Articoli di riviste sul tema "Conséquences économiques et démographiques des épidémies"

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Trainar, Philippe. "Les évolutions démographiques internationales et leurs conséquences économiques". Revue d'économie financière 122, n. 2 (2016): 15. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.122.0015.

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Bathily, Abdoulaye. "La Traite Atlantique des Esclaves et ses Effets économiques et sociaux en Afrique: la Cas du Galam, Royaume de l'Hinterland Sénégambien au dix-huitième Siècle". Journal of African History 27, n. 2 (luglio 1986): 269–91. http://dx.doi.org/10.1017/s0021853700036677.

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Abstract (sommario):
L'Historiographie se rapportant à la traite atlantique des esclaves en Afrique révèle deux tendances majeures. L'une est représentée par les travaux dont la préoccupation majeure est de quantifier les phénomènes démographiques engendrés par la traite. L'autre s'efforce au contraire d'évaluer ies conséquences de la traite dans le contexte global de l'évolution des formations sociales africaines à l'ère du capitalisme mercantile.
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Cazes, Sandrine, Thierry Chauveau, Jacques Le e Rahim Loufir. "Retraites et évolutions démographiques en France. Première partie : Le long terme". Revue de l'OFCE 39, n. 1 (1 gennaio 1992): 93–149. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1992.39n1.0093.

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Abstract (sommario):
Résumé Face au vieillissement probable de la population française au cours des prochaines décennies, les perspectives de financement de l'actuel régime public de retraite par répartition sont relativement sombres. Si la tendance à la stagnation de la population française se confirme, des choix devront être faits entre le maintien du système actuel, qui implique une augmentation — à terme assez substantielle — des taux de cotisations, et une modification de ses règles. Cet article propose un cadre d'évaluation des conséquences économiques à long terme de différents scénarios : il s'agit d'un modèle d'équilibre général calculable à générations imbriquées de l'économie française, qui, à partir d'hypothèses sur les préférences des ménages et sur l'environnement économique et institutionnel dans lequel ils prennent leurs décisions, permet de déterminer leurs comportements individuels d'offre de travail, de dépenses de consommation, d'épargne et d'accumulation au cours de leur cycle de vie. Les principales grandeurs macroéconomiques sont alors déduites par agrégation exacte des comportements individuels. Grâce à la détermination endogène de l'ensemble des décisions des ménages et des entreprises, un tel modèle permet de tenir compte des conséquences sur les choix d'activité, de consommation et d'épargne, de modifications institutionnelles telles que des réformes du régime de retraite. Après avoir présenté les résultats de quelques variantes démographiques, qui confirment que le système actuel ne serait véritablement viable à long terme que si la croissance de la population était positive, nous analysons les effets micro- et macroéconomiques de long terme de diverses options envisageables en matière de retraite. Tant la comparaison des conséquences macroéconomiques que l'analyse en termes de bien-être — individuel et social — nous incitent à conclure que, parmi les mesures étudiées et à supposer que la stagnation de la population française se confirme, le recul de l'âge légal de départ à la retraite apparaît comme nettement plus favorable que des alternatives telles que la réduction des prestations ou l'instauration d'un système pur de capitalisation.
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Gillet, Marc. "Changement climatique et risques sanitaires : la France aussi est concernée". Questions de santé publique, n. 1 (marzo 2008): 1–4. http://dx.doi.org/10.1051/qsp/2008001.

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Abstract (sommario):
Il existe un consensus scientifique selon lequel l’émission de gaz à effets de serre générés par les activités humaines entraîne un changement climatique dont les effets sont déjà observables et qui va s’amplifier dans les prochaines décennies. Le réchauffement de la température terrestre moyenne de plus de 0,7°C en cent ans est pour l’essentiel attribuable à ces émissions. En dehors des effets médiatisés du changement climatique sur la montée du niveau des océans, le changement climatique va affecter la santé humaine de différentes façons, principalement avec des conséquences négatives. La recherche dans ce domaine s’est pour le moment principalement concentrée sur les effets des chocs thermiques sur la santé, sur les suites des événements climatiques extrêmes et sur le développement des maladies infectieuses. Il convient aussi de s’interroger sur les retombées démographiques, sociales et économiques des conséquences sanitaires du réchauffement climatique. La production de connaissances nouvelles et l’anticipation permettront de renforcer les politiques existantes et de guider l’adaptation de nouvelles stratégies. À l’heure de la mondialisation économique et sociale, ces stratégies doivent également être élaborées au niveau global.
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Ogilvie, Sheilagh C. "Proto-industrialization in Europe". Continuity and Change 8, n. 2 (agosto 1993): 159–79. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000002058.

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Abstract (sommario):
Cet article passe en revue l'état actuel du débat concernant les théories de ‘ protoindustrialisation’. Celles-ci essayent d'expliquer l'évolution économique durant les premières années de l'Europe moderne. La recherche récente a révélé que les conséquences économiques, sociales et démographiques de la proto-industrialisation different énormément suivant les sociétes. Les principaux facteurs techniques et sociaux qui sont à l'origine de cette diversité sont ici examinés et une analyse de ces facteurs en termes d'influence sur les coûts est proposée.L'auteur affirme que les facteurs les plus importants sont les institutions qui régissent la société: le système des tenures, les communautés, les corporations, les compagnies de commerce et également l'Etat. Ces résultats peuvent éclaircir nos analyses du développement des économies modernes en faisant la lumière sur les jeux d'influence des diverses institutions sur le changement economique et démographique.
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Kamarás, Ferenc. "Les tendances de la fécondité en Hongrie et les facteurs qui les influencent". Articles 29, n. 2 (25 marzo 2004): 255–85. http://dx.doi.org/10.7202/010288ar.

