Par rapport à HD,MD permet d’obtenir de l’huile en très peu de temps, avec des qualités comparables et des économies d’énergie substantielles. L’étude de l’activité antimicrobienne des huiles essentielles sur 14 souches a montré un très bon pouvoir inhibiteur (concentration minimale inhibitrice ne dépassant pas 10 mg/ml) pour tous les échantillons. La faible activité antioxydante de ces huiles pourrait être attribuée à l’absence de certains composants phénoliques.
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Dje Bi, Marc Gabin, Guy Roger Mida Kabran, Zana Adama Ouattara, Amani Brice Kadja, Janat Akhanovna Mamyrbekova-Bekro e Yves-Alain Bekro. "Variabilité de la composition organique des huiles essentielles extraites d’organes de Monodora tenuifolia provenant de trois sites de récolte en Côte d’Ivoire". Bulletin de la Société Royale des Sciences de Liège, 2016, 17–29. http://dx.doi.org/10.25518/0037-9565.5085.

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Abstract (sommario):
Des échantillons d’huiles essentielles (HE) de feuilles, d’écorces de tronc et de racines de Monodora Tenuifolia (Benth.) (Annonaceae) provenant de trois sites de récolte en Côte d’Ivoire, ont été analysés par GC-MS. Les rendements et la composition chimique des HE obtenues par hydrodistillation, varient en fonction des organes de la plante d’étude et des sites de récolte (I), (II), (III) respectivement Adiopodoumé, Anyama-Adjamé et Kongofon. Les organes de M. tenuifolia provenant du site (I) sont plus riches en HE que ceux des sites (II) et (III). Les rendements en HE (0,47 %, 0,32 %, 0,36 %) obtenus à partir des racines récoltées sur les sites (I), (II) et (III), sont plus élevés que ceux en HE des écorces de tronc (0,06 %, 0,08 %, 0,05 %) et de feuilles (0,2 %, 0,12 %, 0,08 %). Le nombre des composés identifiés dans les HE d’écorces de tronc (45, 46, 38) est supérieur à celui de ceux retrouvés dans les HE de racines (40, 40, 40) et de feuilles (27, 38, 28). La composition chimique est dominée par les sesquiterpènes et elle diffère selon les sites de récolte et les organes de plante.
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Silou, Thomas, Raphaël Bikanga, Samuel Nsikabaka, Jayneureuse Nombault, Chancelvie Mavoungou, Gilles Figuérédo e Jean-Claude Chalchat. "Plantes aromatiques du Plateau des Cataractes (Bassin du Congo). Caractérisation du chémotype de l’huile essentielle de Cymbopogon nardus (L.) Rendle acclimaté au Congo-Brazzaville". BASE, 2017, 105–16. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.13727.

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Description. Les huiles essentielles de Cymbopogon nardus (L.) Rendle, Cymbopogon winterianus Jowitt, Cymbopogon flexuosus (Nees ex Steud.) Wats et Cymbopogon citratus L. (DC.) Stapf (lemongrass) sont constituées à plus de 80 % de citronellal, géraniol, citral, citronellol, acétate de géranyle et limonène. Elles ne se distinguent les unes des autres que par les proportions relatives de ces différents constituants. Il est donc important de connaitre la composition chimique exacte des huiles essentielles produites. Objectifs. Évaluer le chémotype de C. nardus acclimaté sur le Plateau des Cataractes. Méthode. Les huiles essentielles de C. nardus acclimatées sur le Plateau des Cataractes ont été extraites par hydrodistillation et analysées par chromatographie (GC et CG/MS) pendant plus d’une décennie. Résultats. Avec un profil caractérisé par la composition suivante : citronellal (40-48 %), géraniol (10-22 %), citronellol (10-12 %), limonène (2-3 %), acétate de géranyle (1-2 %), linalol (1 %), cette espèce produit une huile essentielle de citronella type Java. Ceci tient au fait que la différence entre les types Java et Ceylan de citronella repose uniquement sur les teneurs individuelles de leurs trois principaux constituants : citronellal, géraniol et citronellol. Cymbopogon nardus est connu pour sa variabilité élevée, avec deux variétés et sept sous-variétés. Conclusions. Le citronella diffusé en Afrique de l’Ouest et du Centre sous le nom de Cymbopogon nardus type Java serait plutôt proche de Cymbopogon winterianus Jowitt par sa composition chimique.
