Articoli di riviste sul tema "Frontières – Allemagne – France"

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Shulze-Krüdener, Jürgen, e Bettina Diwersy. "La protection internationale de l’enfant : une exigence transfrontalière". Pensée plurielle 57, n. 1 (7 agosto 2023): 94–105. http://dx.doi.org/10.3917/pp.057.0094.

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Abstract (sommario):
Les parcours transfrontaliers de protection de l’enfance dans le bassin de la Grande région (Allemagne-Belgique-France-Luxembourg) constituent un défi pour les acteurs concernés. L’analyse des parcours et des pratiques de placement d’enfants et d’adolescents à l’étranger dans le cadre du projet de recherche international EUR&QUA a montré que l’analyse scientifique des frontières dans ces cas transnationaux est marquée aussi bien par une dynamique spécifique que par des risques et opportunités.
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OARCEA, Ioan. "Théodore Gouvy, un compositeur lorrain à la croisée des cultures française et allemande (I)". BULLETIN OF THE TRANSYLVANIA UNIVERSITY OF BRASOV SERIES VIII - PERFORMING ARTS 14 (63), n. 1 (2021): 61–66. http://dx.doi.org/10.31926/but.pa.2021.14.63.1.7.

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Abstract (sommario):
Théodore Gouvy (1819-1898) c’est un compositeur franco-allemand, connu, reconnu et honoré de son vivant, qui a vécu à la frontière entre la France et l’Allemagne. Cette position géographique, à travers le temps a eu pour lui des implications sociocommunautaires, politiques et culturelles à cause de l'ambiguïté liée au déplacement des frontières. En tant que compositeur, il a légué à l'Académie des Beaux-Arts et à la postérité une œuvre comprenant 160 numéros de catalogue, recensant plusieurs centaines de compositions, pour 90 numéros d'opus édités. Des compositeurs reconnus comme Hector Berlioz ont fait des critiques très élogieuses dans la presse de l'époque. Malgré la reconnaissance du public et de ses pairs, pendant plus d'un siècle, après sa disparition, il est ensuite tombé dans l'oubli. La création de l’Institut Gouvy, en 1995 a déterminé la renaissance d’esprit et de sa création.
3

Aslangul, Claire. "De la haine héréditaire à l’amitié indéfectible". Revue Historique des Armées 256, n. 3 (1 agosto 2009): 3–13. http://dx.doi.org/10.3917/rha.256.0003.

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Abstract (sommario):
L’iconographie « populaire » – caricature et photographie notamment – porte la trace des évolutions de la relation franco-allemande. Les représentations de l’Autre se répondent de part et d’autre de la frontière au fil du temps – le « barbare » étant, bien sûr, toujours de l’autre côté… Mais entre 1870 et aujourd’hui, avec une rupture radicale après 1945, l’ennemi héréditaire est devenu l’ami inséparable, malgré des aléas dont les images rendent bien compte. Les images des crises (les guerres et leurs conséquences au moment des traités de paix notamment) sont de nos jours reléguées à l’arrière-plan dans les mémoires collectives, et l’on se focalise sur les moments de partage – même si, comme n’importe quel « couple uni », France et Allemagne traversent régulièrement des périodes de tension. On s’intéresse ici aux évolutions des images elles-mêmes, mais aussi au choix de l’iconographie effectué dans ces supports-clés de la formation de l’identité collective que sont les manuels scolaires.
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Lefort, Nicolas. "Du rejet à la réhabilitation : le sort des restaurations de l’époque allemande en Alsace au XXe siècle". Apuntes. Revista de estudios sobre patrimonio cultural 30, n. 2 (20 dicembre 2017): 104–25. http://dx.doi.org/10.11144/javeriana.apc30-2.drrs.

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Abstract (sommario):
L’Alsace est une région frontière, ballotée entre l’Allemagne et la France au cours de son histoire. Partie intégrante du Saint-Empire romain germanique, elle est rattachée au royaume de France au XVIIe siècle. Suite à la guerre franco-prussienne de 1870, le traité de Francfort de 1871 annexe l’Alsace et une partie de la Lorraine à l’Empire allemand dans lequel elles forment une Terre d’Empire (Reichsland) avec un statut différent des autres Länder. À la fin de la Première Guerre mondiale, l’Alsace-Lorraine retourne à la France, dont elle fait encore partie aujourd’hui. Cet article porte sur la façon comme cette histoire singulière a favorisé les influences artistiques croisées -aussi bien alleman­des que françaises- dans les monuments historiques d’Alsace; générant pendant le vingtième siècle un impact im­portant sur les choix de restauration des architectes, sur leur réception par les spécialistes de la conservation des deux nationalités et sur leur traitement lorsqu’il a fallu developper des restaurations. L’étude de ce phénomène met en lumière la façon comme les relations franco-allemandes ont généré depuis 1945 un changement progressif de regard sur les travaux de l’époque allemande.
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Lorin, Amaury. "La conférence de Berlin (1884-1885) : quel héritage pour l’Afrique ?" Questions internationales 107-108, n. 3 (22 giugno 2021): 163–69. http://dx.doi.org/10.3917/quin.107.0163.

