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Articoli di riviste sul tema "Droit romain – Sources"

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Piattelli, Daniela. "Zedaqà: Pursuit of Justice and the Instrument of ‘Ius Talionis’". Israel Law Review 29, n. 1-2 (1995): 65–78. http://dx.doi.org/10.1017/s0021223700014540.

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Abstract (sommario):
Much has been written on the law of retaliation, both by the specialists who studied the sources of the Ancient Near East that are different from Israel and by those who made Israel the subject of specific studies.Among those who may be numbered in the first group, we shall quote Cardascia. Among his most recent studies connected with the subject considered, we shall mention: “Réparation et peine dans les droits cunéiformes et le droit romain”, in La responsabilité à travers les âges, ed. par M. Boulet-Santel, (Paris, 1989) 1–45; “La peine dans les droits cunéiformes”, in (1991) 55 Rec. de la Société J. Bodin 37–49. But the most incisive study, on which we shall dwell at length, is: “La place du talion dans l'histoire du droit pénal à la lumière des droits du Proche-Orient ancien”, in Mélanges J. Dauvillier (Toulouse, 1979) 169–183.
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Vanderlinden, Jacques. "Qu’est-ce qu’un code ?" Les Cahiers de droit 46, n. 1-2 (12 aprile 2005): 29–51. http://dx.doi.org/10.7202/043827ar.

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Abstract (sommario):
Historiquement, avant 1804, le code se présente sous une forme double : recueil de sources formelles de droit, le plus souvent de législation, d’une part, fusion de l’ensemble des sources du droit en un texte nouveau consacré à une branche du droit, d’autre part. Ce n’est qu’aux XVIe et XVII e siècles que la seconde acception se manifeste en Europe occidentale, les siècles antérieurs suivant l’exemple romain du recueil de sources. Il faut attendre le XVIII e siècle, en Bavière pour que soient promulgués sous le nom latin de codex trois codes (civil, pénal et de procédure), préfigurations dans la forme et le nom des codes napoléoniens. Ceux-ci déclencheront, par mimétisme volontaire ou forcé, le mouvement de codification du XIXe siècle, sans que s’interrompe pour autant la confection de codes de sources.
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3

Savard, Anne-Marie. "La nature des fictions juridiques au sein du nouveau mode de filiation unisexuée au Québec; un retour aux sources ?" Les Cahiers de droit 47, n. 2 (12 aprile 2005): 377–405. http://dx.doi.org/10.7202/043889ar.

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Abstract (sommario):
Relativement immuable et plutôt fidèle à ses origines pendant plusieurs décennies, le droit de la filiation a subi d’énormes bouleversements depuis quelques années, particulièrement au Québec. Par exemple, contrairement au modèle de la reproduction bisexuée y ayant toujours existé, il est désormais possible, depuis juin 2002, pour un couple de même sexe, de se voir reconnaître un lien de filiation avec un enfant, par l’entremise de l’adoption, ou encore, dans le cas de deux femmes, à la suite du recours à la procréation assistée. Malgré ces changements profonds dans la façon dont le droit « aborde » la nature et le rôle du lien filial, la littérature juridique a surtout abordé le thème du droit de la filiation sous des angles positivistes. L’objet du présent article est d’apporter un éclairage nouveau à cette branche du droit en replaçant l’institution de la filiation dans une perspective historique axée sur l’étude de la fiction juridique. Plus particulièrement, l’auteure se demande si les fictions sur lesquelles repose ce nouveau lien filial unisexué rejoint les racines traditionnelles, romaines ou médiévales, de la fiction juridique ou encore s’en éloigne. Après avoir défini les principaux termes de son questionnement juridique dans la partie introductive, l’auteure divise son article en deux parties principales. Dans un premier temps, elle décrit brièvement l’évolution de la notion de fiction juridique au sein du droit d’inspiration civiliste, d’abord en droit romain et ensuite en droit médiéval, autant civil que canonique. Dans un second temps, elle démontre comment les fictions qui se trouvent dans la nouvelle loi québécoise rejoignent davantage, avec certaines réserves, les racines romaines de la fiction juridique, fiction dénuée de limites, ce qui représente une rupture par rapport au modèle de la fiction d’influence médiévale, ayant régné jusqu’à tout récemment.
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Bady, Clément. "Les immunités accordées aux philosophes dans l’Empire romain". Mélanges de l'École française de Rome. Antiquité 136-1 (2024): 231–58. http://dx.doi.org/10.4000/12rxs.

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Abstract (sommario):
Le droit romain a rassemblé une série de mesures relatives aux exemptions fiscales concédées à des intellectuels et professionnels du savoir, reconnus d’utilité publique, comme les médecins ou les rhéteurs. Or, dans la législation impériale et les écrits de juristes qui se rapportent à l’immunitas, les philosophes font figure d’exception à différents niveaux. En confrontant cette documentation juridique aux sources littéraires et épigraphiques, il s’agit de comprendre les logiques d’attribution et d’encadrement de ces exemptions, qu’elles soient individuelles ou collectives, et la manière dont les autorités impériales et locales concevaient l’identité et l’activité du philosophe. La place à part qu’occupait la philosophie dans les représentations et l’éducation de l’aristocratie a conduit presque mécaniquement à particulariser le traitement fiscal des philosophes aussi bien dans les cités que dans la ville de Rome.
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Cornu-Thénard, Nicolas. "Rudolf von Jhering : Méthode de l’histoire du droit". Tribonien N° 6, n. 1 (11 marzo 2024): 112–50. http://dx.doi.org/10.3917/trib.006.0112.

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Abstract (sommario):
Le texte dont Tribonien propose la lecture est extrait du fameux ouvrage de Jhering, L’esprit du droit romain dans les diverses phases de son développemen t. Publié en quatre volumes entre 1852 et 1865, il a fait l’objet d’une traduction en français par O. de Meulenaere, qui n’a malheureusement plus été rééditée depuis 1880 1 ; les éditions de la Société de législation comparée s’efforceront bientôt de rendre ce texte à nouveau plus accessible. Bien qu’il soit resté inachevé, L’esprit du droit romain est en effet un livre majeur, qui a fait prendre un tournant saisissant à la romanistique et propose aujourd’hui encore l’une des introductions les plus suggestives à l’étude du droit romain. Le ressort de cette pensée est mis en lumière dans le prologue dont certains extraits sont reproduits ici, à titre suggestif. Jhering y expose les considérations méthodologiques qui conditionnent son travail, les unes tenant à la nature du droit et les autres à la notion d’histoire. Une précaution commune les anime : le refus de réduire le droit à ses sources politiques. Le droit n’est pas « une agrégation extérieure de dispositions arbitraires », et la vigueur même d’un principe juridique ne dépend pas des lois ; la multiplication de celles-ci est d’ailleurs ouvertement dénoncée par l’auteur comme un signe de faiblesse, qui révèle « l’impuissance de la force digestive intellectuelle ». On ne saurait s’en tenir à la formulation super-ficielle que donne un peuple de ses règles juridiques : elle exprime, non pas le droit lui-même, mais seulement la conscience que peuvent en avoir ceux qui lui sont assujettis. L’analyse scientifique doit approfondir cette impression imparfaite, pour mettre en lumière la logique essentielle de ces règles ; il en résultera un langage fondamental, un « alphabet du droit », qui permet d’étendre la matière juridique de manière autonome, en tirant profit de la fécondité des notions qui la constituent 2 . L’analyse devra alors être poussée plus loin encore, afin de saisir ce qui détermine l’unité d’un tel système à une époque donnée. Il faudra apprécier les forces qui le conditionnent : en discerner l’esprit. Il y a lieu pour cela de solliciter l’histoire. Elle permet de distinguer, en effet, les événements essentiels de ceux qui ne le sont pas, et de révéler ce faisant, tout ensemble, l’esprit d’un peuple et d’une époque. Un tel esprit est difficilement saisissable au présent : comme le dit Jhering, la postérité seule a le pouvoir de résoudre l’énigme soulevée par chaque époque. Pour y parvenir, le juriste historien doit renoncer aussi bien au projet servile de collationner l’ensemble des lois à la manière d’un copiste, qu’à l’ambition partiale d’en choisir arbitrairement certaines en instrumentalisant l’histoire à des fins idéologiques. Il doit renoncer aussi à la prétention illusoire de représenter exactement les institutions du passé : il sera toujours impossible en effet de restituer l’ensemble des conditions réelles de formation d’un droit, indispensables pour le comprendre pleinement. « Chaque époque doit être un original » et il convient donc d’assumer les interrogations du présent pour interroger un droit du passé, afin de découvrir de celui-ci les faces les plus diverses, révélées progressivement par les études successives. L’approche suppose une analyse affranchie de la chronologie événementielle, privilégiant le temps long, délié de ses déterminants strictement politiques. Il en résultera un ordre temporel propre au droit étudié : une chronologie autonome et interne, à l’image de celle que la géologie révèle de la surface terrestre. Sa connaissance permettra alors aux juristes, dans la formulation des règles juridiques, de préserver au mieux la force morale que le droit a vocation d’exercer sur les âmes. L’étude de l’esprit du droit romain aura, dans cette perspective, une vertu à la fois instructive et édifiante.
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Bougard, François. "Rationalité et irrationalité des procédures autour de l’an mil : le duel judiciaire en Italie". Histoire de la justice N° 15, n. 1 (1 marzo 2002): 93–122. http://dx.doi.org/10.3917/rhj.015.0093.

