Tesi sul tema "Derrida, Jacques (1930-2004) – Cinéma"

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Nardin, Patrick. "Effacer, déconstruire, défaire : pratiques de la défaillance en peinture, vidéo, cinéma". Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010575.

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Abstract (sommario):
A partir du geste de Robert Rauschenberg, en 1953, effaçant un dessin de Willem De Kooning, s'est établi dans l'art une notion paradoxale de "supplément négatif". La pensée cesse alors d'être absolument affirmative pour agir en creux dans une réinterprétation des acquis. La défaillance ne relève pas ici du dysfonctionnement, mais de la révélation d'une technicité singulière. Peinture, vidéo, cinéma, peuvent constituer ensemble le champ de référence où s'exercent de telles méthodes, fondées sur une philosophie de la perte et de la disparition. Ce travail conduisant à défaire l'existant relève d'une déconstruction au sens défini par M. Jacques Derrida. Les appareils n'apparaissent plus ici comme des enregistreurs passifs dépendants de leur programmation industrielle, mais comme ce qui est en mesure de former une visibilité. Il se crée un état indécis des oeuvres; la thèse vise à établir que cette indécision est essentielle à la définition de l'expérience esthétique' contemporaine.
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Stadelmaier, Philipp. "kommentare zum (post-)kino : Serge Daneys kritiken (1962 – 1992) und Jean-Luc Godard „histoire(s) du cinéma“ (1988 – 1998)". Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2020. http://www.theses.fr/2020PA080012.

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Abstract (sommario):
Le présent travail se propose de mettre en regard les écrits du critique de cinéma Serge Daney et les Histoire(s) du cinéma de Jean-Luc Godard, qui constituent le corpus de la thèse. Nous interpréterons les critiques de Daney et les montages de Godard comme des critiques au sens de Maurice Blanchot et comme des commentaires au sens de Michel Foucault. En tant que tels, ils aboutissent à un supplément de signification (un « supplément du cinéma ») au sens de Jacques Derrida. Chez Blanchot, la critique achève l’œuvre (dans notre cas : le film) grâce à l’interprétation. Chez Derrida, le supplément signifie un manque de signification dans le mouvement de l’écriture, ce qui nous permet de suggérer que le cinéma est, au-delà du film lui-même, un agencement de significations en constante évolution et dont le dernier sens reste toujours à venir. À la suite de Michel Foucault, nous envisageons cet agencement comme un référent épistémologique concret, un grand texte primaire sans cesse répété par un commentaire qui préserve le caractère inépuisable de ses significations. Ainsi, nous interprétons les œuvres de Daney et de Godard à l’aune du post-cinéma. À l’heure où le cinéma ne cesse d’investir de nouveaux espaces et de nouveaux supports, il devient difficile de le définir. Contrairement à ceux qui l’appréhendent à partir de son dispositif, de ses lieux et de ses supports, nous le concevons comme un grand texte primaire à interpréter et à compléter. En tant que commentateurs, Daney et Godard enrichissent ce texte – le cinéma – de nouvelles significations. Ils perpétuent ainsi la nécessité d’en produire sans cesse de nouvelles exégèses et assoient son autorité
This thesis deals with the works of film critic Serge Daney and Jean-Luc Godard’s Histoire(s) du cinema, which I will interpret on the basis of Maurice Blanchot’s notion of “critique”, Jacques Derrida’s notion of “supplément” and Michel Foucault’s concept of “commentaire”. I will argue that Daney’s texts and Godard’s montages function as criticism and commentaries that perpetuate a “supplement of cinema”. While Blanchot's criticism “completes” the work of art (in this case the film) by interpreting it, Derrida's supplement signifies a lack of meaning in the act of writing, Foucault's notion of commentary allows to go beyond the dimension of the singular work and to refer to cinema as a concrete epistemological object, a primary text ("the cinema"). According to Foucault the commentary repeats a primary text while preserving its inexhaustible potential of meaning. Based on this thought, I will approach Daney’s and Godard's works from a post-cinema perspective. In the digital age in which cinema has undergone various transformations, the meaning of the concept of “cinema” is constantly being re-evaluated. Unlike a general understanding of cinema as apparatus, place or specific medium, I conceive cinema as a text that constantly needs to be interpreted and supplemented
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Regazzoni, Simone. "Jacques Derrida e la decostruzione del politico". Paris 8, 2005. http://www.theses.fr/2005PA082526.

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Abstract (sommario):
La déconstruction du poltique dans le travail de J. D. Est conçue comme réponse à un processus de déconstruction en cours dans les choses mêmes. Cette réponse s'articule comme déstabilisation de l'héritage conceptuel de la tradition onto-théologico-poltique qui, à partir de Platon, a pensé le politique comme espace de l'Un communautaire et souverain dans lequel la vie s'articule dans la dimension du vivre-avec. Nous avons essayé de reconstruire l'articulation de cette réponse qui touche aux concepts de loi, vie, souveraineté, démocratie, en tenant compte du corpus entier des oeuvres de J. D. En effet, nous pensons qu'on ne peut pas comprendre la portée de la déconstruction du poltique sans tenir compte du travail de déconstruction de l'héritage philosophique et de la structure logocentrique. Notre travail d'interprétation a été conçu, du point de vue méthodologique, selon trois différents niveaux: le commentaire, l'interprétation active, l'approfondissement de certains thèmes
The deconstruction of the political in the works of J. D. Is conceived of as an answer to a process of deconstruction that is going on within the things themselves. This answer is articulated as a destabilization of the conceptual legacy of the onto-theological-political tradition, which starting from Plato has thought of the political as a space of the communitarian and sovereign One. We have tried to reconstruct the articulation of this answer, which deals with the concepts of law, life, sovereignty, democracy, by taking into account the whole derridian corpus. Indeed, we think that it is not possible to understand the scope of the deconstruction of the political without analyzing the deconstructing work carried out on the philosophical legacy and the logo-centric structure. From a methodological standpoint, our task has been performed according to three different ways of reading: the commentary, the active interpretation and the scrutiny of some specific themes
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Thorsteinsson, Björn. "La question de la justice chez Jacques Derrida". Paris 8, 2005. http://www.theses.fr/2005PA082488.

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Abstract (sommario):
La déconstruction est la justice : affirmation surprenante, avancée par Jacques Derrida dans une conférence en 1989. L'objectif ultime de la thèse ici en question revient à l'élucidation de cette égalité. La tâche ainsi définie s'est avérée appeler, en premier lieu, une étude détaillée de ce qui s'appelle, chez Derrida, " la différance " ; en second lieu, une analyse de " la déconstruction " ; en troisième lieu, une mise en scène de la relation intime et complexe qu'entretient la pensée de Derrida avec la philosophie, surtout en tant qu'entreprise systématique et dialectique ; et, en dernier lieu, un rétablissement du contexte à l'intérieur duquel se pose le rapport entre déconstruction et justice. Cette étape finale de l'exposé s'est révélé commander une explication nuancée de la différence entre Derrida et Heidegger au sujet de la temporalité. Il y va d'une certaine disjointure du temps, sans laquelle il n'y aurait pas de justice
In a lecture given in 1989, Jacques Derrida made the somewhat surprising declaration that “deconstruction is justice”. The main objective of the thesis in question can be formulated as the elucidation of this equivalence. Thus defined, the task turned out to demand, first, a detailed study of what is called, in Derrida's writings, “différance”; second, an analysis of “deconstruction”; third, a re-enactment of the intimate and complex relation between Derrida and philosophy, particularly in its systematic and dialectic form; and lastly, an investigation into the context in which the relation between deconstruction and justice appears. This final phase of the exposition turned out to necessitate a thorough investigation of the difference between Derrida and Heidegger with regard to temporality, the focal point of which is the so-called disjointure of time – without which there would be no justice
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Rezende, de Souza Pinto Gabriel. "Droit et Normativité chez Jacques Derrida". Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2018. http://www.theses.fr/2018PA080114.

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Abstract (sommario):
Depuis la fin des années 1980, un débat s’est installé, parmi les commentateurs de Jacques Derrida, sur l’existence ou non d’un « tournant éthique » dans l’œuvre de cet auteur. Les partisans de l’un et l’autre bord ne sont d’accord ni sur la signification du terme « tournant » ni sur la signification du terme « éthique » ; ils partagent pourtant un même présupposé : Derrida ne peut pas être un normativiste. Le présent travail vise à contester ce consensus de fond qui oppose la déconstruction aux normes. Tout en refusant les lectures qui privilégient des périodisations abstraites (un jeune Derrida et un Derrida tardif, par exemple), nous montrons que le problème de la normativité est, dès le départ, contigu à la déconstruction du logocentrisme. Le fait que la métaphysique occidentale ait toujours refoulé l’écriture et la logique de la trace détermine une configuration particulière du champ pratique. À l’intérieur de celui-ci, la vérité des normes fut pensée comme l’intimité d’une voix de commandement : voilà qui est le logonomocentrisme. Tout comme Derrida défend qu’une certaine archi-écriture est la condition de possibilité de la parole — et de l’apparaître en général —, nous soutenons qu’un archi-droit est la condition de possibilité de la normativité. « Écriture » et « droit » se forgent un destin commun. Les éléments traditionnellement employés pour décrire, en termes métaphysiques, leur condition secondaire et soumise seront repris, ici, pour penser un excès qui met le champ pratique en mouvement : « distance », « supplément », « représentation », mais aussi « institution », « arbitraire », « violence » et « technique »
Since the late 1980s, there has been a disagreement among Derrida scholars as to whether or not there is an « ethical turn » in his philosophy. Although the meanings of the terms « ethical » and « turn » still divide commentators, partisans of both camps presuppose one thing: Derrida cannot be a normativist.This dissertation challenges the tacit consensus among these commentators, namely, that Derrida’s philosophy is opposed to « norms ». Rejecting the distinction between a « young » and a « late » Derrida, we show that the problem of normativity has been correlated with the deconstruction of logocentrism since his earliest works. The fact that Western metaphysics has always repressed writing and the logic of the trace determines a particular configuration of the field of practical philosophy. Within this framework, normative truth is conceived as the intimacy of a commanding voice: we call this logonomocentrism. Just as Derrida argues that « archi-writing » is the condition of possibility of all speech — and appearance in general — we argue that « archi-law » is the condition of possibility of normativity. Hence, « writing » and « law » share a common destiny. The traditional elements used to describe, in metaphysical terms, the secondarity (and submission) of law and writing allow us to think an excess that puts into motion the field of practical philosophy : « distance », « supplement », « representation », but also « institution », « arbitrary », « violence » and « technique »
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Rocha, Alvarez Delmiro. "Mort du dynaste : la contamination itérable du propre chez Jacques Derrida". Lille 3, 2010. http://www.theses.fr/2010LIL30046.

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Abstract (sommario):
Cette thèse doctorale propose la division de la souveraineté. Dès son commencement et dès son principe divisés, cette thèse constitue d'elle-même une division de la souveraineté. Première division : l'idée de souveraineté en tant qu'une et indivisible, qui remonte au moins à la conception de l'Etat moderne, perd cette frontière, cette division historique, dès lors que l'on va voir que la souveraineté a toujours été une et indivisible en raison justement de ses assises théologico-politiques. Car jamais celle-ci n'a constitué une souveraineté mais, plus précisément, la souveraineté qui est une. L'on va présenter la division de la souveraineté comme la prépondérance de cet article indéfini, "une", qui divise et partage. Deuxième division : auto-immunité de la souveraineté. C'est à travers la division des dynasties que se divise la souveraineté. L'appropriation de ce qui est propre va produire la mort du dynaste. Malgré tout, l'exappropriation va demeurer en tant que souveraineté en division. Troisième division : c'est à travers le lexique de la souveraineté que l'on va développer, de façon parallèle, cette autre fable qui prétend qu'il y a une division du corps derridien "proprement" dit. Quatrième division : une fois que l'on aura démasqué, voire démystifié, une certaine façon de concevoir la souveraineté, laquelle affirmait l'unité et l'indivisibilité de celle-ci, l'on va proposer une division effective de la souveraineté que l'on va donc, très précisément, exposer à partir de l'université ainsi que proposer pour l'université. Une souveraineté dans condition pour l'université s'opposant et faisant obstacle à l'inconditionnalité de la souveraineté
This doctoral dissertation proposes the division of sovereignty. From its divided beginning and principal, this dissertation constitutes by itself a division of sovereignty. First division : the idea of sovereignty insofar as one and indivisible, that hearkens back at least to the conception of the modern State, loses this border, this historical division, as soon as one sees that sovereignty, the sovereignty, has always been one and indivisible because precisely of its theologico-political bases. For the sovereignty has never constituted one sovereignty, but, more precisely, the sovereignty that is one. We will present the division of sovereignty as the preponderance of the indefinite article, a, that divides and is shared, is shorn. Second division : auto-immunity of sovereignty. It is through the division of dynasties that sovereignty is divided. The appropriation of what is proper will produce the death of the dynast. In spite of all, the ex-appropriation will remain as a sovereignty of division. Third division : it is through the lexicon of sovereignty that we will develop, in parallel fashion, this other fable that pretends that there is a division of the "Derridian" corpus "properly" speaking. Fourth division : once we will have unmasked, verily demystified, a certain fashion of conceiving sovereignty, that itself affirmed the unity and the indivisibility of itself, we will propose an effective, a real, division of sovereignty that we will, therefore, very precisely, expose starting with the university, as well as propose for the university. A sovereignty without condition for the university opposes and constitutes an obstacle for the unconditionality of sovereignty
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Contreras, Guala Carlos. "Éthique et politique dans l'œuvre de Jacques Derrida". Paris 8, 2008. http://octaviana.fr/document/145514641#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract (sommario):
Nombreux sont les auteurs qui s'accordent à penser que la seconde moitié du siècle qui vient de s'écouler apparaît stigmatisée par la tendance à un certain désintérêt pour les domaines éthique et politique. C’est ainsi que la déconstruction a été taxée d'immoralité et d'irresponsabilité. Cependant, quelques lecteurs ont abordé directement les relations entre politique, éthique et déconstruction dans le but d'apporter la lumière sur ces relations. En général, ces derniers postulent qu'il y aurait un tournant, un ethical and political turn dans l'œuvre derridienne. Face à ces problèmes, il s'agit de montrer, d'une part, que la dimension politique et éthique est présente dans l'œuvre de Jacques Derrida et, d'autre part, que s'il y a certes des implications éthico-politiques dans les écrits derridiens, celles-ci ne configurent pas un turn ; il s'agirait plutôt de l'évolution dans le développement d'une pensée engagée dans les apories de l'éthico-politique. La Première partie traite des difficultés que présente l'écriture de Derrida pour tout lecteur qui s'aventure dans ses textes. La Deuxième partie est consacrée au développement des notions de responsabilité, décision, justice et de ce que nous appellerons structure aporétique de la déconstruction. La Troisième partie s'intéresse à la relation entre littérature et démocratie. Dans la Quatrième partie, nous ferons un examen de la notion d'engagement moyennant une plongée dans les concepts de responsabilité, de décision et dans les opinions de Derrida sur les media. Enfin nous tenterons de proposer une approche des concepts d'éthique et de politique, et de la nécessité de la déconstruction pour pouvoir penser les conditions de la possibilité – et de l'impossibilité -, de ces concepts
Many authors agree that the second half of the 20th century seemed to be marked by a certain disinterest in the ethical and political arenas. That is why Deconstruction has been accused of immorality and irresponsibility. However, when reading Derrida's Deconstruction texts, some specialists have attempted to discover and reveal the relationships he established between politics, ethics, and Deconstruction. These specialists claim that there is an ethical and political turn in Derrida's work. In this thesis, we propose, firstly, that both politics and ethics are present in Derrida's work. Secondly, that if there are any ethical and political implications in Derrida's writings, they would not constitute a turn but an evolution of a way of thinking actively involved in ethical and political aporias. In the first part, we present the difficulties any reader might encounter when reading Derrida. The second part is devoted to the development of concepts such as responsibility, decision, justice and what we call Deconstruction's aporetic structure. The third part deals with the relationship between literature and democracy. In the fourth part, we examine the notion of involvement through the concepts of responsibility, decision, and Derrida's opinions about the mass media. Finally, we explore the concepts of ethics and politics and also the necessity for Deconstruction when thinking about the conditions of possibility and impossibility of those concepts
Muchos autores coinciden al afirmar que la segunda mitad del siglo recién pasado aparece marcada por la percepción de cierta despreocupación por el ámbito ético y político. Es así que la desconstrucción ha sido acusada de inmoralismo e irresponsabilidad. Sin embargo, también ha habido ciertos lectores que abordan directamente las relaciones entre política, ética y desconstrucción con el propósito de revelar y exponer dichas relaciones. En general, estos últimos lectores postulan que habría un ethical and political turn en la obra derrideana. Frente a estos problemas se pretende plantear, por una parte, que el problema de lo político y lo ético en la obra de Jacques Derrida está presente y, por otra parte, que, en efecto, si hay implicancias ético-políticas en los escritos derrideanos, éstas no se configurarían como un turn, sino que se trataría más bien de la evolución de un pensamiento comprometido en las aporías de lo ético-político. La Primera Parte se presentan las dificultades que plantea la escritura de Jacques Derrida ante cualquier lector que se aventure en sus textos. La Segunda Parte está consagrada al desarrollo de las nociones de responsabilidad, decisión, justicia y de lo que llamaremos estructura aporética de la desconstrucción. La Tercera Parte se ocupa de la relación entre la literatura y la democracia. La Cuarta Parte hará un examen de la noción de compromiso a través de una revisión de los conceptos de responsabilidad, decisión, y de las opiniones de Derrida a propósito de los media. Por último, intentamos una aproximación a los conceptos de ética y política, y a la necesidad de la desconstrucción para poder pensar las condiciones de posibilidad – y de imposibilidad –, de dichos conceptos
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Biset, Emmanuel. "Violencia, justicia y política : una lectura de Jacques Derrida". Paris 8, 2009. http://www.theses.fr/2009PA083079.

