Articoli di riviste sul tema "Croissance urbaine – Environnement"

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Melay, Alexandre. "[TIMESCAPES]". HYBRIDA, n. 5(12/2022) (27 dicembre 2022): 176. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25383.

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Abstract (sommario):
Les photographies de la série [TIMESCAPES] portent un regard engagé vers la soif de domination que l’être humain produit sur son environnement, et qui ne cesse de définir ce début de XXIe siècle. Ces questionnements demeurent propres à l’extrême contemporain, avec l’impossibilité du paysage et la crise de l’urbanité, l’émergence de non-lieux et la tentative pour inventer des lieux où vivre, face à l’implacable déconstruction structuraliste du sujet. Le capitalisme, né de l’ère Anthropocène, ce « Siècle de l’Homme » initié avec la Révolution industrielle, a investi notre langage visuel dans lequel tout un imaginaire urbain s’est structuré, construit, architecturé, et où s’institue un système ayant recours à la réalité et à la fiction, entre réalité sociale et imaginaire poétique, entre documentaire et fiction. Un système dont les espaces-mondes créent des formes particulières, des formes esthétiques qui deviennent les cadres privilégiés de fictions représentatives de l’espace contemporain. En d’autres termes, cet extrême urbain contemporain né du Capitalocène se traduit par une urbanisation galopante de la planète, où les villes-mondes finissent par définir à elles seules de nouvelles formes de l’urbain. Tous ces non-lieux photographiques désignent des espaces-mondes, ce sont des images de territoires qualifiés d’intermédiaires ou d’intercalaires. À la fois constructions ou déstructurations démultipliées de l’environnement urbain, ces images donnent à voir un système particulier, celui d’un appareil de capture et de distribution des flux. Il s’agit de l’illustration de la technosphère qui désigne la partie physique de l’environnement affecté par les modifications d’origine anthropique, c’est-à-dire la totalité des constructions d’origine humaine, des premiers outils jusqu’aux dernières avancées technologiques, en passant par les infrastructures, les marchés industriels, les différents moyens de transport et l’ensemble des produits transformés. C’est ainsi que les changements de la Terre deviennent le reflet des changements de nos socie?te?s humaines. Ces espaces en mouvement perpétuel illustrent aussi le phénomène de l’accélération du temps et de ces dérives, sur des territoires en transformation constante, où l’éternité se manifeste uniquement à travers le changement ; puisque sans mouvement, il semble qu’à l’ère du Capitalocène, il n’y a point de devenir. Les effets extrêmes de la mondialisation redessinent ainsi aujourd’hui des centaines de villes ; vitrine du capitalisme débridé, ce qui surprend, c’est ce chaos constant dans chaque ville ; une révolution urbaine faite de constructions qui imposent une ségrégation socio-spatiale, entre densité et verticalité de l’urbanisme. Vision d’une croissance urbaine incontrôlée et abstraite, où chaque ville devient globale, mouvante et en perpétuel changement, prit dans le rythme effréné incontrôlable de l’urbanisation imposée par la globalisation du capitalisme. Les photographies aux compositions à la domination géométrique tendent vers l’abstraction, où les conditions de définition de l’abstrait sont la caractéristique même de l’accélération du monde ; car l’abstraction de la mondialisation et la rationalité du capitalisme représentent l’abstraction de la réalité matérielle associée aux échanges mondiaux dans laquelle le capital a atteint sa dématérialisation ultime. Une abstraction et une géométrisation de l’espace qui révèlent la prédominance de la pensée rationalisée, la grille étant un point d’appui dans une économie axée sur des procédures standards optimisées ; un dispositif formel qui devient l’un des symboles des principes de la raison instrumentale et de l’efficacité économique. En effet, la grille structure et (ré)actualise les relations avec les environnements, et ce faisant les rapports au monde. En installant un espace plat, lisse et infini, et alors même que l’e?tre humain ne semble toujours pas s’inquie?ter de son destin catastrophique dont il est l’obstine? ba?tisseur, les distances disparaissent, chaque position en vaut une autre, les différences culturelles s’estompent, l’individu finit par être aliéné et sa sociabilité appauvrie. Face à cela, l’urgence est de stopper les logiques de destruction qui sont à l’œuvre sur la planète, afin de réinventer la cohabitation du vivant à travers des mondes multiples et enchevêtrés, pour ainsi dépasser la tension entre l’environnement et l’être humain.
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IDRIS, Halima Abdulkadir. "Declining Urban Greenery in Kano Metropolis, Nigeria". AFRIGIST JOURNAL OF LAND ADMINISTRATION AND ENVIRONMENTAL MANAGEMENT 2, n. 1 (17 maggio 2022): 1–13. http://dx.doi.org/10.54222/afrigist/ajlaem/v2i1.1.

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Abstract (sommario):
Urban development disturbs the ecological balance by increasing the imperviousness of land and diminishing green cover. Over recent decades, research has brought to light the importance of urban greenery and its role in sustaining the environment of cities and towns around the world. Urban growth in the Kano metropolis has been quite significant over a few decades and activities have been enhanced towards intolerable limits, making proper management of the outcomes of such activities near impossible; resulting in degraded environments. This growth is attributed to several factors which include an increase in population, rural-urban migration, unplanned settlements and increasing built-up areas. This continuous increase in urban population has put a lot of strain on existing infrastructure and the natural environment. This study examined the relationship between changes in land use land cover (LULC) and the implications on vegetation density in the Kano metropolis. Data used were sourced from Landsat images for 1998, 2002, 2013 and 2018 from which the Built-Up Index (BUI) and Normalised Difference Vegetation Index (NDVI) were extracted and the Correlation coefficient analysis was carried out. Results of the correlation between NDVI and BUI for the periods of the study show there is a strong negative linear relationship between vegetation density and building density indicating that there has been decreasing vegetation density with increasing building density. The study recommends that Urban Policies should be developed towards encouraging urban greening as well as the enactment of strong laws to protect green areas. Le développement urbain perturbe l’équilibre écologique en augmentant l’imperméabilité des terres et en diminuant la couverture végétale. Au cours des dernières décennies, les recherches ont mis en lumière l’importance de la verdure urbaine et son rôle dans la préservation de l’environnement des villes et villages du monde entier. La croissance urbaine dans la métropole de Kano a été assez importante pendant quelques décennies et les activités ont été renforcées vers des limites intolérables, rendant presque impossible une bonne gestion des résultats de ces activités; entraînant des environnements dégradés. Cette croissance est attribuée à plusieurs facteurs, notamment l’augmentation de la population, l’exode rural, les établissements non planifiés et l’augmentation des zones bâties. Cette augmentation continue de la population urbaine a mis beaucoup de pression sur les infrastructures existantes et l’environnement naturel. Cette étude a examiné la relation entre les changements dans l’occupation des sols (LULC) et les implications sur la densité de la végétation dans la métropole de Kano. Les données utilisées proviennent d’images Landsat pour 1998, 2002, 2013 et 2018 à partir desquelles l’indice bâti (BUI) et l’indice de végétation de différence normalisée (NDVI) ont été extraits et l’analyse du coefficient de corrélation a été effectuée. Les résultats de la corrélation entre NDVI et BUI pour les périodes d’étude montrent qu’il existe une forte relation linéaire négative entre la densité de la végétation et la densité des bâtiments, ce qui indique qu’il y a eu une diminution de la densité de la végétation avec l’augmentation de la densité des bâtiments. L’étude recommande que des politiques urbaines soient élaborées pour encourager le verdissement urbain ainsi que la promulgation de lois strictes pour protéger les espaces verts
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IDRIS, Halima Abdulkadir. "Declining Urban Greenery in Kano Metropolis, Nigeria". AFRIGIST JOURNAL OF LAND ADMINISTRATION AND ENVIRONMENTAL MANAGEMENT 2, n. 1 (17 maggio 2022): 1–13. http://dx.doi.org/10.54222/afrigist/ajleam/v2i1.1.

