Letteratura scientifica selezionata sul tema "Esclavage – Brésil – 19e siècle"

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Articoli di riviste sul tema "Esclavage – Brésil – 19e siècle":

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Confino, Michael. "Servage Russe, Esclavage Américain (Note Critique)". Annales. Histoire, Sciences Sociales 45, n. 5 (ottobre 1990): 1119–41. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1990.278894.

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Abstract (sommario):
L'historiographie moderne a produit deux genres de recherches comparées relatives à l'esclavage aux États-Unis et au servage en Russie. D'un côté, ce dernier (qui se constitua au début du XVIIe siècle et fut aboli en 1861) a été comparé habituellement au servage en Pologne, en Prusse et dans d'autres pays du Centre et de l'Est européen ayant connu ou non une « deuxième édition » du servage au début de l'âge moderne. L'esclavage aux États-Unis (en usage du XVIIe siècle à 1865) a été étudié en relation avec celui d'autres parties du Nouveau Monde et surtout du Brésil et des Antilles.
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Thornton, John K. "Les États de l’Angola et la formation de Palmares (Brésil)". Annales. Histoire, Sciences Sociales 63, n. 4 (agosto 2008): 769–97. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900025841.

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Abstract (sommario):
RésuméAu début du XVIIe siècle, les esclaves en fuite créèrent les mocambos de Palmares et en firent un véritable État à l’intérieur du Brésil, gouverné par un roi et une classe dirigeante. Les historiens s’interrogent sur les origines de cet État, sur sa structure et ses institutions. Pourquoi un État hiérarchique ? La réponse est à chercher dans l’origine géographique des esclaves africains, dont beaucoup venaient d’Angola. Avant d’être réduits en esclavage, la plupart d’entre eux avaient été enrôlés dans les armées des États guerriers de la région et, selon John Thornton, c’est dans ces structures militaires que les esclaves sont allés chercher le modèle qui a conduit à l’élaboration d’une formation politique d’un type nouveau.
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Michel, Aurélia. "Hebe Mattos Les couleurs du silence. Esclavage et liberté dans le Brésil du xixe siècle trad. par A. Fléchet, Paris/Aubervilliers, Khartala/CIRESC, [1995] 2019, 359 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 78, n. 4 (dicembre 2023): 839–42. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2024.21.

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Segurado, Livia. "Shakespeare dans le Brésil du 19e siècle : un exemple de transfert culturel". Chantiers de la Création, n. 8 (12 giugno 2015). http://dx.doi.org/10.4000/lcc.1148.

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Martig, Alexis. "Esclavage contemporain". Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.085.