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Abstract (sommario):
Organisée par le chancelier allemand Bismarck sur une initiative franco-allemande au sein du « concert européen » (1814-1914), la conférence de Berlin se tient du 15 novembre 1884 au 26 février 1885. Elle précise pour l’Afrique les conditions de la colonisation entre les différentes puissances européennes. L’ère coloniale connaît alors sa plus forte expansion jusqu’en 1914. Débouchant sur un accord final, l’Acte général de la conférence de Berlin, la conférence impose à l’Afrique des frontières largement exogènes, arbitraires et artificielles .
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Boureille, Patrick. "Les relations navales franco-roumaines (1919-1928) : les illusions perdues". Revue Historique des Armées 244, n. 3 (1 agosto 2006): 50–59. http://dx.doi.org/10.3917/rha.244.0050.

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Abstract (sommario):
À l’issue de la Première Guerre mondiale, la France espérait s’appuyer sur la Roumanie, pour contrôler les bouches du Danube, tenir à distance la Russie soviétique du cœur de l’Europe et contrôler le révisionnisme allemand. Une décennie plus tard, les relations franco-roumaines n’avaient débouché sur aucune réalité concrète. Impécuniosité notoire et rivalités entre les dirigeants roumains s’étaient conjuguées avec la refondation d’un État multinational, dans le contexte diplomatique mouvant des années 1920, pour rendre chimérique l’hégémonie française. La sécurité des frontières poussa Bucarest à rechercher une garantie formelle que Paris refusait de donner contre les irrédentismes des pays limitrophes. De son côté, la France, qui voyait dans la Roumanie une barrière contre l’URSS et une alliance de revers jusqu’en 1925, mise sur la sécurité collective après Locarno. Les concurrences britannique et italienne achevèrent de ruiner la tentative française d’établir une tutelle régionale.
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Chevalier, Josiane. "Aujourd’hui, le Rhin n’est plus une frontière". Administration N° 279, n. 3 (4 ottobre 2023): 28–31. http://dx.doi.org/10.3917/admi.279.0028.

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Abstract (sommario):
La réalité transfrontalière constitue un facteur déterminant de la région Grand Est, avec 760 km de frontières bordant cinq pays, dont 200 km tracés par le Rhin, axe de transport structurant et peu émissif en CO2. L’échange et le commerce sont au cœur des relations entre ces pays, avec 44 % des frontaliers de la France métropolitaine. Le Traité d’Aix-la-Chapelle de 2019 a donné un nouvel élan à une coopération franco-allemande déjà riche, créant le Comité de coopération transfrontalière (CCT) qui met en œuvre les priorités (transition énergétique, environnement, gestion de l’eau et entraide lors de crises). Le Traité ouvre aussi l’opportunité d’une différenciation entre les règles de droit applicables aux territoires frontaliers et celles en vigueur dans le reste du pays. La crise sanitaire a montré que cette coopération transfrontalière a su être résiliente, notamment grâce à des réunions hebdomadaires initiées par la préfète du Grand Est, mais elle doit être confortée et institutionnalisée.
8

Perko, Gregor. "Présentation". Linguistica 51, n. 1 (31 dicembre 2011): 3–4. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.51.1.3-4.

