Letteratura scientifica selezionata sul tema "Échange de savoirs – 16e siècle"

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Articoli di riviste sul tema "Échange de savoirs – 16e siècle"

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Romano, Antonella. "D’Orient en Orients: à l’est de Rome, du nouveau". Cuadernos de Historia Moderna 48, n. 2 (28 novembre 2023): 387–416. http://dx.doi.org/10.5209/chmo.91783.

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Abstract (sommario):
Le 16e siècle romain correspond au déploiement au long cours de sa connaissance et redéfinition de l’Orient, à la croisée de multiples savoirs et pratiques, savantes ou ordinaires, qui redessinent les liens entre Antiquité et monde contemporain. L’article en propose une lecture qui vise à mettre en lumière une réarticulation des références spatio-temporelles de l’Urbs, espace privilégié d’une confrontation de l’Egypte, construite en pivot de l’Orient ancien, et du Japon, expression du moderne Orient extrême. Il fait l’hypothèse que cette confrontation ouvre des voies de compréhension nouvelles aux processus de production des savoirs dans la capitale pontificale.
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Millet, Audrey. "Le corps de la mode. Histoire sociale de la mesure de l’Homme (Europe, 16e-19e siècle)". dObra[s] – revista da Associação Brasileira de Estudos de Pesquisas em Moda, n. 30 (1 dicembre 2020): 204–22. http://dx.doi.org/10.26563/dobras.i30.1241.

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Abstract (sommario):
De l’Homme de Vitruve à S, M et L du 19e siècle, la mesure est au centre de la définition du corps humain et des modes. Sans mesures, pas de vêtement: le corps disparaît. L’enjeu de cet article est de proposer une série de questionnements pour comprendre la participation des praticiens du corps – du tailleur au perruquier – dans les changements de paradigmes imposant une nouvelle conception de l’Homme et un nouveau corps. L’histoire du corps et sa captation par les praticiens permet de compléter une vue de l’histoire de l’habillement : celle de la première enveloppe charnelle qui sert de support aux vêtements et aux artifices des apparences. Les transformations sociales et politiques du 19e siècle en Europe ont souvent été étudiées à partir des normes et des mesures coercitives. Néanmoins, je propose de renouveler les questionnements, et notamment d’examiner comment les savoirs corporels influencent le corps humain et nourrissent les réflexions depuis l’anthropométrie de la Renaissance jusqu’aux progrès technologiques de la première industrialisation. La fabrication des corps est un lieu d’excellence pour comprendre la dynamique de scientifisation qui touche l’Europe occidentale durant quatre siècles. Le corps est le moyen d’expression des normes économiques, sociales et politiques. À la croisée d’une histoire sociale des pratiques corporelles, de l’anthropologie des techniques et de l’épistémologie de l’esthétique, je propose d’interroger une histoire de la mesure de l’Homme à partir des savoirs des praticiens du corps.
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RENARD, V. "PHILIPPE BAIL, LES COMPETENCES DANS UNE MARGUERITE". EXERCER 35, n. 206 (1 ottobre 2024): 339. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2024.206.339.

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Abstract (sommario):
« Neque mittatis margaritas vestras ante porcos* » Matthaeus VII, 6 Il fut un temps, au début de ce siècle, où les enseignants de médecine générale clarifiaient les concepts de l’enseignement de la spécialité et même de la discipline, théorisée pas à pas depuis près de trente ans. Vous nous direz, ça fait vraiment un Bail cette histoire ! Et vous auriez raison, ça fait complètement un Bail. Plus précisément un Philippe Bail. À l’époque, directeur du département de médecine générale de la faculté de Brest, il partageait les concepts de la discipline, localement avec Jean Jouquan, médecin interniste, rédacteur en chef de la revue Pédagogie médicale, et nationalement avec le CNGE. J’ai le souvenir lointain de Philippe venu exposer les concepts constructivistes à la faculté de Paris-Est Créteil. À l’époque, je n’avais pas manifesté a priori un enthousiasme dévastateur pour ce qui s’annonçait un échange et une formation conceptuelle. Avec du recul, c’était probablement faute de lecture et d’expérience pédagogiques, et faute de devoir privilégier le quotidien du fonctionnement de la formation disciplinaire. Nous sommes devenus, à l’issue de cette formation, des convertis d’évidence du constructivisme et de la construction des compétences. Cette formation a donné à tous les participants l’envie d’aller plus loin, de travailler, de lire, de se former, de décliner en pratique les données conceptuelles au service des étudiants et de la spécialité et de la discipline. Philippe Bail était didactique, simple, ouvert, humain. Encore fallait-il illustrer et visibiliser les concepts pour la médecine générale. En faire une sorte d’image précieuse reconnaissable entre toutes et dont l’impact visuel soit fort. Philippe Bail, expert au sein du groupe national sur le référentiel de compétences du CNGE mené par Claude Attali, est l’inventeur en 2009-2010 du format de la marguerite des compétences, influencé par le schéma du référentiel CanMeds, aboutissant au célèbre numéro 108 de la revue exercer, avec l’article où figure la marguerite1. Il est probablement fortuit que le mot latin et auparavant grec signifiant perle soit le mot « margarita ». L’inventeur de cette perle pédagogique illustrant les compétences à construire pour devenir médecin généraliste est décédé cet été. Il a écrit un livre bouleversant sur les derniers mois de sa vie de médecin malade2. Nous remercions Philippe Bail de son apport pour les patients, à Lannion comme partout en France, pour la formation en médecine générale, pour la pédagogie, pour les enseignants attachés à la transmission des savoirs et à la qualité des soins.
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Pujante González, Domingo. "Ouverture: Connais-toi toi-même". HYBRIDA, n. 3 (31 dicembre 2021): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.3.22917.