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Abstract (sommario):
Urban development disturbs the ecological balance by increasing the imperviousness of land and diminishing green cover. Over recent decades, research has brought to light the importance of urban greenery and its role in sustaining the environment of cities and towns around the world. Urban growth in the Kano metropolis has been quite significant over a few decades and activities have been enhanced towards intolerable limits, making proper management of the outcomes of such activities near impossible; resulting in degraded environments. This growth is attributed to several factors which include an increase in population, rural-urban migration, unplanned settlements and increasing built-up areas. This continuous increase in urban population has put a lot of strain on existing infrastructure and the natural environment. This study examined the relationship between changes in land use land cover (LULC) and the implications on vegetation density in the Kano metropolis. Data used were sourced from Landsat images for 1998, 2002, 2013 and 2018 from which the Built-Up Index (BUI) and Normalised Difference Vegetation Index (NDVI) were extracted and the Correlation coefficient analysis was carried out. Results of the correlation between NDVI and BUI for the periods of the study show there is a strong negative linear relationship between vegetation density and building density indicating that there has been decreasing vegetation density with increasing building density. The study recommends that Urban Policies should be developed towards encouraging urban greening as well as the enactment of strong laws to protect green areas. Le développement urbain perturbe l’équilibre écologique en augmentant l’imperméabilité des terres et en diminuant la couverture végétale. Au cours des dernières décennies, les recherches ont mis en lumière l’importance de la verdure urbaine et son rôle dans la préservation de l’environnement des villes et villages du monde entier. La croissance urbaine dans la métropole de Kano a été assez importante pendant quelques décennies et les activités ont été renforcées vers des limites intolérables, rendant presque impossible une bonne gestion des résultats de ces activités; entraînant des environnements dégradés. Cette croissance est attribuée à plusieurs facteurs, notamment l’augmentation de la population, l’exode rural, les établissements non planifiés et l’augmentation des zones bâties. Cette augmentation continue de la population urbaine a mis beaucoup de pression sur les infrastructures existantes et l’environnement naturel. Cette étude a examiné la relation entre les changements dans l’occupation des sols (LULC) et les implications sur la densité de la végétation dans la métropole de Kano. Les données utilisées proviennent d’images Landsat pour 1998, 2002, 2013 et 2018 à partir desquelles l’indice bâti (BUI) et l’indice de végétation de différence normalisée (NDVI) ont été extraits et l’analyse du coefficient de corrélation a été effectuée. Les résultats de la corrélation entre NDVI et BUI pour les périodes d’étude montrent qu’il existe une forte relation linéaire négative entre la densité de la végétation et la densité des bâtiments, ce qui indique qu’il y a eu une diminution de la densité de la végétation avec l’augmentation de la densité des bâtiments. L’étude recommande que des politiques urbaines soient élaborées pour encourager le verdissement urbain ainsi que la promulgation de lois strictes pour protéger les espaces verts
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McQuillan, Kevin. "Nurturing the next Canadian generation: The case for labour market research". Canadian Studies in Population 45, n. 1-2 (3 maggio 2018): 19. http://dx.doi.org/10.25336/csp29373.

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Abstract (sommario):
As rates of population and labour force growth slow in Canada, the country faces important challenges in promoting economic growth and sustaining prosperity. Among the most important public issues are increasing labour force participation rates among groups with low or declining rates of work and reforming education to better prepare graduates for the jobs of the new economy. At the same time, Canada needs to respond to the shifting geography of work. The concentration of employment in a limited number of major urban centres is driving young people to seek work in high-cost cities, while many smaller cities and regions face the prospect of economic and demographic decline.Alors que les taux de population et la croissance de la population active ralentissent au Canada, le pays devra relever d’importants défis pour promouvoir la croissance économique et maintenir la prospérité. Les plus importantes questions d’ordre public porteront, entre autres, sur le taux de participation, au sein de la population active, de groupes présentant des taux d’emploi faibles ou en déclin et la réforme de l’éducation afin de mieux préparer les diplômés aux emplois de la nouvelle économie. Le Canada doit, en même temps, aborder la géographie changeante du travail. La concentration des emplois dans quelques grands centres urbains pousse les jeunes à chercher du travail dans les villes où le coût est élevé, alors que les villes plus petites et les régions sont confrontées au déclin économique et démographique.Mots-clés : population et environnement; climat; utilisation d’énergie; pointe de population
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Augustin, Jean-Pierre, e François Favory. "Bordeaux et la métropolisation culturelle du département". Sud-Ouest européen 2, n. 1 (1998): 79–91. http://dx.doi.org/10.3406/rgpso.1998.2687.

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Abstract (sommario):
La métropolisation de la Gironde à partir de l'agglomération bordelaise bénéficie de conditions particulières liées à la situation centrale de Bordeaux dans un département dont le tracé s'inscrit dans un espace géométrique assez régulier, mais aussi de l'attraction de la Côte Aquitaine qui inverse les équilibres du passé où s'affirmait la Gironde intérieure. La croissance de l'aire métropolitaine s'effectue surtout vers l'ouest où les Girondins recherchent un environnement de nature, de loisirs et de sport. Les politiques publiques dans le domaine des loisirs sportifs et culturels tentent de limiter ce tropisme en soutenant des actions valorisant les manifestations et les sites susceptibles d'harmoniser le développement de l'ensemble du territoire, participant alors à une métropolisation culturelle du département.
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DOUAFER, Louiza. "Le Premier Séminaire National sur : Biodiversité, Santé et Environnement: Enjeux du Développement Durable". URBAN ART BIO 2, n. 3 (29 gennaio 2024): 279. http://dx.doi.org/10.35788/uab.v2i3.108.

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Abstract (sommario):
Tout ce que le monde a réalisé en termes de progrès est remis en question sur le développement durable. C'est-à-dire, un développement qui, en plus des facteurs de croissance économique, d'équité et de cohésion sociale, prend en compte le facteur écologique de préservation et de valorisation de l'environnement. Ainsi, au-delà de l’émergence de maladies infectieuses, la dégradation des écosystèmes et la destruction de la biodiversité, combinées au dérèglement climatique global, peuvent avoir des effets directs et indirects sur la santé de l’Homme et de l’environnement. Ainsi, la dégradation des terres et la perte de biodiversité affectent la sécurité alimentaire en réduisant la productivité des terres agricoles. Les êtres humains sont au centre des préoccupations relatives au développement durable. Ils ont droit à une vie saine et productive, en harmonie avec la nature. La biodiversité est à l’origine de la vie sur terre. Elle rend des services à l’Homme qui lui apporte la santé et le bien-être. Elle est le socle de la médecine tra­ditionnelle et elle contribue à l’équilibre des écosystèmes. En fait, la conservation de la biodiversité et l'utilisation durable des ressources biologiques sont essentielles pour parvenir au développement durable. À titre, l’environnement est un déterminant majeur de la santé humaine et de la biodiversité, les facteurs environnementaux affectent également, à des degrés divers, la santé des animaux ou des végétaux et le fonctionnement des écosystèmes. La santé environnementale traite des dangers associés aux agents chimiques, biologiques et physiques présents dans l’environnement, de même que de leurs effets sur la santé de la population. À l’inverse, protéger l’environnement naturel procure des bénéfices pour les sociétés humaines, et permet de réduire les expositions aux pollutions, et ainsi de conserver la biodiversité. Actuellement, la pollution de l'environnement a atteint un niveau si alarmant qu'elle représente une grave menace pour l’Homme et l'environnement, la survie des autres organismes vivants, des perturbations dans les écosystèmes, la perte de ressources naturelles et de la biodiversité. En effet, les concepts de biodiversité, santé, et environnement se sont imposés comme des préoccupations majeures du développement durable, suite au constat de plus en plus flagrant de la responsabilité de l’Homme dans leur dégradation par la destruction et/ou le morcellement croissant des écosystèmes naturels. Par ses activités industrielles, agriculturales, économiques ou urbaines, mais aussi par le réchauffement climatique qu’il cause, l’Homme contribue à faire disparaître de nombreuses espèces vivantes et ainsi la dégradation de la qualité de l’environnement. Plus largement, la dégradation de la nature a également des répercussions économiques, sanitaires ou encore sociales. La pandémie de Covid-19 a été l’occasion brutale de prendre conscience des conséquences sanitaires des perturbations environnementales (la pollution atmosphérique) et de leur dimension planétaire, qui favoriserait la propagation du virus). D’ici peu, la destruction des écosystèmes, le dérèglement climatique, la perte de biodiversité et la diminution de la qualité de l’air et de l’eau pourraient compter parmi les premières causes de morbidité dans le monde. Il est donc essentiel d’appréhender désormais les questions de santé publique au prisme des enjeux environnementaux. La gestion de ces risques ne s’appuie plus seulement sur la crainte d’une pathologie mais sur l’angoisse que peut susciter l’avenir de l’humanité sur une planète mise en danger par une gestion trop techniciste et inéquitable. Ce sont bien les principes du développement durable qui sont ainsi convoqués. Et afin de répondre à cette problématique, Nous tenterons de rapprocher les grandes causes dégradant la biodiversité et l’environnement et la propagation des maladies. Donc, l’étude de la relation entre la biodiversité, l’environnement et notre santé, mérite en fait la plus grande rigueur. C'est le mérite de la présente manifestation de donner à penser correctement et trouver des solutions faces à ces problèmes.
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Dubiez, Emilien, Cédric Vermeulen, Jean-Philippe Tonneau, Timothée Yamba Yamba, Baby Mvolo e Adélaïde Larzillière. "Le paysage comme outil d'aménagement des terroirs villageois". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, n. 315 (1 marzo 2013): 11. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20534.