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Abstract (sommario):
Depuis la fin du XXe siècle, on assiste à un usage récurrent et de plus en plus fréquent de la notion d’esclavage moderne par tout un ensemble d’acteurs sociaux et politiques : organisations non gouvernementales, associations, organisations internationales, médias, gouvernements nationaux… Selon l’Organisation internationale du Travail, il s’agit d’un phénomène touchant plus de 25 millions de personnes et qui génère 150 milliards de dollars de profits annuels illégaux. Face à ce constat, un certain nombre de disciplines (sociologie, économie politique, études des migrations, droit, histoire) en ont fait un objet propre, tentant quelquefois de le définir (Bales 1999) et, parlant d’esclavage moderne ou d’esclavage contemporain, certains ont été jusqu’à évoquer l’émergence d’un nouveau champ d’études : lesContemporary Slavery Studies (Brysk et Choi-Fitzpatrick 2012). Comment expliquer le fait que l’anthropologie contemporaine a quant à elle jusqu’alors produit peu de réflexions sur le sujet ? Le premier élément de réponse a trait à la nature même de l’analyse anthropologique, qui la distingue des autres disciplines des sciences humaines et sociales, et qui considère avant tout les notions émiques mobilisées par les sujets. Dans le cas de l’esclavage moderne, on est face à une notion éminemment politisée et utilisée avant tout par des acteurs associatifs, institutionnels ou médiatiques pour décrire les conditions de travail ou d’exploitation d’autres sujets souvent associés au passage au registre des « victimes ». Ce n’est que depuis très récemment qu’on assiste à l’usage de la notion par les sujets eux-mêmes pour dénoncer leurs conditions de travail, sans doute sous l’effet de sa banalisation dans les discours des acteurs de la lutte contre l’esclavage moderne. L’apparition et la dissémination de cette notion chez les acteurs sociaux et politiques ne sont cependant pas sans intérêt pour l’anthropologie. Elles sont notamment révélatrices de ce que Didier Fassin a qualifié d’« économie morale de notre temps » et de « nouvel ordre moral » mondial (2005) : il s’agit de cette économie morale globale constituée autour de nouveaux intolérables moraux inhérents aux droits de l’homme et à l’invention de la catégorie anthropologie d’humanité dans le contexte postérieur à la Seconde Guerre mondiale. La condamnation morale globale de l’esclavage moderne en est un exemple parfait. Les discours qui la constituent expriment et visent à générer une indignation, tout en ayant fréquemment recours aux registres des « victimes », de la « vulnérabilité » et de « la traite » avec pour effet de nier l’agencéité des sujets en faisant disparaître leurs trajectoires de vie et leurs motivations spécifiques. Comme l’a montré l’anthropologue américaine Alicia Peters (2015), si politisée que soit cette notion, rien n’empêche l’anthropologie de s’en saisir comme objet en étudiant notamment les jeux d’acteurs au cœur des plans de lutte qui en découlent. Peters a ainsi montré comment, aux États-Unis, la moralisation du travail du sexe et de la prostitution forcée a eu pour effet de rendre invisibles ou illégitimes la majorité des cas de traite humaine qui touchent d’autres secteurs : agriculture, usines, restaurants, sphère domestique… Cette moralisation et surreprésentation du travail du sexe et de la prostitution forcée dans la lutte contre l’esclavage moderne, assimilée à la traite d’êtres humains (human trafficking), est caractéristique des pays développés. Le deuxième élément de réponse touche au caractère fourre-tout d’une notion générique qui renvoie à tout un ensemble de situations hétérogènes situées dans des contextes sociaux, historiques et culturels extrêmement différents et dont la complexité, les spécificités et les nuances sont reléguées au second plan dans les discours politiques. En fonction des acteurs, l’esclavage moderne désigne des cas de : mariage forcé, travail forcé, travail infantile, enfants soldats, camps de travail, exploitation sexuelle… et ce, sur toute la planète… Mais pour saisir les spécificités et la complexité des cas étudiés, il faut aussi considérer les formes socioculturelles légitimatrices de la servitude ou de l’esclavage, de son acceptation ou de sa tolérance et les formes de régulation de la domination inhérentes : formes de parrainage, dettes, processus d’altérisation infériorisants… Si les situations dénoncées ont émergé ou ont évolué à partir de formes passées dans un contexte global de précarisation des conditions de travail, et en ce sens sont bien des phénomènes contemporains, il est pour autant impossible de les penser en faisant abstraction de la mémoire des régimes d’esclavages précédents et notamment de l’esclavage transatlantique. Il faut à ce titre distinguer les réflexions sur l’esclavage moderne, du grand nombre d’études anthropologiques sur les descendants d’esclaves, la mémoire de l’esclavage ou les problématiques de réparation. Comme l’a fait remarquer Roger Botte (2005), l’esclavage a toujours été pluriel. Il faut cependant reconnaître que l’une des caractéristiques de l’époque contemporaine est bien celle de la disparition progressive, depuis les abolitions de l’esclavage en tant que statut officiel. C’est en ce sens qu’Alain Morice, au sujet de travailleurs temporaires marocains en France, a utilisé l’expression d’« esclavage métaphorique » (2005), en opposition à l’esclavage historique. Derrière cette distinction s’en cache une autre qu’il est capital de saisir pour comprendre les enjeux des situations qualifiées d’esclavage moderne et leur analyse anthropologique : celle des conditions d’esclavageet dustatut d’esclave. Dans une analyse très intéressante entre un cas d’esclavage domestique en France en 2013 avec un cas d’esclavage datant du début du XIXe siècle, l’historienne Rebecca Scott (2013) attire l’attention sur le fait que, statut officiel ou non, les conditions des situations dénoncées sous l’expression d’esclavage moderne peuvent être identiques à celles de régimes d’esclavage passés. L’attention portée à la nature des conditions est intéressante car elle vient souligner que, s’il est important de conserver une distance face à un discours institutionnel et politisé, il n’en demeure pas moins que dans certains cas l’esclavage n’est pas que métaphorique… Une autre caractéristique liée à la disparition du statut est le fait que les situations observées sont très souvent temporaires, pour des raisons de coûts économiques et dans le but d’éviter de possibles contrôles. Plusieurs auteurs ont, de manière distincte, mis en avant que l’esclavage moderne n’est pas fondé de manière absolue sur des critères raciaux, mais sur des critères inscrits dans des rapports de production (Botte 2005 ; Bales 1999). Comme le fait justement remarquer Julia O’Connell Davidson (2015), si cela est pertinent, il ne faut pas pour autant perdre de vue que la majorité des populations concernées se trouvent dans d’anciennes colonies ou émigrent de celles-ci vers les pays développés. Si la race n’est donc pas l’élément premier à l’origine des formes d’exploitation, celles-ci s’inscrivent pour autant dans une division internationale du travail racialisée et genrée telle que décrite par la sociologie décoloniale, et Ramon Grosfoguel (2014) notamment. À ce sujet, il est intéressant de souligner certaines dynamiques de cette division internationale du travail qui distinguent les formes d’esclavage moderne dans les pays développés et les pays en développement. Dans les premiers, les cas concernent principalement des migrants légaux ou illégaux confrontés à des politiques migratoires qui les vulnérabilisent structurellement. Dans les pays en développement, il s’agit majoritairement et massivement de citoyens nationaux, protégés normalement par ailleurs par les droits associés à leur citoyenneté. La question de l’esclavage moderne se pose alors en termes d’anthropologie des droits associés à la citoyenneté, et de leur performativité, en s’intéressant aux manières dont les critères symboliques à la base de la construction de ces citoyens en tant qu’alter inégaux ont tendance à normaliser la négation de leurs droits comme dans le cas des travailleurs ruraux au Brésil, ou encore des intouchables en Inde, etc. S’ajoutent à cela les exclus des nations issues de la colonisation – là où d’anciens empires ont laissé la place à des nations aux frontières dessinées par les colons –qui constituent une main-d’œuvre potentielle, comme dans la zone située entre la Thaïlande et la Birmanie (Ivanoff, Chantavanich et Boutry 2017). L’un des enjeux spécifiques de la réflexion anthropologiques touche à la méthode d’investigation de la discipline : l’enquête de terrain. Pour la plupart des cas, ou du moins les plus extrêmes, il est quasiment impossible d’accéder aux terrains en question pour y pratiquer une forme d’observation participante. Les difficultés d’accès s’apparentent à celles des terrains de guerre, de combats, de prostitution, de camps de travail forcé, etc. Les recherches de terrain consistent donc le plus souvent à rencontrer et accompagner les sujets postérieurement aux situations pour réaliser avec eux des entretiens. Quand cela est possible, car comme le souligne l’anthropologue Denise Brennan, auteurede Life Interrupted: Trafficking into Forced Labour in the United States, s’entretenir au sujet d’une expérience souvent traumatisante n’est pas non plus sans difficultés ou sans poser de questions quant au rôle de l’anthropologue et de la nature de sa relation avec les sujets du terrain (Brennan 2014). L’un des autres enjeux des analyses anthropologiques, dans des contextes prononcés de vulnérabilité structurelle et face aux processus de subalternisation des sujets par le biais des discours institutionnels, est de faire ressortir l’agencéité des sujets. L’anthropologie, dans sa tendance à replacer les situations étudiées dans les trajectoires de vie des sujets et à donner la parole à ces derniers, possède un avantage certain sur d’autres disciplines pour donner à voir leur agencéité sans perdre de vue pour autant les contraintes structurelles auxquelles ceux-ci font face. L’engagement volontaire de sujets dans la prostitution, de manière temporaire (ou non), pour améliorer leur quotidien matériel, d’enfants au travail malgré leur âge mineur, la migration illégale volontaire par l’intermédiaire de passeurs, la fuite, l’usage des compétences linguistiques ou une volonté de travailler plus dur que les autres, etc., sont autant d’exemples d’agencéité des sujets. Plutôt que de négliger de prendre en considération l’esclavage moderne à cause de son caractère institutionnalisé et sa nature protéiforme, il me semble que l’anthropologie et son regard critique ont un rôle à jouer pour mettre en lumière la complexité des différentes dimensions de ce phénomène et leur enchevêtrement : une économie morale globale, une économie néolibérale précarisant les conditions de travail et une division internationale du travail racialisée, genrée et hiérarchisée entre les pays développés et en développement. Pour ce faire, et apporter une plus-value heuristique, les analyses anthropologiques sur l’esclavage moderne devront s’ancrer dans le contemporain et repenser des catégories analytiques dichotomiques héritées du début des sciences sociales qui ne parviennent plus à rendre compte des situations étudiées : esclavage, liberté, travail libre et travail non libre, etc. Ces catégories ne permettent pas de penser le continuum de situations (allant de libres à non libres) de travail dans lequel les sujets évoluent dans le temps et l’espace, et dont les conditions peuvent, à une extrémité du continuum, être similaires à des régimes passés d’esclavage. C’est dans cet esprit qu’une des voies pour saisir la complexité du social et les dynamiques de ce phénomène si actuel est celle des « situations contemporaines de servitude et d’esclavage » (Martig et Saillant 2017). La notion de « situations » permet en effet de garder à l’esprit que l’objet étudié relève localement des spécificités sociohistoriques et culturelles considérées tout en se « situant » aussi dans le contexte économique, moral, politique et historique plus global : c’est l’articulation de ces différentes dimensions qui permettent de saisir la complexité du social. Enfin, penser en termes de situation a pour avantage de replacer l’expérience liée à l’esclavage moderne dans la trajectoire de vie plus large des sujets, et de saisir ainsi plus facilement leur agencéité. Il s’agit d’une proposition. D’autres voies verront sûrement le jour pour analyser un phénomène complexe qui, loin de disparaître, donne à voir les limites des mythes du travail libre et de la performativité des droits des sociétés démocratiques libérales contemporaines, et en appelle du coup à une anthropologie du contemporain.
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Gileno, Carlos Henrique. "A LEGISLAÇÃO INDÍGENA: ambigüidades na formação do Estado-Nação no Brasil". Caderno CRH 20, n. 49 (2 agosto 2007). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v20i49.18905.