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Abstract (sommario):
Ce que la thèse essaie de montrer est qu'il existe une "tension" dans les textes de Derrida entre violence et justice. Que, bien que dans l'une ou l'autre étape on mette l'accent sur des choses différentes, la dite tension n'est jamais résolue. Il est possible d'établir des liens avec d'autres tensions de la pensée politique, même avec quelques-unes travaillées par l'auteur lui-même comme celle qui a lieu entre Lévinas et Kant. Il n'est pas le cas d'établir ici ces multiples rapports, mais d'indiquer que quand l'accent est mis sur la violence ou sur la justice, des sens différents de la coappartenance sont configurés. Si l'implication réciproque de philosophie et politique acquiert une nouvelle signification, la philosophie, la politique et le lien qui les unit sont redéfinis. Le déplacement d'accent montre, en fin de compte, une tension entre les façons de penser la coappartenance. Cette tension a été l'hypothèse de lecture proposée. Hypothèse qui est très importante quand on la replie sur les présupposés d'où part la thèse. En dernier ressort, la tension développée dans la thèse montre que face à l'absence de fondements on étend le politique jusqu'à ce qu'il occupe un lieu structural, mais pour cette même raison le problème du comment de cette politique surgit. Le retour du politique est concomitant de la réapparition du problème de la justice. Et si la thèse commençait avec une incommodité, non réductible au problème, c'est parce que la difficulté d'articuler une pensée sur le politique - sur le vivre-ensemble - qui aborde le comment de l'excédent y apparaissait. La tension entre violence et justice, celle qui a été parcourue dans et par la thèse, est une façon d'habiter cette incommodité qui initiait la thèse
The object of this writing presents an hypothesis of lecture of Jacques Derrida philosophy. Because of this, the text presents the general result of a major investigation about Derrida's reading. This has two objectives: first, to point out the different shades that Derrida'philosophy acquires throughout time; second, to show that this shades suggest a tension between an irreductible violence and a irreductible hospitality; third, insert this tension inside specific discourse tradition: the political philosophy
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Ruff, Pierre-Yves. "Derrida, l'ecriture et la place de l'autre". Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 1996. http://www.theses.fr/1996STR20053.

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Abstract (sommario):
Cette these est, d'emblee, un parcours de lecture ou une traversee. Le propos n'est pas de degager des "contenus" de pensee, places sous la signature de derrida. Il s'agit bien plutot - dans la mesure ou ce serait possible - d'oeuvrer a l'interieur du texte de derrida, a la facon dont lui-meme aborde les ecrits qu'il lit, cela implique une attention minutieuse a l'ecriture et, en ce cas precis, la revendication d'une proximite mimetique parfois vertigineuse. Deux chapitres, eux-memes divises en paragraphes, faconnent a eux seuls l'architecture singuliere de la these. Le premier conduit de la "fin du livre" a l'estompement s'annoncant sous la rature; le second tente un nouveau depart, et conduit jusqu'a l'imminence de la venue de l'autre. Ces deux chapitres sont ainsi les deux versants incurves d'un parcours singulier, lequel est avant tout la marque d'une reconnaissance, le signe sans signature d'une marche reglee sur le pas de l'autre: derrida
This thesis is, first of all, a journey through or across derrida's work. Its purpose is not to untangle the "content" of the thought signed derrida. It aims rather - in so much as it is possible - to work within derrida's text in the same way he himself approaches the works that he reads. This implies a close attention to writing and in this particular case demands an approximate if at times vertiginous textual mimesis. Two chapters themselves divided into paragraphs alone form the uncommun architecture of the thesis. The first one leads from the "end of the book" to the blurring which becomes apparent under the erasure; the second one attempts a new departure under the title of the call and leads to the imminent arrival of the other. Thus, these two chapters are the two curved slopes of a single journey, which is above all the mark of a recognition, the unsigned sign of a trajectory accomplished in the pas of the other derrida
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Bovo, Elena. "La pensée d'autrui chez Emmanuel Levinas et Jacques Derrida". Paris 12, 2002. http://www.theses.fr/2002PA120039.

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Abstract (sommario):
C'est à partir d'un dialogue avec la phénoménologie husserlienne et heideggerienne que Lévinas et Derrida élaborent leurs conceptions de l'identité du moi. C'est une identité précaire qui est à la fois rendue possible et menacée par autrui. La première partie de ce travail met en lumière les points problématiques et féconds impliqués dans la réflexion husserlienne de l'altérité ainsi que l'enracinement de certains concepts lévinassiens dans une telle réflexion. Dans la deuxième partie une attention particulière est prêtée au développement et au changement de la conception lévinassienne du moi et d'autrui dans les textes postérieurs à Totalité et Infini. Dans ces textes un nouveau concept de mort est aussi à l'œuvre. Dans la troisième partie un tel concept, qui s'oppose explicitement à la conception heideggerienne de la mort, est mis en relation avec la réflexion derridienne du deuil impossible, réflexion qui analyse les conséquences de la perte d'autrui dans la constitution du moi
It is from a dialogue with the husserlien and the heiddegerien phenomenology that Lévinas and Derrida elaborate their concept of the identity of the self. It is a precarious identity, which is at the same time made possible and threatened by the other. The first part of the thesis throws light on the problematic and fertile points implicated in the husserlien reflection of otherness, as well as on the roots of some levinasien concepts in this reflection. In the second part, a special attention is given to the development and the change of levinasien conception of the self and the other, in the texts posterior to Totalité et Infini. In these texts, a new concept of death is introduced as well. In the third part, this concept of death, which explicitly opposes the heideggerien concept of death, is compared with derridien reflection of impossible mourning, a reflection that examines the consequences of the loss of the other for the constitution of the self
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Arakané, Naoto. "Dialectique et déconstruction : Derrida face à Hegel : thèse". Nice, 2003. http://www.theses.fr/2003NICE2002.

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Abstract (sommario):
Cette thèse analyse le rapport de Jacques Derrida à Hegel, ce que Derrida a écrit face à Hegel, ce qui s'est passé entre la déconstruction derridienne et la dialectique hégélienne. Elle suit l'évolution de ce rapport en s'appuyant sur un recensement presque exhaustif des références faites à Hegel dans l'oeuvre de Derrida, et sur la lecture de tous les textes de Derrida dominés par la présence de Hegel. Les points principaux abordés dans ce travail sont : 1) La filiation conceptuelle qui va, chez Derrida de la dialectique à la différence. 2) Le rapport de Hegel à la métaphysique et le rapport de Georges Bataille à Hegel, selon Derrida. 3) La lecture de l'article de Derrida consacré à la sémiologie hégélienne : Le puits et la pyramide. 4) la stratégie générale de la déconstruction, élaborée dans trois textes : Positions, Hors livre et Tympan. 5) La lecture de Glas, le livre majeur de Derrida sur Hegel. 6) Le rapport ou le non-rapport de Derrida à Hegel après Glas
This thesis analyzes Jacques Derrida's relation to Hegel, what Derrida wrote when facing Hegel, what is the relation between Derrida's deconstruction and Hegel's dialectics. It follows the evolution of this relation, based on an almost exhaustive inquiry of the references to Hegel in Derrida's work, and on the reading of all the texts of Derrida dominated by Hegel's presence. Here are the main subjects : 1) The conceptual filiation which goes, in Derrida, from dialectics to differance. 2) Hegel's relation to the metaphysics and Georges Bataille's relation to Hegel, according to Derrida. 3) The reading of Derrida's article about Hegel's semiology : Le puits et la pyramide. 4) The general strategy of deconstruction, elaborated in three texts : Positions, Hors livre and Tympan. 5) The reading of Glas, Derrida's major book on Hegel. 6) The relation or the non-relation of Derrida to Hegel after Glas
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Potestà, Andrea. "L'enchantement de l'éthique : Heidegger et Derrida face à l'abîme". Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2007. http://www.theses.fr/2007STR20075.

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Abstract (sommario):
Y a-t-il une dimension éthique du questionnement de Heidegger ? Quelle lutte avec l'indéfinissable entraîne-t-il par le recours à l'impensé ? Comment demeurer devant l'abîme, dans l'enchantement ou la syncope du sens ? Par ces questions on cherche à interroger l'errance idéologique heideggérienne des années 30 en référence à la notion d'être-avec. On entreprend ensuite un chemin dans l'injonction interdisante de la différ"a"nce derridienne en l'entendant comme une piste résolutive vis-à-vis de l'idéologie. Mais devant l'aporie qu'elle laisse affleurer au sein de la pensée, on se demande s'il est possible de proposer une éthique comme pratique questionnante capable de demeurer devant l'absence du sens sans cependant abandonner l'impatience d'une "force d'action" c'est-à-dire tout en étant capable de faire de l'abîme, non tant un objet plus ou moins sensé à contempler ou à repousser à l'infini, mais ce seulement à partir de quoi une incessance d'irradiations de sens peut avoir lieu
Is there an ethical dimension in Heidegger's questioning ? What struggle with the indefinable does he engage in by turning to the unthought ? How is it possible to stand in front of the abyss in an enchantment or in syncope of meaning ? Through the questions we propose to interrogate Heidegger's ideological wanderings in the Thirties, related to the notion of being-with. We then undetake a journey through the forbidding injunction of Derrida's differance, by interpreting it as a way to face ideology. But in the face of the aporia that comes to the thought, we ask if it is at all possible to propose a questioning ethic that is capable of standing in front of the lack of meaning, without loosing the impatience of an "impulse to act", that is to say the capacity to turn the absyss not into an object meant to be contemplated or postponed indefinitely, but into the only possible source of a never-ending irradiation of meaning
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Hong, Qiaoyun. "Déconstruction et démocratie chez Jacques Derrida". Thesis, Paris 1, 2020. http://www.theses.fr/2020PA01H203.

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Abstract (sommario):
Notre étude vise à montrer comment Derrida pense la démocratie à travers la démarche qui lui est propre et singulière de la déconstruction. Notre philosophe présente ses idées sur la démocratie à partir du concept de l’amitié qui, selon lui, donne le modèle de la relation juste entre les humains. On peut dire qu’il cherche à repenser le fondement du politique par ce concept de l’amitié à travers un travail d’héritage, de critique, de rejet parfois, et enfin de déconstruction. Derrida commence à déconstruire le concept de l’amitié par une citation : « O mes amis, il n’y nul ami. », et à partir de là, il met en évidence et questionne une série d’apories sur l’idée de l’amitié dans l’histoire philosophique. Ensuite, on voit que l’idée de l’amitié repensée par le travail de déconstruction chez Derrida s’attache à la survivance qui dépasse la mort devant le deuil. L’amitié s’ouvre alors vers l’avenir à travers la théorie derridienne de la trace et de la différence qui est liée au déplacement de l’espacement et de la durée. En même temps, Derrida évoque la possibilité de penser l’amitié à partir de son contraire, y compris de convertir l’ami en ennemi, il scrute ainsi sur le plan éthique le rapport politique ami / ennemi pour le repenser selon l’exigence de la justice. Pour cela, il introduit l’idée de l’autre et de l’hospitalité. La thèse se termine sur l’importance du concept de l’autre chez Derrida qui est lié dans sa philosophie avec le thème de l’hospitalité, afin de développer sa théorie politique autour de la « démocratie à venir »
Our study aims to show how Derrida thinks of democracy through deconstruction which is his own and unique approach. Our philosopher presents his thinking on democracy from a concept of friendship which, according to him, gives the model of the just relationship between human. We can say that he seeks to rethink the base of politics with this concept of friendship through a work of inheritance, criticism, sometimes rejection, and finally deconstruction. Derrida begins to deconstruct the notion of friendship through a quote: “O my friends, there is no friend.”, and from there, he emphasizes and queries a series of contradictions on the idea of friendship in philosophical history. The concept of friendship rethought by the work of deconstruction in Derrida connects to the idea of surviving which goes beyond death in relation with mourning. Friendship then opens a door to the future, through the Derridian theory of the trace and the différance which is linked to the movement of spacing and duration. At the same time, Derrida evokes the possibility of thinking friendship from its opposite, including converting the friend into enemy, he thus scrutinizes the political relation friend / enemy on the ethical plan to rethink it according to the requirement of justice. For this, he introduces the idea of the other and of hospitality. The thesis ends on the importance of the concept of the other in Derrida which is linked with the theme of hospitality in his philosophy, in order to develop his political theory around the “democracy to come”
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Rodrigues, Ana Cecília Moz Alves 1987. "O papel dos conhecimentos e valores transmitidos pela escola, na construção de mundo de uma comunidade caiçara do Rio de Janeiro". [s.n.], 2014. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/321026.

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Abstract (sommario):
Orientador: Anna Regina Lanner de Moura
Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Faculdade de Educação
Made available in DSpace on 2018-08-25T23:39:45Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Rodrigues_AnaCeciliaMozAlves_M.pdf: 896049 bytes, checksum: 323e86d743d0d9f1eb782f65a0393e2e (MD5) Previous issue date: 2014
Resumo: O presente trabalho busca problematizar, através de uma visão terapêutica Wittgensteiniana, os significados da escola, para uma comunidade caiçara localizada em uma reserva ecológica no sul do Estado do Rio de Janeiro. Utilizando-se da desconstrução, proposta por Derrida, as falas dos entrevistados serão trabalhadas em narrativas que buscarão intercalar as questões trazidas pelos personagens com enxertias buscadas na bibliografia. As narrativas se propõem a desfazer paradigmas usuais buscando os rastros dos significados das palavras e expressões trazidas nas falas. O objetivo é abrir novas possibilidades e novas visões, através de uma prática terapêutica, que possam auxiliar no desdobramento das principais questões abordadas
Abstract: The present study aims to problematize, through a Wittgensteiniana therapeutic view, the meanings of school for a Caiçara comunity, located in an ecological reserve at the Southern of Rio de Janeiro state. Adopting the deconstruction, proposed by Derrida, the comments of the interviewees will be built in narrative structures, which will aim to intercalate the issues brought by the characters with graftings taken from the bibliography. The narratives are proposed to undo common paradigms, fetching the traces of the meanings of the words and expressions brought in the comments. The goal is to open possibilites and new views, through a therapeutic practice, which may help in the deployment of the main issues addressed
Mestrado
Ensino de Ciencias e Matematica
Mestra em Ensino de Ciências e Matemática
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Ferreira, Elida Paulina. "Jacques Derrida e o recit da tradução : o Sobreviver/Diario de Borda e seus transbordamentos". [s.n.], 2003. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/269579.

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Abstract (sommario):
Orientador: Paulo Roberto Ottoni
Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem
Made available in DSpace on 2018-08-03T19:59:04Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Ferreira_ElidaPaulina_D.pdf: 11777039 bytes, checksum: bf8474e774ac655d3a699e338d2ba5c7 (MD5) Previous issue date: 2003
Resumo: Esta tese aborda a relação entre tradução e desconstrução, a partir de Survivre/Joumal de Bord, mais particularmente a partir do que Derrida chama de récit da tradução. Está implicada ali a impossibilidade de totalizar na tradução, na escrita, na leitura; o que traz para esta tese a questão do transbordamento, com o qual se compromete e do qual não pode se desvencilhar. Enxerto na tese uma tradução Sobreviver/Diário de Borda, promovendo, por assim dizer, um efeito de transbordamento fundamental para pensarmos a necessidade e impossibilidade de um volume, na sua unidade presumida, encerrar uma tese numa língua traduzível. Trata-se de uma situação de borda na borda. Esta problemática estará ligada, e no texto de Derrida, à questão da borda, do récit, da assinatura, da tradução como sobrevivência; todos esses elementos implicados nos paradoxos e no tal récit da tradução. Transborda desse récit um outro, e, por uma necessidade de apostar numa política da desconstrução, pela qual clama a-tese, proponho uma tradução da desconstrução; ou seja, proponho explicitar, de um certo modo, o que esteve transbordando, a contratempo, o tempo todo na tese: uma tradução da desconstrução - da palavra e de sua tradução bem como disso, desconstrução, que passou a ser associado ao pensamento derridiano no Brasil. Esta tese aborda, numa borda, a aresta em que se encontra o "é preciso" dos contratos que a instituição prevê. Proponho nesse limiar um deslocamento que pode implicar uma política para o tratamento da tradução na instituição; uma tal política, a discutir a história desse conceito, voltaria, para a própria instituição e o saber estabelecido, questionamentos sobre o lugar e destinação da tradução na instituição universitária
Abstract: This Thesis examines the relation between translation and deeonstruction, in Survivre/Journa/ de Bord, more preeisely in what Derrida calls récit of translation. What is at stake in this work is the impossibility of eompleteness in translation, in writing, in reading; this impossibility brings out to this thesis the question of what I eal~ :ITom and with Derrida, the overrun, with whieh it is committed and :ITom whieh it ean not disengage. A translation - Sobreviver/Diário de Borda has been grafted in the body of this thesis, promoting, as we can say it, an effect of overrun, whieh is essential to thinking over the necessity and the impossibility of the unity of a thesis in a translatable language. What is at stake is a situation ofborder in the border. This problem is related, also in Derrida's text, to the question of the border, the récit, the signature, the translation eonsidered as survive; alI these elements are implicated in the paradoxes and in the récit of translation. This Thesis examines, in the border, the comer in whieh the "is necessary" finds its plaee without plaee in the eontracts, whieh are required by the institution. In this threshold, I propose a displacement, whieh can, furthermore, be implicated in a polities eonceming the plaee of translation in the institution. Sueh a polities, we must discuss this eoncept, should tum baek, to the knowledge and the institution itseH: questions on the place and destination of translation in the university
Doutorado
Doutor em Linguística Aplicada
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Horváth, Eszter. "Deleuze, Derrida : la doublure de la différence". Paris 8, 2005. http://www.theses.fr/2005PA082693.