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Abstract (sommario):
La gestion de la ressource bois énergie en périphérie des grands centres urbains est devenue une préoccupation de premier ordre en Afrique centrale. À une demande croissante en bois énergie correspondent des auréoles de déforestation de plus en plus larges. Les communautés villageoises situées dans cette auréole vivent aujourd'hui dans un environnement à ce point dégradé que les écosystèmes forestiers et les biens et services associés y ont presque disparu. La surexploitation de ces espaces nécessite entre autres de repenser l'aménagement des terroirs villageois. Cette étude présente une démarche d'élaboration de plan simple de gestion de terroirs villageois. L'article discute la pertinence d'une approche d'aménagement fondée sur le paysage perçu et vécu par les populations. L'organisation sociale de la communauté, ses pratiques et ses modes de régulation d'accès à la ressource sont des éléments qui structurent le paysage. Ils se traduisent dans une typologie locale de l'espace employée au quotidien. Cette typologie a été mobilisée pour une meilleure appropriation des concepts d'aménagement par les communautés et pour une mise en ¿uvre plus effective. À contre-courant de la foresterie communautaire développée depuis plusieurs années en Afrique centrale, cette approche est structurée autour d'un processus participatif, progressif et itératif. Elle permet d'amener des groupes endogènes à intégrer leur vision de l'espace dans les prises de décision, à faciliter les débats autour de la question de l'aménagement de leur terroir et à contribuer à la reconstitution d'espaces forestiers dégradés.
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Gordon, Robert J. "Pourquoi, pendant que la locomotive de la productivité se mettait en branle aux États-Unis, l’Europe est-elle restée en gare". L'Actualité économique 81, n. 1-2 (24 aprile 2006): 47–74. http://dx.doi.org/10.7202/012837ar.

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Abstract (sommario):
Résumé Après 50 ans de rattrapage du niveau de productivité des États-Unis, l’Europe accumule du retard depuis 1995. En effet, le taux de croissance de la production horaire n’atteignait, sur le Vieux Continent, que la moitié de celui des États-Unis en 1995-2003 et cet écart annuel a ramené le niveau de la productivité européenne de 94 % du niveau des États-Unis à seulement 85 %. Un cinquième du rattrapage européen (de 44 % à 94 %) effectué dans le demi-siècle précédent a été complètement perdu depuis 1995. Des études désagrégées portant sur les secteurs industriels laissent entendre que la principale différence entre l’Europe et les États-Unis se trouve dans les industries ayant recours aux technologies de l’information (TI), notamment le commerce de gros et de détail, de même que le courtage des valeurs mobilières. Le contraste dans la vente au détail attire l’attention sur les barrières réglementaires et l’aménagement du territoire en Europe empêchant le développement des grands magasins de détail du type de ceux qui ont rendu possible une bonne partie des gains de productivité aux États-Unis. Depuis des décennies, les États-Unis et l’Europe ont choisi des directions opposées en matière de politiques publiques ayant une incidence sur le développement urbain. Les États-Unis ont favorisé des zones métropolitaines à basse densité et fortement dispersées en construisant des autoroutes dans les villes et en étranglant le transport public, en accordant des réductions d’impôts à la propriété résidentielle et en permettant aux gouvernements locaux de maintenir une faible densité d’occupation avec l’imposition d’une taille minimale pour les lots résidentiels. Par contre, les Européens ont choisi des politiques tout autres, en encourageant l’occupation résidentielle de haute densité et les districts commerciaux au coeur des villes, tout en décourageant les installations nouvelles en zones suburbaines et « exurbaines », lesquelles conviennent si bien au développement des grands magasins actuels. La partie centrale de cet article s’inspire d’une récente publication de Phelps (2003) selon laquelle le dynamisme économique est d’une part stimulé par des politiques qui favorisent la concurrence et la souplesse du financement par capitaux propres et d’autre part étouffé par des institutions corporatistes, conçues pour protéger les producteurs en place et empêcher les nouveaux venus de se tailler une place. Certaines valeurs culturelles européennes découragent l’ambition et l’indépendance des adolescents et des jeunes adultes, contrairement à ce qui se passe aux États-Unis. Si la concurrence, le corporatisme et la culture peuvent contribuer à expliquer les divergences transatlantiques dans la croissance de la productivité, elles mettent aussi en lumière, dans les deux continents, des lacunes institutionnelles profondément ancrées et susceptibles de persister. La dernière section de l’article identifie les racines profondes du climat plus favorable à l’innovation aux États-Unis qu’en Europe, notamment le système ouvertement concurrentiel des universités privées et publiques, les subventions gouvernementales accordées aux universités sous la forme d’aide à la recherche en fonction d’une évaluation par les pairs plutôt que par l’entremise de bourses sans conditions libérant les étudiants du premier cycle des droits de scolarité, la prédominance mondiale des écoles de commerce et des sociétés de conseil en gestion des États-Unis, l’excellente protection des brevets, l’infrastructure financière flexible permettant de mobiliser du capital de risque à l’intention des innovations prometteuses, les avantages d’une langue commune, la migration intérieure sans entraves et enfin, un environnement accueillant pour les immigrés hautement qualifiés.
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Galán Castro, Erick Alfonso. "Más allá de las percepciones: emergencia de subjetividades socioambientales en una región subcuenca de Acapulco, Guerrero". Clivajes. Revista de Ciencias Sociales, n. 14 (3 aprile 2021): 116. http://dx.doi.org/10.25009/clivajes-rcs.v0i14.2667.

