Tesi sul tema "French Revolution (1789-1815)"

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Westermayr, Anna Verena. "Public festivities in England during the French Revolution and the Napoleonic Wars, 1789-1815". Thesis, University of Cambridge, 1999. https://www.repository.cam.ac.uk/handle/1810/272026.

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Betros, Gemma Maree. "The female religious communities of Paris during the French Revolution and First Empire, 1789-1815". Thesis, University of Cambridge, 2007. http://ethos.bl.uk/OrderDetails.do?uin=uk.bl.ethos.612936.

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Ritz, Olivier. "Les métaphores naturelles dans le débat sur la Révolution de 1789 à 1815". Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040134.

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Abstract (sommario):
En étudiant les textes du débat sur la Révolution française qui ont été publiés entre 1789 et 1815, cette thèse montre comment les métaphores naturelles ont servi à configurer des relations nouvelles entre la politique, la science et la littérature.La première partie étudie les métaphores naturelles en tant qu’instruments du débat sur la Révolution, envisageant successivement quatre fonctions rhétoriques : non seulement émouvoir et argumenter, mais aussi faire connaître et faire agir. La seconde partie étudie les relations entre les sciences de la nature et la politique. Elle porte sur les tentatives d’établir une véritable science politique à partir du modèle des sciences naturelles, sur les liens entre Révolution française et révolution scientifique ainsi que sur les stratégies discursives de promotion de la figure du savant. La troisième partie traite du débat sur la littérature qui se développe au cœur du débat sur la Révolution. Si les métaphores naturelles y sont remarquables pour leur force rhétorique et parce qu’elles mettent la littérature en tension avec la science et la politique, elles sont aussi des marqueurs littéraires : à travers elles, les écrivains légitiment leur œuvre, définissent leur rôle et s’inscrivent dans des traditions poétiques. Deux chapitres étudient spécifiquement les premières histoires de la Révolution.L’invention de la littérature comme usage fondamentalement esthétique du langage écrit est le résultat paradoxal de cette période où les liens entre la littérature, la politique et les sciences ont été particulièrement riches
By studying a series of texts that debate the French Revolution between 1789 and 1815, this thesis aims to show how natural metaphors played a part in creating new relationships between politics, science and literature.The first part focuses on the rhetorical uses of natural metaphors in the debate. It studies how they were used not only to arouse emotions and to convince the reader, but also to produce knowledge and drive people to action. The second part deals with the relationships between the natural sciences and politics: first examining the attempt to create a new political science based on the model of the natural sciences, then analysing the relationship between the French Revolution and the scientific revolution, before finally considering the textual strategies used to create and promote the new figure of the scientist. The third part studies the debate about literature that developed at the centre of the debate on the French Revolution. In this context, natural metaphors are interesting not only because of their rhetorical power or because they create tensions between literature, science and politics, but also because they are used as indications of literariness: by using natural metaphors, writers legitimized their works, defined their social function and took their place in a literary tradition. Two chapters focus specifically on the first written histories of the French Revolution.The idea of literature as an essentially aesthetic use of written language is the paradoxical result of this period of deep and intensive interaction between literature, politics and sciences
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Renard, Nils. ""La terre est affranchie" : Henri Grégoire et les paysages catholiques de la Révolution française (1789-1815)". Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2023. http://www.theses.fr/2023PA01H077.

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Abstract (sommario):
Cette thèse interroge les rapports entre religion, environnement et anthropologie, de la fin de l’Ancien Régime à l’Empire, en se concentrant sur la figure de Henri Grégoire (1750- 1831), personnage essentiel de la Révolution française, connu pour son combat abolitionniste. En étudiant les cercles religieux et intellectuels gravitant autour de l’abbé Grégoire, en particulier les curés agronomes, le clergé révolutionnaire et républicain de l’Église gallicane, les membres de la Société de philosophie chrétienne, les agronomes et sylviculteurs des sociétés d’agriculture, et particulièrement de la Société d’agriculture du département de la Seine, mais aussi les figures de l’Europe savante sous l’Empire, on peut suivre l’évolution d’un débat intellectuel au croisement du politique, du religieux et d’une réflexion sur la nature. En définissant les paysages catholiques de la France rurale, héritages idéalisés du travail de la terre, et cadre du gouvernement politique et religieux des sociétés, on éclaire un pan essentiel de son action. Elle s’exerce dans le contexte de l’inquiétude climatique sur les forêts de France : le choix de l’arbre de la liberté comme symbole de la Révolution marque alors un temps politique et scientifique essentiel pour l’évêque de Blois. De ses influences lorraines, Grégoire tire un ensemble de traditions intellectuelles, dont nous montrons la complexité, fruit des débats religieux de son époque, et déterminant sa conception du rôle du clergé dans le gouvernement des sociétés, à travers la centralité qu’il accorde à l’agriculture. Les débats politiques et scientifiques au tournant du Consulat et de l’Empire, sur le gouvernement des sociétés et de leur environnement, interrogent ce modèle social hérité de la Réforme catholique. La régénération par le travail de la terre, théorisée en particulier pour les juifs de France dans le cadre de l’émancipation, est définie comme l’horizon politique et spirituel adapté aussi bien à la métropole en Révolution qu’aux anciens esclaves des colonies, en répondant aux espérances placées dans l’agriculture comme la source d’une abolition de l’esclavage. Il répond également aux attentes de pacification des régions rurales insurgées, en particulier la Vendée, dont nous montrons que l’influence sur Grégoire et le clergé républicain est décisive dans la refondation d’une apologétique chrétienne dans la France du Directoire. Le positionnement politique de l’abbé Grégoire sous l’Empire, souvent considéré comme un opposant irréductible, se révèle alors plus nuancé. Les paysages catholiques de la Révolution se comprennent à la lumière de son approche spirituelle et civilisationnelle de l’agriculture, matrice de l’émancipation
This PhD dissertation questions the connection between religion, environment and anthropology, from the end of the Old Régime to the First French Empire, focusing on Henri Grégoire (1750-1831), who was a prominent figure of the French Revolution, famous for his abolitionist claim. I study religious and intellectual groups circulating around him, in particular the members of the clergy specializing in agriculture, the republican and revolutionary clergy of the Gallican Church, the members of the Christian Philosophical Society, the agronomists and foresters of the agriculture societies, especially the Agriculture Society of the Seine district, but also the main thinkers of Europe during the Empire of Napoléon. I delineate the evolution of a debate on nature, politics and religion. By defining Catholic landscapes of rural France, seen as idealized legacies of the ploughing, and understood as the context of the religious and political governance of the country, I shed new light on Grégoire’s action. It takes place in the context of the environmental anxiety about French forests: the choice of the Liberty tree as a symbol of the Revolution is a major political and scientific threshold for the bishop of Blois. Grégoire inherits complex intellectual traditions from his Lorraine origins, which are the result of religious debates of the time. They define his perception of the role of the clergy in the governance of societies, based on agriculture as a central element. Political and scientific debates on the way to rule societies and environment, taking place at the beginning of the Consulat and the Empire, question this social model dating back to the Catholic CounterReformation. Regeneration by the rural work is first theorized during the Jewish émancipation debate in France; it becomes the political and spiritual frontier for France and for former enslaved people of the colonies as well. It fits in the great expectations endowed in agriculture for the abolition of slavery. It also answers attempts at pacification in seditious rural areas, especially the Vendée region. That latter context has a great influence on Grégoire and his clergy, who develop a new Catholic literature during the Directoire period, as I show it. Therefore, the way Grégoire positions himself politically under Napoléon’s reign is to be qualified. His civilisational and spiritual approach to agriculture, considered as a means for emancipation, sheds new light on the Catholic landscapes of the French Revolution
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Haegele, Vincent. "La famille Bonaparte et la gestion de l’héritage révolutionnaire : enjeux politiques et économiques au sein de l’espace européen". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2021. http://www.theses.fr/2021SORUL029.

