Letteratura scientifica selezionata sul tema "Gestion des ressources naturelles – Andes (Pérou)"

Cita una fonte nei formati APA, MLA, Chicago, Harvard e in molti altri stili

Scegli il tipo di fonte:

Consulta la lista di attuali articoli, libri, tesi, atti di convegni e altre fonti scientifiche attinenti al tema "Gestion des ressources naturelles – Andes (Pérou)".

Accanto a ogni fonte nell'elenco di riferimenti c'è un pulsante "Aggiungi alla bibliografia". Premilo e genereremo automaticamente la citazione bibliografica dell'opera scelta nello stile citazionale di cui hai bisogno: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver ecc.

Puoi anche scaricare il testo completo della pubblicazione scientifica nel formato .pdf e leggere online l'abstract (il sommario) dell'opera se è presente nei metadati.

Articoli di riviste sul tema "Gestion des ressources naturelles – Andes (Pérou)":

1

Hervé, Caroline. "Communs". Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.086.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Les communs (commons en anglais) peuvent être définis comme un ensemble de ressources physiques, matérielles ou immatérielles que les êtres humains cherchent à exploiter, à gérer ou à protéger pour assurer leur survie biologique, économique, sociale ou encore culturelle. Très à la mode depuis une quarantaine d’années en anthropologie, sociologie, histoire, économie ou encore en philosophie, ce concept a vu son champ d’application s’élargir, ses propositions théoriques s’étoffer et ses analyses se complexifier, tout en perdant progressivement son sens historique. Sortis du champ académique et instrumentalisés par les mouvements de résistance au néolibéralisme, les communs sont désormais au cœur de débats de société. La façon dont cette notion interroge les interactions entre les êtres humains et leur environnement, son intérêt pour éclairer la fabrication du social et sa réutilisation dans le débat public en fait un objet de recherche riche pour l’anthropologie. La définition du concept de communs est une entreprise difficile tant il renvoie à des usages divers. Si certains chercheurs tendent à privilégier, en français, l’usage du pluriel afin de marquer la grande variété des ressources regroupées sous la terminologie de communs, que l’on parle de ressources naturelles, mais également sociales ou intellectuelles, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’utiliser le terme au singulier afin de souligner son potentiel théorique et pratique (Hardt et Negri 2012 ; Dardot et Laval 2014). L’origine étymologique du terme commun, construit sur les locutions latines cum et munus, renvoie à une idée centrale, celle de la mise commun ou de la gestion commune de biens, mettant l’accent sur le fait que le commun « implique donc toujours une certaine obligation de réciprocité liée à l’exercice de responsabilités publiques » (Dardot et Laval 2014 : 23). Ces deux aspects, celui de réciprocité et de responsabilité publique, sont au cœur de la définition historique des communs. Les origines du concept renvoient à une pratique de gestion des terres qui était courante dans différentes régions d’Europe avant la fin du Moyen-Âge et qui consistait en la gestion commune de certaines terres par un groupe de personnes ou d’unités familiales pendant une période de temps limitée. Dans certaines circonstances, tout le monde pouvait avoir accès à ces terres, selon des règles d’usage particulières ; dans d’autres cas, leur usage était restreint et contrôlé. Ce fonctionnement communal a progressivement été mis en cause par les autorités publiques et les cercles politiques à partir du milieu du XVIIIe siècle. En l’espace d’un siècle, la plupart des communs en Europe de l’ouest devinrent ainsi des propriétés privées ou publiques (De Moor 2011 : 425). Ceci correspond au phénomène connu des enclosures qui s’est particulièrement développé en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à travers lequel de larges étendues de champs ouverts, connus sous le nom de terrains communaux ou commons, ont progressivement été parcellisés et enclos (Hemmungs Wirtén 2013 : 2), dans un contexte marqué par l’augmentation démographique et l’industrialisation. Ce retour dans l’histoire est important pour comprendre les confusions qui sont apparues lorsque les chercheurs des différentes disciplines ont commencé à s’intéresser plus largement à la question des communs à partir du milieu du XXe siècle. L’une des confusions les plus importantes a été introduite par le biais du travail de Garrett Hardin dans son célèbre article « The Tragedy of the Commons », publié en 1968, dans lequel il explique que les communs sont susceptibles de surexploitation et donc de disparition. Sa thèse principale repose sur l’idée biaisée que les communs historiques étaient accessibles à tous et en tout temps. À la suite de la parution de cet article, les chercheurs ont ainsi commencé à utiliser le terme de communs pour faire référence à toutes formes de ressources utilisées par tous et sans contrôle, ce qui ne correspond pourtant pas à sa définition historique (De Moor 2011 : 425). L’article de Hardin a ouvert de nombreuses recherches portant sur les solutions à mettre en œuvre pour contrer la dégradation des communs. Mais ces travaux sont souvent restés coincés entre deux options : la prise en charge des communs par l’État ou par le marché. C’est dans ce contexte que le travail de la politologue Elinor Ostrom (1990), en proposant une troisième voie, a eu un retentissement important dans le monde académique, et même au-delà. La publication de son livre Governing the Commons constitue une étape essentielle dans les recherches sur la gestion des communs. Non seulement, elle montre que l’exploitation des communs ne mène pas inéluctablement vers leur fin, mais elle explore la diversité des arrangements institutionnels permettant la gestion de ceux-ci, sans pour autant avoir recours à l’État ou à la privatisation. Sa contribution est consacrée en 2009 lorsqu’elle reçoit, en même temps qu’Oliver Williamson, le prix Nobel d’économie pour son analyse de la gouvernance économique et celle des communs. La création de l’International Association