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Abstract (sommario):
RÉSUMÉ L'auteur décrit l'évolution de la fécondité en Hongrie depuis le début du siècle, en faisant ressortir les particularités nationales qui ont influencé les fluctuations des indicateurs. Il met en lumière les effets a court et à long terme de certaines mesures gouvernementales destinées à modifier les comportements liés à la fécondité. Mettant les principales tendances de la fécondité en rapport avec les changements sociaux, il relève notamment les conséquences démographiques des chocs économiques dus au changement de régime politique. À l'aide de résultats d'enquêtes, il examine ensuite l'évolution des pratiques en matière de limitation des naissances et analyse la relation entre contraception et fécondité chez les jeunes, puis présente les opinions, les valeurs et les préférences des Hongrois a l'égard des enfants, du mariage et de la famille. Il traite enfin de l'efficacité des politiques familiales en Europe, dans un contexte d'économie de marché.
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Connidis, Ingrid Arnet. "David K. Foot with Daniel Stoffman. Boom, Bust, and Echo: How to Profit from the Coming Demographic Shift. Toronto: Macfarlane, Walter and Ross, 1996." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 16, n. 2 (1997): 373–80. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800014409.

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Abstract (sommario):
RésuméDans leur trés populaire Boom, Bust, and Echo, Foot et Stoffman posent comme principe que “la démographie explique presque les deux tiers de tout” (p. 2). Dans un style trés vivant, ils traitent de l'effet des données démographiques (surtout de la fluctuation des taux de fécondité et de ses conséquences sur les différences de niveaux au sein des cohortes d'âge) sur l'immobilier, l'investissement, l'emploi, le commerce de détail, les loisirs, les villes, l'éducation, les soins de santé, la famille et les politiques en matière d'aînés. La distinction entre l'explication et la prédiction demeure équivoque tout au long du livre mais en réalité, la prédiction est beaucoup plus définie que l'explication. On trouve peu d'insistance sur certains éléments critiques comme la structure sociale, l'organisation humaine et le changement social de notre siècle. Le changement social important est ramené aux données démographiques en tant que variable causale et les enjeux sociaux majeurs sont souvent réduits à leurs conséquences économiques. La concentration sur l'âge comme indicateur prévisionnel du comportement mène à une analyse résolument déterministe du vieillissement et tend à présenter comme homogènes tous les membres d'un même groupe d'âge. Bien que le coeur de l'argumentation repose sur le nombre relatif de membres d'une même cohorte d'âge, on relève parfois de la confusion en matière de changements réels du comportement (qui se reflète dans le changement des proportions, et non seulement dans les nombres, d'un groupe d'âge donné engagé dans un comportement donné) et par les hypothèses de systèmes de changement de valeurs reposant sur la taille d'une cohorte. Les auteurs n'ont virtuellementpas tenu compte de la vaste recherche déjà effectuée dans le domaine. Dans l'ensemble, ils nʼembrassent pas la vision démographique apocalyptique si chère aux politiciens et aux économistes actuels, lesquels favorisent l'approche comptable transgénérationnelle, et terminent sur une note optimiste en ce qui a trait à l'avenir du Canada, notamment sur notre capacité à gérer les facteurs numériques variés en matière de retraite.
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Lachapelle, Réjean. "Mouvements et composition de la population". Articles 11, n. 3 (12 aprile 2005): 255–88. http://dx.doi.org/10.7202/055503ar.

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Abstract (sommario):
Science des populations humaines sous leurs aspects quantitatifs, la démographie ne se sent à l'aise qu'avec les grands nombres. C'est pourquoi la majeure partie des études démographiques portent sur les populations nationales pour lesquelles on dispose de données statistiques abondantes et variées qui proviennent des recensements et de l'état civil. À l'échelon national, grâce à la richesse des statistiques disponibles, l'influence de nombreux facteurs peut être isolée afin d'expliquer les variations des phénomènes démographiques; cependant, les moyennes nationales masquent des variations locales — souvent importantes — et, partant, n'en rendent pas compte. Deux voies se présentent pour étudier les différences locales des phénomènes démographiques: les corrélations écologiques et les monographies régionales. Par « corrélation écologique» nous entendons l'ensemble des procédés et techniques statistiques utilisés pour rendre compte des variations des phénomènes démographiques (variables dépendantes) à l'échelon local en les reliant à des facteurs économiques, sociaux, culturels, etc. (variables indépendantes). Cette méthode permet d'arriver à des explications générales; si l'intérêt se porte sur une région particulière, elle se révèle toutefois inopérante. Intéressé avant tout à l'évolution de la population madelinienne, nous avons choisi de l'étudier comme unité autonome, quitte à recourir au besoin à des comparaisons avec l'ensemble du Québec. À l'aide d'études historiques et géographiques et de statistiques tirées des divers recensements canadiens' et de l'état civil nous avons d'abord brossé à grands traits l'évolution de la population des Iles-de-la-Madeleine des origines à 1966. En outre, pour la période allant de 1931 à 1966, nous avons distingué l'accroissement naturel (c'est-à-dire le solde des naissances et des décès) des migrations nettes (c'est-à-dire le bilan net des départs et des arrivées) dans la croissance de la population. Nous avons ensuite analysé successivement chacun des phénomènes qui interviennent dans l'évolution de la population: la mortalité, la fécondité et les migrations nettes. En chaque cas, nous avons poussé l'analyse aussi loin que le permettaient les renseignements disponibles. Nous avons également mis en lumière les conséquences qu'entraînent la mortalité, la fécondité et les migrations nettes sur la composition par âge de la population madelinienne. Finalement, nous avons tenté de prévoir l'évolution future de la population de 1966 à 1986. Afin d'éviter toute équivoque, les commentaires qu'appellent les lacunes et les déséquilibres révélés par l'analyse ont été renvoyés à la fin.
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Facchini, François. "Pour une politique d’assainissement de la dette publique par la baisse de la dépense publique". Revue française d'économie Vol. XXXVIII, n. 2 (31 ottobre 2023): 115–61. http://dx.doi.org/10.3917/rfe.232.0115.