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Abstract (sommario):
Le travail présenté est une tentative pour penser ensemble dans une sorte de dialogue deux philosophies emblématiques de la différence, celles de Gilles Deleuze et de Jacques Derrida, afin de mettre à jour, conformément à l’hypothèse explorée par le mémoire de thèse, une ontologie théâtrale impliquée par la différence. Cette rencontre semble répéter une scène platonicienne, celle de la mimésis, celle justement de la proximité absolue du double. Distinguer entre la bonne et la mauvaise répétition, la répétition et la représentation, la différence et la répétition, la différence et la différance – telle est la tâche infinie, l’héritage platonicien des philosophies de la différence. Les philosophies de Deleuze et de Derrida s’inscrivent dans l’histoire des doubles inséparables, de la doublure en soi, en tant qu’elle est histoire de la mimésis, de la répétition, de la représentation, de la différence donc. On ne parviendra jamais à distinguer entre différence et différance. Tout comme on ne parviendra jamais à faire la différence entre répétition et représentation, ou bien entre parole et écriture, entre théâtre et cinéma – Deleuze et Derrida jouent dans tous ces registres la même scène platonicienne. Grâce à la déconstruction de l’héritage nietzschéen de la répétition et celui platonicien de la mimésis, la différence devient le principe actif par excellence, le sujet même de la philosophie. Penser, donc, revient à déconstruire et reconstruire le sujet de la philosophie. C’est ici que les deux philosophies de la différence se touchent : dans l’image du penseur. Mon travail dans cette thèse a consisté à repenser la différence en tenant compte du penseur qu’elle exige, de la personne pré-individuelle et impersonnelle qui la pense, qui joue le rôle principal dans le jeu de la différence. Cela revient à penser ensemble les héritages cartésien et bergsonien de Deleuze, et ceux freudien et lacanien de Derrida. Et après tant de différences, les images du penseur se mettent à coïncider chez les deux philosophes en ce point : l’origine de la pensée comme surgissement d’abord du Je qui pense depuis l’origine, c’est-à-dire depuis la limite inconsciente du sujet impersonnel et pré-individuel. Même si, pré-individuelle et impersonnelle, vide ainsi qu’elle l’est, cette ultime instance de la pensée garde les traits d’une personne qui deviendra capable de dire Je. Elle sera bien représentable, et le fou, le schizo, le mime, l’acteur, en seront l’image.
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Ferreira, Elida Paulina. "O modelo teorico integral de tradução em Francis Henrik Aubert : entre a necessidade e a impossibilidade". [s.n.], 1998. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/269585.

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Abstract (sommario):
Orientador: Paulo Roberto Ottoni
Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem
Made available in DSpace on 2018-07-24T01:29:17Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Ferreira_ElidaPaulina_M.pdf: 13953038 bytes, checksum: 7d6d09ac6ee7d91f5bcb6c0c3f0d56bc (MD5) Previous issue date: 1998
Resumo: Essa dissertação aborda, a partir de uma análise da obra de Francis Henrik Aubert, a resistência da tradução à sistematização no interior de uma teoria. Detecto em sua teorização uma tensão que revela um conflito flutuando entre a admissão da provisoriedade da tradução e a elaboração de construtos para controlá-Ia, pela tentativa de limitação da intervenção do tradutor, supostamente isento em relação ao seu objeto, a língua. Proponho uma leitura da trajetória e dos compromissos teóricos de Aubert, a partir do seguinte recorte: um perfil geral da sua reflexão teórica, abrangendo várias áreas de atuação; o modelo integral, que inclui a abordagem lingüística, a cultural e as "(In)Fidelidades da Tradução", quando o autor propõe redimensionar o papel tradicionalmente atribuído ao tradutor e à tradução; e a encenação da resistência da . tradução à sistematicidade em Aubert, analisada através do double bind. A dimensão desconstrutivista mostra que a tradução, através da língua, é necessária e impossível e que o tradutor, ao traduzir, não se separa do seu objeto a, língua. Esse duplo endividamento entre o tradutor e o seu objeto revela o double bind, que não se analisa integralmente e deflagra a resistência. Em Aubert, aponto um jogo duplo, em sua reflexão, entre necessidade e impossibilidade, que encena a resistência da tradução à sistematização
Abstract:The main goal of this thesis is to discuss the resistance of translation to the systhematization within a theory. Based on the analysis of the work of Francis Henrik Aubert, I have detected a tension which revels a conflict between his admission that translation is provisional and his attempt to control it, by trying to limite the translator's intervention, supposedly free from his object, the language. I shall propose this study of Aubert's theoretical compromises, guided by the sequence of themes, such as it follows: an overview of his theorization, including the discussion of selected articles dealing with linguistics, terminology, translation and computers, translation and linguistics, cultural translation, translation and the role of the translator, translation and the university. From this study I discuss the modelo integral, which includes the approaches that the author proposes to explain the translation and the role of the translator. And, finally, the resistance of translation to systhematization is discussed, in Aubert's theorization, which is shaken by the double bind. The deconstruction shows that the translation, through the language, is necessary and impossible; and that the translator, while translating, is not ftee ftom his object, the language itself This double commitment between the translator and the language revels the double bind, which can't be totally analysed and provokes resistance. I point out a double strategy at stak:e, which marks the resistance of translation to systhematization within a theory
Mestrado
Mestre em Linguística Aplicada
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Manzari, Francesca. "Ecriture derridienne entre langage des rêves et critique littéraire". Aix-Marseille 1, 2007. http://www.theses.fr/2007AIX10024.

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Abstract (sommario):
L'objet de notre étude est l'écriture derridienne que nous considérons dans une perspective philosophique et littéraire à la fois. L'analyse des procédés de l'écriture derridienne nous permet de vérifier deux hypothèses : premièrement nous nous proposons de vérifier le caractère antilogocentrique de cette écriture. Ainsi, il nous a semblé nécessaire d'établir une comparaison entre celle-ci et un langage non-logique : le langage des rêves tel que l'analyse freudienne le décrit. Deuxièmement nous avons essayé de démontrer que l'écriture derridienne est philosophique et poétique à la fois. La deuxième étape du travail repose sur la démonstration de la première hypothèse : l'analyse du langage du rêve nous vient en aide en tant que "tertium comparationis" possèdant des traits communs avec l'écriture derridienne et le langage poétique et pouvant ainsi jouer le rôle de point de méthode de la déconstruction : l'idée que le style ne saurait être défini autrement que comme le travail du philosophe doit être mise en relation avec l'idée que le travail de Jacques Derrida est à l'origine d'une véritable école de pensée. Il nous a donc semblé légitime de poser la question de savoir s'il est possible de définir une véritable méthode de la déconstruction.
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Guidio, Milena Cláudia Magalhães Santos [UNESP]. "Os logros da autobiografia: um estudo dos traços autobiográficos em Jacques Derrida". Universidade Estadual Paulista (UNESP), 2008. http://hdl.handle.net/11449/106343.

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Abstract (sommario):
Made available in DSpace on 2014-06-11T19:35:38Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2008-04-25Bitstream added on 2014-06-13T21:07:52Z : No. of bitstreams: 1 guidio_mcms_dr_sjrp.pdf: 1131393 bytes, checksum: e3bfc81b3cad611cba8fa9097359dd4d (MD5)
Le corpus de Jacques Derrida est parcouru par ce que nous appelons ici « traits autobiographiques » qui prennent la forme de jetées éparpillées de diverses manières un peu partout. Ces jetées perturbent le genre autobiographique tel qu’il a été référencé par ses fondateurs. Nous caractérisons cette pertubation de leurre dans deux sens : pour préciser les différences de l’expérience derridienne dans l’usage autobiographique qui, par le biais d’hésitations et de restrictions, montre les pièges de ce discours et pour accentuer ce qu’il atteint en s’inscrivant à partir de l’énonciation du je. L’hypothèse – toujours plusieurs – est que le discours autobiographique ne peut se passer de ce que Derrida a appelé le travail « dans la langue avec la langue », qui retire en partie l’exigence de la recherche d’une identité à soi qui serait propre à ce discours. Le corps à corps n’est pas entre les spécificités de la vie et de l’oeuvre, car celles-ci sont aussitôt considérées comme étant indissociables. Le corps qui intervient dans le corpus révèle dans la scène ce qui est normalement placé hors scène ; ce qui explique les nombreux passages où une question s’incruste dans une autre qui, à son tour, en reflète une autre et ainsi de suite. Sans exiger pour autant de manière exemplaire l'abolition du discours objectif, parler-au-sujet-de, d'un ton impersonnel, générique, est rejeté. La notion de subjectivité est percée par celle de l'événement, celui-ci étant lié à la manière dont les textes arrivent de manière imprévue. L'on courtise alors une poétique du secret, ce qui résulte en une élaboration distincte du concept de vérité engendré par le discours philosophique. Tout en suivant de près la « lettre » de Derrida, nous évoquons ces points en analisant quelques livres dans lesquels... (Complete abstract click electronic access below)
O corpus de Jacques Derrida é atravessado pelo que aqui chamamos de traços autobiográficos, que ganham forma em lances espalhados de maneiras diversas um pouco por toda parte. Esses lances produzem uma perturbação no gênero autobiográfico, tal como ele foi referendado pelos estudiosos que o instituíram. Denominamos essa perturbação de logro em dois sentidos: para especificar as diferenças da experiência derridiana no uso do autobiográfico que, por meio de hesitações e de ressalvas, aponta os enganos desse discurso e para enfatizar o que ele alcança ao inscrever-se a partir da enunciação do eu. A hipótese – sempre mais de uma – é a de que o seu discurso não prescinde do que ele nomeou de trabalho “na língua com a língua”, que retira em partes a exigência de uma busca de identidade que seria o próprio deste discurso. O corpo-a-corpo não é com as especificidades da vida e da obra, pois estas são colocadas de imediato como indissociáveis. O corpo que interfere no corpus expõe na cena o que normalmente é colocado fora-de-cena; isso explica as muitas passagens em que uma questão entra na outra que, por sua vez, reverbera outra e assim por diante. Sem requerer de maneira “exemplar” a abolição do discurso objetivo, a recusa é em falar a respeito de assuntos em um tom impessoal e de modo genérico. A noção de subjetividade é trespassada pela de acontecimento, sendo este relacionado à maneira como os textos se configuram como o que irrompe de maneira imprevista. Uma poética do segredo é cortejada, resultando em uma elaboração distinta do conceito de verdade engendrado pelo discurso filosófico. Seguindo de muito perto a “letra” de Derrida, tratamos desses pontos analisando alguns dos livros em que os lances autobiográficos surgem, ora de modo mais evidente, ora menos; especificamente, nos dois últimos capítulos tratamos de livros...
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Santos, Olivia A. Niemeyer dos. "O compromisso de fidelidade assumido pelo tradutor : contradições entre o declarar e o descrever nos prefacios das edições bilingues". [s.n.], 1998. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/269584.

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Abstract (sommario):
Orientador: Paulo Ottoni
Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem
Made available in DSpace on 2018-07-23T09:42:14Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Santos_OliviaA.Niemeyerdos_M.pdf: 2881050 bytes, checksum: ba33c1be1501d6fcf921da0bd4e9ae7f (MD5) Previous issue date: 1998
Resumo: O distanciamento entre as declarações de fide1idade dos tradutores e suas descrições das infidelidades inevitáveis ocasionadas pelo ato de traduzir constitui o tema desta dissertação. Ao comentarem ou justificarem seu trabalho em prefácios, introduções e notas de rodapé de edições bilingües, os tradutores revelam a tensão entre o desejo de fidelidade ao original e a impossibilidade de realizar esse desejo. As declarações dos tradutores denotam o anseio por um significado transcendental que sobreviva às transformações do ato tradutório; por outro lado, as descrições e outras declarações contraditórias restituem ao texto seu caráter contingente, de acontecimento localizado no tempo e no espaço. A situação paradoxal criada pelas contradições nos prefácios abala os conceitos tradicionais dos estudos de tradução e constituem um ponto de aporia por onde é possível problematizar a questão da fidelidade. Para as teorias tradicionais, baseadas na possibilidade e, conseqüentemente, no dever de fidelidade a uma mensagem presente no texto, as qualidades e a importância do original são tomadas aprioristicamente, o qlJe coloca a tradução numa posição secundária e servil, rebaixando os tradutores à condição de parasitas do autor. Dessa forma, a análise do que dizem os próprios tradutores sobre seu trabalho é particularmente significante, pois as contradições revelam que os tradutores, mesmo de forma velada, resistem às teorias tradutórias que simplificam a questão da fidelidade. O jogo duplo de fidelidade/infidelidade, que transparece nas declarações conflitantes dos tradutores, é constitutivo do processo tradutório, pois o texto traduzido relaciona-se intimamente com o original por modificá-lo
Abstract: This thesis confronts express statements of translator fidelity with descriptions of the inevitable lack of fidelity resulting in actual translation. ln comments and j ustifications for their work found in prefaces, introductions, and footnotes of bilingual editions, translators betray the tension between attempts to be true to the original and the impossibility of so doing. Such statements of translators reveal a search for a transcendental meaning which wiIl survive the transformations wrought by the act of translation; on the other hand, the incompatibility of these statements with the descriptions questioning of traditional concepts of translation studies and hence the issue of fidelity. For traditional theories, based on the possibility of achieving fidelity to the message present in the original text, and consequent1y an obligation to do so, the value and importance ofthis original are taken for graÍ1ted, leaving the translation in a secondary and rather inferior position and reducing the translator to a mere parasite of the author. The analysis of what translators say about their own work is thus especialIy significant, since the contradictions reveal that translators resist translation theories which simplify the question of fidelity, even though this objection may be expressed covertly. The tension between fidelity/infidelity which appears in the conflicting statements of translators is constitutive ofthe process oftranslation, since in modifying the original, the translated text is intimately related to it
Mestrado
Tradução
Mestre em Linguística Aplicada
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Beato, Zelina Marcia Pereira. "Entwurf de uma tradução : Gabbi Jr. traduz Freud". [s.n.], 2000. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/269590.