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Abstract (sommario):
O principal objetivo do presente artigo é discutir alguns aspectos das ambigüidades da legislação indígena desde a colônia até a segunda metade do século XIX no Brasil. Em última instância, aquelas ambigüidades revelavam as tensões estabelecidas entre os poderes locais e a metrópole lusitana, uma vez que as leis expedidas pela coroa portuguesa em favor da liberdade dos índios não foram efetivadas na prática, persistindo o cativeiro indígena até a sua abolição formal em 1831. Entretanto, mesmo após a abolição, a defesa legal dos direitos indígenas seria um tema constante de intelectuais e políticos no decorrer da segunda metade do século XIX, já que a ausência daquela defesa impossibilitava a integração dos índios ao Estadonação. PALAVRAS-CHAVE: Legislação indígena no Brasil, escravidão indígena, Brasil Colônia (1500-1822), Brasil Império (1822-1889), Pensamento Político e Social no Brasil.THE INDIGENOUS LEGISLATION:ambiguities in the formation of the Statenationin Brazil Carlos Henrique Gileno The aim of the present article is to discuss some aspects of the ambiguities of the indigenous legislation from the colony period to the second half of the century XIX in Brazil. Ultimately, those ambiguities revealed the established tensions between the local powers and the Portuguese metropolis since the laws sent by the Portuguese crown in favor of the freedom of the Indians were not executed in practice, persisting the indigenous captivity until his formal abolition in 1831. However, even after the abolition, the legal defense of the indigenous rights would be a constant theme of intellectuals and politicians during the second half of the century XIX, since the absence of that defense disabled the integration of the Indians to the State-nation. KEY-WORDS: Indigenous legislation in Brazil, indigenous slavery, Brazil Colony (1500-1822), Brazil Empire (1822-1889), political and social thought in Brazil.LA LÉGISLATION INDIGÈNE: ambiguïtés pour la formation de l’Etat-Nation au Brésil Carlos Henrique Gileno L’objectif principal de cet article est de discuter de certains aspects concernant les ambiguïtés de la législation indigène pour la période allant de la colonie à la moitié du XIXe siècle au Brésil. Ces ambiguïtés révèlent enfin les tensions existantes entre les pouvoirs locaux et la métropole lusitaine. Vu que les lois promulguées par la couronne portugaise en faveur de la liberté des Indiens n’ont pas été effectivement mises en pratique, la captivité indigène a subsisté jusqu’à son abolition formelle en 1831. Cependant, tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, même après l’abolition de l’esclavage, la défense légale des droits indigènes est toujours restée un thème d’intellectuels et d’hommes politiques puisqu’elle ne permettait pas l’intégration des Indiens à l’Etat-nation. MOTS-CLÉS: Législation indigène au Brésil, Esclavage indigène, Brésil Colonie (1500- 1822), Brésil Empire (1822-1889), Pensée politique et sociale au Brésil.Publicação Online do Caderno CRH:http://www.cadernocrh.ufba.br
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Bringel, Breno, e Alfredo Falero. "REDES TRANSNACIONAIS DE MOVIMENTOS SOCIAIS NA AMÉRICA LATINA E O DESAFIO DE UMA NOVA CONSTRUÇÃO SOCIOTERRITORIAL". Caderno CRH 21, n. 53 (7 novembre 2008). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v21i53.18972.

