Articoli di riviste sul tema "Filets de pêche – Environnement"

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Granger, Vanessa, Luc de Chaisemartin e Sylvie Chollet-Martin. "La pêche miraculeuse des filets du neutrophile". médecine/sciences 30, n. 5 (maggio 2014): 544–49. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20143005018.

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David, Gilbert. "La pêche côtière océanienne et son environnement". Journal de la société des océanistes, n. 126-127 (15 dicembre 2008): 247–70. http://dx.doi.org/10.4000/jso.4352.

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Kouyate, Kassoum, Aké Théophile Bedia, Valentin N’Douba e Zeré Marius Gogbe. "Typologie De La Pêche Et Production De Synodontis Membranaceus (Geoffroy Saint-Hilaire, 1809) Au Niveau De La Rivière Bagoué (Côte d’Ivoire)". European Scientific Journal, ESJ 17, n. 21 (30 giugno 2021): 150. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n21p150.

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Abstract (sommario):
L’étude vise à connaître l’état de la pêche après plus d’une décennie de crise dans la rivière Bagoué. Les campagnes ont lieu d’août 2018 à juillet 2020. Les données ont été collectées à l’aide de questionnaires administrés aux pêcheurs. La taille de première maturité sexuelle (LS50) et la taille de première capture (Lc50) ont été déterminées respectivement à partir de la fonction logistique de régression non linéaire et de l’équation générale de Von Bertalanffy incorporée au logiciel FISAT II. A l’issue de ces enquêtes, 141 pêcheurs ont été recensés sur l’ensemble des sites visités. Ils financent sur fond propre leur activité. La pêche est dominée par les ivoiriens (88,65 %) et elle est plus importante dans les villages Samôgôs qui concentrent 68,08 % des pêcheurs. Les pêcheurs sont tous des illettrés et pour la plupart des adultes (44,68 %). Les Bozos, avec 5,67 %, sont des pêcheurs professionnels. Les autres effectuent des activités annexes. Les engins de pêche sont pareils à ceux utilisés dans les pêcheries en Côte d’Ivoire mais, les filets maillants sont les plus utilisés (55%). Les embarcations sont des pirogues en planches clouées. Les engins de prédilection pour la capture de Synodontis membranaceus sont les filets maillants dont les mailles varient de 10 mm à 60 mm. Les captures de cette espèce s’élèvent respectivement à 2200,25 kg et 2465,67 kg la première et deuxième année d’échantillonnage. Les tailles de première maturité (LS50) sont inférieures aux tailles de première capture (Lc50). Ce qui suggère que les poissons atteignent la maturité sexuelle avant d’être pêcher. Cette pêche est menacée par l’orpaillage artisanal dans les localités de Zanikaha et de Kanakono. En outre, le manque d’organisation professionnel et de formations ainsi que le non-respect des maillages des filets peuvent entraver la gestion durable de l’activité de pêche. This study aims to know the state of the fishery after more than a decade of crisis in the Bagoué River. The campaigns take place from August 2018 to July 2020. Data were collected using questionnaires administered to fishermen. Size of first sexual maturity (LS50) and size of first capture (Lc50) were determined from the non-linear regression logistic function and the general Von Bertalanffy equation incorporated into the FISAT II software, respectively. At the end of these surveys, 141 fishermen were identified on all the sites visited. They finance their activity from their own funds. Fishing is dominated by Ivorians (88.65%) and is more important in the Samôgô villages, where 68.08% of the fishermen live. The fishermen are all illiterate and mostly adults (44.68%). The Bozos, with 5.67 percent, are the professional fishermen. The other fishermen carry out secondary activities. The fishing gear is similar to that used in the fisheries of Côte d'Ivoire, but gillnets are the most commonly used (55%). The boats are only pirogues made of nailed boards. The preferred gear for the capture of S. membranaceus is gillnets. The catches of this species amounted to 2200.25 kg and 2465.67 kg in the first and second years of sampling, respectively. The sizes at first maturity (LS50) are smaller than the sizes at first capture (Lc50). This suggests that the fish reach sexual maturity before being caught. This fishery is threatened by artisanal gold panning in the localities of Zanikaha and Kanakono. In addition, the lack of professional organization and training, as well as the lack of respect for the mesh size of the nets, may hinder the sustainable management of the fishery.
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Arbour, J. Maurice. "La sentence arbitrale du 17 juillet 1986 concernant le filetage du poisson dans les eaux du golfe du Saint-Laurent". Revue générale de droit 17, n. 4 (26 aprile 2019): 813–96. http://dx.doi.org/10.7202/1059231ar.

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Abstract (sommario):
En 1972 la France et le Canada conclurent un accord sur leurs relations réciproques en matière de pêche. L’accord prévoyait que, lorsque les bâtiments de pêche immatriculés en France métropolitaine se seraient retirés du golfe du Saint-Laurent en mai 1986, les chalutiers français immatriculés à Saint-Pierre et Miquelon, d’une taille maximum de 50 mètres et dans la limite d’une dizaine, pourraient continuer de pêcher dans la zone de pêche canadienne à l’intérieur du golfe sur un « pied d’égalité » avec les chalutiers canadiens. Le Canada ayant interdit à ses propres chalutiers de fileter (transformer en filets) leurs prises dans le golfe, il s’agissait de savoir s’il pouvait imposer cette interdiction aux chalutiers de Saint-Pierre et Miquelon. Un tribunal arbitral de trois membres, composé Donat Pharand (nommé par le Canada), Jean-Pierre Quéneudec (nommé par la France) et Paul de Visscher comme Président (nommé par les deux parties) décida, par deux voix contre une, que le Canada ne pouvait interdire un tel filetage. Ce qui suit est un commentaire de la décision majoritaire du tribunal, en particulier en ce qui a trait au droit du Canada de réglementer le filetage et à l’interprétation de la clause du « pied d’égalité ». Le commentaire se réfère également à l’opinion dissidente. La décision majoritaire et l’opinion dissidente sont chacune reproduites dans la langue dans laquelle elles furent rédigées.
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Huber, Claire, Fengshan Li, Xijun Lai, Sadri Haouet, Arnaud Durand, Suzanne Butler, James Burnham et al. "Using Pléiades HR data to understand and monitor a dynamic socio-ecological system: China's Poyang lake". Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, n. 209 (29 gennaio 2015): 125–31. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.206.