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Abstract (sommario):
La Révolution française s’inscrit dès ses débuts dans un cadre international : tout au long des années 1780, les réformes entreprises dans les pays voisins de la France, mais aussi les crises politiques comme celle vécue par les Provinces-Unies, ont eu un large écho dans le débat politique intérieur. La signature du traité de commerce franco-anglais de 1786 est considérée comme une erreur politique dans un contexte qui voit l’opinion publique française s’alarmer du décrochage subi par l’économie du pays face au rival britannique. La Révolution remet en cause les bases fondamentales de la société française mais aussi ses rapports avec les puissances voisines, dont le langage diplomatique n’est plus compréhensible. L’entrée en guerre, en 1792, est inéluctable. Victorieuse sur le terrain militaire, la France n’est cependant pas pour autant épargnée par les crises politiques engendrées par les expérimentations constitutionnelles successives mises en place. En 1800, Napoléon Bonaparte s’empare du pouvoir et entreprend de consolider l’héritage révolutionnaire, à l’intérieur des frontières, mais aussi à l’extérieur. Bien qu’il prétende fermer le cycle commencé en 1789, Napoléon lui donne une nouvelle dimension dont la finalité est bien de construire un Empire. Cela sous-entend de reconstruire l’appareil diplomatique et de doter les États alliés ou satellites d’institutions inspirées du modèle qu’il incarne en reprenant à son profit les codes et symboles de la monarchie. Pourtant ce modèle n’est pas sans faiblesse. Le présent travail cherche à présenter le rôle de la famille Bonaparte dans l’appropriation des idées révolutionnaires et dans leur transmission à travers l’Europe
From its beginning, the French Revolution was the part of an international framework: throughout the 1780s, reforms and crisis in the foreign countries had a large echo in the internal political debate. The conclusion of the Franco-British commercial treaty in 1786 has been seen as a major political error by a growing part of the French public opinion. People were alarmed by the capability of the country’s economy to face the weight of British rival. The Revolution soon questions the fundamental bases of French society but also its relations with foreign powers, whose diplomatic language is no longer understandable. In 1792, the entry into the war was inevitable. Glorious in the military field, France was not however spared by the political crises engendered by the successive constitutional experiments. In 1800, the general Napoleon Bonaparte seized power and consolidated the revolutionary legacy, within the borders, but also abroad. Although he claimed to close the cycle started in 1789, Napoleon gave it a new dimension whose purpose was to build an Empire beyond natural borders. This implied a new diplomatic organisation and endowing allied or satellite states with institutions inspired by the model he personally embodied by using the codes and symbols of the monarchy for his own benefits. Yet this model was not without weakness. This work aims to present the role of the Bonaparte family in the appropriation of revolutionary ideas and in their transmission across Europe
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Roux, Stéphane. "Le concept de "convention nationale" sous la Révolution. Contribution à l'étude de la représentation constituante". Thesis, Paris 2, 2011. http://www.theses.fr/2011PA020076.