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Abstract (sommario):
Au cours des dernières décennies où l’on assiste à une refondation de la morphologie, la discipline s’intéresse de plus en plus à des phénomènes « périphériques », « marginaux », « irréguliers » ou « extragrammaticaux », à des phénomènes n’appartenant pas aux « régions nodales » de la morphologie. Le présent numéro de Linguistica, premier numéro thématique de notre revue, réunit des études qui s’intéres- sent aux frontières internes et externes de la morphologie. La diversité et la richesse des thèmes abordés et des approches proposées témoignent d’un intérêt croissant que les linguistes, non pas uniquement les morphologues, portent à cette thématique.Les articles proposés s’articulent autour de cinq axes majeurs.Un premier axe rassemble les articles qui étudient les frontières entre différentes composantes de la morphologie. L’étude de Michel Roché examine les contraintes lexicales et morphophonologiques sur le paradigme des dérivés en –aie. Les résultats de son analyse remettent en question la notion de « règle de construction des lexèmes ». Irena Stramljič Breznik et Ines Voršič se penchent sur les néologismes de sport en slovène et essaient d’évaluer la productivité ou la créativité des procédés morphologiques en jeu. Dans une étude d’inspiration cognitiviste, Alexandra Bagasheva aborde l’hétérogénéité des verbes composés en anglais. En s’appuyant sur les données fournies par les para- digmes verbaux du maltais, Maris Camilleri examine la complexité du phénomène de classes flexionnelles basées sur les radicaux. Trois travaux concernent des procédés typiquement « extragrammaticaux » servant à former le plus souvent des occasionnalismes: Arnaud Léturgie tente de dégager des propriétés prototypiques de l’amalgamation lexicale en français, notamment celles de la création des mots-valises; Silvia Cacchiani analyse, à l’intérieur du cadre de la morphologie naturelle, les mots-valises formés à partir de noms propres et de substantifs, phénomène relativement récent en ita- lien ; Thomas Schwaiger, se fondant sur les données tirées de la base « Graz Database on Reduplication », traite des constructions rédupliquées dans une perspective universelle. Deux articles adoptent une perspective contrastive: celui d’Eva Sicherl et Andreja Žele étudie la productivité des diminutifs nominaux en slovène et en anglais ; celui de Marie-Anne Berron et Marie Mouton propose une analyse détaillée de l’importance quantificative et qualificative des procédés de la morphologie marginale dans le slam en France et en Allemagne. Géraldine Walther présente un nouveau modèle général, inscrit dans une approche réalisationnelle, qui permet d’évaluer et de formaliser la (non-)canonicité de phénomènes flexionnels.Un deuxième axe se situe sur la frontière séparant la morphologie dérivationnelle de la morphologie flexionnelle. Tatjana Marvin se penche sur le problème de la préservation de l’accent dans les dérivés anglais, mettant en comparaison les approches de Chomsky et de Marantz avec celle de la théorie de l’Optimalité. L’article de Patrizia Cordin explore la façon dont les constructions locatives verbales dans les langues et les dialectes romans, notamment dans le dialecte trentin, ont perdu en partie leur sens spatial au profit d’un sens grammatical plus abstrait (aspect, résultat, intensité etc.). Se focalisant sur la langue indigène d’Australie kayerdild, Erich Round insiste sur l’utilité de la notion de « morphome » qui permet d’instaurer un niveau de représentation linguistique intermédiaire entre les niveaux lexical, morphosyntaxique et morphophonologique. La contribution de Varja Cvetko Orešnik, qui adopte le cadre théorique de l’école ljubljanaise de la syntaxe naturelle, apporte quelques données nouvelles sur la morphophonologie et la morphosyntaxe du verbe en ancien indien.Les deux articles suivants examinent des questions d’ordre morphologique aux- quelles se heurtent les langues entrant en contact : Georgia Zellou traite du cas du cir- confixe /ta...-t/ que l’arabe marocain a emprunté au berbère, tandis que Chikako Shigemori Bučar analyse le sort réservé aux emprunts japonais en slovène.L’axe diachronique est exploré principalement par les articles de Douglas Lightfoot, de Javier E. Díaz Vera et de Metka Furlan. D. Lightfoot examine la perti- nence de la notion d’affixoïde et evalue la « suffixoïdité » de l’élément germanique « -mann ». J. E. Díaz Vera décrit la lexicalisation, voire la grammaticalisation des verbes causatifs en ancien anglais. Metka Furlan se penche sur une relation « morpho- logique » archaïque rattachant le nom protoslave pol’e à l’adjectif hittite palhi-.Autour du dernier axe se réunissent les contributions qui examinent la frontière entre la morphologie et les disciplines linguistiques voisines, telles que la phonologie ou la syntaxe. Marc Plénat étudie en détail les contraintes morphologiques, syntaxiques et phonologiques pesant sur la liaison de l’adjectif au masculin singulier sur le nom en français. Janez Orešnik, fondateur de l’école ljubljanaise de la syntaxe naturelle, explore le comportement morphologique de l’impératif dans une perspective universelle. Mojca Schlamberger Brezar propose une étude contrastive, à partir des don- nées tirées de corpus monolingues et parallèles, de la grammaticalisation du gérondif et du participe en français et en slovène. L’article de Gašper Ilc applique la notionde« cycle de Jespersen » à la négation dans le slovène standard et dans les dialectes pannoniens. Mojca Smolej propose une étude fouillée de l’émergence des articles défini et indéfini dans le slovène parlé spontané.
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Vaillot, Benoit. "L’empreinte écologique de la frontière franco-allemande (1871-1914)". Frontières et espaces transfrontaliers, une approche environnementale, n. 3 (1 dicembre 2021): 21–40. http://dx.doi.org/10.57086/rrs.183.

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Abstract (sommario):
La frontière constitue un poste d’observation privilégié de l’empreinte écologique des sociétés humaines, dans la mesure où s’y confrontent deux conceptions différentes de la gestion de l’environnement. Les espaces forestiers sont particulièrement intéressants, parce que l’on peut y analyser finement les relations de pouvoir écologiques. Il s’agit dans cet article d’analyser sur une période relativement courte, entre 1871 et 1914, comment la frontière franco-allemande transforme l’environnement, et l’influence que ce dernier peut avoir sur la construction de la souveraineté et des identités nationales.
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Bischoff, Georges. "Unsichtbar und lebendig. Die Hautes-Vosges in schriftlichen Quellen vor dem Dreißigjährigen Krieg". Source(s) – Arts, Civilisation et Histoire de l’Europe, n. 21 (15 febbraio 2024): 47–60. http://dx.doi.org/10.57086/sources.854.

