Letteratura scientifica selezionata sul tema "Grande-Bretagne – Relations internationales – 19e siècle"

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Articoli di riviste sul tema "Grande-Bretagne – Relations internationales – 19e siècle":

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Møller, Jørgen. "Medieval Origins of the European State System: The Catholic Church as Midwife". International Studies Review, 27 novembre 2020. http://dx.doi.org/10.1093/isr/viaa091.

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Abstract (sommario):
Abstract The received view in international relations (IR) is that the European multistate system was created when the medieval religious order broke down in the centuries following the Reformation. This view, which sees the medieval Catholic Church as a factor that hindered the advent of the multistate system, ignores a key insight of medieval historians, namely that the deeper historical precondition for the European multistate system was that the Church challenged the notions of empire and hegemony after the eleventh-century conflict of church and state. By mining this body of historiography, this paper shows how the end of the fusion of lay and religious authority in general and the Church's persistent interest in avoiding that one secular polity outmatched the others in particular contributed to the development of the European multistate system. These insights not only question dominant historiographic assumptions of IR, but may also be said to challenge the epistemological approaches of much of this scholarship. Resumen El criterio aceptado en Relaciones Internacionales (RI) es que el sistema multiestatal europeo se creó tras el colapso del orden religioso medieval en los siglos posteriores a la Reforma. Este criterio, que considera a la Iglesia católica como un factor que dificultó el advenimiento del sistema multiestatal, ignora un conocimiento clave de los historiadores medievales, específicamente, que la condición previa histórica más profunda del sistema multiestatal europeo fue que la Iglesia desafió las nociones de imperio y hegemonía después del conflicto entre la iglesia y el estado en el siglos XI. Al indagar exhaustivamente este cuerpo de historiografía, este informe demuestra cómo el fin de la fusión entre autoridad laica y religiosa en general y el interés persistente de la Iglesia por evitar que una forma de gobierno secular supere a las otras en particular contribuyeron al desarrollo del sistema multiestatal europeo. Estas conclusiones no solo cuestionan las conjeturas historiográficas dominantes de RI, sino que puede decirse que también desafían los abordajes epistemiológicos de gran parte de esta erudición. Extrait Le point de vue généralement accepté dans les relations internationales est que le système multiétatique européen s'est constitué lorsque l'ordre religieux médiéval s'est effondré dans les siècles qui ont suivi la Réforme. Ce point de vue, qui voit l’Église catholique médiévale comme un facteur ayant empêché l'avènement du système multiétatique, omet une perspective clé des historiens médiévaux, c'est-à-dire que l'une des conditions historiques préalables plus profondes à l’établissement du système multiétatique européen a été le fait que l’Église avait remis en question les notions d'empire et d'hégémonie après le conflit entre Église et État du 11e siècle. En exploitant ce corpus historiographique, cet article montre comment la fin de la fusion des autorités laïques et religieuses en général, et l'intérêt persistant de l’Église à éviter qu'un régime laïque ne dépasse les autres en particulier, ont contribué au développement du système multiétatique européen. Ces perspectives remettent non seulement en question les hypothèses historiographiques dominantes, mais nous pouvons considérer qu'elles remettent également en question les approches épistémologiques d'une grande partie des recherches dans ce domaine.
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Giordano, Christian. "Nation". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract (sommario):
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.

Tesi sul tema "Grande-Bretagne – Relations internationales – 19e siècle":

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Syng-Ho, Kim. "La question de Port Hamilton (1885-1887) dans le contexte de la politique étrangère des grandes puissances". Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010690.

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Abstract (sommario):
En 1885, la Grande Bretagne occupait Port Hamilton, iles situées à 20 milles du littoral méridional de la péninsule coréenne, du point de vue de sa considération militaire et stratégique. Apres l'occupation illégale de ces iles durant 22 mois, le drapeau de "l'Union Jack" cessa de flotter sur port Hamilton. L'occupation britannique est une menace directe non seulement pour la Russie et la Chine mais aussi pour le Japon. Pour le gouvernement britannique, il n'est plus possible de laisser en suspens la question d'occuper ou de se retirer de Port Hamilton. Le gouvernement anglais ne fait pas d'objection à l'évacuation, mais la question est alors de trouver une sortie honorable. Bien que les négociations russo-chinoises concernant l'assurance que la Russie ne s'en emparerait pas dans le cas d'une évacuation anglaise de port Hamilton se soient terminées sans un accord écrit, des assurances verbales réciproques ont été données. Donc le gouvernement anglais décide de se retirer. La conséquence de l'incident de Port Hamilton reflète la situation délicate en Extrême-Orient de la politique étrangère des grandes puissances.
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Cheriau, Raphaël. ""L'Intervention d'Humanité" or the Humanitarian Right of Intervention in International Relations : Zanzibar, France and Britain in between Colonial Expansion and Struggle against the Slave Trade from the mid-19th Century to the early 1900s". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040060.