for the Study of the Commons en 1989 ou encore la création de l’International Journal of the Commons en 2007, révélateurs d’un engouement scientifique pour la question des communs, permettent la diffusion des théories et des méthodes dans les différentes disciplines et dans la société civile, à tel point que l’étude même des communs comporte aujourd’hui des enjeux politiques, sociaux et même éthiques (Peugeot et Piron 2015). Les travaux d’Elinor Ostrom s’inscrivent dans une démarche résolument interdisciplinaire puisqu’elle utilise des études de cas, des concepts, des modèles et des méthodes issus de différentes sciences sociales, et tout particulièrement de l’anthropologie. Loin de développer une perspective purement institutionnelle, Ostrom s’intéresse en effet avant tout aux stratégies développées par les acteurs sociaux pour gérer des ressources en commun. Elle s’appuie pour cela sur de nombreuses études de cas développées par des anthropologues pour comprendre par exemple les systèmes d’irrigation au Népal, dans les Philippines ou à Los Angeles, la gestion des forêts en Inde, en Asie, en Afrique et en Amérique latine ou encore la pêche côtière en Inde ou au Canada (Acheson 2011 : 320). Même si son usage de l’anthropologie est qualifié de fragmentaire, puisque sortant ces études de cas de leurs contextes politiques ou culturels, ses travaux sont néanmoins reconnus comme une contribution majeure à la discipline anthropologique (Rabinowitz 2010). Outre celle des interactions entre les hommes et leur environnement, les travaux d’Ostrom rejoignent bien d’autres questions intéressant les anthropologues. Ils interrogent directement la gestion des ressources collectives, la nature des liens de coopération et la fabrique des communautés (Rabinowitz 2010 : 104), la production des normes et des règles sociales, ainsi que de la propriété, privée ou publique (Acheson 2011 : 320). Enfin, en montrant le rôle important de la réciprocité dans la plupart des cas de gestion alternative des ressources, les anthropologues ont mis en évidence, à partir de leurs différents terrains, le fait que l’homme n’était pas uniquement animé par une logique économique, mais que le symbolisme était central dans les pratiques d’échange, renvoyant ainsi aux théories sur le don, concept dont les anthropologues ont étudié les multiples formes dans les sociétés humaines. Dans la foulée des propositions théoriques de Hardin et de Ostrom, un véritable engouement s’est manifesté autour de la question de ces communs naturels, en anthropologie et dans les autres disciplines des sciences sociales. Ces travaux ont fourni des modèles inspirant pour d’autres types d’objets de recherche et plus récemment les chercheurs ont commencé à identifier de nouveaux communs (new commons), comme des biens communs sociaux (social commons) qui constituent des ressources sociales ou des services destinés à des groupes sociaux spécifiques, des communs de nature intellectuelle ou encore culturelle incluant des ressources aussi variées que la musique, l’artisanat, les technologies numériques, etc. (Nonini 2006 : 166-167). Certains anthropologues ont même avancé l’idée que les communs peuvent englober des dimensions plus invisibles de la vie sociale relevant du domaine cognitif, corporel ou affectif, comme par exemple chez les Urarina, peuple indigène du Pérou, pour lesquels la notion même de tranquillité doit être l’objet d’un partage ou d’une réciprocité (Walker 2015). L’extension du concept de communs à des domaines aussi divers de la vie sociale explique aujourd’hui la difficulté à en donner une définition uniforme et certaines ambivalences quant à ses usages et ses analyses. De façon plus générale, la naturalisation du discours sur les biens communs a nécessité de s’engager dans une réflexion critique sur cet objet, ce que l’anthropologie a pu prendre en charge à travers sa capacité à mettre en perspective la production du social. Le succès du terme ne s’est en effet pas limité au milieu académique. Dans le contexte des dernières décennies, alors que des corporations, des gouvernements et d’autres types d’institutions politiques, privées ou non-gouvernementales, ont dépossédé certains groupes humains de leurs ressources dans la mouvance de la globalisation néolibérale, des stratégies de résistance et de lutte pour conserver ou retrouver le contrôle sur ces biens se sont développées (Nonini 2006 : 165). Dans le même temps, les propositions théoriques sur les communs ont mis en valeur des alternatives séduisantes face à la mainmise du marché ou de l’État sur ces ressources. Les anthropologues ont ainsi montré que ces luttes ne concernent pas seulement le contrôle des ressources matérielles mais également le contrôle des significations culturelles associées aux communs et aux processus qui les préservent ou les détruisent (Nonini 2006 : 165). Les stratégies et les perspectives antagonistes des différents groupes se disputant les communs sont ainsi devenues des objets de recherche riches pour l’anthropologie. Dans le contexte sud-américain où la surexploitation des ressources naturelles s’impose comme un nouveau paradigme économique, le constat que chacune des deux parties réutilise le concept de biens communs et de communs pour légitimer, d’un côté l’exploitation des ressources naturelles, et de l’autre la lutte contre cette exploitation, rappelle la nécessité de repenser les fondements ontologiques de chacune de ces deux façons de concevoir la relation entre les humains et le monde naturel. Dans ce cadre, les peuples autochtones nous invitent plutôt à penser ces confrontations ontologiques à travers le concept d’« incommuns » ; celui-ci révèlerait plutôt l’existence et la persistance d’une certaine incompatibilité entre différentes façons d’être au monde. En effet, alors que les entreprises extractrices font reposer leurs justifications sur la distinction entre nature et culture, et plus précisément sur le contrôle de la nature par les êtres humains, les peuples autochtones de leur côté se perçoivent en continuité avec le monde naturel, engagé dans une relation réciproque avec lui et dans l’obligation de le protéger (Blaser et De La Cadena 2017 : 186-187).