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Abstract (sommario):
Dans un système constitutionnel fondé sur la souveraineté de la nation, le pouvoir constituant fait figure de phénomène ambivalent, difficilement analysable en termes juridiques. Par définition réfractaire à tout encadrement impératif, le pouvoir suprême au sein de l’Etat n’en doit pas moins revêtir une forme organisée pour exprimer une volonté normative. Les acteurs de la Révolution française agissent aux confins du droit, tirant profit des ressources de la philosophie politique et de l’histoire pour établir une constitution, principe fondamental du système juridique qu’ils cherchent à établir. Ils se dotent d’outils pour parvenir à leurs fins : le concept de « convention nationale » en est un, auréolé du succès des réalisations américaines. Plutôt qu’à une transposition institutionnelle, les révolutionnaires français procèdent à une adaptation. En devenant « extraordinaire », la représentation constituante qu’ils conceptualisent perd son caractère révolutionnaire pour devenir pleinement juridique. Elle offre une alternative à l’insurrection. Un tel processus présente cependant un revers. Ce pouvoir, en accédant à l’existence investi de l’exercice de la souveraineté, est dégagé de toutes contraintes juridiques autres que celles qui découlent de son organisation. Ces contraintes pèsent sur ses membres, exacerbant les tensions qui déchirent un corps collectif doté des pouvoirs les plus étendus. Les dérives sanglantes qui frappent la Convention nationale ne sont pas inéluctables ; elles découlent de l’exploitation politique des failles inhérentes au fonctionnement d’une représentation souveraine dont les membres ne doivent jouir d’aucun privilège
In a constitutional system founded on the sovereignty of the nation, constituent power is an ambivalent phenomenon, difficult to analyse in juridical terms. By definition resistant to mandatory regulation, the supreme power in the state must necessarily take a form which enables it to express a normative will. The actors of the French Revolution push the confines of the law, taking advantage of the resources of political philosophy and history to establish a constitution, fundamental principle of the juridical system they seek to institute. They create tools to achieve their ends: the concept of “national convention” being one, taking inspiration from the success of American achievements. Rather than an institutionnal transposition, the French revolutionaries proceed with an adaptation. By becoming “extraordinary”, the constituent representation which they conceptualize losses its revolutionary character to become fully juridical. It offers an alternative to the insurrection. By coming into existence invested with the capacity to exercise sovereignty, this power is released from all legal constraints other than those arising as a result of its organization. The process, however, is two-sided, and internally produced constraints weigh on its members, exacerbating tensions thar tear a collective body endowed with the broadest powers. The bloody excesses that strike the National Convention are not inevitable. They arise from political exploitation of flaws inherent to the organization of a sovereign representation whose members must not have any privilege
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Hayworth, Jordan R. "Conquering the Natural Frontier: French Expansion to the Rhine River During the War of the First Coalition, 1792-1797". Thesis, University of North Texas, 2015. https://digital.library.unt.edu/ark:/67531/metadc822845/.

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Abstract (sommario):
After conquering Belgium and the Rhineland in 1794, the French Army of the Sambre and Meuse faced severe logistical, disciplinary, and morale problems that signaled the erosion of its capabilities. The army’s degeneration resulted from a revolution in French foreign policy designed to conquer the natural frontiers, a policy often falsely portrayed as a diplomatic tradition of the French monarchy. In fact, the natural frontiers policy – expansion to the Rhine, the Pyrenees, and the Alps – emerged only after the start of the War of the First Coalition in 1792. Moreover, the pursuit of natural frontiers caused more controversy than previously understood. No less a figure than Lazare Carnot – the Organizer of Victory – viewed French expansion to the Rhine as impractical and likely to perpetuate war. While the war of conquest provided the French state with the resources to survive, it entailed numerous unforeseen consequences. Most notably, the Revolutionary armies became isolated from the nation and displayed more loyalty to their commanders than to the civilian authorities. In 1797, the Sambre and Meuse Army became a political tool of General Lazare Hoche, who sought control over the Rhineland by supporting the creation of a Cisrhenan Republic. Ultimately, troops from Hoche’s army removed Carnot from the French Directory in the coup d’état of 18 fructidor, a crucial benchmark in the militarization of French politics two years before Napoleon Bonaparte’s seizure of power. Accordingly, the conquest of the Rhine frontier contributed to the erosion of democratic governance in Revolutionary France.
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Mabo, Solenn. "Les citoyennes, les contre-révolutionnaires et les autres : participations, engagements et rapports de genre dans la Révolution française en Bretagne". Thesis, Rennes 2, 2019. http://www.bu.univ-rennes2.fr/system/files/theses/2019_theseMaboS.pdf.

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Abstract (sommario):
Centrée sur les rapports de genre dans le champ politique, cette thèse s’empare de la représentation figée de Bretonnes fanatiques et contre-révolutionnaires en analysant les voies de leur participation à la Révolution, qu’elles la soutiennent, la combattent ou s’y impliquent autrement. Des actions d’envergure aux interventions plus quotidiennes, leur engagement est confronté à celui des hommes pour observer comment se manifestent et se recomposent des pratiques et identités politiques sexuées. Après un prologue qui présente la place des femmes dans la société bretonne au XVIIIe siècle, la thèse s’organise autour de trois grands axes. Le premier montre comment elles participent à la séquence pré-révolutionnaire puis investissent les nouveaux espaces de la citoyenneté. Le second explore les marges de la participation politique en observant comment des femmes ordinaires sont impliquées plus ou moins volontairement dans la dynamique révolutionnaire. Le dernier axe présente les résistances à la Révolution, des luttes religieuses à la chouannerie, et examine comment se fabriquent des trajectoires féminines contre-révolutionnaires. L’ensemble repose sur l’exploitation d’archives très dispersées et engage une réflexion sur les mécanismes de la mise en lumière ou de l’occultation des femmes dans les événements et la documentation. En dégageant toute une gamme d’interventions féminines jusque-là ignorées ou peu visibles, cette thèse propose une autre histoire de la Révolution en Bretagne, qui entend nourrir la compréhension de l’ensemble du processus révolutionnaire et alimenter l’histoire des rapports de genre en situation de crise ou de conflit
Focused on gender relations in the political field, this thesis revisits the traditional image of fanatical and counter-revolutionary Breton women by analysing the ways of their participation in the Revolution, whether they supported it, fought against it or got otherwise involved. From major actions to everyday interventions, their commitment is compared with that of men to observe how gendered political practices and identities are manifested and recomposed. After an introduction presenting the place of women in Breton society in the eighteenth century, the study proceeds along three major axes. The first presents how they participated in the pre-revolutionary sequence and then invested the new spaces of citizenship. The second explores the margins of political participation by observing how ordinary women were more or less voluntarily involved in revolutionary dynamics. The third and last part focuses on the resistance to the Revolution, from religious struggles to Chouannerie, and shows how some counter-revolutionary feminine destinies were forged. The present work is based on the exploitation of very scattered archives and engages in a reflection on the mechanisms of the highlighting or the occultation of women in the events and the documentation. By revealing a whole range of previously ignored or inconspicuous feminine interventions, this thesis offers another history of the Revolution in Brittany, which can foster a better understanding of the whole revolutionary process and enrich the history of gender relations in crisis or conflict situations
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Le, Joncour Tristan. "La République entre péril intérieur et insécurité extérieure". Thesis, Normandie, 2019. http://www.theses.fr/2019NORMR049.

