Letteratura scientifica selezionata sul tema "Diplomatie publique – Chine"

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Articoli di riviste sul tema "Diplomatie publique – Chine":

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Banyongen, Serge. "La diplomatie publique de la Chine en Afrique ou la métaphore du dragon sans griffes". Monde chinois 33, n. 1 (2013): 26. http://dx.doi.org/10.3917/mochi.033.0026.

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Mbeng Dang, Hanse Gilbert. "La « diplomatie agricole » chinoise en Afrique : esquisse d’analyse d’une forme de « Land Grab » atypique". Journal of Sino-African Studies 2, n. 1 (7 aprile 2023): 52–67. http://dx.doi.org/10.56377/jsas.v2n1.5267.

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Abstract (sommario):
Le lien millénaire qui relie la Chine-Afrique jouit d’une position privilégiée dans la diplomatie chinoise depuis la proclamation de la République populaire de Chine en 1949. Le continent africain est considéré à la fois comme un terrain d’expérimentation, mais également comme un lieu privilégié pour mettre en scène le « rêve chinois » d’exportation d’un modèle socialiste de développement. De fait, la Chine tisse des relations avec les peuples africains grâce à une intense diplomatie publique. Rachats de vignobles, d’usines agroalimentaires ou encore construction de centres de démonstration agricole en Afrique, les investissements agricoles chinois se manifestent sous des formes variées. La Chine accaparerait des millions d’ha de terres en Afrique pour garantir ses besoins alimentaires. Apparu en 2008, le terme « accaparement des terres » ou « Land Grabbing » en anglais, désigne une acquisition controversée de terres agricoles de grande superficie par des entreprises transnationales et gouvernementales. Cette technique a été utilisée avec succès par les États-Unis au XIXe siècle pour constituer leur nation, puis par les nations européennes pour construire leurs fragiles empires coloniaux, puis par des magnats américains sur des millions d’ha en Amazonie pour des projets, tous tombés en faillite. Le land grab chinois en Afrique est un « contresens » politique et un non-sens économique, une fausse nouvelle utilisée pour dénigrer un pays. Accueilli à bras ouverts par certains agriculteurs qui y voient la promesse de nouveaux débouchés commerciaux ou vécu par d’autres comme un accaparement des ressources, l’intérêt de la Chine pour les secteurs agricoles et agroalimentaires particulièrement vivace depuis 2009, prouve bien leur caractère hautement stratégique. On parle depuis quelques années des achats de terres agricoles en Afrique par des acteurs chinois. De tels investissements sont souvent désignés par l’expression Land Grab qui suggère d’emblée une agression. Il s’agirait, ni plus ni moins, de partir à l’assaut des terres africaines. Comment définir ce Land Grab ? Quelle est la place du Land Grab chinois en Afrique ? Devant un pareil objectif, il parait opportun de s’interroger sur la nature du modèle de « Land Grab » chinois en Afrique. La collecte des données combine à la fois méthode qualitative et quantitative.
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Huang, Zhao Alexandre, e Mylène Hardy. "Vers une diplomatie publique française des musées en Chine ? La sinisation numérique des stratégies communicationnelles du Louvre". Les Enjeux de l'information et de la communication N° 21/3A, S1 (1 dicembre 2021): 71–87. http://dx.doi.org/10.3917/enic.hs10.0071.

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Fabre, Clément. "La poignée de main de l’étameur (Paris, 30 janvier 1887) Une histoire des relations sino-occidentales à hauteur d’interaction". Revue historique 708, n. 4 (29 novembre 2023): 661–706. http://dx.doi.org/10.3917/rhis.234.0661.

