Letteratura scientifica selezionata sul tema "Égypte – Jusqu'à 3100 av. J.-C"

L’Égypte pré- et protodynastique (3900 – 2700 avant notre ère) est une époque de formation, où se mettent progressivement en place l’État et la royauté. Il s’agit également d’un monde foisonnant d’images : dans un contexte où l’écriture hiéroglyphique n’a pas encore fait son apparition ou commence tout juste à émerger, l’iconographie et le support matériel auquel elle est associée occupent une place centrale. Les productions artistiques véhiculent des concepts touchant directement à l’idéologie. Elles sont alors des supports de choix pour l'expression de l'identité royale. Un point d'attention particulier doit toutefois être porté aux termes et concepts. À partir de quand peut-on parler de « rois » ? Est-il judicieux de chercher à placer un curseur entre « chef » et « roi » ? Nous verrons que la royauté reste un concept sémantique vague et étique, qui est de plus peu intégré dans les classifications sociopolitiques des sociétés. Finalement, il apparaît plus judicieux de se dépasser la quête des « premiers rois » et de se concentrer plutôt sur les mécanismes iconographiques qui structurent une identité plus générale du pouvoir tout au long du Pré- et Protodynastique. Nous verrons ainsi l’émergence de plusieurs marqueurs visuels liés au pouvoir, ainsi que de plusieurs dynamiques iconographiques qui se croisent dans le théâtre iconographique. Si associer une réalité concrète d’exercice du pouvoir à un mode de représentation iconographique n’est pas chose aisée, il est tout de même possible de percevoir l’existence de ruptures ou de continuités. Celles-ci sont principalement liés à la représentation du pouvoir comme concept, non lié à un individu terrestre, ou à sa personnalisation. Au cours des périodes du Nagada II et III principalement, certains marqueurs iconographiques sont alors ré-exploités et détournés pour être adaptés à de nouveaux besoin et servir l'expression d'un identité "royale"
Pre- and protodynastic Egypt (3900 - 2700 BCE) is a formative period, during which the state and kingship are gradually being established. It is also a world teeming with images: in a context where hieroglyphic writing had not yet made its appearance or is just beginning to emerge, iconography and the material support with which it is associated occupy a central place. Artistic productions convey concepts directly related to ideology. They are therefore the medium of choice for expressing royal identity. However, particular attention needs to be paid to terms and concepts. When can we start talking about "kings"? Is it appropriate to draw a line between 'chief' and 'king'? We will see that kingship remains a vague and etic semantic concept, which is also poorly integrated into the socio-political classifications of societies. In the end, it seems wiser to move beyond the quest for the 'first kings' and focus instead on the iconographic mechanisms that structure a more general identity of power throughout the Pre- and Protodynastic periods. We will thus see the emergence of several visual markers linked to power, as well as several iconographic dynamics that intersect in the iconographic theatre. While it is not easy to associate the concrete reality of the exercise of power with a mode of iconographic representation, it is nonetheless possible to perceive the existence of ruptures and continuities. These are mainly linked to the representation of power as a concept, not linked to an earthly individual, or to its personalisation. During the Nagada II and III periods in particular, certain iconographic markers were re-exploited and diverted to suit new needs and serve the expression of a "royal" identity

Ce travail développe une méthodologie pour l'étude des matériaux résineux anciens. De nombreux échantillons de résines, gommes-résines ou oléo-résines, parfaitement repertoriés et provenant de fouilles effectuées en Egypte, sont analysés par C. L. H. P. , couplés avec une détection UV par barrette de photodiodes. Une partie de l'étude est consacrée à l'optimisation de la séparation chromatographique, ainsi que des conditions de gradient. Les résultats obtenus montrent que la superposition des chromatogrammes à plusieurs longueurs d'ondes, complétée par la comparaison des temps de rétention et des spectres UV des pics, permet dans certains cas favorables des identifications avec des standards contemporains. L'étude des phénomènes de vieillissement est également abordée ; l'existence d'une bosse de polymères liée à l'âge de la résine est particulierement visible sur certains chromatogrammes. Quelques matières résineuses ont subi des variations thermiques et hygrométriques, et la présence de produits de dégradation caractéristiques est mise en évidence. Nous avons également pu obtenir des données analytiques complémentaires dans le domaine de la spectroscopie IR, grâce a un spectromètre à transformée de Fourier. En intégrant les données UV et IR, la présence de certains groupements fonctionnels a ainsi été mise en evidence. Enfin, la classification de ces substances et d'un certain nombre de standards a été réalisée par analyse factorielle en composantes principales ; les meilleures variables sont centrées et réduites. Il apparaît notamment des regroupements compatibles avec les analogies chromatographiques ; le paramètre âge des échantillons semble peu significatif ce qui tendrait à prouver que les substances étudiées ont atteint une sorte d'équilibre chimique