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Abstract (sommario):
O presente artigo parte de duas considerações: a necessidade de estabelecer diálogo interdisciplinar entre a geografia e a sociologia sobre a problemática do território e da espacialidade da política; e a constatação que a construção de redes transnacionais de organizações e movimentos sociais constitue dimensão-chave nos processos latino-americanos atuais. À luz dessas considerações os autores examinam as redes transnacionais construídas a partir de movimentos sociais na América Latina, com base no enfoque socioterritorial. Sob esta perpectiva são analisados o Movimento dos Trabalhadores Rurais Sem Terra - MST, do Brasil e a Federação Uruguaia de Cooperativas de Moradia por Ajuda Mútua – FUCVAM, do Uruguai. Na análise serão observadas as convergências, a formação de espaços contra-hegemônicos e os desafios enfrentados por experiências dessa natureza na busca de projeções emancipatórias, no século XXI. PALAVRAS-CHAVE: movimentos sociais, redes e direitos supranacionais, territorialidades, hegemonia, América Latina. TRANSNATIONAL NETWORKS OF SOCIAL MOVEMENTS IN LATIN AMERICAAND THE CHALLENGE OF A NEW TERRITORIAL CONSTRUCTION SOCIAL Breno Bringel Alfredo Falero The present paper starts from two considerations: the need to establish an interdisciplinary dialogue between geography and sociology on the problem of territory and of the spatiality of politics; and the verification that the construction of transnational networks of organizations and social movements constitute a key dimension in the current latin american processes. By the light of those considerations the authors examine the transnational networks built from social movements in Latin America, based in a social and territorial focus. Under this perpective are analizados the Movimento dos Trabalhadores Rurais Sem Terra – MST (in englis, Landless Rural Workers Movement), from Brasil e a Federação Uruguaia de Cooperativas de Moradia por Ajuda Mútua – FUCVAM (in english, Uruguayan Federation of Cooperatives for Home Building through Mutual Help), from Uruguay. In this analysis will be observed the challenges, the formation of anti-hegemonic spaces and the convergences faced by experiences of this nature in the search for emancipatory projections, in the XIX century. KEYWORDS: social movements, networks and supranational rights, territorialities, hegemony, Latin America. LES RÉSEAUX TRANSNATIONAUX DES MOUVEMENTS SOCIAUX EM AMÉRIQUE LATINE ET LE DÉFI D’UNE NOUVELLE CONSTRUCTION SOCIOTERRITORIALE Breno Bringel Alfredo Falero Deux considérations servent de point de départ à cet article: le besoin d’établir un dialogue interdisciplinaires entre la géographie et la sociologie quant à la problématique du territoire et de la spatialité de la politique; et le fait de constater que la construction de réseaux transnationaux d’organisations et de mouvements sociaux constituent une dimension-clé dans les processus latino-américains actuels. A la lumière de ces considérations, les auteurs analysent les réseaux transnationaux construits à partir des mouvements sociaux en Amérique Latine, en se concentrant sur l’aspect socio territorial. C’est sous cet angle-là que le Mouvement des Travailleurs Ruraux Sans Terre – MST, au Brésil, et la Fédération Uruguayenne des Coopératives d’Habitation d’Aide Mutuelle- FUCVAM, en Uruguay, sont analysés. On observera dans cette analyse les convergences, la formation d’espaces anti-hégémoniques et les défis à affronter au cours de telles expériences pour la recherche de projections émancipatoires au 19e siècle. MOTS-CLÉS: mouvements sociaux, réseaux et droits supranationaux, territorialités, hégémonie, Amérique Latine. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br

Tesi sul tema "Esclavage – Brésil – 19e siècle":

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Tshibwabwa, Mwa Bay. "Les femmes en esclavage. Rio de Janeiro. 1820-1888". Paris 7, 2003. http://www.theses.fr/2003PA070042.

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Abstract (sommario):
Comme le souligne le titre de cette these, la question du genre, et plus precisement celle du genre féminin, se trouve ici au centre d'une analyse sociohistorique et anthropologique de la condition servile, telle qu'elle a été concue et vécue tout au long du xixième siècle dans la ville de rio de janeiro, alors capitale de l'empire bu brésil. Nous avons tenté, essentiellement a partir de sources archivistiques aussi variées que les registres paroissiaux, les archives judiciaires et notariales, de mettre en évidence les spécificités de l'esclavage féminin. Spécificites déterminées par tout un ensemble de representations et de valeurs soclales, qui compartimentaient et "spécialisaient" la population esclave de rio de janeiro, en fonction des critères de couleur, d'origine, d'âge, mais surtout de sexe. Il ressort de ce travail de recherche reposant sur la création de données statistiques comme supports a l'interprétation, a la compréhension, a la détection et a l'estimation de faits et de phenomenes sociaux,que la femme ai été une esclave "sociale". Il faut entendre par là, que son rôle a été essentiellement "domestique" avec tout ce que cette position implique sur sa presence et son influence directe au cŒur de la cellule familiale, fondement de la sociéte bresilienne de l'époque, mais egalement sur tous les avatars de cette proximite spatiale, notamment en matiere de violence sexuelle et de privation de vie familiale. . .
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Araujo, Ubiratan Castro de. "Le politique et l'économique dans une société esclavagiste : Bahia, 1820 à 1889". Paris 4, 1992. http://www.theses.fr/1992PA040194.