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Abstract (sommario):
Le 30 janvier 1887, avenue Victor Hugo à Paris, le général Chen Jitong, attaché militaire de la légation chinoise en France, refuse la main que lui tend l’étameur Ferdinand Laporte, qui l’injurie alors. Le procès qui s’ensuit pour injures publiques met au jour, derrière cette affaire anecdotique, un mauvais tour alors répandu à Paris, résumé par le chroniqueur judiciaire qui, sous le pseudonyme d’Argus, rend compte de l’affaire dans les colonnes du Figaro : « Il paraît que c’est une espèce de sport, parmi les loustics des faubourgs extérieurs, d’accoster les Chinois dans la rue et de leur tendre la main en les tutoyant avec une aimable familiarité. » Faire l’histoire de cette plaisanterie devenue incompréhensible impose d’entremêler trois histoires de mains. Celle, déjà, des imaginaires qui se greffent à partir du xviii e siècle sur le décalage des gestes de politesse chinois et occidentaux et constituent les salutations chinoises en antipodes mêmes de la poignée de main occidentale et égalitariste. Celle, ensuite, de l’attention continuelle que doivent prêter à leurs mains, dans la Chine du xix e siècle, diplomates et missionnaires pour les plier aux règles des bienséances chinoises et éviter le type de faux pas que recherche, précisément, Ferdinand Laporte. Celle, enfin, de la progressive familiarisation avec la structure des interactions sino-occidentales de franges entières de la population chinoise qui, tel Chen Jitong, apprennent entre autres, au fil du xix e siècle, à maîtriser la poignée de main. Ces trois histoires entremêlées jettent un éclairage original sur le statut à conférer aux interactions ordinaires dans l’histoire des relations sino-occidentales, et sur les différentes temporalités qui viennent se nouer dans une banale poignée de main.

Tesi sul tema "Diplomatie publique – Chine":

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Perilhon, Cyrielle. "La « danse classique chinoise » : outil et produit de la propagande intérieure et de la diplomatie culturelle (1949-1966)". Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0160.

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Abstract (sommario):
La danse classique chinoise (dcc) est une notion apparue au début des années 1950, en République Populaire de Chine. La gestuelle du xiqu, forme spectaculaire synthétique est alors identifiée comme la morphologie finale que la « danse » aurait prise d'un point de vue historique linéaire et qu'il s'agit d'extraire. Les expérimentations s'effectuent dans un contexte de construction d'un Etat socialiste pendant la Guerre froide. La dcc a ainsi la double vocation d'être un « langage », national, au service de livrets dont la visée est d'« éduquer le peuple » et de représenter la Chine sur la scène chorégraphique et diplomatique à l'Est comme à l'Ouest. Certains tendent à appliquer en priorité le mot d'ordre « apprendre de l'expérience avancée » des pays socialistes. D'autres profitent dès 1955 des premières tensions avec l'URSS et de la politique de coexistence pacifique menée en Asie pour orienter des recherches vers d'autres formes endogènes et exogènes, légitimant leur pratique comme une réponse à l'injonction de construire une forme nationale ou au mot d'ordre « rejeter l'ancien pour créer du nouveau ». Toutes ces pratiques, les œuvres qu'elles produisent et les discours construits pour les légitimer sont ainsi mises en contradiction selon les enjeux politiques intérieurs et extérieurs. Cette étude analyse ainsi les discours produits dans cette conjonction entre propagande nationale et diplomatie culturelle ainsi que l'articulation de ces discours et du contexte dans l'apparition et le devenir des œuvres et des acteurs relevant de la dcc
Chinese classical dance (ccd) is a concept which appeared in the early 1950s, in the People's Republic of China. The gestures of xiqu, a synthetic form of show, are identified as the final morphology that "Chinese dance" would have adopted from a linear historic perspective and that must be extracted. This was experimented in the context of the building of a socialist State during the Cold War. The ccd is consequently destined to be both a national "language", serving librettos aiming at "educating the people" and at representing China on the choreographic and diplomatic scene in the East as well as in the West. Some of them tend to implement first of all the catchword which is "learn from the advanced experience" of the socialist countries. Some others take advantage of the first tensions with USSR from 1955 and of the policy of peaceful coexistence led in Asia in order to direct researches towards other endogenous and exogenous forms, legitimating their practice as an answer to the injunction to build a national form or to the catchword "reject old forms to create new ones". All these practices, the pieces of work they produce and the speeches made up to legitimate them are thus opposed according to the domestic and foreign political stakes. Therefore this survey analyses the speeches performed in this convergence between national propaganda and cultural diplomacy as well as the organization of these speeches and the context within the first appearance and the future of the pieces of work and the practitioners relevant to ccd
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Sun, Jiangeng. "Un journalisme d’immersion limité et contraint : étude de la pratique des correspondants français en Chine". Thesis, Rennes 1, 2015. http://www.theses.fr/2015REN1G020.