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Abstract (sommario):
Le lac Poyang, première réserve d'eau douce de Chine, est un lac de moussons présentant de fortes variations de surfaces en eau entre la saison sèche, novembre-mars, et la saison humide juin-septembre. Les surfaces en eau passent ainsi de plus de 3000 km2 en été, à moins de 1000 km2 en hiver, cela correspondant à une variation inter annuelle de la hauteur de l'eau de 8 à 12 mètres. En saison sèche, la dépression du Poyang comprend une cuvette centrale en eau de taille réduite, et des lacs déconnectés entourés de vastes zones enherbées plus ou moins hautes. Lorsque le niveau d'eau augmente, la grande dépression centrale se remplit, puis au fur et à mesure du remplissage, comme une marée montante, l'eau arrive au niveau des lacs, les submerge et l'ensemble forme alors une petite mer intérieure d'eau douce. Cette dynamique et cette amplitude de variations ont de nombreuses implications en termes de ressources en eau, de santé publique (bilharziose), et mais aussi de richesse de la biodiversité.Le lac Poyang est un des milieux les plus riches et les plus importants en termes de biodiversité en Asie du Sud Est. Il s'agit d'une zone d'hivernage essentielle pour toute l'avifaune de l'Asie et de Sibérie. Plus de trois cents espèces d'oiseaux dépendent de cet habitat unique dont plus d'une douzaine d'espèces considérées en danger. Les plus emblématiques sont les grues de Sibérie et les cigognes blanches orientales dont la quasi-totalité, 98% de la population mondiale (moins de 3000 individus) viennent hiverner au Poyang. Cette de grande diversité d'oiseaux d'eau migrateurs est une conséquence directe de l'hydrologie complexe du lac Poyang.La forte variabilité intra et interannuelle du remplissage du Poyang, est un phénomène difficile à qualifier, c'est pourquoi un suivi temporel à relative haute fréquence est nécessaire. Dans le cadre de la RTU Pléiades HR, des acquisitions sur une base mensuelle ont été programmées au cours de l'année 2013 couvrant la partie la plus riche et sensible de la Reserve Naturelle du lac Poyang (PLNR). L'exploitation des données a porté sur plusieurs axes. Tout d'abord la caractérisation, à une échelle fine, des trajets de l'eau et de la dynamique de remplissage et de vidange des lacs, mettant en évidence un remplissage plutôt tardif et peu important au regard des observations réalisées les 12 dernières années, et surtout une vidange très précoce (fin juillet, entrainant par exemple la vidange totale du Bang Hu, principal site d'accueil des grues sibériennes). Les travaux ont également portés sur l'autre principale composant du milieu naturel, la végétation et sa dynamique inverse de l'eau. A partir des relevés terrain, le long de quatorze de transects, des indices de végétation ont été exploités afin de réaliser la cartographie de la végétation de ce secteur clé du lac Poyang. Les travaux ont également portes portés sur l'impact des activités anthropiques sur le milieu avec deux atteintes fortes, la mise en place de zones de cultures au sein du Parc national, et l'exploitation du lac Poyang comme carrière de sable se traduisant par un fort retrait des berges et un creusement des lits mineurs. Enfin, l'exploitation des données Pléiades HR, associées à des données CSK a permis de lever la première carte des filets de pêche au sein de la Reserve naturelle. De plus, deux triplets stéréo ont été acquis lors de périodes de basses hautes en en mars et septembre 2013, permettant la génération de modèles numériques de surfaces très précis et très détaillés.Les résultats obtenus suite à l'exploitation des images Pléiades HR, transmis à l'administration en charge de la gestion du Parc et à une ONG, l'International Crane Fondation, montrent l'apport des données Pléiades HR pour le suivi environnemental et aussi tout l'intérêt de séries temporelles très haute résolution pour la connaissance, et par la même, la protection des milieux.
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Codjo, Victor, Afio Zannou e Gauthier Biaou. "Déterminants socio-économiques de l’utilisation des engins et pratiques de pêche destructives des ressources halieutiques sur le lac Toho au Bénin (Afrique de l’Ouest)". International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, n. 8 (8 dicembre 2020): 2670–83. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i8.2.

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Abstract (sommario):
La pêche est une activité importante qui contribue à la sécurité alimentaire dans le monde entier, en particulier dans les pays en développement. Elle représente l’une des activités principales dans le septième Pôle de Développement Agricole au Bénin. Elle constitue pour les populations locales non seulement une source de protéines animales hautement nutritives mais aussi une activité génératrice de revenus. Elle est l’une des principales activités humaines qui affectent les écosystèmes aquatiques. L’objectif de cette étude était d’analyser les déterminants socio-économiques de l’utilisation des engins et pratiques de pêche destructives des ressources halieutiques. L’étude a porté sur 129 pêcheurs dans les villages Vèha et Logbo (commune de Lokossa) et Tokpa et Tohonou (commune de Houéyogbé). La méthode d’échantillonnage aléatoire simple a été utilisée pour la sélection des unités d’enquête. Un modèle Logit binomial a été utilisé pour l’analyse des déterminants socioéconomiques. Les résultats de l’étude ont montré que le nombre d’années d’expériences dans la pratique de la pêche, le niveau d’instruction du pêcheur et la fréquence de pêche sont les déterminants de l’utilisation des engins et pratiques de pêche destructives des ressources halieutiques au niveau du lac Toho. L’utilisation des filets réglementés, le développement d’activités génératrices de revenus autres que la pêche, la réduction de la pêche à la main, la réduction de l’utilisation des épuisettes et le développement de la pisciculture sont des stratégies de gestion développées par les pêcheurs face à la baisse des ressources halieutiques dans le lac Toho.Mots clés : Ressources halieutiques, déterminants, engins et pratiques de pêche, modèle logit binomial. English Title: Socio-economic determinants of the use of destructive fishing gear and practices of fishery resources on Lake Toho in Benin (West Africa)Fishery is an important activity contributing to food security in the world and particularly in developing countries. In south of Benin, fishery is one of the main activities in coastal regions. Fishery is not only a source of protein with high nutritious value but also an income generating activity. It is one of the main human activities which affect aquatic ecosystem. This study aims at analyzing the socio-economic determinants of the use of the destroy engine and practical in fisher. A total of 129 fishermen were interviewed in Vèha and Logbo villages in the district of Lokossa and Tokpa and Tohonou villages in the district of Houéyogbé in South of Benin. A simple random sampling was used for selecting the survey units. Binomial Logit model was used to analyze the data. The results revealed that the number of years in fishery activity, the level of education and the frequency of fish harvesting are the socioeconomic determinants of the use of destroy practical in fishery in Toho lake. The use of regulated nets, the development of income-generating activities other than fishing, the reduction of catching fish by hand, the development of aquaculture and the development of the ritual practices, are ways to cope with the decline in halieutic resources of the fishermen.Keywords: Fishery resources, determinants, fishing gear and practices, Binomial Logit model.
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Bao, Ibrahima. "Les transformations techniques de la pêche professionnelle aux engins et aux filets dans le bassin Rhône-Saône-Méditerranée". Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie 27, n. 1 (1999): 105–25. http://dx.doi.org/10.3406/mar.1999.1684.

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Adienin, Williams Yao Donatien, Soumaila Sylla, Mexmin Koffi Konan e Tizie Thierry Zan-Bi. "Typologie de la pêcherie à la senne de plage dans le département de Jacqueville (Côte d’Ivoire)". International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, n. 7 (22 febbraio 2024): 2898–907. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i7.23.

