Tesi sul tema "Classes sociales – Logement"

Segui questo link per vedere altri tipi di pubblicazioni sul tema: Classes sociales – Logement.

Cita una fonte nei formati APA, MLA, Chicago, Harvard e in molti altri stili

Scegli il tipo di fonte:

Vedi i top-22 saggi (tesi di laurea o di dottorato) per l'attività di ricerca sul tema "Classes sociales – Logement".

Accanto a ogni fonte nell'elenco di riferimenti c'è un pulsante "Aggiungi alla bibliografia". Premilo e genereremo automaticamente la citazione bibliografica dell'opera scelta nello stile citazionale di cui hai bisogno: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver ecc.

Puoi anche scaricare il testo completo della pubblicazione scientifica nel formato .pdf e leggere online l'abstract (il sommario) dell'opera se è presente nei metadati.

Vedi le tesi di molte aree scientifiche e compila una bibliografia corretta.

1

Raad, Lina. "Transformations sociales en banlieue rouge : politiques locales, stratégies résidentielles et inscription territoriale des classes moyennes". Paris 7, 2014. http://www.theses.fr/2014PA070069.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
La banlieue rouge, ceinture de municipalités autour de Paris conquises par le Parti communiste à partir des années 1920, s'est longtemps caractérisée par des politiques de redistribution sociale en faveur de la classe ouvrière, en particulier dans le champ de l'habitat. Depuis les années 1970, la banlieue rouge a été marquée par de profondes transformations économiques et sociales qui ont déstabilisé le communisme municipal. Cette thèse porte sur les interactions entre les politiques locales de l'habitat en banlieue rouge et les stratégies résidentielles et l'inscription territoriale des classes moyennes, dans des contextes socio-spatiaux où ces ménages restent très minoritaires. Depuis les années 1980, l'objectif de mixité sociale est central dans les politiques locales de l'habitat en banlieue rouge ; ces municipalités ont choisi de diversifier l'offre de logement, au sein du parc social mais également en développant le logement privé. La volonté d'attirer et de fixer des classes moyennes entre en tension avec la nécessité de loger les classes populaires et populations démunies. Cette thèse montre que les municipalités communistes se distinguent toujours par une forte régulation et des pratiques d'innovation dans le champ de l'habitat. L'enquête de terrain menée auprès des classes moyennes dans deux communes (Bagnolet, Saint-Denis) permet de nuancer le rôle des contraintes économiques dans leurs stratégies résidentielles : leur installation en banlieue rouge leur permet de satisfaire des aspirations à l'égard du logement mais aussi du quartier de résidence. En outre, certains ménages expriment une préférence pour les quartiers populaires et ont un rapport positif à la mixité sociale, dans certains cas assorti d'un engagement auprès des populations défavorisées. D'autres sont plus réservés à l'égard de la mixité sociale, et adoptent des stratégies de conquête territoriale, ou choisissent de quitter la banlieue rouge pour s'installer dans de quartiers plus aisés. Nous analysons les ressorts de l'ancrage et du rapport à la mixité sociale des classes moyennes, en les reliant à leurs trajectoires sociales et résidentielles
The red suburbs are a belt of municipalities surrounding Paris that have been conquered by the Communist party from the 20's. For a long time, they have been characterized by social redistribution policies in favour of the working class, especially in the housing field. Since the 70's, the red suburbs have known intense economic and social transformation that destabilized the municipal communism. This thesis deals with the interactions between local housing policies in the red suburbs and residential strategies and territorial integration of middle classes, in a socio-spatial context where they are in minority. Since the 80's, social mix is a main objective of local housing policies in the red suburbs; those municipalities chose to diversify the housing stock, within die social housing stock, but also in developing private houses. The will to attract and stabilize middle classes contends with the necessity of offering dwellings to working classes and destitute populations. This thesis shows that communist municipalities still distinguish themselves by a strong regulation and by innovative practices in the housing policies field. The field survey with middle classes in two municipalities (Bagnolet, Saint-Denis) allows to moderate the role of economic constraints in their residential strategies : settling in the red suburbs give them opportunities to satisfy their aspirations about the dwelling but also about the residential neigbourhood Furthermore, some households show a preference for working class districts, and have a positive attitude towards social mix. In some cases this goes with personal commitment in direction of destitut populations. Some others are more reserved towards social mix, and use territorial conquest strategies, or choose to leave the red suburbs in direction of more wealthy districts. We analyze the functioning of local anchorage and of die attitude towards social mix of middle classes, in relation with their social and residential trajectories
2

Rosenfeld, Jean. "A noble house in the city, domestic architecture as elite signification in late 19th century Hamilton". Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 2001. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp05/NQ61986.pdf.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
3

Mohrmann, Ruth-Elisabeth. "Alltagswelt im Land Braunschweig : städtische und ländliche Wohnkultur vom 16. bis zum frühen 20. Jahrhundert /". Münster [Westfalen] : F. Coppenrath, 1990. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36660954w.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
4

Ray-Lambert, Anne. "« Tous propriétaires ! » : politiques urbaines et parcours d'accédants dans les lotissements périurbains (1970-2010)". Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0034.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Les lotissements périurbains font aujourd'hui l’objet de nombreux discours critiques et de représentations le plus souvent négatives. Alliant matériaux ethnographiques recueillis dans le Nord de l’Isère et la région parisienne, et données statistiques de l’enquête Logement de l’INSEE, la thèse remet en cause plusieurs de ces idées répandues : celle du périurbain comme espace de ségrégation, lieu de « séparatisme social et politique » destiné à des ménages modestes dits « blancs ». Au contraire, elle montre que, loin d’être homogènes, les lotissements périurbains sont au cœur de la recomposition des rapports sociaux de classe, de sexe et de race au sein de la société française contemporaine. L’analyse, de la production des lotissements à leurs usages, souligne ainsi le rôle croissant des élus locaux dans la mise en oeuvre des politiques nationales de soutien à la propriété. Promouvant une « ouverture maîtrisée» de leurs territoires, ils contribuent à fixer sur place des habitants qui n’ont ni les mêmes trajectoires sociales, ni les mêmes perspectives de mobilité : des jeunes couples des centres urbains, des ouvriers des environs, des familles de cités HLM. Dès lors, la mixité du peuplement conditionne la diversité des usages et des modes de cohabitation sur la scène résidentielle. En particulier, en raison de son poids financier et matériel de plus en plus lourd sur l’économie domestique, la maison modifie le coût d’opportunité du travail salarié des femmes les moins qualifiées et renforce leur spécialisation dans le travail domestique, au contraire des femmes plus dotées en capitaux scolaires. En outre, l’arrivée récente de ménages issus de l’immigration maghrébine et d’Afrique subsaharienne dans les lotissements contribue à la racialisation des rapports de voisinage, qui ne recoupe qu’en partie les lignes de fractures sociales
Today, periurban private housing developments face much criticism and negative representations. Combining ethnographic materials collected in northern Isère and in the Parisian suburbs with statistical data from the INSEE “Logement” survey, this thesis challenges some of those prevailing ideas: that of the periurban area as a space of segregation, or a place of “political and social separatism” reserved for poor so called “white” households. On the contrary, this thesis shows that far from being homogeneous, periurban private housing developments are at the heart of a current restructuration process of class, sex and race relations in the French society. This analysis of both the production of housing developments and its uses underlines the increasingly important role of local representatives in the implementation of national policies supporting house-ownership. By promoting a “controlled opening” of their territories, these representatives contribute to the settlement of residents who have neither the same social trajectories nor the same prospects of mobility: young couples from urban centers, workers from the vicinity, families from public housing units. The mixed nature of residents therefore conditions the diverse uses and ways of living in these residential areas. More specifically, with mounting financial and material burden on domestic economy, owning a house changes the opportunity cost of employment of the least skilled women and strengthens their specialization in domestic work, as compared to women with more academic capital. Besides, the recent arrival of immigrant families from Maghreb or sub-Saharan Africa in the private housing developments contributes to the racialization of neighborhood relationships, which only in part recreates lines of social fractures
5