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Abstract (sommario):
La distinction de l’ami et de l’ennemi comme facteur déterminant du politique – théorie de Carl Schmitt – a été développée par son élève, traducteur et introducteur Julien Freund, qui précisa « l’essence du politique » par deux autres facteurs : les distinctions du commandant et du commandé, du public et du privé. Le moment de fondation ou de refondation du politique (le kairos grec) est la « situation exceptionnelle » dont la qualification est l’œuvre du souverain. Freund apporte à cette conception schmitienne deux éléments objectifs : la guerre civile et la guerre étrangère faisant de la crise politique la mise en danger de mort de la collectivité, soit la conjugaison du péril intérieur et de l’insécurité extérieure. Correspondent seules à cette définition la Grande Révolution et la Révolution nationale. Le retour en France de l’ennemi (non de la guerre) est la « reprise » (Kierkegaard : la chose du passé surgissant telle qu’en elle-même l’a changée la nouvelle situation) du conflit à la fois étranger et civil de 1954-1962, conflit qui amena la réforme de la loi fondamentale (référendum d’octobre 1958), la décision de la situation exceptionnelle (application de l’article 16, permettant l’incarnation du commandement pour la première fois depuis 1944) et l’installation du régime (référendum d’octobre 1962). L’assimilation de l’Epuration à la « Terreur jacobine » occulte la remise en vigueur des lois révolutionnaires par l’État français, des lois de la Restauration par le pouvoir gaullo-communiste. Tandis que les auteurs contre-révolutionnaires avaient décrit dans la Révolution une œuvre providentielle de régénération nationale, les théories politiques subversives d’illustres « révolutionnaires » et leur mise en pratique (par leurs eux-mêmes) contredisent l’action et le bilan du jacobinisme illibéral : patriotisme de Brissot, fédéralisme de Cloots, communisme de Babeuf. Une dialectique révolutionnaire-conservatrice (réaliste) rencontre donc en miroir une dialectique réactionnaire-progressiste, impolitique en ce sens que son but est le dépassement, l’anéantissement ou l’implosion d’une collectivité politique donnée, la Nation. Robespierre, sous cet angle, incarna donc la tendance conservatrice de la Révolution. La victoire inaugurale de l’oligarchie par un coup de force parlementaire (Thermidor) passe par la délégation du pouvoir souverain, de la députation vers l’armée (stratocratie). Au bout d’une génération, la monarchie de Juillet consacre l’alliance structurelle de l’Ordre et du Mouvement. C’est le coup d’État de 1851 qui ressuscite le suffrage universel ; puis le second Empire reviendra sur l’héritage libéral de 1789 au temporel (abolition des corporations, interdiction des coalitions) comme au spirituel (constitution civile du clergé) en dotant l’Église et en autorisant les syndicats (1864). S’institutionnalise après la guerre étrangère (franco-prussienne) puis civile (Commune) un « nouvel Ancien régime » (Pierre Leroux) dont la gauche constituera l’aile active ; la droite, l’aile passive. En 1939, le gouvernement décidant de la guerre contre l’avis du Parlement, ce qui restait de République est renversé de fait ; le congrès réuni à Vichy, par son vote du 10 juillet 1940, reconquiert paradoxalement la souveraineté en la déléguant. L’histoire du régime de Vichy doit donc être revue à cette lumière, comme celle du gaullisme (dissidence de la Tradition) et de la résistance communiste (dissidence de la Révolution) ; ces deux dernières forces, réunies à partir de 1941, reconstitueront le mouvement réactionnaire-progressiste. Les mémoires de la Révolution française et de la Révolution nationale sont battues en brèche sous les coups d’un libéralisme toujours plus hégémonique, altérant le Peuple, la Constitution, le politique lui-même. Le régime libéral renvoie dos à dos jacobinisme et maurrassisme dans le même enfer mémoriel
The distinction of the friend and the enemy as the determining factor of politics – a theory of Carl Schmidt – has been developped by his pupil, translator and introducer Julien Freund who indicated besides two other factors of the "essence of politics" : the distinction of the commanding one and the commanded one and that of the public sphere and the private sphere. The act of fundation or refundation of politics (the greek kairos) is the ‘exceptional situation’ and its qualification is the sovereign’s task. Freund adds to this Schmittian approach two objective elements : civil war and foreign war changing the political crisis into the danger of death for the collectivity, that is the combination of the internal threat with that from abroad. The only events in the History of France that do correspond to this definition are the Great Revolution and the National Revolution. The enemy coming back in France (and not war coming back) is the ‘resumption’ (Kierkegaard : the thing from the past appearing as the situation changed it in itself) of the internal and external conflict of 1954-1962, a conflict that led to the reform of the fundamental law (referundum of October 1958), the decision to decree the exceptional situation (application of section 16 of the Constitution enabling the incarnation of the command for the first time since 1944) and the installation of the regime (referendum of October 1962). The assimilation of the épuration légale (French : “legal purge”) to the "Jacobin Terror" hides the reinstatement of revolutionary laws by the French State and that of the laws of the Bourbon Restoration by the Gaullo-communist power. While counterrevolutionary authors had described in the Revolution a providential work of national regeneration, the subversive political theories of illustrious "Revolutionaries" and their application (by themselves) contradict the action and the results of illiberal Jacobinism: Brissot’s patriotism, Cloots’ federalism, Babeuf’s communism. A revolutionary-conservative (realist) dialectic thus meets in mirror a reactionary-progressive dialectic which can only be impolitic in the sense that its goal is the overcoming, the annihilation or the implosion of a given political community, the Nation. Robespierre, from this angle, thus embodied the conservative tendency of the Revolution. The inaugural victory of the oligarchy by a parliamentary coup (Thermidor) involves the delegation of the sovereign power from deputyship to the army (stratocracy). At the end of a generation, the July monarchy consecrates the structural alliance of the Order and the Movement. It was the coup d'etat of 1851 that revived universal suffrage; the Second Empire was then to reconsider the liberal heritage of 1789 in the temporal field (abolition of fund, prohibition of coalitions) as well as in the spiritual field (civil constitution of the clergy) by endowing the Church and authorizing labor unions (1864). After the foreign (Franco-Prussian) and then civil (Commune) wars, a "new Ancien Regime" (Pierre Leroux) was institutionalised, with the left as active wing and the right as the passive wing. In 1939, as the government declared war against the opinion of Parliament, what remained of the Republic was overthrown de facto; the congress at Vichy, by its vote of July 10, 1940, paradoxically reconquered sovereignty by delegating it. The history of the Vichy regime must therefore be reviewed in this light, like that of Gaullism (dissent of Tradition) and communist resistance (dissent of the Revolution); these last two forces, united from 1941, would reconstitute the reactionary-progressive movement. The memories of the French Revolution and the National Revolution are undermined by the blows of an ever more hegemonic liberalism altering the People, the Constitution, politics itself. The liberal regime refers back to back Jacobinism and Maurrassism in the same memorial hell
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Constantini, Laurent. "Les Constitutions des Républiques soeurs, illustration d’un modèle français pour l’Europe ?" Thesis, Paris Est, 2010. http://www.theses.fr/2010PEST2002.