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Abstract (sommario):
L’activité de la senne de plage est très peu documentée en Côte d’Ivoire, or cette activité de pêche est très pratiquée sur tout le littoral ivoirien. Ainsi, sa typologie dans le département de Jacqueville a été réalisé dans le cadre du projet AEP-NANSEN en novembre 2019. A cet effet, un questionnaire prenant en compte l’état civil, le niveau d’instruction, l’équipage, l’embarcation, le financement, l’installation, les caractéristiques de l’engin de pêche, la commercialisation, les espèces envahissantes et la pollution a été utilisé. Les données collectées ont été ordonnées sous Excel 2016. Il résulte de nos données d’enquête que l’activité de pêche à la senne de plage dans le département de Jacqueville est pratiquée uniquement par les pêcheurs Ghanéens (gestionnaires et membres des équipages) dont la tranche d’âge se situe entre 22 et 64 ans. Les gestionnaires des unités de senne de plage sont tous mariés (100%) contre 22,9% des membres des équipages. La proportion des pêcheurs qui n’ont aucun niveau d’instruction et qui ont un niveau primaire sont respectivement de 72,3% et 27,7%. Ces derniers louent l’espace abritant le campement de pêche auprès des autorités villageoises. La pêche à la senne de plage est réalisée à l’aide de pirogues monoxyles motorisées de 40 Chevaux (CV). Les poches des sennes utilisées ont une maille étirée allant de 6 à 10 mm. Concernant l’activité de pêche, les sargasses (Sargassum natans et Sargassum fluitans) et des méduses (Rhizostoma pulmo) présentes dans le milieu ont un impact négatif car obstruant les mailles des filets. Cette pêcherie est caractérisée par ailleurs par un manque de financement de l’activité de pêche par les microfinances et les banques. English title: Typology of beach seine fishing in the department of Jacqueville (Côte d’Ivoire) The activity of the beach seine is very little documented in Côte d'Ivoire, yet this fishing activity is widely practiced throughout the Ivorian coast. Thus, its typology in the department of Jacqueville was carried out as part of the AEP-NANSEN project in November 2019. To this end, a questionnaire taking into account civil status, level of education, crew, vessel, funding, installation, gear characteristics, marketing, invasive species and pollution was used. The data collected was ordered in Excel 2016. It results from our survey data that the activity of beach seine fishing in the department of Jacqueville is practiced only by Ghanaian fishermen (managers and crew members) whose age range is between 22 and 64 years old. Managers of beach seine units are all married (100%) against 22.9% of crew members. The proportion of fishermen who have no level of education and who have a primary level are respectively 72.3% and 27.7%. The latter rent the space housing the fishing camp from the village authorities. Beach seine fishing is carried out using 40 hp motorized dugout canoes. The bags of the seines used have a stretched mesh ranging from 6 to 10 mm. Regarding fishing activity, Sargassum (Sargassum natans and Sargassum fluitans) and jellyfish (Rhizostoma pulmo) present in the environment have a negative impact because they obstruct the meshes of the nets. This fishery is also characterized by a lack of financing of the fishing activity by microfinance and banks.
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PELEBE, Rodrigue O. E., Issa N. OUATTARA, Eloi Y. ATTAKPA, Bernardin W. DIMON YAI, Jonas C. F. DASSOUNDO-ASSOGBA, Ibrahim IMOROU TOKO e Elie H. MONTCHOWUI. "Caractérisation de l’état actuel et des modes d’exploitation des retenues d’eau au Bénin". Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 9, n. 2 (31 dicembre 2019): 1–14. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v9i2.50.

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Abstract (sommario):
Le Bénin dispose de nombreuses retenues d’eau qui sont encore mal documentées. Le présent article traite de l’état actuel et des modes d’exploitation de ces retenues d’eau. Les données ont été collectées par enquêtes socio-économiques, des mesures in situ et des travaux de laboratoire. Les résultats montrent que 79% des retenues d’eau ont une forme irrégulière. Aussi, 71, 43% de ces ouvrages gardent un volume suffisant d’eau d’avril à novembre et la qualité physico-chimique de l’eau est dans les normes de tolérance des espèces piscicoles tropicales. Plus de 60% des retenues d’eau ont leurs déversoirs et digues en mauvais état. Plus on se déplace de la zone Nord-sud vers la zone Nord-nord (de Savè vers Banikoara), plus l'état des retenues d'eau est dégradé. L’exploitation de ces milieux aquatiques implique plusieurs acteurs ayant différents intérêts. Il s’agit des pêcheurs, des éleveurs, des maraichers et des agriculteurs. A 96,43%, les retenues d’eau sont gérées par les comités de gestion qui ont entre autres attributions, de délivrer l’autorisation de pêche. Les palangres appâtées, les filets maillants, le filet épervier et la senne sont les principaux engins de pêche utilisés. Les pêcheurs capturent journalièrement 4,65 ± 2,63 kg de poisson qui est vendu à 1023,81 ± 286,91 F CFA/kg. La pratique piscicole actuelle consiste majoritairement à empoissonner l’eau libre des retenues avec principalement Oreochromis niloticus (Linnaeus, 1758) et accessoirement Clarias gariepinus (Burchell, 1822). La durée moyenne d’élevage de ces poissons est de 7,57 6 ± 1,50 mois. Les sédiments des retenues d’eau sont les plus contaminés par les pesticides agricoles. Les bactéries pathogènes et les résidus de pesticides altèrent plus l’état de santé et la qualité sanitaire des poissons dans le bassin cotonnier. Cette étude permet d’avoir des données utiles à l’élaboration des stratégies durables de valorisation efficace des retenues d’eau au Bénin.
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Plante, Catherine, Matthew Hatvany e Najat Bhiry. "Le haut marais de l’Isle-aux-Grues : un exemple d’exploitation et de développement durables". Revue d'histoire de l'Amérique française 60, n. 1-2 (21 febbraio 2007): 37–60. http://dx.doi.org/10.7202/014594ar.

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Résumé Synonymes de richesses animales et végétales, les marais de l’estuaire du fleuve Saint-Laurent ont été exploités depuis longtemps, d’abord par les Amérindiens puis par les colons européens. Toutefois, l’industrialisation a entraîné leur destruction : plus de la moitié des milieux humides de l’estuaire du Saint-Laurent a disparu. Dans l’optique du développement durable, cet article a pour but d’explorer la relation géohistorique entre société et environnement sur le haut marais de l’Isle-aux-Grues1, une relation qui a pris appui sur les limites et les processus naturels de l’écosystème, à la différence de ce qu’on observe dans plusieurs autres environnements humides de l’estuaire. Depuis quatre siècles, les humains ont développé un rapport durable avec la nature, en faisant du haut marais de l’Isle-aux-Grues un lieu de chasse, de pêche, de récolte du foin de mer et de loisir.
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CHAMPIGNEULLE, A., e S. CACHERA. "EFFICACITÉ DES REPEUPLEMENTS EN TRUITES (Salmo trutta L. et Oncorhynchus mykiss W.) DE UN AN POUR LA PÊCHE PROFESSIONNELLE AUX FILETS ET LA PÊCHE AMATEUR À LA TRAÎNE DANS LE LAC DU BOURGET". Bulletin Français de la Pêche et de la Pisciculture, n. 369 (2003): 1–16. http://dx.doi.org/10.1051/kmae:2003019.

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Savini, Michel. "La réglementation de la pêche en haute-mer par l'Assemblée générale des Nations Unies. A propos de la Résolution 44/225 sur les grands filets maillants dérivants". Annuaire français de droit international 36, n. 1 (1990): 777–817. http://dx.doi.org/10.3406/afdi.1990.2993.

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PEREZ, J. M. "Nouvelles de la recherche - 2èmes Journées de la Recherche Filière Piscicole". INRAE Productions Animales 22, n. 5 (9 dicembre 2009): 415–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.5.3366.