L'objet de ce travail est de fournir une synthèse concernant les différentes variétés de canidés de l'Egypte ancienne et la nature de leur relations avec l'homme. En premier lieu, une présentation de la famille zoologique met en évidence les spécificités morphologiques et comportementales des canidés ainsi que les parentés entre espèces. Elle est suivie d'un inventaire des différentes espèces de canidés vivant aujourd'hui en Egypte : le renard roux, le renard famélique, le fennec, le chien et le loup/chacal. L'examen des os permet d'établir la parenté entre les espèces modernes et antiques et de distinguer trois types morphologiques de chiens : un type lévrier, un type intermédiaire de constitution plus robuste et un type basset. L'examen des sources secondaires montre que des liens avaient été établis par les Egyptiens entre différentes variétés de canidés. La seconde partie du travail est consacrée aux relations entre les canidés et l'homme. Il apparaît, en premier lieu, que les canidés sauvages, ainsi que les chiens familiers et pariahs se rendent occasionnellement coupables d'agressions contre l'homme ; les canidés sauvages sont aussi responsables d'attaques contre son gibier et son cheptel. La riposte humaine est illustrée dans les scènes de chasse aux canidés sauvages. D'autre part, les canidés étaient exploités par l'homme, en tant que fournisseurs de produits (fourrure, matières corporelles employées dans la pharmacopée, peut-être viande) et auxiliaires actifs, utilisés pour la garde des hommes, des territoires et du cheptel, la chasse et peut-être la guerre. Enfin, le chien comme animal de compagnie (notamment le basset) est bien attesté dans les sources, qui montrent qu'un espace pouvait lui être réservé dans l'habitat humain et que du personnel pouvait être affecté à son entretien. Les chiens familiers pouvaient également être munis de colliers et recevoir un nom
The aim of this book is to provide the reader with a synthesis concerning the ancient egyptian species of canids and the nature of their relations with the humans. In the first place, an introduction to the zoological family shows, the characteristics of the canid's morphology and behaviour. It is followed by a check-list of the species which are still living nowadays in Egypt : the red fox, the rueppell's fox, the fennec, the dog and the wolf/jackal. The study of the animal remains shows the relationship which exists between ancient and modern species, and allows one to distinguish three types of dogs : a greyhound type, an intermediate, stronger type and a basset type. The study of the secondary sources shows that the Egyptians have been able to link several canid species. The second part of this work deals with the relations between canids and men. It appears that some wild canids, as well as domestic and pariah dogs eventually attack men, and that wild canids often attack livestock and game animals. The human ripost is illustrated by the hunting scenes against wild canids. Canids were exploited by men as providers of products (fur, body parts for medical use, and perhaps meat), and as active auxiliaries, used dor the protection of men, territories and cattle, as well as for hunting and maybe war. Finally, the domestic dog (especially the basset hound) is well attested in the sources, which show that an area could be devoted to the dog, and that servants could be allocated to it. Domestic dogs could eventually wear a necklace and be given a name