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Abstract (sommario):
Les Républiques soeurs, sont les républiques créées, aux Pays-Bas, en Italie, et en Suisse, pendant la Révolution, grâce à l'intervention militaire française et dont la constitution s'inspire fortement de celle du Directoire. Parmi ces dix constitutions datées de 1796 à 1799, certaines ont été simplement octroyées par la France, d'autres ont été adoptées plus librement. A ce moment où les puissances européennes font face à l'expansion de la Grande nation, celle-ci veut être entourée de républiques faites à son image, alliées, et même dociles, afin de se constituer un glacis protecteur. Ces constitutions sont donc établies grâce à la force des armes françaises, mais elles sont censées réaliser la liberté des peuples révolutionnés. Ces derniers, libérés d'une tutelle étrangère, ou d'un système inégalitaire, doivent connaître une émancipation à travers l'idéal républicain exprimé dans les constitutions. Or, la Constitution de l'an III, qui leur a servi de modèle, est elle-même la traduction d'un dilemme. Les Thermidoriens veulent clore l'épisode jacobin, tout en maintenant les acquis républicains. Les Républiques soeurs sont ainsi souvent décrites comme le lieu des expérimentations constitutionnelles qui ne peuvent être menées en France. Il s'agit donc, à travers une analyse constitutionnelle, de comparer les traductions de l'idéal républicain dans ces textes, et d'en montrer les différences par rapport au modèle français de 1795, afin de mesurer leur possibilité d'adaptation. Cette recherche des originalités des Constitutions des Républiques soeurs devant l'apport de l'idéal républicain, nécessite de passer par les thèmes qui constituent cet idéal, à savoir ceux de l'égalité, des droits, des libertés, de la garantie des droits, de la citoyenneté, de la souveraineté, de la représentation, et de la séparation des pouvoirs
The Sister Republics were created in Italy, Switzerland and the Netherlands through military intervention, during the French Revolution, and their constitutions are very much alike that of the Directoire. Of these ten Constitutions, adopted between 1796 and 1799, some were simply granted by France while others were passed on a more autonomous basis.At a time when the European powers were unable to contain the expansion of the Great nation, the latter wanted to surround itself with Republics built in its image, allied, even docile so as to surround itself in a protective glacis. These Constitutions were, thus, set up thanks to the French army's action, although they were meant to enforce the freedom of these revolutionized peoples. Freed from foreign dominion or from a non-equalitarian regime, they would experience emancipation through the republican ideal expressed in their constitutions. However, the Constitution de l'an III, upon which they were designed, was itself the expression of a dilemma. Thermidorians wanted to put an end to the Jacobin episode, while maintaining the gains of the republican regime. The Sister Republics are, hence, often described as the place of the constitutional experiments which could not be done in France. It is then question, through constitutional analysis, to compare the various translations of the republican ideal found in those texts, and to show the differences between them and the French model of 1795, so as to find out how adaptable they are. This investigation into the originality of the Constitutions of the Sister Republics in front of the republican ideal, will deal with the themes which are constitutive of this idea : equality, rights, liberties, protection of rights, citizenship, sovereignty, political representation and separation of powers
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Baron, Bruno. "Élites, pouvoirs et vie municipale à Brest, 1750-1820". Phd thesis, Université de Bretagne occidentale - Brest, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00724666.