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Abstract (sommario):
Suite à la première édition de 2007, les organismes de recherche INRA, IFREMER et CIRAD avec le CIPA (Comité Interprofessionnel des Produits de l’Aquaculture), l’ITAVI (Institut Technique de l’Aviculture), le SYSAAF (SYndicat des Sélectionneurs Avicoles et Aquacoles Français) et au Ministère de l’Agriculture et de la Pêche (MAP) ont organisé, en partenariat, les 1 et 2 juillet 2009 les 2èmes Journées Recherche Filière Piscicole (JRFP). Comme pour les autres filières françaises d'élevage, l'objectif de ces journées est d'améliorer les échanges d'informations entre tous les acteurs de la filière. Elles permettent de mieux faire connaître les programmes de recherche, d'en diffuser les résultats et d'en montrer les perspectives d'application ; et de s'informer sur l'évolution des pratiques dans les entreprises. Durant ces deux journées, plusieurs sessions ont abordé les thèmes d'actualité importants pour la filière piscicole : Nutrition, Environnement, Génétique, Qualité, Durabilité… avec notamment lors de la première journée les réponses et éclairages de la recherche aux grands reproches formulées à la filière : l’Aquaculture pille-t-elle les mers ? l’Aquaculture pollue-t-elle ? Le poisson d’élevage est-il moins bon ? voir la suite sur le pdf ci-joint https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/3285/33228/version/1/file/Nouvelle_de_la_recherche-22-5.pdf
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MINOUNGOU, Mahamoudou, ,. Raymond OUEDRAOGO, Nomwine DA e Adama OUEDA. "Relation longueur-poids et facteur de condition de sept espèces de poisson du réservoir de Samandeni avant son ouverture à la pêche (Burkina Faso)." Journal of Applied Biosciences 151 (31 luglio 2020): 15559–72. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.151.5.

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Abstract (sommario):
Objectif : Fournir les premières données sur l’ichtyofaune du réservoir de Samandeni avant son ouverture à la pêche à travers l’étude de la relation longueur-poids et de facteur de condition de sept espèces dominantes dudit réservoir. Méthodologie et résultats : Les poissons ont été collectés entre avril 2018 et janvier 2019 à travers des pêches expérimentales aux filets épervier et maillant. Sept espèces dominantes du réservoir à savoir Sarotherodon galilaeus (Mango tilapia), Coptodon zillii (Redbelly tilapia), Oreochromis niloticus (Tilapia du Nil), Marcusenius senegalensis (Trunkfish), Synodontis schall (Wahrindi), Schilbe intermedius (African butter catfish) et Brycinus nurse (Nurse tetra) ont été soumises à l’étude de la relation longueur-poids (RLP) et de facteur de condition. Les régressions longueur-poids, appliquées ici, ont donné des coefficients d’allométrie situés entre 2,86 et 3,20 avec des coefficients de détermination qui varient de 0,7312 à 0,9443. Conclusion et application des résultats: Ces résultats qui sont d’une grande importance dans la modélisation de l’écosystème du réservoir de Samandeni, décrivent une croissance isométrique pour les sept espèces étudiées. En référence aux facteurs de condition, Sarotherodon galilaeus, Coptodon zillii, Oreochromis niloticus et Brycinus nurse présentent de bon état de forme. Mots clés : ichtyofaune, relation longueur-poids, facteur de condition, réservoir de Samandeni, Burkina Faso. Weight–length relationships and condition factor of seven species of fish from Samandeni reservoir before it was opened to fishing (Burkina Faso). ABSTRACT Objective: To provide the first data of the ichthyofauna of the Samandeni reservoir before it is opened to fishing through the study of the length-weight relationship and condition factor of seven dominant species of the said reservoir. Methodology and Results: The fish were collected between April 2018 and January 2019 through experimental fishing with hawk and gillnets. Seven dominant species of the reservoir, namely Sarotherodon Minoungou et al., J. Appl. Biosci. 2020 Relation longueur-poids et facteur de condition de sept espèces de poisson du réservoir de Samandeni avant son ouverture à la pêche (Burkina Faso). 15560 galilaeus (Mango tilapia), Coptodon zillii (Redbelly tilapia), Oreochromis niloticus (Nile Tilapia), Marcusenius senegalensis (Trunkfish), Synodontis schall (Wahrindi), Schilbe intermedius (African butter catfish) et Brycinus nurse (Nurse tetra) were subjected to the study of the length-weight relationship and condition factor. The length-weight regressions applied here gave allometric coefficients between 2.86 and 3.20 with coefficients of determination varying from 0.7312 to 0.9443. Conclusion and Application of results: These results, which are of great importance in the modelling of the ecosystem of the Samandeni reservoir, describe isometric growth for the seven species studied. With reference to the condition factors, Sarotherodon galilaeus, Coptodon zillii, Oreochromis niloticus and Brycinus nurse are in good shape. Keywords: ichtyofauna, weight–length relationships, condition factor, Samandeni reservoir, Burkina Faso.
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Ngalanza, Benjamin Bedi, Nathan Nyongombe Utshudienyema, Paul Monzambe Mapunzu, Antoine Mumba Djamba, Achille Kitambala Kaboka, Willy Lusasi Swana e Jean-Paul Koto-Te-Nyiwa Ngbolua. "Contribution à l’inventaire de l’ichtyofaune de la rivière Balobo (affluent de la rivière Ngiri, bassin moyen du fleuve Congo) en République Démocratique du Congo". Journal of Applied Biosciences 183 (31 marzo 2023): 19153–67. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.183.4.