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Abstract (sommario):
Cet article se place dans une tradition des sciences économiques finalement peu présente en France dans les débats autour de la dette, à savoir la nouvelle économie politique. Il soutient que le gouvernement devrait dégager des excédents budgétaires grâce à une baisse des dépenses publiques pour stimuler la croissance économique et donner ainsi aux acteurs des marges de manœuvre pour s’adapter aux conséquences du dérèglement climatique. Il rappelle, en introduction, l’actualité des débats et explique pourquoi la question posée par la dette publique porte plus sur les bienfaits des dépenses publiques que sur les déficits. Une dette publique n’est pas productive en elle-même. Elle est productive si elle finance des dépenses productives. L’existence d’une courbe de BARS pour la France à hauteur probablement d’un ratio dépenses publiques sur PIB de 30 % et l’échec relatif des conférences internationales pour le climat, conduisent à soutenir une politique d’austérité expansive, antikeynésienne et de vérité des prix sur l’énergie et le marché foncier afin de gérer un problème complexe, le climat, par un système complexe, le prix. Ne pas réduire la dette publique serait, pour ces raisons, réduire la capacité de résilience de l’économie française face aux chocs à venir (climatiques, démographiques, sanitaires et/ou militaires). Privatiser les entreprises publiques et certains services publics et baisser les coûts de production des services publics seraient, au contraire, un moyen de l’accroître et de préserver l’intérêt des générations futures.
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Termotte, Marc. "Blanchet, Didier (1991) Modélisation démo-économique. Conséquences économiques des évolutions démographiques. Paris, Institut national d’études démographiques, Presses universitaires de France (Coll. « Travaux et documents », no 130), 136 p. (ISBN 2-7332-0130-1)". Cahiers de géographie du Québec 36, n. 98 (1992): 365. http://dx.doi.org/10.7202/022280ar.

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Apata, E. S., O. E. Fashina, G. A. Adeleke, B. G. Otaki, K. O. Adeyemi, A. M. Ogungbesan, H. A. Awojobi, O. O. Eniolorunda e D. B. Oke. "Coronavirus (covid-19) pandemic: the aftermath on livestock products processing and distribution chain- A review". Nigerian Journal of Animal Production 48, n. 4 (8 marzo 2021): 24–31. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.3000.

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Abstract (sommario):
Coronavirus had been in existence for many years, but its effects has not been so evident as the whole world experienced recently. It represents an unprecedented emergency and grave societal threat. The better way to cure the emergence disease is by protecting public health. However, governments, policy makers and the international community must quickly need to act, recognize and attempt to mitigate the negative impacts (current and potential) of the pandemic and related response efforts on key sectors that contribute to food security, nutrition and livelihoods. The livestock sector is a key contributor to these areas, especially for the world's most vulnerable populations. In the light of recent challenges in food supply chain, there is now considerable concern about the food production, processing, distribution, and demand. COVID-19 resulted in the movement restrictions of workers, changes in demand of consumers, closure of food production facilities, restricted food trade policies and financial pressures in food supply chain. The effects of COVID-19 on the livestock sector are still largely unquantified and yet to be fully felt. Formal assessments have not yet been possible, but current observations reveal disruptions to livestock value chains. Lessons from past epidemics indicate these disruptions are likely to grow, along with their dire, socio- economic consequences. Moreover, considering the doubt on how these factors will play out in various areas affected especially meat processing and distribution in the years to come from the bulk of discussion in this review. Le coronavirus existait depuis de nombreuses années, mais ses effets n'ont pas été aussi évidents que le monde entier l'a récemment expérimenté. Cela représente une urgence sans précédent et une grave menace pour la société. La meilleure façon de guérir la maladie émergente est de protéger la santé publique. Cependant, les gouvernements, les décideurs et la communauté internationale doivent rapidement agir, reconnaître et tenter d'atténuer les impacts négatifs (actuels et potentiels) de la pandémie et des efforts de riposte connexes sur les secteurs clés qui contribuent à la sécurité alimentaire, à la nutrition et aux moyens de subsistance. Le secteur de l'élevage est un contributeur clé dans ces domaines, en particulier pour les populations les plus vulnérables du monde. À la lumière des défis récents de la chaîne d'approvisionnement alimentaire, la production, la transformation, la distribution et la demande des aliments suscitent désormais des i nquiétudes considérables. Le COVID-19 a entraîné des restrictions de mouvement des travailleurs, des changements dans la demande des consommateurs, la fermeture des installations de production alimentaire, des politiques commerciales restreintes et des pressions financières dans la chaîne d'approvisionnement alimentaire. Les effets du COVID-19 sur le secteur du bétail sont encore largement non quantifiés et ne sont pas encore pleinement ressentis. Les évaluations formelles n'ont pas encore été possibles, mais les observations actuelles révèlent des perturbations dans les chaînes de valeur de l'élevage. Les leçons des épidémies passées indiquent que ces perturbations sont susceptibles de se développer, ainsi que leurs conséquences socio- économiques désastreuses. De plus, la prise en compte du doute sur la manière dont ces facteurs joueront dans divers domaines touchés, en particulier la transformation et la distribution de la viande dans les années à venir, constitue l'essentiel de la discussion dans cette revue.
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Ahossin, Rodrigue, Gervais Atchadé, Guy Wokou e Ibouraïma Yabi. "Variabilité pluviométrique et cultures maraichères dans la commune de Zogbodomey au Sud-Bénin". Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 6, n. 3 (21 ottobre 2023): 77–95. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v6i3.8.