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Ilboudo, Adama, Mamoudou Traore, Edmond Hien e Zombre Prosper. "Dynamique de la Macrofaune des Bas-fonds Soundano – saheliens dans un Contexte de Changement Climatique: Étude de cas dans le Sous-bassin Versant du Nakanbé-Dem au Centre-nord du Burkina". European Scientific Journal ESJ 11 (8 novembre 2022). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.11.2022.p95.

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Abstract (sommario):
La dégradation des bassins versants est une preuve du changement environnemental que connait l’Afrique de l’ouest. Elle s‘exprime par la dégradation des sols de bas-fonds qui demeure une préoccupation récurrente dans les pays sahéliens comme le Burkina Faso. Cette étude analyse la dynamique de la macrofaune des sols de bas-fonds et a pour objectif principal de contribuer à la gestion durable des bas-fonds de la zone soudano-sahélienne. De façon spécifique, il s’est agi de (i) évaluer la richesse spécifique de la macrofaune des sols de bas-fonds, (ii) déterminer la composition de cette macrofaune et (iii) analyser sa distribution selon les sous unités géomorphologiques des bas-fonds et la profondeur du sol. L’étude a été conduite dans le sous-bassin versant du Nakanbé-Dem au Centre-nord du Burkina Faso. Un échantillonnage spatialisé de la macrofaune du sol par la méthode TSBF a été réalisé pour analyser les principaux facteurs explicatifs de la variabilité spatiale de la macrofaune dans les bas-fonds. La fertilité chimique des sols de bas-fonds en milieu plutonique est faible par rapport au degré moyen de la fertilité des sols de bas-fonds en milieu de l’ensemble volcano sédimentaire. L’évaluation de la macrofaune du sol a révélé que les indices de diversité les plus élevés ne dépassent guère 2,40 ± 0,09 pour Shannon et 1,09± 0,02 pour Piélou. La plus grande proportion de la macrofaune est relevée dans les profondeurs de plus de 20 cm du sol. L’étude a relevé un état dégradé des bas-fonds dont les sols sont de fertilité basse à moyenne. La restauration des écosystèmes de ces bas-fonds nécessite une correction des éléments déficitaires si l’on veut gérer durablement les sols de ces bas-fonds.
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Auger, Reginald, e Allison Bain. "Anthropologie et archéologie". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.030.

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Abstract (sommario):
Les parcours sinueux qu’ont suivis l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord depuis une cinquantaine d’années démontrent des intérêts convergents pour la connaissance et l’explication du comportement humain et cela avec des méthodes de recherche de plus en plus divergentes. L’anthropologie qui a émergé des milieux intellectuels aux États-Unis au XIXe siècle avait pour origine l’intérêt pour la compréhension des populations autochtones de l’Amérique; de cet intérêt pour l’humain, se sont développés des outils pour comprendre le comportement qui se cachait derrière le geste posé. Dès le début, l’anthropologue s’intéressait aux comportements et l’archéologue documentait les traces du geste posé. De cette proximité entre l’anthropologie et l’archéologie qui s’est concrétisée par la création du Bureau of American Ethnology à la fin du XIXe siècle, il était naturel de placer la formation en archéologie au sein de départements d’anthropologie dans les universités aux États-Unis et au Canada. Malgré l’apparence initiale d’un champ unifié et d’un terrain partagé entre l’anthropologie et l’archéologie, la pratique s’est transformée pour devenir tout autre au fil des ans. Au milieu du XXe siècle, l’archéologie commence à remettre en question sa relation avec les interprétations fonctionnalistes des anthropologues (Trigger 2006 : 363-372). La première figure à souligner le problème de l’inéquation entre les résultats de la recherche archéologique et la théorie en anthropologie fut Walter Taylor (1948) dans son livre A Study of Archaeology. Taylor, le relativiste, exposa son penchant pour le particularisme historique dans une approche qu’il identifie comme étant conjonctive; pour ce chercheur iconoclaste, l’historiographie comptait pour beaucoup. L’approche conjonctive consistait à établir des corrélations entre différents types de données dans des contextes historiques et culturels spécifiques afin de faire le pont entre des particularités historiques (les collections archéologiques) et des données anthropologiques. La méthodologie qu’il proposait impliquait la vérification d’hypothèses par l’analyse de la composition et de la structure des collections archéologiques. L’objectif central de cette approche visait à mettre de l’avant des études contextuelles détaillées qui