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Abstract (sommario):
Dans la seconde moitié du dix-neuvième siècle, le Sultanat de Zanzibar a été au cœur des politiques abolitionnistes et coloniales aussi bien françaises que britanniques. En effet, l’île de Zanzibar ne fut pas seulement le plus grand marché aux esclaves de l’océan Indien mais aussi la porte d’entrée privilégiée des trafiquants d’esclaves, des abolitionnistes, et des partisans de la colonisation en Afrique Orientale. Cette thèse s’intéresse aux controverses, ayant opposé la France et la Grande-Bretagne dans les eaux territoriales de Zanzibar, sur le droit de visite des bateaux transportant des esclaves ainsi que sur le droit des boutres à battre pavillon français et à échapper ainsi aux contrôles de la Royal Navy. Cette recherche souligne combien ces questions furent importantes, non seulement pour les relations de la France, de la Grande-Bretagne et du Sultanat de Zanzibar, mais aussi pour le droit international et les relations internationales jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale. Ce travail montre que les opérations de lutte contre la traite qui ont eu lieu à Zanzibar ont inspiré de nombreux officiers de marine, des consuls, des diplomates, des juristes, et des hommes politiques, aussi bien français que britanniques, quant à la conception et à la mise en œuvre « d’interventions humanitaires ». Ainsi l’histoire des opérations de lutte contre la traite menées dans le sultanat de Zanzibar permet d’éclairer de manière originale l’histoire du concept d’intervention humanitaire ou « d’humanité » (« intervention in the score of humanity »). Cette recherche souligne combien la nature de ces interventions humanitaires a sans cesse oscillé entre de véritables idéaux abolitionnistes et des enjeux coloniaux pressants
In the second half of the nineteenth century the Zanzibar Sultanate became the focal point of French as well as British imperial and humanitarian policies. In fact, the island was not only the most important slave trade emporium of the Indian Ocean but it was also the great gateway to East Africa for slave traders, humanitarians, or imperialists alike. This thesis looks at the controversies which took place in Zanzibar waters between France and Britain over the right of searching vessels suspected of being engaged in the slave trade as well as the right of dhows to fly the French flag and escape the Royal Navy’s scrutiny. This research highlights how important these questions were, not only for the relations of France, Britain, and the Zanzibar Sultanate, but also for international law and international relations up until the eve of the First World War. This work demonstrates that the anti-slave trade operations which took place in Zanzibar inspired many navy officers, consuls, diplomats, Foreign Secretaries, and lawyers – whether British, French, or American – on the theory and the practice of “humanitarian interventions”. Indeed, the history of anti-slave trade operations implemented in the Zanzibar Sultanate sheds a new light on the history of the concept of humanitarian intervention, or “intervention in the score of humanity” – (“l’intervention d’humanité”) – as it was then called. This research underlines how these humanitarian interventions unceasingly swung between genuine humanitarian ideals and pressing imperial issues
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Majid, Abdul Majid. "Les relations entre l'Irak et la Grande-Bretagne de 1930 à 1952". Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010537.