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Abstract (sommario):
Brest, ville portuaire et arsenal militaire, est une cité où quelques individus mènent de front une carrière publique et privée en s'appuyant parfois sur les circonstances politiques.Sous l'Ancien Régime, négociants et hommes de loi contrôlent la sphère municipale mais sont dominés par les élites sociales (officiers de marine, intendants de marine, noblesse de l'armée de terre) qui constituent l'essence du pouvoir dans la ville.Avec la Révolution, un nouveau personnel politique se met en place, on assiste alors à un renouvellement des élites. La noblesse militaire perd ses positions, les anciens notables se trouvent relégués à un rôle subalterne et une nouvelle génération de notabilités issue des changements révolutionnaires est toujours bien présente quand la monarchie fait son retour en 1815.Le rapprochement des évolutions institutionnelles et des parcours politiques des élites permet de dresser un état précis des structurations politiques et sociales locales au cours de ces soixante-dix ans.Au cours de cette période, les élites municipales brestoises parviennent à s'imposer à leurs concitoyens mais ne réussissent pas à imposer leurs vues quand il s'agit des relations avec les autorités supérieures. Elles sont toujours sous la coupe d'un commandant militaire ou d'un représentant direct de l'État. Le pouvoir municipal subit des changements et connaît des fluctuations importantes dans la réalité de ses pouvoirs et dans sa marge d'autonomie.
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Daviot, Marie-Françoise. "La vente des biens nationaux dans le Vendômois (1789-1850)". Thesis, Paris 2, 2013. http://www.theses.fr/2013PA020078.

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Abstract (sommario):
Entre Beauce et Sologne, le Vendômois est en 1789, une région pauvre, souffrant de la disette, situation à laquelle l’administration révolutionnaire n’a pas su remédier. La vente des biens nationaux en augmentant la propriété foncière des notables qui ont déjà la mainmise sur les trois quarts du sol de la région et contrôlent désormais les institutions politiques et administratives, va asseoir leur influence sur les populations.Si sur le plan de l’agriculture, le système paternaliste disparaît, il n’en laisse pas pour autant place à une économie capitaliste florissante. Le retard dans ce domaine et dans ceux de l’industrie et du commerce, restera important au XIXème siècle. Le bilan des ventes nationales montre la disparition presque totale de la propriété ecclésiastique et la division par trois de la propriété noble. Le transfert de propriété aux paysans, qui peut paraître réel lors des premières ventes, est fortement atténué par le phénomène des reventes qui s’étalent sur les cinquante années suivantes. Le point remarquable, qui apparaît également dans cette étude, est la relative modération de la population vendômoise et des hommes politiques, quand elle a pu les désigner pour l’administrer localement. Attachée aux traditions, la population bien qu’elle ait participé aux acquisitions des biens dits nationaux, a su montrer de la résistance face aux comportements extrêmes des hommes politiques parisiens et blésois. Contrairement à beaucoup d’autres régions françaises plus urbaines, les persécutions et les destructions, qui ont marqué la période des ventes nationales, n’ont pas été systématiques en Vendômois, et c’est tout à son honneur
In 1789, the traditional area of the Vendômois, bordered by the Beauce and Sologne regions, is poor and the revolutionary authorities have not succeeded in addressing the prevailing food shortage. By growing the landed property of the upper classes,who already had a stronghold on three quarters of the region’s real estate and who would now control the political and administrative system, the sale of “biensnationaux” would reinforce their influence over the population. Although the paternalistic system in the field of agriculture came to an end, it not made way for a flourishing capitalistic system. The lack of development in industry and agriculture will remain important throughout the XIXth century. The outcome of the sale has been an almost complete disappearance of church property whileownership by the nobility was divided by three. The transfer of ownership to the peasantry which might have seemed real at the times of the first sales was greatly diminished by the subsequent resales over the next fifty years. Another noteworthy point which emerges from this study is the sense of moderation of “vendômoise”population, and of those political leaders, when it was able to appoint to administer locally. Although the local population, which had a strong attachment to tradition, did take part in the acquisition of national lands, it resisted to extreme behaviour of the political leaders from Paris and Blois. Unlike what happened in many other more urban french regions, persecutions and destructions which characterized the period of the national sales were not systematic in the Vendômois, much to its credit
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Ferrié, Christian. "La politique entre réforme et révolution : le sens de la position kantienne". Thesis, Paris 2, 2012. http://www.theses.fr/2012PA020039.