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Abstract (sommario):
Objectif : Cette étude a été menée entre décembre 2021 et juillet 2022 avec l’objectif général d’inventorier les espèces de poissons qui peuplent la rivière Balobo dans la province de l’Equateur en République Démocratique du Congo. Méthodologie et Résultats : Les spécimens de poisons ont été capturés lors des campagnes d’échantillonnage à travers la pêche artisanale et d’autres ont été achetés auprès des pêcheurs locaux. La capture des poissons a été faite à l’aide d’une batterie des engins de pêche notamment : hameçons, filets dormant, nasses et javelot. Après la pêche, les échantillons de poissons ont été conservés dans une solution de formaldéhyde à 5% dans des bocaux en plastique hermétiquement fermés. Les poissons ont été identifiés et classés à l’aide des clés d’identification systématique des poissons. Il ressort de cette étude que la faune ichtyologique de la rivière Balobo présente diversité riche en poissons. Au total, seize (16) espèces de poissons reparties en six (6) ordres, dix (10) familles et treize (13) genres ont été identifiées. Les ordres des Perciformes, Osteoglossiformes et Cypriniformes sont les plus abondants que les poissons regroupés dans les restes des ordres. Au niveau des espèces Clarias gariepinus, Channalabes apus et Ctenopoma nigropannosum présentent des fréquences de capture. Dans toutes les trois stations de pêche, les espèces Clarias gariepinus domine dans les captures, suivies de Channalabes apus, Ctenopoma nigropannosum, Pantodon buchholzi, Phractolaemus ansorgii et Xenomystus nigri. Les valeurs d’indice d’Equitabilité de Piélou pour les trois stations (compris entre 0,542 et 0,904) sont plus proches de 1 et, témoignent que les espèces de poissons composant le peuplement ichtyologique de ces trois stations de la rivière Balobo vivent en équilibre. Conclusion et application des résultats : Cette étude a permis de relever la diversité et richesse de poisons de la rivière Balobo. Les informations relevées dans cette étude sont d’une importance 19153 Ngalanza et al., J. Appl. Biosci. Vol : 183, 2023 Contribution à l’inventaire de l’ichtyofaune de la rivière Balobo (affluent de la rivière Ngiri, bassin moyen du fleuve Congo) en République Démocratique du Congo capitale dans la conservation et l’exploitation durable de la faune ichtyologique notamment dans le domaine de la pisciculture pour les espèces d’intérêt commercial. Mots clés : Diversité, Ichtyofaune, Rivière Balobo, République Démocratique du Congo Contribution to the inventory of the ichthyofauna of the Balobo River (tributary of the Ngiri River, middle Congo River basin) in the Democratic Republic of Congo ABSTRACT Objective: This study was conducted between December 2021 and July 2022 with the general objective of inventorying the fish species that inhabit the Balobo River in the Equateur Province of the Democratic Republic of Congo. Methodology and Results: Fish specimens were captured during the sampling campaigns through artisanal fishing and others were purchased from local fishermen. The fish were caught using a range of fishing gear including hooks, set nets, pots and javelins. After fishing, the fish samples were preserved in a 5% formaldehyde solution in hermetically sealed plastic jars. The fish were identified and classified using the systematic fish identification keys. The study revealed that the fish fauna of the Balobo River is rich in fish diversity. In total, sixteen (16) fish species divided into six (6) orders, ten (10) families and thirteen (13) genera were identified. The orders Perciformes, Osteoglossiformes and Cypriniformes are the most abundant than the fishes grouped in the remains of the orders. At the species level Clarias gariepinus, Channalabes apus and Ctenopoma nigropannosum show capture frequencies. In all three fishing stations, the species Clarias gariepinus dominates in the catches, followed by Channalabes apus, Ctenopoma nigropannosum, Pantodon buchholzi, Phractolaemus ansorgii and Xenomystus nigri. The Piélou Equitability Index values for the three stations (between 0.542 and 0.904) are closer to 1 and indicate that the fish species making up the ichthyological population of these three stations in the Balobo River are in balance. Conclusion and application of the results: This study has made it possible to identify the diversity and richness of fish in the Balobo River. The information gathered in this study is of paramount importance in the conservation and sustainable exploitation of the fish fauna, particularly in the field of fish farming for species of commercial interest. Keywords: Diversity, Ichthyofauna, Balobo River, Democratic Republic of Congo
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Swana, Willy Lusasi, Santos Kavumbu Mutanda, Clément Munganga Kilingwa, Isa Manikisa, Mbomba N’Seu Bekeli e Victor Pwema Kiamfu. "Contribution à la Connaissance de la Diversité Ichtyologique et Mode D’exploitation de Poissons Schilbeidae (Siluriformes) dans le Pool Malebo (Fleuve Congo), R.D Congo". European Scientific Journal, ESJ 18, n. 30 (30 settembre 2022): 178. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n30p178.

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Abstract (sommario):
Cette étude a pour objectif de contribuer à la connaissance de la diversité ichtyologique ainsi que le mode d’exploitation des poissons Schilbeidae (Siluriformes) pêchés dans le Pool Malebo (fleuve Congo) en R.D Congo. La récolte de poissons s’est faite mensuellement entre Février et Septembre 2019 dans quatre stations de pêche à l’aide des filets maillants (50 à 100 m de long et 2,5 m de hauteur et de 8 à 50 mm de mailles), des épuisettes (0,5 à 2 mm de mailles) ainsi que des palangres de 50 m de long portant des hameçons de n° 7, 10, 11 et 13. Des échanges ont été engagés avec les pêcheurs œuvrant dans les stations retenues en vue de déceler le mode d’exploitation de poisson Schilbeidae. Les résultats obtenus montrent qu’il y a une diversité de poissons de cette famille. Huit espèces (Schilbe mystus Linné, 1758 ; S. intermedius Rüppell, 1832 ; S. zairensis De Vos, 1995 ; S. congoensis Leach, 1818 ; S. marmoratus Pellegrin, 1926 ; Parailia congica Boulenger, 1900 ; P. occidentalis Pellegrin, 1901 et Pareutropius mandevillei Poll, 1900) regroupées en trois genres (Schilbe, Parailia et Pareutropius) ont été identifiées dans le Pool Malebo. Les poissons des genres Schilbe (62 %) et Parailia (25 %) sont les plus abondants. Au niveau des espèces, Schilbe mystus (261 spécimens), S. intermedius (107 spécimens) et S. zairensis (26 individus) sont les plus représentatifs. En terme de richesse spécifique, les stations de Kinkole (8 espèces et H’ = 1,42) et Kinsuka (7 espèces et H’ = 1,205) sont les plus diversifiées. En termes d’abondance, les mois de Juillet, Juin, Mai et Août sont les plus propices à la pêche des poissons Schilbe mystus, S. intermedius, S. zairensis et Parailia occidentalis. Les enquêtes réalisées ont montré que ces poissons sont exploités régulièrement et, présentent une grande valeur économique. Toutes les tailles de poissons sont retenues lors de la pêche pratiquée avec des engins non sélectifs, ce qui présage une exploitation irrationnelle de poissons Schilbeidae dans le Pool Malebo. This study aims to contribute to the knowledge of the ichthyological diversity as well as the exploitation mode of Schilbeidae fishes (Siluriformes) fished in the Malebo Pool (Congo River) in D.R. Congo. The harvesting of fish was done monthly between February and September 2019 in four fishing stations using gillnets (50 to 100 m long and 2.5 m high and 8 to 50 mm mesh), dip nets (0.5 to 2 mm mesh) as well as longlines of 50 m long with hooks of n° 7, 10, 11 and 13. Discussions were held with the fishermen working in the selected stations in order to identify the mode of exploitation of Schilbeidae fish. The results obtained show that there is a diversity of fish in this family. Eight species (Schilbe mystus Linné, 1758; S. intermedius Rüppell, 1832; S. zairensis De Vos, 1995; S. congoensis Leach, 1818; S. marmoratus Pellegrin, 1926; Parailia congica Boulenger, 1900; P. occidentalis Pellegrin, 1901 and Pareutropius mandevillei Poll, 1900) grouped in three genera (Schilbe, Parailia and Pareutropius) have been identified in the Malebo Pool. Fish of the genera Schilbe (62 %) and Parailia (25 %) are the most abundant. At the species level, Schilbe mystus (261 specimens), S. intermedius (107 specimens) and S. zairensis (26 individuals) are the most representative. In terms of species richness, the stations of Kinkole (8 species and H' = 1.42) and Kinsuka (7 species and H' = 1.205) are the most diverse. In terms of abundance, the months of July, June, May and August are the most favorable for the fishing of Schilbe mystus, S. intermedius, S. zairensis and Parailia occidentalis. The surveys carried out have shown that these fish are exploited regularly and have a high economic value. All sizes of fish are retained when fishing with non-selective gears, which indicates an irrational exploitation of Schilbeidae fish in the Malebo Pool.
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Ferland, Yaïves. "ORTOLLAND, Didier et PIRAT, Jean-Pierre (2008) Atlas géopolitique des espaces maritimes. Frontières, énergie, pêche et environnement. Paris, Éditions Technip, 277 p. (ISBN 978-2-7108-0897-8)". Cahiers de géographie du Québec 52, n. 147 (2008): 548. http://dx.doi.org/10.7202/029878ar.