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Abstract (sommario):
Orientador: Paulo Roberto Ottoni
Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem
Made available in DSpace on 2018-07-27T12:03:22Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Beato_ZelinaMarciaPereira_M.pdf: 11842641 bytes, checksum: 2bf6526e27d1c27203c75f1513c41136 (MD5) Previous issue date: 2000
Resumo: A partir da análise de uma tradução realizada por Osmyr Faria Gabbi Jr., dos manuscritos freudianos de Entwuif einer Psychologie, esta dissertação aborda a delicada relação do homem com a linguagem, especialmente se essa relação se dá no interior de um evento que coloca juntas a tradução e a psicanálise. Esta dissertação examina os recursos tradutórios dos quais Gabbi Jr. lançou mão para com eles tentar realizar o seu declarado projeto: localizar na estrutura de Entwuif as idéias filosóficas de Stuart Mill e, ao mesmo tempo, desautorizar outras leituras, que na sua opinião, contribuem para uma visão equivocada dessa obra. A partir da perspectiva descontrutivista de Jacques Derrida, que reflete sobre o caráter transformador da tradução, e das idéias de Nicholas Abraham acerca da natureza anassêmica do discurso freudiano, minha dissertação localiza na tradução de Gabbi Jr. os traços que apontam que o tradutor, em sua relação com o texto original freudiano, está sob o domínio do jogo sempre proposto pela linguagem. Diante do original, longe de poder revirar suas entranhas e arrancar-lhe a origem, o tradutor está, na verdade, sob o domínio do jogo de promessas proposto pela língua, suportando o double bind e sendo assombrado pelo discurso anassêmico de Freud. Afinal, no derradeiro limite entre a promessa e o projeto, entre o que é prometido e o que é realizado, encontra-se o tradutor e seu ofício, a quem não é dado fugir desse jogo, livrar-se dessa paixão imposta pelo double bind, esquivar-se do assombro da anassemia, senão deixar-se à deriva da promessa para no seu encalço, como em busca do sonho, realizar aquilo que acredito ser sua tarefa singular, dar sobrevida a um e a todos os textos
Abstract: Analyzing the translation of the manuscript of Entwuif einer Psychologie made by Osmyr Faria Gabbi Jr., this dissertation approaches the delicate relation between man and language, specially if this relationship takes place in the interior of such an event which draws together translation and psychoanalysis. This thesis examine the translation devices used by Gabbi Jr. when trying to fullfil his so said project: to spot the philosophical ideas of Stuart Mill in the structure of Entwuif. At the same time throught his translation, Gabbi Jr. hopes to discredit other readings that, in his opinion, contribute to a misinterpretation of such work. From the interior of Derrida's deconstruction and his reflections about the way tmaslation transforms the original, and also taking into account Nicholas Abraham's ideas about the anassemic condition of Freud's language, my work points out in Gabbi Jr.'s translation the traces that shows how the translator deals with Freud's originaIs. Far from being able to get into its guts and getting there the origem, the translator is, in fact, within the game of promisses proposed by any language, supporting the double bind and being haunted the the anassemic discourse of Fremd. Finally, in the very far limits between promisses and project, between what is promised and what is accomplished we find the translator and his/her task. Language is the game he/she is not allowed to escape from, it is the passion he/she is not permitted to get rid of, it is the language haunted by the anassemy that keeps the translator captive in the process of translation necessity and impossibility. All the translator is allowed is to pursue this promise, as if chasing a dream. This is what I name the singular character of his/her task: to promote the survival of one and of alI texts
Mestrado
Mestre em Linguística Aplicada
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Siscar, Marcos. "La métaphore révolutée : la question des genres dans les textes de Jacques Derrida". Paris 8, 1995. http://www.theses.fr/1995PA081039.

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Abstract (sommario):
L'approche esthetique et politique de l'oeuvre de jacques derrida est souvent determinee par l'inscription prealable de ses textes dans le champ de l'opposition generique entre litterature et philosophie. Le rapport de derrida a la theorie du genre (qui s'elabore a partir du traitement donne a la "rhetorique", a la "forme", au "style") montre que ce dont il est question chez lui c'est deja la possibilite d'une telle theorie. L'analyse de glas, de la carte postale et de circonfession nous permet de dire que cette possibilite est soumise a la tension d'un rapport a l'autre, tension traitee chez derrida plutot comme "ton" que comme style, plutot comme resonance que comme simple adequation mimetique. Il n'y a pas simplement une "appartenance" mais la dramatisation d'une "participation" a la generalite du genre, soumise a des lois toujours singulieres. Derrida dramatise ainsi l'experience de la responsabilite comme consideration aporetique d'une ecoute a l'appel de l'autre, selon une logique ou une rhetorique qui reste neanmoins abyssale. On peut dire que l'auteur relit la tradition a travers la problematique de la tension tonale, mais il prend aussi sa part dans la metamorphose de cette tradition en donnant a entendre l'importance d'un changement de ton
A prior consideration of jacques derrida's work in keeping with the opposition of genres (litterature or philosophy) determines on many occasions the aesthetic and political meaning of his texts. Il would be more appropriate to affirm that the dramatization of such theory's possibility is the element that could distinguish his writing and his thinking. Analyses of rhetoric and style in glas, la carte postale and circonfession show us that tension is better described as "tone" than style, better as resonance than mimetic correspondence. There is an instable "participation" and not a neutral "belonging" to generality of genre. It is the manner in which derrida reads tradition and the manner in which he participes in tradition, in order to experiment another inflexion of the usual tone of metaphysics
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Masó, Illamola Joana. "Dessiller la langue : écriture et vision chez Hélène Cixous et Jacques Derrida". Paris 8, 2009. http://octaviana.fr/document/14551546X#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract (sommario):
Dans le discours philosophique, dans la critique littéraire et l'histoire de l'art, voir et parler, regarder et dire ont fait l'objet de multiples parallélismes et partages qui demeurent l'arrière-plan de notre étude. L'articulation du texte et de l'image, ainsi que leurs rapports étroits où le visible et le lisible sont tantôt incompatibles tantôt complémentaires restent l'objet de la présente thèse. Toutefois, entre ces deux modèles, ni la correspondance ni l'adéquation parviennent à nommer l'étrange complicité de l'œil et de la voix, du regard et du mot dans l'aventure de la connaissance, la révélation, la représentation et l'accès au sens - les grandes lignes de force qui traversent la problématique du visible et du lisible. L'écriture d'Hélène Cixous et la pensée de Jacques Derrida reprennent et déplacent l'héritage de la vision, qu'ils transforment dans le cadre d'une expérience déconstructrice de la langue. Cette déconstruction, nous le verrons tout au long de notre étude, met en place une forte critique de la notion indoeuropéenne de savoir et de vérité, profondément liée au mode de production de sens du visible. Nous aborderons également les nouveaux modèles perceptifs qui s'esquissent dans les corpus cixousien et derridien. L'étude de ces deux écritures et pensées nous permettra d'analyser et de bien comprendre la puissante critique de la vision qui s'installe en France avec la pensée dite post-structuraliste, chez des auteurs tels que Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Gilles Deleuze, Jean-Luc Nancy ou Luce Irigaray, entre autres
In the fields of philosophy, literary criticism and art history, the linguistic and the visual paradigms - seeing and talking, watching or saying - have been studied as different parallelisms. These oppositions constitute the context of our essay. The purpose of this essay is to analyse the articulation of text and image and the relationships between the visual and the writing models, which are sometimes exclusive and sometimes complementary. Hence, the correspondence between these two models is always inadequate to describe the strange complicity between the eye and the voice, the gaze and the word in the main points of our investigation: knowledge, revelation, representation, and meaning. Hélène Cixous' writing and Jacques Derrida's philosophical thought both echo and displace the heritage of vision. Cixous and Derrida transform this heritage in the context of a deconstructive experience of language and writing. As we will discuss throughout this essay, the deconstruction of the visible paradigm supposes a strong criticism of the Indo-European concept of knowledge and truth, which is deeply intertwined with the visual model. Moreover, we intend to analyze new perceptive models developed in Cixous' and Derrida's texts. The analysis of these two authors and their thoughts will allow us to understand and interpret the strong criticisms of vision operating in France in the context of post-structuralist thought, especially in the work of Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Gilles Deleuze, Jean-Luc Nancy and Luce Irigaray, etc
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Fonseca, Fernando Facó de Assis. "A verdade da desconstrução: o horizonte ético do pensamento de Jacques Derrida". www.teses.ufc.br, 2008. http://www.repositorio.ufc.br/handle/riufc/6489.

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Abstract (sommario):
FONSECA, Fernando Facó de Assis. A verdade da desconstrução: o horizonte ético do pensamento de Jacques Derrida. 2008. 110f. – Dissertação (Mestrado) – Universidade Federal do Ceará, Programa de Pós-graduação em Filosofia, Fortaleza (CE), 2008.
Submitted by Márcia Araújo (marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2013-11-05T18:08:31Z No. of bitstreams: 1 2008-DIS-FFAFONSECA.pdf: 935033 bytes, checksum: c4a39d95b4d369ef8c75a6cd633ecc4b (MD5)
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Made available in DSpace on 2013-11-05T18:26:49Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2008-DIS-FFAFONSECA.pdf: 935033 bytes, checksum: c4a39d95b4d369ef8c75a6cd633ecc4b (MD5) Previous issue date: 2008
Este trabalho pretende analisar o pensamento de Jacques Derrida, em especial o lugar em que se situa sua idéia de desconstrução. Nesse sentido, procuro abordar duas possibilidades de leituras do pensamento derridiano. A primeira leitura consiste na leitura crítica de Habermas, que sustenta que a desconstrução derridiana deve ser compreendida como uma teoria do conhecimento. Tal posição me parece extremamente problemática, tendo em vista que o pensamento de Derrida não repousa sobre um fundo racionalista tradicional. Em contrapartida, eu pretendo desenvolver uma interpretacão da desconstrução derridiana sobre um prisma essencialmente ético. Neste caso, defendo a tese que o pensamento de Derrida não pode ser tomado em profundeza salvo quando situado próximo da filosofia prática de Emannuel Lévinas. O erro de Habermas e de todos outros intérpretes que enxergam o discurso derridiano como um discurso contraditório reside em tomar a desconstrução sob uma ótica estritamente epistemológica, ao passo que, a meu ver, a verdadeira idéia da desconstrução se relaciona com questões do campo da ética.
Cette recherche se propose d‟analyser la pensée de Jacques Derrida et plus particulièrement ce que se cache dans la vraie idée de la deconstruction. J‟examine d‟avant tout deux possibilités de lectures de la pensée de Derrida. La première lecture est la lecture critique de J.Habermas, qui soutient que la deconstruction derridienne doit être interprétée comme une théorie de la connaissance. Cette position me semble extremement erronée, puis que la pensée de Derrida ne repose pas sur un fond rationaliste traditionnel. Par opposition à la lecture habermasienne, je veux dévélopper une interpretation de la deconstruction derridienne sur une prisme essentiellement éthique. En ce sens, je défend la thése que la pensée de Derrida ne peut pas être compris en profondeur sauf quand on la situe à la proximité de la philosophie pratique de Emannuel Lévinas. L‟erreur de Habermas et de tous les autres intérpretes qui voient le discours derridienne comme une discours contradictoire réside en qu„ils prendrent la deconstruction en un sens strictement épistémologique, au pas que je veux démontrer que la vrai idée de la deconstruction se rapporte avec le champ de l‟éthique.
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Migliori, Maria Luci Buff. "Horizontes do perdão: reflexões a partir de Paul Ricoeur e Jacques Derrida". Pontifícia Universidade Católica de São Paulo, 2007. https://tede2.pucsp.br/handle/handle/11758.

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Abstract (sommario):
Made available in DSpace on 2016-04-27T17:27:20Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Maria Luci Buff Migliori.pdf: 2095464 bytes, checksum: 395e3de80b3f5c2f867335ee7f3f4baa (MD5) Previous issue date: 2007-12-05
This workpiece develops a cartography of forgiveness dimensions, encompassing the branches of law, ethic, politics, Christian theology and therapy. It takes profit of Paul Ricoeur s and Jacques Derrida s readings. Forgiveness place is a border place that communicates with a variety of domains. Its discussion involves that of guiltiness and reconciliation with past. The thesis intends to analyze the ethical inscription of forgiveness in philosophy, appointing that this issue requires an incursion in the nonphilosophic field. It adopts as a model the work of the Truth and Reconciliation Commission in South Africa, an experience of reconciliation through a conditional amnesty and a new model of restorative Justice. Some applications of forgiveness spirit in law highlight obligation and responsibility relations, supported by the concept of debt and equivalence applied by Justice. They bring the context of the initial debate about crimes against humanity, after the Second World War, and its relations to the Statement of Rights. According to Ricoeur s view, forgiveness inscription lies in the abundance of non-realized evil. Ricoeur s difficult forgiveness equation reveals the dynamics emerging from the disproportion between the height of learned hymn and guiltiness depth, its imputability and the problematic of incapability. Derrida s reflection about the forgiveness and the unforgivable, in the geopolitical scene, explores the ideas of conditional forgiveness, pure forgiveness and circulation between hyperbolical ethic and politics. The public debate upon the interpretation and reach of Amnesty Law in 1979, promulgated under military dictatorship in Brazil, is an opportunity to appreciate the abuse of forgetter and the need of not erasing the facts, even though debt has been broken up
A cartografia de algumas dimensões do perdão no campo jurídico, ético, político, teológico-cristão e terapêutico é desenvolvida neste trabalho, partindo das leituras de Paul Ricoeur e Jacques Derrida, e valendo-se da contribuição essencial de Hannah Arendt para o tema do perdão na política. O lugar do perdão é um lugar de fronteira que se comunica com domínios limítrofes diversos. Sua ampla problemática envolve a da culpabilidade e a da reconciliação com o passado. A tese procura indagar a forma de inscrição ética do perdão na filosofia, mostrando que esta questão demanda a incursão no não-filosófico. Adota como modelo de estudo o trabalho da Comissão de Verdade e Justiça CVR - da África do Sul, instalada por ocasião da ruptura com o regime do apartheid (1995), um momento filosófico privilegiado, que reúne as diferentes perspectivas mencionadas e, assim, a possibilidade de reflexão sobre o perdão, em uma experiência de reconciliação, por meio de uma anistia condicional e um novo paradigma de justiça, o da justiça restaurativa. Uma pequena geografia das aplicações do espírito do perdão na lei aponta relações de obrigação e responsabilidade, tendo como fio condutor o conceito de dívida e uma lógica de equivalência aplicada pela justiça. Coloca o contexto de surgimento da discussão dos crimes contra a humanidade, após a Segunda Guerra, e suas relações com a Declaração de Direitos de 1948. A inscrição do perdão, numa economia de dádiva ou dom, é traçada ante a superabundância de não-sentidos do mal, na leitura de Ricoeur. A economia da redenção é introduzida no plano simbólico e teológico cristão. A equação do perdão difícil, traçada por Ricoeur, revela a dessimetria decorrente da desproporção entre a altura do hino sapiencial e a profundidade da culpa, sua imputabilidade e a problemática da incapacidade e sua superação. A pesquisa do dar e retribuir envolve a revisitação do modelo arcaico e aspectos cerimoniais do dom e do reconhecimento. A reflexão de Derrida sobre o perdão e o imperdoável na cena geopolítica explora as noções de perdão condicional e perdão puro e a circulação entre ética hiperbólica e política. A discussão pública a respeito da interpretação e alcance da Lei de Anistia, promulgada durante a ditadura militar brasileira em 1979, é oportunidade para uma apreciação a respeito dos abusos do esquecimento e a necessidade de não apagamento dos fatos, mesmo que a dívida tenha sido quebrada
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Albu, Florina. "La déconstruction : un projet philosophique : annotations à une pensée du peut-être". Nice, 2007. http://www.theses.fr/2007NICE2002.

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Abstract (sommario):
Ma lecture souhaitait identifier un certain « style » de la pensée de Derrida, par une reconstitution du plan de ses notions et des préoccupations qui y font thème. Questionnant ce que la « déconstruction » est comme ou à la « philosophie », et tentant de trouver un nom à la « rationalité » générale de la pensée de Derrida, j’ai prélevé dans des textes un peu tardifs une formule récurrente, « pensée du peut-être ». Essayant de la délimiter et de la faire communiquer avec les thèmes de prédilection de Derrida, j’ai proposé ce nom à la « raison » qui œuvre dans la déconstruction
The purpose of my reading was to identify a certain “style” of Derrida’s general thinking, reconstituting the surface of his notions, so as the themes about which his interrogations grow. In the larger horizon of my question about what the deconstruction is as or to the philosophy, and trying to find a name to the general “rationality” of Derrida’s thinking, I used some of his late texts and picked there a current form, “thinking of perhaps”. Trying to bind it to his initial themes, I also proposed this name to the Reason of deconstruction
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De, Michele Giustino. "De l'animalité de la lettre : la pensée animale de la déconstruction". Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2021. http://www.theses.fr/2021PA080038.

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Abstract (sommario):
En 1997, lors de la décade de Cerisy dédiée à son travail et intitulée à l’animal autobiographique, Jacques Derrida déclare que la question du vivant, et du vivant animal, avait toujours été pour lui « la grande question, la plus décisive ». Cette déclaration s’articule avec la thèse, formulée dans la même occasion, selon la quelle « une pensée de l’animal, s’il y en a, revient à la poésie ».Comment prendre la mesure de cette déclaration, et de cette articulation ? Ceci est l’objectif du présent travail. Le poursuivre demande de considérer la question de l’animal comme susceptible de sous-tendre les thèmes portants de la pensée derridienne ; ses repères généalogiques et son rapport à la totalité de la tradition ; ses ramifications disciplinaires, et d’abord le rapport entre philosophie et littérature, épistémologie et autobiographie ; ses figures et les dispositifs de sa pragmatique textuelle. Mais qu’est-ce qu’un animal ? Et que fait, comment fait un animal, dans ce contexte ? Répondre à ces questions veut dire élucider le lien entre la question de l’animal et celle de l’écriture, de la lettre, qui a déclenché l’élaboration de la grammatologie et de la déconstruction derridiennes. Nous verrons pourquoi ce lien est nécessaire, analytique. Mais surtout, cela veut dire cerner le rapport entre la question de l’animal et le motif de l’expression, philosophique et en général. Ce rapport implique ceci, qu’une pensée de l’animal n’est pas seulement une théorie – du vivant et du littéraire, de l’animal et de l’écriture – mais d’abord une pratique affirmative, et radicalement empirique
In 1997, during the Cerisy décade dedicated to his work and the subject of the autobiographical animal, Jacques Derrida declares that the question of the living, and of the living animal, had always been for him “the great, the most decisive question”. This declaration is articulated with the thesis, formulated on the same occasion, that “a thought of the animal, if there is such a thing, belongs to poetry”.How is one to take measure of this declaration and this articulation? Such is the purpose of the present work. To pursue this purpose requires considering how the question of the animal might underpin the main themes of Derridean thought; its genealogical landmarks and its relation to tradition; its disciplinary ramifications and, first of all, the relation between philosophy and literature, epistemology and autobiography; its figures and the devices of its textual pragmatics. But what is an animal? And what does an animal do, how does an animal do it, in this context? Answering these questions means elucidating the link between the question of the animal and that of writing, the letter, which triggered the elaboration of Derridean grammatology and deconstruction. We will see why this link is analytically necessary. Above all, however, this means discerning the relation between the animal and the theme of expression in philosophy and in general. This relation implies that a thought of the animal is not only a theory – a theory of the living and the literary, of the animal and writing – but rather, first of all, an affirmative and radically empirical practice
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Trifunović, Stefan. "Dayton Agreement and democracy to come in Bosnia and Herzegovina". reponame:Repositório Institucional da UnB, 2017. http://repositorio.unb.br/handle/10482/23733.

