Letteratura scientifica selezionata sul tema "Déportés – Afrique Occidentale française – 20e siècle"

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Indice

  1. Tesi

Tesi sul tema "Déportés – Afrique Occidentale française – 20e siècle":

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Fall, Papis. "Les déportés de la Sénégambie et du Soudan : entre résistances et répressions dans un espace colonial de 1840 à 1946". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2023. http://www.theses.fr/2023SORUL074.

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Abstract (sommario):
La problématique de la déportation ou des déportés d’Afrique de l’Ouest, durant l’ère coloniale, n’est pas assez prise en charge par l’historiographie africaine d’expression française et même anglaise qui s'est davantage appesantie plus sur les guerres, les résistances et leurs différentes formes. Ce faisant, une réalité d’un pan de l’histoire coloniale reste plus ou moins méconnue. C'est pourquoi nous voudrions étudier le thème suivant, qui a été et demeure d’une actualité brûlante: « Les déportés de la Sénégambie et du Soudan : entre résistances et répressions dans un espace colonial de 1840 à 1946 ». Les acteurs de cette histoire des déportés sont des figures emblématiques et/ou de simples anonymes, qui ont voulu défendre la terre de leurs ancêtres, diriger les destinées de leurs peuples, lutter pour le maintien des valeurs et des traditions africaines. L’histoire de « ces soldats du refus » – à savoir les chefs religieux, les combattants au service de l’islam et des valeurs ou croyances ancestrales et les chefs politiques auxquels s’ajoutent les aliénés mentaux, les bandits sociaux et délinquants, les hommes de presse, les partisans et/ou disciples des chefs et même les tirailleurs sénégalais – mérite d’être examinée. Cette thèse s’inscrit dans les questionnements d’une histoire coloniale attentive aux enjeux de la répression et du maintien de l’ordre. Face au refus manifeste des meneurs de troupes ou créateurs d’émotions de se résigner au diktat colonial, la réponse donnée par les autorités coloniales était, entre autres, de les déporter/emprisonner, les assigner en résidence surveillée, leur interdire de séjour, pour leur couper toute forme de communication, tout contact avec leur entourage et les mettre ainsi hors d’état de nuire. Dans de nombreux cas, il s'agissait d'une forme d'emprisonnement, ce qui nous conduit à l'étude du milieu carcéral qui dévoile les formes d’évitement, les conditions de vie des déportés, l’architecture liée aux questions sécuritaires, etc. L’application de cette technique de répression, entrant dans la logique des politiques de sécurité, était une manière de freiner l’élan des chefs et d’anéantir toutes les résistances coloniales. L'étude que nous souhaitons conduire vise surtout à cerner la place déterminante de la déportation dans le dispositif de répression coloniale, dans le maintien de l’ordre sécuritaire, de mainmise politique, de contrôle des hommes et des espaces, pour l’exploitation des colonies. La trame chronologique que ce travail tente d’éclairer va de 1840 à 1946, une période charnière de l’histoire coloniale en Afrique de l’Ouest, particulièrement en Sénégambie et au Soudan, en ce sens qu’elle est marquée par des transformations rapides à tous les niveaux (politique, économique, social et culturel). La déportation était-elle si fondamentale, si nécessaire pour la réalisation du projet colonial, le maintien de l’ordre sécuritaire ? Dans quelle mesure les déportés constituaient-ils un réel obstacle, une entrave à l’implantation et à l’imposition du pouvoir colonial ? Quel a été le rôle des acteurs de l’ordre dans le processus de déportation ? Cette thèse explore des thématiques majeures telles que les contextes de déportation, les abus de pouvoir des administrateurs coloniaux, l’Indigénat et la justice indigène, les motivations de la déportation, les multiples réponses des indigènes, leur arrestation et déportation, la place des agents/acteurs (armée, gendarmerie et police coloniales) dans le maintien, le rétablissement et/ou la protection de la stabilité et les conséquences politico-économiques d’une telle « technique de pouvoir»
The problem of deportation or deportees from West Africa during the colonial era is not sufficiently addressed by French- and even English-speaking African historiography, which has focused more on wars, resistances and their different forms. In doing so, a reality of a part of colonial history remains more or less unknown. That is why we would like to study the following theme, which has been and remains of burning topicality: "The deportees of Senegambia and Sudan: between resistance and repression in a colonial space from 1840 to 1946". The actors in this story of the deportees are emblematic figures and/or simple anonymous, who wanted to defend the land of their ancestors, direct the destinies of their peoples, fight for the maintenance of African values and traditions. The history of "these soldiers of refusal" – namely religious leaders, fighters in the service of Islam and ancestral values or beliefs and political leaders to which are added the mentally insane, social bandits and delinquents, men of the press, supporters and/or followers of leaders and even Senegalese riflemen – deserves to be examined. This thesis is part of the questions of a colonial history attentive to the issues of repression and the maintenance of order. Faced with the manifest refusal of the leaders of troops or creators of emotions to resign themselves to the colonial diktat, the response given by the colonial authorities was, among other things, to deport/imprison them, to house arrest, to prohibit them from staying, to cut them off all forms of communication, any contact with their entourage and thus put them out of harm's way. In many cases, it was a form of imprisonment, which leads us to the study of the prison environment that reveals the forms of avoidance, the living conditions of the deportees, the architecture related to security issues, etc. The application of this technique of repression, part of the logic of security policies, was a way of slowing down the momentum of the leaders and annihilating all colonial resistance. The study we wish to conduct aims above all to identify the decisive place of deportation in the system of colonial repression, in the maintenance of security order, political control, control of people and spaces, for the exploitation of colonies. The chronological framework that this work attempts to illuminate goes from 1840 to 1946, a pivotal period in colonial history in West Africa, particularly in Senegambia and Sudan, in that it is marked by rapid transformations at all levels (political, economic, social and cultural). Was deportation so fundamental, so necessary for the realization of the colonial project, the maintenance of security order? To what extent did the deportees constitute a real obstacle, an obstacle to the establishment and imposition of colonial power? What was the role of law enforcement actors in the deportation process? This thesis explores major themes such as the contexts of deportation, the abuse of power by colonial administrators, indigénat and indigenous justice, the motivations of deportation, the multiple responses of indigenous people, their arrest and deportation, the place of agents/actors (army, gendarmerie and colonial police) in maintaining, restoring and/or protecting stability and the politico-economic consequences of such a "technique of power"
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Huillery, Elise. "Histoire coloniale : développement et inégalités dans l'ancienne Afrique occidentale française". Paris, EHESS, 2008. http://www.theses.fr/2008EHES0111.