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Abstract (sommario):
La pensée politique moderne a admis la dichotomie entre réforme et révolution. Le réformisme en a fait un principe qui domine actuellement les esprits. Mais la politique n’est-elle pas irrémédiablement partagée entre révolution et réforme ? La politique de Kant constitue un paradigme idéal pour poser le problème du rapport entre réforme et révolution. A l’initiative de Burke, l’opposition moderne entre réforme et révolution se forme à cette époque en réaction aux révolutions en Europe. Kant accepte bien l’opposition entre la réforme entreprise par le souverain et la révolution accomplie par le peuple. Mais sa sympathie bien connue pour la Révolution française l’amène à élaborer une politique pragmatique qui prend en compte les conditions historico-politiques de l’application des principes républicains défendus par la Révolution. Animé par un esprit révolutionnaire, le réformisme kantien entend réussir le processus politique de la républicanisation par le moyen de la réforme, tout en rendant justice à la nécessité du processus naturel de la révolution qui réagit à l’oppression de la liberté. Selon le philosophe de la Révolution, la réforme (révolutionnaire) accomplit la révolution. Pour le montrer, il faut réinscrire la politique de Kant dans son temps. La partie I en précise le contexte historique et sémantique : la réfutation kantienne du droit de rébellion est dirigée contre les monarchomaques ; l’articulation kantienne de la réforme à la révolution s’inscrit dans la lignée du consensus entre réforme et révolution mise en place par les Lumières. La partie II retrace la mise en place de la dichotomie « réformiste » entre réforme et révolution par les burkiens allemands : ils opposent à la violence destructrice de la Révolution l’option d’une réforme conservatrice qui se contente d’améliorer ponctuellement les institutions monarchiques. Kant, en revanche, se révèle être le théoricien secret d’une réforme révolutionnaire qui bouleverse le système monarchique de fond en comble : pour le montrer, la partie III décrypte l’esprit révolutionnaire de sa politique
Modern political thought has admitted the dichotomy between reform and revolution. Reformism has turned it into a principle that currently dominates our minds. But isn't politics irremediably torn between reform and revolution?Kant's politics is an ideal paradigm to pose the problem of the relation between reform and revolution. At Burke's initiative, the modern opposition between reform and revolution is formed at that time as a reaction to the revolutions in Europe. Kant accepts the opposition between reforms adopted by the sovereign and the revolution done by the people. But his well-known sympathy for the French Revolution leads him to elaborate a pragmatic political philosophy that takes into account the historico-political conditions of the implementation of the republican principles defended by the Revolution. Stimulated by a revolutionary spirit, Kantian reformism means to successfully establish the political process of republicanisation thanks to reform, while doing justice to the necessity of the natural process of the revolution which reacts to the oppression of liberty. According to the philosopher of the Revolution, (revolutionary) reform accomplishes the revolution.So as to show it, one must place Kant's politics in his time. Part I makes clear its historical and semantic context: the Kantian refutation of the right to rebel is directed against the Monarchomachists; the Kantian way of articulating reform to revolution is inscribed in the tradition of a consensus between reform and revolution implemented by the Enlightenment. Part II charts the creation of the 'reformist' dichotomy between reform and revolution by German Burkians: rather than the destructive violence of the Revolution, they opted for a conservative reform that managed only to bring about ad hoc improvements to the monarchic institutions. Kant, on the contrary, turns out to be the secret theoretician of a revolutionary reform which totally upsets the monarchic system: to show this, part III deciphers the revolutionary spirit of his political thought
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Wang, Xiaofei. "The teaching of analysis at the École Polytechnique : 1795-1809". Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCC234.

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Abstract (sommario):
Ce travail se concentre sur le cours d'analyse enseigné à l'École polytechnique de 1795 à 1809. En devenant professeurs, plusieurs mathématiciens au tournant du 19ème siècle y ont contribué par des ouvrages importants d’Analyse. Parmi eux, Joseph-Louis Lagrange (1736-1813) joua un rôle central, en y devenant le premier Institutor d'analyse. Les trois premiers chapitres de cette thèse se focalisent sur les leçons que Lagrange donna de 1795 à 1799. En insistant sur le fait que Lagrange enseignait l'arithmétique à l’École Polytechnique avant son cours d'analyse, la première partie de cette thèse clarifie les raisons pour lesquelles de Lagrange incorporait ces éléments d’arithmétique et leur relation avec le cours d’analyse. Cette étude fournit une discussion détaillée des concepts fondamentaux des mathématiques dans les cours de Lagrange. Ainsi, on y montre que l'intention de Lagrange est de lier des branches différentes de l'analyse à l'algèbre à l'arithmétique. Ce travail montre de quelles façons et en quels termes Lagrange unifie ces branches. De plus, cette thèse met l'accent sur les valeurs épistémologiques que Lagrange poursuit et défend dans ses travaux mathématiques, sur la base desquelles Lagrange a choisi la méthode des développements des fonctions en séries pour présenter les principes du calcul différentiel. La but de la deuxième partie de cette thèse est de montrer à quel point le cours de Lagrange à l'Ecole Polytechnique a influencé l'enseignement de trois autres professeurs: Joseph Fourier (1768-1830), Jean-Guillaume Garnier (1766-1840) et Sylvestre-François Lacroix (1765-1843). Fourier inventa une nouvelle méthode en croisant la méthode de Lagrange et la méthode des limites. Garnier et Lacroix suivent essentiellement la méthode de Fourier, mais avec quelques modifications. En comparant les deux traités du calcul différentiel de Lacroix, cette étude montre que la pratique de l’enseignement, ainsi que la destination des élèves de l’École Polytechnique ont constitué des facteurs importants dans l’évolution des principes du calcul différentiel et de leur présentation
This work studies the courses of analysis taught at the Ecole Polytechnique (EP) from 1795 until 1809. Several mathematicians of the eighteenth century contributed important works as they practiced the teaching of analysis at this school. Joseph-Louis Lagrange (1736-1813) was the central figure, who had been the first professor of the course of analysis at the EP and had great impact on his successors. In order to show in which way and to what degree the lectures that Lagrange gave exerted influence on the teaching of analysis at the EP, this dissertation gives a detailed discussion on Lagrange’s publications and courses of analysis, as well as those by other teachers, i.e. Joseph Fourier(1768-1830), Jean-GuillaumeGarnier(1766-1840)andSylvestre-FrançoisLacroix (1765-1843). It achieves the following conclusions. First, Lagrange, taking into account the utility for students, chose to found analysis on the method of the developments of functions in series, so that analysis could be united with algebra, and arithmetic as well. Second, Lagrange’s approach to differential calculus, as well as the epistemic values he pursued in his mathematical works, provided influential source for the teaching of analysis by other professors. The thesis is that the three professors who taught beside or after Lagrange followed Lagrange’s ideas, although each made some modifications on his own course
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Saint-Roman, Julien. "Le geste et la révolution : Pratiques sociales et modernité politique des ouvriers de l’arsenal de Toulon (vers 1760 - vers 1815)". Thesis, Aix-Marseille, 2014. http://www.theses.fr/2014AIXM3053.