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Abstract (sommario):
Dans un contexte de « mondialisation », les échanges entre cultures différentes favorisent une meilleure compréhension mutuelle entre les peuples du monde. Les correspondants de presse étrangers constituent des acteurs clés dans ce processus de médiation culturelle transnationale. Leur travail journalistique permet en effet à un public national de mieux connaître la culture dans laquelle ces correspondants sont immergés. Et par là contribuer à la compréhension culturelle entre le pays d’origine des correspondants et leur pays d’accueil. Notre recherche s’intéresse aux pratiques journalistiques des correspondants de presse français en Chine. Cet exemple permet de mettre en lumière des logiques de travail et des dispositifs de contrôle qui contraignent, directement ou indirectement, le travail de production de l’information. Nourries de nos enquêtes de terrain et d’approches théoriques, nos analyses permettent de montrer que les journalistes français présents en Chine constituent un microcosme social, à la fois relativement fermé sur lui-même et isolé de la société chinoise. Il s’agit le plus souvent de journalistes professionnels à la fois très diplômés et très expérimentés. Toutefois, en Chine, ils ne peuvent jamais exercer un « journalisme d’immersion » malgré leur présence sur place sur des durées relativement longues. Leur faible maîtrise du chinois opérationnel empêche une bonne partie des journalistes français de communiquer directement avec des Chinois. Ensuite, les conditions de réalisation de reportages subissent souvent des contraintes liées à la politique chinoise de régulation des journalistes étrangers en Chine. Enfin, leur accès aux sources d’information pèse également de manière décisive sur la production de l’information sur place
In a context of globalisation, cultural exchanges foster and increase a mutual understanding between peoples and cultures, all around the world. Foreign correspondents are key players in the transnational process of cultural mediation. Indeed, their journalistic work helps a national audience to achieve a better understanding of the culture in which these correspondents are immersed, and thereby contributes to cultural understanding between their home country and the host country. Our research focuses on the journalistic practices of French correspondents in China, and highlights the logics of work and the control devices that influence, directly or indirectly, the production of information and, generally speaking, the journalistic practice of foreign correspondents. Based on our field studies and theoretical approaches, our analysis aims at demonstrating that French journalists in China constitute a social microcosm, relatively closed on itself and isolated from the Chinese society. They are often professionals both highly qualified and very experienced. However, they can never really have recourse to the method of "immersion journalism" despite long periods of presence in China. Lots of French journalists cannot directly communicate with the Chinese population, because of their insufficient knowledge of the everyday language. Then their working conditions often face constraints of the Chinese's regulation policy towards foreign journalists. Finally, their limited access to information sources also has a major impact on the process of information production in China
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Feng, Jingyuan. "La présence de la Chine aux Expositions universelles françaises de 1855 à 1937". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2021. http://www.theses.fr/2021SORUL089.

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Abstract (sommario):
À leur apogée, les Expositions universelles ou internationales, marques des processus de mondialisation et de modernisation, ne manquaient pas une participation chinoise de multi-forme et multi-niveau dans le principal pays organisateur, la France. L’étude de la présence chinoise suit chronologiquement ces grandes manifestations déroulées à Paris, cas par cas, durant près d’un siècle. Les représentations traitées évoluaient avec le temps, selon le contexte international, la relation franco-chinoise et le régime politique. La question d’éclairer les faits et de préciser les limites de la place de ce pays aux Expositions universelles françaises se situe à l’origine de la présente étude. À la fin de la dynastie, des Douanes maritimes impériales sous la direction des étrangers influençaient fortement les procédures d’organisation. Témoins de la mutation de la vie économique, des pavillons nationaux à Paris dévoilaient tant le déséquilibre de la répartition géographique de commerce que la disparité de la structure industrielle dans ce pays. De manière parallèle, des manifestations culturelles et artistiques présentaient une continuité survivant aux changements. De plus, l’analyse de ces participations permet d’examiner l’éventuelle capacité de se présenter sur l’échiquier international, ainsi que d’évaluer de premiers efforts d’industrialisation chinoise. Cette thèse a pour ambition de dresser un bilan des participations chinoises en France, afin de contribuer à l’un des aspects de l’histoire des expositions de la Chine moderne
In their heyday, the World’s fairs, landmarks of the processes of globalization and modernization, did not lack a Chinese participation of multiform and multi-level in the main organizing country, France. The study of the Chinese presence follows chronologically these great events held in Paris, case by case, for nearly a century. The representations treated evolved with time, according to the international context, the Franco-Chinese relationship and the political regime. The question of clarifying the facts and specifying the limits of the place of this country in the French World’s fairs is the origin of the present study. At the end of the dynasty, imperial maritime customs under the direction of foreigners strongly influenced the organizational procedures. Witnessing the mutation of economic life, national pavilions in Paris revealed both the imbalance of the geographical distribution of trade and the disparity of the industrial structure in this country. At the same time, cultural and artistic events presented a continuity that survived the changes. Moreover, the analysis of these participations allows us to examine the possible capacity to present itself on the international scene, as well as to evaluate the first efforts of Chinese industrialization. This thesis aims to draw up an assessment of Chinese participations in France, in order to contribute to one aspect of the history of exhibitions in modern China
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Mihoubi, Selma. "La stratégie d’implantation de Radio Chine Internationale en Afrique de l’Ouest : un ancrage local aux visées globales". Thesis, Sorbonne université, 2020. http://www.theses.fr/2020SORUL049.