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Abstract (sommario):
El objetivo de este trabajo es analizar las subjetividades emergentes en la relación sociedad-naturaleza, en las comunidades y espacios urbanos de la subcuenca del río La Sabana-Laguna de Tres Palos, la cual se caracteriza por el proceso de degradación del ecosistema ribereño, a causa de la disposición ilegal de residuos sólidos y la descarga de aguas negras, así como de la creciente violencia criminal en la zona. Parte del estudio de la gubernamentalidad, así como del análisis cualitativo de experiencias acerca del conflicto socioambiental, para proponer dos formas de construcción de sentido y de acción social: una biopolítica socioambiental (homo economicus), basada en la incidencia tecnificada sobre el problema, aunque carente de crítica hacia el modelo económico; y una necropolítica socioambiental (endriago), que responde al abandono estatal y genera acciones para la sobrevivencia, aunque fuera de la legalidad y contra la vida de otros.Palabras clave: Gubernamentalidad, Conflicto socioambiental, Subjetividades emergentes Beyond perceptions. Emergence of socio-environmental subjectivities in a sub-basin region of Acapulco, GuerreroSummaryThe objective of this work is to analyze the emerging subjectivities in the society-nature relationship, in the communities and urban spaces of the sub-basin of the La Sabana-Laguna de Tres Palos river, which is characterized by the degradation process of the riparian ecosystem, due to the illegal disposal of solid waste and the discharge of sewage, as well as the increasing criminal violence in the area. It is based on the study of governmentality, as well as the qualitative analysis of experiences about the socio-environmental conflict, to propose two forms of construction of meaning and social action: a socio-environmental bio-politics (homo economicus), based on the technological impact on the problem, although lacking criticism of the economic model; and a socio-environmental necro-politics (endriago), which responds to state abandonment and generates actions for survival, although outside of legality and against the lives of others.Keywords: Governmentality, Socio-environmental conflict, Emerging subjectivities Ailleurs des perceptions. Émergence de subjectivités socio environnementales dans une région sous bassin d’Acapulco, GuerreroRésuméL’objectif de ce travail est celui d’analyser les subjectivités émergeantes dans la relation société-nature, dans les communautés et espaces urbains du sous bassin de la rivière La Sabana-Laguna de Tres Palos, qui se caractérise par le processus de dégradation de l’écosystème riverain, à cause de la disposition illégale de résidus solides et la décharge des eaux d'égout, ainsi que de la croissante violence criminelle de la zone. On part de l’étude de la gouvernabilité, ainsi que de l’analyse qualitative d’expériences à propos le conflit socio environnementale, pour proposer deux formes de construction de sens et d’action sociale : une biopolitique socio environnementale (homo economicus), basée dans l’incidence technicisée sur le problème, même dépourvu de critique envers le modèle économique ; et une nécro politique socio environnementale (endriago), qui répond à l’abandon de l’état et génère des actions pour la survivance, même hors de la légalité et contre la vie des autres.Mots clés : Gouvernabilité, Conflit socio environnemental, Subjectivités émergentes
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Li, Qing, Patti Dyjur, Natalya Nicholson e Lynn Moorman. "Using Videoconferencing to Provide Mentorship in Inquiry-Based Urban and Rural Secondary Classrooms". Canadian Journal of Learning and Technology / La revue canadienne de l’apprentissage et de la technologie 35, n. 3 (21 luglio 2010). http://dx.doi.org/10.21432/t2b01g.

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Abstract (sommario):
The main purpose of this design-based research study is to examine the effects of an inquiry-based learning environment, with the support of videoconferencing, on both rural and urban secondary students’ mathematics and science learning. An important aspect of this learning environment is the use of videoconferencing to connect classes with mathematicians/ scientists (as e-mentors). Specifically, the following two research questions guide this study: (1) In what ways, if any, does the inquiry-based learning environment impact student beliefs and learning outcomes? (2) What challenges emerge in the development of an inquiry-based learning environment with secondary students in both rural and urban schools? Using a mixed methods approach, this study focuses on two grade 9 classes in an urban school and three Grade 8 classes in a rural school. The results suggest positive effects of this learning environment on student learning of math and science. In particular, both urban and rural students showed significant gains in their achievement. In addition, students showed an increased interest and heightened confidence in math and science. As well, the results point to issues arising from the process, suggesting useful guidelines for the development of such environments. Résumé : L’objectif principal de cette étude de recherche axée sur la conception est d’examiner les effets d’un environnement d’apprentissage basé sur le processus d’enquête et utilisant le soutien de la vidéoconférence sur l’apprentissage des mathématiques et des sciences auprès d’élèves du secondaire en milieux ruraux et urbains. L’utilisation de la vidéoconférence pour mettre les classes en lien avec des mathématiciens et des scientifiques (en tant que cybermentors) constitue un aspect important de cet environnement d’apprentissage. Plus précisément, les deux questions suivantes orientent la présente étude : (1) De quelle manière, le cas échéant, l’environnement d’apprentissage basé sur le processus d’enquête a-t-il un effet sur les croyances et les résultats d’apprentissage des élèves? (2) Quels défis émergent lors de la mise en place d’un environnement d’apprentissage basé sur le processus d’enquête auprès d’élèves du secondaire dans des écoles en milieux ruraux et urbains? Cette étude, qui utilise une méthode de recherche mixte, se concentre sur deux classes de 9e année dans une école urbaine et trois classes de 8e année dans une école rurale. Les résultats suggèrent que cet environnement d’apprentissage a des effets positifs sur l’apprentissage des mathématiques et des sciences par les élèves. En particulier, les étudiants des milieux urbains et ruraux ont affiché des gains significatifs dans leurs acquis scolaires. En outre, les élèves ont démontré un intérêt croissant pour les mathématiques et les sciences de même qu’une confiance accrue dans ces matières. Enfin, les résultats permettent également d’identifier certains éléments qu’il convient d’examiner relativement à ce processus et de suggérer des lignes directrices utiles pour la mise en place de tels environnements.
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Hindriks, Jean. "Numéro 31 - juin 2005". Regards économiques, 12 ottobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15963.