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Abstract (sommario):
Ce travail porte sur les pratiques sociales et la politisation des ouvriers de l'arsenal de Toulon à la fin de l'époque moderne et durant la Révolution française, pour comprendre, par « en bas », comment naît un collectif nouveau : la classe sociale. Cette étude s'appuie sur des archives peu ou pas utilisées en histoire navale. Les sources médicales, judiciaires et notariées, sans négliger les correspondances officielles et les registres matriculaires ou cadastraux, permettent de découvrir toutes les dimensions, individuelles et collectives, des comportements quotidiens des travailleurs toulonnais. À partir des années 1760, les nouveaux rapports d'autorité dus à l'apparition du contremaître et de l'ingénieur, et la mise en oeuvre du libéralisme économique obligent les ouvriers à reformuler les contours de leur identité laborieuse basée sur les routines des chantiers et les expériences en mer. En revanche, la forte proportion de Méridionaux, la puissante reproduction sociale et la ségrégation socio-spatiale à l'intérieur de la ville perpétuent la dimension communautaire des ouvriers de l'arsenal. C'est dans le champ politique, au cours de la Révolution, que leurs pratiques et leurs représentations sont le plus profondément bouleversées. Ils participent alors à l'organisation du port, s'approprient les sections urbaines pour tenir leurs assemblées et accentuent une implication citoyenne par des modes de participation spécifiques qui transforment leur recherche d'économie morale en économie populaire politique. Notre thèse montre donc que la Révolution française a permis la constitution d'un collectif prolétaire et son insertion dans le monde contemporain des luttes sociales
This work focuses on social practices and politicization of workers in the arsenal of Toulon at the end of the modern era and during the French Revolution in order to understand, from below, how comes a new group: the class. This study is based on few or no archives used in naval history. By analysing medical sources, judicial and notarized without neglecting official correspondence and matriculaires or land registers, we can discover all aspects of the daily behavior of workers in the dockyard of Toulon. From the 1760s, workers must reformulate the contours of their identity based on their laborious routines on docks and their experiences at sea because of the appearance of the foreman and engineer which enforces new authority reports, and of the implementation of economic liberalism. In contrast, the proportion of Southerners, the powerful social reproduction and socio-spatial segregation within the city perpetuate the community dimension of the workers of the arsenal. In fact, their practices and representations are most profoundly affected in the political field, during the Revolution. They participate in the organization of the port, the urban sections are used to hold their meetings and their citizen involvement is amplified by specific modes of participation that are transforming their search for moral economy in popular political economy. Therefore thesis shows that the French Revolution led to the establishment of a proletarian class and its inclusion in the contemporary world of social struggles
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Biscay, Myriam. "Pouvoir et enseignement du droit en France et dans l'Italie du nord du XVIIe siècle à la fin du Ier Empire". Thesis, Lyon 3, 2013. http://www.theses.fr/2013LYO30059.

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Abstract (sommario):
Dès la genèse des universités, à la fin du XIIe siècle, leur autonomie implique un certain rapport au pouvoir puisqu’elles n’existent que si elles sont reconnues et garanties par des autorités extérieures. Les facultés de droit, composantes des universités, sont particulièrement liées au pouvoir politique en raison des rapports étroits unissant le politique et le droit. À partir du XVIIe siècle, en France, le pouvoir royal s’ingère véritablement dans le domaine des facultés de droit. Ce processus d’immixtion du pouvoir politique sur les facultés de droit s’étend jusqu’au point culminant de la réforme napoléonienne instaurant l’Université impériale. Il s’agit d’une phase de transformation des facultés de droit, alliée à la mutation de l’État lui même, située entre les facultés de droit médiévales, détentrices d’une certaine autonomie, jusqu’aux institutions étatisées dont les finalités sont définies par le pouvoir politique. Les facultés de droit d’Italie du nord, pour le moins en Piémont et en Lombardie autrichienne, connaissent la même évolution au travers des réformes du XVIIIe siècle menées respectivement par Victor-Amédée II et Marie-Thérèse d’Autriche. L’influence politique, soulignant les finalités assignées aux facultés de droit, se traduit par un contrôle de la structure mais également par une immixtion dans le contenu même des enseignements. Ainsi, le type de juriste voulu par le pouvoir politique se dessine au travers des différentes réformes adoptées
From the genesis of the universities in the late twelfth century, autonomy implies a certain relationship to power as they only exist if they are recognized and guaranteed by external autorithies. The Faculties of Laws, universities components, are particularly related to political power because of the close relationship liking the political and law. In France, from the seventeenth century, the royal power truly interferes in the field of law schools. This process of political interference power over law schools extends to the height of the Napoleonic reform establishing the Imperial University. It is a phase transformation of law schools, combined with the transformation of the state itself, between the faculties of medieval law, holders of a degree of autonomy, to the state-owned institutions, whose purpose is defined by the political power. The faculties of law in northern Italy, at least in Piemont and Lombardy Austrian, experience the same evolution through reforms of the eighteenth century led respectively by Victor Amadeus II and Maria Theresa of Austria. The political influence, highlighting the objectives assigned to the faculties of law, resulting in a control structure but also by interference in the same educational content. Thus, the type of lawyer wanted by the political power emerges through various reforms

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