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Abstract (sommario):
Cette thèse s'appuie sur l'extraction de données historiques originales puisées dans les archives de l'ancienne Afrique Occidentale Française. Elle est tout d'abord consacrée à la question du bilan économique de l'expérience coloniale pour la France. Je montre que la question n'est pas réglée et apporte une réponse quant au coût direct de la colonisation de l'Afrique Occidentale Française pour l'Etat français : il a été extrêmement faible, en moyenne 0,1 % des dépenses de l'Etat. Le peu d’investissements publics réalisés pendant la période coloniale a été financé presque en totalité par les populations africaines elles-mêmes. En s'appuyant sur !es techniques de l'économétrie, cette thèse s'intéresse ensuite aux effets de long terme de la colonisation française sur le développement et les inégalités régionales au sein de l'ancienne Afrique Occidentale Française. Je montre d'abord que les investissements publics effectués pendant la période coloniale ont créé des inégalités persistantes entre les régions de l'ancienne AOF : la scolarisation, la santé infantile, et les niveaux d’équipement actuels des ménages ouest-africains restent plus élevés dans les régions qui ont bénéficié d’investissements publics plus importants au début de la période coloniale. Enfin, je montre, que les régions dans lesquelles les colons européens ont été relativement plus nombreux ont aujourd'hui un développement relativement plus élevé. La présence européenne a entraîné sur un siècle des modifications dans la répartition du leadership régional : certaines régions très dynamiques ont perdu leur place au profit de régions secondaires, préférées pas les colons pour leur plus grande hospitalité politique
This PhD dissertation uses first-hand historical data on colonial French West Africa. First, I focus on the costs and benefits of colonial experience for France and its former colonies. I review the existing literature and show that evidence on whether colonialism was a costly or beneficiary experience for France is not clear yet. Then I provide an answer on the direct cost of French West Africa for French public expenses: this cost turns out to be very small -on average 0. 1 % of all public expenses. Few public investments were made during colonial times and almost all of them were financed by local population itself. Using econometrics, the thesis then seeks to provide evidence on the long term impact of colonial experience on current performances. I show that early colonial public investments m education, health and public works had large and persistent effects on current outcomes, and that a major channel for the long term effect of early investments is a strong persistence of investments: regions that got more of a specific type of investment at the early colonial times continued to get more of this particular type of investment. Finally, I give evidence that Europeans tended to settle in more prosperous pre-colonial areas and that the European settlement had a strong positive impact on current outcomes. I argue that the African hostility towards colonial power to colonisation provides a random variation in European settlement. Despite, the absence of a "reversal of fortune" within former French West Africa, some of the most prosperous pre-colonial areas lost their advantage because of their hostility: other areas caught up and became the new leaders in the region
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Gendry, Thaïs. "Le droit de tuer, La peine de mort au service de l’ordre colonial en Afrique occidentale française, 1900-1950". Thesis, Paris, EHESS, 2020. http://www.theses.fr/2020EHES0059.