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Abstract (sommario):
Description du sujet. La production maraîchère dans les Pays subsahariens comme le Bénin est impactée par les aléas climatiques. C’est dans ce contexte qu’une étude a été réalisée dans la Commune de Zogbodomey.Objectifs. L’objectif de cette recherche est d’analyser les effets de la variabilité pluviométrique sur les cultures maraîchères, d’identifier les contraintes liées à la production maraîchère et de proposer des mesures d’adaptation.Méthodes. Pour réaliser cette recherche, des données pluviométriques annuelles allant de 1941 à 2016 obtenues à la Direction Nationale de la Météorologie (Météo-Bénin), démographiques et socio-économiques issues des Recensements Généraux de la Population et de l’Habitation (RGPH) de 2002 et des statistiques agricoles obtenues au Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche (MAEP) sur la période de 1995-2018 ont été collectées. Les connaissances paysannes sur la question de variabilité climatique ont été analysées sur la base des enquêtes conduites auprès de 173 ménages agricoles.Résultats. Les résultats de l’étude ont montré une alternance des années excédentaires (38,16 %), années moyennes (11,84 %), et années sèches (50 %) de 1941 à 2016. Les conséquences des aléas climatiques sur le maraîchage se traduisent par les inondations, les sécheresses, la perte des récoltes, la présence des bioagresseurs et la baisse des revenus agricoles. Face à ces contraintes, des mesures d’adaptation endogènes ont été mises en oeuvre.Conclusion. La durabilité de cette activité agricole fait face aujourd’hui à l’usage incontrôlé des intrants chimiques qui hypothèquent la santé publique et l’environnement. L’absence d’encadrement et de suivi des maraîchers sur le terrain aggrave la situation et expose les producteurs et les consommateurs aux différentes pollutions. La promotion des pratiques agroécologiques en maraîchage à Zogbodomey permettra d’améliorer la production maraîchère et les revenus des producteurs. Description of the subject. Market gardening production in sub-Saharan countries like Benin is impacted by climatic hazards. It is in this context that a study was carried out in the Municipality of Zogbodomey. Goals. The objective of this research is to analyze the effects of rainfall variability on market gardening, to identify the constraints linked to market gardening and to propose adaptation measures. Methods. To carry out this research, annual rainfall data from 1941 to 2016 obtained from the National Directorate of Meteorology (Météo-Benin), demographic and socio-economic data from the General Population and Housing Censuses (RGPH) of 2002 and agricultural statistics obtained from the Ministry of Agriculture, Livestock and Fisheries (MAEP) over the period 1995-2018 were collected. Farmers' knowledge on the issue of climate variability was analyzed on the basis of surveys conducted among 173 farming households. Results. The results of the study showed an alternation of surplus years (38.16%), average years (11.84%), and dry years (50%) from 1941 to 2016. The consequences of climatic hazards on market gardening are translate into floods, droughts, crop loss, the presence of pests and a drop in agricultural income. Faced with these constraints, endogenous adaptation measures have been implemented. Conclusion: The sustainability of this agricultural activity is today facing the uncontrolled use of chemical inputs which jeopardize public health and the environment. The lack of supervision and monitoring of market gardeners in the field worsens the situation and exposes producers and consumers to various types of pollution. The promotion of agroecological practices in market gardening in Zogbodomey will improve market gardening production and the income of producers.
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Chauveau, Thierry, e Rahim Loufir. "Allongement de l'espérance de vie, croissance et retraites". Revue de l'OFCE 50, n. 3 (1 settembre 1994): 29–64. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.50n1.0029.