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Abstract (sommario):
La preuve par le duel judiciaire se répand en Italie aux X e -XI e siècles pour les causes civiles. En 967, une loi de l’empereur Otton I er favorise cette évolution, en offrant la possibilité de contre-attaquer un serment par le duel en cas de litiges fonciers et mobiliers. Il s’agit de prévenir le parjure et d’exalter la sacralité du serment qui s’est banalisé, du fait même de la ritualisation de l’enquête carolingienne. L’usage du duel ne s’oppose pas à celui du droit romain, comme le montrent de nombreux exemples empruntés aux monastères italiens d’Italie occidentale, ce qui laisse à penser que les praticiens savent combiner plusieurs droits pour régler les conflits sans s’attacher à d’éventuelles contradictions. Il faut attendre le milieu du XI e siècle pour que s’expriment les premières manifestations d’hostilité à l’égard de ce mode de preuve en matière civile, tandis qu’il continue d’être reconnu en matière criminelle. À ce moment, les puissants en revendiquent aussi l’usage exclusif et l’intègrent à la culture nobiliaire. Il n’est pas sûr que les duels aient tous été effectivement livrés ; dans de nombreux cas, les récits de duels livrés n’ont pas été conservés et seule subsiste la mémoire du droit pour lequel ils ont servi de preuve. L’interprétation difficile des sources oblige l’historien à la prudence, mais il peut conclure qu’il existe bien un moment européen du duel, après celui de l’enquête carolingienne, et que ce mode de preuve est un outil du droit qui ne relève ni de l’irrationnel ni d’une dégradation de la justice publique.
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Rodríguez Garrido, Jacobo. "Non enim iam servi nostri principis amici . Trajano y las reglas de la quaestio servi". Dialogues d'histoire ancienne 49/2, n. 2 (12 dicembre 2023): 167–93. http://dx.doi.org/10.3917/dha.492.0167.

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Abstract (sommario):
Dans la procédure médico-légale typique de la Rome du Principat et du droit romain dit classique, le recours à l’interrogatoire par la torture est intrinsèquement lié au monde servile, puisque ce n’est que par le tormentum que le témoignage de l’esclave était considéré comme valable. Cette affirmation trouve une réserve importante dans la quaestio servi contra dominos , c’est-à-dire l’utilisation du témoignage de l’esclave contre les intérêts de son propre maître. Cet article analyse la législation impériale de Trajan concernant le tormentum servi et la nuance sur la base du discours central du Panégyrique que Pline le Jeune consacre à cet empereur où il cherche à souligner les différences fondamentales entre l’empereur hispanique et son prédécesseur Domitien, ce qui n’est pas toujours étayé par des sources juridiques.
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Barbier, Jean-Yves. "L’aqueduc de Fontanières : un cinquième aqueduc romain à Lyon ?" Gallia 80, n. 1 (2023): 111–23. http://dx.doi.org/10.4000/11ucw.

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Abstract (sommario):
Des vestiges d’aqueduc encore signalés à la fin du xixe s. sur le versant oriental des collines au sud de Fourvière figuraient sur les cartes du réseau hydraulique lyonnais avant d’être curieusement écartés des travaux de synthèse du xxe s., focalisés sur les quatre grands et prestigieux aqueducs exploitant, dans le Rhône et jusque dans la Loire, les ressources en eau distantes du mont d’Or ou des marges orientales du Massif central. Ils seraient tombés dans l’oubli si la reconnaissance fortuite d’un tronçon de canal dans la cave d’une maison à La Mulatière (Métropole de Lyon) n’avait pas relancé recherches en archives et prospections visuelles sur le terrain, dont les résultats inédits posent trois jalons sur le tracé d’un cinquième aqueduc lyonnais. De bien moindre envergure, mais de gabarit appréciable, il drainait vers le nord, en direction du vallon de Choulans, des sources proches, disponibles au flanc des formations géologiques complexes qui dominent la Saône au sud de Lyon/Lugdunum. Ces ressources complémentaires, conduites à une altitude de 223 m trop basse pour atteindre le sommet de la colonie, pouvaient desservir des étages topographiques intermédiaires de son suburbium au droit de l’ancien confluent du Rhône et de la Saône. Cette tentative de restitution partielle du tracé de l’aqueduc de Fontanières constitue une aide à la protection des vestiges et ouvre le champ aux opérations archéologiques qui pourraient être prescrites pour en améliorer l’étude.
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Reichert, Stephie. "Vivre selon son ethos : Le cas du prince en tant que magister legum , de César à Néron". Revue historique 709, n. 1 (28 marzo 2024): 95–120. http://dx.doi.org/10.3917/rhis.241.0095.

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Abstract (sommario):
L’article analyse le rapport étroit entre la loi et le pouvoir des princes en tant que magister legum , de César à Néron. L’analyse porte sur la dualité entre le bon prince, démontrant ses vertus grâce à des décisions sages, et le mauvais prince, terrorisant son peuple. César est l’exemple type du bonus princeps , il se laisse guider par sa bienveillance et son indulgence et est considéré par les sources littéraires comme iustus , même s’il agit à l’encontre de la loi. Il est clair qu’Auguste doit suivre le modèle du bon prince qui accomplit les vertus prédéterminées par son père adoptif. L’article s’intéresse surtout au cas d’Auguste qui, par son comportement, influence le verdict d’un procès. Face à l’ auctoritas du prince, beaucoup d’accusés abandonnent et nombre d’entre eux commettent le suicide, car tomber en disgrâce, vivre une renuntiatio amicitiae de la part du prince, a des conséquences considérables dans la société romaine. L’ auctoritas du prince juste n’a pas de limites. Tibère et Caligula sont des exemples de mali principes. Claude est condamné dans la lecture satirique de Sénèque parce qu’il n’a aucune considération ni pour la justice, ni pour l’équité, ni pour tout procès de droit commun. Néron, le dernier empereur julio-claudien, constitue le premier exemple attesté largement de l’effacement de la mémoire d’un prince-tyran tandis que Rome sombre dans une période de bouleversements d’une durée d’un an et demi (68-69), pendant laquelle quatre empereurs ont régné sur l’Empire romain.
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Lücke, H. K. "Simultaneity and Successiveness in Contracting". European Review of Private Law 15, Issue 1 (1 febbraio 2007): 27–57. http://dx.doi.org/10.54648/erpl2007002.

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Abstract (sommario):
The Principles of European Contract Law (the Lando Principles) assume that there are ways of contracting which ‘cannot be analysed into offer and acceptance’ (Article 2:211), but suggest no model which would explain how such contracting occurs. The Restatement of the Law Second, Contracts 2d suffers from a similar deficiency (§ 22 (2)). Without such an explanation, attempts to provide comprehensive rules to govern the conclusion of contracts are bound to fail. Legislation in German-speaking countries, commencing with the Prussian Code of 1794 and culminating in the German Civil Code, has opted for a supposedly universal model of successiveness (promise/acceptance, offer/acceptance). It is now universally understood that this has failed. It has also obliterated the analytically crucial distinction between (1) agreeing on a set of terms, and (2) contracting to be bound by such terms. The scholars of the ius commune followed their interpretation of the Roman sources: their contracting model was based on simultaneous assent. This promising approach was condemned to irrelevance by legislative intervention. Being unencumbered by legislation, the common law was able to develop a version of the simultaneity model which is worthy of further articulation. It is too superficial to seek to explain these different developments simply in terms of the common law doctrine of consideration. The article deals only with bilateral contracts. The history of the subject is examined, not for its own sake, but because of the assistance it provides in developing sound principles for the future. Résumé:Les principes du droit Européen du contrat (les Principes de Lando) considèrent que parfois la formation du contrat ne peut pas s’analyser en une offre et une acceptation (Article 2:211), mais ne fournissent pas de modèle qui expliquerait comment ces contrats sont formés. Le ?restatement of Law Second, Contracts 2d’ est affecté du même défaut (§ 22 (2)). Sans cette explication, toute tentative d?établir des règles universelles sur la formation du contrat est vouée à l?échec. La législation dans les pays germanophones, en commençant par le Code Prusse de 1794 et parachevée par le Code Civil Allemand, a choisi un modèle successif supposé universel (promesse/acceptation, offre/acceptation). Il est maintenant unanimement reconnu que ceci a été un échec. Cette approche a également effacé la distinction analytique fondamentale existant entre (1) l’acceptation des termes du contrat, et (2) l’accord d?être obligé par ces termes. Les partisans du ius commune ont suivi leur interprétation du droit romain: leur modèle contractuel se fonde sur l’existence d’un accord simultané. Cette approche prometteuse a été condamnée à la caducité par l?intervention du législateur. N’étant pas soumise à législation, cette partie de la common law a été en mesure de développer une version du modèle de simultanéité qui n?est pas sans intérêt. Il est trop superficiel de chercher à expliquer ces différents développements sur la seule base de la doctrine de la ’consideration’ du droit de common law. Cet article ne traite que des
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Normand, Sylvio, e Donald Fyson. "LE DROIT ROMAIN COMME SOURCE DU CODE CIVIL DU BAS CANADA". Revue du notariat 103, n. 1 (2001): 87. http://dx.doi.org/10.7202/1046093ar.