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Bermejo García, Romualdo. "CASADO RAIGON, Rafael (dir.): L’Europe et la mer (pêche, navigation et environnement marin)/Europe and the sea (fisheries, navigation and marine environment), Éditions Bruylant, Bruselas, 2005, 521 pp." Anuario Español de Derecho Internacional 21 (16 agosto 2018): 794. http://dx.doi.org/10.15581/010.21.28893.

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Bouchard, Christian. "CHÉRUBINI, Bernard (dir.) (2004) Le territoire littoral. Tourisme, pêche et environnement dans l’océan Indien. Paris et Saint-Denis, L’Harmattan et Université de la Réunion, 292 p. (ISBN 2-7475-7678-7)". Cahiers de géographie du Québec 50, n. 139 (2006): 124. http://dx.doi.org/10.7202/012943ar.

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Kwiatkowska, Barbara. "Ortolland D.; Pirat J.-P., Atlas géopolitique des espaces maritimes: Frontières, énergie, transports, piraterie, pêche et environnement, 2 nd edn., Editions Technip, Paris 2010, xi + 333 pp. ISBN 978-2-7108-0947-0." Netherlands International Law Review 60, n. 03 (28 novembre 2013): 499–502. http://dx.doi.org/10.1017/s0165070x12001374.

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LABARA, Bruno KOLAOUNA, Antoine DJAOWE, Désiré TAJO, Steven CHOUTO, François Xavier CHENDJOU e Roméo TAGNE. "La pêche artisanale par canaux dans la plaine du Logone : une rentabilité source de conflits entre pêcheurs". Bulletin de la Société Géographique de Liège, 2020, 83–100. http://dx.doi.org/10.25518/0770-7576.6109.

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Abstract (sommario):
La pêche artisanale demeure le type de pêche le plus pratiqué dans les pays en développement d’Afrique à l’instar du Cameroun. Elle est l’activité phare pour bon nombre d’individus dans plusieurs régions du pays comme c’est le cas dans la plaine du Logone dans la région de l’Extrême-Nord. Ici les pêcheurs utilisent différentes techniques de pêche classique à l’aide de filets, nasses, hameçons ou épervier. Mais une autre catégorie de pêcheurs, en plus de ces techniques classiques, ont mis sur pied une technique de pêche à l’aide de canaux creusés le long des cours d’eau, pour maximiser leur production. Ceci a contribué à créer un rapport de force différent dans la quête des ressources halieutiques, au regard de la très forte productivité des canaux par rapport aux autres techniques de pêche. C’est donc cette rentabilité des canaux qui attise les convoitises et par là, des conflits d’intérêts entre les différentes catégories de pêcheurs qui ne disposent pas tous des mêmes moyens pour se procurer un canal. Les analyses spatiales et analyses des données d’entretien avec ces acteurs, en rapport avec la caractérisation des systèmes de pêche, ont permis de comprendre que les canaux de pêche prolifèrent dans la plaine parce qu’ils sont rentables et que c’est cette rentabilité qui est à la base des conflits. Cela aboutit à relever des concordances spatiales existantes entre les zones à forte densité de canaux, celles à forte rentabilité et celles à fréquence élevée de conflits.
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Hervé, Caroline. "Communs". Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.086.