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Abstract (sommario):
"Comme Barthes qui pensait que la littérature devait céder la place à l’auto-écriture de tous, je pense que tout le monde devrait faire la même chose : raconter sa vie. Connais-toi toi-même. Mets-toi en forme. Mets-toi en ordre". Dustan, Guillaume (1999). Nicolas Pages (p. 400). Balland. Guillaume Dustan et sa particulière vision de la littérature (« en littérature, soit c’est soi, soit c’est du bidon », Dustan, 1999, p. 384) me permettent de commencer cette Ouverture du troisième numéro de la revue HYBRIDA. Revue scientifique sur les hybridations culturelles et les identités migrantes dont le Dossier central est intitulé SIDA/S – 40 ans. Pour suivre les conseils de Dustan, je vais raconter (un peu) ma vie : en 1994, étant ce que l’on appelle « jeune chercheur », j’ai présenté un projet sur « sida et littérature » qui m’aurait permis d’obtenir une bourse aboutissant à une thèse doctorale. Je n’ai pas eu la bourse et j’ai dû changer de sujet pour candidater à nouveau l’année suivante. J’ai finalement obtenu cette bourse, ce qui m’a permis de commencer ma « carrière » universitaire en 1996. Le fait est que, même si je me suis centré sur le corps dans le discours artistico-littéraire d’avant-garde, notamment dans le théâtre (« panique »), je n’ai jamais quitté ce premier projet et me suis toujours intéressé aux écritures liées à l’expérience de la maladie, et plus concrètement aux « récits de sida », surtout d’écrivains homosexuels ayant pour la plupart disparu à cause de l’épidémie. Le souvenir du congrès Sida y cultura (Sida et culture) à l’Université de Valence en 1997, organisé, il y a 25 ans, par Ana Monleón et Ahmed Haderbache, restera donc toujours comme un moment important dans ma mémoire affective et académique. Je leur serai toujours reconnaissant de m’avoir permis de publier mon premier article de recherche intitulé « Escribir en el apremio » (« Écrire dans l’urgence »). Malheureusement, ce « modeste » volume, qui a même été exposé au Musée d’Art Moderne de Valence (IVAM), n’a pas eu une large diffusion. C’est donc un privilège de pouvoir le rééditer comme Annexe à ce numéro d’HYBRIDA. Nous avons respecté l’édition originale de 1997, même si elle ne répond pas aux normes éditoriales de la revue ni aux critères actuels de « qualité » concernant les publications scientifiques. Le volume est composé d’un bel ensemble de dix-neuf contributions de personnes venues de générations, de formations et d’horizons différents, ce qui a permis une réelle circulation des savoirs et un échange intéressant entre l’activisme et l’Université. Certains d’entre eux nous ont quittés, prématurément. La mort nous surprend toujours. Voici donc toute ma reconnaissance (nunc et semper) à la Professeure de littérature française Elena Real, ma directrice de thèse, qui s’était spécialisée, entre autres, dans l’autobiographie contemporaine, concrètement dans l’écriture des femmes et les thématiques du corps et de la séduction ; et au journaliste et historien de la déportation homosexuelle Jean Le Bitoux, figure emblématique du militantisme en France et fondateur historique, avec d’autres intellectuels et activistes comme Frank Arnal (décédé à 42 ans en 1993) et Jean Stern, du magazine Le Gai Pied dont le premier numéro de 1979 contenait un article de Michel Foucault qui aurait suggéré le nom. Le magazine a été une grande fenêtre ouverte à la liberté d’expression et à l’activisme homosexuel jusqu’à sa disparition en 1992. Il comptait sur la collaboration habituelle d’intellectuel·le·s et d’auteur·e·s comme Jean-Paul Aron, Renaud Camus, Copi, Guy Hocquenghem, Nathalie Magnan, Hugo Marsan ou Yves Navarre, pour n’en citer que quelques-un·e·s. Même Jean-Paul Sartre lui a accordé une interview en 1980. Mais revenons à Sida y Cultura pour ajouter que les approches ont été riches et variées, aussi bien sociologiques que culturelles, sous une perspective historique (en comparant le sida avec d’autres maladies antérieures), du point de vue de l’analyse du discours sur le sida ou de l’analyse concrète d’œuvres et d’auteurs touchés par le sida comme Cyril Collard (mort en 1993 à 35 ans), Copi (mort en 1987 à 48 ans), Pascal de Duve (mort en 1993 à 29 ans), et bien évidemment Hervé Guibert (mort en 1991 à 36 ans). Nous avons eu la chance également de compter sur la collaboration de Juan Vicente Aliaga, critique d’art espagnol réputé, spécialiste en études de genre et LGBT, qui avait publié quelques années auparavant (1993), aux côtés de José Miguel G. Cortés, le premier essai fait en Espagne sur l’art et le sida intitulé De amor y rabia (D’amour et de rage) qui reste un référent important dans ce domaine. Concernant la coordination du Dossier central SIDA/S – 40 ANS, je tiens à remercier sincèrement Didier Lestrade, journaliste, écrivain et militant reconnu, fondateur d’Act Up-Paris, ainsi que du magazine Têtu, possédant une longue trajectoire et une importante production intellectuelle sur l’activisme LGBT. Ses trois derniers essais portent les titres suggestifs de : Minorités. L’essentiel (2014), Le Journal du Sida. Chroniques 1994-2013 (2015), « mon dernier livre sur le sida », affirme-t-il ; et I love Porn (2021), excellent essai qui reprend la forme du témoignage pour retracer une histoire particulière de la sexualité à partir des années 1970 par l’intermédiaire de la pornographie comme instrument politique de contestation. Je remercie également de tout cœur Ahmed Haderbache, traducteur de Guillaume Dustan en espagnol et grand spécialiste de son œuvre, d’avoir accepté de coordonner ce Dossier qui nous a paru nécessaire pour réactiver la mémoire d’une maladie et d’une production artistico-littéraire qui semble lointaine, voire révolue, surtout pour les jeunes générations, mais qui prend toute sa signification dans le contexte pandémique actuel. Ce Dossier, qui débute par un bel Avant-propos de Didier Lestrade intitulé « Sida : une épidémie presque oubliée » et par une Introduction d’Ahmed Haderbache, est composé de sept articles. Il part du fait sociologique et politique pour aborder la production littéraire, en passant par l’analyse filmique et théâtrale. Thierry Schaffauser s’intéresse aux personnes invisibles, voire oubliées, pour nous proposer une pertinente étude sur l’histoire des mobilisations des travailleuses du sexe contre le VIH en France et au Royaume-Uni ; Romain Chareyron fait une riche analyse des images du sida dans le film 120 battements par minute (2017) ; Henry F. Vásquez Sáenz aborde avec précision la pièce Une visite inopportune (1988), ce qui lui permet de restituer et de resituer la figure du dramaturge franco-argentin Copi en tant qu’auteur subversif et engagé, pionnier du théâtre autobiographique lié au sida. Les deux articles suivants, de Daniel Fliege et de l’écrivaine Ariane Bessette respectivement, proposent d’intéressantes analyses littéraires d’œuvres « autobiographiques » d’auteurs « controversés » car défenseurs des rapports sexuels non protégés ou barebacking : Guillaume Dustan (mort en 2005 à 39 ans) et Érik Rémès. Puisque HYBRIDA s’intéresse particulièrement aux contextes francophones ou comparés, nous avons créé une petite section à la fin du Dossier intitulée Autres regards afin de publier deux articles spécialement attirants. Le premier, écrit par Thibault Boulvain dont la thèse doctorale a été publiée en 2021 sous le titre L’art en sida 1981-1997, aborde les dernières années d’Andy Warhol (décédé en 1987) sous la perspective du sida ; le dernier, proposé par Caroline Benedetto, se penche sur les journaux intimes de l’artiste pluridisciplinaire américain David Wojnarowicz (mort en 1992 à 37 ans), en soulignant les influences françaises. Dans la section Mosaïque, où nous publions des études sur les hybridations culturelles et les identités migrantes qui ne correspondent pas à la thématique centrale du Dossier, nous publions trois articles. José Manuel Sánchez Diosdado analyse profondément les récits coloniaux des voyageuses françaises de la première moitié du XXe siècle qui se sont inspirées du Maroc. Feyrouz Soltani aborde le roman Verre Cassé de l’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou pour y déceler les traces du métissage linguistique et culturel et, enfin, Rolph Roderick Koumba et Ama Brigitte Kouakou nous présentent la langue française comme instrument positif dans la construction de l’altérité à travers l’analyse des œuvres de l’écrivaine franco-sénégalaise Fatou Diome et de l’écrivaine franco-camerounaise Léonora Miano. La section Traces de la revue HYBRIDA est consacrée à la création littéraire et s’éloigne volontairement de l’esprit d’évaluation en double aveugle, bien que les soumissions soient strictement analysées et révisées par le comité éditorial. Dans ce numéro 3, nous publions quatre textes aussi différents qu’intéressants. Leurs auteur·e·s se sont inspiré·e·s de la thématique du Dossier central autour du sida. Nous avons l’honneur de publier un court récit de l’écrivaine québécoise Catherine Mavrikakis intitulé « Évitons de respirer l’air du temps » qui nous met en alerte par rapport aux préjugés qui perdurent de nos jours concernant le sida. Nous voudrions rappeler au passage que, partant de la pensée de Michel Foucault sur la santé et l’organisation sociale, ses recherches sur les écrits du sida, ainsi que sur les notions de contamination, d’aveu et de souffrance, sont d’une grande importance pour la thématique qui nous occupe. Nous ne pouvons que rester admiratifs face à sa double facette de professeure universitaire et d’écrivaine ; et souligner la force de ses romans « autofictionnels » dont Ce qui restera (2017), L’annexe (2019) et L’absente de tous bouquets (2020), pour n’en citer que les derniers. Ensuite, nous avons deux « témoignages » sincères et touchants. Le premier, intitulé Les spectres d’ACT UP, nous propose un parcours émotionnel et académique autour de l’expérience du sida. Son auteur, David Caron, Professeur à l’Université du Michigan, a fait une importante recherche dans le domaine des études LGBT et concrètement sur le VIH. Il s’est intéressé également aux études sur l’holocauste. Parmi ses dernières publications, nous trouvons The Nearness of Others. Searching for Tact and Contact in the Age of HIV (2014) et Marais gay, Marais juif. Pour une théorie queer de la communauté (2015). Le court et intense « témoignage » de Lydia Vázquez Jimémez (écrit en espagnol) intitulé « Filou, te fuiste demasiado pronto » (« Filou, tu es parti trop tôt ») nous montre la difficulté de l’aveu et de s’exprimer par rapport au sida, en nous dévoilant son expérience intime et douloureuse face au deuil dû à la perte de l’être aimé. Au-delà de sa brillante carrière universitaire en tant que spécialiste dans l’étude de l’érotisme et de la sexualité (notamment au XVIIIe siècle), avec une focalisation particulière sur les femmes et le collectif LGBT, je ne voudrais pas négliger sa facette de traductrice en espagnol de l’œuvre d’auteur·e·s admiré·e·s comme Abdellah Taïa, Annie Ernaux, Jean-Baptiste del Amo, Gabrielle Wittkop ou Fatima Daas, entre autres. En tant qu’auteure, j’aimerais signaler son livre illustré Journal intime (2019). Pour clore cette section de création littéraire et dans le but d’encourager l’écriture des jeunes écrivain·e·s, nous publions en espagnol la pièce inédite de Javier Sanz intitulée Reset. Volver a empezar (Reset. Repartir à zéro). Avec une fraîcheur et une franchise touchantes, la pièce aborde, en 2021, la problématique de l’incommunicabilité et de la difficulté à établir des relations amoureuses sincères, ainsi que la découverte de la séropositivité. Je suis persuadé que ce numéro d’HYBRIDA, 25 ans après Sida et Culture, marquera notre trajectoire en tant que revue universitaire. Il ne me reste qu’à remercier très sincèrement notre excellente équipe d’évaluation qui se nourrit et se diversifie à une grande vitesse grâce aux apports de spécialistes du monde entier. Et un sincère merci à José Luis Iniesta, Directeur Artistique de la revue, pour son investissement et son savoir-faire ; sans lui rien ne serait possible… Je vous propose un prochain rendez-vous pour fin juin 2022 pour le numéro 4 d’HYBRIDA. Salus in periculis
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Tesi sul tema "Échange de savoirs – 16e siècle"