Tesi sul tema "Gestion des ressources naturelles – Andes (Pérou)":

1

Charbonneau, Marion. "Gestion des ressources et peuplement des espaces pastoraux au défi de la modernité : le cas des pasteurs de la puna péruvienne". Phd thesis, Université de Pau et des Pays de l'Adour, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00457546.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Dans les Andes, des sociétés pastorales spécialisées dans l'élevage multi-espèces d'alpagas, de lamas, d'ovins et de bovins occupent la puna, étage situé au-dessus de 4300 mètres d'altitude, où les contraintes bioclimatiques interdisent toute culture. La production de fibre d'alpaga destinée au marché international constitue la principale ressource de populations peu denses, dispersées auprès de leurs troupeaux. L'obligation de circuler s'impose à tous, pour accéder aux ressources fourragères comme pour échanger les produits ou acquérir des denrées alimentaires. Ces sociétés, en pleine transition démographique et exposées au réchauffement climatique, se trouvent aujourd'hui confrontées à une raréfaction des ressources disponibles par personne alors qu'en parallèle un désenclavement progressif favorise la diffusion de la modernité. Adopter des pratiques optimisant les systèmes d'élevage sans mettre en péril les ressources et concilier les impératifs pastoraux de dispersion avec les nécessités de densification et de regroupement dans les centres constituent les principaux dilemmes qu'elles doivent affronter. Cette thèse étudie donc les conditions de la flexibilité des sociétés pastorales, c'est-à-dire leur capacité à répondre à ces nouvelles tensions. Les données, issues d'une longue enquête de terrain dans le sud du Pérou, sont adossées au concept de système de peuplement. Il intègre dans une même interprétation systémique l'étude des modalités d'utilisation des ressources, celle des relations sociales, les conditions de mobilité et celles de résidence. La mise en lumière de ses ressorts dévoile d'une part que de nouvelles pratiques d'élevage optimisantes, issues de modèles de développement importés ou de l'inventivité des groupes locaux sont adoptées. La création de nouveaux réseaux de collaboration favorise, d'autre part, les économies d'échelle et permet, par une multirésidentialité et une multiplication des déplacements basés sur un éclatement familial, d'accéder à de nouvelles ressources. L'étude comparative que l'on conduit souligne la diversité des formes de flexibilité. Elle met en évidence l'augmentation des possibles techniques et analyse les facteurs conduisant les pasteurs à n'employer que telle ou telle partie de la panoplie.
2