Ce travail porte sur l'administration et la société à Thèbes, capitale de la Haute Egypte sous la 22ème dynastie bubastite (c. 945-730 av. J-C). On a tout d'abord reconstitué les articulations chronologiques de l'époque, le pays passant d'un pouvoir royal fort (règnes de Shéshonq Ier à Osorkon II), à une période de guerre civile marquant l'émancipation de Thèbes. Après la division Nord-Sud, règne à Thèbes une branche locale de la 22ème dynastie (Osorkon III) jusqu'à la conquête éthiopienne qui survient dans la seconde moitié du VIIIème siècle. La période se caractérise par la constitution de puissants lignages de notables que la documentation permet de reconstituer. Les structures de l'Etat dans le Sud montrent généralement une continuité avec la période ramesside : Le vizirat voit son pouvoir réduit au domaine judiciaire, mais les prérogatives du Trésor et du secrétariat royal perdurent. On remarque dans les niveaux inférieurs de l'administration un retrait des structures étatiques royales au profit des administrations des temples. On a longtemps interprété cette période par une analyse " féodale ", qui ne peut cependant fournir une explication satisfaisante à l'ensemble des phénomènes, surtout à Thèbes. Les structures de l'Etat bubastite correspondent à une phase où le pouvoir est dans les mains de la famille royale et de ses alliés, système qui rappelle d'autres périodes de l'Histoire égyptienne et dont l'origine libyenne ne peut pas être démontrée. Les rois tiennent Thèbes en installant un prince comme pontife d'Amon, tandis qu'une politique de balance et d'alliances matrimoniales avec les lignages permet au pouvoir de gérer l'hérédité des fonctions administratives
This studies bears on the administration and the society at Thebes, capital of the Upper Egypt under the 22nd dynasty known as " bubastite " (c. 945-730 BC). First, the chronological phases of this period in term of political history have been reconstructed, the country passing from a strong royal power phase (Sheshonq I to Osorkon II) to a civil war corresponding to the emancipation of Thebes. After the North-South division, the South is governed by a local line of the 22nd dynasty (Osorkon III) up to the kushite arrival that arise in the second part of the VIIIth century. This period is caracterised by the rising of strong lineage of functionnaries that can be reconstructed from the documentation. The state structures in the South show in a general way a continuity with the late ramesside period : The power of the vizier is now reduced to the judiciary matters, whereas the prerogatives of the treasurer and the royal secretary don't change. One can note in the lower levels of the administrations a reduction of the state offices in favour of the temples administrations. This period has long been seen as feudal, but this system does not provide a sufficient explanation for all the phenomenas, specially in Thebes. The state structures of the Bubastite Period are in fact a system where the power lays in the hands of the royal family and his allies, like in others periods of Ancient Egypt history and whose libya origines can not be demonstrated. The kings keep Thebes under their control appointing a royal son as high priest of Amun, whereas a matrimonial policy with the lineages allows the power to keep with the hereditary succession in administratives offices

Cette étude propose une lecture des relations entre les vivants et les morts par le prisme d'une documentation spécifique à l'Égypte ancienne, les lettres aux morts prises comme révélateurs des mécanismes relationnels. La définition du genre et sa confrontation avec d'autres sources permet de dégager deux paradigmes qui se distinguent par des rites particuliers et un usage divergent du motif du jugement posthume. Malgré l'appartenance de la lettre au mort à la Première Période intermédiaire, les conclusions qui résultent de son analyse apparaissent, pour diverses raisons, comme une constante de la religion funéraire égyptienne au moins jusqu'à la fin du Nouvel Empire. En décryptant l'organisation des rapports vivants / morts, cette étude espère apporter un éclairage sur des problématiques telles que la peur du mort et l'existence d'une forme égyptienne de culte des ancêtres, mais cherche aussi à saisir ce qui fait la spécificité des rapports vivants / morts dans l'Égypte pharaonique
This study suggests a reading of the relationship between the living and the dead through the prism of documentation unique to Ancient Egypt, Letters to the Dead, which are revelatory of the mechanisms of this relationship. From the definition of the genre and comparison with other sources, two paradigms emerge. They are characterized by distinct rituals and a different treatment of the subject of judgement after death. While Letters to the Dead belong to the First Intermediate Period, the conclusions drawn from their study appear, due to different reasons, to apply to egyptian funerary religion at least until the end of New Kingdom. By deciphering the organisation of relationships between the living and the dead, this study seeks to shed light on topics such as fear of the dead and ancestor worship in Ancient Egypt, but also to understand the peculiarity of egyptian interaction with the dead