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D'Angelo, Fabio. "Entre le Royaume de Naples et la France : voyages scientifiques, parcours de formation et exil entre la fin du XVIIIème siècle et la première moitié du XIXème". Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2015. http://www.theses.fr/2015GREAH013/document.

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Abstract (sommario):
La recherche analyse les rapports scientifiques entre le Sud de l'Italie et la France entre la fin du dix-huitième siècle et la première moitié du dix-neuvième pour ce qui concerne les missions des ingénieurs, des naturalistes et des médecins. En effet, au cours de cette période, dans le royaume de Naples, ce sont principalement ces trois catégories de scientifiques qui ont la possibilité de voyager et de se rendre en France. Mais il convient également de considérer que tant d'autres catégories de personnes et groupes d'hommes ont contribué à nourrir le réseau des relations et des échanges réciproques entre le royaume de Naples et la France. Enfin, il ne faut pas oublier d'ajouter que les relations franco-napolitaines ne se sont pas uniquement construites grâce aux déplacements des hommes. La circulation et la diffusion des livres, sans oublier la discussion devant l'Académie des Sciences des études suivies et faites à Naples ainsi que l'acquisition d'instruments scientifiques auprès des artisans parisiens les plus renommés ont représenté d'autres aspects intéressants des rapports entre la France et le royaume de Naples, qu'il a été indispensable d'approfondir
The study examines the scientific relationship between the South of Italy and France in the late eighteenth century and the first half of the nineteenth, including missions of engineers, naturalists and physicians. In the kingdom of Naples these three categories of scientists had the opportunity to travel and reach France between the end of the eighteenth century and the first half of the nineteenth century. Moreover, other groups of people contribute to support the network of relations and exchanges between the kingdom of Naples and France.Finally, the relationships Franco-Neapolitan were built not only thanks to the movement of people. The circulation of books, as well as discussion about the studies of the Académie des sciences in Naples and the purchase of scientific instruments at the most famous Parisian artisans represented other interesting aspects of the relationship between France and the kingdom Naples, which has been needful to deepen
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Salvadori, Pierre. "Des cartes, des humains et des glaces. Savoirs, empires et mondes sous les latitudes d'un Nord global (vers 1530-vers 1610)". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. http://www.theses.fr/2024SORUL137.