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Abstract (sommario):
La justice rendue aux colonies n’est pas une excroissance de la justice française métropolitaine. Faisant fi de la séparation de pouvoirs, autoritaire et racialisée, elle est une manière singulière d’organiser le droit de punir et le droit de tuer. Celle-ci n’a généré dans l’historiographie que peu d’analyses et reste marginale dans les réflexions sur le maintien de l’ordre colonial. Elle est pourtant l’aboutissement d’un processus central à l’établissement et au maintien de la domination coloniale : celui de la séparation d’un pouvoir de mort légitime, d’autres formes de violences meurtrières, illégitimes. Ce travail cherche à saisir les usages de la peine de mort, dans le contexte colonial de l’Afrique occidentale française entre 1900 et 1950. Nous proposons d’analyser la peine de mort comme un lieu du déploiement des fondamentaux de la politique coloniale. Les condamnations et les exécutions génèrent et font circuler des discours sur les comportements africains, créent des figures criminelles, voire ennemies, à éliminer. Ainsi, la mise en scène de la violence légitime, dans les tribunaux et aux pelotons d’exécutions, institue et rejoue sans cesse les divisions de pouvoirs, de statuts (sujet/citoyen), de races et des cultures si centrales à l’ordre colonial
The justice handed out in the French colonies of West Africa is not a by-product of French metropolitan justice. Oblivious to the separation of power, while being authoritarian and racialized, it is a distinctive way of organizing the right to punish and the right to kill. The death penalty has a scarce historiography in the French empire. It is also marginal in studies pertaining to colonial tools of power, law and order. Yet, it is the culmination of a process central to the establishment and maintenance of colonial domination: the separation between a legitimate right to kill and other types of illegitimate lethal violence. This dissertation explores the role played by the death penalty in the context of French West Africa between 1900 and 1950.The death penalty is analysed as a space where the fundamentals of colonial policies are deployed. Condemnation and executions generate and circulate colonial discourses about African behaviour, giving rise to criminal and enemy figures that ought to be eliminated. The staging of legitimate violence, within courts and by firing squads, continuously re-enacts divisions of power, of status (citizen/subject), of race and culture—the very pillars of the colonial order
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Amoah, Félix. "Polygamie et conflits missionnnaires en Afrique occidentale : aspects littéraires et historiques". Paris 3, 2000. http://www.theses.fr/2000PA030185.