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Abstract (sommario):
N'avaient pas été approfondies les conjonctures strictement politiques qui expliquent deux réalités de l'économie sucrière de la province brésilienne de Bahia : le sursaut du sucre des années 1820-1855, malgré l'entêtement des maitres de moulin à maintenir les structures anciennes d'exploitation avec main d'œuvre servile et peu de progrès dans les méthodes de culture de la canne ou la fabrication des sucres d'une part, et, d'autre part, la déconfiture économique de la région à partir de la fin des années cinquante. Or, après l'expulsion des commerçants portugais en 1823, les alliances politiques des maitres des moulins à sucre du Reconvaco avec les commerçants de Salvador issus du même groupe social qu' eux, mais qui les dominent économiquement et politiquement, ont su vaincre rebellions esclaves et apathie des forces de progrès du petit peuple bahianais. La période de l'indépendance brésilienne et celle de l'abolition de l'esclavage offrent un intérêt tout particulier pour cette étude du politique et de l'économique de la Bahia du vingtième siècle
Two strictly political circumstances that explain two realities of the sugar economy in the Brazilian province of Bahia have not yet been deeply analyzed : on the one hand, the sudden burst of the sugar during the years 1820-1855, despite the stubbornness of the sugar planters in maintaining old exploitation structures using servile manpower and little progress in cultivation methods of the sugar cane or in the production of sugar and, on the other, the region’s economics collapse from the end of the 50's on. Thus, after the expulsion of the Portuguese tradesmen in 1823 the political alliances between the sugar planters of the Reconcavo and the tradesmen of Salvador, descendants from the same social group although politically and economically controlled them, succeeded in overcoming the slave rebellions and the apathy of the progressive forces of the lower classes of the bahianese population. The period of the Brazilian independence and that of the slavery abolition are interesting to study the politics and the economy of Bahia in the nineteenth-century
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Andrade, Dos Santos Claudia. "Les voyageurs français et les débats autour de la fin de l'esclavage au Brésil (1850-1899)". Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040009.

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Abstract (sommario):
Cette thèse traite de deux sujets principaux. Premièrement, il s'agit d'examiner les difficultés concernant l'utilisation des récits de voyage comme sources pour l'historiographie. En analysant les récits de 27 voyageurs français qui ont séjourné au Brésil entre 1850 et 1899, nous avons montré comment des auteurs ayant écrit à la même époque peuvent servir à confirmer des thèses contradictoires. Les récits de voyage sont, avant tout, des textes littéraires: ils expriment une rencontre particulière entre le voyageur et le pays visite. Les buts du voyage, la durée du séjour, les rapports personnels et professionnels dans le pays sont susceptibles d'influencer les jugements des voyageurs et sont a analyser avant que les descriptions soient considérées comme des informations. Deuxièmement, nous avons découvert le grand intérêt qu'ont les voyageurs français de cette période vis-à-vis des débats sur l'abolition de l'esclavage et sur l'adoption de nouvelles formes de travail au Brésil; débats qui retrouvent leurs échos dans la presse française. Certains voyageurs critiquent la politique du gouvernement brésilien, d'autres la soutiennent face aux accusations des publicistes français. Donc pour une grande partie de ces voyageurs il ne s'agit pas simplement d'informer sur ces controverses mais d'y participer. Ce qui nous amène à les considérer non seulement comme des auteurs de récits de voyage mais comme des acteurs dans ces débats qui précédent la proclamation de la république au Brésil.
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Ramos, de Santana Aderivaldo. "Destins d’Osifekunde, né et mis en esclavage au Nigeria, déporté au Brésil, transporté en France, revenu au Brésil et assassiné à Recife (1793-1842)". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. http://www.theses.fr/2022SORUL034.