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Abstract (sommario):
L’identité montagnarde des Hautes-Vosges n’apparaît guère à ceux qui les traversent avant le milieu du XVIIe siècle. Au contraire, pour les autorités, elle est d’autant plus forte que la crête, déterminée par la fonte des neiges, est perçue comme une frontière topographique entre l’« Allemagne » et la Lorraine, voire la France. Mais ce partage a peu d’incidence sur les usages locaux : les habitants des vallées circulent aisément avec leurs marchandises ou leurs troupeaux, malgré la limite des langues. Le paysage vosgien est ouvert et densément peuplé. Les Vosges ne sont pas une terre de conquête.
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Vom Orde, Klaus. "Contacts et influences entre Pierre Poiret et les groupes piétistes allemands". Revue de Théologie et de Philosophie 153, n. 1 (3 maggio 2021): 67–84. http://dx.doi.org/10.47421/rthph153_1_67-84.

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Abstract (sommario):
L’influence de Pierre Poiret sur le milieu piétiste en Allemagne est très hétérogène. Il a lui-même découvert les idées d’Antoinette Bourignon à Francfort et s’est chargé de diffuser ses enseignements à travers les groupes piétistes, notamment les « piétistes radicaux ». Les idées millénaristes de J. W. et J. E. Petersen sont assez comparables à celles de Poiret. La Kirchen- und Ketzerhistorie de G. Arnold a mieux fait connaître l’importance de Poiret à propos du franchissement des frontières entre les confessions religieuses. Les piétistes du Wurtemberg comme J. A. Bengel et Chr. F. Oetinger ont été influencés par le projet théologique de Poiret tel qu’il est esquissé dans l’Œconomie divine. Dans l’orphelinat de Halle, les écrits de Poiret sont publiés par A. H. Francke et A. W. Böhme. En même temps, Poiret est fortement critiqué par Ph. J. Spener, J. W. Jäger et J. Lange. Il fait enfin connaître la piété mystique par les biographies de plusieurs auteurs mystiques de la fin du Moyen Âge. Via G. Tersteegen, ces biographies sont mieux connues en Allemagne. Les dirigeants du mouvement de réveil (catholique) de l’Allgäu (début du XIXe siècle) ainsi que Hedwig von Redern, écrivain de la Gemeinschaftsbewegung (fin du XIXe siècle) ont repris ces biographies mystiques dans leur enseignement de la vie pieuse.
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Perrin, Nigel. "Exils Intérieurs: Les évacuations à la frontière franco-allemande (1939–1940)". French History 32, n. 3 (21 luglio 2018): 455–57. http://dx.doi.org/10.1093/fh/cry060.

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Raffestin, Claude. "Espace, temps, frontière". Cahiers de géographie du Québec 18, n. 43 (12 aprile 2005): 23–34. http://dx.doi.org/10.7202/021174ar.

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Abstract (sommario):
La frontière est un fait social qu'on a cherché à analyser à partir d'une problématique qui met l'accent sur trois facteurs en interaction : les relations, l'espace et le temps. Ces facteurs constituent les éléments fondamentaux du champ relationnel en rapport avec lequel la frontière et ses fonctions ont été redéfinies. De cette problématique élémentaire ont été tirés quatre modèles d'hypothèses qui ont ensuite été testés. Une modification de la frontière ou de ses fonctions peut affecter soit les relations, soit l'espace, soit enfin le temps. Les relations structurent l'espace et le temps qui se font et se défont ensemble et forment, en raison même de cela, ce qu'on peut appeler une enveloppe spatio-temporelle susceptible d'être aliénée par rapport aux membres d'une société. L'esquisse d'une vérification a été amorcée à partir de quatre exemples. La délimitation d'une frontière de type européen dans le Sud-tunisien et le remaniement de la frontière belgo-allemande dans la région d'Eupen ont montré comment l'apparition ou le déplacement d'une frontière pouvait affecter les relations et par suite le temps opératoire structuré par elles. La prise en considération d'un changement de la fonction fiscale par lé gouvernement belge a permis d'illustrer la modification des relations, de l'espace et du temps. Le cas de la région franco-genevoise illustre la même hypothèse mais avec modification d'abord du temps opératoire et ensuite de l'espace opératoire. Enfin l'émigration tessinoise du milieu du siècle dernier a montré comment le temps opératoire pouvait d'abord être touché puis les relations et finalement l'espace.
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Hosseinabadi, Shahram. "Construire À Strasbourg : architectes et avatars (1824-1914)". Source(s) – Arts, Civilisation et Histoire de l’Europe, n. 3 (19 ottobre 2022): 29–48. http://dx.doi.org/10.57086/sources.417.