La richesse de la documentation sur la musique pharaonique a suscité l'intérêt des chercheurs dès le début du XIXe siècle et la bibliographie sur le sujet est aujourd'hui très abondante. Une analyse de l'historiographie révèle cependant que de nombreux aspects de la musique de l'ancienne Égypte restent inexplorés. Cette constatation résulte du fait que le champ de cette recherche est partagé entre plusieurs disciplines et que l'approche musicologique a toujours prévalu sur l'approche égyptologique proprement dite. Il est donc nécessaire d'étudier la musique en fonction de nouvelles problématiques, c'est-à-dire d'analyser dans quels contextes la musique intervient, pour quelles occasions et quels en sont les acteurs. Dans cette perspective, les musiciens de l'Égypte ancienne ont été étudiés en fonction des informations fournies par les sources. Un corpus prosopographique recense l'ensemble des musiciens qui portent des titres entre la Ière et la XXe dynasties et un corpus iconographique illustre la pratique de leur art. La synthèse propose une typologie des musiciens de l'Égypte ancienne d'après les titres et selon les spécialités musicales décrites par l'iconographie. Ensuite, les différents métiers de musiciens sont étudiés en fonction de leur organisation et de leur hiérarchie, des lieux d'exercice et des tenues vestimentaires. Leur statut économique et social est également appréhendé ainsi que l'apprentissage de la musique et les types de carrière. Cette thèse essaye de montrer qu'une analyse stricte de la documentation pharaonique en fonction d'une problématique clairement définie permet de mieux saisir la nature de la musique égyptienne ancienne
The richness of documentation on pharaonic music aroused the interest of researchers since the beginning of the XIXth century. The bibliography on this topic is now abundant. Yet, an analysis of the historiography reveals that many aspects of music in Ancient Egypt have removed unexplored. This result from the fact that this field of research has been torn between many disciplines and that the musicological approach always prevailed on a genuine egyptological approach. It is thus necessary to study music considering this new problematic, that is to say to analyse in which contexts music intervenes, on which occasions and who are the players. In this perspective, the observation of the musicians of ancient Egypt was related to the informations obtained trough the sources. A prosophographic corpus makes the inventory of the whole titled musicians between the Ist and the XXth dynasties and an iconographic corpus illustrates their art practice. The synthesis offers a typology of the Ancient Egypt musicians organized by titles and musical specificities described by the iconography. Then, the study of the various musical professions is based on the musicians organization and hierarchy, places of work and clothes. Their social and economic status is also taken in account as well as their career. This thesis tries to demonstrate that a strict analysis of the pharaonic documentation organized with a clearly defined problematic allow to better understand the nature of ancient Egypt music

Le but premier de cette étude doctorale est d'ordre socio-historique : identifier et expliquer comment, dans la vie quotidienne en Égypte ancienne, les manifestations de joie étaient traduites (modes) et voir dans quels contextes elles intervenaient (domaines). La thèse cherche donc à donner une image la plus précise possible de la représentation que ce peuple se faisait de la joie, tant au travers des images qu'au travers du lexique pour lequel nous avons cherché à affiner les traductions traditionnelles. En outre, par une étude des contextes et par une mise en perspective des signes de l'écriture hiéroglyphique, par essence iconique, et des représentations figurées, nous avons pu dresser une véritable typologie des mots et des images relatifs à la joie : à chaque aspect de l'émotion, une réponse linguistique spécifique et à chaque événement joyeux, des démonstrations de joie particulières qui mettent en jeu un vocabulaire et des images propres. Si certaines manifestations joyeuses sont universellement partagées, d'autres, comme "le port de la branche festive", relèvent, en revanche, de la culture égyptienne ou, du moins, d'un modèle d'expression commun aux régions du Proche-Orient et de l'Afrique noire, à la croisée desquelles se situe la civilisation pharaonique
The main purpose of this doctoral study is of socio-historic order : to identify and to explain how, in the ancient Egypt daily life, the demonstrations of joy were translated (modes) and to see in which contexts they intervened (domains). This question thus aims at giving the most precise image as possible of the vision which this population had of joy. From the rich vocabulary related to joy that has been attested by the Egyptian texts, this thesis attempted furthermore to refine its translation. This first study was then completed by an examination of the contexts in which the terms of joy appeared, as well as by an analysis of the figurative representations and the hieroglyphic signs, the Egyptian language being by definition iconic. These observations showed that for each joyful event Egyptians had brought a particular linguistic and iconographic answer. It was then possible to draw a typology of joy pointing out that if certain demonstrations of joy were universally shared, some others were culturally related to this ancient society, as for the bearing of the "festal branch" for example, one of the most typical demonstrations of joy in that civilization