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Abstract (sommario):
Résumé Les conséquences de diverses mesures de politique économique pour limiter la hausse des cotisations-retraite et mieux les répartir entre les générations ont déjà fait l'objet d'une étude publiée dans cette Revue (Cf. n? 47 octobre 1993). Cette étude faisait appel à la simulation dynamique d'un modèle à générations imbriquées qui, comme tous ses prédécesseurs, souffrait d'un handicap « technique », l'espérance de vie des individus y était supposée constante (et égale à 80 ans). L 'objet de ce nouveau travail est de présenter les résultats obtenus, pour la première fois, en s' affranchissant de cette hypothèse c'est-à-dire en « collant » exactement aux projections démographiques effectuées par la Banque mondiale. Le nouveau scénario démographique est beaucoup moins favorable que naguère ; le taux de dépendance enfants/actifs baisse désormais très peu et le taux de dépendance retraités/actifs s'élève encore plus vigoureusement de sorte que la proportion d'actifs dans la population totale, après avoir légèrement crû, diminue de façon substantielle. Il s'ensuit qu'à l'horizon 2050, les agrégats par tête corrigés du progrès technique diminuent de façon sensible, alors qu'ils s'élevaient naguère très légèrement, et que l'augmentation des prélèvements obligatoires est substantiellement plus marquée dans le nouveau scénario. Si le compte central désormais retenu est moins « rose » que l'ancien, la nouvelle description des effets des variantes de politique économique n'est pas très différente de l'ancienne. L'intérêt de la nouvelle étude ne se limite pas, néanmoins, à une simple réévaluation de résultats antérieurs : elle apporte un éclairage nouveau sur deux questions importantes : Nous effectuons, tout d'abord, une comparaison systématique entre l'option « maintien des prestations » — c'est-à-dire le maintien du taux de remplacement — ei l'option polaire « maintien des cotisations » — c'est-à-dire du taux de ces cotisations. Dans un cas comme dans l'autre, le système actuel de retraites est maintenu, mais l'effort de solidarité entre les générations y est réparti de façon très différente. Le corollaire d'une politique relativement généreuse à l'égard des retraités — c'est la première option — est une hausse considérable des prélèvements obligatoires et en particulier des taux de cotisation retraite. Avec la seconde option le taux de remplacement — et par conséquent le niveau de vie relatif des retraités — baisse de façon marquée : c'est la conséquence du maintien à leur niveau initial des taux de cotisation. De plus, si la variante « maintien des prestations » est plus équitable que celle du « maintien des cotisations », elle accentue la différence de bien- être, à une date donnée entre les retraités et les actifs. Soulignons, enfin, que les évolutions des agrégats économiques et celles du « bien-être moyen » sont, d'un compte à l'autre assez proches même si l'avantage va à la variante « maintien des cotisations » (la production par tête, corrigée du progrès technique n'y baisse que de 6 % à l'horizon 2050 contre 12 % dans l'autre cas). L'autre question abordée dans cette étude est celle des interactions entre croissance et évolution du système de retraites. Contrairement à une idée répandue, l'accélération du rythme, supposé ici exogène, du progrès technique ne permet nullement de résoudre les problèmes d'équité, ni ceux liés à l'augmentation potentielle des taux de prélèvements obligatoires. Ce rythme joue, au contraire, un rôle important dans l'analyse de la « soutenabilité » des options institutionnelles. Si l'on s'impose comme règle du jeu l'absence de baisse de pouvoir d'achat des prestations retraite, l'option « maintien des cotisations » n 'est envisageable que si la croissance est au moins de 1,25 %, les gains de productivité ne pouvant, en deçà de ce seuil, compenser les effets négatifs de la baisse du taux de remplacement; l'option «maintien des prestations» s'accommode d'une croissance beaucoup plus faible (0,45 %) de sorte qu'il existe une assez grande asymétrie entre les deux options étudiées. Est-il utile d'ajouter que l'augmentation du rythme du progrès technique exerce des effets très marqués sur la croissance et le bien-être ?
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Ouellet, Fernand. "L'échec du mouvement insurrectionnel, 1837-1839". Articles 6, n. 2 (12 aprile 2005): 135–61. http://dx.doi.org/10.7202/055264ar.