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Abstract (sommario):
Pendant les plus de trois cents ans que dura la traite négrière transatlantique, du XVIe au XIXe siècle, plus de douze millions de personnes furent déportées du continent Africain pour servir de main-d'œuvre dans les plantations de canne à sucre, de coton, ainsi que dans les mines "du Nouveau Monde." On considère que 4.800.000 Africains ont débarqué au Brésil, soit 43 % du total des déportés. Des études plus récentes sur les biographies d’esclaves, retracent les itinéraires individuels des captifs ainsi que leurs démarches pour regagner la liberté. La reconstitution du parcours de ces derniers leur donne de l’humanité, tout en leur restituant leur dignité. Nous nous inspirons de cette méthodologie pour accomplir notre étude doctorale sur la biographie d’Osifekunde, un commerçant issu de l’ethnie Ijebu (du sud-ouest de l’actuel Nigeria), réduit en esclavage au Brésil en 1820 et devenu homme libre en France en 1837. Pour ce faire, nous avons divisé notre étude en six parties et chaque partie est subdivisées en trois chapitres: Dans la première partie nous avons présenté des observations sur les études biographiques en France après les années 1970, notamment sur les biographies d’esclaves, sur l’utilisation de la méthode microhistorique dans ces dernières recherches et les champs de recherche sur les biographies d’esclaves aux États-Unis, au Brésil et en France. Dans une deuxième partie, nous avons essayé de comprendre comment l’intérieur de l’Afrique est devenu le centre d’intérêt des Sociétés Savantes et par conséquent, comment les membres de ces sociétés ont utilisé les témoignages d’esclaves dans leurs études, afin de trouver des endroits très reculés comme la ville de Tombouctou ou la source du fleuve Niger, pour propager l’idée de l’Africain comme « sauvage, antropophage, » ce qui pourrait justifier l’argument civilisateur, utilisé par les européens pour coloniser l’Afrique
During the more than three hundred years that the transatlantic slave trade lasted, from the XVIth to the XIXth century, more than twelve million people were deported from the African continent to serve as labor in the plantations of sugar cane, cotton, as well as in “New World” mines. It is considered that 4.800,000 Africans have landed in Brazil, or 43% of the total deportees. More recent studies on the biographies of slaves, retrace the individual itineraries of the captives as well as their steps to regain freedom. The reconstruction of their journey gives them humanity, while restoring their dignity. We are inspired by this methodology to complete our doctoral researcher on the biography of Osifekunde, a trader from the Ijebu ethnic groupe (from southwestern present-day Nigeria), enslaved in Brazil in 1820 and become a free man in France in 1837. To do this, we divided our researcher into six parts and each part is subdivided intro three chapters: In the first part we presented observations on biographical studies in France after the 1970s, in particular on the biographies of slaves, on the use of the microhistorical method in this latest research and the fields of research on the biographies of slaves in the United States, Brazil and France. In a second part, we tried to understand how the interior of Africa became the center of interest of the “Scientifical Societies” and consequently, how the members of these societies used the testimonies of slaves in their studies, in order to find very remote places like the city of Timbuktu or the source of the Niger river, to propagate the idea of the African as “wild, anthropophagous,” which could justify the civilizing argument, used by Europeans to colonize the Africa
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Ghorbal, Karim. "Réformisme et esclavage à Cuba (1835-1845)". Paris 3, 2006. http://www.theses.fr/2006PA030150.

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Abstract (sommario):
Au cours des années 1835-1845, le système esclavagiste qui atteint son apogée à Cuba, détermine et façonne l’idéologie des créoles réformistes. L’esclavage met en exergue les contradictions et les limitations du mouvement réformiste, intégré par des intellectuels, des fonctionnaires et des esclavagistes « progressistes », issus d’horizons hétérogènes sur le plan géographique, mais qui se rejoignent au moment de condamner le trafic négrier et dans leur rejet de l’abolition. Dans une attitude bourgeoise, les réformistes cubains tentent d’imposer un nouveau système de travail basé sur le salariat, sans succès. Face à une population esclave toujours plus nombreuse, les créoles réformistes sont bridés dans leurs aspirations politiques. Leur posture hostile à la traite suscite le courroux des négriers, des esclavagistes « conservateurs » et des autorités coloniales qui fomentent une campagne diffamatoire à leur endroit, dont la conspiration de La Escalera est l’aboutissement
During the years 1835-1845, the slave system which reaches its apogee in Cuba, determines and shapes the ideology of the reformist creoles. Slavery emphasizes the contradictions and the limitations of the reformist movement, integrated by intellectuals, civil servants and « progressive » slave owners, arising from heterogeneous geographical horizons, but who are in agreement when it comes to condemning the slave trade and in their rejection of abolition. In a middle-class attitude, the Cubans reformists try to impose a new system of work based on wage-earning, without success. Facing a rise in slave population, the reformist creoles are attached in their political aspirations. Their hostile position to the slave trade stirs the fury of the slave traders, the « conservative » slave owners and the colonial authorities which foment a defamatory campaign towards them, whose conspiracy of La Escalera is the result
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Nzamba, Serge Alain. "La laïcisation de la société brésilienne au XIXe siècle (1840-1900)". Perpignan, 2009. http://www.theses.fr/2009PERP0939.

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Abstract (sommario):
Les rapports entre religion et société constituent un chapitre essentiel de l’histoire au XIXe siècle : peu de questions ont tenu pareille place dans les controverses idéologiques et les affrontements politiques. C’est aussi un domaine où les changements ont été radicaux avec le passage des sociétés sacrales à des sociétés laïques grâce au processus de la laïcisation (René Rémond, 2005). Cette thèse retrace donc cette évolution (de 1840 à 1900) à l’échelle du Brésil, dans un pays où le concept est peu usité. Cette histoire révèle des contradictions liées à des contingences locales qui donnent au dit processus un caractère unique, dévoile également la lenteur de la transformation de la société brésilienne et montre des convergences avec d’autres processus qui se sont déroulés sur les continents américain et européen, car leurs modèles servaient de références aux hommes politiques brésiliens. Nous analysons lors de cette séparation entre l’Église catholique et l’État brésilien, le transfert de compétences, qui jusque-là, étaient sous la responsabilité de l’institution religieuse du fait du système du Patronat royal, notamment la célébration des mariages, l’enregistrement des naissances, des mariages et des décès ; l’enseignement public. L’objectif de toutes ces modifications est de renforcer le rôle de l’État brésilien, de permettre au droit séculier de devenir la source de toutes législations et de dissocier la citoyenneté de la religion afin que l’intérêt général soit son principal but
The relationship between Religion and Society stands for an important part of the nineteenth century. Actually, few questions were so controversal ideologically speaking, and played such a key role in the political clashes. It was also the shift from sacred, religious society to non-religious one, thanks to the process of making secularity, that caused a radical change. Therefore, this thesis takes into account this change (from 1840 up to 1900) in Brazil, a country in which this concept is little used. This work reveals contradictions which stem from the Brazilian place that gives the so-called process a particular feature. This paper sheds light on the slowness of the transformation in the Brazilian society and shows similarities with other processes which have taken place in the European and American continents – as Brazilian politicians took them as models. We are going to study the transfer of competences which, up to that date, were within the religious institution capacities as a result of the system used in the Brazilian kingdom—when the catholic Church separated from the Brazilian State. Before Brazil becomes a secular State, it was the catholic Church which celebrated weddings, registered birth, weddings and death, as well as public education. These modifications aimed at reinforcing the power of the Brazilian State of allowing the non-religious law to become the starting point of all legislations and to differ citizenship from religion in order that people’s interest must be the main goal
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Angotti, Salgueiro Heliana. "Belo Horizonte : histoire d'une capitale au XIXe siècle : représentations urbaines et architecturales françaises au Brésil : une étude de cas". Paris, EHESS, 1992. http://www.theses.fr/1992EHES0325.