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Abstract (sommario):
Depuis le début des années 2010, les relais FM de Radio Chine Internationale s’installent dans les grandes villes des pays d’Afrique de l’Ouest. Largement investie économiquement dans la région, la Chine veut également contrôler son image par le biais de l’influence médiatique. Mais difficile pour Radio Chine Internationale de s’imposer dans une zone où les radios internationales des anciennes puissances coloniales comme Radio France Internationale et British Broadcasting Corporation dominent encore aujourd’hui le paysage médiatique. La régionalisation des radios publiques internationales est utilisée par les États pour leur propre rayonnement au-delà des frontières politiques. Grâce à une diplomatie offensive et un ancrage territorial stratégique, RCI a réussi progressivement son implantation, pour participer aux ambitions globales du pouvoir communiste chinois : l'objectif étant le contrôle des opinions publiques africaines, pour faire entendre sa voix sur la scène internationale, au même titre que les partenaires traditionnels des pays ouest-africains
Since 2010, China Radio International’s FM relays stations were set up in big West African cities. China invested heavily in Sahelian countries development, and therefore needs to control its image using media influence. At first, China International Radio had a very hard time penetrating this region where international radios from former colonial powers as Radio France Internationale and British Broadcasting Corporation still pervade. Nations use international broadcasters’ regionalization beyond their political borders to work on their own global power of influence. CRI managed its implementation using a vibrant diplomacy and a strategic regional anchoring in order to serve the Communist Party of China. The main goal stands in the supervision of public opinion, to make its voice heard on the international stage the same way as West African countries’ traditional partners
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Ponthus, Laure. "La politique culturelle de la République populaire de Chine en Afrique Subsaharienne francophone de la conférence de Bandung à 2015 : soixante ans d'instrumentalisation de la culture". Thesis, Lyon, 2017. http://www.theses.fr/2017LYSE3048/document.