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Stouder, Ghislaine. "Pulsare legatum : de la blessure diplomatique à la blessure aristocratique". Dialogues d'histoire ancienne S 28, Supplément28 (24 maggio 2024): 105–19. http://dx.doi.org/10.3917/dha.hs28.0105.

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Abstract (sommario):
Résumé Résumé : L’expression pulsare legatum que l’on retrouve dans les sources juridiques pour désigner le tort, contraire au droit des gens, subi par un légat, renvoie, dans ces mêmes sources juridiques, si l’on se réfère aux autres emplois du terme pulsare , à une blessure physique aussi légère soit-elle. Or, dans les sources historiques, et quand ce sont des légats romains qui ont subi un préjudice, la blessure n’est plus seulement physique, mais peut être orale ou porter sur le vêtement. L’agression correspond alors à la définition de l’ iniuria atrox dont ne relevait normalement pas le légat, mais seulement le magistrat, le patron ou le paterfamilias , entraînant ainsi un glissement de qualification de la blessure diplomatique en blessure aristocratique, symptomatique des conceptions des Romains de la diplomatie et de leur position à l’égard des autres peuples.
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Birrer, Larissa. "“Quare, messire, me audite!” Le choix du chameau comme légat papal dans leRoman de Renart". Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 26 (31 dicembre 2014): 14–32. http://dx.doi.org/10.1075/rein.26.02bir.

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Abstract (sommario):
Musart est un des deux chameaux dans le Roman de Renart, le légat pontifical auquel Noble demande conseil lorsqueYsengrin plaide justice dans la branche Va. Nous voulons montrer, à la lumière des sources, que dans l’imaginaire du XIIe siècle le chameau était préposé à ce rôle. Un panorama des sources montrera que le chameau était peu connu, sinon par les fables et les textes religieux. Le chameau, incarnant l’ambivalence entre le matériel et le céleste, peut représenter à la fois l’humilité du Christ et l’arrogance des Pharisiens. De plus, la tradition scientifique décrit ce camélidé, qui incarne le légat papal et devrait donc représenter le droit de l’Église, comme un animal sexuellement virulent. Sur fond de toutes ces ambivalences, le poète du Roman de Renart a beau jeu de tourner le légat papal en dérision. Nous montrerons qu’il use pour cela de trois moyens: le discours (du point de vue linguistique et juridique), le choix de l’animal qui l’incarne, et son nom (Musart), lourd de signification.
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Brissaud, Laurence, e Jean-Luc Prisset. "L’alimentation hydraulique de Saint-Romain-en-Gal (Rhône), quartier de Vienne antique (Isère)". Gallia 80, n. 1 (2023): 443–60. http://dx.doi.org/10.4000/11udn.

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Abstract (sommario):
La distribution de l’eau à Vienne/Vienna, duplex urbs, présente des aspects différents selon la rive du fleuve. Six aqueducs, tous situés en rive gauche du Rhône, alimentaient le centre et le quartier sud de la ville durant l’Antiquité. Quant à l’approvisionnement en eau de la rive droite, il a subi des variations selon les époques : après l’utilisation de puits et le captage de sources au cours de l’époque augustéenne, les quartiers ont bénéficié de l’eau issue de la rive gauche grâce à la présence au nord de la ville d’un pont sur le Rhône à partir de l’époque de Tibère. Une excellente conservation du réseau des canalisations d’adduction permet de suivre l’évolution de la gestion de ces réseaux du début du ier s. apr. J.-C. jusqu’au iiie s.
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Benabou, Marcel. "Pratique Matrimoniale et Représentation Philosophique : Le Crépuscule des Stratégies". Annales. Histoire, Sciences Sociales 42, n. 6 (dicembre 1987): 1255–66. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1987.283452.

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Abstract (sommario):
Le mariage occupe assurément beaucoup de place dans les sources de l'histoire romaine, aussi bien dans les recueils de droit que dans les traités de philosophie ou dans les manuels de morale. L'ennui est que ces divers ouvrages ne parlent pas toujours d'une même voix. Pour la raison sans doute qu'ils ne parlent pas non plus toujours de la même chose : description de la pratique matrimoniale quotidienne, théorie de l'amour conjugal, règles et structures juridiques régissant l'union légitime, autant de thèmes que les auteurs anciens ont abordés, en les isolant, comme s'ils étaient dotés d'une certaine autonomie. Il faut donc résister à la tentation, pourtant naturelle chez le chercheur, de mêler, dans un souci de synthèse peut-être prématuré, des informations peu compatibles, ou d'appliquer à une institution aux ramifications multiples, des observations incontestables certes, mais limitées à un aspect ou à un moment donnés.
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ΝΥΣΤΑΖΟΠΟΥΛΟΥ-ΠΕΛΕΚΙΔΟΥ, ΜΑΡΙΑ. "ΤΑ ΠΛΑΣΤΑ ΕΓΓΡΑΦΑ ΣΤΟΥΣ ΜΕΣΟΥΣ ΧΡΟΝΟΥΣ ΣΤΟ ΒΥΖΑΝΤΙΟ ΚΑΙ ΣΤΑ ΒΑΛΚΑΝΙΑ: Κριτήρια πλαστότητας, στόχοι και τεχνικές". Eoa kai Esperia 7 (1 gennaio 2007): 25. http://dx.doi.org/10.12681/eoaesperia.7.

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Abstract (sommario):
<p>Le problème de la distinction entre les documents authentiques et les faux fut posé au 17e siècle en Allemagne et en France, pour des raisons politiques et sociales: en France, en raison de la lutte des rois contre les revendications des nobles; en Allemagne, à cause des contestations de droit civil. Mais c'est dans les milieux des Acta Sanctorum à la deuxième moitié de ce siècle que l'on a commencé à faire dans les archives des couvents des recherches systématiques sur l'authenticité des documents, en vue de l'édition des Vies des saints. La recherché dans ce domaine du moine jésuite Daniel vo Papenbroeck (1659), la première du genre, fut importante, quoique incomplète et avec des critères souvent inexacts. Le bénédictin Jean Mabillon en 1675 a corrigé et complété cette recherche avec une rigoureuse méthode scientifique: dans son grande oeuvre De re diplomatica (1681) il a formulé des règles fondamentales pour l'étude critique des documents, mettant ainsi les bases de la Diplomatique en tant que science à part. Selon l'opinion généralement admise, on considère comme faux les documents dont les éléments ne correspondent pas aux données historiques et diplomatiques. La falsification des documents est un phénomène diachronique concernant des affaires ecclésiastiques, publiques ou privées. Au Moyen Âge, à Byzance et aux pays Balkaniques, les faux n'étaient pas rares et leur nombre s'augmenta à l'époque de la domination ottomane.</p>Objectif de la falsification des documents est principalement la revendication des biens (fonciers ou revenus) et des privilèges, exemptions fiscales ou subventions, et d'autres objets d'intérêt surtout économique. Le temps de leur falsification a une grande importance pour la recherche, car il peut fournir d'éléments utiles pour le motif de cette entreprise. Le faussaire ne rédige jamais en entier son document, mais au contraire, afin de lui donner une apparence d'authenticité, il copie un ou plusieurs documents authentiques antérieurs, dont le contenu concorde plus ou moins à son sujet. Ainsi quelquefois le faux a l'aspect d'une copie - authentifiée, philologique ou figurée -, ce qui crée dans certains cas des difficultés à la recherche (cf. Actes de Chilandar, n. éd., No 37). <p>Critères de fausseté sont certains éléments de forme et de fond: tells le papier (p. ex. les filigranes), l'encre, l'emploi anormal du sceau et l'écriture; la structure et l'enregistrement; Vintitulatio et la phrase finale des actes impériaux; les fautes d'orthographe, de syntaxe et d'expression, surtout pour les documents de la chancellerie impériale; l'emploi inexact de termes, de titres, d'institutions et de données prosopographiques et numismatiques ne correspondant pas à la réalité historique; enfin, la discordance des éléments chronologiques qui constitue la faute la plus fréquente. Pour tous ces cas nous citons d'exemples caractéristiques. Quand le faussaire a comme modèle un seul document authentique, il le copie d'habitude presque mot à mot, tâchant de remplacer les éléments spéciaux de son modèle par ceux qui correspondent à son objet. Il combine parfois les éléments des plusieurs documents authentiques. Dans certains cas la fabrication du faux se fait par étapes, surtout quand son modèle est en mauvais état ou bien qu'il n'existe pas un modèle propre à la circonstance (cf. Actes de Docheiariou, app. III).</p> <p>Parmi les méthodes les plus caractéristiques que le faussaire emploie pour donner une apparence d'authenticité à son faux, nous notons celle où l'on fait ratifier le document falsifié par une autorité, ecclésiastique d'habitude, qui, ne connaissant pas les critères d'authenticité, le certifie, de bonne foi, ou plus encore il le fait introduire dans son propre document. Tel fut le cas du faux chrysobulle de Manuel II Paléologue (1407), en faveur du couvent de Kastamonitou, fabriqué au 16e siècle et ratifié par le patriarche Jéremie II en 1579, qui l'a fait introduire dans son gramma dont une copie confirmée par l'Hiéra Koinotès du Mont Athos fut par la suite ratifiée par le patriarche Callinique IV vers 1803 (Actes de Kastamonitou, Ιγ). Mais le cas le plus frappant est celui des deux faux chrysobulles en faveur du couvent de Xéropotamou, attribués l'un à l'empereur Théodose II (427), conservé en "copie conforme" (ίσον άπαράλλακτον) du métropolite d'Adrinople Nicéphore (1774-1780), et l'autre à Romain 1er Lécapène (924) (!!); tous les deux, pleins de fautes diplomatiques et d'anachronismes historiques, furent fabriqués probablement à la première moitié du 18e siècle, pour soutenir l'ancienneté du couvent et certifier la possession précieuse d'un morceau de la Sainte Croix. Le faux de Romain 1er fut traduit en valaque (déjà en 1759), italien, latin et français (Actes de Xéropotamou, Ια et Iß). Nos recherches nous ont permis de soutenir que ce faux fut employé par les moines de Xéropotamou pour leur quête (ζητεία) surtout aux Principautés Danubiennes (depuis 1761) au profit de leur couvent qui se trouvait alors en grande pénurie; ce qui explique le motif de la fabrication et de la traduction en valaque.</p> <p>En terminant, nous signalons que la plupart de documents faux dont la date falsifiée se rapporte à Byzance ou aux pays Balkaniques sont fabriqués durant la domination ottomane, quand la situation politique et économique ainsi que les cadres administratifs avaient totalement changés et que les couvents et autres fondations avaient perdu leur revenus et leurs privilèges. Le fait que les autorités d'alors ignoraient les critères d'authenticité des documents facilitait cette entreprise.</p> <p>Nous signalons enfin que les documents falsifiés, tout en étant faux du point devue diplomatique, ont une certaine valeur en tant que sources historiques, car il peuvent, sous certaines conditions, nous fournir des renseignements utiles, diplomatiques et historiques.</p><p> </p><br />
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KIM, Jihyun. "L'évolution des récit harki: des voix du térmgnage aux récits historiques aux multiples facettes". Societe d'Etudes Franco-Coreennes 104 (30 aprile 2024): 85–107. http://dx.doi.org/10.18812/refc.2024.104.85.