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Hélène, Stéphane. "Un être mi-bête, mi-homme : l'anthropologie des Lumières". Toulouse 2, 1997. http://www.theses.fr/1997TOU20044.

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Abstract (sommario):
Vu du cote des esclaves, des epaves, des vauriens, des creve-la-faim, des exploites et des va-nu-pieds: en arriere-plan des lumieres, se profile les mille et une miseres de l'anthropologie negriere. Homme, bete, ou moitie homme, moitie bete? le negro-africian a fait l'objet de toutes les supputations et theorisations anthropologiques. Les mecanismes qui ont permis de telles hypotheses proviennent d'un long processus de maturation qui deborde largement le xviiieme siecle: de l'antiquite au moyen-age, de la renaissance a l'epoque moderne et au-dela, l'afrique a ete le receptacle de tout ce que le monde comptait de merveilles et de monstruosites, de vils barbares et de cruels paiens. L'esclave par nature chez aristote, tout comme l'esclave qui, chez augustin, expie sa faute, ont sans doute contribue a justifier l'esclavage moderne. C'est d'accord, mais avec rousseau, voltaire, condorcet ou montesquieu, avec des naturalistes comme buffon, linne ou lamarck, l'esclave noir prend, sous l'enclume d'une anthropologie pour l'asservissement, la figure de l'etre mi-bete, mi-homme. Deja nourri au lait amer des evangiles par les cures du ponant, il voit son destin entierement modele. Le droit le loge dans la categorie du non-droit, la raison l'outrage, car le negre bestial est indispensable pour valider l'engagement humain dans la voie de la perfectibilite: il faut qu'il soit la et bestialement la
From the standpoint of slaves, or wrecks, or scoundrels, or down-and-out, or exploited people and ragamuffin, the enlighted eighteenth-century also contains the thousand and one miseries of negro anthropology. In this way, an history of philosophy, through greek and roman antiquity, middle ages and renaissance down to the modern period, will mainly show us that the african continent always was supposed to be crowed with marvels and monstrosities, mean barbarians and cruel pagans. Modern slavery was justified both by aristotle's and augustine's inheritance, but we can say that rousseau, voltaire, montesquieu or condorcet, as well as naturalists like buffon, linne or lamarck had confined blackmen in an anthropology for bondage. Human being, animal, or a creature sailing between mankind and beast? there was a doubt about this point, and no conclusive grounds for its disproof. French "code noir" lawfully put it out of law; according with reason, they bestialize it, beacause they were confident in his perfectibility
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De, Santana Rosa Helena. "Climat, race et maladies : les expéditions de la marine française au Brésil (1819-1870)". Paris, EHESS, 2009. http://www.theses.fr/2009EHES0032.

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Abstract (sommario):
Cette thèse se penche notamment sur les documents produits par les médecins français en campagne dans la Station Navale du Brésil et de La Plata, pour cerner ainsi la manière dont s'est effectué leur travail au contact de ce nouveau terrain et la façon dont ils ont articulé leur connaissance thérapeutique et diagnostique avec la réalité nosologique brésilienne. Il en ressort, pour nous, que les médecins français se sont montrés très réticents vis-à-vis de la thérapeutique employée par leurs confrères brésiliens. Par ailleurs, pour faire valoir leurs connaissances, ils ont mobilisé l'arsenal théorique et technique de la clinique et de la statistique médicale, ce qui a créé un système d'autorité scientifique participant au maintien de leurs intérêts professionnels et au contrôle d'un savoir spécifique: la pathologie exotique. Les récits indiquent encore que, pour eux, la paresse, l'indolence, la dégénération raciale et les maladies ne pouvaient être que le résultat inévitable de l’action des conditions climatiques sur les organismes. Ce pessimisme climatique et racial se voit renforcé par la déflagration des premières épidémies de fièvre jaune, dans la deuxième moitié du XIXème siècle, moment où disparaît l'image du Brésil, pays salubre. De leurs expériences sur le terrain émerge aussi la thématique de l'acclimatement humain. Car les médecins français ont compris que «l'immunité », autrement dit, la résistance aux maladies, ne pouvait être obtenue qu'à travers l'acclimatement des races et l'hygiène. Cette dernière discipline devenant, dès lors, le pilier sur lequel va se fonder la médecine pratiquée dans les colonies et dans les régions au climat chaud et humide
This thesis analyses documents produced by the French doctors who were stationed in Brazil and La Plata naval station in order to understand how their work evolved in a new context, and how they applied their diagnostic and therapeutic knowledge to Brazilian nosological reality. The French doctors were reluctant to adopt approaches developed by their Brazilian colleagues. They mobilized the theoretical and technical arsenal of French clinical sciences and medical statistics in order to valorize their own practices, develop a system of scientific authority which favored the pursuit to their professional interests and achieve control over a specific domain of knowledge: the exotic pathology. French doctors' accounts indicate that, for them, idleness, indolence, racial degeneration and sicknesses were the inevitable result of the action of tropical climate over the body. This climatic and racial pessimism was reinforced by the first yellow fever epidemic, in the half of the XIX century, an event that put an end to Brazil's representations as a salubrious country. In the aftermath of this epidemic, a new theme appears in French doctors' accounts: the key role of acclimatization. Lmmunity, that is, a resistance to sicknesses, they proposed, could only be the result of racial acclimatization and hygiene. From that time on, hygiene will become the basis for medicine practiced in the colonies and in hot and humid regions
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Jerad, Rahma. "L'expansion américaine au prisme de Cuba : esclavage, abolition et rivalités internationales, 1836-1860 : une histoire culturelle et diplomatique". Paris 7, 2009. http://www.theses.fr/2009PA070005.