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Abstract (sommario):
Depuis le début du vingt-et-unième siècle, la République Populaire de Chine (RPC) est engagée dans une spectaculaire offensive de charme sur le continent africain. Cette stratégie chinoise n’est pas nouvelle et s’inscrit dans le cadre légal fixé par la Déclaration finale de la conférence de Bandung de 1955. Depuis cette date, et davantage depuis la création du FOCAC en 2000, l’importance de l’Afrique dans la quête d’influence globale de la Chine Populaire n’a cessé de croitre, alliant désormais influence économique et influence culturelle. L’Afrique subsaharienne francophone est un terrain propice à l’étude de cette nouvelle stratégie chinoise. Ce cadre spatial nous permet de constater qu’à travers les Instituts Confucius, les médias publics chinois et la médecine chinoise dite « traditionnelle » (MTC), les dirigeants chinois entendent tout mettre en œuvre afin de préserver leurs intérêts économiques en Afrique et faciliter l’intégration de leurs entreprises et communautés diasporiques. Précisons tout de même qu’à travers l’apprentissage du mandarin, les africains parviennent à tirer avantage de ce soft power chinois. Toutefois, la relative intégration des chinois, le caractère propagandiste des IC et médias chinois, ainsi que le recourt par les entreprises chinoises basées en Afrique à de l’importation de main d’œuvre, pratique encore en vigueur aujourd’hui, contribuent à ternir l’image de la Chine Populaire auprès des opinions publiques africaines. En outre, cette percée culturelle chinoise en Afrique subsaharienne francophone a eu un impact notoire sur la diplomatie culturelle du partenaire historique, la France, mais aussi sur la Francophonie. De ce fait, elle contribue à une redéfinition des rapports de forces et a induit l’émergence de partenariats trilatéraux
Since the beginning of the twenty-first century, the People's Republic of China (PRC) has embarked in a spectacular charm offensive in Africa. This Chinese strategy is not new and falls within the legal framework established by the Bandung Final Declaration of 1955. Since then, and particularly since the establishing of FOCAC in 2000, the importance of Africa for the Global influence of the People's Republic of China has continued to grow, combining economic influence with cultural influence. Francophone sub-Saharan Africa is a good ground for studying this new Chinese strategy. This space frame allows us to see through the Confucius Institutes, the Chinese public media and the “traditional Chinese medicine (TCM)”, the Chinese leaders intend to make every effort to preserve their economic interests in Africa and facilitate the integration of their businesses and diasporic communities. It should be noted that Africans are able to take advantage of this Chinese soft power. However, the relative integration of Chinese, the propagandist character of IC and the Chinese media, as well as the importation of labor by the Chinese companies’ bases in Africa, contribute to tarnish the image of Popular China among African public opinion. In addition, this Chinese cultural breakthrough in francophone sub-Saharan Africa has had an endless impact on the cultural diplomacy of the historical partner, France, and also on Francophonie. As a result, it contributes to a redefinition of the balance of power and to the emergence of trilateral partnerships
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Liu, Kaixuan. "Le miroir chinois : les attitudes françaises face à la Chine dans les milieux politique, diplomatique, intellectuel et médiatique, de 1949 au milieu des années 1980". Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2019. http://www.theses.fr/2019IEPP0009.

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Abstract (sommario):
L’évolution des attitudes françaises face à la Chine entre 1949 et le milieu des années 1980 peut être divisée en trois phases. Entre l’établissement de la République populaire de Chine en 1949 et la rupture sino-soviétique au début des années 1960, la Chine est perçue par les observateurs français comme un pays communiste soviétisé, tant sur le plan intérieur que sur le plan diplomatique. L’attitude des Français vis-à-vis de cette Chine traduit leurs positionnements dans les confrontations de la guerre froide. La Chine est considérée selon les différents milieux comme un pilier du mouvement communiste international, une alternative plus humaine au communisme soviétique, ou une menace « jaune et rouge » pour l’Occident. Ensuite, pendant la période qui va de 1963 à la fin de la Révolution culturelle en 1976, la Chine n’est plus perçue comme un membre du camp communiste. La rupture sino-soviétique et la Révolution culturelle donnent naissance à l’idée d’un « modèle chinois », même si elle prend des formes différentes selon les observateurs. Pour les uns, la Chine représente l’espoir de la régénération du communisme ; pour les autres, elle applique un système opposé au monde industrialisé et nullement imitable ailleurs. La troisième phase couvre la période de 1976 au milieu des années 1980, pendant laquelle les rapports des Français à la Chine se normalisent. La passion française pour les relations franco-chinoises s’estompe, et les opinions françaises sur la Chine sont devenues plus lucides
The evolution of French attitudes towards China between 1949 and the mid-1980s can be divided into three phases. Between the establishment of the People's Republic of China in 1949 and the Sino-Soviet split in the early 1960s, China is perceived by French observers as a Sovietized communist country, both domestically and diplomatically. Attitudes of French people towards this China reflect their positions in the confrontations of the Cold War. China is considered in different spheres as a pillar of the international communist movement, a more humane alternative to Soviet communism, or a "yellow and red" threat to the West. Then, during the period from 1963 to the end of the Cultural Revolution in 1976, China is no longer seen as a member of the communist camp. The Sino-Soviet split and the Cultural Revolution give birth to the idea of a "Chinese model", even if it takes different forms according to different observers. For some, China represents the hope of the regeneration of communism; for the others, it applies a system opposed to the industrialized world and not at all imitated elsewhere. The third phase covers the period from 1976 to the mid-1980s, during which the relations between French people and China normalize. France's passion for Franco-Chinese relationship is fading, and French views on China became more lucid
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Gagnon, Jean-Philippe. "La diplomatie populaire d'American Friends of the Chinese people (1937-1945)". Mémoire, 2006. http://www.archipel.uqam.ca/3210/1/M9475.pdf.