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Abstract (sommario):
Construire à Strasbourg : architectes et avatars (1824-1914) – Du milieu du XIXe siècle à la Seconde Guerre mondiale, Strasbourg a connu un développement urbain considérable alors même que l’Alsace oscillait de part et d’autre de la frontière franco-allemande. Ce fut un immense chantier aussi bien sur le plan architectural que politique. Quels en furent les bâtisseurs ? Cet article vise, d’abord, à offrir un aperçu statistique de ce millier d’architectes et d’entrepreneurs qui ont œuvré à Strasbourg pendant cette période. Il esquissera, ensuite, des profils-types de ces constructeurs, tantôt bien connus comme Gustave Krafft ou Fritz Beblo, tantôt moins, tel Paul Dürr, proposant ainsi une « typologie » des professionnels du bâtiment en fonction de leur origine et leur formation, et s’interrogeant sur l’éventuel impact qu’ont eu les « annexions » ou « rattachements ». Enfin, il tentera de brosser un tableau du milieu professionnel des architectes dont la corporation était alors, justement, en voie de construction. L’étude est sous-tendue par des recherches en cours dans le cadre du projet métacult dont l’objectif est de mettre en évidence des figures et les protagonistes des transferts culturels, en architecture et urbanisme, entre la France et l’Allemagne. S’appuyant principalement sur les annuaires d’adresses (Adressbücher), elle essaiera, nonobstant, de croiser les informations issues de ces publications avec la littérature existante sur les architectes de Strasbourg et sur le développement de la profession à cette époque.
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Sangar, Eric. "La présence de la Grande Guerre dans les discours : persistence d’une “asymétrie” de mémoire franco-allemande". Tocqueville Review 35, n. 2 (gennaio 2014): 119–43. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.35.2.119.

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Abstract (sommario):
La commémoration du centenaire de la Grande Guerre et les étapes de la marche inexorable à la guerre au cours de l’été 1914 devraient être dans toutes les mémoires. La parution, à l’automne dernier, de l’ouvrage Les somnambules de l’historien australien Christopher Clark [...] vient opportunément rappeler que les causes d’un conflit planétaire, qui fit près de 20 millions de morts civils et militaires, sont loin d’avoir toutes été maîtrisées. [...] La situation du voisin ukrainien — qui a, rappelons-le, des frontières communes avec quatre membres de l’UE — ne mobilise les esprits qu’en apparence, et les égoïsmes nationaux reprennent vite le dessus, une fois passé le choc du journal télévisé.
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Stoskopf, Nicolas. "Traband (Gérard), Effacer la frontière ? Soixante ans de coopération franco-allemande en Alsace du Nord". Revue d’Alsace, n. 135 (1 ottobre 2009): 527–28. http://dx.doi.org/10.4000/alsace.487.

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Hamman, Philippe. "Vers un intérêt général transfrontalier ? Projets communs de part et d'autre de la frontière franco-allemande". Les Annales de la recherche urbaine 99, n. 1 (2005): 102–9. http://dx.doi.org/10.3406/aru.2005.2630.

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Grandhomme, Jean-Noël. "Forcade (Olivier) et alii dir., Exils intérieurs. Les évacuations à la frontière franco-allemande (1939-1940)". Revue d’Alsace, n. 144 (15 novembre 2018): 538–40. http://dx.doi.org/10.4000/alsace.3210.

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Buxeda, Cécile. "Formes spatiales de l’ouverture de la frontière franco-allemande. Analyse de la diffusion spatiale du travail frontalier (1968-1999)". Espace populations sociétés, n. 2005/2 (1 giugno 2005): 211–22. http://dx.doi.org/10.4000/eps.3081.

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Rohrbasser, Jean-Marc. "Olivier FORCADE, Mathieu DUBOIS, Johannes GROSSMANN, Fabian LEMMES, Rainer HUDEMANN (dir.), Exils intérieurs. Les évacuations à la frontière franco-allemande (1939-1940) , Paris, Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 2017, 397 p." Annales de démographie historique 136, n. 2 (21 marzo 2019): 277–79. http://dx.doi.org/10.3917/adh.136.0249k.

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Hamman, Philippe. "Frontières fluviales ou espaces-frontières ? Regards sociologiques". Cahiers du plurilinguisme européen, n. 11 (27 luglio 2022). http://dx.doi.org/10.57086/cpe.1124.