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Abstract (sommario):
Cette étude vise à examiner la différence autour de la conscience de soi des descendants de harki et sa signification en comparant Fille de harki de Fatima Besnaci-Lancou et Maze de Zahia Rahmani, publiés en 2003, avec L'art de perdre d'Alice Zeniter, publié en 2017. Dans un premier temps, nous examinerons le contexte historique dans lequel les récits harkis apparaissent dans le champ littéraire. Ensuite, nous analyserons comment les récits de harki de la génération 1.5 présentent des témoignages qui défendent partiellement la génération de leur père, revendiquent les droits de l'homme des harkis et critiquent finalement à la fois la France et l'Algérie. En revanche, nous envisagerons que le roman de Zeniter tisse un récit harki à multiples facettes en reconstituant une variété de sources et en combinant des éléments fictifs et que le narrateur à la première personne Possède son identité d’ “historiographe” du récit de filiation. En particulier, nous confirmerons la relation du narrateur avec le harki de troisième génération, qui oscille entre proximité et distance.
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Wilson, N. G. "N. Van Der Wal, J. H. A. Lokin: Historiae iuris graeco-romani delineatio: Les sources du droit byzantin de 300 à 1453. Pp. vi+139; 9 plates. Groningen: E. Forsten, 1985. Paper, fl. 42.50." Classical Review 37, n. 1 (aprile 1987): 106. http://dx.doi.org/10.1017/s0009840x00100630.

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Bralewski, Sławomir. "Kanony kościelne w sporze między Wschodem a Zachodem na tle schizmy antiocheńskiej w IV wieku". Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica, n. 80 (1 gennaio 2005): 27–43. http://dx.doi.org/10.18778/0208-6050.80.03.

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Abstract (sommario):
Les évêques de l’Occident et ceux de l’Orient se sont divisés essentiellement sur le schisme survenu dans l’Eglise d’Antioche au IV éme siècle. Or ils se sont prononcés en faveur des lideurs des camps opposés qui aspiraient au trône de l’évêque à Antioche. Us basaient leur opinion en recourant à la loi ecclésiastique. L’Occident désapprouvait Mélèce d’avoir transgressé les canons défendant à l’évèque d’échanger une Église contre une autre. En effet, ledit Mélèce avait déjà été l’évèque de la ville de Bérée syrienne. Par contre, l’Orient démontrait à Paulin d’Antioche, soutenu, lui, des évêques occidentaux que son élection et son sacre s’étaient accomplis à rencontre des règles ecclesiastiques exigeant la participation et te consentement des évêques des éparchies voisines. De pareilles remontrances étaient avancées sous l’adresse d’Evagre, son successeur. Il est donc difficile de ne pas croire que les deux parties traitaient la loi d’une façon sélective, en respectant certains canons, tout en rejettant ceux qui leur étaient incommodes. Serait-ce à dire qu’elles se servaient de cette loi d’une manière instrumentale? L’examen des sources nous autorise à refuser ce type des suggestions. Au cas du droit défendant à l’évêque de changer de siège, les évêques occidentaux soutenaient le respect de la lettre, tandis que ceux de l’Orient cherchaient à en sauvegarder l’esprit. Cette loi avait été stipulée pour venir à rencontre des ambitions excessives du clergé se transférant arbitrairement d’une Église à l’autre. C'est pourquoi, pour les autorités épiscopales de l’Orient il importait la cause réelle du transfert, ce qui se rapportait à l’examen de chacun des cas particuliers. Par contre, à l’Occident, on traitait la défense de la substitution d’un évêché par un autre, comme principe sans exclusion aucune, dans l’esprit de l’ancienne devise romaine: dura lex sed lex. Il faut néanmoins constater que l’évêque de la ville de Rome, dans les deux cas bien précis, privilégiait les autres principes à la loi ecclésiastique. Pour le premier de ces cas, il s’agirait de choisir un évêque orthodoxe sur un territoire - à ce qu’il croyait - dominé par des héterodoxes, et par là, de la défense de l’orthodoxie. Dans l’autre cas, il serait question d’une appréhension de voir s’affaiblir la position de l’évêque de la ville de Rome dans l’Église catholique.
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Orlandis, José. "MGR. CHARLES LEFEBVRE, MARCEL PACAUT, LAURENT CHEVAILLER: L'Époque moderne (1563-1789). Les sources du Droit et la seconde centralisation romaine, tomo XV, volumen I de Histoire du Droit et des Institutions de l'Église en Occident, publiée sous la directión de Gabriel Le Bras (+) et Jean Gaudemet, Éditions Cujas (Paris, 1976), 239 págs". Ius Canonicum 17, n. 33 (27 marzo 2018): 360–61. http://dx.doi.org/10.15581/016.17.20989.

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Meyer, Lindsey. "“Une Créole comme Toi”: Creolized Reproductive Justice in Évelyne Trouillot’s Rosalie l’infâme". Journal of Haitian Studies 28, n. 2 (settembre 2022): 122–41. http://dx.doi.org/10.1353/jhs.2022.a901946.

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Abstract (sommario):
Abstract: In Évelyne Trouillot’s novel Rosalie l’infâme (2003), both the embodied postmemory and present of slavery are unavoidable realities for the protagonist, Lisette. Throughout the text, Lisette is told stories of how women in her family have survived and resisted enslavement, thus reestablishing their personhood on Haitian soil, where they were originally meant to both remain capital and produce it. With a close reading of these women’s reproductive experiences, I demonstrate how Rosalie l’infâme enacts a theory of what I call creolized reproductive justice, thus opening space for a more radically inclusive reproductive politics that would account for the complexities of women’s lives. In addition to Rosalie l’infâme , this theory of justice is informed by concepts such as Hortense Spillers’s “ungendering,” Édouard Glissant’s “créolisation,” and Shona Jackson’s “creole indigeneity,” as well as more recent explorations into transnational reproductive justice. I emphasize how Black women’s histories, stories, and experiences, across borders, are always crucial within any discussion of women’s rights. With consideration of these sources, both literary and theoretical, I hope to contribute to discussions of transnational reproductive justice that move away from Euro-and US-centrism in order to better listen to the voices of women, past and present, who have been silenced. Résumé: Dans le roman d’Évelyne Trouillot, Rosalie l’infâme (2003), la post-mémoire et le présent incarnés de l’esclavage sont des réalités inévitables pour le protagoniste, Lisette. Tout au long du texte, Lisette entend les récits sur la façon dont les femmes de sa famille ont survécu et ont résisté à l’esclavage, rétablissant ainsi leurs identités individuelles sur la terre haïtienne, où elles étaient à l’origine censées rester faire partie du capital et le produire. Avec une lecture approfondie des expériences reproductrices de ces femmes, je démontre comment Rosalie l’infâme adopte une théorie de ce que j’appelle la justice reproductive créolisée, ouvrant l’espace pour une politique reproductive plus radicalement inclusive qui considérait la complexité des vies des femmes. En plus de Rosalie l’infâme , cette théorie de la justice est informée par des concepts tels que le « ungendering » de Hortense Spillers, la « créolisation » d’Édouard Glissant et le « creole indigeneity » de Shona Jackson, aussi bien que les explorations plus récentes dans la justice reproductrice transnationale. Je souligne comment les histoires, les récits et les expériences des femmes noires, à travers les frontières, sont toujours cruciaux pour chaque discussion sur les droits des femmes. En considérant ces sources littéraires et théoriques, j’espère contribuer aux discussions sur la justice reproductrice transnationale qui s’éloignent de l’eurocentrisme et de l’américanocentrisme afin de mieux écouter les voix des femmes, passées et présentes, qui ont été réduites au silence.
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ΑΝΑΓΝΩΣΤΑΚΗΣ, Ηλίας, e Ναταλία ΠΟΥΛΟΥ. "Η πρωτοβυζαντινή Μεσσήνη (5ος-7ος αιώνας) και προβλήματα της χειροποίητης κεραμικής στην Πελοπόννησο". BYZANTINA SYMMEIKTA 11 (29 settembre 1997): 229. http://dx.doi.org/10.12681/byzsym.831.