permettraient d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques. Dans sa formulation de l’approche conjonctive en archéologie et la vérification d’hypothèses, Taylor reconnaissait qu’une réflexion critique était nécessaire puisque l'archéologue travaillait dans le présent. En dépit de la richesse des collections archéologiques et constatant le danger qui planait sur l’archéologie si nous avions continué à publier des listes d’attributs de nos objets au lieu d’interpréter la culture matérielle comme étant la trace du comportement humain, dans un geste de médiation entre l’anthropologie et l’archéologie, Binford (1962) publiait son article portant le titre Archaeology as Anthropology. Comme il le signale dans son introduction son article qui faisait suite à un ouvrage venant d’être publié par Willey et Phillips (1958) où l’on mentionne clairement que l’archéologie américaine « c’est de l’anthropologie ou rien du tout ». Ce geste d’éclat dans une période charnière de l’enseignement de l’archéologie dans les universités nord-américaines allait donner naissance à un nouveau paradigme que l’on appela la New Archaeology aussi connue sous le nom d’archéologie processuelle. Un tel changement de paradigme venait en contradiction avec les pratiques européennes en matière d’archéologie préhistorique, notamment celles de l’École de Bordeaux et de François Bordes, son membre le plus influent, qui avait réussi à imposer sa vision sur le sens de la variabilité des outils en pierre du paléolithique moyen (Bordes 1961; 1984). Dans sa thèse de doctorat intitulée The Bordes-Binford Debate: Transatlantic Interpretive Traditions in Paleolithic Archaeology, Melissa C. Wargo (2009) présente une analyse en profondeur des modes de pensée qui diffèrent entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Essentiellement, le raisonnement traditionnel voulait que l’apparition d’une nouvelle culture archéologique (de nouveaux types) puisse signifier la manifestation d’un nouveau groupe de personnes, un groupe ethnique détectable avec les outils de l’archéologie. C’est ce que nous apprenions à la lecture des travaux de François Bordes sur les changements technologiques observés au paléolithique moyen. Lorsque Binford est parvenu à étudier les mêmes collections, il proposa des interprétations toutes autres. Ainsi, alors que pour Bordes, des outils différents représentent des groupes différents; si l’ensemble de l’assemblage ne peut être attribué à un groupe avoisinant, peut-être alors que certains éléments peuvent l’être. Et si de tels parallèles peuvent être établis, l’approche de Bordes a pour corollaire que c’est là le lieu d’origine de la population à l’étude et que nous serions en présence d’une diffusion de traits culturels à partir de la migration d’un groupe ethnique. Pour Binford, la différence dans la composition des assemblages devrait plutôt être interprétée comme étant le résultat d’adaptations; pour ce chercheur, les assemblages archéologiques sont des coffres d’outils adaptés pour une fonction particulière. Nonobstant la grande quantité de statistiques accumulées, Binford, de son propre aveu, admit qu’il fut incapable d’expliquer ce qu’elles signifiaient. En d’autres mots, il avait beaucoup d’information sur le présent mais ne pouvait l’expliquer par manque d’analogie avec le passé. En dépit de ces différences d’opinion, l’utilité de la typologie de Bordes réside dans le fait qu’elle fournissait un langage descriptif; cette typologie a cependant été par la suite rejetée par certains chercheurs qui considéraient que la définition des types de François Bordes était inadéquate parce que trop subjective. Pire encore, Bordes a été accusé d’incorporer dans ses interprétations des hypothèses non vérifiées sur les capacités cognitives des hominidés durant le paléolithique moyen. De nos jours, nos analyses de la technologie visent à remplacer cette approche typologique de Bordes par une méthode s’appuyant sur la combinaison d’attributs dont la description porte davantage sur le comportement. De toute évidence, le débat entre le promoteur de la New Archaeology et la figure de proue de l’archéologie française et son approche taxonomique en pierre a permis de mettre en évidence un malaise profond sur la façon dont le passé devrait être interprété. Ce débat est aussi emblématique de traditions scientifiques différentes entre l’Europe et l’Amérique du Nord. C’est dans ce contexte intellectuel que sont nés des départements d’anthropologie associant l’anthropologie culturelle, l’anthropologie biologique, la linguistique et l’archéologie. Ces quatre champs sont apparus à des moments bien précis de l’histoire des universités nord-américaines mais de nos jours, la réalité de l’anthropologie est devenue beaucoup plus complexe (Bruner 