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Abstract (sommario):
La première partie évoque la situation de l’Irak de 1914 à 1918, période dite d'occupation. Ensuite les facteurs et les évènements qui ont conduit à placer l’Irak sous mandat britannique, la naissance de l'état irakien en 1920. La deuxième et la troisième parties constituent une étude globale et détaillée des négociations qui ont réuni les deux pays en vue de la conclusion du traité de 1930 ; ensuite les rapports de l’Irak avec la société des nations et son adhésion à cette instance internationale en 1932. Sans oublier de parler de l'instabilité qui a caractérisé la vie politique du pays après l'indépendance et l'avènement du phénomène des coups d'état et autres putschs militaires. Nous essayons aussi de mettre en lumière les organisations politiques qui ont vu le jour dans le pays. Nous étudions plus en détails les intérêts pétroliers britannique en Irak et les rivalités franco-britanniques au sujet du pétrole irakien. Dans la quatrième partie de notre travail, nous évoquons d'abord la détérioration des relations irako-britanniques à la suite de l'avènement en Irak d'un gouvernement issu du mouvement militaire de 1941, gouvernement largement acquis aux thèses des puissances de l'axe. Cette situation provoque un affrontement arme avec les britanniques qui envahiront l’Irak pour la seconde fois. Enfin la période d'après-guerre qui a caractérisé la situation politique et la conclusion du traité en 1948
The first part examines the situation of iraq from 1914 to 1918, the so-called period of occupation; then the factors and events which led to the placing of Iraq under British mandate, and the birth of the Irasi state in 1920. The second and third sections constitute a global and in-depth study of the negatiations which brought the two countries together in the signing of the treaty of 1930, iraqi relations with the league of nations and her entrance into this international group in 1932; the instability which has characterized the political life of the country following independence, and the advent of the phenomenon of coups d'état and other military putschs. We also reveal the political organizations which arose in the country. We review in greater detail the british oil interests in iraq and the franco-british rivalry over Iraqi oil. In the fourth part of our work, we examine first the deterioration in Iraqi-British relations following the ascension in Iraq of a government born of the military movement of 1941, a government largely based upon the political ideology of the axis countries. This situation provoked an armed confrontation with the british who invaded iraq for the second time. Finally, we discuss the post-war era which has characterized the political situation and the signing of the treaty of 1948
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Cheriau, Raphaël. ""L'Intervention d'Humanité" or the Humanitarian Right of Intervention in International Relations : Zanzibar, France and Britain in between Colonial Expansion and Struggle against the Slave Trade from the mid-19th Century to the early 1900s". Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040060.

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Abstract (sommario):
Dans la seconde moitié du dix-neuvième siècle, le Sultanat de Zanzibar a été au cœur des politiques abolitionnistes et coloniales aussi bien françaises que britanniques. En effet, l’île de Zanzibar ne fut pas seulement le plus grand marché aux esclaves de l’océan Indien mais aussi la porte d’entrée privilégiée des trafiquants d’esclaves, des abolitionnistes, et des partisans de la colonisation en Afrique Orientale. Cette thèse s’intéresse aux controverses, ayant opposé la France et la Grande-Bretagne dans les eaux territoriales de Zanzibar, sur le droit de visite des bateaux transportant des esclaves ainsi que sur le droit des boutres à battre pavillon français et à échapper ainsi aux contrôles de la Royal Navy. Cette recherche souligne combien ces questions furent importantes, non seulement pour les relations de la France, de la Grande-Bretagne et du Sultanat de Zanzibar, mais aussi pour le droit international et les relations internationales jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale. Ce travail montre que les opérations de lutte contre la traite qui ont eu lieu à Zanzibar ont inspiré de nombreux officiers de marine, des consuls, des diplomates, des juristes, et des hommes politiques, aussi bien français que britanniques, quant à la conception et à la mise en œuvre « d’interventions humanitaires ». Ainsi l’histoire des opérations de lutte contre la traite menées dans le sultanat de Zanzibar permet d’éclairer de manière originale l’histoire du concept d’intervention humanitaire ou « d’humanité » (« intervention in the score of humanity »). Cette recherche souligne combien la nature de ces interventions humanitaires a sans cesse oscillé entre de véritables idéaux abolitionnistes et des enjeux coloniaux pressants
In the second half of the nineteenth century the Zanzibar Sultanate became the focal point of French as well as British imperial and humanitarian policies. In fact, the island was not only the most important slave trade emporium of the Indian Ocean but it was also the great gateway to East Africa for slave traders, humanitarians, or imperialists alike. This thesis looks at the controversies which took place in Zanzibar waters between France and Britain over the right of searching vessels suspected of being engaged in the slave trade as well as the right of dhows to fly the French flag and escape the Royal Navy’s scrutiny. This research highlights how important these questions were, not only for the relations of France, Britain, and the Zanzibar Sultanate, but also for international law and international relations up until the eve of the First World War. This work demonstrates that the anti-slave trade operations which took place in Zanzibar inspired many navy officers, consuls, diplomats, Foreign Secretaries, and lawyers – whether British, French, or American – on the theory and the practice of “humanitarian interventions”. Indeed, the history of anti-slave trade operations implemented in the Zanzibar Sultanate sheds a new light on the history of the concept of humanitarian intervention, or “intervention in the score of humanity” – (“l’intervention d’humanité”) – as it was then called. This research underlines how these humanitarian interventions unceasingly swung between genuine humanitarian ideals and pressing imperial issues
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Baud, Berthier Gilles. "Le commerce entre la Grande-Bretagne et la Chine, 1840-1900". Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040086.