Yeckting, Vilela Fabiola. "Mineralizar la vida. Antropología histórica del ambiente, los conflictos sociales y el desarrollo en las Américas : el caso del proyecto minero Las Bambas en el territorio sur andino del Perú (2004-2018)". Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2023. http://www.theses.fr/2023EHES0037.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
La perspective des conflits miniers et des processus de développement qu’assume cette thèse, part du principe que les acteurs ne sont pas statiques : plutôt, qu’ils sont pourvus d’une densité historique autant qu’ils subissent des changements drastiques qui se manifestent en deux dimensions. À court terme, dans le moment précis où les événements se produisent ; et à long terme, c’est-à-dire, de durée moyenne et longue au fil du temps, ce qui aide à configurer des cycles et des processus historiques. J’ai cherché à aborder le sujet à travers l’analyse de cas, et les couches historiques : modernité initiale des XVIII et XIXe siècle ; puis, développementisme de l’emphase extractive des XXe et XXIe siècles dans les Amériques. Puis, le contexte des années 1990 pour analyser les conflits miniers emblématiques du Pérou, jusqu’à arriver à l’étude de cas du projet minière Las Bambas de 2004 à 2018.La question et l’objectif principal de la présente thèse doctorale est : quelle est la relation entre environnement, conflits miniers et processus de développement au Pérou ? À partir de cette question centrale, je précise que les discours sur les modèles de développement au Pérou incorporent des conceptions du développement qui entrent en relation avec l’idée de tirer profit des ressources naturelles par le biais d’investissements et de leur rente, de façon subordonnée à l’activité minière – ce qui devient un discours et une pratique officielle dans le cadre d’une nouvelle dynamique productive. Les significations de l’environnement entrent en relation avec leur capacité de subventionner les processus de développement minier, de telle sorte que les possibilités de prise de décision sur la nature et de mise en œuvre de modalités de production locale s’en trouvent limitées ; tout comme se trouvent fragilisées les institutions garantes du droit à un environnement sain et équilibré.Cette thèse propose de revenir sur la trajectoire historique des processus de transformation politique et territoriale du département d’Apurímac et des provinces de Grau et Cotabambas, pour ensuite aborder la manière dont la concession du projet minier Las Bambas s’y insère. L’étude de cas de cette thèse est une chronologie du projet Las Bambas, à partir de laquelle je montre comment se manifestent les impacts environnementaux et sociaux provoqués par l’exploitation des métaux entre 2004 et 2018 dans la province de Cotabambas en Apurímac, et au Pérou. A partir de l’information collectée sur la dynamique du conflit, je montre comment la question environnementale et les transformations territoriales restent subordonnées ou invisibles dans les propositions, qui priorisent la rentabilité et la croissance économique dans le développement local.La thèse remet en question l’idée que les conflits miniers ne seraient conditionnés que par la distribution et la gestion des bénéfices dérivés de l’exploitation et de la production minière. Elle montre que les conditions favorables au fonctionnement des projets miniers s’articulent à la dégradation, à l’épuisement et au fractionnement de l’accès à la terre, à l’eau et à l’air, qui « minéralisent » et qui scindent les relations sociales et culturelles, et la vie communautaire, en tant que caractéristique de la condition extractive dans les régions minières
The perspective of mining conflicts and development processes in this research is that the protagonists are not static, but have both historical density and dramatic changes that happen in two dimensions; in the short term, at the current moment in which the events occur; and, in the long term, namely, of long and medium duration through time, which helps to configure historical cycles and processes. A nearness to the subject has been sought through an analysis of cases by historical layers, early modernity from the 18th to the 19th centuries; and, later neoliberal development of the 20th and 21st centuries in the Americas. Next, the 90s context to analyze the emblematic mining conflicts in Peru, till reaching the study case Las Bambas mining project from 2004 to 2018.The main question and aim of this thesis research are to answer: What is the relationship among the environment, mining conflicts and development processes in the country? Based on this principal question, I specify that the discourses on the development models in the country include conceptions of development that are related to the idea of taking advantage of natural resources through investments and their income. So that, therefore, the possibilities of making decisions about nature and promoting ways of production of local populations are limited, just as the institutions guarantee the right to a healthy and balanced environment are weakened.In the third part of the thesis, I make a historical review of the political and territorial transformation processes of the department of Apurímac and Grau and Cotabambas provinces, in order to address how Las Bambas mining project concession is inserted in them. The case study of this thesis is the timeline of Las Bambas project, from which I prove how the environmental and social impacts generated by the exploitation of metals occur between 2004 and 2018 years, in Cotabambas province in Apurimac, Peru. From them on the information collection about the conflict’s dynamics, I show how the environmental issue and territorial transformations keep subordinated or invisible in the proposals, where profitability and economic growth are prioritized in local development.The thesis cast on doubt on the position that mining conflicts are just conditioned by the distribution and administration of the benefits obtained from mining exploitation and production. In it, I show that the conditions that support the operation of mining projects are connected to the deterioration, depletion, and fragmentation of access to ground, water and air, which permeates "mineralizes", and as well divides social and cultural relationships, and community life, like an extractive condition characteristic in the mining areas where it operates
La perspectiva de los conflictos mineros y los procesos de desarrollo que asume esta tesis supone que los actores no son estáticos sino que están dotados de una densidad histórica en la medida en que experimentan cambios drásticos que se manifiestan en dos dimensiones. A corto plazo, en el momento preciso en que ocurren los hechos; y largo plazo, es decir, mediano y largo plazo en el tiempo, lo que ayuda a configurar ciclos y procesos históricos. Busqué abordar el tema a través del análisis de casos y capas históricas: la modernidad inicial de los siglos XVIII y XIX; luego, el desarrollismo del énfasis extractivista de los siglos XX y XXI en las Américas. Luego, el contexto de la década de 1990 para analizar los conflictos mineros emblemáticos del Perú, hasta llegar al caso de estudio del proyecto minero Las Bambas de 2004 a 2018.La pregunta y objetivo principal de esta tesis doctoral es: ¿cuál es la relación entre medio ambiente, conflictos mineros y procesos de desarrollo en el Perú? Partiendo de esta cuestión central, puntualizo que los discursos sobre los modelos de desarrollo en el Perú incorporan concepciones de desarrollo que se relacionan con la idea de aprovechamiento de los recursos naturales a través de inversiones y su renta, de manera subordinada a la actividad minera –que se convierte en discurso y una práctica oficial en el marco de una nueva dinámica productiva. Los significados de medio ambiente se relacionan con su capacidad para subsidiar los procesos de desarrollo minero, por lo que se limitan las posibilidades de toma de decisiones sobre la naturaleza e implementación de los modos productivos locales; así como se debilitan las instituciones que garantizan el derecho a un medio ambiente sano y equilibrado.Esta tesis propone retomar la trayectoria histórica de los procesos de transformación política y territorial del departamento de Apurímac y las provincias de Grau y Cotabambas, para luego abordar la forma en que se encuadra en ella la concesión del proyecto minero Las Bambas. El caso de estudio de esta tesis es una cronología del proyecto Las Bambas, a partir del cual muestro cómo se manifiestan los impactos ambientales y sociales provocados por la explotación de metales entre los años 2004 y 2018 en la provincia de Cotabambas en Apurímac, y en el Perú. A partir de la información recabada sobre la dinámica del conflicto, muestro cómo el tema ambiental y las transformaciones territoriales quedan subordinados o invisibilizados en las propuestas, que priorizan la rentabilidad y el crecimiento económico en el desarrollo local.La tesis cuestiona la idea de que los conflictos mineros sólo están condicionados por la distribución y gestión de los beneficios derivados de la explotación y producción minera. Muestra que las condiciones favorables para el funcionamiento de los proyectos mineros están vinculadas a la degradación, agotamiento y fragmentación del acceso a la tierra, el agua y el aire, que “mineralizan” y escinden las relaciones sociales, culturales y la vida comunitaria, como característica de la condición extractiva en las regiones mineras
3