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Abstract (sommario):
Cette thèse est consacrée à la place des plus hautes latitudes du globe dans les opérations impériales et savantes européennes au cours d'un long XVIe siècle. Loin d'avoir été périphériques, elles se présentèrent à la fois comme un enjeu impérial et comme un objet voire un terrain du savoir. Dans ces espaces inconnus des « Anciens », mais dont les frontières n'avaient pas été beaucoup repoussées depuis, à part au nord et autour de la Scandinavie, il y avait de l'espace pour expérimenter. Les puissances européennes écartées du partage ibérique du globe (Français, Anglais, Danois, Suédois, puis Néerlandais) cherchèrent ainsi des mondes et des empires en pariant sur les hautes latitudes contre les logiques cartographiques adverses d'un « englobement » du monde longitudinal, qui avait circuit le monde pour le déplier sur un axe Est-Ouest. En Espagne, au Portugal ou à Anvers, on ne négligea pas de leur répondre, ni d'anticiper le problème de ces latitudes qui trouaient toujours le globe ibérique, alors qu'on avait éprouvé ailleurs toutes les grandeurs de cette nouvelle Terre devenue globe homogène et connectable. À travers un double questionnaire d'histoire des empires et d'histoire des savoirs, accompagné de réflexions d'histoire matérielle et d'anthropologie historique, cette thèse envisage une série d'opérations avec les espaces et les environnements des hautes latitudes autant qu'avec le globe même. Elle restitue les problématisations de ces espaces troubles de « l’englobement du monde » (A. Romano), et ce à deux échelles d'observation : l'Europe savante et les empires européens d'une part, les mondes du savoir en Suède et le premier impérialisme des Vasas de l'autre. En saisissant le Nord, l'empire et les savoirs en train de se faire, dans une série de lieux (en particulier Anvers, Stockholm, Venise, Paris, Londres et Amsterdam), mais aussi sur le terrain, dans le Nord de la mission romaine ou par l'espionnage savant loin de chez soi, ce travail s'attache à reconstruire les mondiations originales que permettent les médiations septentrionales du globe. S'observent également des politiques des savoirs particulières qui ne séparent que relativement les différents domaines de leur appréhension, mêlant géographie, histoire (sacrées comme profanes), philosophie naturelle, art de la navigation, droit ou encore astrologie et étymologie. Terrain d'expérimentation épistémologique permettant d'appréhender la nature comme l'empire, le Nord global offre alors un point d'observation des heurts de l'englobement autant que des techniques du désangoissement savant et impérial. Alors qu'une première partie cherche à montrer de quoi la dialectique du passage arctique et du grand pont terrestre transatlantique est le nom, une seconde envisage la construction des savoirs et des empires du Nord au moment de l'acclimatation savante des glaces, en se demandant si, absentes des cartes à première vue, elles ne seraient pas en fait bien là, ressources négligées de la mise en globe. Cette thèse réinterroge alors, par une histoire socio-culturelle des savoirs, la première projection impériale du royaume de Suède, dans les années 1560-1570. À partir d'un étrange globe terrestre, et de longues listes inscrites par Erik XIV (r. 1560-1568) dans les marges de ses livres de captivité, après avoir été déposé par ses frères, on pourrait paradoxalement observer l'empire suédois en train de s'inventer, lorsque, poussant plus loin les dynamiques de son règne, le corps du roi de Suède prend un tournant global, utilisant les savoirs géographiques comme agents de sa charge sacrale, non sans entrer alors en conflit avec le « constitutionnalisme aristocratique » de la noblesse. Ainsi l'empire suédois achopperait-il une première fois, lorsque Erik XIV fut déposé en 1568 après avoir tenté de rendre son corps politique coextensif aux nouvelles grandeurs de la terre, écart aux pratiques qui posa un précédent dans la recherche ultérieure de l'empire
This dissertation examines the role of the globe's highest latitudes in European imperial and knowledge manoeuvres throughout a long 16th century. Far from being a peripheral space, these regions emerged both as an imperial stake and as an object - indeed, a field - of knowledge. In these spaces unknown to the ‘Ancients', whose boundaries had not been significantly pushed back except northward and around Scandinavia, there was room for experimentation. European powers excluded from the Iberian partition of the colonial globe (France, England, Denmark, Sweden, then the Netherlands) sought new worlds and empires by wagering on high latitudes against their rivals' cartographic reasoning of a longitudinal ‘englobing of the world', as the latter had circumnavigated the globe and unfolded it along an East-West axis. In Spain, Portugal, or Antwerp, efforts were made to address these challenges, or to anticipate the problem posed by these latitudes that punctured the Iberian globe, whose magnitudes had yet been experienced elsewhere as a homogeneous and connectable space. Using a double questionnaire in both imperial history and history of knowledge, together with reflections on material history and historical anthropology, this dissertation examines a series of operations involving both the spaces and environments of the high latitudes and the globe itself. It recovers the problematizations of these troubled spaces of ‘world englobement' (A. Romano), from two vantage points: learned Europe and European empires on the one hand, and the Swedish worlds of knowledge and the Vasas' early imperialism on the other. By capturing the North, empire, and knowledge in the making, across various sites (particularly Antwerp, Stockholm, Venice, Paris, London, and Amsterdam), but also in the field (whether that of Roman missionaries in the North or that of knowledge espionage far from home), this work aims to reconstruct the original world-making processes enabled by the globe's northern mediations. It also reveals particular politics of knowledge that only relatively separate different domains of learning, blending geography (sacred of profane), history (idem), natural philosophy, the art of navigation, law, as well as astrology or etymology. As an epistemological testing ground for both nature and empire, the global North affords a glimpse of both the hiccups of ‘world englobement' and the techniques of learned and imperial anxiety-relief. While the first part seeks to demonstrate what the dialectic between the Arctic passage and the great transatlantic land bridge stands for, the second part sets the construction of northern knowledge and empires against the backdrop of ice scholarly acclimatization, questioning whether ice, though absent from maps at first glance, might actually be present as a neglected resource for globe-makings. Building upon the logics observed in the earlier sections, while observing them in a Swedish context, this work ultimately re-examines, through the lens of a social and cultural history of knowledge, the first Swedish imperial projection in the 1560s-1570s. Using a peculiar terrestrial globe and the extensive lists inscribed by Erik XIV (r. 1560-1568) in the margins of his prison books after his deposition by his brothers, one can paradoxically observe the Swedish empire in the making. Pushing the dynamics of his reign further, the body of the Swedish king took a global turn, harnessing geographical knowledge as agents of his ‘recharge sacrale', thereby coming into conflict with the nobility's ‘aristocratic constitutionalism'. Thus the Swedish empire would start with a stumble, as Erik XIV was deposed in 1568, after attempting to make his political body coextensive with the new magnitudes of the earth—a deviation from established practices that would set a precedent in subsequent imperial pursuits
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Ferrigno, Amélie. "Le mécénat d’Agostino Chigi : Un homme d’affaires dans la Rome du début du XVIème siècle". Thesis, Aix-Marseille, 2013. http://www.theses.fr/2013AIXM3079.