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Abstract (sommario):
Cet article interroge d’un point de vue sociologique la notion de frontières fluviales sous l’angle de leur consistance. L’objectif est de restituer les transformations d’un espace d’entre-deux qui tend à produire ses propres affiliations, ses acteurs politiques et économiques, mais également ses scansions et ses identités singulières. Le raisonnement est déplié en trois temps : (1) appréhender le cadre socio-spatial des agglomérations transfrontalières qui prennent place le long des frontières françaises, afin de positionner ce que recouvre la frontière fluviale, notamment en contexte franco-allemand, puis (2) saisir en quoi l’objet frontière permet au sociologue de penser la différence, avant (3) de formuler une proposition d’analyse des dynamiques des espaces-frontières. Plutôt que de s’en tenir à l’opposition binaire du passage et de l’obstacle, la conceptualisation en termes d’espace-frontière tient compte de la matérialité de l’espace, tout en se plaçant dans une dialectique du spatial et du social, où la question des usages apparaît de première importance pour appréhender l’effet-frontière comme production de différences dans la proximité, à la fois subies et recherchées.
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Colliat, Rémi, e Fabien Labondance. "Européanisation des frontières économiques : le cas franco-allemand". Trajectoires, n. 2 (1 novembre 2008). http://dx.doi.org/10.4000/trajectoires.196.

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Giordano, Christian. "Nation". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract (sommario):
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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Vaillot, Benoit. "Aux portes de la nation. Une histoire par en bas de la frontière franco-allemande (1871-1914)". Trajectoires, n. 16 (13 marzo 2023). http://dx.doi.org/10.4000/trajectoires.9815.

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Beyer, Antoine. "Woippy-Mannheim: Constructing and deconstructing proximity in a border situation. An innovative bi-national pail freight service and its limits between France and Germany (2000-2014)". Les Cahiers Scientifiques du Transport - Scientific Papers in Transportation 68 | 2015 (30 novembre 2015). http://dx.doi.org/10.46298/cst.12148.

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Abstract (sommario):
Missing links and technical interoperability prevail usually when explaining the lack of European integration in rail freight activities. The case of the successful but soon interrupted connection set by DB-Schenker and Fret SNCF from 2003 to 2009 between two main rail terminals Woippy (France) and Mannheim (Germany) highlights other decisive drivers for inter-connecting two national offers into a common service. Why did it failed? A first explanation could be the decision taken by the European Commission to maintain at all costs the principle of competition instead of tolerating cooperation between rail monopolies. A second and more convincing explanation underlines the strategic change undergone by one of the partners. The rapid decline of Fret SNCF’s activities in that period led its virtual withdrawing from the wagonload offer on domestic market. This strategic choice made it impossible to continue such a service on an international scale, leading to an end to the bi-national collaboration. The understanding of the vanished Woippy-Mannheim system is also an opportunity to analyze different ways an international border can be managed by a rail service by mobilizing the concept of proximity understood in its territorial and organizational and strategic components. Finally, rail freight traffic is increasingly linked with the hinterland densification of major ports of the Northern range which are based on shuttles and full load train and less demand for marshalling activities. Dans le contexte d’intégration européenne de l’offre ferroviaire, la question de la disponibilité des infrastructures et de la compatibilité technique du matériel roulant est régulièrement évoquée comme un frein majeur à l’interconnexion des réseaux nationaux. L’exemple du service régulier mis en place de 2003 à 2009 par la DB-Schenker et Fret SNCF entre deux grands nœuds ferroviaires, Woippy et Mannheim, permet de mettre en évidence d’autres facteurs souvent négligés mais qui s’avèrent aussi décisifs dans cette perspective : d’abord l’importance de la composante organisationnelle de l’offre qui est susceptible d’adaptation et d’innovation, mais aussi l’évolution des marchés domestiques qui guident encore largement les choix stratégiques des opérateurs. L’évolution de la gestion de la frontière ferroviaire sous ses formes successives permet par ailleurs de questionner la notion de proximité dans sa composante géographique et organisationnelle. Enfin, l’offre ferroviaire elle-même s’inscrit dans une européanisation des trafics qui est de plus en plus étroitement liée à la recomposition des marchés au départ des principaux ports de la rangée nord-européenne, sous forme de navettes ou de trains complets et au détriment de coûteuses opérations de triage.
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Clementi, K. "Ce que la crise sanitaire révèle du rapport à l’espace : le cas de la fermeture de la frontière franco-allemande en Alsace". Psychologie Française, maggio 2022. http://dx.doi.org/10.1016/j.psfr.2022.03.004.

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Gille, Fabien. "La réintroduction du lynx dans le Palatinat Rhénan et les Vosges du Nord : division de part et d’autre de la frontière franco-allemande ?" Mappemonde, n. 124 (1 luglio 2018). http://dx.doi.org/10.4000/mappemonde.382.

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Monika, Salzbrunn. "Migration". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.059.