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Abstract (sommario):
&nbsp; <p>Ilias Anagnostakis - Natalia Poulou-Papadimitriou</p><p>Mess&egrave;ne protobyzantine (Ve-VIIe s.) et probl&egrave;mes de la c&eacute;ramique model&eacute;e dans le P&eacute;loponn&egrave;se.</p><p>L'&eacute;tude est divis&eacute;e en trois chapitres, qui suivent l'enqu&ecirc;te, l'orientation et les stades du travail entrepris. Dans le chapitre I (Mess&egrave;ne protobyzantine Ve-VIIe s.) nous pr&eacute;sentons une synth&egrave;se de l'ensemble de la ville d'apr&egrave;s les sources et les fouilles r&eacute;centes dirig&eacute;es par P. Themelis. La d&eacute;couverte des tr&eacute;sors des monnaies dat&eacute;es du 6e s., d'un habitat et d'un cimeti&egrave;re chr&eacute;tien, o&ugrave; sont utilis&eacute;s des mat&eacute;riaux provenant de la cit&eacute; antique et romaine, et surtout les objets trouv&eacute;s dans la tombe 31B (une boucle et un pot model&eacute;) nous ont conduit &agrave; sugg&eacute;rer la survie de l'habitat au milieu du 7e s. La datation r&eacute;sulte par l'&eacute;tude d'un nombre de fibules identiques &agrave; celle de la tombe 31B, trouv&eacute;es dans le territoire grec et que nous consid&eacute;rons de provenance byzantine et d'utilisation commune. Cette datation s'applique, par cons&eacute;quent, au pot model&eacute;, lui aussi identique au pot d'une tombe de Corinthe, consid&eacute;r&eacute;e comme &laquo;avaroslave&raquo; ou &laquo;barbare&raquo; et dat&eacute;e vaguement &agrave; la fin du 6e-d&eacute;but 7e s. Ce fut, donc, une raison suffisante pour le r&eacute;examen exhaustif et la r&eacute;appr&eacute;ciation de l'ensemble de la c&eacute;ramique model&eacute;e trouv&eacute;e dans le P&eacute;loponn&egrave;se afin de trancher sur la question barbare ou slave et de donner une chronologie <em>ante</em> <em>quem</em> de la tombe et de l'habitat protobyzantin de Mess&egrave;ne.</p><p>L'&eacute;tude de la c&eacute;ramique model&eacute;e est pr&eacute;sent&eacute;e au chapitre II: La C&eacute;ramique model&eacute;e du P&eacute;loponn&egrave;se. D'embl&eacute;e nous proposons la d&eacute;signation de cette c&eacute;ramique comme model&eacute;e (&chi;&epsilon;&iota;&rho;&omicron;&pi;&omicron;ί&eta;&tau;&eta;) au lieu des termes &laquo;slave&raquo; ou &laquo;avaroslave&raquo;. Par cette appellation ces objets sont d&eacute;tach&eacute;s de toute id&eacute;e pr&eacute;con&ccedil;ue et de toute interpr&eacute;tation historiographique. La c&eacute;ramique model&eacute;e est regroup&eacute;e en trois cat&eacute;gories: 1) C&eacute;ramique commune de production familiale, 2) C&eacute;ramique qui sert de mobilier (pot) fun&eacute;raire, et 3) Urnes d'incin&eacute;ration. Ces trois cat&eacute;gories correspondaient aux besoins et aux moeurs d'une population au d&eacute;but h&eacute;t&eacute;rog&egrave;ne, qui v&eacute;cut en commun la transition vers une &eacute;conomie du troc. Ainsi la poterie commune, diversifi&eacute;e suivant les r&eacute;gions et les moeurs, est &eacute;tudi&eacute;e en dehors de toute interpr&eacute;tation ethnique douteuse, mais comme produit de l'ensemble d'une population, que caract&eacute;risent les interf&eacute;rences culturelles. Les urnes &agrave; incineration de l'Olympie restent uniques, une exception dans l'ensemble du P&eacute;loponn&egrave;se: elles sont attribu&eacute;es aux Slaves de la r&eacute;gion, qui tout en restant en marge, ils vivaient en rapport avec les autochtones. Une grande partie du chapitre II est consacr&eacute;e au r&eacute;examen de la c&eacute;ramique model&eacute;e d'Argos, ainsi qu'&agrave; la c&eacute;ramique tourn&eacute;e de bonne qualit&eacute;, qui fut trouv&eacute;e dans la m&ecirc;me couche. Avec des arguments, qui r&eacute;sultent des recherches r&eacute;centes sur la c&eacute;ramique tourn&eacute;e et sur la stromatographie probl&eacute;matique des fouilles d'Argos, cette c&eacute;ramique ne peut que dater du 7e si&egrave;cle. Cela nous am&egrave;ne forc&eacute;ment &agrave; la critique et l'abandon de la chronologie propos&eacute;e par Aupert et de l'attribution de la c&eacute;ramique model&eacute; de l'Argos aux envahisseurs avaroslaves du 585. Apr&egrave;s l'examen critique de la c&eacute;ramique model&eacute;e trouv&eacute;e toujours avec de la c&eacute;ramique tourn&eacute;e de bonne qualit&eacute; dans un nombre de sites p&eacute;loponn&eacute;siens (Argos, Tiryns, Isthmia, Sparte, Pallantion) nous constatons que cette c&eacute;ramique s'&eacute;tend du 7e au 14e s.; elle peut ainsi &ecirc;tre difficilement attribu&eacute;e aux invasions slaves du 6e-7e s. ou &agrave; une seule partie de la population. Au contraire, elle constitue un autre type de c&eacute;ramique utilis&eacute;e par l'ensemble de la population &agrave; travers les si&egrave;cles en m&ecirc;me temps que la c&eacute;ramique tourn&eacute;e. En conclusion, la c&eacute;ramique mont&eacute;e &agrave; la main trouv&eacute;e en Gr&egrave;ce n'est ni toujours ni forc&eacute;ment slave.</p><p>Dans le Chapitre III: La c&eacute;ramique model&eacute;e dans l'Ouest du P&eacute;loponn&egrave;se et les perspectives de la recherche, notre orientation consiste &agrave; r&eacute;&eacute;valuer l'impact des invasions slaves dans le P&eacute;loponn&egrave;se et surtout dans sa partie Ouest consid&eacute;r&eacute;e comme la r&eacute;gion slavis&eacute;e par excellence. Nous essayons d'examiner sur le terrain, sans id&eacute;e pr&eacute;con&ccedil;ue, &agrave; quoi correspondent les &laquo;Dark Ages&raquo; de la r&eacute;gion et de sa slavisation, d'autant plus que la c&eacute;ramique model&eacute;e commune y manque compl&egrave;tement, alors qu'elle est plut&ocirc;t abondante dans la partie Est, qui fut toujours sous contr&ocirc;le byzantin. Consid&eacute;rant a priori comme slaves les objets de la tombe 31B de Mess&egrave;ne nous proposons une hypoth&egrave;se de travail, calqu&eacute;e sur celle de plusieurs chercheurs, pour esquisser la Mess&egrave;ne et sa r&eacute;gion &agrave; l'&eacute;poque des invasions avaroslaves vers le 580. Ainsi, avec des arguments tir&eacute;s de la toponymie, des tr&eacute;sors et des textes post&eacute;rieurs, mais surtout utilisant le t&eacute;moignage des urnes &agrave; incin&eacute;ration de l'Olympie, que certains datent vers la fin du 6e s., et le pot model&eacute; de la tombe 31B de Mess&egrave;ne nous constatons que tout s'accorde pour donner droit et justifier le r&eacute;cit du 10e s. de la <em>Chronique de Monembasie</em> sur la slavisation de la r&eacute;gion de l'Ouest d&eacute;j&agrave; &agrave; la fin du 6e s. Cette structure s'&eacute;croule n&eacute;anmoins si les objets de la tombe sont dat&eacute;s au milieu du 7e s. Ce genre d'approche met en relief l'impact de l'historiographie et les probl&egrave;mes du rapport entre les textes et les donn&eacute;es arch&eacute;ologiques. Nous pensons finalement que la c&eacute;ramique model&eacute;e nous offre plut&ocirc;t des informations pr&eacute;cieuses sur la coexistence et les interf&eacute;rences culturelles. Mais plus encore: nous consid&eacute;rons comme la seule perspective de la recherche sur la c&eacute;ramique model&eacute;e du P&eacute;loponn&egrave;se celle qui sera bas&eacute;e sur une nouvelle approche. Une approche qui posera un autre regard sur le probl&egrave;me du rapport entre textes et donn&eacute;es arch&eacute;ologiques, sur le probl&egrave;me du passage &agrave; une &eacute;conomie du troc, de la rar&eacute;faction et la ruralisation des villes et sur le retour &agrave; une poterie locale faite &agrave; la main.</p><p>&nbsp;</p>
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Esders, Stefan. "Droit militaire romain tardif dans le code de Bavière". La forge du droit, n. 10 (10 giugno 2021). http://dx.doi.org/10.35562/cliothemis.1168.