Tapie-Grime, Muriel. "L'éternel étudiant : présentation de soi et pratiques résidentielles des nouvelles couches moyennes". Paris 10, 1988. http://www.theses.fr/1988PA100090.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Ceux que la sociologie appelle les nouvelles couches moyennes salariées entretiennent et surtout disent entretenir un rapport spécifique à la ville. Peut-on admettre cette spécificité? Comment s'exprime-t-elle? Peut-on en expliquer ou au moins en expliciter les fondements? Pour répondre à ces trois questions, on a collecte à Besançon (Doubs en 1986, un matériel de type ethnographique (observation directe, photographies, entretiens). L'enquête, organisée dans une perspective microsociale, a privilégie l'observation des mises en scène de la présentation de soi dans l'habitat, terme qui englobe les représentations de l'espace urbain, les critères d'habitabilité d'un logement, les relations de sociabilité ainsi que les pratiques d'aménagement et de décoration. L'interactionnisme est le cadre conceptuel de ce travail. Les catégories d'analyse sont empruntées à G. H. Mead, H. S. Becker, E. C. Hughes, A. V. Cicourel, H. Garfinkel, E. Goffman. . .
Those that sociology calls the new middle social levels have - and mostly assert they have - specific relationship with town and housing conditions. Can this specificity be possibly assumed to exist? How is it usually expressed? Can its foundations be explained or at least clarified? In order to answer these three questions, a whole lot of "ethnographic" material (direct observation, photographs, and interviews) was collected in Besancon, Doubs, in 1986. This investigation which was conducted in a micro-social perspective favored observation of the displays of self-presentation through dwelling, a term that includes the representation of urban space, the criteria of habitability of a flat, sociability, as well as fitting out and decorating practices. Interactionism has been used as a conceptual structure for this survey. The categories of analysis have been borrowed from G. H. Mead, H. S. Becker, E. C. Hughes, A. V cicourel, H. Garfinkel, E. Goffman
6

Crepin, Laure. "Les conséquences résidentielles des séparations conjugales : articuler les inégalités de classe et de genre dans la France contemporaine". Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2022. http://www.theses.fr/2022PA080024.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Depuis le début des années 2000, les prix immobiliers augmentent plus vite que les revenus, en particulier dans les grandes villes françaises. Les temps d’attente pour obtenir un logement social sont de plus en plus longs. Dans ce contexte, l’objet de cette thèse est d’étudier les trajectoires résidentielles des personnes ayant rompu une union cohabitante en France métropolitaine à l’aide de méthodes quantitatives (Enquêtes Logement 2002, 2006 et 2013 (INSEE) ; Statistiques sur les Ressources et les Conditions de Vie (Eurostat) (2004 – 2015) ; « Mon Quartier, Mes Voisins » (INED - CNRS Centre Max Weber, 2018)), et qualitatives (34 entretiens). Nous étudions d’abord ce que le contexte des séparations produit en termes de trajectoires sociales et résidentielles. Les ruptures peuvent participer à des trajectoires de « déclassement au cours du cycle de vie », pour celles et ceux vivant à la fois des déstabilisations professionnelles, familiales et résidentielles. Celles-ci s’articulent à des « trajectoires résidentielles descendantes », massives, en raison du contexte des séparations (déménagement dans l’urgence, baisse des ressources économiques). Nous démontrons ensuite que les ruptures conjugales participent à la croissance des inégalités de logement, inégalités selon la classe et le genre. Les ressources de l'entourage ont tendance à augmenter plutôt qu’à réduire ces inégalités. Au croisement entre sociologie du genre et des classes sociales, sociologie du logement et sociologie de la famille, cette thèse mêlant à parts égales matériaux quantitatifs et qualitatifs contribue à questionner la place du logement dans les dynamiques de la stratification sociale
Since the early 2000s, real estate prices have been rising faster than incomes, especially in large French cities. Waiting times for social housing are getting longer and longer. In this context, the purpose of this thesis is to study the residential trajectories of people who have broken up a cohabiting union in metropolitan France using quantitative (Enquête Logement (Housing surveys) 2002, 2006 and 2013 (INSEE); Statistics on Income and Living Conditions (Eurostat) (2004 - 2015); "Mon Quartier, Mes Voisins" (INED - CNRS Centre Max Weber, 2018)), and qualitative methods (34 interviews). We first study what the context of separations produces in terms of social and residential trajectories. Breakups can contribute to "downgrading trajectories during the life cycle" for those who experience professional, family and residential destabilization at the same time. These are linked to massive "downward residential trajectories" due to the context of separations (emergency relocation, decline in economic resources). We then show that marital breakdowns contribute to the growth of housing inequalities, inequalities by class and gender. The resources of the entourage tend to increase rather than reduce these inequalities. At the crossroads between the sociology of gender and social classes, the sociology of housing and the sociology of the family, this thesis, which combines quantitative and qualitative materials in equal measure, contributes to questioning the place of housing in the dynamics of social stratification
7