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Abstract (sommario):
Le nouveau testament (nt) ne mentionne pas d'activite missionnaire en afrique, comme il le fait pour l'asie mineure et l'europe. Mais, plusieurs textes prouvent que des relations s'etablissent entre l'evangile et l'afrique (mat. 2. 13-15 : fuite de la sainte famille en egypte ; actes (. 26-40 : conversion d'un haut personnage africain). Bref, cette demonstration a pour objet la verification litteraire et historique des difficultes de l'oeuvre missionnaire catholique, ou protestante contre la polygamie au monde noir de l'afrique occidentale. Historiographiquement, la polygamie, en afrique occidentale, s'est instauree a cause de la superiorite numerique des femmes due, en partie, a une forte mortalite infantile, en partie, a l'importance de la guerre dans les societes traditionnelles. La majorite des hommes, etaient des guerriers, et pris en esclavage par les vainqueurs. On devient polygame pour des motivations de nature de caractere tres differentes, poussant l'homme, qui choisit une nouvelle epouse. Car la sterilite de sa premiere femme est la raison la plus imperative, a savoir dans la societe de l'afrique noire, la finalite du mariage est la procreation, lorsqu'un couple ne donne naissance a aucun enfant, le mari a le droit et, meme, le devoir de choisir une nouvelle epouse. En cas de sterilite du couple, la tradition demande que seule la femme soit tenue responsable. La femme est consciente que la sterilite du couple est suffisante pour qu'elle soit conduite a une situation de co-epouse, bien que son mariage soit contracte sous regime monogame.
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Mbodj, Hamady Hamidou. "L'organisation de la justice pénale en Afrique occidentale française : le cas du Sénégal de 1887 à l'aube des indépendances (1887-1960)". Thesis, Université Côte d'Azur (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017AZUR0012/document.

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Abstract (sommario):
La période allant de 1887 aux indépendances (1960) permet d’aborder la question de la justice en Afrique occidentale française en mettant en évidence la transformation des règles et de l’exercice de la justice, ainsi que la rencontre entre le système occidental et le pluralisme juridique local. Au Sénégal, comme dans les autres territoires de l’Afrique occidentale française, l’évolution juridique et judiciaire révèle l’opposition de deux tendances : celle de l’assimilation et celle de l’adaptation. Dans le cadre de cette confrontation, des juridictions non connues en métropole sont créées dans les colonies afin de remédier à l’insuffisance de personnel et des moyens financiers des juridictions. Pour ces mêmes raisons, la collégialité demeure très rare et la justice est souvent organisée autour d’un seul juge qui prend en charge la poursuite, l’instruction et le jugement. L’organisation de la justice pénale indigène, mise en place en 1903, répond avec pragmatisme à la volonté de maintenir les institutions indigènes. Toutefois, le désir d’assimilation conduit à y réaliser des réformes qui tendent à affaiblir les institutions indigènes
The period going from 1887 to the independences (1960) allows us to approach the question of the justice in French West Africa by highlighting the transformation of rules and the exercise of the justice, as well as the meeting between the Western system and the local legal pluralism. In Senegal as in the other territories of the French West Africa, the legal and judicial evolution reveals the opposition between two trends: that of the assimilation and that of the adaptation. Within the framework of this confrontation, jurisdictions that are unknown in the mainland France are created in the colonies in order to remedy with the lack of staff and with the financial means of the jurisdictions. For these same reasons the collegiality remains very rare and the justice is often organized around only one judge who is in charge of the pursuit, the investigation and the judgement. The organisation of the native penal justice set up in 1903, practically meets with the will of keeping the native institutions. However, the desire of assimilation leads to achieve around it reforms which tend to weaken the native institutions
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Ba, Amadou. "Des "Sénégalais" à Madagascar : militaires ouest-africains dans la conquête et la colonisation de la Grande-île (1895-1960)". Paris 7, 2010. http://www.theses.fr/2010PA070024.