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Abstract (sommario):
This paper investigates the influence of late Roman military law on the Lex Baiuvariorum – a text, which served as the basis for the Merovingian kings’ organization of the Frankish kingdom’s eastern border-region as a ducatus or duchy. Particular considerations concerning the historical background of the Bavarian duchy’s formation will be addressed, after which provisions for the protection of the Bavarian dux or duke, largely as relates to treason and military discipline, will be investigated. By comparing sources for the Roman crimen laesae maiestatis and other legal texts of Roman military writers, it will be demonstrated that the provisions of the Bavarian law-code clearly bear the influence of Roman military law.
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Kerneis, Soazick. "Les modes alternatifs de résolution des conflits". Écrire l’histoire du droit : rompre avec les schémas nationaux ?, n. 5 (23 luglio 2021). http://dx.doi.org/10.35562/cliothemis.1746.

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Abstract (sommario):
L’écriture de l’histoire dépend des sources que l’on sollicite. Pour tenter de saisir le droit dans sa globalité, ne pas s’en tenir au point de vue des autorités, il faut convoquer d’autres sources que les sources officielles, des sources « vulgaires », populaires qui nous dévoilent d’autres façons de penser la norme, d’autres modes de résolution des litiges, en bref risquer avec Marcel Détienne de « comparer l’incomparable ».L’anthropologie a montré la dimension sociale du conflit et l’importance de la conciliation. Le concept d’une justice réparatrice, après s’être développé dans les pays de Common law, inspire de plus en plus les pays de tradition romaine suscitant par là même bien des critiques. Les leçons de l’anthropologie soulignent le risque qu’il peut y avoir à transposer à l’échelle des nations une forme de justice inhérente à de petites communautés, soudées par une forte solidarité.Pour autant, l’histoire montre la vivacité du modèle conciliatoire. L’anthropologie a fourni aux historiens d’autres grilles de lecture qui leur ont permis d’interroger différemment leurs sources. Même dans l’Empire romain, le modèle judiciaire est loin de remporter la conviction de l’ensemble des provinciaux et nombreux sont ceux qui choisissent d’autres voies, transaction ou justice divine. Parce que le conflit est d’abord l’histoire des parties, il ne peut toujours se satisfaire d’un jugement. C’est par la parole, le rituel, l’entremise d’un dieu qu’il peut se dénouer. Des phénomènes rétifs au rationalisme juridique, qui relèvent de l’émotion, que la loi ne peut capturer.
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Vesperini, Pierre. "Qu’est-ce que les logoi philosophoi? (Tome 144, 7e Série, n°3-4, (2023))". Revue de Synthèse, 6 marzo 2023, 1–37. http://dx.doi.org/10.1163/19552343-14234032.

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Abstract (sommario):
Résumé Cet article présente pour la première fois une étude exhaustive d’un pratique de savoir fondamentale de l’Antiquité hellénistique et romaine : la pratique des logoi philosophoi, « discours » puisés à cette immense réserve de savoir encyclopédique qu’était la philosophia (qui était donc loin de se réduire à l’image « disciplinaire » que nous en avons aujourd’hui). L’examen des sources permet de dégager trois grands usages de ces logoi : un usage épidictique (où les logoi servent à « faire montre » de son savoir dans le cadre d’une conférence-spectacle) ; un usage éthique (où les logoi servent à « rester droit ») ; un usage social (où les logoi servent à « être ensemble »).
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Debaene, Vincent. "Anthropologie et littérature". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.090.

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Abstract (sommario):
Evoquer les rapports entre anthropologie et littérature, c'est un peu ouvrir la boîte de Pandore, en raison de la plasticité des deux termes en présence, particulièrement du second, en raison également de la charge affective dont ils sont investis. Le simple rapprochement des deux notions est invariablement porteur d'une réflexion sur la nature même de l'anthropologie et a souvent valeur polémique, ce qui explique en retour les réactions virulentes qu'il peut susciter. Qu'on prétende montrer la porosité de l'ethnologie et de la littérature ou qu'on veuille au contraire prémunir l'anthropologie de toute corruption littéraire, il s'agit toujours pour l'ethnologue de s'interroger sur sa propre pratique et de la définir. Il faut pourtant essayer d'y voir clair, et pour cela partir des études qui traitent effectivement de cette question en essayant d'abord d'y mettre de l'ordre. On peut distinguer trois cas ou trois façons d'articuler littérature et anthropologie: les études anthropologiques qui prennent la littérature orale ou écrite pour objet; les réflexions épistémologiques ou historiques qui envisagent la littérature et l'anthropologie comme des discours et s'interrogent sur les rapports que ces discours peuvent entretenir; les travaux, menés ou non par des anthropologues, qui cherchent un savoir anthropologique dans des œuvres considérées comme littéraires. La première de ces trois formes de mise en rapport n'est pas en tant que telle problématique; elle consiste à examiner dans une perspective anthropologique la littérature en tant qu'activité symbolique et culturelle valorisée par une société donnée. C'est à ce titre que la littérature orale est objet d'ethnologie depuis longtemps. On pourra seulement noter que les travaux qui, selon les mêmes principes, prendraient pour objet la littérature écrite des sociétés modernes sont plus rares. A cela il y a deux raisons évidentes: la production comme la consommation de littérature écrite sont très majoritairement solitaires et privées et se prêtent mal à une observation ethnographique classique. Cela n'a pas empêché certains anthropologues de refuser cette exclusion, par exemple en rétablissant la continuité entre tradition orale et poésie moderne (Casajus 2012) ou en proposant une ethnographie de la création littéraire, qui s'attache à la matérialité des pratiques des écrivains, aux formes de subjectivation par l'écriture ou à la sacralité propre à l'œuvre littéraire dans les sociétés modernes (Fabre 1999, 2014). La troisième ensemble de travaux décèle dans des corpus reconnus comme littéraires une ressource anthropologique. Là encore, il faut distinguer entre, d'une part, les études qui identifient dans les textes les jeux et les conflits entre formes culturelles hétérogènes (orale vs écrite, sacrée vs profane...) (c'est l'objet d'un courant des études littéraires, l'ethnocritique (Privat et Scarpa 2010)) et, d'autre part, les tentatives qui lisent les œuvres de la littérature comme porteuses d'un savoir anthropologique, voire de « leçons » à destination des ethnologues (Bensa et Pouillon 2012). Dans ces deux cas, la littérature est d'abord envisagée comme un corpus, dont la constitution n'est pas questionnée (en cela, ces analyses se distinguent de la sociologie de la littérature) et dont on montre la richesse et la densité telle qu'elles sont révélées par une approche ethnologiquement informée. Dans cette perspective, on a pu en particulier souligner les vertus d'une création fictionnelle qui permet, par variation imaginaire, de mettre en pleine lumière certaines déterminations anthropologiques (Jamin 2011, 2018). Mais la façon la plus fréquente d'articuler anthropologie et littérature, celle qui a donné lieu aux travaux les plus nombreux, consiste à considérer l'une et l'autre comme des discours, analogues ou rivaux, mais comparables dans leur rapport au lecteur et dans leur visée. Le gros de ces études s'est développé à partir des années 1980 et du tournant postmoderne de l'anthropologie. Il s'agissait alors d'attirer l'attention sur tout ce que l'anthropologie et la littérature ont en commun, dans un but plus général de dénonciation de l'objectivisme de la discipline. Contre l'idée que l'ethnographe est un observateur neutre d'une réalité sociale qu'il décrit et analyse, on a commencé par rappeler que son activité première n'est ni l'observation, ni la participation, ni l'interprétation, mais l'écriture (Geertz 1973). Dès lors, on a pu montrer que l'anthropologie relevait d'une poétique au même titre que la littérature des temps anciens (du temps où la poétique était prescriptive, la fabrication des œuvres reposant sur un certain nombre de règles à suivre) ou que la littérature des temps modernes (lorsque la poétique est devenu singulière et implicite, mais pouvait être reconstruite a posteriori par le critique à l'analyse des œuvres). Alors que l'anthropologie sociale s'était établie au 19e siècle par l'ambition de constituer en science le discours sur l'homme en société, tous les éléments considérés habituellement comme des marqueurs de scientificité se sont retrouvés mis en question par ces interrogations poétiques. Le dogme fondateur du refus de la fiction s'est trouvé d'abord fragilisé lorsque Clifford Geertz, réactivant l'étymologie du terme (du latin fingere, fabriquer, construire), a insisté sur la part d'imagination inhérente à l'écriture ethnographique, comparant la reconstruction des interactions sociales dans un univers donné au travail d'imagination de Gustave Flaubert dans Madame Bovary (Geertz 1973, 15-16). Puis ce dogme a été franchement remis en cause lorsque James Clifford, insistant davantage sur l'invention qu'exige un tel travail, a proposé d'envisager les travaux ethnographiques comme des constructions textuelles – true fictions et partial truths – à la fois, donc, partielles et partiales (Clifford 1986). Dans son sillage, on s'est plu à montrer que les anthropologues, comme les écrivains, avaient des « styles » (Geertz 1988) et, plus généralement, rétablir des continuités entre discours littéraire et discours anthropologique, retrouvant chez les anthropologues classiques des tropes, des modes de narration, des conceptions de soi et de l'autre, hérités de la poésie romantique, de la tradition du récit de voyage ou de celle du roman d'aventures. Ainsi a-t-on mis en évidence, par exemple, toute l'influence que l'œuvre de Joseph Conrad avait pu exercer sur celle de Bronislaw Malinowski (Clifford 1988b) ou l'articulation profonde entre projet anthropologique et ambition poétique chez Edward Sapir et Ruth Benedict (Handler 1986). Dès lors, la rupture entre anthropologie et littérature – moins affirmée par les fondateurs de la discipline que simplement postulée, puisqu'il était évident qu'en la consacrant comme science, on sortait l'anthropologie du monde des œuvres et de la belle parole – a pu apparaître non comme une coupure mais comme une dénégation. En niant qu'elle relevait d'une poétique, l'anthropologie niait surtout qu'elle relevait d'une politique (comme le souligne le sous-titre du célèbre recueil Writing Culture (Clifford et Marcus 1986)). Le questionnement poétique – qui interroge la fabrication des textes ethnographiques – s'est ainsi doublé d'un questionnement rhétorique, qui s'attache à la circulation de ces textes, aux déterminations pesant sur leur conception comme sur leur réception. On a souligné, dans les textes classiques de la discipline, le silence entourant les conditions d'obtention de l'information ou les rapports avec l'administration coloniale, l'éclipse des informateurs et des sources, le privilège accordé de facto au point de vue masculin, les déformations introduites par les exigences de l'univers académique de réception, etc. En écho avec d'autres réflexions épistémologiques soucieuses d'élucider les rapports entre projet anthropologique et projet colonial, la question de l'autorité ethnographique est devenue centrale, le discours et le texte anthropologiques apparaissant comme un des lieux majeurs où s'articulent savoir et pouvoir (Clifford 1988a). Dans cette perspective, la littérature « indigène » a pu être parfois promue non plus seulement comme une source mais bien comme la seule ethnographie véritable puisqu'elle échappe (censément) à toute appropriation autoritaire de la parole par une instance extérieure. Ces réflexions ont eu pour conséquence une certaine libération de l'écriture ethnographique, une plus grande réflexivité touchant les procédures de composition des textes, voire la promotion de modes de restitution et d'exposé inventifs et polyphoniques, prenant parfois pour modèle des formes anciennes de textualité ethnographique, antérieures à la stabilisation disciplinaire. Elles ont aussi suscité des critiques pour leur complaisance et parce qu'elles déplaçaient excessivement l'attention vers les pratiques des ethnographes au détriment de leurs objets, conduisant à une sorte de narcissisme de l'écriture (Bourdieu 1992). Dans tous les cas pourtant, malgré la prétention à reconnaître la part « littéraire » de l'ethnologie, il était en fait moins question de littérature que d'écriture de l'ethnographie. C'est en partie une conséquence du cadre anglo-américain dans lequel ces réflexions ont émergé. D'abord parce que, en anglais, les termes literature et literary ont un sens plus technique et instrumental qu'en français où le terme littérature désigne d'abord, dans l’usage courant tout au moins, sinon un canon, en tout cas une logique de consécration : seules les œuvres appartiennent de plein droit à la littérature. Que l'anthropologie exige un travail de l’écriture est une chose, que ce dispositif formel fasse une œuvre en est une autre (Debaene 2005). Ensuite, parce que ce prétendu « réveil littéraire de l'anthropologie » s'inscrit bon gré mal gré dans une conception herméneutique de la discipline et repose sur la conviction que « la philologie est, somme toute, l'ancêtre du 19e siècle commun à l'anthropologie et aux études littéraires » (Daniel et Peck 1996: 8, 11). Or si une telle construction généalogique est pertinente aux Etats-Unis, elle ne l'est pas partout, et les relations des ethnologues à la littérature (envisagée soit comme un corpus, soit comme une technique d'écriture) et aux études littéraires (envisagée soit comme un type d'approche, soit comme une discipline) varient beaucoup selon les lieux et les histoires disciplinaires nationales (Debaene 2010). S'il est vrai que l'anthropologie comme la littérature sont avant tout des réalités locales, alors il importe de comprendre que l'étude de leurs rapports ne relève pas premièrement d'un questionnement épistémologique mais d'abord d'une histoire de la culture.
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Hunter, John C. "Organic Interfaces; or, How Human Beings Augment Their Digital Devices". M/C Journal 16, n. 6 (7 novembre 2013). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.743.