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Abstract (sommario):
Le travail de these a pour objectif d'evaluer la part de la chine dans le commerce exterieur de la grandebretagne au xixe siecle, depuis la prise en compte de la doctrine du libre-echange dans la politique commerciale britannique jusqu'a son remplacement par l'inperialisme economique, provoque par l'emergence de la concurrence internationale. Le travail se decompose donc en deux parties. L'une est le rassemblement de valeurs chiffrres extraites des rapports au parlement britannique a partir des documents douaniers, et leur traitement pour en unifier les unites et corriger les variations dues aux differents modes de calcul des douanes. Cet appareil est complete par des graphiques. Les series comprennent les valeurs de 1815 a 1900 des importations, des exportations et des reexportations, generales et par categories principales d'articles - globales de la grande-bretagne - entre la grande-bretagne, la chine, hong-kong et l'inde. La seconde partie du travail est constituee des commentaires historiques sur les series statistiques. La politique economique britannique, le contexte des affaires en chine et les performances du commerce d'asie sont successivement analyses
The aim of phd thesis is to evaluate the share of china in the foreign trade of great-britain during xixth century. This study goes from the access of free-trade to governmental ideology, until the adoption of imperialism because of international economic competition. The thesis is divided in two parts. First, datas have been extracted from parliamentary papers. They are based on customs revenues reports, and their treatment lakes the variations of calculation and of units of money into consideration. They are completed by a full range of charts and diagrams. The statistical datas give annual general andper items imports, exports and reesports, from 1815 till 1900 : - of global trade of great-britain - trade between great-britain, india, china and hongkong. Second, commentaries on datas deal with questions of british commercial policy, business context in china and the results of british trade with asia
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Louvier, Patrick. "La puissance navale et militaire britannique en Méditerranée (1840-1871)". Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040087.

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Abstract (sommario):
En 1840, la puissance navale et militaire britannique en Méditerranée repose sur deux composantes : une escadre permanente, basée à Malte, et trois forteresses : Gibraltar, La Valette et Corfou. Entre 1841 et 1853, les enseignements de la guerre de Syrie (1840) puis les progrès de la marine de guerre à vapeur française sont l'objet de vifs débats qui entrainent le renforcement de l'escadre, la création d'une hotte mixte, ainsi que la modernisation de l'arsenal de Malte. La réorganisation partielle des fortifications de Gibraltar et de La Valette tente parallèlement de répondre aux défis posés par les progrès de l'artillerie navale et les changements tactiques introduits par la marine à vapeur. La guerre de Crimée impose une modification importante du dispositif naval et militaire anglais en méditerranée. Elle dévoile les limites d'une stratégie amphibie handicapée par l'insuffisance des ressources militaires insulaires et méditerranéennes et l'échec d'une collaboration anglo-ottomane. Ce conflit conduit à une réorganisation des forces navales, il bouleverse la composition des garnisons et dévoile l'importance logistique de Malte. Le processus de modernisation engagé après 1841 est parachevé entre 1856 et 1860 avec la conversion de l'escadre en flotte " tout vapeur " et le réarmement des forteresses. La décennie suivante est marquée par une rapide évolution des données technologique et stratégique. L'introduction après 1860 de canons rayes suscite de vives controverses. La conversion de l'escadre en flotte cuirassée (1863 - 1867) rend impératif un renforcement des capacités logistiques. Alors que l'abandon des iles ioniennes en 1864 libère l’armée d'un fardeau onéreux et inutile, l'adoption de la route de Suez comme voie militaire impériale régulière puis la création d'un réseau télégraphique anglo-indien transméditerranéen consacrent un processus engagé au début des années 1840 et décuplent l'importance géostratégique de la Méditerranée.
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Joint-Daguenet, Roger. "La politique britannique en Mer Rouge et dans le golfe d'Aden au XIXe siècle : le rôle d'Aden, 1839-1869". Aix-Marseille 1, 1997. http://www.theses.fr/1997AIX10034.