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Abstract (sommario):
Dissertação (mestrado)—Universidade de Brasília, Faculdade de Direito, Curso de Pós-Graduação em Direito, 2017.
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Approved for entry into archive by Raquel Viana (raquelviana@bce.unb.br) on 2017-06-23T19:04:52Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2016_StefanTrifunović.pdf: 1143680 bytes, checksum: 65443d7989757aab5473fd1d72291516 (MD5)
Made available in DSpace on 2017-06-23T19:04:52Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2016_StefanTrifunović.pdf: 1143680 bytes, checksum: 65443d7989757aab5473fd1d72291516 (MD5) Previous issue date: 2017-06-23
Jacques Derrida tem sido um dos mais controvertidos filósofos do final do século XX e começo do século XXI. Ele foi assim rotulado não só por conta das suas ideias sobre os vários tópicos com os quais tem lidado em seu trabalho, mas também devido a sua abordagem geral face à filosofia. Sua abordagem crítica desenvolvida a partir da desconstrução tem sido tanto aclamada quanto criticada. Nesse sentido, algumas dessas críticas tem feito referência à incapacidade da teoria de Derrida de ser aplicada a problemas concretos. Contudo, essas alegações têm sido instigantes. A fim de confrontá-las, a presente pesquisa se baseou na ideia de aplicar o pensamento de Derrida a problemas concretos. Para esse fim, o contexto jurídico-político da Bósnia e Herzegovina foi escolhido como estudo de caso. Essa escolha se deu em função de diversos fatores, concernentes à complexidade dos temas, sua universalidade e atualidade. Ao longo do presente trabalho, a teoria foi associada a problemas concretos, tendo, em muitos casos, dado ensejo a questionamentos e hipóteses ainda mais profundos no que concerne a essa temática. No entanto, a principal contribuição deste trabalho foi demonstrar que as ideias e conceitos desenvolvidos por Jacques Derrida tem sido mais que úteis quando aplicados em questões relativas ao atual cenário jurídico-político da Bósnia e Herzegovina.
Jacques Derrida is one of the most controversial philosophers of late 20th and beginning of 21st century. He earned this title not only because of his views upon the various topics he dealt with in his work, but also due his general approach toward philosophy. Derrida’s critical approach developed within deconstruction, ideas which have been both praised and criticized. Some of various critical positions refer to the inability of Derrida’s theory to be applied upon concrete problems. These standings have been inspirational. In order to question them, this research is based upon idea of applying Derrida’s idea on concrete problems. Therefore, the politico-legal context of Bosnia and Herzegovina is chosen as a case study. This is done due to several factors, including the complexity of the issues, their universality and actuality. Throughout this work, theory is intertwined with concrete problems. In many cases it highlights some deeper issues and it is able to give some deeper inside upon the problems. However, the main characteristic this work is able to show is that ideas and concepts developed by Jacques Derrida are more than useful when they are applied upon the issues existing in Bosnia and Herzegovina’s political and legal reality.
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Mansur, Mehmet. "Autour de Jacques Derrida : l'écriture entre vol et circoncision". Thesis, Strasbourg, 2016. http://www.theses.fr/2016STRAC049.

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Abstract (sommario):
Au commencement il y a la circoncision « du » commencement (La dissémination). La cicatrice vient en place de ce qui est volé (Marges) — le prépuce (Circonfession), le corps (La Parole Soufflée), la langue (Monolinguisme de l’autre, Béliers, Schibboleth) —, se donne comme le lieu même où bat l’opération de la coupure et comme celui du voleur (dieu, la mère, le théologiciel) qui effectue une telle opération. Les effets d’un passé qui a eu lieu sans avoir eu lieu, qui ne passe pas et qui est « instantanément » appellé par l’imminence de la mort de l’autre (celle de la mère dans Circonfession), reviennent sur la marque que le « moi « sans » moi » (Parages) porte depuis avant qu’il ne sache qu’il la porte. Notre thèse se concentre sur ces effets qui coupent le moi — à la lettre de son corps — de toute destination, de tout avenir prévisible, et ainsi constituent le moi comme l’éthique, à travers les questions de la culpabilité, du pardon, de la conversion « et » de l’écriture
In the beginning there is circumcision of the beginning (Dissemination). The scar comes in the place of that which is stolen (Marges) — the foreskin (Circumfession), body (La Parole Soufflée), language (Monolingualism of the other, Rams, Shibboleth) —, gives itself as the very place where the operation of the cut lives and as the place of the thief (god, mother, theologic program) who carries out such an operation. The effects of a past which has taken place without taking place, which does not pass et which is « instantaneously » called by the imminence of the death of the other (that of the mother in Circumfession), come back to the mark that the « I « without » I » (Parages) carries since before he knows that he carries it. Our thesis concentrates on these effects which cut the I — at the letter of its body — off from all destination, all predictable future, and that way constitute the I as ethics, through the questions of guilt, of forgiveness, of conversion« and » of writing
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Kiritani, Kei. "La genèse de la déconstruction : Derrida et le temps de la phénoménologie". Thesis, Strasbourg, 2020. https://publication-theses.unistra.fr/restreint/theses_doctorat/2020/Kiritani_Kei_2020_ED520.pdf.

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Abstract (sommario):
Notre thèse se donne pour objectif d’éclaircir le développement de la pensée de Jacques Derrida dans ses écrits des années 1950 et 1960, c’est-à-dire la « genèse de la déconstruction ». Comme il commence sa carrière philosophique en tant que phénoménologue, nous traitons principalement de ses trois textes portant sur la phénoménologie d’Edmund Husserl. Le problème du temps constitue le fil conducteur de cette thèse. Il est possible de dire que Derrida élabore sa propre pensée en s’expliquant avec la notion phénoménologique du temps. Nous tentons de conceptualiser son idée singulière du temps, tout en prenant en compte l’impossibilité d’une telle conceptualisation. Or, ce travail ne se limite pas à confirmer rétroactivement sa philosophie de jeunesse. En saisissant la déconstruction à l’état naissant, nous cherchons aussi à remettre en question la « déconstruction de la métaphysique » telle qu’on la comprend d’ordinaire. Il ne s’agit pas du dépassement une fois pour toutes de la métaphysique de la présence, mais de la complicité fatale entre le désir métaphysique et la décision, malgré tout, de le déconstruire
The aim of our thesis is to shed light on the development of Jacques Derrida’s thought in his writings of the 1950s and 1960s, that is the “genesis of deconstruction”. As he began his philosophical career as a phenomenologist, we will deal mainly with his three works on the phenomenology of Edmund Husserl. The problem of time is the guiding theme of this thesis. It is possible to say that Derrida elaborates his own thought by having it out with the phenomenological notion of time. We attempt to conceptualize his singular idea of time, while taking into account the impossibility of such a conceptualization. However, this work is not limited to the retroactive analysis of his youthful philosophy. We also seek to reexamine the well-known “deconstruction of the metaphysics” by clarifying the nascent deconstruction. It is not a question of overcoming once and for all the metaphysics of presence, but of the fatal complicity between the metaphysical desire and the decision, nevertheless, to deconstruct it
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Moati, Raoul. "Le double problème de l'intentionnalité et des actes de langage dans la pensée de Jacques Derrida". Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010698.

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Abstract (sommario):
Le présent travail de thèse de doctorat prend pour objectif d'élucider l'articulation de l'intentionnalité aux actes de langage dans la pensée mise en oeuvre par Jacques Derrida travers la rencontre de la philosophie de la déconstruction avec celle du langage ordinaire. Une telle exploration permet du point de vue historique ainsi que du point de vue conceptuel de démentir la réprobation unilatérale formulée par J. R. Searle des thèses de la déconstruction à l'endroit de la philosophie du langage ordinaire de J. L. Austin, tout en proposant d'établir le plus rigoureusement possible les limites interprétatives et théoriques de la réappropriation par Derrida, et la tradition qui se réclama de celle-ci, des enjeux de la philosophie du langage ordinaire concernant les relations qu'entretient la question des actes de langage à celles de l'intentionnalité et de la signification. Pour ce faire, une première partie vise à démontrer l'ancrage intentionnaliste profond de la pensée de Jacques Derrida, inf1uençant l'émergence théorique du thème de la (déconstruction» comme tel. On cherche à montrer dans une deuxième partie, l'existence de lignes de convergence conceptuelle entre les motivations qui conduisent Derrida de la ( phénoménologie» à la {( déconstruction» et J. L. Austin à la mise au jour de la philosophie du langage ordinaire. Pourtant, malgré les affinités théoriques incontestables que nous mettons en lumière, il nous faut montrer dans une troisième partie, comment le poids de la tradition phénoménologique et la radicalisation décisive de certains de ses thèmes, amène Derrida à ériger l'intentionnalité en un concept constitutif, prise de parti théorique qui conduit inévitablement la pensée de Derrida à la reproduction inversée des préjugés nourris par « l’ illusion descriptive» dénoncée par J. L. Austin, et dont la critique systématique définit le coeur même de la démarche adoptée par la philosophie du langage ordinaire, avec Austin et au-delà de lui. L'appropriation des thèmes de la philosophie du langage ordinaire par Derrida ne pouvait alors manquer de nous apparaître comme une première étape sur le chemin de la levée du descriptivisme, laquelle demeure l'objectif de toute démarche philosophique impliquée, comme l'est la déconstruction dérridienne, dans la déprise conceptuelle de certaines illusions fondamentales du représentationalisme linguistique et de la métaphysique qui lui fait fond.
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Vera, Peñaloza Adolfo. "L'image politique : art et disparition". Paris 8, 2012. http://www.theses.fr/2012PA083453.

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Abstract (sommario):
Dans cette thèse, nous nous proposons d'analyser, à partir de catégories de la philosophie politique et de l'esthétique, les effets que peut avoir le constat historique de l'application de la disparition politique dans les totalitarismes du XXe siècle pour une pensée de l'image en général et de l'image photographique, cinématographique et littéraire en particulier. Pour ce faire, nous avons étudié des concepts philosophiques essentiels pour la compréhension de ce phénomène, tels que ceux de « spectralité » (Derrida), « différend » (Lyotard) ou « surface d'inscription » (Déotte). Nous avons souhaité d'établir des modèles théoriques qui nous permettront d'analyser certaines productions artistiques et cinématographiques qui ont traité la question de la disparition politique, pour essayer -toujours paradoxalement- d'en donner une « image ». Or,il faut penser la disparition comme puissance de spectralité. La disparition est ce qui, dans notre temporalité historique, a mis en question la temporalité elle-même, si l' on considère celle-ci du point de vue de la philosophie de l'histoire moderne, c'est-à dire, à partir de la catégorie du « progrès ». Cela implique que les catégories de « hantise » et de « fantôme » acquerront une portée politique fondamentale
Working from categories of political philosophy and aesthetics, this thesis aims to analyse the effects the historical fact of the use of political disappearances in totalitarian states during the 20th century may have had on how we think about images in general, and photographic, cinematographic and literary imagery in particular. In order to do this, we studied those philosophical concepts that are essential to an understanding of this phenomenon, including "spectrality" (Derrida), "differend" (Lyotard) and "surface for inscription" (Déotte). Our goal was to establish the theoretical models that would enable us to analyse some of those artistic and cinematographic productions which have addressed the issue of political disappearance and attempted – paradoxically - to show its "image". However, disappearance ought to be thought of as the potential for spectrality. It is disappearance which, in our historical temporality, has brought into question temporality itself, if we consider it from the point of view of the philosophy of modern history, that is to say, from the category of “progress”. This implies that the categories of “ghosts” and "haunting" are to take on a fundamental political significance
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Wocke, Brendon John. "De la jouissance au "jouis-sens" : le jeu de mots dans l'oeuvre de Jacques Derrida". Perpignan, 2013. http://www.theses.fr/2013PERP1138.

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Abstract (sommario):
La portée centrale de cette thèse repose sur une étude des jeux de mots au sein de l’œuvre de Jacques Derrida à travers l’optique de la jouissance textuelle. Le point de départ est le constat qu’il est possible de mieux considérer le texte derridien en termes littéraires qu’en termes philosophiques. De ce fait, la thèse s’ouvre avec une étude de l’écriture derridienne en tant que, d’après Barthes, ce que nous pouvons nommer un texte de jouissance – un texte qui met en avant une forme d’écriture inouïe, brisant les limites des formes traditionnelles. Elle soutient une analyse de la façon dont les jeux de mots derridiens dévoilent une esthétique de la joie et de la jouissance. Ceci fait référence et, au jouis‐sens tel que Lacan le conçoit, à travers lequel nous pouvons comprendre (avec Kristeva) la multiplication de sens au cœur de l’expression derridienne, et au sens jouissant de la « philosophie poétique » de Derrida qui renvoie au « gai savoir » de Nietzsche. La question ultime est celle d’une philosophie sous‐jacente de joie et du plaisir de l’expression « poétique » qui s’exprime implicitement par les jeux de mots derridiens. Loin d’être une philosophie purement idéaliste, la thèse donne une vision de l’œuvre de Derrida en tant qu’une philosophie matérialiste de la production textuelle, le style derridien se trouve ainsi caractérisé comme l’expression d'une chora sémiotique
The central thrust of this thesis lies in a study of wordplay in the work of Derrida, seen through the optic of textual “jouissance”. The starting point of the thesis is the realisation that it is perhaps better to consider Derrida’s writing in literary as opposed to in philosophical terms. In so doing this thesis opens with a study of Derrida’s writing in terms of, following Barthes, we can consider to be a “texte de jouissance,” a text which foregrounds an unexpected form of writing, breaking with tradition. The thesis undertakes an analysis of the manner in which Derrida’s wordplay evokes an esthetic of joy and of “jouissance”. This refers to both the notion of “jouis-sens” as understood by Lacan, though which we can understand (with Kristeva) the multiplication of meaning at the heart of Derrida’s expressive style, as well as to Derrida’s “poetic philosophy” which recalls Nietzsche’s “gay science. ” The ultimate question is that of an underlying philosophy of joy and of the pleasure of “poetic” expression which is implicitly articulated through Derrida’s wordplay. Far from being a purely idealistic philosophy, this thesis offers a vision of Derrida’s work as a philosophy concerned with the material aspects of textual production, Derrida’s style can thus be characterised as the expression a semiotic chora
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Ferreira, Regina Maria Fonseca. "Entre tradução, psicanalise e desconstrução : o intervalo anassemico". [s.n.], 2002. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/269586.

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Abstract (sommario):
Orientador: Paulo Roberto Ottoni
Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem
Made available in DSpace on 2018-08-03T01:54:15Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Ferreira_ReginaMariaFonseca_M.pdf: 2600473 bytes, checksum: 2b507f7b1abe62189c61d3cddfe7fea5 (MD5) Previous issue date: 2002
Resumo: Esta dissertação reflete sobre o entrelaçamento de quatro textos: Vocabulaire de la Psychanalyse (Vocabulário da Psicanálise), de Laplanche e Pontalis (2001); L 'Écorce et lé Noyau (A Casca e o Núcleo), de Nicolas Abraham (1995); Moi ¿ la psychanalyse (Eu- a psicanálise), de Jacques Derrida (2000); e Ensaio sobre a criação teórica em psicanálise, de Fábio Landa (1999). A análise destes textos permitiu-me concluir que há uma convergência de reflexão que aproxima psicanálise e tradução. Por um lado, Abraham concebeu o conceito da anassemia, que descreve a produção de significado, no campo da psicanálise, concentrada no intervalo entre o consciente e o inconsciente.Ele chegou a este conceito após uma leitura psicanalítica do Vocabulaire de Ia Psychanalyse,o que o levou a detectar um movimento de tradução que ocorre primeiro dentro de uma determinada língua e, então, entre línguas. Por sua vez, Derrida abraça o texto de Abraham e transforma o evento da anassemia em tradução anassêmica, a que ocorre já dentro do próprio texto na língua em que foi concebido e também entre o texto de partida e o texto de chegada. Neste sentido, a produção de significado ocorre no intervalo entre as duas línguas e este intervalo produz negociação e contaminação de significância, reconhecendo,também, a diferença e a alteridade. Com base nesta convergência, concluí, em primeiro lugar, que a noção do "entre", do in between, de Derrida, aborda a tradução como um evento anassêmico, levando em consideração a linha de reflexão psicanalítica de Abraham. Posteriormente, concluí que, embora Derrida aparentemente jamais tenha voltado a mencionar o termo anassemia em seus texto spublicados após o Moi ¿ la psychanalyse, ainda há "sintomas"da anassemia em sua obra, como na noção da différance e do doublé bind, na abordagem do "Eu" [Moi] da psicanálise e na forma com que Derrida declara escrever para seus tradutores e para ser traduzido, colocando-se em um intervalo de negociação e contaminação, no próprio intervalo anassêmico
Abstract: Not informed.
Mestrado
Tradução
Mestre em Linguística Aplicada
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Odello, Laura. "Scritture del politico". Paris 3, 2007. http://www.theses.fr/2007PA030024.