2010). Un étudiant en archéologie peut avoir des besoins de formation en géographie, en histoire, en géologie, en botanique, en biologie, en ethnohistoire, en systèmes d’information géographique, en informatique, etc. alors qu’un étudiant en anthropologie pour atteindre un niveau de compétence élevé pourrait avoir besoin de formation en histoire, en science politique, en sociologie, en art, en littérature, en théorie critique, etc. Malgré que les besoins aient grandement changé depuis la création des départements d’anthropologie, les structures académiques sont demeurées statiques. La protection des départements d’anthropologie dans leur configuration actuelle des quatre champs relève le plus souvent des politiques universitaires. Ainsi, même si les professeurs étaient d’accord qu’il serait intellectuellement plus profitable de scinder ces gros départements, la question de diviser les départements d’anthropologie en unités plus petites qui feraient la promotion de l’interdisciplinarité dans les sciences humaines et sociales n’est pas envisagée dans la plupart des universités nord-américaines (Smith 2011). Au milieu de cette tourmente, se sont développés un certain nombre de départements et de programmes d’archéologie en Amérique du Nord. De là est née une discipline émancipée du joug des structures trop rigides et se donnant un ensemble de méthodes de recherche qui lui étaient propres. La trajectoire conceptuelle empruntée par ceux-ci a permis de remonter au-delà du geste et de la parole en retenant une classe cohérente de concepts explicatifs développés, certes en anthropologie, mais raffinés et adaptés au contact de l’archéologie et d’autres disciplines en sciences humaine et sociales et sciences de la nature. Cette indépendance intellectuelle de l’anthropologie s’est notamment affirmée par des collaborations entre l’archéologie et la philosophie des sciences (Kelly et Hanen 1988; Salmon 1982; Wylie 2002; Wylie et Chapman 2015). La croissance de l’intérêt pour les explications processuelles des données archéologiques chez plusieurs archéologues nord-américains fut motivée par le fait que les néo-évolutionistes en anthropologie mettaient trop l'accent sur les régularités dans les cultures. Les concepts utilisés en archéologie processuelle exerçaient une influence significative sur notre discipline et l’adoption de cette approche théorique était d’autant plus attrayante car les variables proposées se présentaient comme des causes majeures de changements culturels et relativement accessibles à partir des vestiges archéologiques. Cette approche s'intensifia et donna de nouvelles directions aux tendances déjà présentes en archéologie préhistorique. Dans ce changement de paradigme qui donna naissance au courant de la Nouvelle Archéologie en Amérique du Nord et à un moindre degré au Royaume-Uni, l’accent était placé sur la vérification d’hypothèses sur les processus culturels comme outils d’explication du passé. De la position qu’elle occupait comme l’un des quatre sous-champs de l’anthropologie ou encore, de celle de servante de l’histoire, l’archéologie est devenue l’un des plus vastes champs du monde académique (Sabloff 2008 : 28). En plus d’avoir trouvé son ancrage théorique dans les sciences sociales et humaines, l’archéologie, attirée par les techniques et méthodes fraie régulièrement avec les sciences physiques et les sciences de la nature. En se donnant ses propres méthodes de collecte et d’analyse pour l’examen de cultures distinctes et en poursuivant avec des comparaisons interculturelles, la discipline cherchait à mieux comprendre les cultures qui se sont développées à travers le temps et l’espace. Puisque l’objet d’étude de l’archéologie porte sur les traces de groupes humains dans leur environnement naturel et leur univers social, les questions qu’elle se pose sont fondamentales à l’histoire de l’humanité et pour répondre à de telles questions elle s’est dotée de méthodologies d’enquête qui lui sont propres. L’utilisation d’équipements sophistiqués pour déterminer la composition chimique des résidus lipidiques incrustés sur un outil en pierre taillée ou encore, les recherches sur la composition physico-chimique de la pâte d’une céramique sont des techniques visant à répondre à des questions d’ordre anthropologique. Le quand et le comment du passé sont relativement faciles à identifier alors que pour découvrir le pourquoi l’archéologue fait souvent appel à l’analogie ethnographique, une méthodologie issue de l’insatisfaction des archéologues à l’endroit des travaux en anthropologie culturelle (David et Kramer 2001). Une autre méthodologie est celle de l’archéologie expérimentale qui s’intéresse à la fabrication et à l’usage des outils (Tringham 1978), méthode similaires à celle de