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Abstract (sommario):
La Seconde Guerre mondiale provoque aux États-Unis une transformation des conceptions sur la Chine et les Chinois, et ce, à plusieurs chapitres. Parmi ces changements s'opère une métamorphose au sein de l'opinion publique américaine à l'égard de ceux qui incarnaient autrefois le « péril jaune » et sont soudainement devenus des alliés. Mais il faut attendre l'attaque japonaise sur la flotte américaine de Pearl Harbor, en décembre 1941, pour que les États-uniens prennent véritablement conscience du problème auquel la Chine fait face dans le conflit qu'elle mène contre le Japon depuis juillet 1937. Dans l'intervalle, des groupes de citoyens tentent de susciter auprès de l'opinion publique américaine un intérêt qui l'amènera à soutenir en force la Chine et les Chinois dans leur guerre de résistance. Parmi ceux-ci, American Friends of the Chinese People (AFCP), une organisation communiste new-yorkaise, s'attache à éveiller la sympathie du public à l'égard de la Chine et des Chinois. Ses membres mettent sur pied une campagne de propagande prochinoise qui gagnera en envergure dès les débuts du conflit sino-japonais. Ce mémoire scrute diverses voies d'affirmation de la campagne de séduction de l'AFCP met en oeuvre et qui prendra, dans cette étude, la dénomination de « diplomatie populaire ». Il parcourt les grandes stratégies employées (lobbying politique, boycott organisé, campagnes d'éducation) et les changements de perspective proposés sur l'image de la Chine et des Chinois (modernisation chinoise, avancement de la cause des femmes, mise en valeur de la jeunesse). Il discute aussi du problème racial auquel sont confrontés les tenants de la diplomatie populaire: les afro-Américains comme communauté ciblée par diverses campagnes de propagande, l'exacerbation du sentiment anti-japonais et ses dangers, l'aryanisation des Chinois et la place des communautés chinoises du pays dans la diplomatie populaire. Cette étude se veut vraisemblablement la première à s'appuyer principalement sur les périodiques China Today, l'organe de l'AFCP, et Amerasia, une revue aux prétentions académiques. Elle tente aussi d'apporter des éléments de compréhension sur un phénomène rare: une campagne prochinoise menée par une organisation civique « blanche », ne provenant donc pas des abords des grands quartiers chinois du pays. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Chine, États-Unis, Image, Relations raciales, Propagande, Communisme, XXe siècle.

Libri sul tema "Diplomatie publique – Chine":

1

Kölbl, Otto. La Chine vue d'Occident: Au-delà de la contre-façon? Charmey: Editions de l'Hèbe, 2010.

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1954-, Ross Robert S., a cura di. After the Cold War: Domestic factors and U.S.-China relations. Armonk, N.Y: M.E. Sharpe, 1998.

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Muthiah, Alagappa, a cura di. Taiwan's presidential politics: Democratization and cross-strait relations in the twenty-first century. Armonk, N.Y: M.E. Sharpe, 2001.

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Rozman, Gilbert. The Chinese debate about Soviet socialism, 1978-1985. Princeton, N.J: Princeton University Press, 1987.

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Yang, Michelle Murray. American Political Discourse on China. Taylor & Francis Group, 2017.

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Yang, Michelle Murray. American Political Discourse on China. Taylor & Francis Group, 2017.

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Yang, Michelle Murray. American Political Discourse on China. Taylor & Francis Group, 2017.

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Yang, Michelle Murray. American Political Discourse on China. Taylor & Francis Group, 2017.

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9

Yang, Michelle Murray. American Political Discourse on China. Taylor & Francis Group, 2019.

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10

Alagappa, Muthiah. Taiwan's Presidential Politics: Democratization and Cross-Strait Relations in the Twenty-First Century (Taiwan in the Modern World). East Gate Book, 2001.

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