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Abstract (sommario):
En anthropologie, la migration, du mot latin migratio, signifie en principe un déplacement physique d’un être humain (migration humaine), bien que des déplacements non-humains soient aussi qualifiés de migrations (migration animale, migration de plantes, migration de planètes etc.). Suite à la généralisation de l’État-nation comme forme d’organisation politique au 19e siècle, on distingue surtout la migration transnationale (qui implique le déplacement d’au moins une frontière nationale) et la migration interne (à l’intérieur de frontières étatiques). Par ailleurs, ces migrations peuvent prendre la forme d’une migration pendulaire (mouvement de va-et-vient), circulaire (mouvement en cercle), saisonnière (migration de travail influencé par les saisons agricoles) ou durable, menant à une installation et une naturalisation. Parmi les causes, on a longtemps souligné les migrations de travail alors que les cas de migrations climatiques et forcées augmentent de façon significative : migrations imposées par le contexte, notamment politique, par exemple pendant une guerre civile ou encore déplacements engendrés par des changements climatiques comme une sècheresse ou l’avancement du désert dans la zone du Sahel. Le tourisme est parfois considéré comme une forme volontaire de migration à courte durée. Jusqu’à présent, peu de travaux lient les réflexions sur les migrations avec celles sur la mobilité (Ortar, Salzbrunn et Stock, à paraître). Certaines recherches sur l’ethnicité (Barth 1999 [1969]) et la transnationalisation ainsi que de nouvelles catégories statistiques développées au niveau gouvernemental témoignent du fait que certaines personnes peuvent être considérées ou perçues comme migrant-e-s sans avoir jamais effectué un déplacement physique au-delà des frontières nationales de leur pays de naissance. Ainsi, aux Pays-Bas et en Belgique, dans le discours politique, on distingue parfois autochtones (grec, littéralement terre d’ici) et allochtones (grec, littéralement terre d’ailleurs). Au Pays-Bas, on entend par allochtone une personne qui y réside et dont au moins un parent est né à l’étranger. Ce terme était destiné à remplacer le terme « immigré », mais il continue à renvoyer des résidents (voire des citoyens) à (une partie de) leur origine. Le terme allemand « Migrationshintergrund » (littéralement background migratoire) pose le même problème. L’anthropologie s’intéresse de facto dès l’émergence de la discipline aux migrations, notamment dans l’étude de sociétés pastorales (en focalisant les déplacements des éleveurs et de leurs troupeaux) ou dans l’analyse des processus d’urbanisation (suite à la migration du monde rural vers les villes). En revanche, l’anthropologie des migrations et de la transnationalisation n’émergent que dans les années 1990 en tant que champ portant explicitement ce nom – d’abord dans le monde anglophone (Glick Schiller N., Basch L. et C. Blanc Szanton 1992, Hannerz U. 1996), et ensuite dans le monde francophone (Raulin A., D. Cuche et L. Kuczynski 2009 Revue Européenne des Migrations internationales, 2009, no. 25, vol. 3), germanophone (Pries L. 1996), italophone (Riccio 2014), hispanophone, lusophone etc.. La traite des esclaves et les déportations de millions de personnes d’Afrique Sub-Saharienne vers l’Europe et les Amériques, qui ont commencé au 17e siècle et duré jusqu’en 1920, ont été étudiées dans le cadre de l’anthropologie marxiste (Meillassoux 1986) puis par des historiens comme Olivier Pétré-Grenouilleau (2004) ou encore par Tidiane N’Diaye (2008), ce dernier ayant mis l’accent sur la longue et intense implication de commerçants arabes dans la traite négrière. La violente « mission civilisatrice » ou campagne de conquête coloniale a très souvent été accompagnée d’une mission de conversion au christianisme, ce qui a fait l’objet de publications en anthropologie depuis une trentaine d’années sous l’impulsion de Jean et John Comaroff (1991) aux Etats-Unis, et plus récemment en France (Prudhomme 2005). Selon les contextes régionaux, l’une ou l’autre forme de migration a été étudiée de manière prépondérante. En Chine, les migrations internes, notamment du monde rural vers les villes, concernent presque autant de personnes dans l’absolu (229,8 millions en 2009 selon l’Organisation internationale du Travail) que les migrant-e-s transnationaux dans le monde entier (243,7 millions en 2015 selon les Nations Unies/UN International Migration Report). Le pourcentage de ces derniers par rapport à la population mondiale s’élève à environ trois pour cent, ce qui semble en décalage avec la forte attention médiatique accordée aux migrant-e-s transnationaux en général et aux réfugiés en particulier. En effet, la très grande majorité des déplacé-e-s dans le monde reste à l’intérieur des frontières d’un État-nation (Withol de Wenden C., Benoît-Guyod M. 2016), faute de moyens financiers, logistiques ou juridiques (passeport, visa). La majorité des réfugiés politiques ou climatiques reste à l’intérieur des frontières nationales ou dans un des pays voisins. Ainsi, selon l’UNHCR/ l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés, sur les 65,3 millions de personnes déplacées de force, 40,8 millions étaient des