Castillo, Brieva Daniel. "Arrangements institutionnels et modèles mentaux dans la gestion des ressources en bien commun". Paris 10, 2013. http://www.theses.fr/2013PA100022.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
The question that addresses this research is about the role of mental models in the institutional arrangements for common pool resource management. In this field exists a cognitive conflict when different actors define use and management problems of common pool resources. Mental models are used for institutional design. Several actors, to structure commons problems, use different mental models. Mental models influence institutions intended to solve such problems. The conceptual framework of the study included commons dilemmas, institutional analysis, socio ecological systems and mental models concepts. Three case studies in Colombia (South America) were chosen to study the above question: an artisanal fisheries village (Caribbean), a communitarian aqueduct (Andes), and a forestry community (Pacific coast). A multi—method framework was designed that included a first phase I of economic experiments, surveys and interviews with resource users. The experiments were designed to capture the commons dilemma in each case: fishing, water and forestry. These experiments simulated also the dynamic complexity of each of the resources. The experiments simulated three types of voted rules as solution to the cooperation dilemma. Resource users from the three case studies participated in the experiments. A second phase was done using the companion modeling approach (ComMod) approach. The experimental setting was used to start a co-construction of a role playing game with a group of users in each village. Once the new game was designed a group of users were invited to play the new game. A new set of interviews was applied. Institutional analysis and mental models studies were done. Among the more relevant findings is the necessity of including the study of morality systems to understand the relation between decision-making, rule design and compliance, and mental models. A conceptual framework for evaluate the outcomes of the action arena is proposed.
4