Delfini, Antonio. "La ville conflictuelle : luttes pour le logement et transformations des quartiers populaires : le faubourg de Fives à Lille (1969-2016)". Thesis, Lille 1, 2017. http://www.theses.fr/2017LIL12027.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Les "luttes urbaines" semblent aujourd’hui reléguées à une histoire ancienne, celle d'un âge d'or des luttes des années 1970.Ces mobilisations n'ont pourtant pas totalement disparues et connaissent même un certain regain, à la faveur des dernières vagues de rénovation urbaine. Ces luttes, qui mêlent habitants et usagers des quartiers populaires, participent encore à la transformation des espaces urbains dans lesquels elles prennent place. Cette thèse interroge les relations de structuration réciproques entre les transformations des quartiers populaires et les mouvements de contestations des politiques de rénovation urbaine et du logement. À la croisée de la sociologie urbaine et de la sociologie des mouvements sociaux, ce travail propose une relecture critique des travaux de l'école française de sociologie urbaine marxiste. Ce faisant, la thèse s'appuie sur l'étude de quatre mobilisations qui ont émergé entre 1969 et 2016 dans un faubourg ouvrier de l'Est de la ville de Lille, le quartier de Fives. Une première enquête historique analyse trois mobilisations qui s'inscrivent dans une lutte contre la rénovation urbaine ayant eu cours dans les années 1970-1980. La deuxième, contemporaine, étudie une association née au début des années 2010 qui mêle lutte contre la rénovation urbaine et syndicalisme du logement. Ce travail se situe dans une démarche proche de la recherche-action puisque l'auteur est membre et actuel salarié de l'association étudiée
The "urban struggles" seem now to be an old story belonging to the golden age of the 1970's struggles. However, those mobilizations did not fully disappear and are even experiencing a revival as a result of the last waves of urban renewal. Those struggles, embodied by both neighbors and "users" of the working-class areas, take part in the transformation of the urban spaces where they emerge.This thesis questions the relations of mutual structuring between the process of transformation of the working-class areas and the movements of social protest built against the urban renewal process and the housing policies. At the crossroads between urban sociology and the sociology of social movements, this work offers an analytical reinterpretation of the French school of Marxist urban sociology.In this perspective, this thesis relies on the study of four social mobilizations that have emerged between 1969 and 2016 in a working-class neighborhood located in the eastern part of the city of Lille, Lille-Fives. A first historical inquiry analyses three mobilizations taking flesh in a struggle against the urban renewal that occurred during the 1970's and the 1980's. The second one is contemporary and studies an association born at the beginning of 2010 that is involved in the struggle against urban renewal and very active through housing syndicalism. This last work is quite in line with the research approach of action-research as the author is a member and a current employee of the association
8

Clerval, Anne. "La gentrification à Paris intra-muros : dynamiques spatiales, rapports sociaux et politiques publiques". Phd thesis, Université Panthéon-Sorbonne - Paris I, 2008. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00347824.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
La gentrification est une forme particulière d'embourgeoisement qui touche les quartiers populaires centraux et s'accompagne de la transformation du bâti. Cette notion anglo-saxonne, longtemps ignorée par la recherche urbaine en France, s'avère féconde pour analyser une partie importante des transformations urbaines et sociales de l'espace parisien depuis plusieurs décennies. Pour cerner l'ampleur de la gentrification à Paris intra-muros, cette thèse s'appuie à la fois sur un riche corpus de données statistiques concernant les ménages et les logements depuis 1982 et sur des enquêtes de terrain menées dans trois quartiers populaires. Elle montre, dans un premier temps, que les quartiers populaires parisiens sont profondément transformés par la gentrification depuis les années 1980, tout en mettant en évidence à la fois les principaux facteurs, les rythmes et les dynamiques spatiales de ce processus. Elle en présente également les différents acteurs - des ménages des classes moyennes et supérieures aux pouvoirs publics en passant par les promoteurs et les commerçants - et explore en particulier la position sociale, le mode de vie et les discours des gentrifieurs. L'approche multiscalaire permet d'articuler une appréhension globale de la gentrification à Paris avec une analyse fine de ses modalités au niveau local. Dans un second temps, elle s'intéresse à la cohabitation des différents groupes sociaux au sein des quartiers populaires en voie de gentrification. La prise en compte du point de vue des différents acteurs en jeu - et notamment celui des ménages populaires - permet de mieux comprendre les effets de la gentrification sur les classes populaires et le rôle des politiques publiques dans ce processus de reconquête sociale. Cela conduit à une analyse critique de la mixité sociale apparente qu'il induit dans les quartiers populaires.
9

Lion, Gaspard. "Habiter en camping. Trajectoires de membres des classes populaires dans le logement non ordinaire". Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEH056.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Au croisement de la sociologie des classes populaires et de la sociologie urbaine et du logement, cette thèse porte sur l’une des formes de logements non ordinaires qui a connu un développement massif en France dans les territoires ruraux et périurbains au cours de ces dernières années : le camping résidentiel. Combinant immersion ethnographique dans plusieurs campings de la région parisienne, entretiens, archives et statistiques, elle montre l’existence d’une véritable stratification interne à cet habitat, eu égard à l’hétérogénéité des situations résidentielles, des trajectoires, des ressources, des expériences et des styles de vie des habitants. Le camping résidentiel est de fait apparu comme remplissant trois grandes fonctions sociales segmentant la population qui le pratique : il peut représenter une alternative à la maison individuelle inaccessible, figurer un déclassement subjectif et objectif ou encore s’apparenter à une solution qui pallie la pénurie de logement abordable et évite le dénuement extrême de la rue. Inscrite dans une approche à la fois contextualiste et dispositionnaliste des manières d’habiter, la thèse rapporte ces trois fonctions du camping – qui constituent également trois styles de vie distincts – aux caractéristiques particulières de cette forme d’habitat non ordinaire mais aussi à des ressources, des trajectoires et des socialisations résidentielles différentes articulées à des dispositions populaires relativement homogènes. Elle identifie enfin les causes, les dynamiques et les conséquences des pratiques de délogement en documentant « de l’intérieur » un cas de fermeture de terrain de camping, exemple de concrétisation du risque associé au statut juridique de cet habitat
This thesis finds itself at the intersection of the sociology of the working classes and urban sociology, with a special interest in housing. It focuses on one of the forms of non-ordinary housing that has seen massive development in France in recent years: residential camping. Combining an ethnographic immersion in several campsites in the Paris region, interviews, archives and statistics, it shows the existence of a real internal stratification within this habitat, taking into account the heterogeneity of residential situations, trajectories, resources, experiences and lifestyles of the inhabitants. Residential camping has in fact emerged as fulfilling three major social functions which segment the population that practices it: it may represent an alternative to the inaccessible single-family home, or stand as a subjective and objective downgrading or even be a solution that makes up for the shortage of affordable housing, thus preventing the extreme destitution of living in the streets. Illustrating a dispositionalist-contextualist approach to ways of living, the thesis connects these three functions of camping - which also constitute three distinct lifestyles - with the particular characteristics of this unusual form of housing. It also links it to different resources, trajectories and forms of residential socialisation corresponding to relatively homogeneous popular dispositions. Finally, it identifies the causes, dynamics and consequences of eviction practices by documenting "from the inside" the case of a campground closure, an example of the risk involved in the legal status of this habitat
10