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Abstract (sommario):
Le mouvement insurrectionnel de 1837-38 a été interprété de multiples façons. Certains historiens y ont vu le fruit d'une poussée subite de colère et d'indignation, évidemment non préméditée, qui aurait été déclenchée par les résolutions de Lord Russell qui violaient un principe constitutionnel. Cette vue des choses nous paraît assez peu conforme à la mentalité canadienne-française. Le recours spontané aux armes n'a jamais été le moyen de prédilection utilisé par les Canadiens français pour réaliser leurs objectifs collectifs ou pour faire valoir leurs réclamations. La Fontaine qui les connaissait bien disait que leur arme principale était l'inertie et, ajoutons-le, l'agitation verbale. Les insurrections ne s'expliquent principalement ni par une réaction spontanée ni par le souci de défendre des principes, soit politiques, soit constitutionnels. La masse paysanne ne vivait pas encore à l'âge du libéralisme ni à celui de la démocratie. D'autres historiens, parfois les mêmes, ont parlé d'aboutissement logique d'un long conflit politique et constitutionnel, par conséquent non nationaliste en ses dimensions principales mais ultimement de portée nationale. Quelques-uns cependant, tel Filteau, n'ont pas hésité à postuler le caractère nationaliste des troubles de 1837-38. On a aussi parlé d'explosion de caractère réformiste ; on a opéré un rapprochement avec le mouvement chartiste anglais, avec celui de la démocratie jacksonnienne ; finalement, on a annexé à une même réalité les insurrections des deux Canadas. On a voulu montrer par là qu'il s'agissait en définitive d'abattre des oligarchies coloniales afin de promouvoir un système colonial édifié sur des bases plus libérales. En somme, le phénomène insurrectionnel, pour autant que ses origines réelles, son caractère, son ampleur et ses conséquences sont mis en cause, a été simplifié à l'extrême. On ne doit pas non plus oublier les condamnations systématiques, appuyées sur le droit canon et les préceptes moraux, dont ce mouvement a été l'objet de la part de nombreux historiens. À cet égard, Chapais fait figure de modèle. Il est parvenu à surclasser bien des historiens-clercs sur leur propre terrain, soit, celui de la ferveur moralisante. Que beaucoup de ces interprétations soient partiellement justes, on l'admettra volontiers. Mais ce qui, dans l'ensemble, fait le plus défaut, c'est une perspective globale qui restitue à ce phénomène son sens et sa complexité. Il nous paraît évident que si le mouvement insurrectionnel n'avait eu que des racines politiques, même lointaines, il n'aurait pas eu lieu. Il est non moins clair que s'il n'avait engagé que des principes abstraits, il n'aurait en aucune façon mobilisé la masse rurale, pas plus, du reste, que les professions libérales. La crise qui prépara l'explosion insurrectionnelle était d'abord économique et sociale avant d'être politique. La crise agricole, les tensions démographiques et sociales, la situation particulièrement critique des professions libérales, sont les fondements principaux de la réaction nationaliste qui mobilise certaines élites et rallie une portion importante de la masse. On ne niera pas non plus l'influence des idéologies autres que le nationalisme. Nous avons déjà dit pourquoi elles ont fait intrusion dans la société canadienne-française et quelles fonctions elles y ont assumées. Le libéralisme français et anglais, le radicalisme britannique, la démocratie jeffersonnienne et jacksonnienne ont, tour à tour et à des degrés divers, influencé les élites politiques en fonction même des besoins qui leur étaient propres. Mais ces courants idéologiques n'ont jamais rejoint la masse rurale pas plus que la minorité ouvrière. Au total, on dira que ces systèmes de valeurs et de pensée demeurent tributaires des fins poursuivies par l'idéologie dominante, le nationalisme. Ajoutons qu'avant de s'exprimer dans deux insurrections successives, la réaction nationaliste, parce qu'elle visait au contrôle des structures politiques au profit des professions libérales et de la nationalité canadienne-française, s'affirme au niveau politique. A partir de 1806, les conflits politiques s'enracinent en même temps que les malaises économiques, les pressions démographiques et les tensions sociales. De temps à autre, en regard même des améliorations passagères survenues dans l'un ou l'autre secteur, on assiste à un amenuisement relatif des conflits. Même si l'initiative majeure appartient à l'économique, l'interdépendance des différents niveaux d'activité éclate à chaque instant. Il en est de même de la mentalité et des oscillations de la psychologie collective qui se situent en regard même de ce contexte global. L'heure est au pessimisme, aux visions tragiques et à l'agressivité. G.-J. de Lotbinière écrira en 1852 : « Il me semble que nous sommes dans un âge où l'on sent plus vivement qu'autrefois. Nos Pères savaient conserver jusqu'à la fin leur vivacité et leur gaieté malgré toutes les vicissitudes de la vie, maintenant nous prenons tout au sérieux : vie intime, vie publique. Nos blessures ne se cicatrisent plus. À qui la faute ? ». On ne doit pas oublier non plus le rôle capital des personnalités dominantes, en particulier le rôle de Papineau. Ce dernier est à la fois le reflet de la situation, un de ses principaux définisseurs et l'instrument par lequel s'exprime la réaction nationaliste. Ses ambitions, ses intérêts et surtout sa personnalité en font l'homme de cette réaction Arrivé à la tête du mouvement nationaliste pour toutes sortes de motivations, il parvient à en conserver la direction pendant près de vingt-cinq ans. Après 1830, il forme même le projet de devenir président d'une république canadienne-française indépendante ou rattachée à l'Angleterre par des liens fort ténus. Mais Papineau était l'homme de l'opposition, de l'obstruction systématique et de l'agitation verbale. Il n'était pas taillé pour l'action. Idéaliste, doctrinaire, indécis, profondément tiraillé entre des tendances contraires, son royaume était la Chambre d'Assemblée. Il était davantage un symbole que l'animateur d'un mouvement révolutionnaire. En somme, rien ne le prédisposait, si ce n'est son ambition et la fidélité au mythe qu'il incarnait, à être le chef d'une insurrection et à le demeurer malgré tout. Pourtant ses attitudes politiques conduisaient directement à une prise d'armes. L'obstruction systématique qu'il pratique après 1831-32 et l'intransigeance de ses revendications ne pouvaient avoir d'autre issue à moins que l'Angleterre et la minorité britannique du Bas-Canada ne consentissent à des concessions globales. Or, l'une et l'autre se refusent absolument à envisager cette option. Au moment où débute l'année 1837, les conflits politiques paraissent insolubles. En somme, les insurrections de 1837-38 seraient l'aboutissement logique d'un ensemble de facteurs, dont certains jouaient depuis les premières années du XIXe siècle. Est-ce à dire que cela suffisait à garantir le succès de l'opération ?
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Balmond, Louis, e Jean-François Guilhaudis. "Conflits, grandes épidémies, catastrophes, victimes (D142-D208)". Paix et sécurité européenne et internationale Numéro 4 (22 giugno 2016). http://dx.doi.org/10.61953/psei.992.