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Abstract (sommario):
Les communs (commons en anglais) peuvent être définis comme un ensemble de ressources physiques, matérielles ou immatérielles que les êtres humains cherchent à exploiter, à gérer ou à protéger pour assurer leur survie biologique, économique, sociale ou encore culturelle. Très à la mode depuis une quarantaine d’années en anthropologie, sociologie, histoire, économie ou encore en philosophie, ce concept a vu son champ d’application s’élargir, ses propositions théoriques s’étoffer et ses analyses se complexifier, tout en perdant progressivement son sens historique. Sortis du champ académique et instrumentalisés par les mouvements de résistance au néolibéralisme, les communs sont désormais au cœur de débats de société. La façon dont cette notion interroge les interactions entre les êtres humains et leur environnement, son intérêt pour éclairer la fabrication du social et sa réutilisation dans le débat public en fait un objet de recherche riche pour l’anthropologie. La définition du concept de communs est une entreprise difficile tant il renvoie à des usages divers. Si certains chercheurs tendent à privilégier, en français, l’usage du pluriel afin de marquer la grande variété des ressources regroupées sous la terminologie de communs, que l’on parle de ressources naturelles, mais également sociales ou intellectuelles, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’utiliser le terme au singulier afin de souligner son potentiel théorique et pratique (Hardt et Negri 2012 ; Dardot et Laval 2014). L’origine étymologique du terme commun, construit sur les locutions latines cum et munus, renvoie à une idée centrale, celle de la mise commun ou de la gestion commune de biens, mettant l’accent sur le fait que le commun « implique donc toujours une certaine obligation de réciprocité liée à l’exercice de responsabilités publiques » (Dardot et Laval 2014 : 23). Ces deux aspects, celui de réciprocité et de responsabilité publique, sont au cœur de la définition historique des communs. Les origines du concept renvoient à une pratique de gestion des terres qui était courante dans différentes régions d’Europe avant la fin du Moyen-Âge et qui consistait en la gestion commune de certaines terres par un groupe de personnes ou d’unités familiales pendant une période de temps limitée. Dans certaines circonstances, tout le monde pouvait avoir accès à ces terres, selon des règles d’usage particulières ; dans d’autres cas, leur usage était restreint et contrôlé. Ce fonctionnement communal a progressivement été mis en cause par les autorités publiques et les cercles politiques à partir du milieu du XVIIIe siècle. En l’espace d’un siècle, la plupart des communs en Europe de l’ouest devinrent ainsi des propriétés privées ou publiques (De Moor 2011 : 425). Ceci correspond au phénomène connu des enclosures qui s’est particulièrement développé en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à travers lequel de larges étendues de champs ouverts, connus sous le nom de terrains communaux ou commons, ont progressivement été parcellisés et enclos (Hemmungs Wirtén 2013 : 2), dans un contexte marqué par l’augmentation démographique et l’industrialisation. Ce retour dans l’histoire est important pour comprendre les confusions qui sont apparues lorsque les chercheurs des différentes disciplines ont commencé à s’intéresser plus largement à la question des communs à partir du milieu du XXe siècle. L’une des confusions les plus importantes a été introduite par le biais du travail de Garrett Hardin dans son célèbre article « The Tragedy of the Commons », publié en 1968, dans lequel il explique que les communs sont susceptibles de surexploitation et donc de disparition. Sa thèse principale repose sur l’idée biaisée que les communs historiques étaient accessibles à tous et en tout temps. À la suite de la parution de cet article, les chercheurs ont ainsi commencé à utiliser le terme de communs pour faire référence à toutes formes de ressources utilisées par tous et sans contrôle, ce qui ne correspond pourtant pas à sa définition historique (De Moor 2011 : 425). L’article de Hardin a ouvert de nombreuses recherches portant sur les solutions à mettre en œuvre pour contrer la dégradation des communs. Mais ces travaux sont souvent restés coincés entre deux options : la prise en charge des communs par l’État ou par le marché. C’est dans ce contexte que le travail de la politologue Elinor Ostrom (1990), en proposant une troisième voie, a eu un retentissement important dans le monde académique, et même au-delà. La publication de son livre Governing the Commons constitue une étape essentielle dans les recherches sur la gestion des communs. Non seulement, elle montre que l’exploitation des communs ne mène pas inéluctablement vers leur fin, mais elle explore la diversité des arrangements institutionnels permettant la gestion de ceux-ci, sans pour autant avoir recours à l’État ou à la privatisation. Sa contribution est consacrée en 2009 lorsqu’elle reçoit, en même temps qu’Oliver Williamson, le prix Nobel d’économie pour son analyse de la gouvernance économique et celle des communs. La création de l’International Association for the Study of the Commons en 1989 ou encore la création de l’International Journal of the Commons en 2007, révélateurs d’un engouement scientifique pour la question des communs, permettent la diffusion des théories et des méthodes dans les différentes disciplines et dans la société civile, à tel point que l’étude même des communs comporte aujourd’hui des enjeux politiques, sociaux et même éthiques (Peugeot et Piron 2015). Les travaux d’Elinor Ostrom s’inscrivent dans une démarche résolument interdisciplinaire puisqu’elle utilise des études de cas, des concepts, des modèles et des méthodes issus de différentes sciences sociales, et tout particulièrement de l’anthropologie. Loin de développer une perspective purement institutionnelle, Ostrom s’intéresse en effet avant tout aux stratégies développées par les acteurs sociaux pour gérer des ressources en commun. Elle s’appuie pour cela sur de nombreuses études de cas développées par des anthropologues pour comprendre par exemple les systèmes d’irrigation au Népal, dans les Philippines ou à Los Angeles, la gestion des forêts en Inde, en Asie, en Afrique et en Amérique latine ou encore la pêche côtière en Inde ou au Canada (Acheson 2011 : 320). Même si son usage de l’anthropologie est qualifié de fragmentaire, puisque sortant ces études de cas de leurs contextes politiques ou culturels, ses travaux sont néanmoins reconnus comme une contribution majeure à la discipline anthropologique (Rabinowitz 2010). Outre celle des interactions entre les hommes et leur environnement, les travaux d’Ostrom rejoignent bien d’autres questions intéressant les anthropologues. Ils interrogent directement la gestion des ressources collectives, la nature des liens de coopération et la fabrique des communautés (Rabinowitz 2010 : 104), la production des normes et des règles sociales, ainsi que de la propriété, privée ou publique (Acheson 2011 : 320). Enfin, en montrant le rôle important de la réciprocité dans la plupart des cas de gestion alternative des ressources, les anthropologues ont mis en évidence, à partir de leurs différents terrains, le fait que l’homme n’était pas uniquement animé par une logique économique, mais que le symbolisme était central dans les pratiques d’échange, renvoyant ainsi aux théories sur le don, concept dont les anthropologues ont étudié les multiples formes dans les sociétés humaines. Dans la foulée des propositions théoriques de Hardin et de Ostrom, un véritable engouement s’est manifesté autour de la question de ces communs naturels, en anthropologie et dans les autres disciplines des sciences sociales. Ces travaux ont fourni des modèles inspirant pour d’autres types d’objets de recherche et plus récemment les chercheurs ont commencé à identifier de nouveaux communs (new commons), comme des biens communs sociaux (social commons) qui constituent des ressources sociales ou des services destinés à des groupes sociaux spécifiques, des communs de nature intellectuelle ou encore culturelle incluant des ressources aussi variées que la musique, l’artisanat, les technologies numériques, etc. (Nonini 2006 : 166-167). Certains anthropologues ont même avancé l’idée que les communs peuvent englober des dimensions plus invisibles de la vie sociale relevant du domaine cognitif, corporel ou affectif, comme par exemple chez les Urarina, peuple indigène du Pérou, pour lesquels la notion même de tranquillité doit être l’objet d’un partage ou d’une réciprocité (Walker 2015). L’extension du concept de communs à des domaines aussi divers de la vie sociale explique aujourd’hui la difficulté à en donner une définition uniforme et certaines ambivalences quant à ses usages et ses analyses. De façon plus générale, la naturalisation du discours sur les biens communs a nécessité de s’engager dans une réflexion critique sur cet objet, ce que l’anthropologie a pu prendre en charge à travers sa capacité à mettre en perspective la production du social. Le succès du terme ne s’est en effet pas limité au milieu académique. Dans le contexte des dernières décennies, alors que des corporations, des gouvernements et d’autres types d’institutions politiques, privées ou non-gouvernementales, ont dépossédé certains groupes humains de leurs ressources dans la mouvance de la globalisation néolibérale, des stratégies de résistance et de lutte pour conserver ou retrouver le contrôle sur ces biens se sont développées (Nonini 2006 : 165). Dans le même temps, les propositions théoriques sur les communs ont mis en valeur des alternatives séduisantes face à la mainmise du marché ou de l’État sur ces ressources. Les anthropologues ont ainsi montré que ces luttes ne concernent pas seulement le contrôle des ressources matérielles mais également le contrôle des significations culturelles associées aux communs et aux processus qui les préservent ou les détruisent (Nonini 2006 : 165). Les stratégies et les perspectives antagonistes des différents groupes se disputant les communs sont ainsi devenues des objets de recherche riches pour l’anthropologie. Dans le contexte sud-américain où la surexploitation des ressources naturelles s’impose comme un nouveau paradigme économique, le constat que chacune des deux parties réutilise le concept de biens communs et de communs pour légitimer, d’un côté l’exploitation des ressources naturelles, et de l’autre la lutte contre cette exploitation, rappelle la nécessité de repenser les fondements ontologiques de chacune de ces deux façons de concevoir la relation entre les humains et le monde naturel. Dans ce cadre, les peuples autochtones nous invitent plutôt à penser ces confrontations ontologiques à travers le concept d’« incommuns » ; celui-ci révèlerait plutôt l’existence et la persistance d’une certaine incompatibilité entre différentes façons d’être au monde. En effet, alors que les entreprises extractrices font reposer leurs justifications sur la distinction entre nature et culture, et plus précisément sur le contrôle de la nature par les êtres humains, les peuples autochtones de leur côté se perçoivent en continuité avec le monde naturel, engagé dans une relation réciproque avec lui et dans l’obligation de le protéger (Blaser et De La Cadena 2017 : 186-187).
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Laurent, Jérôme. "Patrimoines autochtones". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.104.