Lion, Gaspard. "Habiter en camping. Trajectoires de membres des classes populaires dans le logement non ordinaire". Electronic Thesis or Diss., Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEH056.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Au croisement de la sociologie des classes populaires et de la sociologie urbaine et du logement, cette thèse porte sur l’une des formes de logements non ordinaires qui a connu un développement massif en France dans les territoires ruraux et périurbains au cours de ces dernières années : le camping résidentiel. Combinant immersion ethnographique dans plusieurs campings de la région parisienne, entretiens, archives et statistiques, elle montre l’existence d’une véritable stratification interne à cet habitat, eu égard à l’hétérogénéité des situations résidentielles, des trajectoires, des ressources, des expériences et des styles de vie des habitants. Le camping résidentiel est de fait apparu comme remplissant trois grandes fonctions sociales segmentant la population qui le pratique : il peut représenter une alternative à la maison individuelle inaccessible, figurer un déclassement subjectif et objectif ou encore s’apparenter à une solution qui pallie la pénurie de logement abordable et évite le dénuement extrême de la rue. Inscrite dans une approche à la fois contextualiste et dispositionnaliste des manières d’habiter, la thèse rapporte ces trois fonctions du camping – qui constituent également trois styles de vie distincts – aux caractéristiques particulières de cette forme d’habitat non ordinaire mais aussi à des ressources, des trajectoires et des socialisations résidentielles différentes articulées à des dispositions populaires relativement homogènes. Elle identifie enfin les causes, les dynamiques et les conséquences des pratiques de délogement en documentant « de l’intérieur » un cas de fermeture de terrain de camping, exemple de concrétisation du risque associé au statut juridique de cet habitat
This thesis finds itself at the intersection of the sociology of the working classes and urban sociology, with a special interest in housing. It focuses on one of the forms of non-ordinary housing that has seen massive development in France in recent years: residential camping. Combining an ethnographic immersion in several campsites in the Paris region, interviews, archives and statistics, it shows the existence of a real internal stratification within this habitat, taking into account the heterogeneity of residential situations, trajectories, resources, experiences and lifestyles of the inhabitants. Residential camping has in fact emerged as fulfilling three major social functions which segment the population that practices it: it may represent an alternative to the inaccessible single-family home, or stand as a subjective and objective downgrading or even be a solution that makes up for the shortage of affordable housing, thus preventing the extreme destitution of living in the streets. Illustrating a dispositionalist-contextualist approach to ways of living, the thesis connects these three functions of camping - which also constitute three distinct lifestyles - with the particular characteristics of this unusual form of housing. It also links it to different resources, trajectories and forms of residential socialisation corresponding to relatively homogeneous popular dispositions. Finally, it identifies the causes, dynamics and consequences of eviction practices by documenting "from the inside" the case of a campground closure, an example of the risk involved in the legal status of this habitat
11

Parise, Fanny. "Habiter et consommer le logement social : une approche stratégique de l'habiter des classes populaires et moyennes sous contraintes de pouvoir d'achat". Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2015. http://www.theses.fr/2015PA05H001/document.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
En 2014, quel est le « sens de l’habiter »? L’évolution de la législation française engendre un processus de marchandisation du logement social, déjà amorcé. « Grands ensembliers » et professionnels du logement s’associent pour développer une nouvelle offre d’habitat social à destination des classes moyennes intermédiaires. La montée des classes moyennes mondiales et la crise économique produit des modes de consommer différenciés et une demande de logements prenant en considération de nouvelles tendances sociétales. Le regain d’intérêt depuis les années 2000 pour l’habitat alternatif (notamment le cohousing), positionne l’innovation dans l’habitat dans une démarche de co-construction (constructeur, architecte, sociologue). Ces effets de contexte s’inscrivent dans une démarche compréhensive de la diversité des pratiques habitants des classes moyennes. L’hétérogénéité de ce groupe social, à travers des modes de vie pluriels, illustre le déploiement de stratégies et de choix résidentiels qui rendent compte d’un rapport à l’autre singulier, d’un rapport au monde spécifique ; dont les « grands ensembliers » s’essaient à en saisir le sens et la complexité
In 2014, what is the "sense of living"? The evolution of French legislation creates a social housing commodification process already begun. "Large contractors" and housing professionals join forces to develop a new offer of social housing to intermediate middle class. The rise of the global middle class and the economic crisis produces differentiated patterns of consumption and housing demand considering new societal trends. The renewed interest since the 2000s for alternative housing (including cohousing) positions innovation in housing in a co-construction approach (builder, architect, sociologist). These context effects are part of a comprehensive approach to the diversity of the inhabitants of the middle class practices. The heterogeneity of this social group, through plural lifestyles, illustrates the deployment strategies and residential choices that reflect a singular relative to each other, a report to the specific world; whose "big contractors" is trying to grasp the meaning and complexity
12

Commaille, Laurent. "Les cités ouvrières de Lorraine : 1850-1940 : étude de la politique patronale du logement". Metz, 1999. http://docnum.univ-lorraine.fr/public/UPV-M/Theses/1999/Commaille.Laurent.LMZ9902_1.pdf.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
L'étude est menée surtout à partir de documents issus des entreprises. Dans la décision de construire, les raisons morales et philanthropiques s'effacent devant la nécessité (bâti insuffisant, main d'oeuvre fluctuante et concurrence des entreprises entre elles). Certaines sociétés construisent peu. Les quantités et les rythmes diffèrent, les équipements aussi. Si, à la fin de la période, les cités ouvrières donnent l'impression d'ensembles cohérents, "rationnels", ce n'est souvent que par accumulation de maisons ouvrières, de coopératives, d'écoles etc. , et non le résultat d'un projet formulé dans sa totalité des l'origine. La cité, jusqu'au début du XXe siècle, est plus un investissement qu'une oeuvre sociale. De ce fait, la politique des habitations à bon marché ne rencontra pas beaucoup d'échos dans le patronat industriel. La même chose est observable en Lorraine allemande avec les coopératives de construction. La hausse des coûts, la dégradation des revenus tirés des loyers, la pression de l'Etat et la politique préconisée par Robert Pinot, le secrétaire du comité des Forges, entraînent, vers 1905-1910, une transformation de la cité ouvrière en "oeuvre sociale". Cela se traduit par de nouveaux équipements, peu "rentables" (salles des fêtes, stades etc. ), la ligne courbe dans les plans des nouvelles cités, des maisons plus attrayantes qu'auparavant. Cependant, les industriels n'arriveront jamais à loger l'ensemble des ouvriers. Les mines de fer du bassin de Briey obtiennent les plus fortes proportions d'ouvriers logés, mais par la pratique des "pensionnaires" qui font grimper les taux d'occupation des maisons. Ce n'est qu'avec la crise des années trente que la pénurie de logements diminuera. La promiscuité observée dans les mines, le faible nombre des ouvriers logés par la sidérurgie ou le textile, démentent l'idée d'une domestication de l'ouvrier par la cité, du moins en Lorraine
This study -documents basically issued from the companies- shows that the moral and philantropic reasons were less essential than the need created by insufficient housing, a fluctuating labour force and industrial competition. The building methods varied. Some didn't build much. The rhythms were different and so was the equipment. If, at the end of the period, company towns seemed to be coherently, sensibly planned, it was often more because of the accumulation of houses, cooperatives, schools and so on, than the result of an original, well-drafted plan. Moreover, the towns represented more an investment than real social care for the companies, at least until the beginning of the 20th century. Hence the cheap housing policy created by the state, on the philantropic circles initiative, was barely followed by the employers. The rise of the costs in building and upkeep, the fall of the income derived from the rents, the pressure from the government and the policy advocated by R. Pinot, the secretary of the comite des forges, led, from 1905-1910 on, to a different vision of the company town which became a social issue. This shift resulted in new equipements which didn't pay much such as town halls, stadiums, and so on. In the plans of the new towns, the curve appeared and the houses presented more attractive decorations and volumes. Nevertheless, despite all their efforts, the manufacturers were never able to house the totality of workers. The highest proportion of housed workers was found in the mining towns around briey but only thanks to boarding houses which made the occupancy rate rise. The lack of privacy observed in the mines and the low rate of workers accomodated by the iron and steel and textile industry refute the idea of a domestication of the worker by the company town, at least as far as lorraine is concerned
13