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Abstract (sommario):
Le principal objet de cette etude fut de rechercher les motivations de l'attitude britannique a l'egard de la france dans une region - la mer rouge - qui ne presenta un reel interet pour l'angleterre qu'apres l'expedition de bonaparte en egypte a la fin du xviiieme siecle. Apres 1815, la france connut egalement un sentiment analogue, mais pour des raisons differentes. En effet, les demi-soldes francais gardaient la nostalgie de l'egypte. Ils s'y rendirent donc nombreux et furent bien accueillis, mais leurs motivations etaient d'ordre personnel. Pour les britanniques, c'etait l'empire des indes, donc l'interet national, qui etait en jeu. La mer rouge prit donc alors pour la grande-bretagne une grande importance strategique et elle suscita un changement complet de politique. Devant l'accroissement de l'influence de la france, due a une certaine francophilie de mehemet aly et a la qualite des francais qui participaient au developpement de l'egypte, l'angleterre s'appliqua a en reduire les effets par crainte d'une menace sur la "nouvelle route des indes" par l'isthme de suez. Pour ce faire elle pratiquera en egypte et en turquie une politique visant a eviter l'emancipation de l'egypte et a user de fortes pressions diplomatiques sur l'empire ottoman. Le soutien de paris a mehemet aly amena les deux rivales au bord d'une guerre en 1840 et rappela a la france les limites que la grandee-bretagne lui imposait en politique internationale depuis le traite de vienne. L'avenement de la navigation a vapeur rendit cette voie encore plus rapide et accrut son importance strategique. Les necessites de l'escale, du ravitaillement des navires en combustible et la defense de la libre navigation amenerent la grande-bretagne a s'implanter a aden en 1839. Elle ajouta a cet aspect strategique un volet economique en s'efforcant de concentrer les echanges commerciaux sur sa colonie et de s'attribuer une substantielle part des echanges inter-africains du tres important marche saisonnier de berbera. Cette politique d'indirect rule lui imposa sur la cote africaine de pesantes obligations et l'entraina de plus en plus dans le jeu des luttes tribales. Les voyages effectues par des francais en mer rouge durant le xixeme siecle et le projet de canal dans l'isthme de suez souleverent chez les britanniques la crainte quelque peu irrationnelle d'avoir a affronter, sur la route des indes
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Barrier, Virginie. "De l'Empire britannique au Commonwealth des Nations : le sens de la question de Rhodésie". Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040039.

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Abstract (sommario):
La crise de Rhodésie recouvre l'étendue de ce que l'histoire retiendra comme une 'question', caractérisée pendant plus de soixante-dix ans par des relations ambigue͏̈s entre la mère patrie et l'une de ses colonies. Or, analyser dans toute leur perspective diachronique les contours et les articulations de cette question conduit à formuler des hypothèses touchant à la nature et à l'évolution de l'idée impériale britannique. La Rhodésie était une colonie 'atypique'. Considérée comme un Dominion par Londres, elle mit en place un système de discrimination raciale quand, dans le même temps, l'idée impériale évoluait dans le sens d'une prise en compte des intérêts des indigènes dans la gestion des colonies. Le Commonwealth des Nations fut ainsi marqué, dans la phase cruciale de son institutionnalisation, par l'impossible évolution post-coloniale de la Rhodésie, prise entre nationalisme blanc et décolonisation impériale
The Rhodesian Crisis was characterised for more than seventy years by ambiguous relations between the mother country and one of her colonies. Put into historical perspective it shows that the issue was marked by the nature and evolution of the British imperial idea. Rhodesia was a 'non-typical' colony. Since London considered Rhodesia as a Dominion, the Rhodesian Government was able to institute a political system based on racial segregation. At the same time, the interests of natives in the administration of the Colonies had become the core of the imperial idea. The institutionalisation of the Commonwealth of Nations was affected by Rhodesia's inability to carry out a post-colonial transition, as it was torn between white nationalism and imperial decolonisation
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Bensalem, Boutaïna. "Les relations commerciales et diplomatiques entre la Grande Bretagne et le Maroc, XIXe-XXe siècle : des rapports complexes sous l'influence politique de la France, de l' Espagne et des pressions régionales". Bordeaux 3, 2011. https://extranet.u-bordeaux-montaigne.fr/memoires/diffusion.php?nnt=2011BOR30030.