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Abstract (sommario):
La thèse s’organise en deux volets :1. Le sujet souverain défini comme ipséité se constitue dans l’effacement fantasmatique de l’altérité qui loge en son cœur. Depuis ses premiers ouvrages analysant l’autoaffection vocale comme condition de la conscience de soi, Jacques Derrida n’a cessé d’œuvrer à un décentrement radical de cette autoposition souveraine du « je peux ». Il ne saurait donc être question de « tournant » dans sa pensée, même si ses écrits tardifs se consacrent plus explicitement à des questions juridico-politiques, en déconstruisant toutes les figures de la responsabilité qui sont liées à l’autonomie de l’ipse. Dissocier souveraineté et inconditionnalité, tel est l’enjeu d’une messianicité sans messianisme, pure structure d’attente exposée à la venue de l’événement. 2. De 1999 à 2001, la peine de mort a constitué le thème central du séminaire de Jacques Derrida. Or, la question de la peine de mort, scandée par l’histoire des déclarations internationales qui tentent d’en proclamer l’abolition sans y parvenir de façon inconditionnelle, se confond largement avec celle de la souveraineté en déconstruction, entre ses survivances dans des formes état-nationales et ses transformations en cours. Par ailleurs, la raison philosophique, dans son architectonique, semble être structurellement vouée à soutenir l’« échafaudage de l’échafaud », dont la critique, historiquement, se produit du côté de la littérature. Aussi, au fil des argumentations abolitionnistes d’Albert Camus ou de Victor Hugo, la réflexion se porte-t-elle, d’une part, sur la responsabilité de la littérature une hyper(ir)responsabilité qui lie l’espace littéraire à la démocratie à venir – et, d’autre part, sur la dimension méta-performative comme au-delà de la souveraineté même. L’enjeu de la déconstruction est et a toujours été la désobéissance du texte ou de la trace. Il y va, en somme, des écritures du politique
The thesis is divided into two parts :1. The sovereign subject, defined as ipseity, is constituted in the phantasmal erasure of otherness that inhabits its heart. Jacques Derrida, beginning with his earliest work — the texts that analyze vocal autoaffection as a condition of consciousness of the self — never ceased to elaborate a radical decentering of the sovereign autoposition of the “I can”. Thus there is no “turn” in his thought, even if his late work, devoted more explicitly to juridico-political questions, deconstructs the figures of responsibility that are tied to the autonomy of the ipse. Dissociating sovereignty and unconditionality leads to a messianicity without messianism, defined as a pure structure of expectation open to the occurrence of the event. 2. From 1999 to 2001, the central topic of Jacques Derrida’s seminar was death penalty. The question of capital punishment, as evidenced by the history of the universal declarations that have attempted to proclaim its abolition, though not without conditions, is generally related to the question of state sovereignty now in the process of deconstruction — moving between what is left of the forms of the nation-state and their progressive transformations. Furthermore, philosophical reason, in its architectonics, appears to be structurally devoted to sustaining the “scaffolding of the scaffold”, of which the critique, historically, has been carried out in literary works. So, following the course of the abolitionist arguments of Albert Camus or Victor Hugo, the thesis focuses, on the one hand, on the responsibility of literature — a hyper(ir)responsability that links literary space to the democracy to come – and, on the other, on the meta-performative dimension as beyond sovereignty itself. Deconstruction is, and has always been, concerned with the disobedience of the text, or of the trace. With the writings of the political, in sum
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Jerade, Dana Miriam. "Violence du langage et exigence de justice dans la pensée de Jacques Derrida". Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040213.

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Abstract (sommario):
Cette thèse vise à questionner la place de la violence dans la déconstruction de Derrida. Nous avons suivi deux axes depuis lesquels nous avons fait une lecture de son œuvre dès les années soixante jusqu'à son dernier séminaire sur la souveraineté : la violence du langage et la violence à l'origine du droit. En montrant la violence intrinsèque à la loi et à toute légitimation du pouvoir, la déconstruction porte un soupçon à toute théorie de la justice basée sur un accord institutionnel. Mais auparavant, si la légitimation est un acte de langage, pour faire une critique de la violence, il faut donc comprendre la force performative dans la fondation des institutions et analyser la deconstructibilité du droit et l'indéconstructible de la justice. Ces réflexions, autour de la langue et de la loi, obligent à postuler la différance entre, d'une part l'institution du droit et la langue de la loi et, d'autre part, la promesse d'un temps de justice à partir de l'hospitalité inconditionnelle et de l'idiome. Nous voulons montrer comment la philosophie de Derrida répond tout au long de l'histoire de la déconstruction, à une exigence de justice qui demande d'analyser la violence du langage dans la structure juridico-politique. Ceci nous permettra d'aborder la dimension politique de la déconstruction et une injonction faite à la philosophie : ne pas « justifier » les violences par des explications
Abstract: This thesis seeks to question the place of violence in Derrida's deconstruction. Two lines of thought were pursued which informed a reading of his work from the 1960s up until his final seminar on sovereignty: the violence of language and the violence at the origin of right. By displaying the intrinsic violence of the law and of all legitimation of power, deconstruction raises suspicion about any theory of justice based on institutional agreement. Beforehand, however, if this legitimation is an act of language, in order to be able to carry out a critique of violence, the performative force underlying institutions must be understood, and the deconstructibility of right and what cannot be deconstructed in justice must be analyzed. These reflections on language and the law lead us to postulate the différance between, on the one hand, the institution of right and the language of the law, and on the other, the promise of a time of justice on the basis of unconditional hospitality and the idiom. We aim to show how the philosophy of Derrida responds throughout the history of deconstruction to a demand for justice that insists on analyzing the violence in the juridico-political structure. This will allow us to address the political dimension of deconstruction as well as to examine an injunction laid on philosophy: not to "justify" violence by way of explanation
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Beato, Zelina Marcia Pereira. "Derrida e a cena da tradução na cena da escrita de Freud". [s.n.], 2005. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/269257.

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Abstract (sommario):
Orientador: Paulo Ottoni
Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem
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Resumo: Freud e a cena da escrita", de 1966, foi o primeiro texto que Derrida escreveu a partir do pensamento freudiano e, justamente por isso, nele encontramos noções seminais que marcaram de forma profunda tanto o pensamento da desconstrução, quanto tudo o que Derrida, reiteradamente, afirmaria em seus textos subseqüentes a propósito da psicanálise. Esse texto de Derrida trabalha de forma mais incisiva as noções de escrita, arquivo e tradução, importantes para a minha análise da relação que une os pensamentos derridiano e freudiano. Se o sujeito da escrita que Freud descreve "não é a solidão soberana do escritor", não há como garantir um signatário único que daria ao seu arquivo um fechamento atestado por sua assinatura, por seu eu-aqui-agora da enunciação. A escrita já está, pois, contaminada pela assinatura de um outro. Em busca da resposta para uma pergunta específica: "por que Freud se transformou num dos maiores desafios à tradução contemporânea?", encontrei outras implicações, outros questionamentos cujas respostas envolvem a forma particular de Freud se relacionar com a língua e com sua própria escrita, mas também, via Derrida, a possibilidade que a psicanálise abre de pensar numa noção de arquivo que não se reduza à memória como reserva consciente, nem como rememoração. Derrida encontra, em de Freud, uma cena de escrita. Minha leitura-tradução desse texto derridiano encontra nele uma cena de tradução
Abstract: Derrida's "Freud and the scene of writing" (1966) was the first text he wrote on freudian thinking approaching the seminal themes that profoundly influenced both, deconstruction and everything he would affirm and state in his further texts on psychoanalysis. In this specific text he drives his focuses on the notions of writing, archive and translation, which is crucial for my analysis on the relation which gathers both derridian and freudian thoughts. If the subject of writing described by Freud "is not the souverain solitude of the writer", there is no how to assure a sole signer which would give to his archive a closure testified by his signature, by his self present entity by the moment of enunciation. Therefore, writing is already contaminated by the signature of the other. Trying to answer to the question "Why is Freud a major challenge to contemporary translation?", I found other questions related to Freud's way of approaching his own language and writing, but also the possibility of thinking a notion of archive which is not reduced to memory as a conscient reservoir, neither as remembering. Derrida depicts, in Freud's scene of writing, a scene of writing. On my side, in reading-translating Derrida's text, I discovered a scene of translation
Doutorado
Tradução
Doutor em Linguística Aplicada
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Ertuğrul, Tacettin. "Jacques Derrida et le problème de la technique". Thesis, Strasbourg, 2016. http://www.theses.fr/2016STRAC023.

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Abstract (sommario):
La tâche de notre travail est de penser la question de la technique dans sa relation profonde et complexe avec celle de l’écriture chez Derrida. Les quasi-concepts du pharmakon et du supplément nous permettent de dire que la technique est pharmaco-supplémentaire. Mais il faut avancer et dire que l’archi-technicité est déjà la techno-graphie pharmaco-supplémentaire. L’œuvre de Derrida nous permet aussi de penser les télétechnologies à partir de l’écriture qui est déjà télé-technique. Les télétechnologies vont bien au delà d’une certaine conception courante de « média » ou de « télécommunication», car le concept de télé-technique atteint le coeur du mouvement de la différance. Il faut penser la télé-technique avec l’extériorisation, l’ex-appropriation, la trace, l’archive etc. Et dans le coeur de la différance, l’itération comme répétition en différence nous pousse à penser d’une nouvelle manière le même ou l’autos. Le même n’est pas stable, toujours en distance à soi-même et ouvert à l’autre. Il faudrait chercher l’archi-technicité dans cette ouverture à l’autre qui est liée à l’itérabilité différancielle. Une technicité comme ouverture à l’incalculable
The task of our work is to think the question of technique in its profound and complex relation with the question of writing in Derrida’s work. The quasi-conceptsof pharmakon and of supplement allow us to say that the technique is pharmaco-supplementary. But we must move forward and say that thearchi-technicity is pharmaco-supplementary techno-graphy. Derrida’s workalso allows us to think the teletechnologies from writing that is already teletechnical.The teletechnologies go well beyond a certain current conception of« media » or « tele-communication », because the concept of teletechnology reach the heart of the movement of différance. We try to think the teletechnique with exteriorisation, ex-appropriation, trace, archive, etc. And in the heart of différance, the iteration as repetition in difference leads us to think newly the same (le même). The same is not stable, is in distance with it self and open to the other. We should search the archi-technicity in this opening to the other that is related to differential iterability. It has to be noted that the archi-technicity is a technicity which remains open to the incalculable, to the event (l’événement)
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Delain, Pierre. "Le concept d'œuvre de Jacques Derrida, un vaccin contre la loi du pire". Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017PSLEE002.

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Abstract (sommario):
Jacques Derrida est signataire de ce qu’on appelle une "œuvre" : un vaste corpus de textes où d’autres "œuvres", en grand nombre, sont citées, étudiées, analysées ou déconstruites. Souvent, il utilise le mot "œuvre", et plus rarement mais de manière significative, il interroge ce mot ou ce qu'il appelle l'"énigme" du concept d'œuvre. Dans ce qu’il « dit » alors, un double « faire » est impliqué. D’une part, il se demande « Que fait cette œuvre ? », et nous pouvons analyser et commenter ce qu’il dit. Mais d’autre part, nous pouvons aussi nous demander : « Mais que fait Derrida quand il analyse ce que fait cette œuvre ? ». C’est cette deuxième question qui tend à prévaloir dans cette étude. Dans les champs de l'histoire de l'art, de l'esthétique ou de la critique littéraire, il existe une immense littérature autour de la question de l'œuvre. La convoquer, dans le format limité de ce travail, aurait conduit à des simplifications, des approximations ou des omissions. On a donc fait un autre choix : chercher dans le texte derridien lui-même, dans son faire, son auto-hétéro-affection, les éléments qui pourraient conduire à l’élaboration d’un concept d'œuvre spécifique et singulier. Afin de tenir compte de la critique externe et aussi de la longue histoire de la philosophie autour de cette thématique, on a mis à profit la structure d'"invagination" du texte derridien. Dans ce texte même, en prenant appui sur la littérature secondaire, on peut repérer d'autres pensées de l'œuvre, par exemple celles de Lévinas ou d’Heidegger. Cette méthode a conduit aux hypothèses suivantes : 1. Il y a dans l'œuvre derridienne, y compris à travers l’analyse des autres œuvres, la mise en jeu d’un "Il faut", d’une ou de plusieurs inconditionnalité(s), et ce dès les premiers textes. 2. La structure d'auto-immunité, décrite dans l'œuvre, opère dans l'œuvre. "Il faut" se protéger contre quelque chose. Quoi? Notre hypothèse, c'est qu'il s'agit du mal radical. 3. Malgré les apories multiples dont la description occupe une large partie de l'œuvre, le désir de protection, en principe impossible à réaliser, réussit quand même. On peut tenter de démontrer cette réussite, mais on peut aussi, surtout, en témoigner par la lecture : Je dois reconnaître, je dois avouer qu'elle me vaccine. 4. Cette opération, que nous nommons aussi "œuvrance", est performative. Elle passe par cinq principes inconditionnels : laisser l’avenir ouvert, s’adresser à l’autre comme tel, s’aventurer pour plus que la vie, garder le secret, répondre des principes - en ce moment même. 5. Cela conduit à la définition d'un "principe de l'œuvre" spécifique de l’œuvre derridienne dont l'énoncé est le suivant : Ce qui a lieu dans une œuvre s’affirme inconditionnellement, en-dehors de tout calcul, de toute finalité et de toute transaction
Jacques Derrida signs what is called “une oeuvre” ("a work") : a vast corpus of texts, in which other "works", great in number, are cited, studied, analyzed or deconstructed. He often uses the word "work", and more rarely, but in a significant way, he interrogates this word, or what he calls "the enigma" of the concept of work. In what he "says", then, a double "doing" is implied. On the one hand, he asks himself "What makes this work?", and we can analyze and comment upon what he says. But, on the other hand, we can also ask ourselves : "But what does Derrida do when he analyzes what it is that makes this work?" This second question is the one that tends to prevail in this study. In the fields of art history, esthetics or literary criticism, there exists an enormous litterature around the question of the work. To raise it, in the limited form of this essay, would lead to simplifications, approximations, or omissions. We have therefore made another choice : to seek out, in the derridian text itself, in its "doing", its auto-hetero-affection, the elements that could lead to the elaboration of a specific and singular concept of work. In order to account for external criticism, and also of the long history of philosophy around this thematics, we have privileged the Derridian text's structure of "invagination". In his text itself, drawing on the secondary literature, we can link up other thoughts involving the work, for example those of Levinas or Heidegger. This method has lead to the following hypotheses: 1. In the derridian work, including across the analysis of other works, the setting into play of an "it must", of one or several unconditional(s), and beginning with the first texts. 2. The structure of auto-immunity, described in the work, is operating within the work. "It must" protects itself against something. Against what? It is our hypothesis that this has to do with radical evil. 3. Despite the multiple aporias whose description occupies a large part of his work, the desire for protection, in principle impossible to realize, nonetheless succeeds. We can try to demonstrate this success, but we can also, above all, take note of it by reading : I ought to recognize, I ought to acknowledge that it vaccinates me. 4. This operation, that we also call “œuvrance” (“working”), is performative. It passes through five unconditional principles : leave the future open, address oneself to the other as such, aim for more than life, keep the secret, answer to principles -- in this very moment. 5. This leads to the definition of a "principle of the work": specific to the derridian work whose statement is the following : what takes place in the work, is unconditionally affirmed, beyond all calculation, all finality and all transaction
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Koehler, Juliana. "Pensando o limiar entre o direito e a política, nos rastros de Habermas, Derrida e Benjamin". reponame:Repositório Institucional da UnB, 2009. http://repositorio.unb.br/handle/10482/7302.