Jourdan, Silvère. "Du processus de métropolisation à celui de la gentrification, l’exemple de deux villes nord-méditerranéennes : Barcelone et Marseille". Thesis, Aix-Marseille, 2013. http://www.theses.fr/2013AIXM3081/document.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Les transformations économiques et sociales des sociétés anciennement industrielles ont contribué à la métamorphose des centres anciens de nombreuses villes. Des mouvements centripètes de capitaux et de population, se sont initiés et intensifiés ces dernières décennies. La périphérie des villes autrefois si attractive n’est plus le lieu privilégié d’un type de population qui lui préfère les centres anciens. Il s’agit de la gentrification. Barcelone et plus récemment Marseille n’ont pas échappé à cette dynamique. En s’appuyant sur des travaux pluridisciplinaires, cette thèse se propose tout d’abord de rappeler les définitions du processus, puis d’en saisir les étapes et les modalités sur le terrain. Or, cette étude nous amène à comprendre la gentrification comme un aspect de la métropolisation, dans ses dimensions économique, urbanistique, sociale, politique et culturelle. Depuis les années 1990, quels sont les indices nous permettant d’affirmer qu’un « retour en ville » est en marche ? Une approche quantitative basée sur un important corpus statistique et la confrontation de ces résultats statistiques à des données plus qualitatives nous permettent de répondre à cette question, tout en révélant une réalité idiosyncratique qui interroge la théorie. Enfin, les modes et les rythmes de développement d’un processus qui ne se limite plus aux quartiers anciens et centraux mais qui par capillarité se répand dans les faubourgs laissent apparaître, dans ces deux villes nord-méditerranéennes, non pas un processus de gentrification mais des processus différenciés
Economic and social changes of old industrial societies have contributed to the transformation of the downtown of many cities. The centripetal flow of capital and population has initiated and intensified in recent decades. The suburbs of cities, initially so attractive, seems to decline for a new type of population who prefers the downtown way of life. This is gentrification. Barcelona, and most recently Marseille, have not escaped this dynamic. Firstly, based on interdisciplinary works, this thesis proposes to record the definition of the process and to grasp the steps and procedures in the field. However, this study leads us to understand the gentrification as an aspect of metropolization, in its economic, urban, social, political and cultural dimensions. Since the 1990s, what have the changes been, that allow us to affirm that "a back to the city" is running? A quantitative approach based on an extensive statistical corpus and the confrontation of these statistical results of the qualitative data, we can answer this question, while revealing an idiosyncratic reality that questions the theory. Finally, the modes and rates of development of a process that is no longer confined to the old and central areas but spreads by capillary action in the inner-suburbs, demonstrates in both north -Mediterranean cities, that there is not one process of gentrification but differentiated processes
14

Escusa, Elodie. "A la recherche d'une identité sociale post-apartheid : l'Afrique du Sud du milieu, espace social stratégique de la Transformation". Thesis, Bordeaux, 2015. http://www.theses.fr/2015BORD0214/document.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Le contexte social et politique post-apartheid est marqué par la reconfiguration des inégalités selon des lignes plus sociales que raciales, et non par leur réduction. En conséquence, l’écart entre les ambitions et les réalisations du projet de Transformation est le cadre actuel d’énonciation de discours publics sur la « Black Middle Class », vue comme un symbole de la métamorphose attendue et promise par l’ANC depuis le début des années 1990. La thèse met en perspective ces discours pour aborder la question suivante : Quels sont les ressorts et enjeux des identifications au « milieu » de l’espace social dans le contexte de la Transformation post-apartheid ? L’objet d’étude est construit théoriquement comme un « milieu réel » (différent de la « middle class »), et empiriquement, autour de « ceux du milieu » (« amaphakathi » en isizulu) dans l’entité géographique et sociale du « Black Johannesburg ». L’analyse est conduite à partir de données primaires (entretiens et séjours longs en observation participante) et secondaires récoltées entre octobre 2010 et octobre 2014. La 1ère partie explore les identifications exogènes (conditions économiques et politiques, catégorisations raciales et sociales passées et contemporaines), puis, la 2ème partie analyse les expressions du positionnement social subjectif de « ceux du milieu » et leurs « mises en pratiques ». Ces pratiques sociales se trouvent « consacrées » – tout en consacrant le « milieu » comme groupe social – par des politiques publiques (comme celle du « gap housing ») qui ciblent une catégorie du « milieu »
The post-apartheid social and political context is marked by a reconfiguration of inequalities according to social rather than racial lines, and not by their decline. Consequently, the gap between the ambitions and the achievements of the Transformation project is the current frame of enunciation of public discourses on the “Black Middle Class”, seen as a symbol of the long-awaited metamorphosis that was promised by the ANC in the beginning of the 1990’s. The thesis puts these discourses into perspective to tackle the following broader question: What are the components and stakes of identifications in the “middle” of the social space in the context of post-apartheid Transformation? The object of study is theoretically constructed as an “actual middle” (distinct from the “middle class”) and empirically crafted as “those in the middle” (“amaphakathi” in isizulu) in “Black Johannesburg”. The analysis is based on secondary and primary sources (interviews and long-stay observations) gathered between October 2010 and October 2014. The first part explores the exogenous identifications (economic and political conditions, racial and social categorisations past and contemporary). The second part look at the ways “the ones in the middle” position themselves and puts their identity “in practices”. These social practices happen to be “consecrated” – whilst consecrating the “middle” as a social group – by public policies (such as “gap housing”) which target a “middle” category
15