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Abstract (sommario):
Soumission à Epi-revel Conflicts, epidemics and disasters meet in their human, economic and political consequences disastrous and require a strong mobilization of the international community. This chapter presents news from 2015 on these 3 phenomena and gives the currently relevant essential benchmarks. International audience Conflits, épidémies et catastrophes se rejoignent dans leurs conséquences humaines, économiques et politiques désastreuses et requièrent une forte mobilisation de la communauté internationale. Ce chapitre présente l’actualité de ces trois phénomènes pour 2015 et donne les repères essentiels pertinents.
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Battles, Heather, e Rebecca Gilmour. "Beyond Mortality". Bioarchaeology International, 6 dicembre 2021. http://dx.doi.org/10.5744/bi.2021.0003.

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Abstract (sommario):
Epidemics and pandemics are typically discussed in terms of morbidity and mortality, susceptibility and immunity, and social responses to and impacts of the immediate epidemic event. Much less attention is paid to the longer-term consequences for individuals and populations in terms of the sequelae of infections, such as blindness after smallpox, deafness due to congenital rubella, and paralysis after polio. This same tendency is observed in the COVID-19 pandemic, with counts of cases and deaths, questions of immunity, and economic impacts at the foreground and long-term or chronic health impairment of COVID-19 survivors receiving less attention. Much of the existing research on the effects of such disease sequelae has come from disability history; in addition, the bioarchaeology of impairment/disability is an emerging area of research that can contribute insight into experiences of disease consequences. In this article, we give an overview of published work on survivors of infectious disease using both bioarchaeology and disability history. Using the example of post-polio paralysis, we propose a theoretical approach to the bioarchaeological study of infectious disease that is inclusive of the history of impairment and disability, which we refer to as a survivor lens. We structure this discussion through scaffolded questions that move through multiple levels of analysis: from the individual and relational to the drivers of cultural change. We argue that bioarchaeological research on past epidemics and pandemics that attends to morbidity and lasting impairment and disability can contribute to wider conversations about infectious disease and disability in the past and present. En général, les épidémies et les pandémies sont considérées en termes de morbidité et de mortalité, de susceptibilité et d’immunité, et de réponses sociales et d’impacts immédiats de l’événement épidémique. Moins d’attention est accordée aux conséquences à long terme pour les individus et les populations en termes de séquelles d’infections, telles que la cécité après la variole, la surdité due à la rubéole congénitale et la paralysie après la polio. Cette même tendance est observée lors de la pandémie de COVID-19. Il y a moins d’attention accordée au nombre de cas et de décès, aux questions d’immunité et d’impacts économiques au premier plan, et aux problèmes de santé à long terme ou chroniques des survivants de COVID-19 reçoivent. Une grande partie de la recherche existante sur les effets de ces séquelles de la maladie provient de la recherche sur les déficiences/handicaps. De plus, la bioarchéologie de la déficience/handicap est un domaine de recherche émergent qui peut contribuer à mieux comprendre les expériences des conséquences de maladie. Dans cet article, nous donnons un aperçu des travaux publiés sur les survivants de maladies infectieuses en utilisant à la fois la bioarchéologie et l’histoire du handicap. En utilisant l’exemple de la paralysie post-polio, nous proposons une approche théorique de l’étude bioarchéologique des maladies infectieuses qui inclut l’histoire de la déficience/handicap, que nous appelons une lentille de survivant. Nous structurons cette discussion à travers des questions échafaudées qui traversent de multiples niveaux d’analyse: de l’individu au relationnel, jusqu’au aux changements culturels. Nous soutenons que la recherche bioarchéologique sur les épidémies et pandémies historiques qui examine la morbidité et le handicap peut contribuer à des conversations plus larges sur les maladies infectieuses et le handicap au passé ainsi qu’au présent.
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De la Croix, David. "Numéro 95 - février 2012". Regards économiques, 12 ottobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15173.