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Abstract (sommario):
Dissertação (mestrado)—Universidade de Brasília, Faculdade de Direito, 2009.
Submitted by Shayane Marques Zica (marquacizh@uol.com.br) on 2011-03-30T15:27:35Z No. of bitstreams: 1 2009_JulianaKoehler.pdf: 587806 bytes, checksum: 93b073bdf6b42a2823dff76191f82264 (MD5)
Approved for entry into archive by Marília Freitas(marilia@bce.unb.br) on 2011-04-05T19:47:17Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2009_JulianaKoehler.pdf: 587806 bytes, checksum: 93b073bdf6b42a2823dff76191f82264 (MD5)
Made available in DSpace on 2011-04-05T19:47:17Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2009_JulianaKoehler.pdf: 587806 bytes, checksum: 93b073bdf6b42a2823dff76191f82264 (MD5)
Neste trabalho, disserto sobre os aspectos principais das perspectivas de Habermas, Derrida e Benjamin acerca da relação entre o direito e a política. Para Habermas, o direito positivo legítimo pressupõe um processo político-democrático, em que sejam garantidas a liberdade de comunicação e a igualdade de participação a todos os cidadãos, o que exige um sistema de direitos e uma democracia constitucional, por meio dos quais a autonomia pública e autonomia privada sejam co-originariamente relacionadas. Nessas condições, alcança-se, por meio do uso público da razão, um acordo em torno de questões morais, do qual emergem princípios de justiça. Em Derrida, a relação entre direito e política é entendida em termos de diferença entre os planos do possível e do impossível. O direito e a política estariam situados, segundo Derrida, no plano do possível e, em última instância, teriam por fundamento a autoridade mítica da lei, mantendo uma relação interna e complexa com a violência. No plano do impossível, estariam a justiça, os direitos humanos e a política como hospitalidade. Embora este plano seja, de certa forma, utópico, para Derrida, há uma exigência ética de incorporação da hospitalidade incondicional à dimensão do possível, assim como há uma exigência de justiça infinita, diante da memória e diante da própria compreensão do que é responsabilidade. O direito, para Benjamin, apóia-se sobre o mito e a violência, seja na instituição de uma nova ordem jurídica seja na sua manutenção. Uma política como pura medialidade seria, ilustrativamente, a que se vê na linguagem. Por sua vez, a justiça é concebida, em Benjamin, como uma intervenção divina ou como uma intervenção político-revolucionária que depusessem o direito. Em termos de democracias mais efetivas, Habermas acentua a necessidade de se garantir uma convivência intersubjetiva plural, em um espaço democrático tolerante, e Derrida a importância de se criar espaços inter-singulares, em que haja hospitalidade para com as diferenças. Embora Benjamin não possua propriamente uma teoria sobre democracia, suas reflexões acerca da subjetividade moderna e de seu descentramento talvez possam contribuir para o debate acerca da efetiva abertura da política à diferença, condição para uma prática efetivamente democrática. _______________________________________________________________________________ ABSTRACT
The main aspects of Habermas, Derrida and Benjamin’s perspectives about the relation between Law and politics are presented in this work. According to Habermas, the legitimate positive law presupposes a political-democratic process in which the liberty of communication and the equality of participation of all citizens are guaranteed. This process demands a system of rights and a constitutional democracy by which the public and private autonomy are originally related. In these conditions, by means of the public use of reason, an agreement about moral issues is achieved from which principles of justice emerge. In Derrida, the connection between law and politics can be understood in terms of the difference between the possible and the impossible plans. According to Derrida, the law and the politics would be situated in the possible plan and, ultimately, would have as it bases the mythic authority of law, maintaining an internal and complex relationship with violence. In the impossible plan, there would be justice, human rights and politics as hospitality. Even though this plan may be somehow utopian, for Derrida, there is an ethical demand for the incorporation of unconditional hospitality to the dimension of the possible, as well as there is a demand for infinite justice given the memory and the own understanding of what responsibility is. The law, according to Benjamin, is based on the myth and violence, whether in the institution of a new juridical order or in its maintainance. A policy as pure medially would be, in an illustrative way, the one which is seen in the language. On the other hand, justice is conceived, in Benjamin, as a divine or revolucionary political intervention which would depose the law. In terms of more effective democracies, Habermas stresses the necessity of ensuring a plural intersubjective coexistence in a tolerant democratic space. Derrida emphasizes the importance of creating intersingular spaces in which there is hospitality towards the differences. Even though Benjamin does not have a theory about democracy, his reflections concerning modern subjectivity and his decentering might contribute to the debate concerning the effective opening of politics towards difference.
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Dorfman, Beatriz Regina. "Arquitetura e representação : as Casas de papel, de Peter Eisenman e textos da desconstrução, de Jacques Derrida, anos 60 a 80". reponame:Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UFRGS, 2009. http://hdl.handle.net/10183/17917.

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Abstract (sommario):
Os avanços científicos e tecnológicos e a superação dos paradigmas filosóficos que fundamentaram o pensamento moderno provocaram profundas modificações na representação, ao longo do século XX. A arquitetura e a filosofia, como as mais diversas manifestações contemporâneas associaram-se nessas mudanças. Nas décadas de 1960 a 80, os trabalhos do arquiteto Peter Eisenman e os do filósofo Jacques Derrida partiram de questões da linguagem e da representação e propuseram uma série de rupturas em termos formais e conceituais. Este processo ganhou expressão na arquitetura e em sua representação e obteve projeção internacional na exposição que deu nome ao fenômeno que ficou conhecido como arquitetura desconstrutivista. Após este período, as obras do arquiteto e o pensamento do filósofo seguiram por caminhos diferentes. Arquitetura e representação: as Casas de papel de Peter Eisenman e textos da desconstrução em Jacques Derrida, anos 60 a 80 analisa obras selecionadas do arquiteto e do filósofo que abordam questões da linguagem e da representação. Discute conceitos da desconstrução, que permanecem válidos para a arquitetura contemporânea, e relaciona-os com outras modalidades de expressão artística. Demonstra que não há correspondência entre a filosofia da desconstrução e o fenômeno que ficou conhecido como arquitetura desconstrutivista.
Scientific and technological advances and the passing by of philosophic paragons witch founded modern thought promoted deep changes in representation, all over XX century. Architecture and philosophy, as many of the contemporary expressions are associated in this changes. In the decades of 1960 to 80, the works of the architect Peter Eisenman and of the philosopher Jacques Derrida began from questions of language and representation and proposed a series of breakings in formal and conceptual terms. This process had expression in architecture and in its representation and was internationally known in the exposition that gave name to the phenomena and is known as deconstructivist architecture. After this period, the works of the architect and the thinking of the philosopher followed different ways. Architecture and representation, Paper houses by Peter Eisenman and texts of deconstruction by Jacques Derrida, years 60 to 80 analyses selected works of the architect and of the philosopher about language and representation. Discusses questions and concepts of deconstruction, that keep on valid to contemporary architecture, and searches for relationships other modalities of artistic expression. Demonstrates that there is no correspondence between philosophy of deconstruction and the phenomena that became known as deconstructivist architecture.
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Celedón, Gustavo. "Emancipations de l'expérimentation sonore : dimension philosophique-politique d'une pensée sur le son". Paris 8, 2014. http://www.theses.fr/2014PA084153.

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Abstract (sommario):
Il s'agit d'une recherche sur l'expérimentation sonore des XX et XX siècles à la lumière d'une pensée sur ses conséquences politiques et philosophiques. Notre approche ne vise pas à traiter l'expérimentation sonore comme un objet pour la philosophie, mais plutôt à penser l'émergence progressive des sons dans nos vies et les déplacements esthétiques, philosophiques et politiques d'une telle émergence à travers l'expérience de l'expérimentation sonore. En ce point, l'expérimentation sonore se présente moins comme une pratique artistique déterminée que comme une recherche et une inquiétude autour du son, de l'écoute et les formes -formes politiques- du sensible. Ainsi, é n de penser l'altération actuelle qu'elle introduit dans les formes sensibles traditionnelles qui commandent tant donné que l'émergence des sons est un événement de nos jours, notre approche est surtout une faço nos formes de penser et vivre, toujours guidées par la vue et l’œil. Notre travail pense cette altération à partir d'une approche de Badiou, Rancière et Stiegler et, indirectement, Jacques Derrida. Badiou et Rancière nous donnent la possibilité de nous approcher à l'expérimentation sonore à partir d'une pensée sur l'événement, l'émancipation et le partage du sensible. Stiegler, à son lieu, nous permet de penser la question technique, indissociable à l’émergence sonore. Face à lui, l'expérimentation sonore nous permet poser une critique à toute tentative de placer la technique comme logos, idée que nous renforçons avec la pensée de Derrida
This is a research on sound experimentation of XX and XX centuries by the light of a thought of her political and philosophical consequences. Our approach is not intended to treat experimental sound as a philosophy’s object, but rather to think the gradual emergence of the sounds in our lives and in the aesthetic, philosophical and political movements through the experience of sound experimentation. At this point, the sound experimentation is presented less as a specific artistic practice as research around the sound, listening and forms –political forms– of sensitive. Thus, given that the emergence of sound is an our day’s event, our approach is mainly a way of thinking the actual that she gets in sensitive forms who control our ways of thinking and living, always guided by vision and the eye. Our work thinks this change from an approach to Badiou, Rancière and Stiegler and, indirectly, Jacques Derrida. Badiou and Rancière give us the possibility to approach the sound experimentation from thinking about the event, emancipation and the distribution of the sensible. Stiegler enables us to think the question of technique, inseparable to the sound emergence. Facing him, sound experimentation enables us to propose a critique to any attempt to place the technique as logos, idea that we bolster with Derrida
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Kopka, Aleksander. "A Life Interrupted. The Politics and Ethics of Mourning in the Work of Jacques Derrida". Thesis, Lille 3, 2019. http://www.theses.fr/2019LIL3H067.

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Abstract (sommario):
L’objectif de la thèse concerne la question du deuil dans les écrits de Jacques Derrida et il est fondé sur la supposition que la question du deuil, et tout comme la notion de survivance, offre un accès unique et crucial à la dimension politico-éthique de son travail. Pour atteindre cet objectif, la thèse offre une reconstruction du chemin de la pensée qui hante déjà les premiers écrits de Derrida. Cette reconstruction consiste à souligner la contamination et l'interruption originaires de la vie, et donc à déconstruire les divers concepts de la vie pure et indemne sur lesquels le discours métaphysique, en particulier dans le domaine de la politique, compte. Les tâches assumées dans la thèse ont pour but non seulement de révéler la capacité éthico-politique du travail de Derrida mais aussi de présenter sa pensée comme l'incarnation de la politique et de l'éthique comprises hyperboliquement, comme, selon la thèse, Derrida lui-même les comprend. Partant d’une introduction générale du contexte dans lequel Derrida écrit explicitement au sujet du deuil, le contexte de son expérience personnelle de chagrin à cause de la mort de ses proches, et s'appuyant notamment sur les prémisses distinctes et cohérentes sur la profondeur du deuil dans les écrits élogieux de Derrida, la thèse démontre la nécessité originaire et générale qui est imposée, en tant que le deuil, à toutes relations. Par conséquent, le deuil n’est pas seulement l’un des nombreux phénomènes sociologiques ou psychologiques, mais il est la condition interminable et irréductible de la vie à ses niveaux les plus abyssaux. Afin de lier cette proposition aux premiers écrits de Derrida, la pensée du deuil est associée à la déconstruction de la vie et à la notion de trace qui permettent de renverser le privilège transcendantal de la vie que la métaphysique accorde à la présence simple et ininterrompue. En se basant sur la pensée de deuil qui consiste à affirmer la singularité de l'autre mortel, la thèse réfute non seulement l'hypothèse selon laquelle la pensée de Derrida ne peut être mise en œuvre avec succès dans le cadre de politique et éthique, mais elle prouve aussi qu'il n'y a pas, essentiellement, de tournant éthico-politique dans le travail de Derrida qui justifierait une rupture avec le raisonnement de ses premiers écrits, et donc, puisque les principes et les hypothèses générales de sa pensée n'ont pas changées, il n'y a pas de tournant éthico-politique dans l'itinéraire de Derrida des premiers aux derniers écrits, Derrida reste fidèle aux principes de déconstruction en tant qu’exigence de vigilance radicale qui appelle à la reconnaissance du caractère universel de la trace et à l'affirmation d'une altérité irréductible et inconciliable. Cette fidélité et cette affirmation sont irréconciliables avec les catégories traditionnelles de la réflexion occidentale, de métaphysique à politique, ainsi qu'avec les mécanismes et les institutions d'oppression et de coercition qui se tournent généralement vers ces catégories (ou leurs aberrations) afin de justifier la violence politique qu'elles perpètrent. En adoptant cette approche, la thèse conteste la logique de la politique identitaire et de toute ontothéologie politique fondée sur les principes de parenté transcendantale ou ontologique, sur les prérogatives de (ré)union, d’appropriation, du sang et du sol, du retour à soi-même, et sur l'irréfutabilité d'un pouvoir souverain. La question du deuil suscite donc une façon plus sagace de penser la politique et l'éthique fondée sur l'appel à une responsabilité radicale et incalculable qui repose, au bout du compte, sur une réponse devant l'autre mortel, et qui peut donc inspirer un changement, non seulement dans le langage de politique et éthique, mais dans la politique à tous les niveaux de sa mise en œuvre
The aim of the thesis centers upon the question of mourning in the writings of Jacques Derrida and it is based on an assumption that the thought of mourning, just as the notion of survival, provides a unique and crucial access to the politico-ethical dimension of his work. In pursuit of this aim, the thesis offers a reconstruction of the path of thought embedded already in the earliest writings of Derrida. Such path consists in emphasizing the originary contamination and interruption of life, and therefore, consists in the deconstruction of the various concepts of pure and unscathed life upon which that the metaphysical discourse, especially in the field of politics, so heavily relies. The tasks assumed in the thesis are carried out in effort to unveil not only the ethico-political capacity of Derrida's work, but to portray his thought as the epitome of politics and ethics taken, as this thesis claims Derrida does, hyperbolically, or at their utmost. Starting from a general introduction of the context in which Derrida writes explicitly about mourning, the context of his personal experience of grieving over the deaths of people who were close to him, and basing itself on the distinct and consistent premises about the profundity of mourning that one constantly comes across in his eulogistic writings, the thesis demonstrates the originary and general necessity that mourning imposes on every relation between living beings. Consequently, mourning is not just one of many sociological or psychological phenomena but the interminable and irreducible condition of life at its most abyssal levels. In order to tie this proposition to Derrida's early writings, the thesis connects the thought of mourning with deconstruction of life as simple and uninterrupted presence and with the notion of the trace both of which allow to subvert the transcendental privilege that life as simple presence is granted by metaphysics. Positioning itself on the thought of mourning that consists in affirmation of the singularity of the mortal other, the thesis not only refutes the assumption that Derrida's thought cannot be successfully implemented within the politico-ethical framework, but it also proves that there is no ethico-political turn in Derrida's work that would warrant a break from the reasoning of his early writings. Indeed, given that the principles and general assumptions of his thought have not changed, there is no ethico-political turn in Derrida's itinerary. From his first writings to his last, Derrida remains faithful to the notion of deconstruction as the demand for radical vigilance that calls for the recognition of the universal character of the trace and to the affirmation of irreducible alterity. This fidelity and affirmation are irreconcilable with the traditional categories of the Western reflection, from metaphysical to political, as well as with the mechanisms and institutions of oppression and coercion that usually turn to these categories (or their aberrations) in order to justify political violence that they perpetrate. By adopting this approach, the thesis contests the logic of the politics of identity and any political ontotheology that are based on the principles of transcendental or ontological kinship, on the prerogatives of gathering, appropriation, blood and soil, return to the same, and on indisputability of a sovereign power. The question of mourning instigates therefore a more insightful way of thinking about politics and ethics based on the call for radical and incalculable responsibility that ultimately relies on a response before the mortal other, and therefore, it can inspire a change not only in the language of politics and ethics, but in politics at every level of its implementation
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Barrau, Aurélien. "Anomies : une déconstruction de la dialectique de l’un et de l’ordre, entre Jacques Derrida et Nelson Goodman". Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040002.