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Abstract (sommario):
In many ways, computers are becoming invisible and will continue to do so. When we reach into our pockets and pull out our cell phones to find a place to eat or message a friend on Facebook, we are no longer consciously aware that we are interacting with a user experience that has been consciously designed for our computer or device screen—but we are.— Andy Pratt and Jason Nunes, Interactive Design In theory, cell phones and other information and communication technologies (ICTs) are just a means for us to interact with people, businesses, and data sources. They have interfaces and, in a larger sense, are interfaces between their users and the networked world. Every day, people spend more time using them to perform more different tasks and find them more indispensable (Smith). As the epigraph above suggests, however, their omnipresence makes them practically invisible and has all but erased any feelings of awe or mystery that their power once generated. There is both a historical and functional dimension to this situation. In the historical advance of technology, it is part of what Kevin Kelly calls the “technium,” the ever-more complex interactions between advancing technology, our cognitive processes, and the cultural forces in which they are enmeshed; ICTs are measurably getting more powerful as time goes on and are, in this sense, worthy of our admiration (Kelly 11-17). In the functional dimension, on the other hand, many scholars and designers have observed how hard it is to hold on to this feeling of enchantment in our digital devices (Nye 185-226; McCarthy and Wright 192-97). As one study of human-computer interfaces observes “when people let the enchanting object [ICTs] do the emotional work of experience for them . . . what could be enchanting interactivity becomes a paradoxically detached interpassivity” (McCarthy et al. 377). ICTs can be ever more powerful, then, but this power will not necessarily be appreciated by their users. This paper analyzes recent narrative representations of ICT use in spy thrillers, with a particular focus on the canon of James Bond films (a sub-genre with a long-standing and overt fascination with advanced technology, especially ICTs), in order to explore how the banality of ICT technology has become the inescapable accompaniment of its power (Willis; Britton 99-123; 195-219). Among many possible recent examples: recall how Bond uses his ordinary cell phone camera to reveal the membership of the sinister Quantum group at an opera performance in Quantum of Solace; how world-wide video surveillance is depicted as inescapable (and amoral) in The Bourne Legacy; and how the anonymous protagonist of Roman Polanski’s Ghost Writer discovers the vital piece of top secret information that explains the entire film—by searching for it on his laptop via Google. In each of these cases, ICTs are represented as both incredibly powerful and tediously quotidian. More precisely, in each case human users are represented as interfaces between ICTs and their stored knowledge, rather than the reverse. Beginning with an account of how the naturalization of ICTs has changed the perceived relations between technology and its users, this essay argues that the promotional rhetoric of human empowerment and augmentation surrounding ICTs is opposed by a persistent cinematic theme of human subordination to technological needs. The question it seeks to open is why—why do the mainstream cinematic narratives of our culture depict the ICTs that enhance our capacities to know and communicate as something that diminishes rather than augments us? One answer (which can only be provisionally sketched here) is the loss of pleasure. It does not matter whether or not technology augments our capacities if it cannot sustain the fantasy of pleasure and/or enhancement at the same time. Without this fantasy, ICTs are represented as usurping position as the knowing subject and users, in turn, become the media connecting them– even when that user is James Bond. The Rhetoric of Augmentation Until the past five years or so, the technologization of the human mind was almost always represented in popular culture as a threat to humanity—whether it be Ira Levin’s robotic Stepford Wives as the debased expression of male wish-fulfillment (Levin), or Jonathan Demme’s brainwashed assassins with computer chip implants in his remake of The Manchurian Candidate. When Captain Picard, the leader and moral centre of the television series Star Trek: The Next Generation, is taken over by the Borg (an alien machine race that seeks to absorb other species into its technologized collective mind) in an episode from 1990, it is described as “assimilation” rather than an augmentation. The Borg version of Picard says to his former comrades that “we only wish to raise quality of life, for all species,” and it is a chilling, completely unemotional threat to the survival of our species (“Best of Both Worlds”). By 2012, on the other hand, the very same imagery is being used to sell smart phones by celebrating the technological enhancements that allegedly make us better human beings. In Verizon’s Droid DNA phone promotions, the product is depicted as an artificial heart for its user, one that enhances memory, “neural speed,” and “predictive intelligence” (thanks to Google Now). The tagline for the Verizon ad claims that “It’s not an upgrade to your phone; it’s an upgrade to yourself”, echoing Borg-Picard’s threat but this time as an aspirational promise (“Verizon Commercial”). The same technologization of the mind that was anathema just a few years ago, is now presented as both a desirable consumer goal and a professional necessity—the final close-up of the Verizon artificial heart shows that this 21st century cyborg has to be at his job in 26 minutes; the omnipresence of work in a networked world is here literally taken to heart. There is, notably, no promise of pleasure or liberation anywhere in this advertisement. We are meant to desire this product very much, but solely because it allows us to do more and better work. Not coincidentally, the period that witnessed this inversion in popular culture also saw an exponential increase in the quantity and variety of digitally networked devices in our lives (“Mobile Cellular”) and the emergence of serious cultural, scientific, and philosophical movements exploring the idea of “enhanced” human beings, whether through digital tool use, biomedical prostheses, drugs, or genetic modifications (Buchanan; Savulescu and Bostrom; “Humanity +”). As the material boundaries of the “human” have become more permeable and malleable, and as the technologies that make this possible become everyday objects, our resistance to this possibility has receded. The discourse of the transhuman and extropian is now firmly established as a philosophical possibility (Lilley). Personal augmentation with the promise of pleasure is still, of course, very much present in the presentation of ICTs. Launching the iPad 2 in 2011, the late Steve Jobs described his new product as a “magical and revolutionary device” with an “incredible magical user interface on a much larger canvas with more resources” and gushing that “it's technology married with liberal arts, married with the humanities, that yields us the result that makes our hearts sing” (“Apple Special Event”). This is the rhetoric of augmentation through technology and, as in the Verizon ad, it is very careful to position the consumer/user at the centre of the experience. The technology is described as wonderful not just in itself, but also precisely because it gives users “a larger canvas” with which to create. Likewise, the lifelogging movement (which encourages people to use small cameras to record every event of daily life) is at great pains to stress that “you, not your desktop’s hard drive, are the hub of your digital belongings” (Bell and Gemmell 10). But do users experience life with these devices as augmented? Is either the Verizon work cyborg or the iPad user’s singing heart representative of how these devices make us feel? It depends upon the context in which the question is asked. Extensive survey data on cell phone use shows that we are more attached than ever to our phones, that they allow us to be “productive” in otherwise dead times (such as while waiting in queues), and that only a minority of users worry about the negative effects of being “permanently connected” (Smith 9-10). Representations of technological augmentation in 21st century popular cinema, however, offer a very different perspective. Even in James Bond films, which (since Goldfinger in 1964) have been enraptured with technological devices as augmentations for its protagonists and as lures for audiences, digital devices have (in the three most recent films) lost their magic and become banal in the same way as they have in the lives of audience members (Nitins 2010; Nitins 2011; “List of James Bond