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Abstract (sommario):
Riche banquier siennois, Agostino Chigi est un homme d’affaires puissant. Il est également célèbre pour les commandes qu’il passe et qui feront bientôt partie des trésors de l’histoire de l’art de la Renaissance. L’actuelle villa Farnésine est alors un modèle d’architecture du début du XVIème siècle. Les fresques qui la décorent exaltent la créativité des peintres qui, après leur passage à la Villa, deviendront les artistes les plus « famosi » de Rome, et la chapelle Chigi, en l’église Santa Maria del Popolo, offre une véritable synthèse du néoplatonisme. Toutes ces commandes participent à la valorisation du banquier et témoignent de son mécénat fastueux. Pourtant, le mécénat d’Agostino Chigi ne se limitait pas aux seules commandes picturales, ou architecturales, et le rayonnement de l’homme d’affaires s’étendait à de nombreux autres secteurs. Quelles sont alors les particularités du mécénat d’un des banquiers les plus puissants de la Rome du début du Cinquecento ? Archétype de la Renaissance, le marchand-banquier est un des principaux artisans de la nouvelle société qui se met en place. Ainsi, de nombreux secteurs en développement éveillent son intérêt. Il investit dans le secteur éditorial à travers le financement d’imprimeries, la marchandisation et la démocratisation des savoirs. Il soutient les scientifiques, se passionne pour l’astrologie, la médecine, la botanique. Le mécénat d’Agostino Chigi nous plonge au cœur d’une société moderne naissante, notre société. Étroitement lié à ses préoccupations d’homme d’affaires moderne, ce mécénat met en lumière le bouleversement des mentalités et les profondes transformations de cette société
As a rich banker from Sienna, Agostino Chigi was a powerful businessman. He was also famous for the works of arts he commissioned and that now count as the treasures of Italian Renaissance art history. The contemporary Villa Farnesina was at the time a model of early sixteenth century architecture and stood as a cultural centre. The frescos that adorn it are an illustration of the creativity and inventiveness of the painters who, after their stay at the Villa, became the most renowned artists in Rome. The Chigi Chapel in Santa Maria del Popolo’s church, displays the epitome of Neoplatonism. All these commissions made the banker an important figure and testify to his sumptuous patronage. Yet, Agostino Chigi’s patronage was not only about commissions for paintings or architectural designs: the businessman’s influence actually spread to many other areas. Then, what were the specificities of the patronage of one of the most powerful bankers in early-Cinquecento Rome? An archetype of the Renaissance period, the merchant-banker was one of the main actors in the establishment of a new society. Thus, many developing sectors caught his attention: he invested in publishing by funding printing houses and encouraging the sale and democratization of knowledge. He also supported scientists and he showed interest for astrology, medicine and botany. Agostino Chigi’s patronage takes us into the heart of a developing modern society: ours. Because it is intimately connected to a modern businessman’s concerns, this patronage brings some light into the important changes in people’s mentalities and the deep transformations of this society
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Montègre, Gilles. "Rome capitale culturelle au siècle des Lumières : présence française et construction des savoirs dans la Ville éternelle au temps de l'ambassade du Cardinal de Bernis (1769-1791)". Grenoble 2, 2006. http://www.theses.fr/2006GRE29023.

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Abstract (sommario):
Située au croisement de l'histoire sociale, de l'histoire urbaine et de l'histoire des pratiques savantes, cette recherche s'inscrit dans un cadre géographique précis, la ville de Rome, tout en embrassant une multiplicité d'acteurs, à savoir les hommes de culture français qui y ont résidé ou séjourné au cours de l'ambassade du cardinal de Bernis, entre 1769 et 1791. Etroitement corrélé avec le renouveau des études menées sur la Rome pontificale et sur les capitales culturelles européennes du XVIe au XIXe siècle, le projet se structure autour de trois objectifs. D'une part, il rend compte de l'activité des médiateurs culturels français présents durablement dans la cité sainte, afin de comprendre en quoi le fait de résider à Rome influençait les pratiques et les échanges intellectuels. D'autre part, il explore les modes de territorialisation des savoirs dans la ville, à travers l'étude des formes institutionnalisées (académies), privatisées (salons) et clandestines (loges maçonniques) de la vie culturelle franco-romaine. Enfin, il s'intéresse aux recherches savantes menées par les Français dans la ville, de l'étude des antiquités à l'histoire naturelle en passant par la médecine ou la théologie. La thèse démontre ainsi en quoi la ville de Rome s'est imposée au cours des années 1770-1780 comme une capitale culturelle de première importance à l'échelle de l’Europe des Lumières, créant les conditions propices à un dialogue entre disciplines et compétences savantes. L'analyse est servie par la mobilisation d'un corpus de sources diversifiées : correspondances et récits de voyageurs, dépêches diplomatiques, archives des paroisses et des institutions culturelles romaines
Located at the crossing of the social history, the urban history and the history of the erudite practices, this research lies within a precise geographical scope, the town of Rome, while embracing a multiplicity of actors, namely the men of French culture who resided or remained in it during the embassy of the cardinal of Bernis, between 1769 and 1791. Closely correlated with the revival of the studies led on pontifical Rome and the European cultural capitals of XVIe to the XIXe century, the project is structured around three objectives. On the one hand, it accounts for the activity of the French cultural mediators durably present in the holy city, in order to understand how the fact of residing in Rome influenced the intellectual practices and exchanges. In the other hand, it explores the modes of territorialisation of the knowledges in the city, through the study of the institutionalized (academies), privatized (salons) and clandestine (maconic lodges) forms of the Franco-Roman cultural life. Lastly, it is interested in the erudite research undertaken by the French in the city, of the study of antiquities to the natural history while passing through medicine or theology. The thesis shows thus in what the town of Rome was essential during years 1770-1780 as a cultural capital of first importance on the scale of Europe of the Lights, creating the conditions favourable to a dialogue between erudite disciplines and competences. The analysis is served by the mobilization of a corpus of diversified sources : correspondences and accounts of travellers, diplomatic dispatches, files of the parishes and the Roman cultural institutions
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Wu, Hui yi. "Traduire la Chine au XVIIIe siècle : les jésuites français traducteurs de textes chinois et la reconfiguration des connaissances européennes sur la Chine (1687-ca. 1740)". Paris 7, 2013. http://www.theses.fr/2013PA070027.