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Abstract (sommario):
Notre hypothèse est la suivante : pour des raisons différentes et avec des méthodes différentes, Derrida et Goodman ont, chacun, ébranlé l’un des deux piliers qui sous-tendent l’essentiel de la tradition philosophique. Derrida, par le jeu subtil de la différance, a fait vaciller la vaste entreprise de mise en ordre. Goodman, par la profusion de mondes construits et irréductibles les uns aux autres, remet en cause l’aspiration à l’unité. Nous avons tenté d’établir que la métaphysique s’est développée dans une dialectique de l’un et de l’ordre, se rétablissant sur l’un de ses pilastres quand l’autre faiblissait. Si donc les soubassements de l’histoire philosophique devaient être revisités – peut-être révisés – il serait fructueux d’user simultanément des propositions derridiennes et goodmaniennes. C’est l’originalité de ce projet. Il s’agit, pour neutraliser la récupération dialectique par l’autre pilier (par l’unité quand l’ordre faillit ou par la mise en ordre dans la multitude s’immisce) d’interroger la tradition suivant le double impératif de la déconstruction et du nominalisme, suivant le double prisme du dés-ordre de Derrida et du multiple de Goodman. Nous avons tenté d’établir que l’efficace d’une remise en cause du « mythe de l’un » ne peut se faire sans ébranler le « mythe de l’ordre ». Considérer conjointement les systèmes (ou des dé-systématisations) de Derrida et Goodman serait donc, suivant ce dessein, non seulement utile mais presque indispensable. Chacun d’eux permet d’éviter la récupération dialectique du schème de l’autre. L’étude est menée à partir d’un inconfort partagé face au concept de vérité
Our hypothesis is the following : for different reasons and with different methods, Derrida and Goodman have both deconstructed one of the pillars of the Western philosophical tradition. Derrida, using the subtleties of the differance concept, has shaken the general entreprise of « organisation ». On the other hand, Goodman, by considering numerous constructed worlds that cannot be reduced one to the other, questions the desire of unity. We have tried to establish that metaphysics has developed in a dialectic articulation of order and unity, using one when the other fails. If the groundings of the history of philosophy were then to be revisited, it would be useful — if not necessary — to use simultaneously the derridean and goodmanian views. This the originality of this project. To break the dialectic mechanics using order to cure multiplicity, or the other way round, we have reconsidered the tradition using both deconstruction and nominalism, Derrida’s disorder and Goodman’s diversity. We have tried to show that the efficiency of the questioning of the « unity myth » depends on how far the « order myth » has been revised. Considering simultaneously both Derrida’s and Goodman’s systems allows to avoid the dialectic neutralisation of the proposal. The study is performed through the question of truth
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Badleh, Jalal. "Le temps de l'autre : de Derrida à Levinas : la dette et l'envoi : la déconstruction et l'invention du futur". Bordeaux 3, 2008. https://extranet.u-bordeaux-montaigne.fr/memoires/diffusion.php?nnt=2008BOR30036.

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Abstract (sommario):
Cette thèse analyse le rapport de Derrida à Levinas. Elle analyse ce que la déconstruction doit à la doctrine levinassienne de l’éthique comme philosophie première : la critique de l’ontologie à travers la notion de trace, la déconstruction de la métaphysique de la présence et la primauté du thème de l’altérité événementielle. Cette thèse rejette en revanche l’idée selon laquelle la destinée de la Déconstruction pourrait s’expliquer par les principes de l’éthique levinassienne. Elle montre ainsi la spécificité de la pensée de Derrida par rapport à la philosophie de Levinas. Spécificité que nous préparerons à lire le texte de Derrida en 1980 « En ce moment même de cet ouvrage me voici », où Derrida propose une lecture déconstructive de l’œuvre de Levinas. Pour accéder à ce texte, nous proposerons ce que nous pensons être la théorie de la Déconstruction, en y privilégiant la priorité du politique sur l’éthique. Selon ce privilège, nous proposerons une lecture de l’œuvre de Derrida en essayant de montrer la continuité de cette œuvre et, donc, de prouver l’invalidité de l’hypothèse de tournant dans la déconstruction, par laquelle on a coutume d’expliquer l’apparition tardive des thèmes politiques dans la pensée de Derrida. Tournant que les commentateurs expliquent par un repositionnement de la part de Derrida vis-à-vis de Levinas après ses critiques en 1964 dans « Violence et métaphysique »
We confront here Derrida and Levinas, by analyzing what deconstruction owes to the doctrine levinassienne of ethics as first philosophy : criticism of ontology through the concept of trace, the deconstruction of the metaphysics of presence and primacy of the theme of event’s otherness. However, this thesis rejects the idea that the destiny of the Deconstruction could be explained by the principles of Levinas’ ethics. It shows the specificity of Derrida's thinking in relation to Levinas’ philosophy. We give an interpretation of Derrida’s paper “At This Very Moment in This Work Here I Am″ (1980), in which he offers a deconstructive reading of Levinas’ work. We explain what we believe to be the theory of Deconstruction, by emphasizing the priority of the politics on the ethics. We will therefore try to demonstrate the continuity of Derrida’s work, and to prove the invalidity of the assumption of an “ethical or political turn” in the deconstruction, which was used to explain the late emergence of political themes in Derrida’s thinking, as if Derrida had changed his mind towards Levinas after his famous paper on "Violence and metaphysics » (1964)
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Garcia-Hubard, Gabriela. "Beckett et Derrida (d')après les apories de la signification". Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070034.

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Abstract (sommario):
Dans le contexte dit poststructuraliste ou même postmoderniste, on arrive trop souvent à la conclusion qu'un concept, une hypothèse, un texte et même une action est aporétique, sans pour autant s'arrêter un instant et rechercher leurs traces et leurs histoires, ainsi que la richesse lexicale qui les constituent, l'infinité sémantique qui les déclenche, sans considérer la pratique syntaxique et contextuelle qui les compose et les décompose. C'est pour cela que nous proposons une exploration, non exhaustive, des différentes figures aporétiques qui simultanément animent et menacent l'œuvre beckettienne et derridienne, telles que la mort, l'ignorance, l'aphasie, la suspension, le bruit, le chaos, la destinerrance, l'hymen, entre autres
In the so-called postmodernist or even poststructuralist context, we come too often to the conclusion that a concept, an hypothesis, a text or even an action is aporetic, without pausing to inquire into its traces and its histories, the lexical richness that constitutes it, the endless semantics that provoke it, without considering the syntactic and contextual practice that composes and decomposes it. That is why we propose an exploration (although not an exhaustive one) of different aporetic figures that simultaneously animate and threaten Beckett's and Derrida's work, such as death, ignorance, aphasia, suspension, noise, chaos, destinerrance, and the hymen, among others
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Barbosa, Roseli de Fatima Dias Almeida 1960. "A tradução de Francis Ponge placee en abime". [s.n.], 2003. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/269593.

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Abstract (sommario):
Orientador : Paulo Roberto Ottoni
Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem
Made available in DSpace on 2018-08-03T13:31:22Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Barbosa_RoselideFatimaDiasAlmeida_M.pdf: 4551264 bytes, checksum: 6e91dce27c3aca50483a98acdce5a886 (MD5) Previous issue date: 2003
Resumo: Neste estudo proponho traduções de alguns textos do poeta francês Francis Ponge. Nessas traduções procuramos analisar certas tensões latentes no interior da língua, um certo jogo que o autor autoriza entre a objeto e a língua, nomeado de objogo. Buscando exemplificar esse jogo na tradução, nos deparamos com o double bind, entendido a partir de Jacques Derrida não somente como o convívio simultâneo entre a necessidade do acontecimento da tradução e do intraduzível, mas também como potencial criador. Entre o traduzível e o intraduzível a tradução acontece mostrando sua plural idade, sua eterna renovação, um placé en abíme de múltiplas escolhas. Escolhas que ilustram o objogo, exemplificado neste trabalho pela tradução de textos de Ponge, alguns deles apresentando vários pontos de vista de um objeto. Com a prática da tradução, por vezes plural (mais de uma tradução para um mesmo texto), acontece uma multiplicação de pontos de vista que estabelecem uma complementaridade e uma contaminação entre as línguas, o que pode ser visto em alguns exercícios de tradução e comentários que fizemos. Concluímos que a tradução se revela como trabalho a partir de uma pluralidade de textos (e de línguas), que também se revela para outros (e outras) infinitamente. Esse potencial criador suscitado pelo double bind gera assim uma tensão que é fonte de criação: a partir do in-traduzível se dá a tradução. O double bind, agora entre o objeto e a linguagem, faz e é parte da obra pongiana. A tradução encerra assim todos os aspectos relevantes do objogo literário
Mestrado
Tradução
Mestre em Linguística Aplicada
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Barbosa, Roseli de Fatima Dias Almeida 1960. "No atelier com Ponge". [s.n.], 2011. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/270108.

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Abstract (sommario):
Orientador: Mário Luiz Frungillo
Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem
Made available in DSpace on 2018-08-18T18:10:27Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Barbosa_RoselideFatimaDiasAlmeida_D.pdf: 4105305 bytes, checksum: bd5c0560a8d3dcc9c2ecbb8af8376434 (MD5) Previous issue date: 2011
Resumo: Partindo de um breve percurso histórico da relação entre poesia e pintura, prefigurada pela expressão de Horácio ut pictura poesis, este trabalho visa fazer um estudo sobre os textos em torno da pintura na obra de Francis Ponge. Escolhi esse poeta francês porque durante sua vida se relacionou e escreveu sobre artistas plásticos. A intenção foi estudar quais os recursos e marcadores textuais nos textos de Ponge revelam elementos pictóricos no campo lexical (palavras e expressões específicas), no campo gráfico (escolhas tipográficas), no campo onomástico (nomes de quadros, de artistas), nos procedimentos da escrita, em suma, de que forma isso se constrói literariamente no lápis de Ponge. Nossa hipótese é a de que Ponge se coloca como pintor, tenta observar e sentir como um pintor para escrever seus textos. De sua paleta de palavras saem todas as nuances da natureza. Para mostrar como esse no-lugar-do-pintor/escultor se dá em Ponge, apontamos semelhanças no olhar e no modo de trabalho em vários temas, como no excepcional exemplo de La Mounine, que se apresenta como mímesis de trabalho impressionista pelo olhar e escolha lexical. As análises, em seu conjunto, revelam que Ponge é mais que espectador do mundo das artes plásticas, ele é artista plástico que se faz escritor
Abstract: This thesis starts from a historical sketch of the inter-relation between painting and writing outlined by Horatio?s expression ut pictura poesis. Its main goal is to study Francis Ponge?s texts on Art because this French poet had a life-long relationship with plastic artists, witnessed in his work. Our intention is to present Ponge?s textual resources which reveal pictorial marks in the lexical domain (words and expressions), in the orthographical domain (typographic choices), in the onomastic domain (pictures? titles, artists names), as well as in the writing techniques used. To sum up, how the Plastic Arts are worked out by his pencil. Our hypothesis is centered in the idea that Ponge sees himself as a painter. In the idea that he tries to observe and apprehend the world as a painter before the texts he writes. From his palette of words all Nature?s details come out. To show how this in-the-place-of-a-painter takes place in Ponge, we show similarities of sight and in the way the work is done in several themes shared by the artists and Ponge. La Mounine is an exquisite example of this, which stands for a mimesis of an impressionist work, given the lexical choices and the way the author observes the landscape. All the analyses presented reveal that Ponge is more than an eyewitness in the Arts? world; he is a plastic artist who became a writer
Doutorado
Literatura Geral e Comparada
Doutor em Teoria e História Literária
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González, Castaño Héctor. "L'autre corps : le problème de la corporéité dans la philosophie de Jacques Derrida". Thesis, Paris 10, 2017. http://www.theses.fr/2017PA100117/document.

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Abstract (sommario):
Cette thèse analyse la manière dont Derrida considère le problème du corps ; nous prenons pour fil conducteur la déconstruction du concept de « corps propre », ébauchée depuis les premiers textes de Derrida consacrés à la phénoménologie de Husserl. En lisant ce dernier, Hegel ou la psychanalyse, Derrida interroge le problème de l’« idéalisation » pour montrer qu’une forme d’« itérabilité » se trouve à la base du rapport entre le corps et la « vie », d’un côté, et du processus d’« auto-affection » qui constitue l’expérience du « corps propre », de l’autre. Derrida analyse la dimension économique du « propre » à travers les problèmes du signe et de l’écriture, et il démontre l’hétéro-affection inséparable de l’expérience du corps, qu’il considère comme un champ de forces. L’expérience corporelle du « propre » s’avère dérivée par rapport à une technicité « originaire », dont le rapport avec la singularité nous permet de penser « l’autre corps » qui travaille à l’intérieur du corps dit « propre ». Pour mieux développer ces questions, nous comparons les propos de Derrida avec deux grands philosophes du corps : Merleau-Ponty et Jean-Luc Nancy. Indissociable du rapport à l’autre, le corps nous oblige à interroger le problème du monde, dont l’unité, présupposée par la « chair » merleau-pontienne, est mise en cause par la déconstruction. Les réserves de Derrida à l’égard du concept nancyen de « corpus » et l’expérience de l’« intraductibilité » que constitue son livre 'Le toucher, Jean-Luc Nancy', nous conduisent à considérer une certaine pratique de la traduction comme ce qui ouvre la voie vers une pensée« toute autre » du corps
This dissertation analyses the ways in which Derrida considers the problem of the body. It takes as its central theme the deconstruction of the “body proper” (corps propre) concept, whose discussion dates back to Derrida’s first texts on Husserl’s phenomenology. Through Husserl, Hegel and psychoanalysis, Derrida questions the problem of “idealisation”, and in doing so, he shows that a form of “iterability” is both the basis of the relationship between body and “life”, and equally, the basis of the process of “auto-affection”. By considering the economic dimension of the “proper” through the problems of writing and the sign, Derrida takes into account the hetero-affection inseparable from the experience of the body and insists that we think of the body as a space of forces. The bodily experience of the “proper” turns out to be derived from an “originary” technicity. The relationship of technics and singularity allows us to think “the other body” which operates from within the so called body “proper”.In order to better understand these questions, Derrida’s position is compared to two important philosophers of the body, Maurice Merleau-Ponty and Jean-Luc Nancy. The experience of the body implies a relation to the other and the world, whose unity is presupposed by Merleau-Ponty’s “flesh” (chair) and put into question by deconstruction. By clarifying Derrida’s reservations regarding Nancy’s concept of “corpus”, as well as considering the experience of “untranslatability” that constitutes 'On Touching, Jean-Luc Nancy', it is argued that Derrida’s philosophy asserts a certain practice of translation which opens up a space through which the “each time other” of the body can be thought
Esta tesis analiza la forma en que Derrida considera la cuestión del cuerpo, tomando como hilo conductor la deconstrucción del concepto de “cuerpo proprio” (corps propre) esbozada desde los primeros escritos de Derrida sobre Husserl. Con este último, Hegel o el psicoanálisis, Derrida interroga el problema de la “idealización” para mostrar que una forma de “iterabilidad” se encuentra en la base de la relación entre el cuerpo y la “vida”, por un lado, y del proceso de “autoafección” que constituye la experiencia fenomenológica del “cuerpo proprio”, por el otro. Derrida analiza la dimensión económica del concepto de “propio” a través de los problemas del signo y de la escritura, para mostrar que hay una hetero-affección inseparable de la experiencia del cuerpo, que considera como un campo de fuerzas. La experiencia corporal de lo “propio” se descubre derivada con respecto a una tecnicidad “originaria”, cuya relación con la singularidad nos permite pensar “el otro cuerpo” que opera en el interior del llamado cuerpo “proprio”.Para desarrollar mejor estas cuestions, comparamos la posición de Derrida con la de dos grandes filósofos del cuerpo, Merleau-Ponty y Jean-Luc Nancy. Indisociable de la relación con el otro, el cuerpo nos obliga a interrogar el problema del mundo, cuya unidad, que la “carne” de Merleau-Ponty presupone, es puesta en duda por la deconstrucción. Las reservas de Derrida con respecto al concepto de “corpus” propuesto por Nancy y la experiencia de “intraducibilidad” que constituye el libro de Derrida 'Le toucher, Jean-Luc Nancy', nos llevan a considerar cierta práctica de la traducción como aquello que abre la vía a un pensamiento “cada vez otro” del cuerpo
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Moulenda, Joseph-Igor. "Derrida et la critique de la phénoménologie de Husserl : Autour de la question de la "Métaphysique de la présence"". Caen, 2012. http://www.theses.fr/2012CAEN1647.

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Abstract (sommario):
Cette étude est une introduction à la critique que Derrida a engagée à l’endroit de la phénoménologie de Husserl. Il s’agit précisément d’une critique dont l’épicentre est la « métaphysique de la présence », expression forgée par Derrida, pour rendre évident l’unité conceptuelle parfois insoupçonnée où continue de s’opérer la jointure entre phénoménologie et métaphysique. Cette unité conceptuelle reste l’attachement au présupposé de l’être comme « présence », que Derrida ne manque pas de déconstruire au motif de son impossibilité à apparaître dans sa plénitude. Dans cette étude divisée en deux grandes parties, nous avons voulu montrer comment Derrida part de la question de la signification chez Husserl dont il critique l’idéalisation extrême, pour ensuite opérer la déconstruction de la phénoménologie à partir de l’une de ses idées fortes, à savoir la réduction de tout phénomène à son fondement originaire dans la conscience. On peut voir que de part et d’autre, il relève et dénonce l’emprise intuitionniste de la métaphysique sur la phénoménologie
This study is an introduction to the critique that Derrida initiated about the Husserl’s phenomenology. More accurately, the epicenter of that critique is the "metaphysics of presence", a phrase coined by Derrida. His goal is to bring out the conceptual unity that is oft-times unsuspected at the usual binding point between phenomenology and metaphysics. That conceptual unity represents the bond to the so-called being viewed as "presence" that Derrida successfully unravels by reason of his inability to reach his fullness. The study is divided into two main parts. First, we wanted to show how Derrida questions the Husserl’s view on Meaning by criticizing its extreme idealization. Secondly, how he sets out to deconstruct phenomenology by utilizing one of his strong ideas, namely the reduction of all phenomena to the consciousness. We can see that all in all, he points out and denounces the intuitionist grip of metaphysics on phenomenology

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