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Abstract (sommario):
Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, la France, pour retrouver une partie de sa grandeur perdue pendant les guerres napoléoniennes et surtout après sa défaite humiliante contre la Prusse en 1870, reprit sa politique de colonisation en Afrique et dans l'océan Indien. En mars 1895, une expédition lancée contre la Grande île aboutit à la prise d'Antananarivo en septembre de la même année. Parmi les troupes envoyées dans ce pays, les originaires de l'Afrique Occidentale Française, généralement connues sous le nom de « tirailleurs sénégalais » - bien que la plupart n'aient pas été originaires de la colonie du Sénégal elle-même mais d'autres territoires - ont tenu une place importante. Après avoir été utilisées comme éléments de conquête et de « pacification », les recrues de l'Afrique occidentale française (A. O. F) furent maintenues dans cette colonie de l'océan Indien du Sud-Ouest comme force d'occupation et reconvertis dans la police. En 1947, une violente insurrection éclata dans la partie est de Madagascar. Pour réprimer ce soulèvement, la France envoya à nouveau des bataillons de tirailleurs sénégalais à partir de sa base de Djibouti, mais aussi de la France. Plusieurs de ces soldats furent tués (1. 900 tirailleurs périrent). Une fois le calme revenu, bon nombre de ces soldats furent maintenus comme policiers dans ce pays comme au début du XIXe siècle et sans jamais retourner chez eux. À partir des sources archivistiques (archives de Vincennes et Aix-en-Provence en France, Archives nationales du Sénégal et Archives de la République de Madagascar), des documents iconographiques et films, des enquêtes de terrain réalisés à Madagascar en 2006, au Sénégal (2006 et 2008) et en France) mais surtout des ouvrages et revues sur l'histoire de tirailleurs sénégalais, l'histoire militaire de la France pendant la période coloniale et celle de Madagascar, je me propose de reconstituer cette histoire des tirailleurs sénégalais négligée par les chercheurs et dont la France se soucie peu. Mon plan est constitué de trois grandes parties : Dans un premier temps, il s'agit d'analyser les principales motivations du recrutement militaire en Afrique de l'Ouest pour conquérir une colonie située à des milliers de kilomètres de l'A. O. F. Quelles sont les modalités, les méthodes et stratégies du recrutement? Quelle place occupait l'Afrique de l'ouest dans le recrutement? Comment les jeunes Africains percevaient l'armée. Sont-ils des recrues volontaires ? De quelle origine sociale et « ethniques » sont-ils ?
Of Senegalese in Madagascar : West African Soldiers in the Colonization of the Grande Ile (1895-1960) France, in the second half of the 19th century, in an attempt to regain part of the grandeur she had lost during the Napoleonic wars, and most significantly in the aftermath of her defeat against Prussia in 1980, resumed her colonization policy in Africa and the Indian Ocean. In March 1895, an expedition launched against the Grande ile resulted in the capture of Antanananarivo in September that same year. The troops sent to this country included individuals hailing from Afrique Occidentale Française (French West Africa), usually referred to as the "tirailleurs senegalais" - even though most of them did not originate from the colony of Senegal per se, but rather from other territories - who played a significant part After being used as units of conquest and « pacifying », the African recruits from the A. O. F, Afrique occidentale française (French West Africa), remained stationed in this southwestern Indian océan colony as an occupying force and turned into police forces. In the year 1947, a violent insurrection broke out in eastern Madagascar. In order to repress this uprising, France sent once more battalions of "tirailleurs sénégalais", quartered in her Djibouti base, but also in metropolitan France. Many of those soldiers were killed (1,900 "tirailleurs" died). At the end of the operation, large numbers of those soldiers were maintained in this country as policemen, as had been the case at the beginning of the XIXth century, and without ever returning to their homeland. Drawing from archives (Vincennes and Aix-en-Provence in France, the National Archives of Senegal and the Archives of the Republic of Madagascar), iconography and films, fieldwork carried out in Madagascar in 2006, in Senegal (2006 and 2008), and in France; but drawing mostly from books and journals on the history of the "tirailleurs sénégalais", colonial French and Malagasy military history, I seek to pièce together this history of the "tirailleurs sénégalais". A history both neglected by scholars and overlooked by the French nation. My dissertation falls into three chapters: First, I analyze the main motivations behind the military draft in West Africa used so as to conquer a colony located thousands of kilometers away from A. O. F. (French West Africa). What were the particulars, the methods, and the strategies of the draft? What was the position of the A. O. F. In this draft? How did the young African view the army? Where those recruits volunteers? What were their social and ethnic backgrounds? The second chapter is devoted to the study of the various missions the tirailleurs sénégalais were trusted with. What was their role in the colonization of Malagascar? What happened to them after the conquest and "pacifying"? Lastly, I turn to the contemporary impact of a West African presence in the colonization of Madagascar through three themes:

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