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Abstract (sommario):
Parmi les civilisations que l'Europe rencontre entre le XVIème et le XVIIIème siècle, la Chine occupe une place particulièrement éminente, et les missionnaires jésuites, présents en Chine depuis 1583, ont été les informateurs privilégiés en matière de connaissances européennes sur la Chine. Cette étude s'intéresse aux sources chinoises de ces connaissances, et aux conditions de leur élaboration, à travers les traductions de textes chinois réalisées par une génération de jésuites français actifs en Chine entre 1687 et les années 1740, et qui ont pour la plupart été publiées dans la collection des Lettres édifiantes et curieuses (Paris, 1701-1776) et la Description. . . De l'Empire de la Chine et de la Tartarie chinoise (Paris, 1735). Le Chapitre 1 est consacré à l'apprentissage des langues, tant européennes que chinoises, orales et écrites. La traduction est souvent utilisée comme moyen pédagogique. Le Chapitre 2 s'intéresse au rôle de la traduction dans les controverses qui ont miné les missions catholiques en Chine à cette époque, à savoir la querelle des rites chinois, qui tient essentiellement aux divergences d'interprétations d'autorités textuelles chinoises. Le Chapitre 3 discute d'une traduction qui se revendique d'être un "dialogue" par un "philosophe athée", tandis que le chapitre 4 s'intéresse aux traductions concernant les animaux, plantes, minerais et les "arts". Nous examinerons les contextes de ces traductions, les stratégies d'écriture adoptées par chaque jésuite, et confronterons les traductions aux originaux chinois identifiés. La traduction permettra de réfléchir sur la rencontre entre deux cultures de livres dans toute sa diversité et sa complexité
Among the civilizations Europe had encountered between the 16 th and the 18 th century, China holds a particular place. Jesuit missionaries who entered China in 1583 played a particularly important role in the growth of European knowledge about China. This study focuses on the Chinese sources of this knowledge and the concrete conditions in which it was elaborated, through translations of Chinese texts by one generation of French Jesuits who were active in China between 1687 and the year 1740. Many of these texts were published in the Lettres édifiantes et curieuses (Paris, 1701-1776) and the Description. . . De l'Empire de la Chine et de la Tartarie chinoise (Paris, 1735). The first Chapter focuses on the language learning process, both European and Chinese, oral and written, during which translation often serves as a pedagogical means. The second Chapter concerns the role which translation played in the controversies that undermined the Catholic missions in China at the time, especially the Chinese Rites Controversy. It will be argued that interpretation of Chinese textual authorities was the core issue of this controversy. The third Chapter will focus on one particular translation that claims to be a "dialogue" by an "Atheist philosopher", while the fourth Chapter will turn to others translations related to animals, plants, minerals and "arts". These two chapters examine the context of these translations, the reading and writing strategy adopted by individual Jesuits, and compares the translations to their originals that have been identified. The translation allows us to reflect on the encounter of two cultures of books in its full diversity and complexity
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Vittu, Jean-Pierre. "Le Journal des savants et la République des Lettres, 1665-1714". Paris 1, 1998. http://www.theses.fr/1998PA010537.

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Abstract (sommario):
Cette étude, centrée sur les cinquante premières années du journal des savants a tenté de mesurer la constitution du premier réseau de périodiques savants en Europe, son rôle dans l'échange et la propagation des connaissances, et son établissement comme instance dévaluation des productions littéraires ou scientifiques. Ce travail est fondé tout à la fois sur une analyse du contenu du journal des savants et de quatre-vingt-dix de ses émules, mais aussi sur un examen de la position de la monarchie, sur une reconstitution des réseaux d'information de ces revues fondée sur des correspondances savantes ou érudites, enfin sur une mesure de la réception et du rôle des périodiques à travers leur présence dans les bibliothèques, leur écho dans les correspondances, et aussi les réappropriations de leur contenu dans l'écriture privée ou dans l’édition. Les deux premières parties étudient la mise en place du journal parisien, d'abord sous la direction de Denis de Sallo, puis dès 1666 sous celle de son collaborateur, l'abbé Galloys. L'hebdomadaire de deux cahiers in-quarto offrant des extraits de livres et des mémoires savants qu'ils fondèrent connut un net succès dont témoignent la rapide réalisation de correspondances. Mais ces rédacteurs rencontrèrent aussi les critiques de certaines lettres refusant cette forme nouvelle d'appréciation de leurs travaux, et d'autre part ils subirent les censures du pouvoir pour lesquelles certaines œuvres érudites présentaient un caractère politique. Les rédacteurs qui se succédèrent jusqu'en 1714 durent tenir compte de telles difficultés, et les trois parties suivantes montrent comment se stabilisa la formule de la revue, s'étendit son audience, se multiplièrent ses contrefaçons et ses émules en Europe, enfin comment le journal des savants acquit, des 1700, un caractère officiel avec la constitution d'un bureau de rédacteurs pensionnes par la monarchie. L'étude s'achève par une analyse des formes éditoriales de l'article et du journal et par une étude du classement de la revue qui témoigne de sa réception et de son usage dans des horizons d'attente intellectuelle différents
The purpose of this thesis is to study the content and the role of the first scientific periodical, the Paris Journal des savants, founded in 1665
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Tavares, Rui. "Le censeur éclairé (Portugal 1768-1777)". Paris, EHESS, 2014. http://www.theses.fr/2014EHES0015.

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Abstract (sommario):
La censure sur laquelle se penche cette dissertation prit corps dans une institution fondée en 1768, la Real Mesa Censôria, qui mit fin aux droits de la censure de l'inquisition et des évêques, abolit la juridiction au Portugal de l'Index Romain des livres interdits et expurgés, et chargea un groupe restreint de censeurs sous contrat et payés par l'état d'examiner tous les textes en papier manuscrits et imprimés. Ces censeurs, que nous suivrons jusqu'à la fin du règne de José I et du mandat de Pombal comme ministre du roi en 1777, clôturaient le plus souvent leurs rapports avec la démonstration que le texte en analyse était « digne » ou « indigne de la lumière publique ». Il s'agit d'une expression extrêmement révélatrice ; elle porte en elle une charge historique importante, qui met enjeu ce trinôme "dignité", "lumières" et "publique" si paradoxale dans la plume d'un censeur, en utilisant des mots les plus significatifs que le XVIIIème siècle ait légué à la postérité. Ce qui nous pose une question plutôt dérangeante : nous avons pris l'habitude de penser les censeurs comme étant les grands ennemis des Lumières et voilà que nous les rencontrons comme ses co-bâtisseurs ? L'histoire de la censure est aussi l'histoire des régimes de pouvoir et de connaissance. La censure dépend, en grande mesure, non seulement du pouvoir, mais aussi de la connaissance ; elle partage avec le savoir de son époque des informations, des concepts, des formes mentales, des pratiques intellectuelles ; serait-il alors possible que la censure du XVIIIème siècle partage avec les Lumières des éléments tellement centraux que l'on pourrait la considérer davantage comme une censure éclairée que comme une censure anti-Lumières ?
The kind of censorship that is the focus of this dissertation took shape in an institution founded in 1768 in Portugal, the Real Mesa censoria, with which the rights of censorship of the Inquisition and the bishops were abolished and the jurisdiction of the Roman Index of banned and purged books terminated. A small group of censors, hired and paid by the state, was charged to examine ail the texts either manuscript or printed, in the kingdom and its dominions. These censors, whom we will follow until the end of the reign of José I and the of the mandate of the Marquis de Pomba as minister of the king in 1777, usually finished their reports with a démonstration of whether the text in analysis was "worthy" [digno] or "unworthy of the public Light". This is an extremely revealing expression as it carries an important historié signifîcance, which involves the triad "dignity", "Enlightenment" and "public", so paradoxical in the pen of a censor, using the more significant words that the eighteenth century bequeathed to posterity. Which warrants a rather disturbing question: we have become accustomed to think that the censors were the greatest enemies of the Enlightenment and now we meet them also as its builders ? The history of censorship is also the history of régimes of power and knowledge. Censorship dépends to a large extent, not only on power, but also on knowledge, sharing with the knowledge of its time information, concepts, mental forms and intellectual practices. Would it be possible that the censorship of the eighteenth century has shared with the Enlightenment so many key elements that it could be regarded more as an enlightened censorship than as an anti-Enlightenment censorship ?
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Gonzalez, Salazar Nancy. "Circulation des savoirs et des pratiques médicaux entre la France et le Rio de la Plata (1828 - 1886)". Thesis, Paris, EHESS, 2017. http://www.theses.fr/2017EHES0093.