Bozouls, Lorraine. ""Pour vivre heureux, vivons cachés" : pratiques résidentielles, styles de vie et rapports de genre chez les classes supérieures du pôle privé". Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2019. http://www.theses.fr/2019IEPP0033.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Au croisement de la sociologie des classes sociales et de la sociologie urbaine, cette thèse porte sur le pôle privé des classes supérieures, davantage doté en capital économique que culturel et résidant dans les espaces homogènes de la banlieue résidentielle aisée. Elle analyse le rôle du quartier et celui du logement dans la formation et la reproduction de cette fraction de classe et apporte ainsi une contribution à la compréhension des mécanismes de ségrégation. Elle s’appuie sur une enquête localisée dans les quartiers les plus aisés de deux communes de la banlieue parisienne (Rueil-Malmaison et Saint-Maur-des-Fossés), où ont été conduits soixante entretiens avec des propriétaires de maisons. Plus de deux tiers des ménages enquêtés ont un patrimoine immobilier estimé supérieur à un million d’euros et appartiennent donc aux 3 % des ménages les plus dotés de France. Les ménages enquêtés choisissent un quartier marqué par son entre-soi, qui assure des conditions favorables de reproduction sociale. Ils s’investissent à l’échelle locale dans les relations de sociabilité et dans des entreprises de patrimonialisation, dont ils tirent des ressources en termes de capital social, symbolique et économique. De plus, les ménages sont investis dans un mouvement de privatisation, qui se traduit par leur goût pour la propriété immobilière et par leur repli sur l’espace domestique, qui pèse principalement sur les femmes, dont beaucoup sont femmes au foyer. Enfin, cette privatisation est également synonyme d’un éloignement vis-à-vis des services publics, visible notamment à travers la prise en charge de leur sécurité, qui s’accompagne parfois d’un mouvement de fermeture résidentielle
At the crossroads of the sociology of social classes and the urban sociology, this thesis focuses on the private pole of upper classes, defined as the one having more economic than cultural capital and living in homogeneous spaces of the well-off residential suburbs. It analyses the role of both the neighborhood and the house in the formation and reproduction of this class fraction and thus contributes to the understanding of segregation mechanisms. It is based on a survey conducted in the wealthier districts of two municipalities in the Parisian suburbs (Rueil-Malmaison and Saint-Maur-des-Fossés) where sixty interviews with homeowners were conducted. More than two thirds of the households surveyed have an estimated property of more than one million euros and therefore belong to the 3% of the most affluent households in France. The households surveyed choose a neighborhood marked by its entre-soi, which ensures favorable conditions for social reproduction. They invest locally in social relationships and heritage enterprises, from which they extract resources in terms of social, symbolic and economic capital. In addition, the households surveyed are invested in a privatization movement, which results in a strong taste for real estate ownership and in their withdrawal into the domestic sphere, which mainly affects women, many of whom are housewives. Finally, this privatization is also synonymous with a distance from public services, visible through the management of their security, which is sometimes accompanied by a movement of residential closure
16

Paris, Octavie. "Habiter un logement populaire locatif du centre-ville : la place des cortiços à São Paulo, Salvador et Belém". Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSE3061/document.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Dans la ville brésilienne, les habitats populaires tels que le cortiço ou la pensão, sont très peu étudiés dans le champ de la géographie, en partie en raison du topo autour de la favela. Cette thèse cherche à combler ce creux dans les travaux scientifiques sur l’habitat, en partant du discours de ses résidents. Le cortiço peut se définir comme un habitat populaire collectif, multifamilial et locatif, dont le développement se fait dans les quartiers anciens, dits « centraux » des villes brésiliennes. Il est une solution de logement antérieure à la favela et occupe toujours une place importante dans le paysage urbain.Dans cette thèse, nous avons choisi d’étudier la place du cortiço dans trois contextes métropolitains différents : celui de São Paulo, de Salvador de Bahia et de Belém do Pará. Cela nous permet d’aborder la réalité urbaine du cortiço dans sa diversité. De plus, nous adoptons une approche par l’échelle du micro, en entrant dans les cortiços et dans les quartos pour y rencontrer les habitants et y recueillir leurs propos. La place du cortiço - dans la ville et pour ses habitants - nous permet de développer également les problématiques liées au droit à la ville et au maintien d’une fonction résidentielle populaire en centre-ville
In the Brazilian city, popular housing such as cortiço or pensão are poorly studied in the academic geography field, because of the focus around the favela. This dissertation aims to fill this lack in scientific studies on housing. The cortiço could be defined as a popular, collective, multifamiliar, rented housing whose development happens in old neighborhoods, called “centrals” of Brazilian cities. It is a housing solution older than the favela, still having an important place in the urban landscape nowadays. In this dissertation, I chose to study the place of the cortiço in three different metropolitan contexts: São Paulo, Salvador de Bahia and Belém do Pará. This allows us to address the cortiço’s urban reality in its diversity. Also, we take an approach by the micro level, entering in the cortiços and in the quartos in order to meet the dwellers and gathering their discourses. The place of the cortiço – in the city and for its inhabitants – allows us to also develop the questions of the right to the city and the permanence of popular residential function in city cores
17

David, Cédric. "Logement social des immigrants et politique municipale en banlieue ouvrière (Saint-Denis, 1944-1995) : histoire d’une improbable citoyenneté urbaine". Thesis, Paris 10, 2016. http://www.theses.fr/2016PA100094/document.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Territoire d’industrie et d’immigration, Saint-Denis est un des hauts-lieux de la "banlieue rouge" de Paris. Après 1945, la pénurie de logements que connaît la France y est aggravée par la médiocrité du parc immobilier ancien et par une croissance démographique, qui se traduit par le développement de bidonvilles d’immigrants. La municipalité communiste fait de la construction de logements un axe central de sa politique sociale, constituant ainsi l’un des plus importants offices d’habitation à loyer modéré (HLM) de banlieue parisienne, gestionnaire d’environ 9 000 logements à la fin des années 1970. Les enjeux posés par la gestion d’un tel organisme et les mutations sociales induites s’observent dans les archives locales. Parmi ces questions, celle du logement des immigrants étrangers ou (post)coloniaux prend une importance croissante à partir des années 1960. Encore inférieure à 10 % en 1965, la proportion des ménages d’immigrants logés par l’office municipal s’élève à au moins un quart des locataires dans les années 1980. La reconnaissance de leur appartenance locale, si ce n’est d’une citoyenneté urbaine, est en jeu et paraît fortement dépendante des contraintes économiques, sociales et institutionnelles pesant sur la gestion d’un office HLM en banlieue ouvrière. La logique d’une hospitalité municipale graduelle et conditionnée est d’abord mise en difficulté par la dissymétrie entre offre et demande de logements sociaux. À partir de la fin des années 1960, lors d’importantes opérations d’aménagement urbain, la question est vue sous l’angle du peuplement immigré et de sa répartition dans l’agglomération. Une logique de « seuil de tolérance » aux immigrants à la source de discriminations prend alors forme. Elle est relative dans la mesure où la part des immigrants logés continue de progresser. Néanmoins, l’importante crise budgétaire qui touche l’office HLM de Saint-Denis à partir 1974, combinée à une désindustrialisation avancée, contribue à une crispation durable sur la question ethno-raciale
Territory of industry and immigration, Saint-Denis is one of the symbolic places of the "banlieue rouge" (red suburbs) of Paris. After 1945, the housing shortage happening in France is worsened in Saint-Denis by the mediocrity of the old housing stock and by a population growth which leads to the spreading of immigrants slums. The communist municipality makes housing construction a central axis of its social policy, therefore becoming one of the greatest HLM (social housing) municipal agencies of the parisian suburbs, managing about 9 000 apartments at the end of the 1970s. Managing such an agency and the induced social mutations pose challenges that can be observed in the local archives. Among those, the question of the housing of foreign or (post)colonial immigrants is taking on increasing importance from the 1960s. Still below 10 % in 1965, the proportion of foreign households housed by the municipal agency amounts to at least a quarter of the tenants in the 1980s. The acknowledgment of their local membership, if not even of their urban citizenship, is at stake and appears to be highly dependant on economic, social and institutionnal constraints which weigh on the managment of a HLM agency in a working class suburb. The logic of a gradual and conditionned municipal hospitality is first of all put in a difficult position by the dissymmetry between supply and demand on social housing. From the end of the 1960s, during significant urban planning operations, the question is seen from the perspective of the immigrant settlement and its repartition in the agglomeration. A logic of "tolerance threshold" to the immigrants which is the origin of discriminations then begins to take place. It is relative since the share of housed immigrants is still progressing. Nevertheless, the important budget crisis which is striking the HLM municipal agency of Saint-Denis from 1974, combined with an advanced desindustrialisation, contributes to a sustaining contortion on the ethno-racial question
18