Polanco, López de Mesa Jorge Andrés. "L'État décentralisé à l'épreuve de la gouvernance : protection de l'environnement, développement économique et incertitude dans un territoire émergent : le cas du Système de Paramos Hauts-Andins d'Antioquia (Colombie)". Paris, EHESS, 2007. http://www.theses.fr/2007EHES0142.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Ce travail propose de comprendre les contraintes et les alternatives de gouvernance d'un territoire émergent des Andes colombiennes influencé par une agglomération. La démarche est une représentation spatio-temporelle et multicritère par scénarios de la relation entre développement économique et protection de l'environnement. Ces scénarios ont une incertitude minimale et sont construits à partir de données sur la frontière agricole, la socio-économie de la population et l'action publique. Les contraintes de gouvernance territoriale mettent en évidence un « développement durable » inopérant : les intérêts sont d'autant plus divergents que la participation n'est pas réussie et que les enjeux économiques sont méconnus. L'intervention de l'Etat décentralisé est exigée. Affaiblie par l'ajustement structurel, cette intervention est sensible à la décentralisation. Néanmoins, elle compte sur une connaissance des contraintes lui permettant d'envisager une régulation plus efficace du territoire
This work proposes an understanding about governance limitations and alternatives of an emergent territory influenced by agglomeration in the Colombian Andes. The method of understanding seeks a space-time multicriterial représentation through scenarios of the relationship between economical development and environment protection. These scenarios have minimal uncertainty and they are set upon management of data about farming border, socioeconomics of inhabitants and public action. The identified limitations for territorial governance show a dysfunctional "sustainable development". Regulation is even more limited because participation is not reached and economical issues are unknown, making interest diverge. Intervention of decentralized State is particularly demanded. Weakened by structural adjustment, this intervention becomes very influenced by decentralization. However, it counts on a better knowledge of its limits that allows to foresee a more efficient regulation of territory

Vai alla bibliografia