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Abstract (sommario):
Ce numéro de Regards économiques se penche sur la situation économique et sociale en Wallonie. Il en dresse un large portrait, en souligne les points positifs et négatifs, et ébauche quelques pistes de réflexion sur les mesures propices à donner à l’économie wallonne un nouvel élan. Dans ce numéro, nous avons pris l’initiative de nous exprimer sur un sujet qui nous préoccupe : "le malaise économique wallon". Nous avons pour ce faire regroupé l’avis de spécialistes de la question dont la renommée est établie. Ces experts sont issus de différentes universités francophones. Nous leur avons demandé d’offrir aux citoyens un portrait nuancé mais sans concession de la situation wallonne. En "officialisant" la situation économique et sociale de la Wallonie, nous espérons obliger les acteurs sociaux et les partis politiques à "reconnaître" les points faibles de l’économie wallonne. Nous refusons cette stratégie qui consiste à dissimuler la situation réelle pour ne pas saper le moral des troupes. "Cachez ce sein que je ne saurais voir" disait déjà Tartuffe, avant d’ajouter quelques scènes plus loin : "le scandale du monde est ce qui fait l’offense et ce n’est pas pécher que pécher en silence". Ce "nominalisme" ‑ on veut bien de la chose mais à condition qu’on ne la nomme pas ‑ et ce double langage constituent l’une des manifestations les plus préoccupantes de la difficulté de nos politiciens à assumer la vérité et à sortir de la représentation complaisante qu’ils ont d’eux-mêmes. Fin mai 2005, le gouvernement wallon a enfin explicitement reconnu ce qu’il a appelé "le malaise économique wallon". L’étape suivante est de dresser un constat précis de la nature du malaise, de manière à pouvoir concevoir une stratégie de politique économique adaptée au problème. C’est dans cette perspective que se situe ce numéro de Regards économiques. Notre objectif est donc d’apprécier la situation économique et sociale en Wallonie sur base d’éléments objectifs, et de la comparer à la situation en Flandre et en Europe. Nous comprenons le risque qu’une comparaison avec la Flandre peut présenter. Cependant, sans vouloir alimenter les tensions communautaires, nous avons la conviction que cette comparaison entre les deux régions est vraiment utile étant donné que celles-ci partagent un environnement économique et un contexte institutionnel et culturel fort semblables. Cela s’inscrit aussi dans l’esprit de la "Méthode Ouverte de Coordination" de l’Union européenne, visant à créer une émulation entre régions au travers d’une concurrence par comparaison. Cette comparaison est surtout utile pour comprendre les sources éventuelles des dysfonctionnements et les pistes d’amélioration possibles. Ce numéro de Regards économiques comporte quatre contributions, sur les thèmes suivants : Bruxelles et: une lecture en termes de géographie économique (Jacques-François Thisse) PIB et PRB de la: des diagnostics contrastés (Michel Mignolet et Marie Eve Mulquin) Le portrait social de la Wallonie : responsabilités et gouvernance (Pierre Pestieau) Le marché du travail en: un tableau en clair-obscur (Béatrice Van Haeperen). Dans la suite de ce communiqué, nous résumons brièvement les éléments principaux de chaque contribution, en regroupant les points positifs et les points négatifs que chacune d’elles donne de la situation économique et sociale en Wallonie. 1. Les points positifs Les dynamiques de croissance entre régions se rapprochent progressivement. L’écart inter-régional de croissance annuelle moyenne diminue entre la Flandre et la : celui-ci ne s’élevait plus qu’à 0,80 % de 1975 à 1995, pour se replier encore plus à 0,54 % de 1995 à 2003. Le différentiel se réduit davantage si on ne considère que les dernières années, où il se chiffre à 0,37 % de 1999 à 2003. Si l’on mesure la croissance régionale sur base du lieu de résidence et non du lieu de production (pour prendre en compte l’activité croissante des wallons à Bruxelles), depuis 1999, la part de la Wallonie dans la production totale belge s’est légèrement redressée. Une analyse par branche de la structure de production ne permet pas de conclure à un manque de dynamisme généralisé de l’industrie en Wallonie. Le retard de croissance en Wallonie est imputable à une sous-représentation des secteurs les plus dynamiques et une moindre performance des secteurs les plus importants. Le Brabant wallon est la province belge qui a connu la croissance la plus forte de 1995 à 2002, avec une évolution de la production sur la période de 8 % au-dessus de la moyenne de l’UE 15 et de presque 10 % au-dessus de la moyenne belge. Le Brabant wallon est aussi la seule province wallonne dont le revenu par habitant est supérieur à la moyenne de l’UE 15. L’emploi salarié en Wallonie a augmenté de 9 % entre 1992 et 2002. Les croissances les plus fortes sont dans le Brabant wallon (28 %), les provinces de Luxembourg (16 %) et de Namur (13 %), à comparer à une croissance moyenne de l’emploi salarié en Flandre de 13 %. Depuis 1997, le rythme de progression de l’emploi privé est comparable dans les deux régions. A partir de 2000, le nombre d’emplois des secteurs à haute et moyenne technologies et des services à haute technologie et à haut niveau de savoir progresse en Wallonie mais régresse en Flandre. La proportion de personnes très qualifiées dans la population wallonne augmente et la proportion de peu qualifiés diminue. Le profil de qualification par catégorie d’âge en Wallonie en 2003 est très proche de la moyenne belge. Les dépenses intra-muros des entreprises en R&D progressent plus rapidement en Wallonie. Entre 2001 et 2002, le taux de croissance était de 11,% en Wallonie contre 3,6 % en Flandre. 2. Les points négatifs Un rapprochement des taux de croissance est insuffisant pour assurer un rattrapage des économies régionales. Etant donné son retard de développement, la Wallonie devrait enregistrer des taux de croissance supérieurs à la Flandre, ce qui est loin d’être le cas. La part de la Wallonie dans la production totale belge continue donc à diminuer, passant de plus de 30 % en 1995 à moins de 25 % en 2003. La productivité marginale du capital est plus faible en Wallonie qu’en Flandre, ce qui donne lieu à un taux d’investissement moindre en Wallonie. Sur la période 1995-2001, le rendement brut du capital est de 14,% en Wallonie contre 17,5 % en Flandre. Cela pose problème pour l’attractivité relative de la Wallonie pour l’investissement. Le revenu moyen par habitant en Wallonie est 25 % inférieur à celui de la Flandre en 2002 (équivalent à la moyenne de l’UE 15). Les disparités entre provinces wallonnes s’accentuent. Sur la période 1995-2002, le Brabant wallon enregistre une augmentation de 8 % de sa production par rapport à la moyenne de l’UE15 alors que les provinces de Liège, du Hainaut et du Luxembourg enregistrent chacune une baisse supérieure à 6 %. En 2003, le taux d’emploi en Wallonie de 55,4 % reste significativement inférieur à celui de la Flandre (62,9 %) et celui de l’UE15 (64,2 %). La Wallonie est donc encore loin de l’objectif de taux d’emploi de 70 %. La structure de l’emploi est aussi fort différente entre régions avec en 2002, 2/3 des emplois dans le secteur privé en Wallonie pour 3/4 des emplois dans le secteur privé en Flandre. Le taux de chômage est resté stable autour de% en Wallonie entre 1995 et 2002 du fait d’une augmentation de la population active égale à l’augmentation de l’emploi. En 2002, le taux de chômage en Flandre est passé en dessous de 5 %. Le taux de chômage des jeunes (15-24 ans) en Wallonie est le plus élevé d’Europe avec un taux de 26,5 % en 2002 contre 11,6 % en Flandre. Plus alarmant encore, plus de 40 % des chômeurs en Wallonie sont des chômeurs de longue durée (>2 ans) contre moins de 20 % en Flandre. Le pourcentage de la population de 18-24 ans sans diplôme de l’enseignement secondaire et qui ne suit ni enseignement, ni formation est de% en Wallonie contre 11,7 % en Flandre. En outre, selon la dernière enquête PISA, l’enseignement secondaire en Communauté française figure en 31e position sur 41 pays contre une 3e position pour la Flandre pour un budget équivalent sinon moindre. 3. Que faire ? Face à ce constat que pouvons-nous faire ? Quelques pistes de réflexion sont présentées dans ce numéro de Regards économiques. Parmi celles-ci, nous relevons la nécessité de cesser la politique de saupoudrage et de concentrer les efforts autour d’une grande métropole urbaine comme Bruxelles en reconnaissant que les échanges se développent de plus en plus entre régions urbaines. La Wallonie se doit de travailler en partenariat stratégique avec Bruxelles dans une perspective économique moderne. La zone d’influence de Bruxelles doit dépasser le Brabant wallon. Il faut aussi chercher à améliorer l’efficacité dans l’utilisation des fonds publics en évitant les doublons et en recourant systématiquement à des études d’efficacité rigoureuses et impartiales. Par exemple, on pourrait explorer ce que coûte l’existence des provinces, des multiples réseaux d’enseignement et des cabinets ministériels. On peut aussi s’interroger sur le grand nombre d’intercommunales et le manque de transparence de leur gestion. Il faut aussi s’attaquer de toute urgence au scandale du chômage des jeunes par une politique de remédiation volontariste. On doit investir massivement dans le système éducatif pour élever le niveau de qualification des jeunes et faciliter la transition enseignement et emploi. Il faut élargir la mission du FOREM au-delà de la diffusion des offres d’emploi pour lui confier la fonction critique de placement et d’accompagnement des demandeurs d’emploi. Il faut aussi mettre en place des outils d’évaluation des politiques de l’emploi. C’est inadmissible que depuis l’année 2004, la Wallonie est incapable de publier des statistiques sur les offres d’emploi satisfaites et insatisfaites (alors que Bruxelles et la Flandre continuent à publier ces chiffres). Nous poursuivrons notre analyse de la situation wallonne dans un prochain numéro de Regards économiques. Nous attendons aussi des hommes politiques qu’ils reconnaissent cette situation et le traduisent dans leurs actes en poursuivant une politique économique adaptée, cohérente et stable. Il n’y a pas de fatalité. Nous en voulons pour preuve l’expérience danoise qui en 10 ans a réduit son chômage de moitié par un système novateur de "flexicurité" (en partenariat avec les syndicats). Son marché du travail s’est fluidifié avec plus d’un danois sur trois changeant de travail au cours d’une année et un effort substantiel du gouvernement sur la formation, l’orientation et l’accompagnement des chômeurs. Un sondage récent montre que les travailleurs danois ne sont pas plus mécontents avec ce système que les travailleurs belges. L’Angleterre, avec un taux de syndicalisme plus élevé que chez nous, a aussi réussi par son "New Deal" à réduire de moitié le chômage des jeunes. Ces deux pays connaissent aujourd’hui un taux de chômage de 5 %, bien inférieur à la moyenne européenne. Comprendre pourquoi pourrait être fortement utile à la Wallonie.
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Hindriks, Jean. "Numéro 31 - juin 2005". Regards économiques, 12 ottobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.06.02.