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Abstract (sommario):
Facteur clé du développement des nations, la médecine et son organisation se trouvèrent au centre des préoccupations des autorités politiques qui se sont succédées en Argentine et en Uruguay dès que ces territoires ont été conquis par l’Espagne. Pourtant, une fois l'indépendance acquise, des crises économiques répétées et une situation politique chaotique ont fait que, dans les deux rives de la Plata, la médecine a peiné à s’éveiller et à se consolider. Tandis qu’en Uruguay l’érection de la faculté de médecine ne fût possible qu’en 1875, celle de Buenos Aires, érigée en 1821, fonctionna de manière chancelante jusqu’en 1852, à cause de la situation politique troublée que connut le pays avec la dictature de Juan Manuel de Rosas. De ce fait, bon nombre d'Uruguayens et Argentins sont partis entamer ou parfaire leur formation médicale à la Faculté de Paris. En même temps, et en dépit des agitations politiques et de l’instabilité économique de la région, de nombreux médecins français ont, dès la première moitié du 19ème siècle, décidé de s’établir dans les rives de la Plata. Ce travail se penche sur les liens que les médecins séjournant de part et d’autre de l’Atlantique entre 1828 et 1886 ont noués, entretenus et renforcés au fil du siècle. Cette dynamique circulatoire des savoirs, des pratiques et des techniques médicaux, énergique et permanente, bénéficia à la médecine de part et d’autre de l’Atlantique. Cette circulation est abordée, en particulier, par l’analyse de la gestion effectuée, par le corps médical de Montevideo et Buenos Aires, des épidémies de choléra et de fièvre jaune lorsqu’elles firent irruption dans ces villes et des connaissances qui, à leur sujet, ont circulé dans la région avant et après leur apparition. Nous étudions également l’accueil accordé par les membres des sphères médicales française et rioplatense aux discours liés à la crémation des cadavres - système qui provoqua l’engouement du corps médical européen au tournant des années 1860 - et à sa mise en place. Nous montrons que la médecine de part et d’autre de l’Atlantique s’est vue enrichie par le contact et les échanges réciproques que ces médecins ont entretenus. En effet, si la médecine de la Plata a connu dans une grande mesure son éveil par la contribution des acteurs médicaux français qui ont amené dans la région leurs connaissances et leur savoir-faire, la médecine française a été, à son tour, alimentée par le séjour des médecins de l’Hexagone dans les rives de la Plata. Indépendamment de la durée de leurs séjours dans la région, les diverses explorations qu’ils ont effectuées et leur confrontation directe à la pathologie locale ont permis aux médecins français d'accroître leurs connaissances et d’acquérir une expérience singulière. Cette expérience a eu un impact significatif, non seulement dans leur pratique quotidienne, mais aussi dans l’adoption de pratiques innovantes indispensables au progrès médical français dans le dernier quart du 19ème siècle
As a key factor in the development of nations, medicine and its organization were at the center of the preoccupations of the political authorities who succeeded one another in Argentina and Uruguay as soon as these territories were conquered by Spain. Yet, once independence has been achieved, repeated economic crises and a chaotic political situation have meant that medicine on both sides of the Plata has struggled to awaken and consolidate. While in Uruguay the erection of a faculty of medicine was not possible until 1875, that of Buenos Aires, erected in 1821, functioned in an intermittent manner until 1852, because of the troubled political situation in the country with the Juan Manuel de Rosas's dictatorship. As a result, many Uruguayans and Argentines have gone to begin or perfect their medical training at the Faculty of Paris. At the same time, in spite of the political unrest and the economic instability of the region, many French doctors decided to establish themselves on the banks of the Plata in the first half of the 19th century.This work examines the links that physicians living on both sides of the Atlantic between 1828 and 1886 developed, maintained and strengthened over the course of the century. This dynamic circulation of knowledge and medical techniques, energetic and permanent, benefited the medicine on both sides of the Atlantic. More specifically, we approach these exchanges by an analysis of the management carried out by the medical corps of Montevideo and Buenos Aires of the epidemics of cholera and yellow fever when they broke out in these towns and of the knowledge that circulated in the area before and after their appearance. We also study the reception given by the members of the French and Rioplatense medical spheres to the speeches related to the crematist system and its establishment, a system that excited the European medical profession at the turn of the 1860s. We show that medicine on both sides of the Atlantic has been enriched by the contact and reciprocal exchanges that these doctors have maintained. Indeed, while Plata's medicine has to a large extent been awakened by the contribution of the French medical actors who brought their knowledge and know-how to the region, French medicine was in turn fueled by the stay of doctors of the Hexagon in the banks of the Plata. Regardless of the length of their stay in the region, the various explorations they have carried out and their direct confrontation with the local pathology have allowed French physicians to increase their knowledge and acquire a singular experience. This experience had a significant impact, not only in their daily practice, but also in the adoption of innovative practices essential to French medical progress in the last quarter of the 19th century
Factor esencial para el desarrollo de las naciones, la medicina y su organización se encontraron en el centro de las preocupaciones de las autoridades políticas del Río de la Plata (Argentina y Uruguay) desde el momento mismo de la conquista española. Sin embargo, una vez adquirida la Independencia, las crisis éconómicas y la inestabilidad política fueron permanentes en los dos países, En consecuencia, el despliegue y la consolidación de la medicina de parte y parte de la Plata se vieron fuertemente comprometidos. Mientras que en Uruguay la facultad de medicina fue creada apenas en 1875, la facultad de Buenos Aires, instalada desde 1821, funcionó de manera irregular hasta 1852, puesto que el régimen dictatorial de Juan Manuel de Rosas entorpeció la enseñanza y puso freno al movimiento científico establecido desde principios de siglo 19. Fue por eso que, con el objetivo de formarse o especializarse en la facultad de medicina de París, numerosos uruguayos y argentinos viajaron a Francia. Paralelamente, y a pesar de las múltiples agitaciones políticas y de la economía vacilante de la Plata, varios médicos franceses decidieron establecerse en la región desde la primera mitad del siglo. Este trabajo explora las relaciones establecidas y consolidadas con el paso del tiempo entre los médicos y estudiantes en medicina rioplatenses y franceses que viajaban entre el viejo continente y la Plata, y que dieron paso a la instauración de una circulación énergica y permanente de saberes, de prácticas y de técnicas médicas, que benefició tanto a la medicina rioplatense como a la medicina francesa. Dicha circulación es ejemplificada a través de la actuación concreta de los cuerpos médicos de Buenos Aires y Montevideo en los momentos en que el cólera y la fiebre amarilla irrumpieron en estas ciudades de forma epidémica, asi como también de la circulación de saberes que, sobre estas enfermedades exóticas, tuvo lugar en la región antes y después de su aparición en la Plata. Asimismo, se analiza la recepción de los discursos y la puesta en práctica de la cremación de cadáveres – sistema que provocó el entusiasmo del cuerpo médico europeo desde finales de los años 1860 – en las esferas médicas francesa y rioplatense. Se espera así recalcar que la medicina de parte y parte del Atlántico se vió enriquecida por el contacto y los intercambios científicos enfectuados entre los médicos franceses y rioplatenses. En efecto, si los médicos franceses, llevando sus conocimientos y su experiencia a la Plata, jugaron un rol clave y estimularon el desarrollo de la medicina rioplatense, la medicina francesa fue, a su turno, alimentada por la estadía de los médicos franceses en la región. En efecto, sin importar el tiempo pasado en la Plata, las múltiples exploraciones geográficas y la confrontación directa avec la patología local enriquecieron los conocimentos de esos médicos y les aportaron una experiencia singular cuyo impacto, altamente significativo en el ejercicio cotidiano de su profesión, repercutió igualmente en el desarrollo de la médicina nacional, estimulando la adopción de prácticas innovantes indispensables al progreso médico francés en el último cuarto del siglo 19
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Klein, Boris. "La transmission des savoirs au sein des universités luthériennes germaniques à l’époque de la confessionnalisation : le cas de Helmstedt : XVI e - XVII e siècles". Thesis, Lyon 2, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO20070.