Notre étude relative à la vie quotidienne des enfants en Egypte ancienne s'est fondée sur un corpus rassemblant quelques 6. 000 documents émanant de divers champs disciplinaires. Cette thèse avait pour but de s'intéresser à la question de l'enfance: comment cette période de vie était-elle perçue par les anciens Egyptiens? De quelle manière considéraient-ils Ieurs enfants et comment se déroulait la vie quotidienne des plus jeunes? Bien que le corpus documentaire paraisse abondant, il ne livre, au final, que quelques bribes d'information et de ce fait, notre travail livre plus d'hypothèses que de conclusions. Il en ressort toutefois que les enfants étaient vus par les adultes comme un moyen: un moyen d'asseoir le statut social de la femme dans son couple et dans la société; un moyen d'asseoir le statut social de l'homme dans la société et de lui assurer un successeur qui l'aidera et lui succèdera. Si l'enfant est objet d'attentions, principalement relatives à sa santé et à sa vie, il n'acquérait un véritable statut et une reconnaissance de sa valeur qu'au sortir de la petite enfance, une fois qu'il avait dépassé ce cas périlleux. Dans tous les milieux, l'enfant était très souvent appelé, un jour, à reprendre la succession familiale. Il était donc sollicité très jeune pour travailler, en apprentissage professionnel ou dans les structures d'enseignement où il recevait une formation. L'enfance paraît s'être achevée à l'âge symbolique de 10 ans
Our study relative to the daily life of the children in ancient Egypt was based on a corpus gathering some 6. 000 documents emanating from different disciplinary fields. This thesis aimed at giving a new consideration of the kids: how this period of life was perceived by the ancient Egyptians? How did they consider their children and how they daily life took place? Although the documentary corpus seems plentiful, it finally delivers, only some fragments of information. Therefore, our work delivers more hypotheses than conclusions. It emerges from it however that the children were seen by the adults as a means: a means to establish the social status of the woman in her couple and in the society; a means for establish the social status of the man in his community and to assure him a successor who will help and will succeed him. If the child is object of many attentions, most of them are related to his health and life, he acquires a real status and a recognition of his value only at the end of the early childhood, when he has overtaken this precarious case. From poor or rich social origins, the child was very often called, to take back the family succession one day. He was thus requested very young to work, or in the family enterprise or in the structures of education where he received a training. The childhood appears to have ended at the symbolic age of 10 years old

Le principe d’égalité devant la loi est un principe Moderne. Mais cela n’empêche pas que l’Egypte ancienne ait connu le sens et la conception de ce principe d’un point de vue propre à elle. Les monuments et les inscriptions laissés par la civilisation égyptienne ancienne semblent montrer que l’Egypte pharaonique connaissait ce principe et l’appliquait dans le droit, sans oublier que la conception de ce principe a varié selon le régime qui réagit tout au long de l’histoire de l’Egypte pharaonique d’un régime individualiste à un régime féodal. Cette égalité a eu une influence à trois niveaux l la femme, l’esclave, l’étranger
The principle of equality in front of the law is a modern principle; but that does not prevent that ancient Egypt knew the meaning and the concept of this principle from a point of view suitable for it. The monuments and the inscriptions left by ancient Egyptian civilization seem to show that pharaonic Egypt knew this principle and applied it in the law, without forgetting that the concept of this principle varied according to the regime which reigned throughout the history of pharaonic Egypt of an individualistic regime to a feudal regime. This equality had an influence to three levels: the women, the slave, the foreigner