déplacé-e-s internes et seulement 3,2 millions des demandeur-e-s d’asile en 2015. L’urbanisation croissante qui s’opère dans le monde suscite une augmentation de la migration de travail, notamment en Chine. Dans cet État, le système d’enregistrement et d’état-civil (hukou) limite l’accès aux services sociaux (santé, école, etc.) à la commune de naissance : un changement de résidence est soumis à des conditions restrictives, ce qui engendre une perte de droits élémentaires pour des dizaines de millions de migrants ruraux ne possédant pas de permis de résidence (Jijiao 2013). En France, jusqu’au tournant culturel (qui marque une bifurcation de la focale de la recherche vers les appartenances culturelles et religieuses des personnes étudiées) dans les années 1990, les sciences sociales des migrations, notamment la sociologie des migrations, ont surtout étudié les conditions et rapports de travail, les inégalités sociales ou encore la politique du logement et les inégalités spatiales (Salzbrunn 2015), conduisant ainsi à une très forte focalisation sur les rapports de classe et sur les conditions de vie des immigré-e-s des anciennes colonies. La migration des personnes hautement qualifiées n’a en revanche été que peu étudiée. Après la chute du mur de Berlin, les « appartenances multiples » (concept central de l’ouvrage de Yuval-Davis, Viethen et Kannabiran 2006), notamment religieuses (Capone 2010), ont été privilégiées comme objet de recherche. Cette tendance, accompagnée par un climat politique de plus en plus xénophobe dans certains pays européens, a parfois pointé vers une « ethnicisation » de la religion (Tersigni, Vincent et Willems, à paraître). Le glissement de perception d’une population de la catégorie des « travailleurs immigrés » ou « Gastarbeiter » (littéralement « travailleurs invités ») vers celle de « musulmans » s’inscrit dans un processus d’altérisation, sous-entendant dans les deux cas qu’il s’agit d’un groupe homogène marqué par les mêmes caractéristiques, et ignorant de ce fait la « diversité au sein de la diversité » (Vertovec 2010), notamment les différences en termes de niveau de formation, de genre, d’âge, de statut juridique, de préférence sexuelle, du rapport aux discours et pratiques religieux etc. Beaucoup d’études se sont ainsi focalisées sur des groupes fondés sur le critère d’une nationalité ou d’une citoyenneté commune, ce qui a été critiqué comme relevant d’un « nationalisme méthodologique » (Glick Schiller et Caglar 2011). Même le nouveau champ de recherches consacré aux espaces sociaux transnationaux (Basch, Glick Schiller et Szanton Blanc 1992 ; Salzbrunn 2016) a parfois été (auto-)critiqué pour la reproduction des frontières nationales à travers une optique transnationale. Ont alors émergé des réflexions sur une relocalisation de la migration (Glick Schiller et Caglar 2011) et sur l’enracinement spatial de la migration dans des espaces sociaux translocaux (Salzbrunn 2011). Bien que la moitié de la population migratoire soit féminine, les aspects de genre n’ont été étudiés que très tardivement (Morokvasic-Müller 1984), d’abord dans un contexte de regroupement ou de liens familiaux maintenus pendant la migration (Delcroix 2001 ; Kofman 2004 ; Kofman et Raghuram 2014), puis dans celui des approches féministes du développement (Verschuur et Reysoo 2005), de la migration du travail et des frontières genrées (Nouvelles Questions Féministes 26, 2007). En effet, les dynamiques internationales dans la division du travail engendrent une chaîne globale des soins (« global care chain ») qui repose essentiellement sur les femmes, que ce soit dans le domaine médical, de la pédiatrie ou des soins aux personnes âgées. La réflexion sur la division internationale du travail reproductif a été entreprise par Rhacel Parrenas (2000) et développée par Arlie Hochschild (2000). On peut obtenir une vue d’ensemble des projets européens consacrés au genre et à la migration, voir les résultats du projet européen GEMMA. Enhancing Evidence Based Policy-Making in Gender and Migration : http://gemmaproject.seminabit.com/whatis.aspx En anthropologie politique, l’évolution de systèmes politiques sous l’impact d’une migration de retour, a été étudiée dans un contexte postcolonial (von Weichs 2013). De manière générale, les réflexions menées dans un contexte études postcoloniales de ce type n’ont été entreprises que tardivement en France, et ce souvent dans une optique très critique, voire hostile à ces débats (L’Homme 156, 2000). Parmi les autres sujets traités actuellement en anthropologie des migrations se trouvent les inégalités sociales et spatiales, les dynamiques religieuses transnationales (Argyriadis et al. 2012), les réfugiés et leurs moyens d’expressions politiques et artistiques (Salzbrunn 2014) ou musicales (Civilisations 67, 2018 ; Salzbrunn, Souiah et Mastrangelo 2015). Enfin, le développement conceptuel du phénomène de transnationalisation ou des espaces sociaux translocaux, voire le retour à la « localisation de la migration » (titre de l’ouvrage de Glick Schiller et Caglar 2011) sont des réponses constructives à la question : Comment étudier les migrations dans des sociétés super-diverses (Vertovec 2011) sans réifier leurs appartenances ?

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