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Abstract (sommario):
Ce numéro de Regards économiques se penche sur la situation économique et sociale en Wallonie. Il en dresse un large portrait, en souligne les points positifs et négatifs, et ébauche quelques pistes de réflexion sur les mesures propices à donner à l’économie wallonne un nouvel élan. Dans ce numéro, nous avons pris l’initiative de nous exprimer sur un sujet qui nous préoccupe : "le malaise économique wallon". Nous avons pour ce faire regroupé l’avis de spécialistes de la question dont la renommée est établie. Ces experts sont issus de différentes universités francophones. Nous leur avons demandé d’offrir aux citoyens un portrait nuancé mais sans concession de la situation wallonne. En "officialisant" la situation économique et sociale de la Wallonie, nous espérons obliger les acteurs sociaux et les partis politiques à "reconnaître" les points faibles de l’économie wallonne. Nous refusons cette stratégie qui consiste à dissimuler la situation réelle pour ne pas saper le moral des troupes. "Cachez ce sein que je ne saurais voir" disait déjà Tartuffe, avant d’ajouter quelques scènes plus loin : "le scandale du monde est ce qui fait l’offense et ce n’est pas pécher que pécher en silence". Ce "nominalisme" ‑ on veut bien de la chose mais à condition qu’on ne la nomme pas ‑ et ce double langage constituent l’une des manifestations les plus préoccupantes de la difficulté de nos politiciens à assumer la vérité et à sortir de la représentation complaisante qu’ils ont d’eux-mêmes. Fin mai 2005, le gouvernement wallon a enfin explicitement reconnu ce qu’il a appelé "le malaise économique wallon". L’étape suivante est de dresser un constat précis de la nature du malaise, de manière à pouvoir concevoir une stratégie de politique économique adaptée au problème. C’est dans cette perspective que se situe ce numéro de Regards économiques. Notre objectif est donc d’apprécier la situation économique et sociale en Wallonie sur base d’éléments objectifs, et de la comparer à la situation en Flandre et en Europe. Nous comprenons le risque qu’une comparaison avec la Flandre peut présenter. Cependant, sans vouloir alimenter les tensions communautaires, nous avons la conviction que cette comparaison entre les deux régions est vraiment utile étant donné que celles-ci partagent un environnement économique et un contexte institutionnel et culturel fort semblables. Cela s’inscrit aussi dans l’esprit de la "Méthode Ouverte de Coordination" de l’Union européenne, visant à créer une émulation entre régions au travers d’une concurrence par comparaison. Cette comparaison est surtout utile pour comprendre les sources éventuelles des dysfonctionnements et les pistes d’amélioration possibles. Ce numéro de Regards économiques comporte quatre contributions, sur les thèmes suivants : Bruxelles et: une lecture en termes de géographie économique (Jacques-François Thisse) PIB et PRB de la: des diagnostics contrastés (Michel Mignolet et Marie Eve Mulquin) Le portrait social de la Wallonie : responsabilités et gouvernance (Pierre Pestieau) Le marché du travail en: un tableau en clair-obscur (Béatrice Van Haeperen). Dans la suite de ce communiqué, nous résumons brièvement les éléments principaux de chaque contribution, en regroupant les points positifs et les points négatifs que chacune d’elles donne de la situation économique et sociale en Wallonie. 1. Les points positifs Les dynamiques de croissance entre régions se rapprochent progressivement. L’écart inter-régional de croissance annuelle moyenne diminue entre la Flandre et la : celui-ci ne s’élevait plus qu’à 0,80 % de 1975 à 1995, pour se replier encore plus à 0,54 % de 1995 à 2003. Le différentiel se réduit davantage si on ne considère que les dernières années, où il se chiffre à 0,37 % de 1999 à 2003. Si l’on mesure la croissance régionale sur base du lieu de résidence et non du lieu de production (pour prendre en compte l’activité croissante des wallons à Bruxelles), depuis 1999, la part de la Wallonie dans la production totale belge s’est légèrement redressée. Une analyse par branche de la structure de production ne permet pas de conclure à un manque de dynamisme généralisé de l’industrie en Wallonie. Le retard de croissance en Wallonie est imputable à une sous-représentation des secteurs les plus dynamiques et une moindre performance des secteurs les plus importants. Le Brabant wallon est la province belge qui a connu la croissance la plus forte de 1995 à 2002, avec une évolution de la production sur la période de 8 % au-dessus de la moyenne de l’UE 15 et de presque 10 % au-dessus de la moyenne belge. Le Brabant wallon est aussi la seule province wallonne dont le revenu par habitant est supérieur à la moyenne de l’UE 15. L’emploi salarié en Wallonie a augmenté de 9 % entre 1992 et 2002. Les croissances les plus fortes sont dans le Brabant wallon (28 %), les provinces de Luxembourg (16 %) et de Namur (13 %), à comparer à une croissance moyenne de l’emploi salarié en Flandre de 13 %. Depuis 1997, le rythme de progression de l’emploi privé est comparable dans les deux régions. A partir de 2000, le nombre d’emplois des secteurs à haute et moyenne technologies et des services à haute technologie et à haut niveau de savoir progresse en Wallonie mais régresse en Flandre. La proportion de personnes très qualifiées dans la population wallonne augmente et la proportion de peu qualifiés diminue. Le profil de qualification par catégorie d’âge en Wallonie en 2003 est très proche de la moyenne belge. Les dépenses intra-muros des entreprises en R&D progressent plus rapidement en Wallonie. Entre 2001 et 2002, le taux de croissance était de 11,% en Wallonie contre 3,6 % en Flandre. 2. Les points négatifs Un rapprochement des taux de croissance est insuffisant pour assurer un rattrapage des économies régionales. Etant donné son retard de développement, la Wallonie devrait enregistrer des taux de croissance supérieurs à la Flandre, ce qui est loin d’être le cas. La part de la Wallonie dans la production totale belge continue donc à diminuer, passant de plus de 30 % en 1995 à moins de 25 % en 2003. La productivité marginale du capital est plus faible en Wallonie qu’en Flandre, ce qui donne lieu à un taux d’investissement moindre en Wallonie. Sur la période 1995-2001, le rendement brut du capital est de 14,% en Wallonie contre 17,5 % en Flandre. Cela pose problème pour l’attractivité relative de la Wallonie pour l’investissement. Le revenu moyen par habitant en Wallonie est 25 % inférieur à celui de la Flandre en 2002 (équivalent à la moyenne de l’UE 15). Les disparités entre provinces wallonnes s’accentuent. Sur la période 1995-2002, le Brabant wallon enregistre une augmentation de 8 % de sa production par rapport à la moyenne de l’UE15 alors que les provinces de Liège, du Hainaut et du Luxembourg enregistrent chacune une baisse supérieure à 6 %. En 2003, le taux d’emploi en Wallonie de 55,4 % reste significativement inférieur à celui de la Flandre (62,9 %) et celui de l’UE15 (64,2 %). La Wallonie est donc encore loin de l’objectif de taux d’emploi de 70 %. La structure de l’emploi est aussi fort différente entre régions avec en 2002, 2/3 des emplois dans le secteur privé en Wallonie pour 3/4 des emplois dans le secteur privé en Flandre. Le taux de chômage est resté stable autour de% en Wallonie entre 1995 et 2002 du fait d’une augmentation de la population active égale à l’augmentation de l’emploi. En 2002, le taux de chômage en Flandre est passé en dessous de 5 %. Le taux de chômage des jeunes (15-24 ans) en Wallonie est le plus élevé d’Europe avec un taux de 26,5 % en 2002 contre 11,6 % en Flandre. Plus alarmant encore, plus de 40 % des chômeurs en Wallonie sont des chômeurs de longue durée (>2 ans) contre moins de 20 % en Flandre. Le pourcentage de la population de 18-24 ans sans diplôme de l’enseignement secondaire et qui ne suit ni enseignement, ni formation est de% en Wallonie contre 11,7 % en Flandre. En outre, selon la dernière enquête PISA, l’enseignement secondaire en Communauté française figure en 31e position sur 41 pays contre une 3e position pour la Flandre pour un budget équivalent sinon moindre. 3. Que faire ? Face à ce constat que pouvons-nous faire ? Quelques pistes de réflexion sont présentées dans ce numéro de Regards économiques. Parmi celles-ci, nous relevons la nécessité de cesser la politique de saupoudrage et de concentrer les efforts autour d’une grande métropole urbaine comme Bruxelles en reconnaissant que les échanges se développent de plus en plus entre régions urbaines. La Wallonie se doit de travailler en partenariat stratégique avec Bruxelles dans une perspective économique moderne. La zone d’influence de Bruxelles doit dépasser le Brabant wallon. Il faut aussi chercher à améliorer l’efficacité dans l’utilisation des fonds publics en évitant les doublons et en recourant systématiquement à des études d’efficacité rigoureuses et impartiales. Par exemple, on pourrait explorer ce que coûte l’existence des provinces, des multiples réseaux d’enseignement et des cabinets ministériels. On peut aussi s’interroger sur le grand nombre d’intercommunales et le manque de transparence de leur gestion. Il faut aussi s’attaquer de toute urgence au scandale du chômage des jeunes par une politique de remédiation volontariste. On doit investir massivement dans le système éducatif pour élever le niveau de qualification des jeunes et faciliter la transition enseignement et emploi. Il faut élargir la mission du FOREM au-delà de la diffusion des offres d’emploi pour lui confier la fonction critique de placement et d’accompagnement des demandeurs d’emploi. Il faut aussi mettre en place des outils d’évaluation des politiques de l’emploi. C’est inadmissible que depuis l’année 2004, la Wallonie est incapable de publier des statistiques sur les offres d’emploi satisfaites et insatisfaites (alors que Bruxelles et la Flandre continuent à publier ces chiffres). Nous poursuivrons notre analyse de la situation wallonne dans un prochain numéro de Regards économiques. Nous attendons aussi des hommes politiques qu’ils reconnaissent cette situation et le traduisent dans leurs actes en poursuivant une politique économique adaptée, cohérente et stable. Il n’y a pas de fatalité. Nous en voulons pour preuve l’expérience danoise qui en 10 ans a réduit son chômage de moitié par un système novateur de "flexicurité" (en partenariat avec les syndicats). Son marché du travail s’est fluidifié avec plus d’un danois sur trois changeant de travail au cours d’une année et un effort substantiel du gouvernement sur la formation, l’orientation et l’accompagnement des chômeurs. Un sondage récent montre que les travailleurs danois ne sont pas plus mécontents avec ce système que les travailleurs belges. L’Angleterre, avec un taux de syndicalisme plus élevé que chez nous, a aussi réussi par son "New Deal" à réduire de moitié le chômage des jeunes. Ces deux pays connaissent aujourd’hui un taux de chômage de 5 %, bien inférieur à la moyenne européenne. Comprendre pourquoi pourrait être fortement utile à la Wallonie.
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Pellerin, Jocelyne, Michel Fournier, Sophie Gauthier-Clerc, Christian Blaise, Florent Garnerot, Jean-Claude Amiard e François Gagné. "Qu’en est-il de l’état de santé des myes au Saguenay ? Un bilan d’études sur plus d’une décennie". 22, n. 2 (15 giugno 2009): 271–89. http://dx.doi.org/10.7202/037485ar.