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Abstract (sommario):
Les recherches portent sur la transmission des savoirs au sein des universités allemandes à l’époque moderne : il s’agit d’une tentative pour comprendre la manière dont le modèle universitaire germanique, dans le monde luthérien, a emprunté une voie spécifique au moment décisif de la confessionnalisation et de la territorialisation, c’est-à-dire à l’heure où les fractures confessionnelles s’enracinent dans la durée, tandis que la Guerre de Trente ans et l’humanisme ont bouleversé les conditions de la pratique savante. L’étude entend examiner l’évolution des savoirs et de leur transmission en lien avec le contexte social : elle analyse l’évolution des disciplines dans le cadre des chaires des facultés, mais aussi les pratiques des groupes concernés. Parmi les nombreuses universités allemandes de l’époque, celle de Helmstedt retient plus spécialement l’attention. Grâce aux catalogues de cours et aux comptes-rendus manuscrits des professeurs, l’université située dans le duché de Brunswick offre la possibilité de réconcilier histoire des sciences, politique et sociologie
This research is about the transmission of knowledges within german universities in the early modern period : it attempts to understand the way the german academic model followed a specific path, in the lutheran world, in the decisive moment of confessionalization and territorialization, when confessional dislocation took root and the Thirty Year’s War and humanism turned the scholarly practice conditions upside down. This study intends to examine the evolution of knowledges and its transmission in connection with the social context : it analyzes the evolution of the disciplines within the framework of faculty chairs, but also the practices of the groups concerned by this. Among the many german universities of this period, Helmstedt commands attention. Thanks to class catalogues and handwritten accounts by the teachers, the university located in the Duchy of Brunswick allows the possibility to reconcile the history of sciences with politics and sociology
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Pouspin, Marion. "Les pièces gothiques en langue française (XVe-XVIe siècles) : un nouveau média entre tradition et modernité : de la production à la réception". Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0024.

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Abstract (sommario):
La recherche dont les résultats sont exposés dans ce mémoire a pour ambition de retracer l’histoire complète, dans le temps et dans l’espace, de ce nouveau média qu’est la pièce gothique. L’histoire totale de ces petits cahiers imprimés en lettres gothiques dès le dernier tiers du XVe siècle et tout au long du XVIe siècle montre combien ces livrets constituent des agents privilégiés de la transformation des rapports au pouvoir et de l’évolution de la culture à l’aube de la première modernité. Avec les pièces gothiques dont plus de 2 200 ont pu être recensées, naît un type de livre résolument nouveau. Précurseurs du genre des « nouvelles » (politiques, militaires et prodigieuses) et du « livre populaire », elles disséminent un éventail de petits textes en langue vernaculaire, dont elles permettent une circulation à une échelle inédite. Lancées par des éditeurs-imprimeurs pour s’adapter aux nouveaux mécanismes de production et de diffusion du livre que l’imprimerie a induits, ces brochures apparaissent comme le signe d’une appropriation et d’une adaptation de cette technologie de communication sociale qu’est le livre imprimé aux audaces et nécessités éditoriales et aux nouveaux besoins culturels. Au-delà des savoirs qu’elles divulguent, elles constituent en fait des vecteurs de normes et de valeurs qui concourent à façonner l’opinion, l’âme et le comportement de leurs lecteurs (et auditeurs). Elles contribuent ainsi au développement et au fonctionnement de deux structures indispensables et complémentaires à l’État moderne : celle de la légitimation idéologique et celle de l’opinion
This research gives an account of the history of the « pièces gothiques ». By focusing on the production of these means of thin French black-letter printed brochures from the 1470s to the end of the sixteenth century, it is shown that these booklets played a special role in the transformation of the relationship between their readers and the authorities, and in the evolution of culture during the Renaissance. The « pièces gothiques » (over 2 200 are known) were a new kind of inexpensive book for a large audience, and were spread in the form of a series of small texts printed in French, heralding the new genres of « newspaper » and « popular book ». They were produced by some editors who adapted their publication to the news mechanisms of production and distribution of books then being seen following the invention of the printing press. The « pièces gothiques » were a sign of the appropriation and adaptation of this new technology of social communication (i. E. , the printed book) to editorial audacity and necessity, as well as to new cultural needs. Apart from the spread of information, they also tended to inculcate some of the norms and values that shaped the opinions and behaviour of their readers (or listeners). These texts therefore contributed to the development and functioning of two essential and complementary structures of the modern state: ideological legitimization and opinion
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