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Abstract (sommario):
Dans les deux décennies qui mènent à la Guerre de Sécession, les sudistes esclavagistes voient en Cuba un modèle de société prospère où l'esclavage, loin d'être sur le déclin, continue d'être utilisé et répandu. Cuba, aux portes de l'Union, devient un modèle qui justifie le regain de l'esclavage nord-américain à leurs yeux. Mais plus largement, il apparaît que cet intérêt pour Cuba ne se limitait pas aux Sudistes ni aux deux décennies qui précédèrent l'éclatement de la Guerre de Sécession. En effet, il est certain que cette île des Antilles avait intéressé une grande partie de la classe politique américaine dès la naissance de l'Union, mais que les historiens se sont davantage intéressés à la période « antebellum » qui fut la plus active dans les tentatives menées par les Etats-Unis pour s'emparer de l'île. Ainsi, cette thèse tend à remonter un peu plus avant dans le temps, dans le but de démontrer les origines anciennes de l'intérêt américain pour celle que l'on nomme souvent alors la Perle des Antilles. De plus, il est question de replacer cet expansionnisme étasunien dans le contexte international de l'époque afin de montrer que cet intérêt était aussi bien mû par une idéologie nationale expansionniste que par un ensemble d'éléments, d'acteurs et d'événements internationaux, en particulier la question de l'esclavage, de la traite et de leur abolition par la Grande Bretagne. Il s'agira donc de faire la lumière sur des éléments souvent mis de côté par l'historiographie classique, et de donner une place plus importante au rôle des Cubains dans ce mouvement expansionniste, qui fut loin d'être un mouvement unilatéral, décrétés uniquement par le désir américain d'étendre le territoire de l'Union. En puisant à des sources américaines, cubaines et anglaises, à des récits de voyage aussi bien qu'à des écrits diplomatiques, on pourra toutefois voir aussi que ce désir d'annexion était un phénomène complexe, notamment en raison de l'ambiguïté des sentiments américains, et pour tout dire d'un racisme de plus en plus marqué, vis-à-vis de leurs voisins hispaniques. Sur le plan méthodologique, la thèse emprunte donc au renouveau de l'histoire des relations internationales aux Etats-Unis, qui prône l'utilisation de sources variées, multinationales, et pas seulement diplomatiques, dans le traitement des questions d'histoire internationale. Plus généralement, elle entre dans la problématique d'une étude atlantique de l'esclavage, une problématique qui, depuis le début des années 1990, a relancé les travaux sur l'esclavage en Amérique et qui, de fait, a permis de décloisonner l'étude de l'esclavage nord-américain. Dans une démarche pragmatique, elle s'apparente également à un intérêt pour une analyse plus nuancée et plus critique des écrits de tous les acteurs qui ont réfléchi à l'esclavage, abolitionnistes ou esclavagistes, loin des dichotomies habituelles
In the two decades that led to the Civil War, the proslavery southern ideologues regarded Cuba as the model of a prosperous society where slavery was a widespread and thriving institution. This model society, so close to the southern states, both on a geographical and on an economic level, thus became the focus of their interest. But, this interest in the island of Cuba was not limited to the South, nor to the twenty years preceding the Civil War. It is certain indeed that the US interest in the island dates back to the very first days of the Union, but that historians have usually been more interested in the period of Manifest Destiny because that is when the Union was the most active in its attempts to take control of the island and integrate it to its territory. The aim of the present thesis is thus first to trace back the origins and the reasons of US interest in what was often called the Perl of Antilles. Then, it is to replace this expansionnism in a larger international context in order to show that this interest was motivated not only by the national expansionist ideology but also by a wider range of international actors, events and elements, among which slavery, slave trade and their abolition by Great Britain are central. The purpose is then to emphasize elements that were often ignored by US historiography and give a more prominent place to the role played by the Cubans in this expansionist movement. By using American, Cuban and British sources, travel accounts as well as diplomatic sources, it will nonetheless appear that this annexationist desire was a complex phenomenon, due to Americans1 ambiguous feelings, to be sure their increasing racism, towards their Hispanic neighbours. This dissertation then uses the concept of Atlantic history, and can be regarded as forming part of the transatlantic study of slavery, a paradigm that, since the early 1990s, has renewed research on slavery in the Americas. And through the use of various, multinational sources it seeks to give a more balanced and hopefully a more complete history of the period

Libri sul tema "Esclavage – Brésil – 19e siècle":

1

Enders, Armelle. Histoire du Brésil contemporain: XIXe-XXe siècles. Bruxelles: Editions Complexe, 1997.

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Helg, Aline. Plus jamais esclaves!: De l'insoumission à la révolte, le grand récit d'une émancipation 1492-1838. Paris: Éditions la Découverte, 2016.

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