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Abstract (sommario):
Résumé Le fjord du Saguenay, reconnu pour sa faune diversifiée mais aussi pour la contamination reliée aux activités industrielles et anthropiques, a fait l’objet d’un vaste programme de suivi environnemental, entrepris par notre équipe et qui visait à répondre à la question fondamentale : L’état de santé des myes s’est-il modifié dans le fjord du Saguenay ? Dans cet article de synthèse, nous avons regroupé des résultats déjà publiés sur la condition physiologique de Mya arenaria ainsi que des résultats originaux pour extraire des tendances, de façon à répertorier les sites qui s’avèrent critiques pour le bien-être physiologique de la mye. Mya arenaria (LINNÉ, 1758) ou mye des sables, choisie comme espèce sentinelle, a été échantillonnée de 1994 à 2007, en période de maturité sexuelle, dans des sites situés à l’intérieur du fjord et à son embouchure. Les objectifs de cet article sont de comparer les résultats de différents indices de condition et de suivis hormonaux et de la gamétogenèse de chaque site et en fonction des sexes, pour identifier les sites moins favorables pour la croissance et la reproduction de la mye. Nous avons démontré que les myes de Baie‑Sainte-Catherine subissent des retards de gamétogenèse tandis que les niveaux d’hormones stéroïdiennes sont très bas à Tadoussac. Ces deux sites sont soumis à des influences portuaires et à la circulation navale. Le site de Baie‑Éternité, plus en amont, se caractérise par des influences portuaires (huiles et peintures antisalissures) et une forte contamination métallique de sources urbaines et terrigènes. Anse‑aux‑Érables est un site près des influences industrielles, tandis que Anse‑Saint‑Jean est fortement influencée par les effluents municipaux et domestiques. D’amont en aval sur la rivière Saguenay, les myes des sites Anse‑à‑la‑Croix, Anse‑aux‑Érables, Petit‑Saguenay, Anse‑à‑la‑Barque, Tadoussac et Pointe‑aux‑Alouettes ont montré une croissance moindre. Les sites de Baie‑Éternité, Anse‑aux‑Érables, Anse‑Saint‑Jean et Baie-Sainte-Catherine ont un indice de maturité sexuelle moindre qu’aux autres sites, les données regroupées démontrant que ce sont les sites les plus influencés dans le fjord du Saguenay, résultats corroborés par les résultats de phagocytose. Toutes ces données démontrent que l’état physiologique de la mye répond à différents facteurs, anthropiques, biotiques et abiotiques, et que les sources ponctuelles de contamination viennent renforcer les effets négatifs de paramètres abiotiques telles la température et les conditions trophiques.
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Nokam Motio, Nina Gaëlle, e Aristide Yemmafouo. "Gestion de l’Environnement dans les Villes Industrielles : Faillite de la Responsabilité Sociale des Entreprises ou Absence de Contrôle des Communes? L’Exemple de Douala au Cameroun". European Scientific Journal ESJ 26 (29 febbraio 2024). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.2.2024.p45.