Collet, Anaïs. "Générations de classes moyennes et travail de gentrification : changement social et changement urbain dans le Bas Montreuil et à la Croix-Rousse, 1975-2005". Phd thesis, Université Lumière - Lyon II, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00933954.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
À l'articulation entre sociologie urbaine et sociologie des groupes sociaux, la thèse est consacrée aux phénomènes de gentrification qui touchent les anciens quartiers populaires de centre-ville depuis plus de trente ans et à leurs acteurs habitants, les " gentrifieurs ". Caractéristiques de l'émergence des " nouvelles classes moyennes " à la fin des années 1970, désignés au début des années 2000 par la catégorie médiatique de " bobos ", ceux-ci contribuent au changement urbain par leurs choix et leurs investissements multidimensionnels dans l'espace résidentiel. La première partie de la thèse est consacrée à l'étude des générations de " gentrifieurs " des Pentes de la Croix-Rousse à Lyon et du Bas Montreuil en région parisienne, de leurs profils sociologiques et des ressorts de leur choix résidentiel des années 1970 aux années 2000. La deuxième partie est dédiée à l'analyse localisée du " travail de gentrification " mené par les nouveaux résidents du Bas Montreuil et à l'articulation de ce travail à leurs trajectoires sociales, professionnelles, militantes et familiales. Fondée sur des entretiens approfondis avec des " gentrifieurs " de diverses époques, étayée par l'analyse de statistiques localisées sur la longue durée, systématiquement replacée dans les contextes globaux et locaux, l'enquête permet d'éclairer les ressorts sociaux des mutations des quartiers anciens de centre-ville et de proche banlieue en même temps que les recompositions des fractions supérieures des classes moyennes.
19

Launay, Lydie. "Les politiques de mixité par l’habitat à l’épreuve des rapports résidentiels : Quartiers populaires et beaux quartiers à Paris et à Londres". Paris 10, 2011. https://halshs.archives-ouvertes.fr/tel-01419196.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Depuis le début des années 2000, l’accentuation de la polarisation sociale de Paris et de Londres légitime l’élaboration de nouvelles stratégies de promotion de la mixité sociale par l’habitat, dans une perspective de « rééquilibrage social » de la ville. L’analyse de leurs fondements révèle le rôle central conféré au logement des « acteurs clés de la ville » et des key workers, considérés comme des acteurs « relais » centraux de la mixité. La cohabitation de ces catégories spécifiques des classes moyennes avec les classes populaires « issues de l’immigration » permettrait d’améliorer l’intégration supposée relative de ces dernières à la ville, et plus largement à la société. Sur la base d’un travail empirique conduit sur des opérations réalisées dans les quartiers populaires et les beaux quartiers, cette thèse interroge ce postulat par l’analyse des rapports résidentiels des différents groupes sociaux mis en situation de co-présence. Elle met en lumière quatre manières d’habiter le quartier et de cohabiter à partir d’une approche multidimensionnelle : les caractéristiques sociales des individus, la trajectoire résidentielle et la manière dont est vécue la nouvelle situation résidentielle, et les caractéristiques sociales et physiques du quartier. Dans cette perspective, elle analyse les rapports à l’altérité des individus qui établissent des frontières entre eux et leurs proches spatiaux à partir d’une lecture sociale mais aussi, à des degrés divers, une lecture raciale du monde
Since the early 2000s, the increasing social polarisation of Paris and London legitimates the development of new social mix strategies in a "social rebalancing" of the city perspective. The analysis of their foundations reveals the central role given to housing for "key actors of the city" and key workers, considered as central actors 'relay' of social mixing. The coexistence of these specific categories of the middle classes with popular classes and ethnic minorities would supposedly improve their integration to the city and widely, to the society. Based on empirical work conducted on operations in the low-status and wealthy neighbourhoods, this thesis questions this assumption by analyzing social relationships to residential areas of social groups putting in a situation of co-presence. It highlights four ways of living in the neighbourhood and of coexisting from a multidimensional approach: the social characteristics of individuals, the residential trajectory and how the new residential situation is experienced, and social and physical characteristics of the neighbourhood. In this perspective, it analyses the otherness relationships of individuals that establish the boundaries between them and the “others” through a social reading and also, at varying degrees, a racial reading of the social world
20