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Abstract (sommario):
A l’heure où le budget 2012 domine les agendas politiques, il est prioritaire de ne pas perdre de vue le contexte plus général dans lequel nous vivons. Les projections démographiques les plus récentes indiquent que la population terrestre culminera vraisemblablement vers la fin de ce siècle autour de 10 milliards d’habitants. Cet arrêt dans la croissance de la population s’accompagne d’une modification de sa structure par âge. Dans le scénario moyen de l’ONU, l’âge médian sur terre passe de 29,2 années en 2010 à 41,9 années en 2100. Tandis que pour la Belgique, il passerait de 41,2 à 44 ans En quelques années, la crainte d’une explosion insoutenable de la population mondiale s’est apaisée, et a fait place à la crainte de l’hiver démographique, une situation où les sociétés les plus développées en premier, et le monde entier par la suite, seraient composées d’une population vieille, incapable de subvenir à ses besoins, et ayant perdu tout dynamisme. La plupart des théories économiques prédisent que l’effet à long terme de la baisse de la population est globalement positif; il n’en reste pas moins vrai qu’elle peut générer une transition délicate, et qu’une action politique peut s’avérer bénéfique. Dans ce numéro de Regards économiques, David de la Croix pose la question de savoir s’il y a lieu de mener une politique nataliste pour faire face à cette transition. Il n’est pas aisé de mesurer l’effet des politiques natalistes acceptables telles que les allocations familiales, les crédits d’impôts, etc… sur la natalité, mais les études disponibles montrent que ceux-ci sont plutôt faibles. Ceci ne doit pas remettre en cause ces politiques, qui permettent de redistribuer des ressources au profit de ceux qui ont des enfants. En outre, même un effet démographique faible peut avoir des conséquences importantes à long terme, parce ce que la démographie est cumulative par nature, et le faible effet initial croît exponentiellement au cours du temps. Mais si la question qui nous préoccupe est de faire face au vieillissement de la première moitié du 21ème siècle, renforcer ces incitants aurait un effet trop faible à cet horizon, et viendrait donc trop tard. En outre, toute politique nataliste risque d’engendrer un effet secondaire : diminuer l’investissement dans l’éducation et la santé des enfants. Une des contributions de l’étude de David de la Croix est en effet de souligner que plus le nombre d’enfants est grand, moindre seront les ressources disponibles pour chaque enfant. Pour faire face à la période de vieillissement accéléré dans les quarante années qui viennent, il existe une stratégie indirecte. Comme mentionné plus haut, natalité et éducation sont les deux faces d’une même pièce, de par la contrainte budgétaire qui les lie. Soutenir l’éducation est facilité par une natalité en baisse. Sachant que l’éducation ne se décide pas par décret, David de la Croix pense qu’il est important de développer les incitants personnels à l’éducation. Cet objectif sera atteint en renforçant certains principes connus depuis longtemps, tels que l’égalité des chances et la mobilité internationale. L’égalité des chances implique en effet la liberté de circulation. Outre favoriser la mobilité des travailleurs qualifiés, permettre la libre circulation des moins qualifiés permet de rajeunir la population du pays d’accueil tout en engendrant des gains d’efficacité au niveau mondial, plus importants que la libéralisation du commerce et des mouvements de capitaux. Ces propositions ne sont ni nouvelles ni originales. Elles deviennent néanmoins incontournables. La baisse de la natalité et le vieillissement de la population exigent d’améliorer les systèmes éducatifs et les marchés du travail mondiaux.
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De la Croix, David. "Numéro 95 - février 2012". Regards économiques, 12 ottobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2012.02.01.

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Abstract (sommario):
A l’heure où le budget 2012 domine les agendas politiques, il est prioritaire de ne pas perdre de vue le contexte plus général dans lequel nous vivons. Les projections démographiques les plus récentes indiquent que la population terrestre culminera vraisemblablement vers la fin de ce siècle autour de 10 milliards d’habitants. Cet arrêt dans la croissance de la population s’accompagne d’une modification de sa structure par âge. Dans le scénario moyen de l’ONU, l’âge médian sur terre passe de 29,2 années en 2010 à 41,9 années en 2100. Tandis que pour la Belgique, il passerait de 41,2 à 44 ans En quelques années, la crainte d’une explosion insoutenable de la population mondiale s’est apaisée, et a fait place à la crainte de l’hiver démographique, une situation où les sociétés les plus développées en premier, et le monde entier par la suite, seraient composées d’une population vieille, incapable de subvenir à ses besoins, et ayant perdu tout dynamisme. La plupart des théories économiques prédisent que l’effet à long terme de la baisse de la population est globalement positif; il n’en reste pas moins vrai qu’elle peut générer une transition délicate, et qu’une action politique peut s’avérer bénéfique. Dans ce numéro de Regards économiques, David de la Croix pose la question de savoir s’il y a lieu de mener une politique nataliste pour faire face à cette transition. Il n’est pas aisé de mesurer l’effet des politiques natalistes acceptables telles que les allocations familiales, les crédits d’impôts, etc… sur la natalité, mais les études disponibles montrent que ceux-ci sont plutôt faibles. Ceci ne doit pas remettre en cause ces politiques, qui permettent de redistribuer des ressources au profit de ceux qui ont des enfants. En outre, même un effet démographique faible peut avoir des conséquences importantes à long terme, parce ce que la démographie est cumulative par nature, et le faible effet initial croît exponentiellement au cours du temps. Mais si la question qui nous préoccupe est de faire face au vieillissement de la première moitié du 21ème siècle, renforcer ces incitants aurait un effet trop faible à cet horizon, et viendrait donc trop tard. En outre, toute politique nataliste risque d’engendrer un effet secondaire : diminuer l’investissement dans l’éducation et la santé des enfants. Une des contributions de l’étude de David de la Croix est en effet de souligner que plus le nombre d’enfants est grand, moindre seront les ressources disponibles pour chaque enfant. Pour faire face à la période de vieillissement accéléré dans les quarante années qui viennent, il existe une stratégie indirecte. Comme mentionné plus haut, natalité et éducation sont les deux faces d’une même pièce, de par la contrainte budgétaire qui les lie. Soutenir l’éducation est facilité par une natalité en baisse. Sachant que l’éducation ne se décide pas par décret, David de la Croix pense qu’il est important de développer les incitants personnels à l’éducation. Cet objectif sera atteint en renforçant certains principes connus depuis longtemps, tels que l’égalité des chances et la mobilité internationale. L’égalité des chances implique en effet la liberté de circulation. Outre favoriser la mobilité des travailleurs qualifiés, permettre la libre circulation des moins qualifiés permet de rajeunir la population du pays d’accueil tout en engendrant des gains d’efficacité au niveau mondial, plus importants que la libéralisation du commerce et des mouvements de capitaux. Ces propositions ne sont ni nouvelles ni originales. Elles deviennent néanmoins incontournables. La baisse de la natalité et le vieillissement de la population exigent d’améliorer les systèmes éducatifs et les marchés du travail mondiaux.

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