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Abstract (sommario):
L'objet de cette thèse est de tracer les contours des relations diplomatiques et économiques entre la Grande-Bretagne et le Maroc durant le XIXe et le XXe siècles en s'appuyant sur différentes affaires politiques, économiques et sociales qui marquèrent leurs rapports. Il s'agit ici de montrer l'intérêt que portait la Grande-Bretagne au Maroc dans le cadre d'un contexte international particulier et comment sa politique envers ce pays de l'Afrique du Nord ne démêlait pas la diplomatie du commerce. Les différents aspects de la prépondérance britannique au Maroc durant cette période de l'histoire, sont abordés dans un cadre thématique et chronologique qui souligne le double langage diplomatique de la Grande-Bretagne, qui basculait entre la suggestion et l'ingérence avant de choisir l'effacement pour des raisons politiques et stratégiques. Basée sur des sources diverses, l'intérêt de cette étude est de démonter l'impact de la politique britannique sur l'histoire de l'Empire chérifien, en apportant un nouvel éclairage sur le rôle important que jouèrent d'autres pays européens dans l'évolution de la politique britannique envers ce pays méditerranéen
The object of this thesis is to outline the economical and diplomatic relationship between Great Britain and Morocco during the 19th and 20th centuries based on different social, political and economical affairs marking their relations. Its aim is to also bring forth the British interest in Morocco in a very specific international context and how the British politics towards this North African country did not exclude commecial policy. The different aspects of the British preponderance in Morocco during this period of history are approached from a thematic and chronological context underlying the British diplomatic double language which toggled between interference and suggestion until withdrawal was chosen for strategic and political reasons. Based on a multitude of sources, the goal of this study is demonstrate the impact of Great Britain politics on the history of the Cherifian Empire by bringing light into the important role played by other European countries in the British political evolution towards this Mediterranean country
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Kuo, Sheng-Lung. "La meilleure ennemie de la France : Guides, récits de voyage outre-Manche et considérations sur l'Angleterre pendant la monarchie de Juillet". Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. http://www.theses.fr/2018USPCC197.

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Abstract (sommario):
Le règne de Louis-Philippe (1830-1848), le roi français le plus anglophile, commence dans une atmosphère anglomane. Différents conflits entre Paris et Londres pendant cette période réveillent néanmoins des pensées anglophobes chez certains Français. Partant de ces trois sentiments qui se distinguent et coexistent à la fois, et à la lumière des différents courants de l’époque, comme le romantisme, le nationalisme et le socialisme, ce travail consiste à étudier les représentations de l’Angleterre sous la monarchie de Juillet. Une étude des relations franco-britanniques depuis le siècle des Lumières jusqu’à la chute du dernier roi français sert de toile de fond à ce travail : elle permet d’éclaircir la vision générale qu’avaient les Français de leurs voisins au cours du temps. Les guides de voyage publiés pendant le règne du roi des Français et les écrits des voyageurs français relatant leurs découvertes et expériences de la vie à l’anglaise au sein de « l’Angleterre commerciale et industrielle » font ensuite l’objet de nos analyses. À cela s’ajoute un examen de leurs considérations relatives à l’état social de cette Angleterre industrielle, dans un contexte où la France commence à suivre elle-même la voie de l’industrialisation. Ces diverses images de la Grande-Bretagne tirées des œuvres des voyageurs semblent toutes indiquer le motif de leurs séjours outre-Manche : étudier l’Angleterre afin d’instruire leur patrie, la France, voire le monde entier
The most Anglophile French king, Louis-Philippe (1830-1848), commences his rule inan Anglomaniac atmosphere. Throughout his reign though, several conflicts opposing Parisand London are the cause of an unfolding Anglophobic spirit. Starting off from these three feelings that are both distinct and interdependent, and in the perspective of the main contemporary trends like romanticism, nationalism and socialism, this thesis aims at studyingthe various representations of England during the July Monarchy. A study of the evolving Franco-British relationship from the Age of Enlightenment until the fall of the last Frenchking, is the background to this work: it helps understanding the judgment that the French exercised on their English neighbors during this period. Guidebooks published during the“King of the French” regime and writings from French travelers who expand on their discoveries and experiences of the English life within a “commercial and industrial England”,are then an object of analysis. A final aspect of this study focuses on their considerations with respect to the social state of this “industrial England”, in a context when France is pursuing apath of industrialization. Those diverse images about Great Britain extracted from French travelers’ publications are all pointing to the true motive of their stay across the Channel: a circumspect study of England that can be used to educate their own country, France, or eventhe whole world

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