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Abstract (sommario):
De nombreux groupes autochtones au Brésil, au Canada, aux États-Unis, en Australie, en Nouvelle-Zélande et ailleurs dans le monde sont particulièrement préoccupés par la protection, la transmission et la reconnaissance de leurs patrimoines culturels. Trois dimensions sont indissociables de la compréhension des patrimoines autochtones soit 1) les liens entre matérialité et immatérialité du patrimoine 2) l’institutionnalisation des processus de patrimonialisation et 3) les médiateurs du patrimoine. Par patrimonialisation, il faut donc comprendre à la fois ce qui compose le patrimoine (chants, rituels, danses, objets, relation au territoire, arts visuels, jeux traditionnels, plantes médicinales…), les processus par lesquels ce patrimoine est documenté, préservé, transmis et mis en valeur (Kreps 2003), mais également les différents acteurs qui œuvrent au sein de ces processus. Souvent relégués à leurs dimensions matérielles, les patrimoines autochtones ne peuvent se comprendre sans considérer leur immatérialité (Leblic 2013 ; Lemonnier 2013). Par immatérialité, nous faisons référence ici aux débats anthropologiques sur les relations qu’entretiennent les humains avec leur environnement et les entités qui le composent (Descola 2005; Ingold 2000, 2011, 2012 ; Viveiros de Castro 2009). Si ces auteurs se sont surtout intéressés aux relations entre les humains et les animaux, les esprits ou les ancêtres, il est nécessaire de prendre en compte également la place des objets, du patrimoine bâti, des lieux et des sites sacrés, de la musique ou encore de la nourriture dans ces processus relationnels. Les objets, qu’ils soient d’art ou d’ethnographie, renvoient par exemple à des codes et des règles de comportement qui guident les humains, s’inscrivent dans des conceptions particulières de la personne, informent sur la création du monde ou se posent comme des révélateurs des identités autochtones du territoire. Les matériaux, les techniques de fabrication autant que le pouvoir attribué aux objets sont liés aux cosmologies et aux ontologies autochtones; ils sont porteurs de visions du monde et de modes d’être au monde spécifiques qui participent des processus actuels d’affirmations identitaires et politique. Dans ce contexte, il devient crucial de s’intéresser à la vie sociale des objets (Bonnot 2002, 2014 ; Koppytoff, 1986), des arbres (Rival 1998), de la forêt (Kohn 2013) ou encore des récits (Cruikshank 1998 ; Savard 1971, 2004 ; Vincent 2013). L’expérience corporelle (Goulet 1994, 1998 ; Laugrand 2013) et sensorielle (Classen 1993 ; Howes 2003, 2014 ; Mauzé et Rostkowski 2007) fait partie intrinsèque de ces patrimoines et de ces savoirs. Ceux-ci incluent à la fois des savoirs écologiques, des savoirs liés aux activités de chasse, de pêche et de cueillette, des savoirs rituels, des savoirs gastronomiques, des savoirs artisanaux et artistiques, des récits sous toutes leurs formes (création du monde, rêves, anecdotes, événements historiques, etc.), des savoirs liés aux réseaux d’alliance interfamiliale et d’affiliation territoriale, mais aussi des savoirs sur les objets ou sur les jeux traditionnels. Ces différents types de savoirs se transmettent et se transforment de manière créative, en étroite relation les uns aux autres. Les politiques historiques et contemporaines d’assimilation, de dépossession et d’usurpation de ces savoirs et de ces patrimoines conduisent à interroger les modalités institutionnelles de préservation et de mise en valeur de ces patrimoines autochtones. Souvent intégrés aux patrimoines nationaux et mis en valeur dans les musées d’État, les biens culturels autochtones ont longtemps échappé à leurs destinataires légitimes, les peuples autochtones eux-mêmes, les reléguant au statut de spectateurs de leurs propres cultures (Price 2007 ; Philips 2003, 2011). Depuis les années 1960-1970, les peuples autochtones ont largement contribué à la transformation, certes inachevée, des Musées de l’Autre en Musées de Soi et, dans certains cas, en Musées du Nous (De l’Étoisle, 2007). Présentés par le sociologue de l’art wendat (Québec) Guy Sioui Durand comme des musées mouroirs (Sioui Durand 2014), les institutions muséales et patrimoniales occidentales tentent aujourd’hui de (re)considérer leurs politiques et d’intégrer les savoirs autochtones dans leurs pratiques (Dubuc 2002, 2006 ; Kreps 2003). Certains cadres institutionnels ont favorisé ces changements. Pensons par exemple aux deux conventions de l’UNESCO pour la protection du patrimoine et des biens culturels immatériels (1972, 2003), au rapport sur les Musées et les peuples autochtones (Erasmus et al. 1994) au Canada, au Native American Graves Protection and Repatriation Act (NAGPRA, 1990) aux États-Unis ou à la Déclaration de l’ONU sur les droits des peuples autochtones (AGNU 2007, article 31). Si les institutions muséales occidentales ont progressivement opéré un changement de paradigme (Fienup-Riordan 1999 ; Simpson 2001), les peuples autochtones se dotent aujourd’hui de moyens qui leurs sont propres afin de favoriser la protection, la mise en valeur, la transmission, et souvent la restitution de ces patrimoines et de ces savoirs, et par extension de leur histoire et de leur identité politique (Ames 1992 ; Peers 2000). Le développement de musées, de centres culturels, d’écoles de transmission des savoirs ou de programmes éducatifs culturellement ancrés s’inscrit dans des projets de sociétés qui visent le renforcement des structures de gouvernance et de la souveraineté des peuples autochtones. Il est dès lors impossible de parler des patrimoines autochtones sans parler de mise en valeur et de protection des savoirs, de restitution des données ethnographiques (Zonabend 1994 ; Glowczewski 2009 ; De Largy Healy 2011), de gestion collaborative des collections muséales, et évidemment de participation des peuples autochtones dans ces processus (Tuhiwai Smith 1999). La littérature, le cinéma, la musique, la bande dessinée, les romans graphiques, l’art contemporain, le design, le tourisme ou les réseaux socionumériques s’affirment aujourd’hui comme des éléments incontournables du patrimoine autochtone, mais également comme des stratégies de reconnaissance politique (Coulthard 2014) et d’autoreprésentation identitaire. Ces processus complexes de patrimonialisation institutionnelle nous amènent à considérer enfin les acteurs du patrimoine. Guides spirituels, artistes, chefs familiaux, conservateurs, muséologues, technolinguistes, chercheurs autodidactes, enseignants, aînés-gardiens du savoir ou jeunes activistes, ces experts culturels sont régulièrement sollicités afin de transmettre, de valoriser ou de protéger des savoirs et des pratiques qui se construisent aussi en dehors de l'institution, dans le cadre d'actions citoyennes, de projets communautaires ou de dynamiques familiales. Le territoire devient alors l'espace privilégié de patrimonialisation des pratiques et des savoirs autochtones dans lequel les femmes jouent un rôle central (Basile 2017). Ces médiateurs du patrimoine doivent également faire face à divers enjeux concernant les formes et les stratégies de patrimonialisation actuelles, comme par exemple l’appropriation culturelle et la propriété intellectuelle (Bell et Napoléon 2008 ; Bell 1992, 2014) et les processus de rapatriement des biens culturels. Les processus de rapatriement sont indissociables des mouvements d’affirmations identitaire et politique autochtones qui se développent et se renforcent depuis les années 1960-70 (Clifford 1997, 2007, 2013 ; Gagné 2012 ; Matthews 2014, 2016 ; Mauzé 2008, 2010). Les biens culturels acquis de manières illicites, les restes humains ou les objets culturels sacrés nécessaires à la transmission d’une tradition sont généralement considérés par les institutions comme admissibles aux processus de rapatriement. Même si le mouvement international d’affirmation politique autochtone a conduit au rapatriement de nombreux objets dans leurs milieux d’origine, les processus restent souvent dans l’impasse, et ce pour au moins trois raisons : les experts locaux doivent réunir une documentation importante sur l’objet ; les groupes autochtones ne possèdent pas les infrastructures nécessaires pour conserver l’objet ; les Musées d’État ne sont pas prêts à se départir de ‘leurs’ collections.

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