l’ethnoarchéologie. L’expérimentation à partir d’outils fabriqués par le chercheur et les banques de données provenant d’expérimentations contrôlées servent alors d’éléments de comparaison pour interpréter la forme des assemblages archéologiques (Chabot et al. 2014) est au centre de la méthode préconissée. Le développement de l’ethnoarchéologie durant les années 1970 aurait inspiré Binford (1981) lorsqu’il mit de l’avant l’utilisation de théories de niveau intermédiaire pour établir un lien entre ses données archéologiques et les théories de niveau supérieur sur le comportement. Sa décision semble avoir reposé sur les développements de l’approche ethnoarchéologique et ses propres terrains ethnoarchéologiques chez les Nunamiut de l’Alaska (Binford 1978). D’autres orientations théoriques ont vu le jour au cours des années 1960–1970 et ont fait la distinction entre différentes approches matérialistes par rapport à des schémas évolutionnistes antérieurs. Par exemple, Leslie White (1975) adopta une forme de déterminisme technologique très étroit qui reflétait une croyance en la technologie comme source de progrès social. Julian Steward (1955) envisagea un déterminisme écologique moins restrictif alors que Marvin Harris (1968) y voyait un déterminisme économique encore plus large. Pour ces quelques positivistes le rôle que l’archéologie se devait de jouer était d’expliquer la culture matérielle du passé. Quant à l’archéologue Lewis Binford (1987), il soutenait que l’étude des relations entre le comportement humain et la culture matérielle ne devrait pas être le rôle central de l’archéologie puisque selon lui, les données ne contiendraient aucune information directe sur les relations entre le comportement humain et la culture matérielle. Dorénavant, les données archéologiques se devaient d’être comprises par elles-mêmes, sans avoir recours à des analogies ethnographiques. Cette dernière approche voulait clairement établir de la distance entre l’archéologie, l’anthropologie culturelle, l’ethnologie et peut-être les sciences sociales en général ; son mérite était peut-être, justement, d’éviter les réductionnismes et les analogies rapides entre explications anthropologiques et assemblages archéologiques. Dans la même veine, d’autres remises en question sont apparues durant les années 1980 avec les travaux d’Ian Hodder (1982; 1985) sur la validité des certitudes positivistes qui avaient été le fonds théorique et empirique des adeptes de la New Archaeology. Depuis cette réflexion sur l’essence même de l’archéologie, Hodder a reconnu qu’une position critique est fondamentale face à l’objet d’étude; naquit alors le courant théorique post-processuel en archéologie. Dans son cheminement pour découvrir la signification des vestiges qu’elle étudie, l’archéologie post-processuelle s’appuie sur des études détaillées permettant d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques en exploitant la diversité des sources; cette direction du courant post-processuel en archéologie porte le nom d’archéologie contextuelle. Comme tout changement de paradigme apporte avec lui son lot de détracteurs, l’archéologie post-processuelle a été immédiatement accusée d’une trop grande subjectivité interprétative voire, de déconstructionisme. Les autres orientations placées sous le label archéologie post-processuelle incluent : le structuralisme, le néo-marxisme, l’archéologie cognitive, la phénoménologie, et d’autres encore Ainsi l’individu, l’agent ou l’acteur et son intentionnalité devrait être au centre des interprétations dans la théorie post-processuelle. Nous pouvons conclure que l’examen de la relation entre l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord a permis de constater que, depuis ses débuts, l’archéologie dans cette région du monde a vécu une liaison relativement tumultueuse avec l’anthropologie. Cette condition, souvent problématique, a vu naître, au Canada d’abord, des groupuscules d’archéologues avec des intérêts divergents qui se sont distanciés des paradigmes qui dominaient les départements d’anthropologie pour former des départements d’archéologie ou des programmes d’archéologie autonomes des programmes d’anthropologie. Sur les chemins empruntés ces nouveaux départements sont entrés en relation avec les départements de sciences naturelles, notamment, la géographie, avec laquelle les archéologues ont partagé un ensemble de concepts et de méthodes. Il en a résulté un enseignement de l’archéologie nettement interdisciplinaire et faisant appel à des méthodes quantitatives pour comprendre la culture matérielle dans son environnement naturel et expliquer son milieu culturel à partir de concepts empruntés aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences naturelles.

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