Balteau, Emilie. "Rénovation urbaine et continuités populaires : une recherche socio-filmique en ville moyenne". Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2019. http://www.theses.fr/2019SACLE013/document.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Ancrée dans la monographie d'un quartier d'habitat social situé en ville moyenne (Auxerre) et adossée à un cadre théorique réhabilitant la classe sociale, cette thèse interroge, à travers les deux formes qu'elle revêt (un texte et un film), les effets de la politique de rénovation urbaine contemporaine sur les populations des quartiers ciblés.La recherche montre la manière dont la rénovation urbaine, en transformant les espaces physiques et la composition de la population locale, procède d'un mouvement de différenciation entre quartiers et entre secteurs, qui tend à rejouer le clivage entre la cité et le pavillon (lequel confère notamment ses allures au « nouveau » quartier étudié). Ce faisant, la rénovation urbaine retravaille le statut socio-résidentiel des habitant qui se prêtent dans ce cadre à un jeu de distanciation complexe – visible dans les rapports (variés) qu'ils entretiennent à l'espace, tant en termes de représentations que des conduites.En même temps, à travers ces rapports à l'espace pourtant faits de différences et oppositions, la recherche donne à voir la rénovation urbaine comme une mise à l'épreuve générale où se réaffirme l'appartenance commune des habitants aux classes populaires. En éprouvant inévitablement leurs richesses et leurs relations, elle contribue en particulier à souligner l'étroitesse des ressources économiques des habitants et révèle également l'importance que conserve la sociabilité locale.Cette dernière participe d'un ensemble de tentatives de réappropriation qui jalonnent les paroles et pratiques des habitants et enjoignent de ne pas succomber à l'image d'une domination unilatérale, aussi fondamentales que puissent apparaitre les contraintes pratiques et symboliques dans lesquelles les classes populaires évoluent
Rooted in the monograph of a social housing neighborhood situated in a middle-sized city (Auxerre) and leaning on a theoretical framework rehabilitating social class, this thesis addresses the effects of the contemporary urban renewal on the targeted neighborhoods' population, through two forms (a text and a movie).The research shows how urban renewal, while transforming spaces and the composition of the local population, creates a movement of differentiation between neighborhoods and sectors, which tends to widen the (social) divide between housing estates and detached houses (that convey character to the “new” neighborhood in question). In doing so, urban renewal rebrands the socio-residential status of the inhabitants that are playing a game of complex detachment – which can be observed in the various connections they have with space, whether in terms of representation or conduct.Meanwhile, through the connections to space, made of differences and oppositions, the research shows urban renewal as a global probation in which the inhabitants' communal belonging to working classes gets confirmed. While putting their wealth and connections to the test, it underlines the narrowness of their economic resources and reveals the fundamental importance of local sociability.The latter contributes to a number of reappropriation attempts that punctuate the words and customs of the inhabitants, and demand not to give way to a unilateral domination, as essential as the practical and symbolic constraints in which the working classes evolve may seem
21

Cumoli, Flavia. "Periferie e mondi operai: immigrazione, spazi sociali e ambiti culturali negli anni '50". Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2009. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210345.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
Notre thèse analyse le rapport entre pratiques sociales d’intégration d’immigrés, modèles d’installation et processus de transformation de la morphologie urbaine dans deux études de cas qui se prêtent à une comparaison stimulante. D’un côté, nous avons le cas de l’émigration italienne interne vers un pole industriel de la banlieue métropolitaine milanaise (Sesto San Giovanni); de l’autre côté, celui de l’émigration italienne internationale dans une agglomération des bassins miniers wallons (La Louvière). Il s’agit de deux contextes d’insertion fort différents du point de vue de la morphologie sociale et de l’organisation territoriale, qui profilent des espaces hybrides entre rural et urbain en profonde et rapide transformation, à cause des flux massifs de la main d’œuvre immigrée. Ces différences nous permettent de mettre à l’épreuve de l’analyse comparée les conceptions sociologiques et les parcours historiques de l’intégration, du tissu sociale qui en est à la base, de la citoyenneté, de la construction d’identités collectives, afin de dépasser les dichotomies stéréotypées entre rural/urbain, tradition/modernité, intégration/conflit, migration interne/internationale.

La thèse développe une analyse parallèle des deux études de cas en suivant un fil argumentatif unitaire, qui s’ouvre avec une enquête sur les flux migratoires et les contextes d’accueil des migrations. Dans les deux premiers chapitres nous avons analysé le contexte économique, social et territorial dans lequel s’inscrivent les processus migratoires. Pour le cas belge, nous avons analysé le cycle de l’industrie charbonnière, le processus de dépopulation de la Wallonie et les mécanismes qui règlent les flux, c'est-à-dire une migration contractée par les deux gouvernements. En ce qui concerne le cas milanais, nous avons tracé les contours de la très rapide urbanisation, qui a conduit toute une série de communes limitrophes à Milan à entrer dans l’orbite métropolitaine et à se qualifier comme des pôles périphériques.

Après avoir tracé les contours du cadre général, nous avons fait face, dans la deuxième partie, à la question plus spécifique du logement et des formes d’installations. Pour le cas louviérois, nous avons reconstruit les conditions de logement et la très difficile confrontation des premiers immigrés avec le monde du travail charbonnier, l’absence d’une initiative publique dans le secteur du logement jusqu’en 1954, faiblement compensé par l’initiative patronale, et la phase suivante des années 1950, qui a mené à la stabilisation des immigrés dans la région. De Sesto San Giovanni nous avons reconstruit la transition complexe vers la périphérie métropolitaine, à partir des installations rurales jusqu’aux politiques publiques locales et nationales de construction de grands ensembles, en soulignant comment cette intervention urbanistique était au centre d’un débat très vif sur l’aménagement du territoire, qui a débouché sur la création d’institutions administratives régionales. Dans la dernière partie de la recherche nous avons plutôt approfondi les aspects sociaux et culturels des parcours d’installation et d’intégration dans les deux tissus urbains. C’est en cette partie que nous avons utilisé davantage les sources orales, afin d’analyser les perceptions de soi, les mécanismes de construction de l’identité sociale et donc tous les changements que la migration, le rencontre avec la ville et l’industrie ont entraîné dans les organisations familiales, dans les perspectives de vie, les aspirations et les projets des migrants. À partir de l’analyse de ces parcours, dans le chapitre conclusif nous avons interrogé quelques catégories historiques et sociologiques classiques des études migratoires: d’abord le sens d’appartenance à la communauté d’origine et le développement d’un sens d’identité nationale, ensuite le processus de formation d’une solidarité de classe, qui dans les deux contextes a pris des formes sensiblement distinctes surtout par rapport aux différences dans la mémoire de l’expérience migratoire.


Doctorat en Histoire, art et archéologie
info:eu-repo/semantics/nonPublished

22

Laprovitera, da Motta Enio. "L'architecte et le peuple à Recife (Brésil) : 1959-2009". Paris, EHESS, 2009. http://www.theses.fr/2009EHES0132.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Abstract (sommario):
L'émergence de la question du populaire parmi les architectes semble liée aux transformations économiques, sociales et politiques qu'a connu la société brésilienne dans les années cinquante et soixante, plus particulièrement, la région Nordeste. On assiste, à cette époque, à la consolidation d'une vaste action sociale, qui réunit des groupes de différentes factions politiques, élites locales, ainsi que professionnels divers - dont les architectes - et dont le point central semble avoir été les thématiques du champ du populaire. On voit surgir d'importantes agences publiques de planification, ainsi que des centres de recherche liés à l'université et d'où sortiront les principaux projets et textes sur la question du populaire. Cette convergence d'intérêts et d'actions va consolider un champ d'intervention professionnelle pour les architectes, dont le modèle s'est éloigné des représentations diffusées par les écoles d'architecture
The economic, social and political transformations the Brazilian society went through during the 50ies and 60ies have caused Recife's architects to become progressively more aware of social, low-income concerns, especially in the Northeast Brazil. Actually, the broad social initiatives that took place throughout that time period, have engaged diverse politically - oriented individuals, local elite members, among different and varied demanding groups - architects included. As a matter of fact, those movements have apparently shared a clear, cross-cutting focus on social and law-income themes. Furthermore, important public planning agencies and other major university-bound research centers have also been set up during that time. Those institutions in turn have since then issued most major papers and projects highlighting social and low-income concerns

Vai alla bibliografia