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Abstract (sommario):
La ville de Douala connait une croissance urbaine et industrielle non contrôlée. Cette situation a pour conséquence la dégradation du cadre de vie par les pollutions industrielles. Ces pollutions suscitent des revendications des populations riveraines sur la scène publique. Pourtant les entreprises se targuent de maîtriser leurs rejets à travers des systèmes de management environnemental et la promotion de bonnes pratiques de responsabilité sociale. Les auteurs soutiennent que la dégradation de l’environnement à Douala est liée à l’échec des politiques de management de l’environnement dans les entreprises industrielles et l’absence de légitimité des communes dans le contrôle de la qualité de l’environnement industriel. L’objectif de cet article est d’analyser les politiques de management environnemental dans le contexte industriel de Douala et d’argumenter pour une légitimité des communes dans le contrôle de la qualité de l’environnement en milieu industriel. L’approche méthodologique est basée sur trois années d’observation des pratiques environnementales des entreprises, suivi d’un sondage auprès d’un échantillon de 100 entreprises choisies dans deux les pôles industriels de Douala. Les entretiens avec une quinzaine de responsables des politiques environnementales en entreprise et un sondage auprès d’un échantillon de 100 ménages riverains des zones industrielles ont complété ces observations. L’étude met en évidence la pluralité des pôles industriels dans la ville de Douala (Bonabéri, Bassa et la zone d’extension industrielle (Yassa), l’incivisme environnemental des entreprises caractérisé par : l’absence de plans de gestion environnementale et sociale (PGES) fonctionnel, les pollutions et nuisances de plus en plus perceptibles par les populations, les infractions à la règlementation. Le questionnement sur la responsabilité sociale met en relief les manquements dans le management environnemental des entreprises et la timidité dans l’appropriation des compétences environnementales jadis transférées aux communes. La gestion des espaces industriels a une portée socio-économique, politique, stratégique et écologique qui doit être le leitmotiv des industries camerounaises pour répondre aux principes du« Global compact » et partant, du développement durable. Douala operates in an uncontrolled urban and industrial growth environment. This situation results in the degradation of the living environment by industrial pollution. These pollutions lead to the uprising of local populations on the public scene. However, companies claim to control their emissions through environmental management systems and the promotion of good social responsibility practices. The authors argue that the degradation of the environment in Douala is linked to the failure of environmental management policies in industrial companies and the lack of legitimacy of the municipalities in controlling the quality of the industrial environment. The objective of this article is to analyze environmental management policies in the industrial context of Douala and to argue for the legitimacy of the municipalities in controlling the quality of the environment in industrial area. In addition, interviews with around fifteen responsible for environmental policies in companies and a survey of a sample of 100 households living near industrial zones were conducted. The study highlights the plurality of industrial centers in the city of Douala (Bonabéri, Bassa and industrial extension zone (Yassa), the environmental incivism of companies characterized by: the absence of functional environmental and social management plans (ESMP), pollution and nuisances increasingly perceived by people, violations of regulations. The questioning of social responsibility emphasizes the shortcomings in the environmental management of companies and the timidity in the appropriation of environmental skills formerly transferred to municipalities. The management of industrial spaces has a socio-economic, political, strategic and ecological stakes which must be the leitmotif of Cameroonian industries to respond to the principles of "Global compact" and therefore of sustainable development.
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Denant-Boèmont, Laurent. "Analyse Coûts-Avantages et flexibilité des choix techniques en transport public". Les Cahiers Scientifiques du Transport - Scientific Papers in Transportation 29 | 1994 (30 giugno 1994). http://dx.doi.org/10.46298/cst.11942.

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Abstract (sommario):
For ten years, the investment decisions in urban public transport have been occurring in an environment which faces an increasing uncertainty. The financial crisis, the appearance of new technologies and the apparent failure of economic appraisals have caused a real "decision crisis". In front of this rise of uncertainties, decision-makers are obviously displaying a preference for flexibility in the field of transport choices in urban areas. Indeed, they give greater importance to choices that provide the widest range of options for the future. Meanwhile, the irreversibility theories have experienced important developments, enabling economists to meet with the needs of decision-makers.The aim of this work is to suggest a methodology to compare levels of flexibility for alternative technical options in the well-known Cost-Benefit Analysis. The conception of a decision-taking model for transit should allow to estimate relative levels of risk, and especially to introduce the "irreversibility effect" as a part of socio-economic return. Simulations will be carried out, based on simple case studies in the field of public transport. Depuis une dizaine d'années, les décisions d'investissement en transport collectif urbain sont prises dans un environnement caractérisé par des incertitudes croissantes. La crise financière, l'émergence de nouvelles technologies et la défiance envers les méthodes d'évaluation traditionnelles ont jeté les décideurs dans une véritable crise de la décision. Du fait de cette incertitude radicale, les décideurs révèlent alors une véritable préférence pour la flexibilité concernant les choix d'agglomération. En effet, ils accordent de plus en plus d'importance aux choix qui évitent de restreindre de façon trop importante les options pour les décisions futures, et qui procurent la plus grande marge de manœuvre possible. Parallèlement, depuis une vingtaine d'années, les théories de l'irréversibilité ont connu d'importants développements, qui permettent d'expliquer et d'intégrer les besoins des décideurs dans l'évaluation des projets.L'objectif de cette recherche est d'élaborer une méthodologie de comparaison des niveaux de flexibilité des variantes techniques dans une perspective d'Analyse Coûts-Avantages. La conception d'un modèle d'aide à la décision pour les transports publics permettra alors d'estimer les risques des projets ou variantes, et de faire de "l'effet-irréversibilité" une composante de la rentabilité collective des choix publics. Des simulations seront menées sur la base d'exemples fictifs de choix d'investissement dans le domaine étudié.
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Franco, Tania. "ALIENAÇÃO DO TRABALHO: despertencimento social e desrenraizamento em relação à natureza". Caderno CRH 24, n. 1 (1 febbraio 2012). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v24i1.19228.

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Abstract (sommario):
O ensaio resgata a noção de trabalho alienado, considerando o seu valor heurístico para compreender, mais profundamente, as interconexões entre os fundamentos do trabalho e os atuais desafios da crise social e ambiental. As atuais interrogações sobre o trabalho conduzem à abordagem da precarização social, da perda de direitos, dos danos à saúde e ao meio ambiente, evidências, por si só, de uma profunda alienação social. A partir de uma breve retrospectiva histórica das sociedades urbano-industriais capitalistas – em que se destaca o crescente desacordo dos tempos sociais com os ciclos da natureza e com a plasticidade ou limites biopsicossociais dos indivíduos –, propõe-se uma releitura dos quatro aspectos do conceito de alienação de Marx. As interligações entre alienação e o conceito bourdieusiano de habitus, entre precarização social e destruição ambiental são, por fim, sintetizadas nas noções de despertencimento social e de desenraizamento em relação à Natureza, processos característicos da civilização contemporânea. PALAVRAS-CHAVE: trabalho alienado, trabalho e meio ambiente, trabalho e saúde, precarização do trabalho, flexibilização e precarização social. ALIENATION OF LABOR: social uprooting and unbelonging in relation to nature Tânia Franco This essay recalls the notion of alienated labor, given its heuristic value to understand more deeply the interconnections between the fundamentals of labor and the current challenges to the social and environmental crisis. Current questions about labor lead to the approach of social precarization, loss of rights, damage to health and the environment, evidence in itself, of a profound social alienation. From a brief historical overview of urban-industrial capitalist societies - which highlights the growing disagreement of social times with the cycles of nature and the plasticity or biopsychosocial limits of individuals - it is proposed to reconsider the four aspects of Marx’s alienation concept. The interconnections between alienation and the Bourdieusian concept of habitus, between social precarization and environmental destruction are finally summarized in the notions of social unbelonging and uprooting in relation to nature, processes characteristic of the contemporary civilization. KEYWORDS: alienated labor, labor and environment, work and health, precarization of work, flexibilization and social precarization. ALIÉNATIONS DU TRAVAIL: nonappartenance sociale et déracinement par rapport à la nature Tânia Franco Cet essai reprend la notion de travail aliéné, vu sa valeur heuristique, pour mieux comprendre les interconnexions entre les principes fondamentaux du travail et les défis actuels de la crise sociale et environnementale. Les questions qu’on se pose actuellement à propos du travail mènent à une approche de la précarité sociale, de la perte de droits, des dommages pour la santé et pour l’environnement, preuves en soi d’une profonde aliénation sociale. À partir d’une brève rétrospective historique des sociétés urbaines et industrielles capitalistes – qui souligne un croissant désaccord entre les temps sociaux et les cycles de la nature ainsi qu’avec la plasticité ou les limites biopsychosociales des individus – on propose de revoir les quatre aspects du concept d’aliénation de Marx. Les interconnexions entre l’aliénation et le concept d’habitus de Bourdieu, entre la précarisation sociale et la destruction de l’environnement, sont finalement résumées dans les notions de nonappartenance sociale et de déracinement par rapport à la Nature, processus caractéristiques de la civilisation contemporaine. MOTS-CLÉS: Travail aliéné, travail et environnement, travail et santé, précarisation du travail, flexibilité et précarisation sociale. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br Publicação Online do Caderno CRH no Scielo: http://www.scielo.br/ccrh

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