Gadgets”). Rather than focusing on technological empowerment, the post 2006 Bond films emphasize (1) that ICTs “know” things and that human agents are just the media that connect them together; and (2) that the reciprocal nature of networked ICTs means that we are always visible when we use them; like Verizon phone users, our on-screen heroes have to learn that the same technology that empowers them simultaneously empowers others to know and/or control them. Using examples from the James Bond franchise, the remainder of this paper discusses the simultaneous disenchantment and power of ICT technology in the films as a representative sample of the cultural status of ICTs as a whole. “We don’t go in for that sort of thing any more...” From Goldfinger until the end of Pierce Brosnan’s tenure in 2002, technological devices were an important part of the audience’s pleasure in a Bond film (Willis; Nitins 2011). James Bond’s jetpack in Thunderball, to give one of many examples, is a quasi-magical aid for the hero with literary precursors going back to Aeneas’s golden bough; it is utterly enchanting and, equally importantly, fun. In the most recent Bond film, Skyfall, however, Q, the character who has historically made Bond’s technology, reappears after a two-film hiatus, but in the guise of a computer nerd who openly disdains the pleasures and possibilities of technological augmentation. When Bond complains about receiving only a gun and a radio from him, Q replies: “What did you expect? An exploding pen? We don’t really go in for that sort of thing any more.” Technology is henceforth to be banal and invisible albeit (as the film’s computer hacker villain Silva demonstrates) still incredibly powerful. The film’s pleasures must come from elsewhere. The post-credit sequence in Casino Royale, which involves the pursuit and eventual death of a terrorist bomb-maker, perfectly embodies the diminished importance of human agents as bearers of knowledge. It is bracketed at the beginning by the bomber looking at a text message while under surveillance by Bond and a colleague and at the end by Bond looking at the same message after having killed him. Significantly, the camera angle and setup of both shots make it impossible to distinguish between Bond’s hand and the bomber’s as they see the same piece of information on the same phone. The ideological, legal, racial, and other differences between the two men are erased in pursuit of the data (the name “Ellipsis” and a phone number) that they both covet. As digitally-transmitted data, it is there for anyone, completely unaffected by the moral or legal value attached to its users. Cell phones in these films are, in many ways, better sources of information than their owners—after killing a phone’s owner, his or her network traces can show exactly where s/he has been and to whom s/he has been talking, and this is how Bond proceeds. The bomber’s phone contacts lead Bond to the Bahamas, to the next villain in the chain, whom Bond kills and from whom he obtains another cell phone, which allows the next narrative location to be established (Miami Airport) and the next villain to be located (by calling his cell phone in a crowded room and seeing who answers) (Demetrios). There are no conventional interrogations needed here, because it is the digital devices that are the locus of knowledge rather than people. Even Bond’s lover Vesper Lynd sends her most important message to him (the name and cell phone number of the film’s arch villain) in a posthumous text, rather than in an actual conversation. Cell phones do not enable communication between people; people connect the important information that cell phones hold together. The second manifestation of the disenchantment of ICT technology is the disempowering omnipresence of surveillance. Bond and his colleague are noticed by the bomber when the colleague touches his supposedly invisible communication earpiece. With the audience’s point of view conflated with that of the secret agent, the technology of concealment becomes precisely what reveals the secret agent’s identity in the midst of a chaotic scene in which staying anonymous should be the easiest thing in the world; other villains identify Bond by the same means in a hotel hallway later in the film. While chasing the bomber, Bond is recorded by a surveillance camera in the act of killing him on the grounds of a foreign embassy. The secret agent is, as a result, made into an object of knowledge for the international media, prompting M (Bond’s boss) to exclaim that their political masters “don’t care what we do, they care what we get photographed doing.” Bond is henceforth part of the mediascape, so well known as a spy that he refuses to use the alias that MI6 provides for his climactic encounter with the main villain LeChiffre on the grounds that any well-connected master criminal will know who he is anyway. This can, of course, go both ways: Bond uses the omnipresence of surveillance to find another of his targets by using the security cameras of a casino. This one image contains many layers of reference—Bond the character has found his man; he has also found an iconic image from his own cultural past (the Aston Martin DB V car that is the only clearly delineated object in the frame) that he cannot understand as such because Casino Royale is a “reboot” and he has only just become 007. But the audience knows what it means and can insert this incarnation of James Bond in its historical sequence and enjoy the allusion to a past of which Bond is oblivious. The point is that surveillance is omnipresent, anonymity is impossible, and we are always being watched and interpreted by someone. This is true in the film’s narrative and also in the cultural/historical contexts in which the Bond films operate. It may be better to be the watcher rather than the watched, but we are always already both. By the end of the film, Bond is literally being framed by technological devices and becomes the organic connection between different pieces of technology. The literal centrality of the human agent in these images is not, in this disenchanted landscape, an indication of his importance. The cell phones to which Bond listens in these images connect him (and us) to the past, the back story or context provided by his masters that permits the audience to understand the complex plot that is unfolding before them. The devices at which he looks represent the future, the next situation or person that he must contain. He does not fully understand what is happening, but he is not there to understand – he is there to join the information held in the various devices together, which (in this film) usually means to kill someone. The third image in this sequence is from the final scene of the film, and the assault rifle marks this end—the chain of cell phone messages (direct and indirect) that has driven Casino Royale from its outset has been stopped. The narrative stops with it. Bond’s centrality amid these ICTS and their messages is simultaneously what allows him to complete his mission and what subjects him to their needs. This kind of technological power can be so banal precisely because it has been stripped of pleasure and of any kind of mystique. The conclusion of Skyfall reinforces this by inverting all of the norms that Bond films have created about their climaxes: instead of the technologically-empowered villain’s lair being destroyed, it is Bond’s childhood home that is blown up. Rather than beating the computer hacker at his own game, Bond kills him with a knife in a medieval Scottish church. It could hardly be less hi-tech if it tried, which is precisely the point. What the Bond franchise and the other films mentioned above have shown us, is that we do not rely on ICTs for enchantment any more because they are so powerfully connected to the everyday reality of work and to the loss of privacy that our digital devices exact as the price of their use. The advertising materials that sell them to us have to rely on the rhetoric of augmentation, but these films are signs that we do not experience them as empowering devices any more. The deeper irony is that (for once) the ICT consumer products being advertised to us today really do what their promotional materials claim: they are faster, more powerful, and more widely applicable in our lives than ever before. Without the user fantasy of augmentation, however, this truth has very little power to move us. We depict ourselves as the medium, and it is our digital devices that bear the message.References“Apple Special Event. March 2, 2011.” Apple Events. 21 Sep. 2013 ‹http://events.apple.com.edgesuite.net/1103pijanbdvaaj/event/index.html›. Bell, Gordon, and Jim Gemmell. Total Recall: How the E-Memory Revolution Will Change Everything. New York: Dutton, 2009.“The Best of Both Worlds: Part Two.” Star Trek: The Next Generation. Dir. Cliff Bole. Paramount, 2013. The Bourne Legacy. Dir. 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